L'APOSTASIE GENERALE AVANT LA SECONDE VENUE DE NOTRE SEIGNEUR JESUS
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L'APOSTASIE GENERALE AVANT LA SECONDE VENUE DE NOTRE SEIGNEUR JESUS Empty L'APOSTASIE GENERALE AVANT LA SECONDE VENUE DE NOTRE SEIGNEUR JESUS

Message  Invité Sam 31 Juil 2010 - 14:42



L’Apostasie générale




1. Fondement biblique



2 Th 2,1-7 :



« 1 Nous vous le demandons, frères, à propos de la Venue de notre Seigneur Jésus Christ et de notre rassemblement auprès de lui, 2 ne vous laissez pas trop vite mettre hors de sens ni alarmer par des manifestations de l'Esprit, des paroles ou des lettres données comme venant de nous, et qui vous feraient penser que le jour du Seigneur est déjà là. 3 Que personne ne vous abuse d'aucune manière.

Auparavant doit venir l'apostasie et se révéler l'Homme impie, l'Etre perdu, 4 l'Adversaire, celui qui s'élève au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu ou reçoit un culte, allant jusqu'à s'asseoir en personne dans le sanctuaire de Dieu, se produisant lui-même comme Dieu. 5 Vous vous rappelez, n'est-ce pas, que quand j'étais encore près de vous je vous disais cela. 6 Et vous savez ce qui le retient maintenant, de façon qu'il ne se révèle qu'à son moment. 7 Dès maintenant, oui, le mystère de l'impiété est à l'oeuvre. Mais que seulement celui qui le retient soit d'abord écarté ».



1 Tm 4,1-5 :



« 1 L'Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, certains renieront la foi pour s'attacher à des esprits trompeurs et à des doctrines diaboliques, 2 séduits par des menteurs hypocrites marqués au fer rouge dans leur conscience : 3 ces gens-là interdisent le mariage et l'usage d'aliments que Dieu a créés pour être pris avec action de grâces par les croyants et ceux qui ont la connaissance de la vérité. 4 Car tout ce que Dieu a créé est bon et aucun aliment n'est à proscrire, si on le prend avec action de grâces : 5 la parole de Dieu et la prière le sanctifient ».



2 Tm 4,1-5 :



« 1 Je t'adjure devant Dieu et devant le Christ Jésus, qui doit juger les vivants et les morts, au nom de son Apparition et de son Règne : 2 proclame la parole, insiste à temps et à contretemps, réfute, menace, exhorte, avec une patience inlassable et le souci d'instruire. 3 Car un temps viendra où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine, mais au contraire, au gré de leurs passions et l'oreille les démangeant, ils se donneront des maîtres en quantité 4 et détourneront l'oreille de la vérité pour se tourner vers les fables. 5 Pour toi, sois prudent en tout, supporte l'épreuve, fais oeuvre de prédicateur de l'Evangile, acquitte-toi à la perfection de ton ministère ».



2 P 3,1-7 :



« 1 Voici déjà, très chers, la deuxième lettre que je vous écris; dans les deux je fais appel à vos souvenirs pour éveiller en vous une saine intelligence. 2 Souvenez-vous des choses prédites par les saints prophètes et du commandement de vos apôtres, celui du Seigneur et Sauveur.

3 Sachez tout d'abord qu'aux derniers jours, il viendra des railleurs pleins de raillerie, guidés par leurs passions. 4 Ils diront: "Où est la promesse de son avènement? Depuis que les Pères sont morts, tout demeure comme au début de la création." 5 Car ils ignorent volontairement qu'il y eut autrefois des cieux et une terre qui, du milieu de l'eau, par le moyen de l'eau, surgit à la parole de Dieu 6 et que, par ces mêmes causes, le monde d'alors périt inondé par l'eau.

7 Mais les cieux et la terre d'à présent, la même parole les a mis de côté et en réserve pour le feu, en vue du jour du Jugement et de la ruine des hommes impies ».



2. Catéchisme de l’Eglise Catholique



Voici le § 675 faisant référence à l’apostasie :



« Avant l'avènement du Christ, l'Eglise doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants (Cf. Lc 18,8; Mt 24,12). La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre (Cf. Lc 21,12; Jn 15,19-20) dévoilera le "Mystère d'iniquité" sous la forme d'une imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l'apostasie de la vérité. L'imposture religieuse suprême est celle de l'Anti-Christ, c'est-à-dire celle d'un pseudo-messianisme où l'homme se glorifie lui-même à la place de Dieu et de son Messie venu dans la chair (Cf. 2 Th 2,4-12; 1 Th 5,2-3; 2 Jn 7; 1 Jn 2,18; 1 Jn 2,22) ».



3. Léon XIII



Dans sa lettre encyclique « Depuis le jour » du 8 septembre 1899 adressée en particulier aux évêques et au clergé de France, le Pape Léon XIII exhortait l’ensemble des ministres du Christ à veiller à leur devoir d’exemple et de fidélité, les signes précurseurs de l’apostasie générale s’étant déjà bien révélés :



« ... Pour en venir à la pratique, nous trouvons un enseignement parfaitement adapté aux circonstances dans les quatre maximes que le grand apôtre saint Paul donnait à son disciple Tite. En toutes choses, donnez le bon exemple par vos oeuvres, par votre doctrine, par l’intégrité de votre vie, par la gravité de votre conduite, en ne faisant usage que de paroles saintes et irrépréhensibles (In omnibus teipsum praebe exemplum bonorum operum, in doctrina, in integritate, in gravitate, verbum sanum, irreprehensibile - Tt 2,7-8). Nous voudrions que chacun des membres de notre clergé méditât ces maximes et y conformât sa conduite. " In omnibus teipsum praebe exemplum bonorum operum ". En toutes choses donnez l’exemple des bonnes oeuvres, c’est-à-dire d’une vie exemplaire et active, animée d’un véritable esprit de charité et guidée par les maximes de la prudence évangélique ; d’une vie de sacrifice et de travail, consacrée à faire du bien au prochain, non pas dans des vues terrestres et pour une récompense périssable, mais dans un but surnaturel. Donnez l’exemple de ce langage à la fois simple, noble et élevé, de cette parole saine et irrépréhensible, qui confond toute opposition humaine, apaise l’antique haine que nous a vouée le monde, et nous concilie le respect, l’estime même des ennemis de la religion. Quiconque s’est voué au service du sanctuaire a été obligé en tout temps de se montrer un vivant modèle, un exemplaire parfait de toutes les vertus ; mais cette obligation est beaucoup plus grande lorsque, par suite des bouleversements sociaux, on marche sur un terrain difficile et incertain, où l’on peut trouver à chaque pas des embûches et des prétextes d’attaque...



" ... In doctrina.



En présence des efforts combinés de l’incrédulité et de l’hérésie pour consommer la ruine de la foi catholique, ce serait un vrai crime pour le clergé de rester hésitant et inactif. Au milieu d’un si grand débordement d’erreurs, d’un tel conflit d’opinions, il ne peut faillir à sa mission qui est de défendre le dogme attaqué, la morale travestie et la justice si souvent méconnue. C’est à lui qu’il appartient de s’opposer comme une barrière à l’erreur envahissante et à l’hérésie qui se dissimule ; à lui de surveiller les agissements des fauteurs d’impiété qui s’attaquent à la foi et à l’honneur de cette contrée catholique ; à lui de démasquer leurs ruses et de signaler leurs embûches ; à lui de prémunir les simples, de fortifier les timides, d’ouvrir les yeux aux aveugles. Une érudition superficielle, une science vulgaire ne suffisent point pour cela : il faut des études solides, approfondies et continuelles, en un mot, un ensemble de connaissances doctrinales capables de lutter avec la subtilité et la singulière astuce de nos modernes contradicteurs...



" ... In integritate.



Rien ne prouve tant l’importance de ce conseil, que la triste expérience de ce qui se passe autour de nous. Ne voyons-nous pas, en effet, que la vie relâchée de certains ecclésiastiques discrédite et fait mépriser leur ministère et occasionne des scandales ? Si des hommes doués d’un esprit aussi brillant que remarquable désertent parfois les rangs de la sainte milice et se mettent en révolte contre l’Eglise, cette mère qui, dans son affectueuse tendresse, les avait préposés au gouvernement et au salut des âmes, leur défection et leurs égarements n’ont le plus souvent pour origine que leur indiscipline ou leurs mauvaises moeurs...



" ... In gravitate.



Par gravité, il faut entendre cette conduite sérieuse, pleine de jugement et de tact qui doit être propre au ministre fidèle et prudent que Dieu a choisi pour le gouvernement de sa famille. Celui-ci, en effet, tout en remerciant Dieu d’avoir daigné l’élever à cet honneur, doit se montrer fidèle à toutes ses obligations, en même temps que mesuré et prudent dans tous ses actes ; il ne doit point se laisser dominer par de viles passions, ni emporter en paroles violentes et excessives ; il doit compatir avec bonté aux malheurs et aux faiblesses d’autrui, faire à chacun tout le bien qu’il peut, d’une manière désintéressée, sans ostentation, en maintenant toujours intact l’honneur de son caractère et de sa sublime dignité ».



4. Pie XI



Au § 18 et 19 de la lettre encyclique « Quas primas » du 11 décembre 1925, relative à l'institution de la fête du Christ-Roi, le Pape Pie XI évoquait déjà clairement l’apostasie qui sévissait dans le monde par l’intermédiaire du laïcisme :



§ 18 : « C'est ici Notre tour de pourvoir aux nécessités des temps présents, d'apporter un remède efficace à la peste qui a corrompu la société humaine. Nous le faisons en prescrivant à l'univers catholique le culte du Christ-Roi. La peste de notre époque, c'est le laïcisme, ainsi qu'on l'appelle, avec ses erreurs et ses entreprises criminelles. Comme vous le savez, Vénérables Frères, ce fléau n'est pas apparu brusquement ; depuis longtemps, il couvait au sein des Etats. On commença, en effet, par nier la souveraineté du Christ sur toutes les nations; on refusa à l'Eglise le droit - conséquence du droit même du Christ - d'enseigner le genre humain, de porter des lois, de gouverner les peuples en vue de leur béatitude éternelle. Puis, peu à peu, on assimila la religion du Christ aux fausses religions et, sans la moindre honte, on la plaça au même niveau. On la soumit, ensuite, à l'autorité civile et on la livra pour ainsi dire au bon plaisir des princes et des gouvernants. Certains allèrent jusqu'à vouloir substituer à la religion divine une religion naturelle ou un simple sentiment de religiosité. Il se trouva même des Etats qui crurent pouvoir se passer de Dieu et firent consister leur religion dans l'irréligion et l'oubli conscient et volontaire de Dieu. Les fruits très amers qu'a portés, si souvent et d'une manière si persistante, cette apostasie des individus et des Etats désertant le Christ, Nous les avons déplorés dans l'Encyclique Ubi arcano. Nous les déplorons de nouveau aujourd'hui. Fruits de cette apostasie, les germes de haine, semés de tous côtés; les jalousies et les rivalités entre peuples, qui entretiennent les querelles internationales et retardent, actuellement encore, l'avènement d'une paix de réconciliation; les ambitions effrénées, qui se couvrent bien souvent du masque de l'intérêt public et de l'amour de la patrie, avec leurs tristes conséquences: les discordes civiles, un égoïsme aveugle et démesuré qui, ne poursuivant que les satisfactions et les avantages personnels, apprécie toute chose à la mesure de son propre intérêt. Fruits encore de cette apostasie, la paix domestique bouleversée par l'oubli des devoirs et l'insouciance de la conscience; l'union et la stabilité des familles chancelantes; toute la société, enfin, ébranlée et menacée de ruine.



§ 19 : « La fête, désormais annuelle, du Christ-Roi Nous donne le plus vif espoir de hâter le retour si désirable de l'humanité à son très affectueux Sauveur. Ce serait assurément le devoir des catholiques de préparer et de hâter ce retour par une action diligente; mais il se fait que beaucoup d'entre eux ne possèdent pas dans la société le rang ou l'autorité qui siérait aux apologistes de la vérité. Peut-être faut-il attribuer ce désavantage à l'indolence ou à la timidité des bons; ils s'abstiennent de résister ou ne le font que mollement; les adversaires de l'Eglise en retirent fatalement un surcroît de prétentions et d'audace. Mais du jour où l'ensemble des fidèles comprendront qu'il leur faut combattre, vaillamment et sans relâche, sous les étendards du Christ-Roi, le feu de l'apostolat enflammera les cœurs, tous travailleront à réconcilier avec leur Seigneur les âmes qui l'ignorent ou qui l'ont abandonné, tous s'efforceront de maintenir inviolés ses droits. Mais il y a plus. Une fête célébrée chaque année chez tous les peuples en l'honneur du Christ-Roi sera souverainement efficace pour incriminer et réparer en quelque manière cette apostasie publique, si désastreuse pour la société, qu'a engendrée le laïcisme. Dans les conférences internationales et dans les Parlements, on couvre d'un lourd silence le nom très doux de notre Rédempteur; plus cette conduite est indigne et plus haut doivent monter nos acclamations, plus doit être propagée la déclaration des droits que confèrent au Christ sa dignité et son autorité royales ».



- extrait de la lettre encyclique « Divini Illius Magistri » (sur l’éducation chrétienne de la jeunesse), donnée le 31 décembre 1929 :



« Il est nécessaire, d'autre part, de diriger et de surveiller l'éducation de l'adolescent, car " son âme pour se plier au vice est molle comme la cire " 60. En quelque milieu qu'il se trouve, que l'on écarte de lui les occasions dangereuses et qu'on lui procure opportunément celles du bien, dans ses divertissements comme dans ses fréquentations, car les mauvais entretiens corrompent les bonnes mœurs (1). La vigilance, à notre époque, doit être d'autant plus étendue et plus active que les occasions de naufrage moral ou religieux se sont accrues pour la jeunesse sans expérience. Notons spécialement les livres impies et licencieux, dont beaucoup, par une tactique diabolique, sont répandus à vil prix; les spectacles du cinéma, et maintenant aussi les auditions à la radio, celles-ci multipliant et facilitant, pour ainsi dire, toute sorte de lectures, comme le cinéma toute sorte de spectacles. Ces moyens merveilleux de diffusion, qui peuvent, dirigés par de saints principes, être de la plus grande utilité pour l'instruction et l'éducation, ne sont que trop souvent subordonnés à l'excitation des passions mauvaises et à l'insatiable avidité du gain. Saint Augustin gémissait déjà de la passion qui entraînait les chrétiens de son temps aux spectacles du cirque. Il raconte en des paroles émues, la perversion, heureusement passagère, de son disciple et ami Alypius (2). Que d'égarements juvéniles, dus aux spectacles modernes ou aux mauvaises lectures, n'ont pas à déplorer aujourd'hui les parents et les éducateurs ! Elles sont donc à louer et à développer, toutes ces œuvres éducatives qui, dans une inspiration sincèrement chrétienne de zèle pour les âmes des jeunes gens, s'emploient, par des livres faits tout exprès et dans des publications périodiques, à signaler spécialement aux parents et aux éducateurs les dangers moraux ou religieux, sournois la plupart du temps, que présentent certains livres ou certains spectacles; qui s'appliquent à répandre les bonnes lectures et à promouvoir les spectacles vraiment éducatifs, allant jusqu'à créer, au prix de grands sacrifices, des théâtres ou des cinémas où la vertu n'ait rien à perdre et trouve même beaucoup à gagner. De cette vigilance nécessaire il ne suit pas que la jeunesse ait à se séparer de cette société dans laquelle elle doit vivre et faire son salut, mais on en conclura qu'il convient, aujourd'hui plus que jamais, de la prémunir et de la fortifier chrétiennement contre les séductions et les erreurs du monde. Le monde n'est-il pas, comme nous en avertit une parole divine, tout entier concupiscence de la chair, concupiscence des yeux, orgueil de la vie? (3) Que nos jeunes gens, comme les vrais chrétiens de tous les temps, soient, ainsi que le demandait Tertullien des premiers fidèles, " participants du monde, mais non pas de l'erreur " (4) ».



Notes :



(1) : « 1 Co 15,33 ».
(2) : « Saint Augustin Confessiones VI 8, PL XXXII 726 ».


(3) : « 1 Jn 2,16 ».

(4) : « Tertullien, De idolatria 14, PL I 682 ».



5. Pie XII



Voici deux déclarations du Pape Pie XII, extraites page 50 de l’ouvrage « Le Message de Notre-Dame des Roses » :



- au Sacré-Collège, en 1946 :



« Nous éprouvons une immense douleur en voyant la société humaine plus que jamais éloignée du Christ, et en même temps une indicible compassion au spectacle des calamités sans précédent qui l’affligent à cause de son apostasie. C’est pourquoi Nous nous sentons incités à élever de nouveau notre voix pour rappeler à nos fils et nos filles du monde catholique l’avertissement que le divin Sauveur n’a cessé de répéter à travers les siècles dans les révélations aux âmes privilégiées qu’il a daigné choisir pour ses messagères : désarmez la Justice punitive du Seigneur par une croisade d’expiation dans le monde entier ! ».



- le 10 février 1952, aux fidèles de Rome :



« Nous ne saurions demeurer muet et inactif devant un monde inconsciemment en marche sur des voies qui mènent à l’abîme les âmes et les corps, les civilisations et les peuples. Le sentiment de notre responsabilité devant Dieu impose de tout tenter, de toute entreprendre pour que soit épargnée une si imminente catastrophe ».



6. Jean-Paul II



Au § 9 de l’exhortation apostolique post-synodale « Ecclesia In Europa » du 28 juin 2003 à la section consacrée à « l'obscurcissement de l'espérance », le Pape Jean-Paul II nous confirme que l’apostasie s’est effectivement généralisée à toute l’Europe :



« À la racine de la perte de l'espérance se trouve la tentative de faire prévaloir une anthropologie sans Dieu et sans le Christ. Cette manière de penser a conduit à considérer l'homme comme « le centre absolu de la réalité, lui faisant occuper faussement la place de Dieu. On oublie alors que ce n'est pas l'homme qui fait Dieu, mais Dieu qui fait l'homme. L'oubli de Dieu a conduit à l'abandon de l'homme », et c'est pourquoi, « dans ce contexte, il n'est pas surprenant que se soient largement développés le nihilisme en philosophie, le relativisme en gnoséologie et en morale, et le pragmatisme, voire un hédonisme cynique, dans la manière d'aborder la vie quotidienne ». La culture européenne donne l'impression d'une « apostasie silencieuse » de la part de l'homme comblé qui vit comme si Dieu n'existait pas.



Dans une telle perspective prennent corps les tentatives, renouvelées tout récemment encore, de présenter la culture européenne en faisant abstraction de l'apport du christianisme qui a marqué son développement historique et sa diffusion universelle. Nous sommes là devant l'apparition d'une nouvelle culture, pour une large part influencée par les médias, dont les caractéristiques et le contenu sont souvent contraires à l'Évangile et à la dignité de la personne humaine. De cette culture fait partie aussi un agnosticisme religieux toujours plus répandu, lié à un relativisme moral et juridique plus profond, qui prend racine dans la perte de la vérité de l'homme comme fondement des droits inaliénables de chacun. Les signes de la disparition de l'espérance se manifestent parfois à travers des formes préoccupantes de ce que l'on peut appeler une « culture de mort ».



On peut noter que le Pape reprendra à nouveau la même référence lors de « l’Angelus » du dimanche 13 juillet 2003 à Castel Gandolfo pour décrire l’actuelle l’apostasie générale



Ainsi, c’était bien en rapport direct avec nos temps actuels, où l’apostasie est malheureusement plus que jamais généralisée, que le Pape Jean-Paul II dans son message donné de Castel Gandolfo, le 25 juillet 2001 aux jeunes du monde à l'occasion de la 17 ième Journée Mondiale de la Jeunesse 2002 à Toronto au Canada, lançait cet appel aux jeunes :



« Pendant longtemps, le sel a aussi été le moyen habituellement utilisé pour conserver les aliments. Comme sel de la terre, vous êtes appelés à conserver la foi que vous avez reçue et à la transmettre intacte aux autres. Avec une force particulière, votre génération est placée devant le défi de maintenir intègre le dépôt de la foi (Cf. 2 Th 2,15; 1 Tm 6,20; 2 Tm 1,14) ».



Il est d’ailleurs fondamental d’observer que les références bibliques données entre parenthèses correspondent bien à l’attitude de vigilance et de persévérance qu’il s’agit d’observer précédant la venue du Seigneur.



7. Benoit XVI



Tout comme son prédecesseur, le Pape Benoit XVI reprendra également dans son discours aux évêques de la conférence épiscopale de Pologne en visite « ad limina apostolorum » le 3 décembre 2005 la référence à l’apostasie, citée précédemment par le Pape Jean-Paul II au § 9 de l’exhortation apostolique post-synodale « Ecclesia In Europa » du 28 juin 2003 dans la section consacrée à « l'obscurcissement de l'espérance ».



Notre Saint Père, reprendra à nouveau beaucoup plus récemment le sujet, dans son discours aux participants au congrès promu par la Commission des épiscopats de la Communauté Européenne (Comece) à la salle clémentine, le samedi 24 mars 2007, qu’il développera en parlant cette fois d’une Europe qui s’ « apostasie d’elle-même », ce qui met en relief l’extrême gravité de la situation :



« […] cela fait apparaître clairement que l'on ne peut pas penser édifier une authentique "maison commune" européenne en négligeant l'identité propre des peuples de notre continent. Il s'agit en effet d'une identité historique, culturelle et morale, avant même d'être géographique, économique ou politique ; une identité constituée par un ensemble de valeurs universelles, que le christianisme a contribué à forger, acquérant ainsi un rôle non seulement historique, mais fondateur à l'égard de l'Europe. Ces valeurs, qui constituent l'âme du continent, doivent demeurer dans l'Europe du troisième millénaire comme un "ferment" de civilisation. Si elles devaient disparaître, comment le "vieux" continent pourrait-il continuer de jouer le rôle de "levain" pour le monde entier ?

Si, à l'occasion du 50 ième anniversaire des Traités de Rome, les gouvernements de l'Union désirent s'"approcher" de leurs citoyens, comment pourraient-ils exclure un élément essentiel de l'identité européenne tel que le christianisme, dans lequel une vaste majorité d'entre eux continue de s'identifier ?



N'est-il pas surprenant que l'Europe d'aujourd'hui, tandis qu'elle vise à se présenter comme une communauté de valeurs, semble toujours plus souvent contester le fait qu'il existe des valeurs universelles et absolues? Cette forme singulière d'"apostasie" d'elle-même, avant même que de Dieu, ne la pousse-t-elle pas à douter de sa propre identité ? De cette façon, on finit par répandre la conviction selon laquelle la "pondération des biens" est l'unique voie pour le discernement moral et que le bien commun est synonyme de compromis. En réalité, si le compromis peut constituer un équilibre légitime d'intérêts particuliers différents, il se transforme en mal commun chaque fois qu'il comporte des accords qui nuisent à la nature de l'homme. Une communauté qui se construit sans respecter la dignité authentique de l'être humain, en oubliant que chaque personne est créée à l'image de Dieu, finit par n'accomplir le bien de personne. Voilà pourquoi il apparaît toujours plus indispensable que l'Europe se garde d'adopter un comportement pragmatique, aujourd'hui largement diffusé, qui justifie systématiquement le compromis sur les valeurs humaines essentielles, comme si celui-ci était l'inévitable acceptation d'un prétendu moindre mal. Ce pragmatisme, présenté comme équilibré et réaliste, au fond ne l'est pas, précisément parce qu'il nie la dimension de valeur et d'idéal qui est inhérente à la nature humaine. De plus, lorsque s'ajoutent à ce pragmatisme des tendances et des courants laïcistes et relativistes, on finit par nier aux chrétiens le droit même d'intervenir en tant que tels dans le débat public ou, tout au moins, on dévalorise leur contribution en les accusant de vouloir sauvegarder des privilèges injustifiés. A l'époque historique actuelle, et face aux nombreux défis qui la caractérisent, l'Union européenne, pour être le garant valide de l'Etat de droit et le promoteur efficace de valeurs universelles, ne peut manquer de reconnaître avec clarté l'existence certaine d'une nature humaine stable et permanente, source de droits communs à toutes les personnes, y compris celles-là mêmes qui les nient. Dans ce contexte, il faut sauvegarder le droit à l'objection de conscience, chaque fois que les droits humains fondamentaux sont violés ».



- extrait de l’homélie prononcée le 5 octobre 2008 au cours de la célébration eucharistique d'inauguration du synode sur la Parole de Dieu, en la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs :



« L'image de la vigne, avec celle des noces, décrit donc le projet divin du salut, et se présente comme une allégorie touchante de l'alliance de Dieu avec son peuple. Dans l'Evangile, Jésus reprend le cantique d'Isaïe, mais l'adapte à ses auditeurs et à la nouvelle heure de l'histoire du salut. L'accent n'est pas tant mis sur la vigne que sur les vignerons, auxquels les «serviteurs» du maître demandent, en son nom, le loyer du terrain. Mais les serviteurs sont maltraités et même tués. Comment ne pas penser aux épreuves du peuple élu et au sort réservé aux prophètes envoyés par Dieu? A la fin, le propriétaire de la vigne fait une dernière tentative: il envoie son propre fils, convaincu que lui, au moins, ils l'écouteront. C'est le contraire qui arrive: les vignerons le tuent justement parce qu'il est le fils, autrement dit l'héritier, convaincus de pouvoir ainsi prendre facilement possession de la vigne. Nous assistons donc à un saut de qualité par rapport à l'accusation de violation de la justice sociale, telle qu'elle émerge du cantique d'Isaïe. Nous voyons clairement ici comment le mépris pour l'ordre donné par le maître se transforme en mépris envers lui: ce n'est pas la simple désobéissance à un précepte divin, c'est le véritable rejet de Dieu: apparaît le mystère de la Croix. Ce que dénonce la page évangélique interpelle notre manière de penser et d'agir. Elle n'évoque pas seulement l'«heure» du Christ, du mystère de la Croix à ce moment-là, mais aussi celui de la présence de la Croix dans tous les temps. Elle interpelle, d'une manière particulière, les peuples qui ont reçu l'annonce de l'Evangile. Si nous regardons l'histoire, nous sommes obligés de noter assez fréquemment la froideur et la rébellion de chrétiens incohérents. Suite à cela, Dieu, même s'il ne manque jamais à sa promesse de salut, a souvent dû recourir au châtiment. On pense spontanément, dans ce contexte, à la première annonce de l'Evangile, de laquelle surgiront des communautés chrétiennes d'abord fleurissantes, qui ont ensuite disparu et ne sont plus rappelées aujourd'hui que dans les livres d'histoire. Ne pourrait-il pas advenir de même à notre époque? Des nations un temps riches de foi et de vocations perdent désormais leur identité propre, sous l'influence délétère et destructive d'une certaine culture moderne. On y trouve celui qui, ayant décidé que « Dieu est mort », se déclare « dieu » lui-même, et se considère le seul artisan de son propre destin, le propriétaire absolu du monde. En se débarrassant de Dieu et en n'attendant pas de Lui son salut, l'homme croit pouvoir faire ce qui lui plaît et se présenter comme seule mesure de lui-même et de sa propre action. Mais, quand l'homme élimine Dieu de son propre horizon, qu'il déclare Dieu « mort », est-il vraiment plus heureux? Devient-il vraiment plus libre? Quand les hommes se proclament propriétaires absolus d'eux-mêmes et uniques maîtres de la création, peuvent-ils vraiment construire une société où règnent la liberté, la justice et la paix? N'arrive-t-il pas plutôt - comme nous le démontre amplement la chronique quotidienne - que s'étendent l'arbitraire du pouvoir, les intérêts égoïstes, l'injustice et l'exploitation, la violence dans chacune de ses expressions? Le point d'arrivée, à la fin, est que l'homme se retrouve plus seul et la société plus divisée et confuse. Mais les paroles de Jésus contiennent une promesse : la vigne ne sera pas détruite. Alors qu'il abandonne à leur destin les vignerons infidèles, le maître ne se détache pas de sa vigne et la confie à d'autres serviteurs fidèles. Ceci indique que, si dans certaines régions la foi s'affaiblit jusqu'à s'éteindre, il y aura toujours d'autres peuples prêts à l'accueillir. C'est justement pour cela que Jésus, alors qu'il cite le Psaume 117 [118]: « La pierre qu'ont rejetée les bâtisseurs est devenue la tête de l'angle » (v.22), assure que sa mort ne sera pas la défaite de Dieu. Une fois tué, Il ne restera pas dans la tombe, au contraire, et celle qui semblait justement être une défaite totale, marquera le début d'une nouvelle victoire. A sa passion douloureuse et à sa mort sur la croix succédera la gloire de sa résurrection. La vigne continuera alors à produire du raisin et sera louée par le maître « à d'autres vignerons, qui lui en livreront les fruits en leur temps » (Mt 21,41). L'image de la vigne, avec ses implications morales, doctrinales et spirituelles, reviendra dans le discours de la Dernière Cène, lorsque, prenant congé des Apôtres, le Seigneur dira: « Je suis la vigne véritable et mon Père est le vigneron. Tout sarment en moi qui ne porte pas de fruit, il l'enlève, et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde, pour qu'il porte encore plus de fruit » (Jn 15,1-2). A partir de l'événement pascal, l'histoire du salut connaîtra donc un tournant décisif, et en seront protagonistes ces « autres vignerons » qui, greffés comme bourgeons choisis sur le Christ, véritable vigne, porteront des fruits abondants de vie éternelle (Cf. Prière lors de la Collecte [lors de la célébration]). Nous faisons partie, nous aussi, de ces « vignerons », greffés au Christ qui veut devenir lui-même la « vraie vigne ». Prions pour que le Seigneur, qui nous donne son sang et qui se donne Lui-même dans l'Eucharistie, nous aide à « porter du fruit » pour la vie éternelle et pour notre temps. Le message réconfortant que nous recueillons de ces textes bibliques est la certitude que le mal et la mort n'ont pas le dernier mot, mais que c'est le Christ qui gagne à la fin. Toujours ! ».

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Message  Invité Sam 31 Juil 2010 - 14:46



8. Saint Thomas d’Aquin



Saint Thomas d’Aquin aborde largement le thème de l’apostasie dans sa Somme Théologique. En voici les principales références :



- Somme théologique I-II, 84,2 :



« L'apostasie est appelée le commencement de l'orgueil, du côté de l'aversion à l'égard de Dieu. Car du fait que l'homme ne veut pas se soumettre à Dieu, il est amené à vouloir démesurément sa propre supériorité dans les choses de ce monde. De sorte que dans ce passage l'apostasie n'est pas prise comme un péché spécial, mais plutôt comme une condition générale de tout péché, celle qui consiste à se détourner du bien impérissable. - On peut encore dire qu'apostasier Dieu est appelé le commencement de l'orgueil, parce que c'en est la forme première. Car le propre de l'orgueil est de ne vouloir se soumettre à aucun supérieur, et principalement de ne pas vouloir se soumettre à Dieu. De là vient que l'homme s'élève indûment au-dessus de lui-même selon toutes les autres espèces d'orgueil. 3. L'homme s'aime lui-même en ce qu'il veut son excellence, car c'est une même chose de s'aimer et de se vouloir du bien. Aussi revient-il au même de supposer au commencement de tout péché l'orgueil, ou l'amour de soi ».



- Somme théologique II-II, 12,1 :



« Réponse » à la question : « L’apostasie se rattache-telle à l’infidélité ? » : « L'apostasie est une certaine façon de s'éloigner de Dieu. Il y a diverses manières de s'éloigner de Dieu, comme il y a diverses manières pour l'homme de s'unir à Dieu. Premièrement, en effet, on est uni à Dieu par la foi ; deuxièmement, par une volonté dûment soumise, pour obéir à ses préceptes ; troisièmement, par des engagements qui sont de surérogation, comme les voeux de religion, la cléricature ou les saints ordres. Or, si l'on ôte ce qui est en second, il reste ce qui est en premier ; mais non pas inversement. Il arrive donc que quelqu'un apostasie loin de Dieu en se retirant de la vie religieuse dont il a fait profession, ou de l'ordre qu'il a reçu : c'est ce qu'on appelle l'apostasie de la vie religieuse ou des saints ordres. Il arrive à quelqu'un d'apostasier loin de Dieu par un esprit d'opposition aux préceptes divins. Lorsqu'il y a ces deux sortes d'apostasie, on peut encore rester uni à Dieu par la foi. Mais, si l'on s'éloigne de la foi, alors il apparaît que l'on s'éloigne tout à fait de Dieu. C'est pourquoi, à parler simplement et absolument, l'apostasie est ce qui fait que quelqu'un s'éloigne de la foi : on l'appelle l'apostasie par incroyance. C'est de cette façon que l'apostasie pure et simple se rattache à l'infidélité ».



9. Bienheureuse Anne-Catherine Emmerick



- extrait du tome 2 de la « Vie de la célèbre mystique », page 414 :



« Je vis l’église des apostats prendre de grands accroissements. Je vis les ténèbres qui en partaient se répandre alentour et je vis beaucoup de gens délaisser l’Eglise légitime et se diriger vers l’autre, disant : « Là tout est plus beau, plus naturel et mieux ordonné ».



- extraits du tome 3 de la « Vie de la célèbre mystique » :



Page 120 :



« Je vis des choses déplorables : on jouait, on buvait, on bavardait, on faisait la cour aux femmes dans l’église, en un mot on y commettait toute sorte d’abomination »



« Les prêtres laissaient tout faire et disaient la messe avec beaucoup d’irrévérence. J’en vis peu qui eussent encore de la piété et jugeassent sainement les choses. Tout cela m’affligea beaucoup. Alors mon Epoux Céleste m’attacha par le milieu du corps, comme lui-même avait été attaché à la colonne et il me dit : « C’est ainsi que l’Eglise sera encore liée, c’est ainsi qu’elle sera étroitement serée avant qu’elle puisse se relever ».



Page 125 :



« Il (mon Epoux céleste) me montra aussi dans des tableaux innombrables la déplorable conduite des chrétiens et des ecclésiastiques, dans des sphères de plus en plus vastes s’étendant à travers le monde entier et où pays était compris. C’était un tableau immense et indiciblement triste qu’il est impossible de décrire. Il me fut aussi montré qu’il n’y a presque plus de chrétiens dans l’ancien sens du mot. Cette vision m’a remplie de tristesse ».



Page 557 :



« Je vis dans l’avenir la religion tombée très bas et se conservant seulement par endroits dans quelques chaumières et dans quelques familles que Dieu a protégées aussi des désastres de la guerre ».



Nous est ici affirmé que la perte de la foi et l’obscurcissement de l’Eglise sont contemporains d’une guerre. Je pense qu’il s’agit d’interpréter ces paroles au sens propre et au sens figuré : cette guerre semble être prédite pour la période finale de la fin des temps, mais embrasse sans aucun doute symboliquement l’ensemble du 20 ièmesiècle avec ses deux guerres mondiales.



Page 104 :



Le 12 septembre 1820 : « Je vis bâtir une église étrange et au rebours de toutes règles. Le chœur était divisé en trois parties, dont chacune était plus haute que l’autre de quelques degrés. Au-dessous était un sombre caveau plein de brouillard ».



Ce brouillard symbolise vraisemblablement les forces occultes de la franc-maçonnerie ecclésiastique qui agissent au sein de cette fausse église anarchique, c’est l’anti-église dont parlait déjà le Cardinal Wojtyla (futur Pape Jean-Paul II) le 9 novembre 1976 (Cf. § 5.1.3) qui singe le véritable Eglise du Christ, comme le texte ci-dessous le fait apparaître plus clairement.



« Sur la première partie je vis traîner un siège, sur la seconde un bassin plein d’eau ; sur la plus élevé était une table. Je ne vis pas d’ange assister à la construction : mais toutes sortes d’esprits planétaires des plus violents traînaient toute sorte d’objets dans le caveau, où des personnages en petits manteaux ecclésiastique les prenaient pour les porter ailleurs. Rien ne venait d’en haut dans cette église : tout y venait de la terre et de région ténébreuse ; tout y était implanté par les esprits planétaires. L’eau seule paraissait avoir quelque chose de sanctifié. Je vis porter dans cette église une énorme quantité d’instruments. Beaucoup de personnes, parmi lesquelles des enfants, se servaient des instruments les plus variés pour faire et produire quelque chose ; mais tout était obscur, à contre-sens et sans vie : il n’y avait que division et ruine. Je vis dans le voisinage une autre église, où régnait la clarté et qui était pourvue de toute espèce de grâces d’en haut. J’y vis les anges monter et descendre, j’y vis de la vie et de l’accroissement, mais aussi de la tiédeur et de la dissipation : pourtant elle était comme un arbre plein de sève en comparaison de l’autre qui ressemblait à un coffre plein d’appareils inanimés. Celle-là était comme un oiseau qui plane, celle-ci comme un dragon de papier avec une queue chargée de rubans et d’écriteaux qui se traîne sur un chaume au lieu de voler. Je vis que beaucoup des instruments qui étaient dans la nouvelle église, comme par exemple des flèches et des dards, n’étaient rassemblés que pour être employés contre l’église vivante. Chacun y traînait quelque chose de différent, des bâtons, des verges, des pompes, des rondins, des poupées, des miroirs. Il y avait des trompettes, des cors, des soufflets ettoute sorte d’objets de forme et de figure diverses. Ils pétrissaient du pain dans le caveau d’en bas (la sacristie) ; mais il n’en résultait rien et on travaillait en pure perte. Je vis aussi les hommes aux petits manteaux porter du bois devant les gradins où se trouvait le siège du prédicateur, allumer du feu, souffler de toutes leurs forces et se donner une peine extrême, mais tout cela ne produisait qu’une fummée et une vapeur abominables. Alors ils firent un trou dans le haut avec un tuyau au-dessus, mais la fumée ne voulait pas monter et tout restait plongé dans une obscurité où l’on étouffait. D’autres soufflaient si fort dans des cors et faisaient tant de bruit que leurs yeux se remplissaient de larmes. Tout restait dans la terre et allait dans la terre, et tout était mort, artificiel et fait de main d’homme : c’est proprement une église de fabrique humaine suivant la dernière mode, aussi bien que la nouvelle église hétérodoxe de Rome, qui est de la même espèce ».



10. Vénérable Conchita Cabrera de Armida



- extrait de l’ouvrage « A ceux que j’aime plus que tout », page 178 :



Notre Seigneur Jésus : « Je veux rendre spirituelles les âmes qui sont englaisées dans la vie matérielle. La foi décline, l’on ne vit plus qu’une vie animale et les âmes oublient qu’elles sont des créatures de Dieu, nées de lui et destinées à lui ».



11. La Très Sainte Vierge Marie aux bergers de La Salette



Du message secret de La Salette, extrait de l’ouvrage « La Vrai Mélanie de la Salette », pages 275 à 277, écrit et daté par Mélanie Calvat à Castellamare, le 21 novembre 1878 :



« Les prêtres, ministres de mon Fils, les prêtres, par leur mauvaise vie, par leurs irrévérences et leur impiété à célébrer les Saints Mystères, par l'amour de l'argent, l'amour de l'honneur et des plaisirs, les prêtres sont devenus des cloaques d'impureté. Oui, les prêtes demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes. Malheur aux prêtres et aux personnes consacrées à Dieu, lesquelles, par leurs infidélités et leur mauvaise vie, crucifient de nouveau mon Fils ! Les péchés des personnes consacrées à Dieu crient vers le Ciel et appellent vengeance, et voilà que la vengeance est à leurs portes, car il ne se trouve plus personne pour implorer miséricorde et pardon pour le peuple ; il n'y a plus d'âmes généreuses, il n'y a plus personne digne d'offrir la Victime sans tache à l'Éternel en faveur du monde. Dieu va frapper d'une manière sans exemple. Malheur aux habitants de la terre ! Dieu va épuiser sa colère, et personne ne pourra se soustraire à tant de maux réunis. Les chefs, les conducteurs du peuple de Dieu ont négligé la prière et la pénitence, et le démon a obscurci leurs intelligences ; ils sont devenus ces étoiles errantes que le vieux diable traînera avec sa queue pour les faire périr. Dieu permettra au vieux serpent de mettre des divisions parmi les régnants, dans toutes les sociétés et dans toutes les familles ; on souffrira des peines physiques et morales : Dieu abandonnera les hommes à eux-mêmes et enverra des châtiments qui se succéderont pendant plus de trente-cinq ans. La société est à la veille des fléaux les plus terribles et des plus grands événements ; on doit s'attendre à être gouverné par une verge de fer et à boire le calice de la colère de Dieu […]. L'Italie sera punie de son ambition en voulant secouer le joug du Seigneur ; aussi, elle sera livrée à la guerre ; le sang coulera de tous les côtés ; les églises seront fermées ou profanées ; les prêtres, les religieux seront chassés ; on les fera mourir, et mourir d'une mort cruelle. Plusieurs abandonneront la foi, et le nombre des prêtres et des religieux qui se sépareront de la vraie religion sera grand ; parmi ces personnes, il se trouvera même des évêques […]. En l'année 1864, Lucifer avec un grand nombre de démons seront détachés de l'Enfer ; ils aboliront la foi peu à peu et même dans les personnes consacrées à Dieu ; ils les aveugleront d'une telle manière, qu'à moins d'une grâce particulière, ces personnes prendront l'esprit de ces mauvais anges ; plusieurs maisons religieuses perdront entièrement la foi et perdront beaucoup d'âmes. Les mauvais livres abonderont sur la terre et les esprits de ténèbres répandront partout un relâchement universel pour tout ce qui regarde le service de Dieu ; ils auront un très grand pouvoir sur la nature ; il y aura des églises pour servir ces esprits. Des personnes seront transportées d'un lieu à un autre par ces esprits mauvais, et même des prêtres, parce qu'ils ne seront pas conduits par le bon esprit de l'Évangile, qui est un esprit d'humilité de charité et de zèle pour la gloire de Dieu […]. Il y aura en tous lieux des prodiges extraordinaires, parce que la vraie foi s'est
éteinte et que la fausse lumière éclaire le monde
. Malheur aux Princes de l'Église, qui ne seront occupé qu'à entasser richesses sur richesses, qu'à sauvegarder leur autorité et à dominer avec orgueil ! […]. Le Vicaire de mon Fils aura beaucoup à souffrir, parce que, pour un temps l'Église sera livrée à de grandes persécutions ; ce sera le temps des ténèbres;
l'Église aura une crise affreuse
. La Sainte Foi de Dieu étant oubliée, chaque individu voudra se guider par lui-même et être supérieur à ses semblables. On abolira les pouvoirs civils et ecclésiastiques, tout ordre et toute justice seront foulés aux pieds ; on ne verra qu'homicides, haine, jalousie, mensonge et discorde, sans amour pour la patrie ni pour la famille. Les gouvernants civils auront tous le même dessein qui sera d'abolir et de faire disparaître tout principe religieux, pour faire place au matérialisme, à l'athéisme, au spiritisme et à toutes sortes de vices. Dans l'année 1865, on verra l'abomination dans les lieux saints ; dans les couvents, les fleurs de l'Église seront putréfiées et le démon se rendra comme le roi des coeurs. Que ceux qui sont à la tête des communautés religieuses se tiennent en garde pour les personnes qu'ils doivent recevoir, parce que le démon usera de toute sa malice pour introduire dans les ordres religieux des personnes adonnées au pêché, car les désordres et l'amour des plaisirs charnels seront répandus par toute la terre ».




12. Notre-Dame de tous les peuples à Amsterdam



L’apostasie, concerne directement la personne du Christ. Elle est donc intrinsèquement liée à la vérité comme nous l’avons vu précédemment par l’exposé du Catéchisme de l’Eglise Catholique, mais également à la perte de l’amour et de la foi, car Dieu est Amour (1 Jn 4,8.16).



De l’ouvrage « Les messages de la Dame de tous les Peuples », par Ida Peerdeman, témoin des apparitions :



- extrait du 8 ième message donné le 25 février 1946, pages 36 et 37 :


La Vérité est introuvable


« Je vois une lumière crue et, en hauteur, la Dame. Elle indique ce qui est en bas et je vois l’Europe. La Dame secoue la tête de gauche à droite. Je vois à ses pieds comme des petits anges ; pendant que je les regarde, ils ramènent d’un coup leurs ailes sur leur visage. Une grande lumière vient alors envelopper la Dame. Plus je regarde la terre, plus celle-ci devient sombre ; du doigt, la Dame attire mon attention là-dessus. Je lève une nouvelle fois les yeux sur elle mais elle me montre la terre d’un air sévère et, là, je vois dans cette obscurité, écrit en grandes lettres, le mot : « Vérité ». Tout à coup, les petits anges sont de nouveau à ses pieds et ils ramènent cette fois encore leurs ailes devant leur visage. La Dame me dit : « Tu dois les mettre en garde. La Vérité est introuvable ». Je me dis en moi-même : comment faire ? La Dame me fait un signe en direction du bas et dit: « Allez et diffusez ! ». Du doigt, elle montre le monde. J’y vois beaucoup de membres du clergé, beaucoup d’églises, mais sans bien les distinguer ».



Vérité, Foi et Amour


« La Dame me dit : « Regarde ». Et elle décrit au-dessus du monde un arc de cercle, une courbe. J’ai l’impression qu’elle y écrit quelque chose et, à haute voix, je lis le mot « Vérité » : celui-ci est au milieu. Elle écrit ensuite à gauche un mot et je lis : « Foi » ; enfin un à droite, et je lis : « Amour ». La Dame m’indique le tout et dit : « Allez et diffusez ! ». Elle m’indique une fois de plus la courbe et dit : « Voilà ce qui doit revenir. En apparence, c’est là, mais en réalité, ça ne l’est pas ». Et dans son regard se lit une terrible tristesse ».



- extrait du 11 ième message donné le 4 janvier 1947, page 42 :


Charité, équité, vérité


« La Dame s’approche d’un pas et dit : « Regarde ! ». Je vois tout à coup un bouquet de clochers de toutes sortes, très rapprochés les uns des autres. La Dame prend alors une courroie de fer. Elle la passe autour des clochers et attache ceux-ci en serrant bien. Nous regardons ensemble. Elle détache alors la courroie et dit trois fois de suite : « En haut ! ».
En disant cela, elle lève les mains à chaque fois un peu plus. Elle se met alors à écrire des mots au-dessus de l’église et je lis à haute voix : « Charité » ; elle place celui-ci en plein milieu, au-dessus des tours. Elle écrit ensuite à droite, mais un peu plus bas : « Équité ». Elle va ensuite vers la gauche et y écrit : « Vérité ». Pendant ce temps, j’entends la Dame qui dit :
« Tout cela, en fait, on ne le trouve toujours pas. Combien de fois ne l’ai-je pas déjà dit ! ». Apitoyée, elle secoue la tête de droite à gauche. Rome réapparaît tout d’un coup. La Dame me montre Rome et me dit : « Je ne les avertirai jamais assez de mettre cela en pratique ».




- extrait du 13 ième message donné le 7 décembre 1947, page 45 :

Équité, charité, justice



« Elle fait alors un geste en direction du haut et dit : « Lis ! ». Je vois alors apparaître des lettres et je lis : « Équité ». Une douleur épouvantable m’envahit la main ; une main lourde comme du plomb. J’entends ensuite la Dame qui dit : « Allons, continue à lire ». Et je vois en grandes lettres : « Charité ». Au-dessus de ces lettres apparaissent plein de glaçons dégoulinants. J’entends alors la voix me dire : « Continue ». Au moment où je m’apprête à lire, j’en suis empêché par des flammes qui s’élèvent autour des lettres. Les flammes s’interrompent un instant et je lis : « Justice ».



- extrait du 16 ième message donné le 7 mai 1949, pages 49 et 50 :



L’obscurité des temps


« Je me trouve alors placée devant une grande porte ; elle s’ouvre et il me faut entrer. Quelqu’un se tient à l’entrée, debout dans un long vêtement. L’idée de faire un pas en avant pour franchir le seuil me soulève le cœur. Je m’aperçois subitement que c’est la Dame. Elle dit : « Fais-le, ce pas ». Nous arrivons alors dans un grand espace circulaire. C’est un espace qui ouvre sur un abîme et une obscurité sans fin. La Dame dit : « C’est une tache obscure. Il faut t’y enfoncer. C’est l’abîme et l’obscurité des temps ».



Les plus petits d’entre les miens


« Soudain, je vois la Dame assise ; elle porte des vêtements de deuil et un crêpe blanc sur la tête. Son visage est marqué par la vieillesse ; elle est toute courbée. Elle dit : « Nous sommes ici dans l’obscurité : c’est la corruption dans l’humanité ». Puis je vois une croix. Le Christ en croix glisse par terre de sorte qu’il n’y a plus rien sur la croix. La Dame dit avec beaucoup de tristesse : « Le martyre recommence ». Je vois de profondes rides et de grosses larmes sur le visage de la Dame. Puis je la suis toujours plus loin dans l’obscurité. Nous continuons à avancer et je ne vois rien que du noir. Je lui demande : « Eh ! Qu’est-ce que c’est ? » Nous arrivons dans une grotte. La Dame m’en fait pour ainsi dire toucher la paroi. C’est de la roche. Tout à coup, il y a là un peu de paille sur laquelle on pose un enfant. Plein de gens se regroupent dans ce lieu, des gens très simples. La Dame dit : « Des gens simples. Les plus petits d’entre les miens. On n’a plus de place pour eux, des foules entières ». La Dame ne cesse de répéter : « Les plus petits d’entre les miens ». Voilà que sous mes yeux, la grotte se transforme en église. Juste après, je vois une rangée d’églises qui s’étend à perte de vue et, de nouveau, cette même église. Comme dans la grotte, il y a de la paille sur laquelle on pose un enfant. Cette fois aussi, ce n’est pas un enfant comme les autres, mais un enfant qui a un rayonnement céleste, un enfant tout spiritualisé. La Dame me fait alors passer par toutes ces églises. Elle me montre, d’un geste, tous les bancs vides, et dit : « Vois-tu l’erreur ? Du vide ». Apparaissent alors sur les bancs plein de petites plaques blanches semblables à celles sur lesquelles on inscrit le nom des gens. La Dame répète : « Vois-tu l’erreur ? ». Elle promène ensuite la main sur toutes ces rangées de bancs ; je vois alors qu’il n’y a plus rien sur les bancs, que toutes les plaques nominatives ont été enlevées. « Les plus petits d’entre les miens », reprend la voix. J’ai alors l’impression que la Dame souhaite que des gens viennent remplir les bancs. Puis je vois un évêque. La Dame dit : « Dis-le ! Dis-le ! ». Et d’un geste, elle montre les églises. Elle dit ensuite : « Le monde doit se détacher de tout, et surtout l’Église ».



- extrait du 19 ième message donné le 3 décembre 1949, page 55 :

L’Allemagne. Le paganisme moderne



« Je vois la Dame debout. Elle dit : « Mon enfant, je t’apporte de nouveau un message pour l’Allemagne. Il faut la sauver ». La Dame m’entraîne alors au-dessus de l’Allemagne. En voyant l’Allemagne, je ressens la situation qui règne là : une terrible régression du pays, du peuple, de la jeunesse et une grande apostasie. La Dame dit : « Que les évêques agissent ! Qu’ils commandent à leurs prêtres d’agir, surtout parmi la jeunesse, contre l’humanisme, le paganisme moderne ». Je vois un grand nombre de croix dressées devant moi. La Dame me montre qu’on place ces croix en différents endroits. Je vois alors, à Berlin, une grande place où se trouve le Reichstag. On dirait que la Dame y plante une grande croix. Elle me dit : « C’est là qu’il faut amener les gens. Il faut tenir la jeunesse à l’écart du paganisme moderne. Qu’ils s’y donnent à fond ! ».



- extrait du 29 ième message donné le 28 mars 1951, page 86 :



Une époque de corruption


« De plus, dis à ton directeur spirituel que la prudence est bonne. Mais le Fils m’envoie auprès de toi pour exécuter ce qu’est sa volonté. N’aie pas peur, mon enfant. En tant que Dame, je me tiens devant la croix et c’est ainsi que je veux être ramenée dans le monde. Et toi, mon enfant, tu es l’instrument, rien que l’instrument. Je t’ai déjà montré auparavant “51 53”. Sais-tu, mon enfant, de quel genre de période il s’agit ? Au cours des siècles, le monde n’est jamais passé par une telle période, un tel déclin de la foi ; c’est pourquoi, je veux qu’on exécute cela, vite et sans peur. Dis-le à ton directeur spirituel, qu’en ces temps modernes, en ce monde moderne, qui sait agir sans délai et si vite quant aux choses matérielles, il convient d’agir de même, vite, sans délai et de façon moderne quant aux choses spirituelles ».



- extrait du 30 ième message donné le 1er avril 1951, page 90 :


Une foi simple


« Toi, mon enfant, tu vas devoir y coopérer sans angoisse ni crainte aucune. Tu vas souffrir dans ton âme et dans ton corps. Ils découvriront plus tard quelles ont été mes intentions. Je te donnerai des instructions quant à la diffusion. Je t’ai amenée ici aujourd’hui, dans le plus grand silence et dans la plus grande paix, afin que tu puisses bien transmettre mon message.
Dis que c’est pressé. Le monde est dans un tel état de corruption, est tellement matérialiste qu’il est grand temps de ramener une foi simple parmi les hommes. La seule chose dont ils ont besoin, c’est la Croix avec le Fils de l’Homme. Vous, les plus âgés de ce monde, enseignez donc à vos enfants à retourner à la Croix ! Je les aiderai en tant que Dame de tous les Peuples. »




- extrait du 31 ième message donné le 15 avril 1951, page 92 :

Le monde en état de corruption



« La Dame me fait voir maintenant le monde. C’est comme si des serpents rampaient sur tout le globe. La Dame dit alors : « Les gens ne comprennent toujours pas à quel point le monde va mal. Ils tombent dans une telle superficialité qu’ils sont incapables de percevoir les dommages qui en résultent pour la foi ». La Dame reste ensuite un long moment à regarder devant elle comme si elle scrutait l’horizon. Puis elle dit : « Mon enfant, c’est un temps pareil à celui qui a précédé la venue du Fils. C’est pourquoi, je ne saurais assez insister pour que les gens, pour que Rome, pour que tous prennent part à la lutte pour la cause du Fils. Je sais bien que, çà et là, il y a une reprise mais ça ne saurait suffire pour sauver le monde. Et il faut que le monde soit sauvé de la corruption, des calamités et de la guerre. Envoie cette prière avec l’image dans les pays où la foi est en déclin ».



- extrait du 32 ième message donné le 29 avril 1951, pages 93 à 95 :

Ce temps, c’est notre temps



« J’ai dit : ce temps, c’est notre temps. J’entends par là ce qui suit. Le monde est en état de corruption et vit dans la superficialité ; il ne sait pas vers quoi aller. C’est pourquoi le Père m’envoie pour être Avocate afin que vienne l’Esprit Saint. Car ce n’est pas la violence qui sauvera le monde ; c’est l’Esprit qui sauvera le monde. Car le monde n’est gouverné par rien d’autre que par des idées. Eh bien ! Église de Rome, sois consciente de ton devoir. Apporte tes idées, apporte de nouveau le Christ ! ».



La gravité des temps


« Puis la Dame me dit en s’avançant encore plus : « Tu me vois maintenant distinctement, bien distinctement. C’est ainsi que l’image viendra sur le monde. Mon enfant, insiste donc pour que ces choses s’accomplissent ! Non, ils ne doivent pas hésiter ; ils doivent agir. Les temps sont bien trop graves. Personne n’en mesure la gravité. Je veux venir aussi parmi les peuples qui sont tenus loin du Fils. Sauve donc ceux qu’on empêche d’y accéder. C’est ton devoir. Le monde est dans un état de corruption tel qu’il était nécessaire que le Père et le Fils m’envoient en ce monde parmi tous les peuples pour, en tant qu’Avocate, venir et sauver. Dis-le aux théologiens ». Je vois alors la Dame disparaître et je l’entends dire de nouveau : « Ce temps, c’est notre temps ».



- extrait du 35 ième message donné le 15 août 1951 (Assomption), page 100 :


N’hésite pas


« J’ai dit : des calamités se produiront, des catastrophes naturelles. J’ai dit : les plus grands ne s’entendront pas. J’ai dit : le monde tombe dans la corruption. C’est pourquoi, à présent, le Père et le Fils envoie de nouveau dans le monde la Dame, telle qu’elle était. La Dame, connue par le passé comme Marie. Le monde tombe dans la corruption, est en état de corruption. Les Pays-Bas sont au bord de la corruption ; c’est pourquoi, j’y ai posé le pied. C’est à partir des Pays-Bas que je veux répandre mes paroles sur le monde. J’ai l’autre pied posé sur l’Allemagne. Die Mutter Gottes weint über die Kinder Deutschlands. (Cette phrase est en allemand dans le texte : « La Sainte Vierge pleure sur les enfants d’Allemagne »). Ils ont toujours été mes enfants ; c’est pourquoi, je veux, à partir de l’Allemagne aussi, être amenée dans le monde en tant que Dame de tous les Peuples. Je t’aiderai ainsi que tous ceux qui sont chargés de cela. Je tiens même à ce que la diffusion pénètre dans les pays coupés des autres. La Dame de tous les Peuples donnera là aussi sa bénédiction. Occupe-t’en, n’hésite pas, car je n’ai moi-même jamais hésité. J’ai précédé le Fils vers la croix. Cette image va précéder le dogme. Cette image va être portée dans le monde. Sais-tu bien, Rome, à quel point tout est miné ? Des années vont s’écouler ; on va laisser passer des années. Mais plus il y aura d’années, moins il y aura de foi ; autant d’années, autant de défections. Voici la Dame de tous les Peuples qui dit : je veux les aider et il m’est donné de les aider. »



- extrait du 47 ième message donné le 11 octobre 1953, page 135 :


Corruption, calamités et guerre


« Je vois la Dame debout. Elle dit : « Marie, la Dame de tous les Peuples, est envoyée aujourd’hui pour mettre en garde une fois de plus le monde, l’Église de Rome et tous les peuples contre la corruption, les calamités et la guerre. Le monde vit dans la corruption. Il y aura d’autres calamités. Les peuples vivent encore en guerre ».

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Message  Invité Sam 31 Juil 2010 - 14:52



13. Notre-Dame du Très Saint Rosaire à Kérizinen



De l’ouvrage « Kérizinen, messages du Christ et de la Sainte Vierge, 1938-1965 », par Jeanne-Louise Ramonet, témoin des apparitions :



- intégralité du message de la 15 ième apparition donné le 27 décembre 1947, (dans l’octave de Noël), pages 27 et 28 :



« Pourquoi chez toi ce doute, cette inquiétude ? Que crains-tu ? Continue de croire fermement en moi. Ne t'ai-je pas prévenue que bien des difficultés t'attendaient à cause de mes apparitions, mais ne suis-Je pas avec toi (1) ? O France que J'aime entre toutes nations (2), ô France que Je voudrais sauver (3), pourquoi restes-tu sourde à mes appels ?
Préfères-tu voir tes champs, tes terres devenir un vrai champ de bataille, piétinés par des adversaires ne laissant derrière eux que cadavres et sol rougi ? Préfères-tu voir tes villes détruites, anéanties, englouties
(4) ? O France, ta vie est en danger ! Ton salut, Je ne le puis sans toi. Je trouve bien de ces âmes ardentes qui prient et se sanctifient selon mes demandes et mes désirs. Avec elles, Je puis encore espérer ton salut, mais tes fautes sont si graves, tes péchés si lourds, surtout tes péchés contre la pureté, qu'il faut que tous prient, prient toujours sans se lasser. Et vous, Chrétiens, debout! Car il s'en trouve parmi vous de ces apostats, qui, par leur propagande mensongère, arrivent à conquérir, bien des âmes. Pour éloigner cette apostasie, qui d'ailleurs n'aura qu'un temps et sera vaincue par le Règne triomphant de mon Fils, Je vous recommande, une fois de plus, le chapelet, le Rosaire. C'est une arme terrible pour l'ennemi de vos âmes. Celui qui s'en servira sortira vainqueur, car Je serai son soutien et sa force. Et toi, parle à ton Directeur, porte-lui mon message (5). Dis-lui que c'est une Mère qui lui parle, une Mère qui cherche et veut le bien de ses enfants. Qu'il remette à son évêque tout ce qui me concerne en ce lieu, que l'on fasse aller les choses selon mes demandes et Je vous montrerai ma puissance car c'est avec largesse que Je laisserai tomber mes grâces sur cette terre que Je me suis choisie. Tandis que l'apostasie s'étend dans le monde, là-bas, en Russie, il y a des retours au christianisme, il y a des conversions (6) ».



Notes de l’éditeur :



(1) : « Depuis 2 mois (5 octobre 1947) les villages alentour savent que Jeanne-Louise voit la Sainte Vierge. Inévitablement, de nombreuses contradictions naissent; cette difficulté nouvelle vient s'ajouter aux refus réitérés du clergé paroissial ».

(2) : « Allusion au titre de "Fille aînée de l'Eglise" que la France porte depuis 496, date à laquelle Clovis fut baptisé. Le Pape Anastase Il écrivit au premier Roi Franc sa joie immense que Dieu ait envoyé enfin à l'Eglise un pays protecteur et, par sa voix, l'Eglise s'écria :"Voilà ma Fille aînée" (chanoine Cerf, "Reims Chrétien" 15 novembre 1895) ».

(3) : « En décembre 1947, la France est au bord de la guerre civile. Partout il ya des scènes d'émeutes, les sections communistes passent à l'action. C'est alors que la Très Sainte Vierge apparaît en Indre-et- Loire, à l'île Bouchard, du 8 au 14 décembre 1947. "Mes enfants ,dit-elle aux quatre petites filles, il faut beaucoup prier pour la France, car, ces jours-ci, elle est en grand danger." Treize jours plus tard, Notre-Dame nous fait comprendre à Kérizinen, que la victoire obtenue à l'Ile Bouchard n'est qu'un sursis, et qu'il faut continuer de beaucoup prier pour la France ».

(4) : « Paris sera brûlé et Marseille engloutie; plusieurs grandes villes seront ébranlées et englouties par des tremblements de terre" (Apparition de Notre-Dame à la Salette, 19 septembre 1846, extrait du "Secret", publié en 1879) ».

(5) : « Conformément à la demande de la Très Sainte Vierge, Jeanne-Louise écrit une seconde fois à l'abbé B..., elle ne reçut pas de réponse ».

(6) : « Toujours plus nombreux sont les jeunes entre vingt et trente ans provenant des familles athées qui se convertissent au christianisme (...). D'après une enquête officielle dans la région de Moscou, environ 40% des habitants font baptiser leurs enfants. Mais il faut rajouter à ce nombre, de nombreux baptêmes clandestins (environ 40%). "Le nombre des candidats aux séminaires ne cesse de croitre (...) Déjà sans doute s'accomplit la promesse de Marie à Fatima "La Russie se convertira". (cité dans "Notre-Dame des temps nouveaux", mars/avril 1977) ».



- intégralité du message de la 16 ième apparition donné le 7 février 1948, (premier samedi du mois), page 29 :



La Très Sainte Vierge Marie : « Dans la tourmente qui approche, ma protection s'en ira à ceux qui, en Moi, croiront ».



Jeanne-Louise : « Qu'est-ce qu'un apostat? » (1).



La Très Sainte Vierge Marie : « Un apostat, c'est tout chrétien qui renonce au Christ. Parle à ton Directeur, même s'il te repousse insiste une dernière fois auprès de lui, car Je ne puis croire qu'il laisse passer mes grâces sans en tirer profit. Sa dévotion fut toujours si tendre envers moi que je veux lui confier cette délicate tâche qu'est une cause d'apparitions et c'est pour lui faciliter la tâche que Je le veux à la tête de cette paroisse, comme Je te l'ai indiqué dernièrement. Qu'il remette donc, sans tarder, à son Evêque tout ce qui Me concerne en ce lieu (2). Voilà le troisième endroit en vingt ans que vers vous, ici en Bretagne, Je descends les mains pleines de grâces, ne demandant qu'à les répandre. Je souffre de l'indifférence qu'à mon égard l'on garde ».



Notes de l’éditeur :



(1) « Ici, Jeanne-Louise demande à la Très Sainte Vierge le sens de "apostat", mot peu usité, que Notre-Dame avait employé lors de l'apparition précédente. Il est à noter d'ailleurs que certains mots peu courants ou incompris de Jeanne-Louise figurent phonétiquement dans ses cahiers. D'autre part, sa langue maternelle étant le breton, la langue française lui était donc moins familière ».

(2) : « Une dernière fois Jeanne-Louise écrira à l'abbé B mais elle ne recevra aucune réponse. Plus tard, ce prêtre demanda à revenir dans une paroisse voisine, étant originaire de la région, mais sa requête fut repoussée ».



- extrait du message de la 42 ième apparition donné le 13 octobre 1958, page 77 :



La Très Sainte Vierge Marie : « Le Monde n'a pas voulu écouter ma voix, ni celle de mon Fils, ni comprendre nos avertissements et nos larmes. C'est pourquoi vous voyez la main de Dieu qui frappe les hommes des plus terribles châtiments. C'est qu'à aucune époque de l'Histoire on n'a vu une pareille levée de boucliers contre Dieu; jamais aucune génération n'a rompu plus absolument tout pacte avec le Ciel. On semble adresser très résolument à Dieu cette audacieuse parole: "Va-t-en !" Mais sachez-le, rien ne se fait de grand et de solide si on ne donne à Dieu la place qui Lui revient de droit. L'origine de vos malheurs est donc le refus de reconnaître à Dieu sa souveraineté. Voyez ces nations abandonnées de Dieu, prêtes à s'entr'égorger par des guerres d'extermination, à se ruer les unes contre les autres et à couvrir le Monde de sang et de ruines. Mais Dieu est revenu à main armée, frappant et purifiant, répandant sur le Monde la coupe de Sa Colère, et le Monde devra boire jusqu'à la lie cette coupe à cause des crimes sans nombre qui offensent le Dieu Trinitaire. Je recrie donc aux pécheurs: Pénitence! Et aux justes: Patience et Confiance! Oh! Aimez la volonté de Dieu, aimez autant sa Justice que sa Miséricorde, car tout en Lui est adorable. Paix, confiance, abandon filial à la Providence, car tous ces malheurs sauveront un grand nombre d'âmes. Dieu ne bouleverserait-il pas le Monde entier pour le salut d'une seule âme ? N'a-t-Il pas créé chaque homme pour sa Gloire ? […] ».



- extrait du message de la 43 ième apparition donné le 28 avril 1959, pages 79 et 80 :



La Très Sainte Vierge Marie : « […] La France aura beau déployer ses forces et exploiter ses richesses, si l'essentiel lui manque, à savoir Dieu lui-même, tout ce qu'elle pourra entreprendre sera de nouveau compromis. Elle ne sera justifiée dans ses espoirs les plus légitimes que si elle retrouve sa vocation de nation chrétienne. A cause même des attentions divines dont elle a été et dont elle est toujours l'objet, elle est plus qu'aucune nation coupable d'apostasie. Qu'elle fasse donc de nouveau confiance à Dieu qui lui a tant de fois donné des marques de sa protection […] ».



- extrait du message de la 46 ième apparition donné le 1 er octobre 1960 (premier samedi du mois), pages 88 et 89 :



La Très Sainte Vierge Marie : « De tout mon Cœur affligé par les péchés des hommes, Je lance un appel à la prière et au sacrifice à toutes les âmes de bonne volonté, pour le salut de cette pauvre Humanité qui, éblouie par le démon, perd sa foi, oublie Dieu et s'enfonce de plus en plus dans le vice et le péché, et s'attire ainsi les plus graves châtiments.
Le siècle des lumières est devenu, en effet, celui des ténèbres. Que ne ferait-on pas pour obscurcir les intelligences! Les hommes abusent de la science pour surprendre la foi des simples qui croient en Dieu. Ils ne supportent plus la saine doctrine et détournent l'ouïe de la vérité pour se tourner vers des fables. Ils amassent autour d'eux des maîtres qui introduisent des sectes de perdition (1) en reniant Dieu qui les a rachetés, mais ils s'attireront une prompte perdition.
Beaucoup verront leurs dérèglements, car, par eux la voie de la Vérité est blasphémée. Gardez-vous bien de leurs entretiens pervers, mais restez des enfants de Lumière. Avec la prière, votre foi demeurera inébranlable au milieu de tous les pièges que le démon et les méchants vous tendent. Récitez surtout très souvent le Rosaire, prière par excellence, car, par ses mystères, elle renferme toute la doctrine que l'Eglise vous enseigne. Unissez aussi vos actes de charité et vos souffrances à vos prières, et offrez-les pour tant d'âmes qui sont dans la souffrance et les ténèbres et attendent un rayon de lumière, alors que personne ne pense à elles. Pour les soulager, Je dois offrir les prières des bonnes âmes. Quelle joie et quelle consolation quand Je peux aller à mon Fils les mains pleines de vos bonnes actions ! Pour hâter le Règne d'Amour de nos deux Cœurs, J'insiste, selon le désir de mon Fils, pour que le Monde soit consacré à nos deux Cœurs unis et si meurtris. Cette consécration serait comme un baume sur les plaies du Monde et une clarté qui dissiperait toutes les ténèbres qui l'environnent et l'aiderait à sortir du bourbier où il s'est enfoncé ».



Jeanne-Louise : « Beaucoup de familles éprouvées par les sinistres ont été consolées d'apprendre par votre dernier message que beaucoup d'âmes frappées dans les catastrophes étaient sauvées, mais sans doute peu d'âmes vont droit au Ciel ? ».



Le Christ : « Oublies-tu le prix de mon Sang ? Outre les souffrances qui le plus souvent accompagnent la mort, qui est déjà elle-même une expiation du péché, la grâce de mes Sacrements et ma Miséricorde achèvent la justification de l'âme et l'ornent comme une épouse prête à paraître devant son céleste Epoux ».



(1) Note de l’éditeur : « Car un temps viendra où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine, mais au contraire, au gré de leurs passions et l'oreille les démangeant, ils se donneront des maîtres en quantité et détourneront l'oreille de la vérité pour se tourner vers les fables » (2 Tm 4,3-4).



14. La Vierge des douleurs à l’Escorial



- De l’ouvrage « Apparitions et messages à l’Escorial 1980-1983 » :



- extrait du message donné le 15 janvier 1982, page 77 :



« Que l'on abandonne le péché, que l'on croie en Moi, que l'on fasse pénitence, que l'on garde Ma doctrine, que l'on se détourne de toutes ces fausses doctrines, de ces faux pasteurs qui prêchent une doctrine contraire à la Mienne et à celle de Mes premiers Apôtres. Qu'ils ne fassent pas cas, le temps approche; tous ceux qui répandent ces doctrines sont dans l'erreur, qu'ils soient humbles et reviennent à Moi; car Moi, Je suis venu sur la terre avec Ma croix pour les sauver tous. Qu'ils fassent cas de Moi car ils ne veulent pas entendre l'observance parfaite de la pauvreté évangélique ».



De l’ouvrage « L’Escorial, Messages 1992-1998 » :



- extrait du message donné le 6 février 1993, page 73 :



« […] La majeure partie des hommes ont reniés leur foi et apostasié ; ils se disent catholiques de nom, ma fille, mais ils ne connaissent pas l’enseignement religieux ; les hommes ne connaissent pas Dieu ».



15. Notre Seigneur Jésus à Mgr Ottavio Michelini



De l’ouvrage « Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles » :



- extrait du message donné le 8 octobre 1975, § 60 « Rigueur de la divine Justice », page 120 :



« Le refus de Dieu n’a jamais été aussi universel ».



- extrait du message donné le 26 août 1975, § 87 « Amis et corédempteurs », page 175 :



« L’insensibilité de beaucoup de mes ministres devant le scandale du refus de Dieu, devant le scandale de l’apostasie généralisée, la passivité avec laquelle ils assistent à la perdition de tant d’âmes, sont vraiment une déchirante blessure à mon Cœur miséricordieux ».



- extrait du message donné le 5 janvier 1978, § 103 « Déficience quasi-totale de Directeurs spirituels », pages 214 :



« La conception matérialiste qui a plongé mon Eglise dans une obscurité profonde, jamais vue auparavant, cette crise de la foi qui a éloigné de Dieu non seulement les chrétiens mais aussi d’autres peuples infidèles, ne peut être guérie que par le retour à la foi […]. Je n’ai pas besoin de prêtres savants. Je n’ai pas besoin de théologiens présomptueux, mais j’ai besoin de prêtres sages et saints qui aient pleine conscience de leur grandeur sacerdodale et de leurs pouvoirs sacerdotaux […]. Qu’on le veuille ou non, c’est là ce que Je veux ; et la purification en cours fera, elle, ce que l’inconscience de mes consacrés n’a pas su ou voulu faire ».



- intégralité du message donné le 15 novembre 1978, § 104 « Chaos dans la doctrine, dans la morale dans la liturgie », pages 214 à 216 :



« Je déjà dû te parler de chaos et c’est vraiment le cas de parler de chaos dans la doctrine, dans le morale et dans la liturgie. On a prétendu tout changer, mais tout changer dans un sens qui va contre le Concile, car telle est la substance des faits. Il va de soi que tu connais bien la signification du mot « substantia »... la « substance » réside sous les accidents et donc ne se voit pas, seuls les accidents se voient. De même, tout aussi bien cachée doit rester l'intention d'agir en opposition avec le Concile, bien manifeste par contre doit figurer la volonté de tout réformer en conformité avec le Concile, de sorte que toute l'œuvre de régénération spirituelle chaudement voulue et recommandée par le Concile, est devenue action de dissolution du grand patrimoine de la Révélation et de la Rédemption toute entière. Voici donc pourquoi s'affirment sous les plus insidieux prétextes un très grand nombre d'erreurs théologiques, dogmatiques et morales, par lesquelles on a attaqué substantiellement la Bible, au point qu’il suffirait d'accepter seulement quelques-unes des si nombreuses hérésies affirmées pour faire tomber toute la crédibilité de la Bible elle-même, et, une fois la Bible frappée mortellement, logiquement l'Évangile non plus ne se maintiendrait pas avec tout son contenu. Chaos doctrinal donc, et non éclaircissements ou découvertes de nouvelles présentations des vérités bibliques ou théologiques. Mais ici, il ne faudrait pas un simple message, mais plutôt un grand traité pour mieux expliquer le nombre et la substance de toutes les erreurs et de toutes les hérésies sorties de la bouche de beaucoup de théologiens contemporains. La Vérité et la Justice prévaudront sur le mensonge et l'hypocrisie. Chaos doctrinal poussé au paroxysme, au nom de la liberté de pensée et de mot, comme si la liberté était une chose dont on puisse se servir sans discrimination aucune, pour bien comme pour le mal, pour la Vérité comme pour l'erreur. Dans mon Église nouvelle cet abus de la liberté devra cesser. Ce n'était pas contraindre la liberté que d’interdire la diffusion des hérésies tendant à entraîner les âmes loin du plan et du mystère du salut. Non, c’était seulement contenir dans son juste usage le don de la liberté, ainsi qu’il n'est pas un mal de prohiber et punir sévèrement ceux qui au nom de la liberté voulaient répandre des bactéries porteuses de mort. Les hérésies n’apportent-elles pas la mort aux âmes, dont la vie est beaucoup plus précieuse que la vie des corps ? Quand les hommes se décideront-ils finalement à ouvrir leur cœur et leur esprit au bien et à la vérité et prendront-ils conscience de humiliant condition dans laquelle ils vivent ? Ils parlent de liberté et sont liés, coeur, âme et corps à plus féroce des tyrannies, celle de Satan. Dans Mon Église nouvelle devront être rétablies les mesures disciplinaires pour qui abuse de la liberté, don de Dieu, dans le but de jeter l'homme dans l’humiliante et avilissante servitude des puissances du Mal. Beaucoup en lisant ce message sur l'exemple des Prêtres du Temple, déchireront leurs vêtements et, scandalisés, crieront au blasphème ; mais peu importe, ce qui compte vraiment, c’est que la Vérité et la Justice prévalent sur le mensonge et l'hypocrisie. Pour beaucoup de mes ministres il n'y a plus de péché ! Mon fils, chaos, oh oui chaos dans la Loi de mon Église, de sorte qu’aujourd'hui pour beaucoup de mes Ministres, il n'y a plus péché ; donner la vie ou l'enlever est la même chose ! Beaucoup de mes Ministres communisants, lecteurs assidus et appliqués des périodiques et des journaux marxistes, pensent réellement ainsi, et même quelques Évêque le pense ainsi. Pour ceux-là est licite même la légalisation du massacre de millions d'innocents... Cela crie vengeance devant Dieu, et peut-être changeront-ils d’idée lorsqu’ils perdront eux-mêmes la vie, mais il sera trop tard pour eux de comprendre ce que vaut la vie d'une créature humaine. Mon fils, chaos, et comment ! Même des Évêques ont fait bon accueil à la plus infâme parmi toutes lois humaines, dans laquelle on a confondu l'amour charnel avec l'amour commandé par Dieu en tant que suprême Loi contenant toute la Loi ancienne et nouvelle, avilissant ce grand Commandement par les plus répugnantes concessions sur le terrain moral, en aménageant le licite et l’illicite, le bien et mal à l’encontre de la clarté et de la limpidité de mes Commandements et Préceptes. Si ce n'est pas là un chaos, qu'est-ce qu’on devra appeler chaos ? Fils, Je vois que tu es fatigué, nous reprendrons demain, maintenant Je te bénis ».



- extrait du message donné le 2 janvier 1977, § 114 « Cherchez et vous trouverez ! », page 235 :



« A cause de cette coupable inconscience et obscurité, s’est introduite dans mon Eglise une terrible crise de foi et de morale qui fait que des erreurs et des hérésies se répandent en si grand nombre qu’on en trouve pas d’équivalent dans le passé ».



16. La Très Sainte Vierge Marie à Don Stefano Gobbi



Du recueil « Aux prêtres, les fils de prédilection de la Vierge » :



- extrait du message n ° 384 « La grande apostasie » donné le 11 juin 1988, page 539 et 540 :



« […] b) L’heure de la grande apostasie est venue.

Est en train de se réaliser ce qui a été prédit par la divine Ecriture dans la seconde lettre de Saint Paul aux Thessaloniciens.

c) Satan, mon Adversaire, a réussi, par sa ruse et ses séductions sournoises, à répandre partout les erreurs, sous la forme d’interprétations nouvelles et de meilleures mises à jour de la vérité ; il a réussi à en conduire beaucoup à choisir délibérément de vivre dans le péché, dans la conviction fallacieuse que ce n’est plus un mal, au contraire, même une valeur et un bien.

d) Les temps de la confusion générale et du grand trouble des esprits sont venus. La confusion est entrée dans les âmes et dans la vie de tant de mes fils.

e) Cette grande apostasie se répand de plus en plus, aussi au sein même de l’Eglise catholique.

Les erreurs sont enseignées et diffusées alors qu’avec tant de facilité, sont niées les vérités fondamentales de la foi, que le Magistère authentique de l’Eglise a toujours enseignées et défendues énergiquement contre toute déviation hérétique.

f) Les Evêques gardent un silence étrange et ne réagissent plus.

Quand mon Pape parle avec courage et réaffirme avec force les vérités de la foi catholique, on refuse de l’écouter ; bien plus, on le critique publiquement et l’on se moque de lui.

Il existe une tactique subtile et diabolique, tramée secrètement par la franc-maçonnerie, qui est employée aujourd’hui vis-à-vis du Saint-Père pour tourner en ridicule sa personne et son action et pour rendre vain son Magistère.

g) Victimes de la grande apostasie sont mes fils qui, quelquefois inconsciemment, se laisse entraîner par cette marée d’erreurs et de mal.

h) Victimes de la grande apostasie sont beaucoup d’Evêques, de prêtres de religieux et de fidèles.

i) En ces temps demeurera dans l’Eglise catholique un petit reste, qui sera fidèle au Christ, à l’Evangile, à toute sa vérité. Ce petit reste formera un petit troupeau, tout gardé au plus profond de mon Cœur Immaculé.

Ce petit troupeau sera formés de ces Evêques, Prêtres, religieux et fidèles qui resteront fortement unis au Pape, tous rassemblés dans le Cénacle de mon Cœur Immaculé, en acte de prière incessante d’immolation continuelle, d’offrande totale, pour préparer la voie douloureuse à la seconde et glorieuse venue de mon Fils Jésus.



- intégralité du message n ° 420 « Quand le Fils de l’homme reviendra » donné le 13 mars 1990, pages 608 et 609 :



a) « Vous lisez dans l’Evangile : Quand le Fils de l’homme reviendra, trouvera-t-il encore la foi sur la terre ?



b) Je veux vous inviter aujourd’hui à méditer sur ces paroles prononcées par mon Fils Jésus.

Ce sont des paroles graves, qui font réfléchir et qui peuvent vous faire comprendre les temps que vous vivez.

Avant toutes choses, vous pouvez vous demander pourquoi Jésus les a prononcées. Pour vous préparer à sa seconde venue et vous décrire une circonstance qui sera un signe de la proximité de son glorieux retour.

c) Cette circonstance est la perte de la foi.

d) Aussi dans un autre passage de la Divine Ecriture, dans la lettre de Saint Paul aux Thessaloniciens, est clairement annoncé qu’avant le retour glorieux du Christ, aura lieu une grande apostasie.

La perte de la foi est une véritable apostasie.

La diffusion de l’apostasie est donc le signe qui indique qu’est proche maintenant la seconde venue du Christ.

e) A Fatima, Je vous ai prédit que viendrait un temps où se perdrait la vraie foi : le voilà ce temps.

Vos jours sont marqués par cette situation douloureuse et significative, qui vous a été prédite dans la divine Ecriture : la vraie foi est en train de disparaître dans un nombre de plus en plus grand de mes fils.

f) Les causes de la perte de la foi sont :

1. La diffusion des erreurs qui sont propagées et souvent enseignées par des professeurs de théologie dans les séminaires et les écoles catholiques et qui acquièrent ainsi un certain caractère de véracité et de légitimité.

2. La révolte ouverte et publique contre le Magistère authentique de l’Eglise, surtout celui du pape, qui a reçu du Christ la tâche de maintenir toute l’Eglise dans la vérité de la foi catholique.

3. Le mauvais exemple donné par ces Pasteurs qui se sont laissés entièrement posséder par l’esprit du monde et qui deviennent propagateurs des idéologies politiques et sociales, au lieu d’être des annonciateurs du Christ et de Son Evangile, oubliant ainsi le mandat reçu de Lui : « Allez dans le monde entier et prêchez l’Evangile à toute créature ».

g) Ainsi en ce temps qui est le vôtre, l’apostasie de la part de tant de mes pauvres enfants se répand de plus en plus.

h) Quand le Fils de l’homme reviendra…

i) Si son retour est proche, mon action maternelle se fait alors plus soucieuse et forte pour aider tous mes enfants à rester toujours dans la vérité de la foi.

Voilà pourquoi Je vous ai demandé de vous consacrer à Mon Cœur Immaculé.

Voilà pourquoi, en votre temps, j’ai répandu partout mon Mouvement Sacerdotal Marial ; pour former le petit troupeau, rassemblé dans la prière des Cénacles et veillant dans l’attente : le troupeau que Je rassemble et forme pour toujours garder la vraie foi.

j) Ainsi, lorsque le Fils de l’homme reviendra, Il trouvera encore la foi sur la terre en tous ceux qui se seront consacrés à Moi, se laissent rassembler dans le jardin céleste de mon Cœur Immaculé ».



- extrait du message n ° 476 « Votre fidélité sacerdotale » donné le 8 septembre 1992, page 703 :



« e) […] Restez dans la foi véritable et aidez le petit reste à demeurer solide dans la sûreté de la foi en ces temps d’universelle apostasie ».



- extrait du message n ° 485 « La fin des temps » donné le 31 décembre 1992, page 723 :



« d) [C’est] la diffusion des erreurs, qui mènent à la perte de la foi et à l’apostasie.

Ces erreurs sont propagées par de faux maîtres, par des théologiens célèbres qui n’enseignent plus la vérité de l’Evangile, mais de pernicieuses hérésies, basées sur des raisonnements erronés et humains.

C’est à cause de l’enseignement de ces erreurs que se perd la vrai foi et que se répand partout la grande apostasie.

« Soyez vigilants et ne vous laissez pas tromper. Parce que beaucoup chercheront à tromper beaucoup de gens. De faux prophètes se lèveront et tromperont un très grand nombre »

(Cf. Mt 24,5-9).

« Le jour du seigneur ne viendra pas avant que coure la grande apostasie » (2 Th 2,3).

« Viendront à vous de faux maîtres. Ils chercheront à répandre des hérésies destructrices et ils se dresseront même contre le Seigneur qui les a sauvés. Beaucoup les écouteront et vivront, comme eux, une vie immorale. Par leur faute, la foi chrétienne sera méprisée. Par le désir des richesses, ils vous embrouilleront par des raisonnements scabreux » (Cf. 2 P 2,1-3).





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Message  Invité Sam 31 Juil 2010 - 14:56



17. Notre Seigneur Jésus et la Très Sainte Vierge Marie à Vassula Ryden



Dans les écrits de Vassula Ryden, le thème de l’apostasie est omniprésent. Ceux présentés au cours de cette section présentent l’avantage d’aborder tous les thèmes directement concernés par l’apostasie ainsi que ceux qui lui sont connexes. C’est la raison pour laquelle, je les développerai particulièrement, l’ensemble formant une synthèse sur le sujet.



De l’ouvrage « Mon Ange Daniel », retraçant les débuts de la Vrai Vie en Dieu :



- extrait du message donné le 10 novembre 1986, cahier 3, page 99 :



Jésus : « Libérez-vous des chaînes du mal. Les flammes du démon ne font que croître, se rapprochant de vous. Ah ! Je suis affligé et Je gémis de douleur de vous voir gisant indifférents, misérables. Vous n'êtes pas conscients de ce qui est en train d'arriver à vos âmes ! Je suis Saint, vivez saintement. N'écoutez pas ces apostats qui errent toujours dans l'obscurité, vous disant que Ma Parole est pour les anciens. Apprenez que votre âme continue à vivre, aussi, ne vous faites pas vous-mêmes du mal en restant endormis ».



De l’œuvre de la « Vrai Vie en Dieu » :



- extrait du message donné le 13 janvier 1988, cahier 20, pages 71 et 72 du tome 2 :



Vassula Ryden : « Seigneur, beaucoup T'accusent d'être injuste. Alors ils se détournent de Toi en disant : " S'il y a un Dieu, en supposant qu'il y ait un Dieu, Il est injuste " ».



Jésus : « Fleur, à ceux-là Je dis : "si vous mourez, c'est à cause du mal que vous avez commis sur vous-mêmes, c'est le fruit de votre apostasie. Repentez-vous, renoncez à vos péchés, revenez à Moi et Je vous pardonnerai".



Voyez-Moi comme votre Rédempteur, votre Consolateur. Je viens briller comme une Lumière en ce monde obscur d'aujourd'hui. Ma Maison règne dans la confusion, dans les débats, dans l'intérêt personnel, dans l'impiété ».



- extrait du message donné le 29 mars 1988, cahier 23, pages 119 du tome 2 :



Vassula Ryden : « Jésus, ô Jésus, que doit-on répondre aux ministres de l’Eglise qui se moquent du mot "apparition" ! Nous (1) sommes impuissantes et ignorantes face à des affirmations du genre : "Les apparitions ? Cherchez la Foi, mais pas dans les apparitions !" Cela a été dit à ma compagne Béatrice par un prêtre catholique. Elle ne pouvait rien dire et je n'aurais pas pu faire mieux. Seigneur, nous sommes impuissantes ! »



Jésus : « Ma fleur, Je t'assure que Je suis la Vérité et que Ma Parole est La Vérité, mais beaucoup d’entre les Miens ont oublié Mes Paroles. Le coeur endurci, ils cherchent dans les ténèbres. Il est écrit (2) que Je répandrai Mon Esprit sur toute chair et que Mes enfants prophétiseront de nouveau. Je donnerai des songes et des visions à beaucoup d’entres eux, J’en donnerai même au plus petit, Je vous donnerai l'espérance et vous encouragerai en montrant des prodiges dans les Cieux et sur la terre. Ce sont Mes Signes d'aujourd'hui ! J'ai dit que de la bouche des petits enfants, vous entendrez la Vérité ! A ceux qui condamnent Mes Oeuvres Divines d'aujourd'hui, Je vous dis ceci : Votre apostasie vous condamne ! Vous tous qui ne croyez pas et qui avez fait de Mon Jardin un désert, venez à Moi et repentez-vous ! ».



Notes :



(1) : « Vassula et son amie Béatrice ».

(2) : « Jl 3,1-3 ; Ac 2,17-19 ».



- extrait du message donné le 9 avril 1988 (Samedi Saint), cahier 23, pages 128 et 129 du tome 2 :



Jésus : « Combien Je souffre de voir sur le chemin de la perdition tant de Mes âmes sacerdotales ! Je Suis le Verbe, le Saint des Saints, le Dieu Eternel, l'Emmanuel, et votre Sauveur que vous avez transpercé il y a de nombreuses années et que vous n'avez jamais cessé de transpercer de part en part. Pourquoi ? Quelle différence y a-t-il entre maintenant et les jours d'antan, lorsque J'étais en chair et cloué sur la Croix ? Je suis continuellement transpercé par votre bigoterie, votre arrogance, votre apostasie et votre refus d'entendre. Vous n'avez pas cessé de demeurer léthargiques envers Mes Signes, Mes Miracles, Mes Oeuvres Divines. Aujourd'hui, comme hier, vous vous moquez de Moi. Je suis raillé par vous ; vous à qui J'ai confié des millions d'âmes, vous Me recrucifiez, vous Me clouez à nouveau sur le Bois par votre apathie ».



- extrait du message donné le 29 juin 1988, cahier 25, page 170 du du tome 2 :



Jésus : « Je t'aime, Ma Vassula de Mon Sacré Coeur. Nous partageons tout. Vassula, réalise que tu partages Ma Croix, tu partages Ma Passion ; ô Vassula ! Mon Sang jaillit de Mon Corps en rivières ; Je suis recrucifié par les Miens, par l'apostasie dans le sanctuaire même de Mon Eglise, par des cardinaux, par des évêques et par des prêtres. Mes plus proches amis Me trahissent. J'ai été abandonné par beaucoup, J'ai été flagellé par beaucoup, J'ai été transpercé par Mes amis les plus intimes. Je souffre et J'endure une seconde Passion ».



- extrait du message donné le 3 juillet 1988, cahier 25, pages 171 et 172 du tome 2 :



Jésus : « Je vous ai donné des avertissements, Je vous ai donné des signes pour que vous demeuriez vigilants, mais vous les rejetez. Vous n'êtes pas disposés à reconnaître la Fin des Temps ; quoi que Je fasse pour essayer de vous en avertir, votre incrédulité en Moi est totale. Mon Avertissement sera comme une Purge pour vous convertir, et cela sera fait dans un élan de grande pitié. Hélas pour toi, Création ! Hélas pour vous, incrédules qui allez intensifier votre incroyance et vous tourner même plus encore contre Moi. Votre esprit enveloppé par l'obscurité sera emporté, comme dans un courant, par l'Obscurité elle-même. Création ! Comme J'ai pitié de toi ! Comme Je souffre de vous voir perdus à jamais ! Mes enfants en qui J'ai mis Mon Souffle, vous élevant à la vie, vous consacrant avant que vous soyez nés, retournez à Moi ! Mon Coeur Se lacère de voir combien nombreux vont être attirés par ce courant dans une obscurité totale et une damnation éternelle ! Création, bien que vos péchés soient rouges écarlates, Je suis tout aussi désireux de vous pardonner. Venez, venez à Moi, retournez à Moi votre Père. Je vous accueillerai et vous traiterai mille fois plus affectueusement que le "père du fils prodigue". Retournez à Moi avant que Ma Coupe déborde. Revenez avant que Ma Justice souffle sur vous, provoquant sur vous d'innombrables boursouflures, vous desséchant, ainsi que tout être vivant autour de vous. Vous voudrez respirer, mais vous n'inhalerez qu'un vent brûlant qui vous brûlera intérieurement et vous laissera telle une torche vivante !



Création, comprenez combien cette Heure est devenue imminente, car aujourd'hui vous voyez encore les arbres en fleurs, mais demain il n'en restera plus un seul. Vous allez être recouverts par la fumée de Satan, un voile mortel. Oh ! Comprenez donc que ces désastres et calamités sont attirés sur vous par vos mauvaises actions, par votre apostasie et par votre rébellion contre Moi ! Repentez-vous maintenant qu'il en est encore temps, convertissez-vous maintenant ! Je suis prêt à vous pardonner ».



- extrait du message donné le 15 août 1988 (Fête de l’Assomption), cahier 26, page 190 du tome 2 :



Jésus : « Prie pour ces âmes qui ont besoin d'être sauvées ; prie-Moi, car Mon Nom est Celui-Qui-Sauve. Les heures fuient, les jours de la rétribution ont commencé, les jours des représailles sont là. L'iniquité de cette génération est si grande et l'apostasie si grave, que Nos deux Coeurs ont été transpercés de part en part par leurs injustices et leurs offenses flagrantes. Je vous supplie de revenir à Moi et de vous tourner vers Moi, et Je vous pardonnerai ! Tenez vous fermement à l'Amour et Je vous comblerai de Bénédictions. Soyez justes les uns envers les autres, et gentils les uns envers les autres, aimez-vous les uns les autres, devenez enfants de Ma Lumière. Comprenez que si tant de catastrophes sont attirées sur vous, elles sont attirées par le mal qui s'est accumulé dans votre âme. Revenez à Moi et que Mon Sang vous purifie ».



- extrait du message donné le 16 août 1988, cahier 27, page 193 du tome 2 :



Jésus : « Je suis. Ne doute jamais. C'est Moi Jésus-Christ. Je t'ai appelée depuis Ma Croix ; Je t'ai appelée, dans Mon agonie, pour te montrer comme Moi qui suis la Tête de Mon Eglise, Je Me trouve aujourd'hui. L'Image (1) de Moi gisant mort dans les bras de Ma Mère est un moyen symbolique de vous montrer à tous combien votre apostasie a trahi Mon Eglise ».



Note de l’éditeur (1) : « Sainte Marie tenant dans Ses bras Jésus après la Crucifixion, en l'église San Silvestro, à Rome ».



- extrait du message donné le 13 mai 1989, chaier 33, page 81 du tome 3 :



Vassula Ryden : « Seigneur, par Ta Grâce et par pitié, Tu nous donnes à tous ces Messages. Des foules auraient pu les lire et se convertir, mais ce n'est pas le cas. Tes Messages sont combattus et maintes fois ignorés par les Tiens-mêmes ».



Jésus : « Ceci, Ma fleur, est la grande apostasie dans Mon Eglise. Mon Eglise est pleine de Caïns, s'intronisant eux-mêmes dans Mon Sanctuaire. Ils font plus attention aux formalités qu'à Mes enseignements d'Amour. Je leur ai confié des millions d'âmes à mener à Moi avec amour, mais ils ont emporté la clef de la connaissance et ils n'y entrent pas ni ne laissent y entrer ceux qui le voudraient ».


- extrait du message donné le 9 juillet 1989, cahier 34, pages 105 et 106 du tome 3 :


Jésus : « Seulement par égard pour ceux qui M'aiment et qui s'immolent pour Moi, Je réduirai Mon Feu. Par égard pour vous, Mes bien-aimés, Ma Main ne tombera pas aussi durement qu'il vous a été dit. La culpabilité de votre ère est toujours grande et ses péchés innombrables, son iniquité si grave que vos arbres portent à peine quelque fruit. Etes-vous surpris de ne pas voir de grappes sur les vignes ? Aucun fruit sur les arbres fruitiers ? Et plus aucune feuille verte ? Etes-vous surpris qu'ils ne fleurissent plus ni n'exhalent aucun parfum ? C'est parce que Mes ennemis ont empoisonné Mes sources qui arrosent Mon Jardin pour assécher le peu de fruit qui y restait. Je les ai vus extirper fleur après fleur ; perfides et vicieux comme des vipères, ils viennent la nuit dans Mon Sanctuaire, étalant sans crainte leurs ignobles penchants. La complicité de ces mauvais hommes est telle que pas un ne renonce à sa scélératesse ».



Vassula Ryden : « Mais, Seigneur, ils devraient savoir que Tu les observes ! ».



Jésus : « Ce sont des rebelles, se rebellant contre Ma Loi ; ce sont eux dont les Ecritures disent : " ils pansent sans égards les plaies de Mon peuple ; `paix, paix´, disent-ils, mais il n'y a aucune paix ; ils sont sans vergogne et sans amour, ils sont sans coeur ". Mais par Mon souffle, Je renverserai d'un coup ces rebelles. Je renverserai tous ces Caïns qui se sont eux-mêmes intronisés sur des hauts sièges de Mensonge. A quoi Me servent leurs trônes ? Je les ai avertis, et plus Je les avertissais, plus ils refusaient d'entendre, de peur qu'ils se tournent vers Moi et soient convertis. Ces Caïns ont persisté dans l'apostasie durant plusieurs décennies, ne démordant pas de leur scélératesse ; ils s'accrochent aux illusions et au mensonge ; ils piétinent Mes dévots et ceux qui restent fidèles à Mon Pierre. Oui, ils ridiculisent tous ceux qui croient encore en lui. Ces Caïns nuisent à Mon Eglise au point qu'ils ont transformé Mes Yeux en une Fontaine de Larmes, pleurant jour et nuit... ».



- extrait du message donné le 28 juillet 1989, cahier 35, page 114 du tome 3 :



Jésus : « Je-Suis-Celui-Qui-Sauve, Je suis votre Rédempteur, Je suis la Sainte Trinité, tout en Un. Je suis l'Esprit de Grâce et quoique votre génération se nomme elle-même Sans-Père, Je suis prêt à pardonner, à oublier et à accueillir de nouveau tous ceux qui ont apostasié. Mon Saint Esprit de Grâce est prêt à vous élever et à vous renouveler. Pourquoi continuer à réduire vos terres en déserts ? N'êtes-vous pas fatigués d'avoir à vivre dans la désolation ? Retournez à Moi, soyez l'un de ceux qui ont cherché Mes Puits et qui les ont trouvés. Je vous renouvellerai avec Ma Perfection, avec Ma Beauté, avec Ma Gloire. J'entends vous élever dans la perfection afin que votre âme vive ».



- extrait du message donné le 10 octobre 1989, cahier 37, pages 172 et 173 du tome 3 :



Jésus : « Augmentez vos prières et vivez saintement. Soyez saints car Je suis Saint. Si Ma Maison gît en ruine aujourd'hui et que l'athéisme règne en tant de coeurs, c'est parce que votre génération Me refuse une place dans son coeur. Je reviens pour ne trouver ni amour, ni foi, ni espérance. Ma Maison gît en ruine, réduite en décombres par le Rationalisme, la Désobéissance et la Vanité. Mes glorieux pâturages du passé sont maintenant stériles à cause de la Grande Apostasie qui a pénétré dans Mon Sanctuaire. L'Obéissance manque […]. Tout ce que Je demande de ces bergers qui tournent le dos à Pierre, c'est de courber la nuque et de reconnaître leur Erreur. Je veux qu'ils parviennent au lieu de repos que J'ai pour eux. Je ne veux pas qu'ils tombent comme des étoiles, l'un après l'autre. Si seulement ils écoutaient ce que l'Esprit leur dit aujourd'hui, Je ne leur rappellerai pas leur apostasie ni les Plaies que Je reçois d'eux. Priez pour ces prêtres. Mon amour pour eux est Grand mais grand aussi est le chagrin qu'ils Me donnent aujourd'hui. Priez pour qu'ils puissent se courber et se laver les pieds les uns aux autres avec humilité et amour ».



- extrait du message donné le 22 janvier 1990, cahier 40, page 246 du tome 3 :


Jésus : « Ne sais-tu pas que depuis le commencement des temps, depuis que l'homme fut mis sur terre, une chambre au Ciel a été préparée pour toi ? Ta Demeure est au Ciel, avec Moi, à Mes côtés. Que cette chambre soit remplie de ta présence. Ne Me chagrine pas de voir ta chambre vide pour l'Eternité... Retourne à Moi, cesse d'errer sans but dans ce désert, cherche-Moi, Mon enfant. Cesse de faire le mal, apprends à pardonner, apprends à faire le bien. Sois confiant en Moi, ton Dieu, apprends à aimer tes ennemis, fais la paix avec Moi. Je te dis solennellement que si la terre est aujourd'hui recouverte de désastres, c'est le fruit de son apostasie ».



- extrait du message donné le 10 avril 1990, cahier 41, pages 272 et 273 du tome 3 :


Jésus : « Génération, génération... souillée au-delà des mots... impure au-delà de toute description, ta culpabilité te tue. Ta perversité, génération, et ton infidélité ont transpercé toute l'Eternité, laissant tremblantes les colonnes du Ciel. Tes iniquités ont dépourvu ton esprit de toute sagesse. Si tu savais combien Mes anges tremblent de voir ce qui t'attend... Terre, qui seras couverte de ton propre sang par ton apostasie ! Terre, qui te déchireras sous les yeux-mêmes de Mes anges ! Si vous compreniez tous la secousse qui doit venir, vous ne perdriez pas votre souffle en paroles vides et en impiété comme c'est maintenant le cas ».



- extrait du message donné le 12 mai 1990, cahier 42, page 291 du tome 3 :


Jésus : « Si votre ère n'a pas réussi à apprécier Mon grand Amour et a souillé Mon Saint Nom, c'est à cause de la grande apostasie qui a pénétré au coeur-même de Mon Sanctuaire. Génération, aujourd'hui Mon Esprit de Grâce vient t'aider plus généreusement que jamais auparavant. Vous voyez ? Je suis en train d'élever en chaque coin de la terre, de nouveaux autels pour sanctifier vos pays et vous sanctifier tous. C'est par Grâce que J'entends vous ressusciter, et faire de vous de vivants autels portant Ma Flamme, car en vous vivra Mon Esprit de Sainteté, un Esprit unique, subtil, pur et sans souillure ».



- extrait du message donné le 6 juillet 1990, cahier 43, pages 312 et 313 du tome 3 :



Jésus : « Et Moi Jésus Je vous dis : prenez courage, petits coeurs, Je suis avec vous. Je veillerai à ce que Mon Nom soit gardé Saint, alors même que Mes ennemis ont introduit cette grande apostasie dans Mon Eglise et une désastreuse abomination au coeur de Mon Sanctuaire, et tiennent toujours bon, à cause de leur orgueil.



Je vous dis en vérité que Ma Demeure sera rebâtie sur Ses Briques primitives.



Le Jour est proche où Je fondrai sur ces sages et détruirai leur prétendue sagesse et leur hostilité envers Ma Divinité. Je les arracherai jusqu'aux racines, pour qu'ils ne puissent plus jamais repousser. Ils ont apostasié de Moi, oui, ils ont accoutumé leurs pas à suivre l'Apostasie, et ont, comme guide et compagnon de route, le Rationalisme, l'Arme pour combattre Ma Divinité […].

Aujourd'hui, le démon est comme une bête sauvage qui est blessée, devenant ainsi plus dangereux, mais n'ayez pas peur, vous qui M'aimez, Je vous accorderai la sécurité après laquelle vous soupirez. Mais hélas pour ceux qui ont souillé Mon Sanctuaire en introduisant une grande apostasie dans Mon Eglise ! Le soufre et le feu pleuvront sur eux ! ».



- extrait du message donné entre le 5 et le 29 août 1990, cahier 45, pages 13 et 14 du tome 4 :


Jésus : « Infusez Ma Grâce Divine dans vos âmes alors qu'il en est encore temps ; repentez-vous pendant qu'il en est encore temps ; revenez à Moi pendant qu'il en est encore temps. Au péché, n'amoncelez pas votre péché.



Malheur à ces âmes obstinées qui ferment leurs oreilles à ces derniers avertissements. Que ferez-vous à Mon Retour ? Je suis réputé être Fidèle et Véridique (Ap 19,11) et Je vous le dis : la Justice prévaudra.



Ne sois pas abasourdie, Mon enfant, ne reste pas stupéfaite devant ce que Je viens de te donner à écrire, car cela a été prédit qu'en vos jours, Mon Eglise serait trahie, par l'un qui était des Miens-mêmes, exactement comme Judas, et que Son apostasie viendrait du dedans d'Elle, que Je serais trahi par ceux qui ont partagé Mes Repas, qui avaient des liens avec Moi, qui buvaient et mangeaient avec Moi ».



- extrait du message donné le 25 septembre 1990, cahier 46, page 34 du tome 4 :


La Très Sainte Vierge Marie : « Jésus a été la Pierre, rejetée par les bâtisseurs, qui est devenue la Clef de Voûte. Je vous dis en vérité que le Royaume de Dieu est parmi vous et que Son Saint Esprit de Grâce souffle maintenant avec douceur sur vos nations pour vous ressusciter. Aussi, venez voir les Noces du Saint Esprit qui épousera vos pays. Ne rejetez pas l'Esprit Saint qui est si manifestement déversé sur vous. Ne soyez pas comme les " bâtisseurs " qui ont rejeté la pierre qui est devenue la pierre angulaire. Dieu veut que chacun soit sauvé et voici maintenant Mon avertissement solennel à tous ceux qui entendent les prophéties de ce livre : n'étouffez pas l'Esprit, l'Esprit qui maintenant souffle sur vous au milieu et à l'apogée de votre apostasie. Ne dites pas plus tard, au Jour du Jugement : " je n'ai jamais entendu, je n'ai pas su ". Jésus et Moi sommes en train de vous révéler les choses à l'avance, avant qu'elles arrivent, afin que vous ne puissiez pas dire, lorsque vous rencontrerez Dieu face à face : " je l'ignorais... ".



...La citadelle des orgueilleux tombera...et les démons seront extirpés de ses entrailles.



Soyez bénis. Soyez bénis de M'avoir écoutée.



Je suis votre Maman Bien-Aimée, la Théotokos qui vous aime tous ».


- extrait du message donné le 20 octobre 1990, cahier 47, page 49 du tome 4 :



Jésus : « Vassula, Je vais te rappeler la parabole du festin de noces (Mt 22,1-14). Ma fille, beaucoup sont appelés, mais peu sont choisis. Croire est une grâce donnée par Moi. Avoir la foi est aussi une grâce donnée par Moi. Ce sont les Temps de la Grâce et de la Miséricorde. Ce sont les Temps durant lesquels Mon Saint Esprit est déversé sur vous. Ce sont les Temps où Mon Saint Esprit vous tirera hors de votre grande apostasie, pour vous épouser. La misère de votre ère s'écaillera de vous. Car de Mes Propres Mains, Je déferai votre linceul de mort pour vous revêtir des vêtements de nos noces ».



- extrait du message donné le 19 décembre 1990, cahier 48, pages 74 et 75 du tome 4 :


Jésus : « Mon petit troupeau, lorsque de loin vous verrez votre Berger revenant du désert, sachez que J'aurai avec Moi le reste de Mes agneaux, et toutes les choses que Je t'ai faites à toi, Ma fille, Je les ferai aussi à tes frères. Je vous sauverai. Je vous unirai à vos autres frères et la Sagesse sera votre Saint Compagnon pour vous instruire sans cesse. Bientôt, Je lèverai l'anathème (1) et votre grande apostasie prendra fin. Et la prière que Je vous ai donnée sera accomplie. Ma Volonté sera faite sur la terre comme elle l'est au Ciel […] ».



(1) Note de Vassula Ryden : « C'est-à-dire abandonné par le Ciel ».



- extrait du message donné le 18 mars 1991, cahier 50, page121 du tome 4 :


La Très Sainte Vierge Marie : « Très chers enfants, Jésus fut humble même jusqu'à accepter la mort. Ne soyez jamais celui qui dit : " j'ai tout, je sais tout et je n'ai pas besoin des conseils de quiconque ". Restez pauvres, soyez pauvres afin que dans votre pauvreté, Dieu puisse régner en vous et être Roi. Ne permettez à aucune vanité de vous vaincre. Mes prières sont pour que votre sainteté augmente en Celui Qui vous a créés et que votre amour les uns pour les autres s'accroisse et déborde pour purifier ce monde de sa méchanceté et de son apostasie ».



- extrait du message donné le 20 mars 1991, cahier 50, pages 123 et 124 du tome 4 :


« Ah ! Création ! Je suis Loyal et Doux. Laisse-Moi libre, ô création et avec l'affection la plus aimante Je comblerai ton esprit de la divinité de Mon Esprit. Laisse-Moi libre d'annihiler ta léthargie qui t'a conduite dans cette grande apostasie et à la ruine de ton âme. Permettez-Moi de vous emplir de Mon Feu pour que vous deveniez Mes loyaux et fervents serviteurs. Laissez-Moi vous transformer pour faire de vous le délice de Mon Ame. Je-Suis-Qui-Je-Suis est avec vous. Sois béni et aie Ma Paix, toi qui Me lis ».

- extraits du message donné le 8 avril 1991, cahier 50, pages 128 et 129 du tome 4 :

« Loué soit le Seigneur pour avoir ouvert des routes afin que Ton peuple y marche et vienne à Toi remplir Ta Maison, car bien que Tu aies envoyé Ton Fils dans le monde et que le monde ait vu clairement la Lumière, ils n'ont pas tous accepté la Lumière mais ont préféré l'obscurité, tombant dans l'apostasie. Le monde a apostasié parce qu'ils ont refusé la Vérité et préféré vivre dans un Mensonge. Oui, Seigneur, Tu aimes tant le monde qu'aujourd'hui, en dépit de notre méchanceté, Tu nous envoies sans réserve Ton Saint Esprit pour nous ranimer et raviver le monde, renouvelant chaque créature afin que chacun voie Ta Gloire, croie et soit ainsi converti [...]. Loué soit le Seigneur et Gloire au Très-Haut pour nous avoir envoyé, dans notre grande apostasie, notre Sainte Mère dont Tu as Toi-même uni dans l'amour le Coeur à Celui de Jésus, Coeurs qui ont souffert ensemble. Et c'est à nouveau ensemble que les Deux Sacrés-Cœurs (1) nous renouvelleront et nous ramèneront à la Vie et en Toi. Les brebis perdues seront retrouvées ; aux agneaux errants, il sera rappelé quel est leur vrai bercail et Qui est leur Vrai Berger, ce Berger qui jamais ne déserte Son troupeau ni n'abandonne les égarés, mais guérit les blessés et soutient les épuisés ».



(1) Note du traducteur : « Il est remarquable que parmi les trente nouveaux cardinaux créés par le Pape Jean-Paul II le 26 novembre 1994, le cardinal Julius Riyadi Darmaatmadja, archevêque de Semarang (depuis le 6 avril 1996, archevêque métropolitain de Jakarta), a été revêtu du titre du Sacré Coeur de Marie (L'Osservatore Romano du 29 novembre 1994). De même, le 14 avril 2002, le Pape Jean-Paul II a béatifié le père Gaetano Errico (1791-1860), prêtre italien fondateur de la congrégation des Missionnaires des Sacrés Coeurs de Jésus et de Marie (L'Osservatore Romano du 16 avril 2002 »).



- extrait du message donné le 6 mai 1991, cahier 51, pages 142 et 143 du tome 4 :


« J'ai compté Mes brebis et Mon Coeur est accablé de chagrin : seul un reste subsiste aujourd'hui, qui n'a pas été razzié par l'Apostasie ; seule une poignée n'a pas perdu sa foi ; seuls quelques-uns restent qui ont survécu aux périls du rationalisme. [...] L'Apostasie a défié Ma Miséricorde, et le Rationalisme, ce fléau de votre ère, a défié Ma Puissance ».



- extraits du message donné le 27 juin 1991, cahier 52, pages 165 à 169 du tome 4 :



« Il a été dit qu'avant Mon Grand Retour, des signes vous seraient donnés. Vous devez observer ces signes qui préludent à Mon Jour de Gloire. En lisant attentivement les Ecritures, on peut découvrir toutes ces vérités. Comment se fait-il que vos esprits ne soient pas ouverts à comprendre les Ecritures ? Venez maintenant et comparez. Maintenant écoute-Moi, Mon enfant : ta génération est prospère dans sa rébellion. Comme ils ont apostasié ! Pour Ma part, J'ai multiplié Mes appels, Mes avertissements ; Je vous ai fait signe jour après jour, J'ai multiplié Mes Bénédictions. Mais Je n'ai obtenu aucune réponse. J'ai dit : " en trouverai-Je un seul lorsque Je viendrai ? " Pourquoi aucun ne répond-il lorsque J'ai appelé ? Mais au lieu d'une réponse à Ma supplication, vous M'avez tourné le dos. Tout ce que J'entends est : " à qui croit-Il que Son Message est destiné ? " Comme ils se rebellent et comme ils blasphèment Ma Divinité ! Mais nul ne peut retarder le Temps Fixé, ni l'Heure ; Ils feront irruption sur eux, aussi soudainement qu'un coup de tonnerre [...]. Celui que les Ecritures appellent Rebelle et qui est défini comme la désastreuse abomination est l'un des deux signes précédant la fin des Temps. L'autre signe est votre grande apostasie. [...] Votre détresse, le soleil qui s'est obscurci et la lune qui a perdu sa clarté en votre ère, vous conduisant à apostasier dans votre obscurité, bientôt tout cela sera fini.



Moi le Seigneur Je vais continuer à briller sur toi, création, et Je répandrai Ma Lumière sur toute la face de cette terre. Votre détresse, le soleil qui s'est obscurci et la lune qui a perdu sa clarté (1) en votre ère, vous conduisant à apostasier dans votre obscurité, bientôt tout cela sera fini ».



(1) : Cf. Mt 24,29.



- extrait du message donné le 16 juillet 1991, cahier 52, page 174 du tome 4 :



« Ma fille, Moi le Très-Haut, J'avais prévu la trahison de Mon Eglise et les supplices que subirait Mon Corps. Aujourd'hui, le soleil ne vous donne pas la lumière du jour, pas plus que la lune ne brille sur vous (1) ; Satan a recouvert la terre entière de sa fumée ; vous avez apostasié... Mon Sacrifice Perpétuel, vous en avez fait un sujet de moquerie, une imitation ne valant rien, une désastreuse abomination. Vous conciliez la Vérité avec le Mensonge, vous êtes coupables de blasphème... Ma Sainte Présence dans Mon Tabernacle vous dérange, aussi vous avez établi votre propre loi, M'expulsant hors de Mon Trône (2). M'avez-vous demandé Mon consentement avant de le faire ? Mais ce sont les signes des Temps : votre grande apostasie et l'Esprit de Rébellion, qui est l'Antéchrist de vos jours et l'abomination de la désolation ».



Notes de Vassula Ryden :



(1) : « Allusion à Mt 24,29 ».

(2) : « Jésus désigne par là la nouvelle mode consistant à placer le Saint Tabernacle soit de côté, dans un coin de l'église, ou caché derrière, dans un réduit, hors de la vue des fidèles, dans un isolement complet, sous prétexte que Dieu S'y trouve en sécurité ».



- extrait du message donné le 29 octobre 1991, cahier 56, page 28 et 29 du supplément 2 :


« Je reviendrai (1) et ils trembleront. Ils trembleront lorsqu'ils réaliseront Qui ils rejetaient durant tout ce temps : ils ont renié Mon Esprit et se sont laissés guider par leur propre esprit ; ils reniaient Ma Lumière pour la leur ; ils ont renié Ma Connaissance Céleste donnée par la Sagesse, pour une philosophie médiocre et pour leur propre connaissance rationnelle. Ils ont apostasié. Puisqu'ils ont rejeté Mon Esprit, Ma Lumière et Ma Connaissance, Je leur retirerai Mon Royaume et Je Le donnerai à un peuple capable d'en produire les fruits. Alors, J'accueillerai ces gens comme les Miens et Je leur demanderai de venir avec Moi pour tenir maison avec Moi ».



Note de Vassula Ryden :



(1) : « Ce sera la seconde Pentecôte : l'effusion de l'Esprit (Joël 3) ».



- extrait du message donné le 17 juin 1992, cahier 60, page 33 du supplément 3 :



« Moi le Seigneur, Je vais multiplier les visions chez vos jeunes gens et beaucoup, beaucoup plus de vos fils et filles prophétiseront, plus que maintenant. Je vais rattraper les années de votre aridité qui vous ont conduit à apostasier. Sans réserve, Je vais envoyer Mon Esprit envahir Mes domaines et de Mon Doigt, Je rebâtirai Mes autels brisés. Et Mes vignes, aux feuilles flétries, ressemblant maintenant à un jardin sans eau, Je vais venir les irriguer de Mon Esprit ; J'enlèverai les épines et les ronces qui les étouffent et Mes vignes donneront leur fruit ».



- extrait du message donné le 7 juillet 1992, cahier 60, page 37 du supplément 3 :


« Vous devez Me croire lorsque Je dis que, dans la grande apostasie de votre génération, Mon Saint Esprit est persécuté comme jamais auparavant ; Il est devenu la pierre d'achoppement de votre ère. J'ai dit, Mon petit enfant, qu'ils t'expulseront de la Maison du Père et te condamneront en pensant qu'ils Me rendent un saint service ! ».



- extrait du message donné le 20 juillet 1992, cahier 60, pages 43 et 44 du supplément 3 :



« Alors, Je dirai à Mes anges (1) : " L'heure est venue de trier et d'extirper tous ceux qui ne sont pas les Miens ; de séparer de ceux qui M'ont reconnu, tous ceux qui n'ont pas voulu se soumettre à Ma Loi ; de séparer de ceux qui ont accueilli Mon Saint Esprit et qui Lui ont permis d'être leur Guide et leur Torche, tous ceux qui se sont rebellés dans leur apostasie contre Moi (2) ; de séparer de ceux qui sur le front sont marqués du Sceau de l'Agneau, tous ceux portant le nom de la bête ou le nombre 666 ». "



Notes de Vassula Ryden :



(1) : « Allusion à la parabole de l'ivraie (Mt 13,24-30) »



(2) : « Ce passage confirme la prophétie de St Paul sur les deux signes précurseurs de la fin des temps (2 Th 2,1-12) : l'apostasie et l'impie (l'esprit de rébellion) ».



- extrait du message donné le 21 juillet 1992, cahier 61, pages 47 et 48 du supplément 3 :



« A partir d'aujourd'hui, prêtres, évêques et cardinaux commenceront à ouvrir leurs oreilles et à entendre Ma Voix. Ils commenceront à écouter et, par une pluie de grâces déversées sur eux, venant de Mon Infinie Miséricorde, ils commenceront à comprendre ; et les écailles de leurs yeux, encroûtées par la poussière de l'Apostasie, tomberont et, à nouveau, ils commenceront à voir les Splendeurs de Mon Saint Esprit. Ils percevront les Insondables Richesses de Mon Sacré Coeur, ces Richesses réservées pour votre temps. [...] Tu vas continuer à témoigner et à être Mon Echo auprès de cette génération apostate, qui est sur le point de s'effondrer ».



- extrait du message donné le 19 février 1993, cahier 64, pages 63 et 64 du supplément 4 :



« Je vous ai parlé de l'Apostasie, l'Apostasie qui a lié les mains de Mes meilleurs amis, les désarmant par sa rapidité et par son ampleur. N'ai-Je pas dit que les cardinaux s'opposeront aux cardinaux et comment les évêques s'attaqueront aux évêques et que nombreux sont ceux qui sont sur le chemin de la perdition ? En leurs batailles incessantes, ils ont affaibli Mon Eglise. Aujourd'hui, cet esprit de rébellion se développe à l'intérieur de Mon Saint Lieu (1). Te rappelles-tu la vision que Je t'avais donnée des vipères rampant tout autour du Saint-Sacrement et sur l'Autel ? Ne t'ai-Je pas révélé combien d'entre-eux s'opposent à Mon pape et comme ils le repoussent de côté ? Je t'ai déjà donné un exposé détaillé (2) de la Rébellion à l'intérieur de Mon Eglise ».



Notes de Vassula Ryden :



(1) : « Cf Mt 24.15 ».

(2) : « Messages des 12 septembre 1990 (cahier 45), 2 juin 1991 (cahier 51), 6 et 27 juin 1991 (cahier 52), 16 juillet 1991 (cahier 52) ».


- extrait du message donné le 27 mai 1993, cahier 66, page 60 du supplément 5 :



« Je t'ai désignée pour être Mon écho, aussi, va proclamer ce que tu as entendu ; dis-leur que vous vivez tous sous la Grande Apostasie prédite. Dis à Mes bergers d'ouvrir leurs yeux et leurs oreilles à Mes appels angoissés, car bientôt, ils seront forcés de manger et de boire du venin ».



- extrait du message donné le 28 mai 1993, cahier 66, page 63 du supplément 5 :


« Si Je Me manifeste à travers toi, c'est pour appeler chacun à Mon Coeur, et les sauver de leur apostasie ».


- extrait du message donné le 1 er juin 1993, cahier 67, page 70 du supplément 5 :



« Ce qui était un fragment d'apostasie va maintenant devenir une apostasie générale, bien enracinée. Cette apostasie sera si vaste qu'en se répandant, elle engloutira une multitude... »



- extrait du message donné le 20 décembre 1993, cahier 69, pages 39 et 40 du supplément 6 :


« Ainsi, le livre de Daniel qui était scellé, et les paroles qu'il contient qui étaient gardées secrètes, vous sont maintenant révélés à tous en leur plénitude. Je vous ai dit à tous que votre génération a apostasié et que cette apostasie pénétrerait jusqu'au coeur de Mon Sanctuaire, affectant prêtres, évêques et cardinaux. Tu vois, Ma fille, Je parle de ces apostats qui sont en train de trahir Mon Eglise et qui s'opposent à celui que J'ai choisi, le Vicaire de Mon Eglise, lequel retient leur rébellion. Mais il a été dit qu'en vos temps, Satan entreprendrait de détruire tout ce qui est bon et se lancerait à la poursuite de ceux que Je vous envoie avec Mes appels Miséricordieux qui auraient pu vous sauver. Mes appels et Mes signes du Ciel n'ont pas été saisis par ces apostats mais ont été rejetés. Par contre, sera accueilli par eux tout mal qui peut conduire leur âme à plus de ténèbres et de destruction. Ils accueilleront le Mensonge et rejetteront la Vérité. Il a été dit (1) que durant un temps, deux temps et la moitié d'un temps (2), Mon peuple subirait leur persécution et la domination de la bête (3). Il a été dit qu'avec l'aide de cette bête, ils envisageront de changer les Traditions et Ma Loi et ils projettent de supprimer le Sacrifice Perpétuel, de Le piétiner sous leurs pieds et de L'écraser et d'ériger à Sa place la désastreuse abomination, une image sans vie... Et chaque saint que Je vous envoie, en votre génération, subira leur pouvoir. Aujourd'hui, vous voyez tous comme ces prophéties s'accomplissent. Influencés par la bête, ces apostats (4) font la guerre à chaque saint que Je vous envoie, s'avérant aujourd'hui être les plus forts (5) ».



Notes de Vassula Ryden :



(1) : « Dn 7,25 ».

(2) : « Cela signifie trois ans et demi (voir aussi Dn 12,11-12) ».

(3) : « Ap 13,1-18 ».

(4) : « Selon notre Seigneur, les apostats sont ces ecclésiastiques influencés par la franc-maçonnerie ; c'est de ces apostats qu'il s'agit dans Ap 13,11 ; ils sont la seconde bête, alias le faux prophète ».

(5) : « Dn 7,21 ».



- extrait du message donné le 18 décembre 1994, cahier 75, page 44 du supplément 8 :


« Je vais mettre fin à cette Apostasie plus rapidement que prévu [...]. Le pire est à venir. Rien ne peut être réalisé d'un seul coup ; Mon Père révélera aux pauvres Sa Main Puissante mais, pour les apostats et pour le Rebelle, un ouragan de feu de l'est les brûlera à cause de toutes les choses abominables qu'ils ont faites... Le coupable mourra de sa faute. S'il se convertit avant Mon Jour et restaure ce qu'il détruisait et admet son péché, Je lui pardonnerai et il vivra et ne mourra point. Ceci est Ma Loi trois fois Sainte ».



- extrait du message donné le 8 février 1995, cahier 76, pages 63 et 64 du supplément 8 :



« Ils ont avalé l'apostasie comme s'ils mangeaient le Pain de Vie [...]. Qui, aujourd'hui, parmi ces apostats M'invoque en M'appelant : " mon Père " ? Ainsi, bientôt, une tempête de feu balaiera cette iniquité et le péché. Nul d'entre vous n'en connaît le Jour et si quelqu'un vous dit qu'il le sait, cela ne vient pas de Moi... »



- extrait du message donné le 6 mars 1995, cahier 77, page 18 du supplément 9 :


« Cette douloureuse apostasie de Mon Eglise qui doit précéder Ma victoire ».



- extrait du message donné le 30 mai 1995, cahier 79, page 56 du supplément 9 :


« L'amour est la clé pour mettre fin à cette Apostasie ».


- extrait du message donné le 6 octobre 1995, cahier 80, page 101 du supplément 9 :



« Je retournerais au Calvaire à nouveau n'importe quand si cela était possible pour vous sauver de cette Apostasie ».



- extrait du message donné le 9 janvier 1996, cahier 82, page 130 du supplément 9 :


« Si le sol refuse de produire son fruit et le pays s'est transformé en un désert, c'est à cause de son apostasie ».



- extrait du message donné le 20 septembre 1996, cahier 85, page 46 du supplément 10 :


« Ah !... génération, tes apostasies ont été nombreuses au cours des années, mais une plus grande apostasie que celle-ci, Mon Eglise n'en a encore jamais connue... [...]. Le chaos a maintenant fermement placé ses racines dans ce monde d'Apostasie... ».



- extrait du message donné le 5 novembre 1998, cahier 95, page 34 du supplément 12 :


« Je t'avais avertie, génération, qu'à cause de cette Grande Apostasie, les rebelles (1), qui se prétendent érudits par grade, se sont secrètement frayés un passage dans Mon Sanctuaire pour le piller et le saccager en toute liberté, dans l'intention de piétiner, comme la boue des rues, Ma Divinité et Mon Sacrifice perpétuel, s'établissant législateurs de lois infâmes. J'ai dit que Ma Main est encore levée pour frapper et que Ma Justice soufflera sur vous, vous causant d'innombrables ampoules, brûlant votre génération et toutes choses vivantes autour d'elle. Alors, beaucoup voudront respirer, mais ils n'inhaleront qu'un vent desséchant qui les brûlera de l'intérieur, les laissant comme des torches vivantes.



Ne savais-tu pas, génération dégénérée, qu'en ces jours de ténèbres où tu vis, tu as inhalé une brûlante apostasie ? Une apostasie te brûlant à l'intérieur et à l'extérieur, produisant d'innombrables ampoules en ton être intérieur ? Certains demanderont : " pourquoi Dieu nous a-t-Il fait cela ? " N'avez-vous pas lu : " La colère de Dieu se révèle en votre temps, du haut du ciel, contre toute l'impiété et la dépravation des hommes qui retiennent la vérité prisonnière de leur méchanceté "(2) Mais il n'en est pas un qui ait compris Mes paroles...



J'avais demandé de grandes et véritables expiations, afin que vous n'ayez pas à souffrir des conséquences de cette Apostasie, mais J'ai reçu très peu d'expiations parce que Mes paroles ont été censurées par manque de confiance en Moi. Ils ne se sont pas fiés à Moi et n'ont pas entièrement cru en Ma Puissance pour propager Mes paroles et avertir cette génération. Ton propre comportement, génération, et tes actes, ont amené sur toi cette Apostasie, et elle transperce ton coeur, mais en même temps également, tandis que Je te dis cela, Mes Yeux Se remplissent de Larmes de Sang, et Mon Coeur continue à sangloter comme une flûte pour vous tous... ».



Notes :



(1) : « En d'autres termes, les rebelles sont la "fumée de Satan" dont a parlé le Pape Paul VI (note de Vassula). Cf. Paul VI, 29 juin 1972 (la documentation catholique, 3 décembre 1972) : " ...par quelque fissure, la fumée de Satan est entrée dans le Temple de Dieu " (note du traducteur) ».



(2) : « Rm 1,18 ».



18. Notre Seigneur Jésus à Françoise



Du tome 4 de l’œuvre « Message de conversion des Cœurs » :



- extrait du message donné le 8 septembre 1998, page 35 :



« Quand Je viens sur la terre, avec Marie, en ce temps, nous sommes rejetés, poursuivis, accablés. Les âmes enténébrées refusent l’Esprit Saint qui leur est donné, en ce temps de grâce, à travers des âmes privilégiées. Tu sais cela : Je te l’ai déjà dit et J’ai dit que tu aurais toi aussi à subir des rejets. C’est la grande apostasie de ton temps ».



Du tome 8 de l’œuvre « Messages de conversion des coeurs » :



- extrait du message donné le 1 er août 2006, page 110 :



« […] Pour beaucoup, la Vérité de l’Evangile n’a plus à être accueillie. Par de mauvais serviteurs servant satan et les siens, vous vous êtes encouragés à croire que le péché n’existe plus et que vous pouviez sans problème le continuer dans son horreur, tout en vous prétendant catholique. Vous avez perdu la foi, vous créant un Dieu selon votre âme, un Dieu qui n’est pas la Sainte Trinité, mais satan lui-même. Et vous oser prononcer Mon Nom, alors que vous servez la Bête, vous plongeant toujours plus dans le mal ».



19. Notre Seigneur Jésus à Lucie



Du livret « Abba, Père » :



- extrait du message page 95 :



« En ces temps d’apostasie, votre tâche est lourde et exaltante, mes bien-aimés. Vous devez être tout à la fois ‘Jean le bien-aimé’ et ‘Jean le Baptiste’, car il vous est demandé de témoigner de l’Amour de mon Cœur que vous connaisez et de préparer ma route ».



20. Notre Seigneur Jésus à Débora



De l’ouvrage « Manduria » :



- extrait du message donné le 5 août 1994, page 142 :



« […] C’est maintenant le temps de la grande apostasie et Satan attaque. Il essaie de s’infiltrer dans mon Tabernacle ! A côté de mon serviteur (le pape), il y a celui qui, en paroles, prêche la paix, mais qui dans son cœur trame la guerre et la division. Mon écho doit parvenir à tous ; c’est l’heure de la décision ».



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