Medjugorje : PASCALE guérie miraculeusement été 2012
Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: Medjugorge (Yougoslavie)
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Medjugorje : PASCALE guérie miraculeusement été 2012
Medjugorje : PASCALE guérie miraculeusement cet été 2012
PASCALE G... GUÉRIE MIRACULEUSEMENT À MEDJUGORJE CET ÉTÉ.
nb: Pascale a témoigné en novembre 2012,à Medjugorje,devant des pélérins français et d'autres nationalités.
Cependant,elle ne souhaite pas que son témoignage soit repris par les blogs,car elle les juge inexactes.J'ai effacé sa photo et masqué son nom,mais j'ai gardé la source de l'article
Posté le : 31 août, 2012
Pascale G..., une brabançonne mariée et mère de famille, témoigne de sa guérison survenue à Medjugorje le vendredi 3 août, après avoir communié lors de la messe. Souffrant d’une leuco- encéphalopathie, maladie rare et incurable dont les symptômes s’apparentent à ceux de la sclérose en plaques, elle a participé au pèlerinage organisé fin juillet, à l‘occasion du festival des jeunes. Patrick d’Ursel, l’un des organisateurs, a été témoin de cette guérison.
Selon les témoins, cette habitante du Brabant wallon était malade depuis 14 ans, ne pouvant même plus s’exprimer. C’est après avoir communié que Pascale a ressenti une force. A la surprise de son époux et de ses proches, elle s’est mise à parler et… se leva de sa chaise ! Patrick d’Ursel a recueilli le témoignage de Pascale G....
« Ma guérison, je l’avais demandée il y a très longtemps. Il faut savoir que cela faisait plus de 14 ans que j’étais malade. J’ai toujours été croyante, profondément croyante, engagée au service du Seigneur dans toute ma vie et donc quand les premiers symptômes (ndlr: de la maladie) se sont manifestés, durant les premières années, j’ai demandé, j’ai supplié. D’autres personnes de ma famille se sont associées à ma demande et puis comme la réponse ne venait pas, du moins celle que j’attendais – mais il y eut d’autres réponses ! –
à un moment donné, je me suis dit que, sans doute, le Seigneur préparait autre chose. Les premières réponses que j’ai obtenues sont des grâces pour porter cette maladie, des grâces de Force, des grâces de Joie. Pas une joie continue mais en tout cas une joie profonde, au plus profond de l’âme ;
on dirait la fine pointe de l’âme qui, même dans les moments de grande détresse, restait habitée par la joie de Dieu. Je crois fermement que la main de Dieu est toujours restée posée sur moi. Je n’ai jamais douté non plus de son amour pour moi, malgré cette maladie qui aurait pu faire douter de l’Amour de Dieu pour nous.
Il y a quelques mois, mon mari David et moi-même avons ressenti un appel pressant à rejoindre Medjugorje sans savoir ce que Marie nous préparait, comme une attirance absolument irrésistible. Ce grand appel m’a surprise, surtout le fait que nous soyons rejoints tous les deux, mon mari et moi-même avec la même intensité.
Nos enfants par contre restaient totalement indifférents, révoltés qu’ils étaient par ma maladie, révoltés contre Dieu. Ils me demandaient avec insistance pourquoi Dieu accordait la guérison à certains et pas à d’autres. Ma fille me disait : « Maman, pourquoi toi qui pries, tu ne pries pas pour ta propre guérison ? » Mais moi, j’avais accepté cette maladie comme un don de Dieu, après des années de cheminement.
Je voudrais vous partager ce que cette maladie m’a apporté. Je pense que je ne serais pas la personne que je suis maintenant, sans la grâce de cette maladie. J’étais une personne très sûre de moi ; le Seigneur m’avait fait des dons sur le plan humain ; j’étais une artiste brillante, très fière; j’avais étudié les arts de la parole et mon parcours scolaire avait été facile et hors du commun. (…). En résumé, je pense que cette maladie a ouvert mon coeur et éclairé mon regard. Parce que c’est une maladie qui touche tout l’être. J’ai vraiment tout perdu, j’ai touché le fond physiquement et spirituellement autant que psychologiquement, mais j’ai aussi pu expérimenter et comprendre dans mon coeur ce que vivaient les autres.
La maladie m’a ouvert le coeur et le regard; je pense donc que j’étais aveugle et maintenant je vois ce que les autres personnes peuvent vivre ; je les aime, j’ai envie de les aider, j’ai envie d’être à côté d’elles. J’ai pu également découvrir la richesse et la beauté de la relation à l’autre. Notre relation de couple s’est approfondie au-delà de toute espérance. Je n’aurais jamais pu imaginer une telle profondeur. En un mot, j’ai découvert l’Amour. (…)
Peu de temps avant le départ pour ce pèlerinage, nous avons décidé d’y emmener nos deux enfants.Ma fille m’a alors – je vais dire- « intimé l’ordre » de prier pour ma guérison, non parce que j’en avais l’envie, le désir, mais parce qu’elle le voulait. (…). Je l’ai encouragée, ainsi que mon fils, à demander eux-mêmes cette grâce pour leur maman et ils l’ont fait en surmontant les difficultés à croire et leur révolte.
De notre côté, pour mon mari et moi-même, ce voyage était un défi inimaginable. Partir avec deux fauteuils roulants ; ne pouvant pas rester assise, il fallait un fauteuil le plus incliné possible ; nous en avons loué un ; nous avions un autocar non aménagé ; des bras se sont proposés maintes et maintes fois au long de la journée pour me porter, pour sortir, pour entrer…
Jamais, je n’oublierai cette solidarité qui est pour moi le signe le plus grand que Dieu existe. Pour tous ceux qui m’ont aidée ne sachant pas parler, pour l’accueil aussi que j’ai reçu des organisateurs, pour chaque personne qui a eu ne fût-ce qu’un seul geste à mon égard, j’ai supplié la Gospa de lui accorder Sa bénédiction spéciale et maternelle et de lui rendre au centuple le bien qu’elle m’apportait.
Mon plus grand désir était d’assister à l’apparition de Marie à Mirjana. Notre accompagnateur a accepté de nous y emmener mon mari et moi-même. A nouveau, j’y ai vécu une grâce que je ne suis pas prête d’oublier : plusieurs personnes m’ont portée dans ma chaise-brancard à travers une foule compacte défiant les lois de l’impossible pour pouvoir rejoindre le lieu-même, le petit autel qui reçoit l’apparition de Marie (…). Une religieuse missionnaire nous a parlé à mon mari et moi-même, en nous répétant le message que Marie avait destiné tout spécialement aux malades. (…).
Le lendemain, le vendredi 3 août, mon mari est parti le matin pour le chemin de croix. Il faisait très chaud et mon plus grand rêve était de pouvoir l’accompagner. Mais il n’y avait pas de porteur disponible et mon état était vraiment difficile à supporter. Il était pour moi préférable de rester dans mon lit…
Je me souviendrai de ce jour comme l’un des plus douloureux de toute ma maladie… Il me fallait chercher chaque inspiration malgré l’appareil respiratoire (…). on mari étant parti avec mon accord – je n’aurais jamais voulu qu’il y renonce- je ne savais ni boire ni manger quoi que ce soit, ni prendre mes médicaments. J’étais clouée sur mon lit… Je n’avais même plus la force de prier, simplement en face à face avec le Seigneur…
Mon mari est rentré très heureux, profondément touché par le vécu de ce chemin de croix. Plein de compassion à mon égard, sans même que j’aie à lui expliquer quoi que ce soit, il avait compris que le chemin de croix s’était déroulé, pour moi, dans mon lit (…).
En fin de journée, malgré la fatigue et l’épuisement, Pascale G... et son mari se sont rendus à l’eucharistie. Elle poursuit:
Je suis partie sans respirateur, tellement le poids de cet appareil de plusieurs kilos sur mes genoux m’était devenu insupportable. Nous sommes arrivés en retard… J’ose à peine le dire… à la proclamation de l’évangile… (…). Dès notre arrivée, j’ai commencé à implorer l’Esprit-Saint dans une joie que je ne peux pas exprimer. Je Lui ai demandé de prendre possession de tout mon être. Je Lui ai exprimé mon désir renouvelé de Lui appartenir, corps, âme et esprit (…). La célébration a continué (…) jusqu’à la (…) la communion, que j’attendais avec intensité.
Mon mari m’a conduite dans la file d’attente à l’arrière de l’église. Un prêtre a traversé l’allée avec le Corps du Christ. Il se dirigea immédiatement vers mon mari et moi-même, dépassant toutes les autres personnes en attente. Nous avons communié tous les deux, les seuls, à ce moment-là, dans cette file. Nous nous sommes éloignés pour laisser la place aux autres communiants et commencer notre action de grâces.
J’ai senti un parfum puissant et très doux (…). J’ai alors ressenti comme une force me traverser de part en part, non pas une chaleur, mais une force. Les muscles inutilisés de mes jambes étaient traversés par un courant de vie. J’ai alors dit à Dieu : « Père, Fils, Esprit Saint, si vous êtes en train de faire ce que je crois, de réaliser ce miracle impensable, alors je vous demande un signe et une grâce : Faites que je puisse communiquer avec mon époux ».
Je me suis tournée vers mon mari et j’ai essayé de lui dire : « Tu sens ce parfum ? ».
Il m’a répondu le plus naturellement du monde : « Non, j’ai un peu le nez bouché » ! Je dis « naturellement », parce qu’il n’avait plus entendu ma voix depuis un an ! Pour le réveiller, je lui ai dit : « Eh ! Je parle, tu m’entends ? ».
Là, je savais que Dieu avait réalisé son oeuvre et dans un acte de foi, j’ai sorti mes pieds de mon fauteuil et je me suis mise debout. Toutes les personnes qui nous entouraient ont réalisé ce qui se produisait à ce moment-là. (…). Les jours qui ont suivi, mon état s’est amélioré d’heure en heure. Je n’ai plus envie de dormir sans arrêt et les douleurs dues à ma maladie ont fait place aux courbatures de l’effort physique qui m’était impossible depuis 7 ans…
« Comment vos enfants ont-ils accueilli cette nouvelle ? », interroge Patrick d’Ursel. Réponse de Pascale G...:
Je pense que les enfants sont très heureux mais il faut se rendre compte qu’ils m’ont pratiquement toujours connue malade et que ce changement va donc leur demander un temps d’adaptation.
Que souhaitez-vous faire à présent de votre vie ?
C’est une question très difficile parce que quand Dieu offre une grâce, c’est vraiment une grâce énorme (…). Mon plus grand souhait, qui est aussi celui de mon époux, est de nous montrer fidèles au Seigneur, à sa grâce et, autant que nous en sommes capables, de ne pas Le décevoir.
Donc, pour être vraiment concrète, ce qui me semble clair maintenant, c’est que je vais enfin pouvoir assumer ma responsabilité et ma vie de maman et d’épouse. C’est prioritaire. Mon attente profonde est également de pouvoir mener une vie de prière parallèlement à cette vie incarnée, terrestre ; une vie de contemplation.
Je voudrais aussi être en mesure de répondre à toutes les personnes qui me demanderaient de l’aide, quelle qu’elle soit. Et également de témoigner de l’Amour de Dieu dans notre vie. Il est possible que d’autres activités me soient envisageables maintenant mais je ne veux prendre aucune décision sans un discernement approfondi et éclairé par le conseil d’un conseiller spirituel, sous le regard de Dieu.
Patrick d’Ursel remercie Pascale G... pour son témoignage, mais insiste pour les images qui auraient été prises lors du pèlerinage ne soient pas diffusées notamment sur Internet, afin de garantir la vie privée de la maman. Et il précise: « Pascale peut aussi faire une rechute, ça s’est déjà vu. Il faut aussi penser à être prudent comme l’Eglise nous le demande ».
Source: http://medjugorjeparwallpaper64.blogspot.fr/2012/09/pascale-guerie-miraculeusement.html
PASCALE G... GUÉRIE MIRACULEUSEMENT À MEDJUGORJE CET ÉTÉ.
nb: Pascale a témoigné en novembre 2012,à Medjugorje,devant des pélérins français et d'autres nationalités.
Cependant,elle ne souhaite pas que son témoignage soit repris par les blogs,car elle les juge inexactes.J'ai effacé sa photo et masqué son nom,mais j'ai gardé la source de l'article
Posté le : 31 août, 2012
Pascale G..., une brabançonne mariée et mère de famille, témoigne de sa guérison survenue à Medjugorje le vendredi 3 août, après avoir communié lors de la messe. Souffrant d’une leuco- encéphalopathie, maladie rare et incurable dont les symptômes s’apparentent à ceux de la sclérose en plaques, elle a participé au pèlerinage organisé fin juillet, à l‘occasion du festival des jeunes. Patrick d’Ursel, l’un des organisateurs, a été témoin de cette guérison.
Selon les témoins, cette habitante du Brabant wallon était malade depuis 14 ans, ne pouvant même plus s’exprimer. C’est après avoir communié que Pascale a ressenti une force. A la surprise de son époux et de ses proches, elle s’est mise à parler et… se leva de sa chaise ! Patrick d’Ursel a recueilli le témoignage de Pascale G....
« Ma guérison, je l’avais demandée il y a très longtemps. Il faut savoir que cela faisait plus de 14 ans que j’étais malade. J’ai toujours été croyante, profondément croyante, engagée au service du Seigneur dans toute ma vie et donc quand les premiers symptômes (ndlr: de la maladie) se sont manifestés, durant les premières années, j’ai demandé, j’ai supplié. D’autres personnes de ma famille se sont associées à ma demande et puis comme la réponse ne venait pas, du moins celle que j’attendais – mais il y eut d’autres réponses ! –
à un moment donné, je me suis dit que, sans doute, le Seigneur préparait autre chose. Les premières réponses que j’ai obtenues sont des grâces pour porter cette maladie, des grâces de Force, des grâces de Joie. Pas une joie continue mais en tout cas une joie profonde, au plus profond de l’âme ;
on dirait la fine pointe de l’âme qui, même dans les moments de grande détresse, restait habitée par la joie de Dieu. Je crois fermement que la main de Dieu est toujours restée posée sur moi. Je n’ai jamais douté non plus de son amour pour moi, malgré cette maladie qui aurait pu faire douter de l’Amour de Dieu pour nous.
Il y a quelques mois, mon mari David et moi-même avons ressenti un appel pressant à rejoindre Medjugorje sans savoir ce que Marie nous préparait, comme une attirance absolument irrésistible. Ce grand appel m’a surprise, surtout le fait que nous soyons rejoints tous les deux, mon mari et moi-même avec la même intensité.
Nos enfants par contre restaient totalement indifférents, révoltés qu’ils étaient par ma maladie, révoltés contre Dieu. Ils me demandaient avec insistance pourquoi Dieu accordait la guérison à certains et pas à d’autres. Ma fille me disait : « Maman, pourquoi toi qui pries, tu ne pries pas pour ta propre guérison ? » Mais moi, j’avais accepté cette maladie comme un don de Dieu, après des années de cheminement.
Je voudrais vous partager ce que cette maladie m’a apporté. Je pense que je ne serais pas la personne que je suis maintenant, sans la grâce de cette maladie. J’étais une personne très sûre de moi ; le Seigneur m’avait fait des dons sur le plan humain ; j’étais une artiste brillante, très fière; j’avais étudié les arts de la parole et mon parcours scolaire avait été facile et hors du commun. (…). En résumé, je pense que cette maladie a ouvert mon coeur et éclairé mon regard. Parce que c’est une maladie qui touche tout l’être. J’ai vraiment tout perdu, j’ai touché le fond physiquement et spirituellement autant que psychologiquement, mais j’ai aussi pu expérimenter et comprendre dans mon coeur ce que vivaient les autres.
La maladie m’a ouvert le coeur et le regard; je pense donc que j’étais aveugle et maintenant je vois ce que les autres personnes peuvent vivre ; je les aime, j’ai envie de les aider, j’ai envie d’être à côté d’elles. J’ai pu également découvrir la richesse et la beauté de la relation à l’autre. Notre relation de couple s’est approfondie au-delà de toute espérance. Je n’aurais jamais pu imaginer une telle profondeur. En un mot, j’ai découvert l’Amour. (…)
Peu de temps avant le départ pour ce pèlerinage, nous avons décidé d’y emmener nos deux enfants.Ma fille m’a alors – je vais dire- « intimé l’ordre » de prier pour ma guérison, non parce que j’en avais l’envie, le désir, mais parce qu’elle le voulait. (…). Je l’ai encouragée, ainsi que mon fils, à demander eux-mêmes cette grâce pour leur maman et ils l’ont fait en surmontant les difficultés à croire et leur révolte.
De notre côté, pour mon mari et moi-même, ce voyage était un défi inimaginable. Partir avec deux fauteuils roulants ; ne pouvant pas rester assise, il fallait un fauteuil le plus incliné possible ; nous en avons loué un ; nous avions un autocar non aménagé ; des bras se sont proposés maintes et maintes fois au long de la journée pour me porter, pour sortir, pour entrer…
Jamais, je n’oublierai cette solidarité qui est pour moi le signe le plus grand que Dieu existe. Pour tous ceux qui m’ont aidée ne sachant pas parler, pour l’accueil aussi que j’ai reçu des organisateurs, pour chaque personne qui a eu ne fût-ce qu’un seul geste à mon égard, j’ai supplié la Gospa de lui accorder Sa bénédiction spéciale et maternelle et de lui rendre au centuple le bien qu’elle m’apportait.
Mon plus grand désir était d’assister à l’apparition de Marie à Mirjana. Notre accompagnateur a accepté de nous y emmener mon mari et moi-même. A nouveau, j’y ai vécu une grâce que je ne suis pas prête d’oublier : plusieurs personnes m’ont portée dans ma chaise-brancard à travers une foule compacte défiant les lois de l’impossible pour pouvoir rejoindre le lieu-même, le petit autel qui reçoit l’apparition de Marie (…). Une religieuse missionnaire nous a parlé à mon mari et moi-même, en nous répétant le message que Marie avait destiné tout spécialement aux malades. (…).
Le lendemain, le vendredi 3 août, mon mari est parti le matin pour le chemin de croix. Il faisait très chaud et mon plus grand rêve était de pouvoir l’accompagner. Mais il n’y avait pas de porteur disponible et mon état était vraiment difficile à supporter. Il était pour moi préférable de rester dans mon lit…
Je me souviendrai de ce jour comme l’un des plus douloureux de toute ma maladie… Il me fallait chercher chaque inspiration malgré l’appareil respiratoire (…). on mari étant parti avec mon accord – je n’aurais jamais voulu qu’il y renonce- je ne savais ni boire ni manger quoi que ce soit, ni prendre mes médicaments. J’étais clouée sur mon lit… Je n’avais même plus la force de prier, simplement en face à face avec le Seigneur…
Mon mari est rentré très heureux, profondément touché par le vécu de ce chemin de croix. Plein de compassion à mon égard, sans même que j’aie à lui expliquer quoi que ce soit, il avait compris que le chemin de croix s’était déroulé, pour moi, dans mon lit (…).
En fin de journée, malgré la fatigue et l’épuisement, Pascale G... et son mari se sont rendus à l’eucharistie. Elle poursuit:
Je suis partie sans respirateur, tellement le poids de cet appareil de plusieurs kilos sur mes genoux m’était devenu insupportable. Nous sommes arrivés en retard… J’ose à peine le dire… à la proclamation de l’évangile… (…). Dès notre arrivée, j’ai commencé à implorer l’Esprit-Saint dans une joie que je ne peux pas exprimer. Je Lui ai demandé de prendre possession de tout mon être. Je Lui ai exprimé mon désir renouvelé de Lui appartenir, corps, âme et esprit (…). La célébration a continué (…) jusqu’à la (…) la communion, que j’attendais avec intensité.
Mon mari m’a conduite dans la file d’attente à l’arrière de l’église. Un prêtre a traversé l’allée avec le Corps du Christ. Il se dirigea immédiatement vers mon mari et moi-même, dépassant toutes les autres personnes en attente. Nous avons communié tous les deux, les seuls, à ce moment-là, dans cette file. Nous nous sommes éloignés pour laisser la place aux autres communiants et commencer notre action de grâces.
J’ai senti un parfum puissant et très doux (…). J’ai alors ressenti comme une force me traverser de part en part, non pas une chaleur, mais une force. Les muscles inutilisés de mes jambes étaient traversés par un courant de vie. J’ai alors dit à Dieu : « Père, Fils, Esprit Saint, si vous êtes en train de faire ce que je crois, de réaliser ce miracle impensable, alors je vous demande un signe et une grâce : Faites que je puisse communiquer avec mon époux ».
Je me suis tournée vers mon mari et j’ai essayé de lui dire : « Tu sens ce parfum ? ».
Il m’a répondu le plus naturellement du monde : « Non, j’ai un peu le nez bouché » ! Je dis « naturellement », parce qu’il n’avait plus entendu ma voix depuis un an ! Pour le réveiller, je lui ai dit : « Eh ! Je parle, tu m’entends ? ».
Là, je savais que Dieu avait réalisé son oeuvre et dans un acte de foi, j’ai sorti mes pieds de mon fauteuil et je me suis mise debout. Toutes les personnes qui nous entouraient ont réalisé ce qui se produisait à ce moment-là. (…). Les jours qui ont suivi, mon état s’est amélioré d’heure en heure. Je n’ai plus envie de dormir sans arrêt et les douleurs dues à ma maladie ont fait place aux courbatures de l’effort physique qui m’était impossible depuis 7 ans…
« Comment vos enfants ont-ils accueilli cette nouvelle ? », interroge Patrick d’Ursel. Réponse de Pascale G...:
Je pense que les enfants sont très heureux mais il faut se rendre compte qu’ils m’ont pratiquement toujours connue malade et que ce changement va donc leur demander un temps d’adaptation.
Que souhaitez-vous faire à présent de votre vie ?
C’est une question très difficile parce que quand Dieu offre une grâce, c’est vraiment une grâce énorme (…). Mon plus grand souhait, qui est aussi celui de mon époux, est de nous montrer fidèles au Seigneur, à sa grâce et, autant que nous en sommes capables, de ne pas Le décevoir.
Donc, pour être vraiment concrète, ce qui me semble clair maintenant, c’est que je vais enfin pouvoir assumer ma responsabilité et ma vie de maman et d’épouse. C’est prioritaire. Mon attente profonde est également de pouvoir mener une vie de prière parallèlement à cette vie incarnée, terrestre ; une vie de contemplation.
Je voudrais aussi être en mesure de répondre à toutes les personnes qui me demanderaient de l’aide, quelle qu’elle soit. Et également de témoigner de l’Amour de Dieu dans notre vie. Il est possible que d’autres activités me soient envisageables maintenant mais je ne veux prendre aucune décision sans un discernement approfondi et éclairé par le conseil d’un conseiller spirituel, sous le regard de Dieu.
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JOSENOVAR- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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