Lettre donnée du Vatican du 6 mai 1996 sur La Salette !
Viens, Seigneur Jésus !
Bienvenue sur le Forum "Viens, Seigneur Jésus!"

Forum catholique consacré à la Fin des Temps, à la diffusion des Messages du Ciel, à la dénonciation du Nouvel Ordre Mondial et à la préparation de la Nouvelle Civilisation de l'Amour et au Second Retour de Jésus !
Viens, Seigneur Jésus !
Bienvenue sur le Forum "Viens, Seigneur Jésus!"

Forum catholique consacré à la Fin des Temps, à la diffusion des Messages du Ciel, à la dénonciation du Nouvel Ordre Mondial et à la préparation de la Nouvelle Civilisation de l'Amour et au Second Retour de Jésus !

Lettre donnée du Vatican du 6 mai 1996 sur La Salette !

Aller en bas

Lettre donnée du Vatican du 6 mai 1996 sur La Salette ! Empty Lettre donnée du Vatican du 6 mai 1996 sur La Salette !

Message  Octo Lun 30 Aoû 2010 - 20:20

LETTRE DONNÉE DU VATICAN LE 6 MAI 1996 PAR LE SAINT PÈRE JEAN-PAUL II !

- intégralité de la lettre donnée du Vatican le 6 mai 1996 par le Saint-Père Jean-Paul II à Mgr Louis Dufaux, Evêque de Grenoble, à l'occasion du 150 ième anniversaire de l'apparition de la Sainte Vierge Marie de La Salette :

« A Monseigneur Louis Dufaux,

Évêque de Grenoble

Le diocèse de Grenoble, les Missionnaires de la Salette et de nombreux fidèles dans le monde célèbrent cette année le 150 ième anniversaire de l'apparition de la Sainte Vierge Marie dans ce site des Alpes d'où son message n'a cessé de rayonner. Une telle commémoration peut être riche de grâces; je tiens à m'y associer, en union avec les pèlerins qui viennent vénérer la Mère du Seigneur sous le titre de Notre Dame Réconciliatrice des pécheurs. Mère du Sauveur, Mère de l'Église, Mère des hommes, Marie accompagne chacun dans le pèlerinage de la vie. Alors que s'intensifie la préparation du grand Jubilé de la Rédemption, l'année consacrée à l'anniversaire de l'apparition de Marie à Maximin et à Mélanie replié sente une étape significative. Marie, Mère pleine d'amour, a montré en ce lieu sa tristesse devant le mal moral de l'humanité.

Par ses larmes, elle nous aide à mieux saisir la douloureuse gravité du péché, du rejet de Dieu, mais aussi la fidélité passionnée que son Fils garde envers ses enfants, Lui, le Rédempteur dont l'amour est blessé par l'oubli et les refus. Le message de La Salette fut délivré à deux jeunes pâtres en un temps de grandes souffrances des peuples, affectés par la famine et en butte à bien des injustices. De plus, l'indifférence ou l'hostilité à l'égard du message évangélique augmentaient. Notre-Dame, en se faisant contempler portant sur elle l'image de son Fils crucifié, montre que, associée à l'œuvre du salut, elle compatit aux épreuves de ses enfants et souffre de les voir s'éloigner de l'Église du Christ au point d'oublier ou de rejeter la présence de Dieu dans leur vie et la sainteté de son Nom. Le rayonnement de l'événement de La Salette atteste bien que le message de Marie n'est pas tout entier dans la souffrance exprimée par les larmes; la Vierge appelle à se ressaisir: elle invite à la pénitence, à la persévérance dans la prière et particulièrement à la fidélité de la pratique dominicale; elle demande que son message « passe à tout son peuple » par le témoignage de deux enfants. Et, de fait, leur voix se fera rapidement entendre. Les pèlerins viendront; bien des conversions auront lieu, Marie était apparue dans une lumière qui évoque la splendeur de l'humanité transfigurée par la Résurrection du Christ: La Salette est un message d'espérance, car notre espérance est soutenue par l'intercession de Celle qui est la Mère des hommes. Les ruptures ne sont pas irrémédiables. La nuit du péché cède devant la lumière de la miséricorde divine. La souffrance humaine assumée peut contribuer â la purification et au salut. Pour qui marche humblement dans les voies du Seigneur, le bras du Fils de Marie ne pèsera pas pour condamner, mais il saisira la main qui tend pour faire entrer dans la vie nouvelle les pécheurs réconciliés par la grâce de la Croix. Les paroles de Marie à La Salette, par leur simplicité et leur rigueur, gardent une réelle actualité, dans un monde qui subit toujours les fléaux de la guerre et de la faim, et tant de malheurs qui sont des signes et souvent des conséquences du péché des hommes. Et aujourd'hui encore, Celle que « toutes les générations diront bienheureuse » veut conduire « tout son peuple », qui traverse les épreuves de ce temps, à la joie qui naît de l'accomplissement paisible des missions données à l'homme par Dieu. Les Missionnaires de La Salette n'ont cessé d'approfondir l'étude du message de La Salette et ils s'attachent à en montrer la valeur permanente pour le 3 ième millénaire qui approche. Ils sont particulièrement chargés de « faire passer au peuple » l'appel à renouveler la vie chrétienne, qui est à l'origine de leur fondation dans le diocèse de Grenoble. En cette année jubilaire, je les invite à poursuivre avec ardeur leur mission, dans les différentes régions du monde où ils sont à l'œuvre. De même, j'adresse tous mes encouragements aux Sœurs de La Salette et aux autres Instituts dont la fondation et l'inspiration
sont en relation avec l'événement de La Salette. Je prie pour que la Mère du Christ, en cette année marquante, les assiste dans le renouveau spirituel qu'ils désirent et les aide à se donner à leurs taches d'évangélisation avec le dynamisme missionnaire que l'Église attend d'eux. De ces terres de Savoie et du Dauphiné où la Vierge Marie a fait entendre son message voici un siècle et demi, le même appel retentit aujourd'hui encore pour les nombreux pèlerins qui montent vers ce sanctuaire, ainsi que pour ceux qui se rendent en tant d'autres sanctuaires salettins. Je les encourage tous à présenter à la Vierge Immaculée les peines et les espérances de ce monde, à quelques années seulement du grand Jubilé.

Puissent-ils être les témoin de la réconciliation, don de Dieu et fruit de la Rédemption pour les personnes, les familles et les peuples! Que le pèlerinage les aide à ne pas laisser leur vie chrétienne tomber dans la tiédeur ou dans l'indifférence et à ne jamais oublier de donner au Christ ressuscité la première place dans leur vie! Puissent-ils être dans le monde des artisans de la paix que le Seigneur a promise et demeurer indéfectiblement persuadés de la valeur inaliénable de la plus humble des personnes humaines! Marie est présente à l'Église comme au jour de la Croix, au jour de la Résurrection et au jour de la Pentecôte. À La Salette, elle a clairement manifesté la constance de sa prière pour le monde. Elle n'abandonnera jamais les hommes qui sont créés à l'image et à la ressemblance de Dieu et à qui il est donné de devenir enfants de Dieu. Puisse-t-elle conduire vers son Fils l'ensemble des nations de la terre! En confiant à Notre-Dame Réconciliatrice la communauté diocésaine de Grenoble, les Missionnaires de la Salette, ainsi que les religieux et les religieuses qui partagent la même spiritualité, j'accorde de grand coeur à tous la Bénédiction Apostolique ».

Le petit livret officiel des apparitions intitulé « La Salette - L’apparition - la grande nouvelle » précise à la page 5 que « Le village de La Salette se trouve se situe aux confins des départements de l’Isère et des Hautes-Alpes, sur les derniers contreforts du massif du Pelvoux ». La route extrêmement sinueuse qui mène actuellement au sanctuaire, n’était au temps de l’unique et brève apparition du 19 septembre 1946, qu’un simple chemin muletier.

Aux moments des faits, deux petits bergers sont les témoins
de cette apparition : Mélanie Calvat, agée de presque 15 ans et Maximin Giraud, tout juste 11 ans.

L’apparition a été reconnue exactement cinq ans après, le 19 septembre 1851 par Mgr Philibert De Bruillard, évêque de Grenoble par un « mandement doctrinal » dont voici le passage essentiel figurant à la page 17 du petit livret officiel intitulé « La Salette - L’apparition - la grande nouvelle » :

« Nous jugeons que l’apparition de la Sainte Vierge à deux bergers, le 19 septembre 1846, sur la montagne de la chaîne des Alpes, située dans la paroisse de La Salette, de l’archiprêtré de Corps, porte en
elle-même tous les caractères de la vérité, et que les fidèles sont fondés à croire indubitable et certaine ».

Ceci dit, il est bon de préciser tout de suite qu’il s’agit de distinguer toute la partie du message qui a été rendue officielle, de celle qui fait partie de ce que l’on appelle communément le « Secret de La Salette » dont le « texte authentique restera inconnu jusqu’au seuil du troisième millénaire » comme le spécifie le Dictionnaire des Apparitions à l’article « La Salette », page 506.La raison en est simple : le texte dérangeait beaucoup de personnes qu’il incriminait directement, comme l’empereur Napoléon III qualifié par ailleurs « d’Aiglon déplumé » par Maximin (qui allait être l’allié de Garibaldi dans sa lutte contre le Pape) ainsi qu’une grande partie du clergé, et des religieux et religieuses devenus infidèles.

C’est l’Abbé Michel Corteville qui a retrouvé le texte original, dans les archives de la Congrégation pour la doctrine de la foi en septembre 1999. Auteur d'une thèse monumentale sur le sujet, il publia en 2002 avec l'Abbé Laurentin, éminent spécialiste des apparitions mariales, un livre intitulé « Découverte du secret de La Salette, au-delà des polémiques, la vérité sur l’apparition et ses voyants » paru chez Fayard.

Le Dictionnaire des Apparitions à l’article « La Salette » précise page 510 que le « le secret fut rédigé huit fois, versions que nous avons enfin toutes rassemblées et confrontées : Trois rédactions de Maximin : 3 juillet et 11 août 1851 et 5 août 1853.

Quatre rédactions de Mélanie : 6 juillet 1851, 14 août
1853 et la rédaction longue trois fois rédigée de 1858 à 1878….

Voici le texte intégral de la rédaction longue écrit et
daté par Mélanie à Castellamare, le 21 novembre 1878, extrait des pages 59 à 63 de l’ouvrage « Découverte du secret de La Salette » :

« Mélanie, ce que je vais vous dire maintenant ne sera pas toujours secret ; vous pourrez le publier en 1858.

Les prêtres, ministres de mon Fils, les prêtres, par leur mauvaise vie, par leurs irrévérences et leur impiété à célébrer les Saints Mystères, par l'amour de l'argent, l'amour de l'honneur et des plaisirs, les prêtres sont devenus des cloaques d'impureté.

Oui, les prêtes demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes. Malheur aux prêtres et aux personnes consacrées à Dieu, lesquelles, par leurs infidélités et leur mauvaise vie, crucifient de nouveau mon Fils ! Les péchés des personnes consacrées à Dieu crient vers le Ciel et appellent vengeance, et voilà que la vengeance est à leurs portes, car il ne se trouve plus personne pour implorer miséricorde et pardon pour le peuple ; il n'y a plus d'âmes généreuses, il n'y a plus personne digne d'offrir la Victime sans tache à l'Éternel en faveur du monde.

Dieu va frapper d'une manière sans exemple.

Malheur aux habitants de la terre ! Dieu va épuiser sa colère, et personne ne pourra se soustraire à tant de maux réunis.

Les chefs, les conducteurs du peuple de Dieu ont négligé la prière et la pénitence, et le démon a obscurci leurs intelligences ; ils sont devenus ces étoiles errantes que le vieux diable traînera avec sa queue pour les faire périr. Dieu permettra au vieux serpent de mettre des divisions parmi les régnants, dans toutes les sociétés et dans toutes les famille ; on souffrira des peines physiques et morales : Dieu abandonnera les hommes à eux-mêmes et enverra des châtiments qui se succéderont pendant plus de trente-cinq ans.

La société est à la veille des fléaux les plus terribles et des plus grands événements ; on doit s'attendre à être gouverné par une verge de fer et à boire le calice de la colère de Dieu. Que le Vicaire de mon Fils, le Souverain Pontife Pie IX, ne sorte plus de Rome après l'année 1859 ; mais qu'il soit ferme et généreux, qu'il combatte avec les armes de la foi et de l'amour ; je serai avec lui.

Qu'il se méfie de Napoléon, son coeur est double, et quand il voudra être à la fois pape et empereur, bientôt Dieu se retirera de lui ; il est cet aigle qui, voulant toujours s'élever, tombera sur l'épée dont il voulait se servir pour obliger les peuples à se faire élever.

L'Italie sera punie de son ambition en voulant secouer le joug du Seigneur ; aussi, elle sera livrée à la guerre ; le sang coulera de tous les côtés ; les églises seront fermées ou profanées ;

les prêtres, les religieux seront chassés ; on les fera mourir, et mourir d'une mort cruelle. Plusieurs abandonneront la foi, et le nombre des prêtres et des religieux qui se sépareront de la vraie religion sera grand ; parmi ces personnes, il se trouvera même des évêques.

Que le Pape se tienne en garde contre les faiseurs de miracles, car le temps est venu que les prodiges les plus étonnants auront lieu sur la terre et dans les airs.

En l'année 1864, Lucifer avec un grand nombre de démons seront détachés de l'Enfer ; ils aboliront la foi peu à peu et même dans
les personnes consacrées à Dieu ; ils les aveugleront d'une telle manière, qu'à moins d'une grâce particulière, ces personnes prendront l'esprit de ces mauvais anges ; plusieurs maisons religieuses perdront entièrement la foi et perdront beaucoup d'âmes.

Les mauvais livres abonderont sur la terre et les esprits de ténèbres répandront partout un relâchement universel pour tout ce qui regarde le service de Dieu ; ils auront un très grand pouvoir sur la nature ; il y aura des églises pour servir ces esprits. Des personnes seront transportées d'un lieu à un autre par ces esprits mauvais, et même des prêtres, parce qu'ils ne seront pas conduits par le bon esprit de l'Évangile, qui est un esprit d'humilité de charité et de zèle pour la gloire de Dieu. On fera ressusciter des morts et des justes (c'est à dire que ces morts prendront la figure des âmes justes qui avaient vécu sur la terre, afin de mieux séduire les hommes ; ces soi-disant morts ressuscités, qui ne seront autre chose que le démon sous ces figures, prêcheront un autre Évangile,
contraire à celui du vrai Jésus-Christ, niant l'existence du Ciel, soit encore les âmes des damnés. Toutes ces âmes paraîtront comme unies à leurs corps).

Il y aura en tous lieux des prodiges extraordinaires, parce que la vraie foi s'est éteinte et que la fausse lumière éclaire le monde. Malheur aux Princes de l'Église, qui ne seront occupé qu'à entasser richesses sur richesses, qu'à sauvegarder leur autorité et à dominer avec orgueil !

Le Vicaire de mon Fils aura beaucoup à souffrir, parce que, pour un temps l'Église sera livrée à de grandes persécutions ; ce sera le temps des ténèbres ; l'Église aura une crise affreuse.

La Sainte Foi de Dieu étant oubliée, chaque individu voudra se guider par lui-même et être supérieur à ses semblables.

On abolira les pouvoirs civils et ecclésiastiques, tout ordre et toute justice seront foulés aux pieds ; on ne verra qu'homicides,
haine, jalousie, mensonge et discorde, sans amour pour la patrie ni pour la famille. Le Saint-Père souffrira beaucoup. Je serai avec lui jusqu'à la fin pour recevoir son sacrifice.

Les méchants attenteront plusieurs fois à sa vie sans pouvoir nuire à ses jours ; mais ni lui, ni son successeur...ne verront le triomphe de l'Église de Dieu.

Les gouvernants civils auront tous le même dessein qui sera d'abolir et de faire disparaître tout principe religieux, pour faire place au matérialisme, à l'athéisme, au spiritisme et à toutes sortes de vices.

Dans l'année 1865, on verra l'abomination dans les lieux saints ; dans les couvents, les fleurs de l'Église seront putréfiées et le démon se rendra comme le roi des coeurs. Que ceux qui sont à la tête des communautés religieuses se tiennent en garde pour les personnes qu'ils doivent recevoir, parce que le démon usera de toute sa malice pour introduire dans les ordres religieux des personnes adonnées au pêché, car les désordres et l'amour des plaisirs charnels seront répandus par toute la terre.

La France, l'Italie, l'Espagne et l'Angleterre seront en guerre ; le sans coulera dans les rues ; le Française battra avec le Français, l'Italien avec l'Italien ; ensuite, il y aura une guerre (civile) générale qui sera épouvantable. Pour un temps, Dieu ne se souviendra plus de la France, ni de l'Italie, parce que l'Evangile de Jésus-Christ n'est plus connu. Les méchants déploieront toute leur malice ; on se tuera, on se massacrera mutuellement jusque dans les maisons.

Au premier coup de son épée foudroyante, les montagnes et la nature entière trembleront d'épouvante, parce que les désordres et les crimes des hommes percent la voûte des cieux.

Paris sera brûlé et Marseille englouti ; plusieurs grandes villes seront ébranlées et englouties par des tremblements de terre ; on croira que tout est perdu ; on ne verra qu'homicide, on n'entendra que bruits d'armes et que blasphèmes. Les justes souffriront beaucoup ; leurs prières, leur pénitence et leurs larmes monteront jusqu'au Ciel, et tout le peuple de Dieu demandera pardon et miséricorde, et demandera mon aide et mon intercession.

Alors, Jésus-Christ, par un acte de sa justice et de sa grande miséricorde pour les justes, commandera à ses anges que tous ses ennemis soient mis à mort. Tout à coup, les persécuteurs de l'Eglise de Jésus-Christ et tous les hommes adonnés au pêché périront, et la terre deviendra comme un désert. Alors se fera la paix, la réconciliation de Dieu avec les hommes ; Jésus-Christ sera servi, adoré et glorifié ; la charité fleurira partout. Les nouveaux rois seront le bras droit de la Sainte Eglise qui sera forte, humble, pieuse, pauvre, zélée et imitatrice des vertus de Jésus-Christ. L'Evangile sera prêché partout, et les hommes feront de grands progrès dans la foi, parce qu'il y aura unité parmi les ouvriers de Jésus-Christ et que les hommes vivront dans la crainte de Dieu.

Cette paix parmi les hommes ne sera pas longue ; vingt-cinq ans d'abondantes récoltes leur feront oublier que les péchés des
hommes sont cause de toutes les peines qui arrivent sur la terre.

Un avant-coureur de l'antéchrist, avec ses troupes de plusieurs nations combattra contre le vrai Christ, le seul Sauveur du monde ; il
répandra beaucoup de sang et voudra anéantir le culte de Dieu pour se faire regarder comme un dieu.

La terre sera frappée de toutes sortes de plaies (outre la peste et la famine, qui seront générales) ; il y aura des guerres jusqu'à la dernière guerre qui sera alors faite par les dix rois de l'antéchrist, lesquels rois auront tous un même dessein et seront les seuls qui gouverneront le monde.
Avant que ceci arrive, il y aura une espèce de fausse paix dans le monde ; on ne pensera qu'à se divertir ; les méchants se livreront à toutes sortes de pêchés ; mais les enfants de la Sainte Eglise, les enfants de la foi, mes vrais imitateurs croîtrons dans l'amour de Dieu et dans les vertus qui me sont les plus chères. Heureuses les âmes humbles, conduites par l'Esprit-Saint ! Je combattrai avec elles jusqu'à ce qu'elles arrivent à la plénitude de l'âge.

La nature demande vengeance pour les hommes, et elle frémit d'épouvante dans l'attente de ce qui doit arriver à la terre souillée de crimes.

Tremblez, terre, et vous qui faites profession de servir Jésus-Christ et qui, au-dedans, vous adorez vous-même ; tremblez, car Dieu va vous livrer à son ennemi, parce que les lieux saints sont dans la corruption ; beaucoup de couvents ne sont plus les maisons de Dieu, mais les pâturages d'Asmodée et des siens.

Ce sera pendant ce temps que naîtra l'antéchrist, d'une religieuse hébraïque, d'une fausse vierge qui aura communication avec le vieux serpent, le maître de l'impureté ; son père sera évêque. En naissant, il vomira des blasphèmes, il aura des dents ; en un mot, ce sera le diable incarné ; il poussera des cris effrayants, il fera des prodiges, il ne se nourrira que d'impuretés. Il aura des frères qui, quoiqu'ils ne soient pas comme lui des démons incarnés, seront des enfants de mal ; à douze ans, ils se feront remarquer par leurs vaillantes victoires qu'ils remporteront ; bientôt, ils seront chacun à la tête des armées, assistés par des légions de l'enfer.

Les saisons seront changées, la terre ne produira que
de mauvais fruits, les astres perdront leurs mouvements réguliers, la lune ne reflétera qu'une faible lumière rougeâtre ; l'eau et le feu donneront au globe de la terre des mouvements convulsifs et d'horribles tremblements de terre qui feront engloutir des montagnes, des villes,...

Rome perdra la foi et deviendra le siège de l'antéchrist.

Les démons de l'air avec l'antéchrist feront de grands prodiges sur la terre et dans les airs et les hommes se pervertiront de plus en plus. Dieu aura soin de ses fidèles serviteurs et des hommes de bonne volonté ; l'Évangile sera prêché partout ; tous les peuples et toutes les nations auront connaissance de la vérité !

J'adresse un pressant appel à la terre ; j'appelle les vrais disciples du Dieu vivant et régnant dans les cieux ; j'appelle les vrais imitateurs du Christ fait homme, le seul et vrai Sauveur des hommes ; j'appelle mes enfants, mes vrais dévots, ceux qui se sont donnés à moi pour que je les conduise à mon divin Fils, ceux que je porte pour ainsi dire dans mes bras, ceux qui ont
vécu de mon esprit ; enfin, j'appelle les Apôtres des derniers temps, les fidèles disciples de Jésus-Christ qui ont vécu dans un mépris du monde et d'eux-mêmes, dans la pauvreté et dans l'humilité, dans le mépris et le silence, dans l'oraison et dans la mortification, dans la chasteté et dans l'union avec Dieu, dans la souffrance et inconnus du monde. Il est temps qu'ils sortent et vienne éclairer la terre. Allez et montrez-vous comme mes
enfants chéris ; je suis avec vous en vous pourvu que votre foi soit la lumière qui vous éclaire dans ces jours de malheurs. Que votre zèle vous rende comme des affamés pour la gloire et l'honneur de Jésus-Christ. Combattez, enfants de lumière, vous petit nombre qui y voyez ; car voici le temps des temps, la fin des fins.

L'Eglise sera éclipsée, le monde sera dans la consternation. Mais voilà Enoch et Elie remplis de l'Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu, et beaucoup d'âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit et condamneront les
erreurs diaboliques de l'antéchrist.

Malheur aux habitants de la terre ! Il y aura des guerres sanglantes
et des famines, des pestes et des maladies contagieuses ; il y aura des pluies d'une grêle effroyable ; des tonnerres qui ébranleront des villes ; des tremblements de terre qui engloutiront des pays ; on entendra des voix dans les airs ; les hommes se battront la tête contre les murailles ; ils appelleront la mort et, d'un autre côté, la mort sera leur supplice ; le sang coulera de tous côtés. Qui pourra vaincre, si Dieu ne diminue le temps de l'épreuve ? Par le sang, les larmes et les prières des justes, Dieu se laissera fléchir ; Enoch
et Elie seront mis à mort ; Rome païenne disparaîtra ; le feu du Ciel tombera et consumera trois villes ; tout l'univers sera frappé de terreur, et beaucoup se laisseront séduire parce qu'ils n'ont pas adoré le vrai Christ vivant parmi eux.

Il est temps ; le soleil s'obscurcit ; la foi seule vivra. Voici le temps ; l'abîme s'ouvre. Voici le roi des rois des ténèbres. Voici
la bête avec ses sujets, se disant le sauveur du monde. Il s'élèvera avec orgueil dans les airs pour aller jusqu'au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de Saint Michel Archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours, sera en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé pour
jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l'enfer. Alors, l'eau et le feu purifieront la terre et consumeront toutes les œuvres de l'orgueil de l'homme, et tout sera renouvelé : Dieu sera servi et glorifié ».

NB : Ce texte s'actualise de manière particulière en nos temps et ceux qui sont à nos portes où la Sainte Église sera persécutée au point de ne plus pouvoir célébrer la Sainte Messe.

Beaucoup d'Eglises risquent d'être pillées afin de détruire et surtout de profaner la présence Eucharistique du Christ dans ses Saintes Hosties.

Notons ici que dans une version plus courte Mélanie Calvat précisait qu'il ne passerait pas deux fois 50 ans que l'Antichrist ne naisse, comme notre Seigneur le signifiât également à Maria Valtorta.

Rappelons en dernier lieu que Mélanie a rédigé ce secret par rapport à une vision qu'elle eut lors de l'unique apparition de 1846.

Ainsi, selon le commentaire théologique du Cardinal Joseph Ratzinger, concernant les révélations privées, le récit n’implique pas nécessairement toujours un ordre chronologique dans la succession des évènements.

SOURCE : Information puisée sur un autre Forum

_________________
"N'éteignez pas l'Esprit, ne dépréciez pas les dons de prophétie; mais vérifiez tout : ce qui est bon, retenez-le; gardez-vous de toute espèce de mal." 1 Thess 5, 19-22

*Venez prier et adorer en direct sur le Forum VSJ via le Web* :

http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/
Octo
Octo
C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !

Messages : 16990
Date d'inscription : 15/12/2009
Age : 123
Localisation : Montréal, QUÉBEC

http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/

Revenir en haut Aller en bas

Lettre donnée du Vatican du 6 mai 1996 sur La Salette ! Empty Re: Lettre donnée du Vatican du 6 mai 1996 sur La Salette !

Message  Octo Lun 30 Aoû 2010 - 20:47



Stella Maris : sept 2002

Lettre donnée du Vatican du 6 mai 1996 sur La Salette ! Sm_38410

Les Pères Michel Corteville et René Laurentin viennent de publier chez Fayard, «Découverte du secret de La Salette, au-delà des polémiques, la vérité sur l’apparition et ses voyants». Un livre passionnant!

L’unique apparition de La Salette à deux bergers des Alpes, Maximin et Mélanie (19 septembre 1846), fut la première reconnue du XIXe siècle. Elle eut un grand impact, mais à travers des conflits séculaires qui montèrent d’emblée jusqu’au Pape et à l’Empereur, et se sont multipliés jusqu’à ce jour, avec passions, interdits et polémiques sans fin, du fait qu’on discutait sans fondement sur l’inconnu, avec la même gratuité que sur le secret de Fatima avant sa révélation le 13 mai 2000. Le livre de Michel Corteville et R. Laurentin pose, éclaire, et résout en bon ordre les questions inextricablement discutées. Les documents nouveaux et adéquats publiés dans ce livre nous situent au-delà des confusions qui opposèrent une partie prédominante du clergé à de grands esprits, comme Claudel, Maritain et Massignon, défenseurs des voyants diffamés. La page est tournée.

Valeur du secret de La Salette

La découverte fondamentale de Michel Corteville, c’est le secret officiel. Il fut enregistré et scellé les 3 et 5 juillet 1851 par l’évêque de Grenoble, Mgr de Bruillard, et dépêché en mains propres au Pape Pie IX par une délégation exprès... bien avant le Chemin de fer Paris-Rome. Pie IX, ainsi personnellement saisi, encouragea Mgr de Bruillard à reconnaître l’apparition, et son successeur à la défendre contre un prêtre contestataire. Depuis lors, le secret avait disparu. Le meilleur spécialiste, le Père Stern, après de multiples investigations, n’avait pas abouti. Michel Corteville l’a retrouvé à Rome, où les archives se sont ouvertes, en septembre 1999.

Les rédactions ultérieures, faites «de bric et de broc» par les deux bergers de La Salette, étaient considérées par les «doctes» comme extrapolations subjectives. Or, les prétendues «extrapolations» figurent bien dans les rédactions premières et officielles (dont la netteté s’estompe au contraire dans les rédactions ultérieures): la chute de l’Empire: la perte de la foi en France vers «l’an 2000»; le «Pape» de l’avenir: que «personne n’attend» ; «on lui tirera dessus pour le mettre à mort, mais on ne lui pourra rien»: formulation plus exacte que le secret de Fatima, où le Pape est tué sur une montagne, parmi d’autres martyrs, par une troupe, alors qu’il fut seulement blessé par un tueur sur la Place Saint-Pierre.

Que penser des voyants ?

Les deux voyants furent critiqués et méprisés: de minables paysans illettrés, incohérents, sans valeur humaine et spirituelle. On avait dit cela d’abord de «l’ignorante» Bernadette de Lourdes, mais elle fut réhabilitée et canonisée. Pour les deux bergers. de La Salette, au contraire, la critique n’a cessé de se durcir. Elle s’est armée de psychologie scientifique pour le centenaire de 1946: Mélanie est «hystérique» et instable: Maximin, l’incohérence même, concluait avec d’autres le Père Jaouen.

L’étude intégrale des documents les réhabilite. Ces deux bergers ont une remarquable culture paysanne. L’un et l’autre, sans formation scolaire, savent écrire avec une naïveté, une clarté, une frappe de style qui avaient conquis Claudel (longtemps boudé par l’Académie), autant que Maritain, Massignon, ou, plus tôt, Huysmans et Léon Bloy. Les deux voyants manifestent toute leur intelligence, leur bon sens populaire et leur cohérence quand ils témoignent de l’apparition, jusqu’à la fin de leur vie, vouée sans réserve à leur mission: «Faites-le passer à tout mon peuple».

Si leur vie paraît gyrovague, donc incohérente, ce n’est pas de leur faute. C’est qu’ils ont été chassés de leur pays natal, de leur milieu, sans autre repère ni attache que leur inexpérience et leurs amis. Le livre détaille tous ces avatars.

Maximin fut renvoyé du séminaire sur ordre de Mgr Ginoulhiac. Il échoua au grand Séminaire de Dax, où il hésitait à entrer dans le rang clérical; il se passionna pour la médecine à Paris, mais après deux ans d’études, un de ses professeurs l’arrêta en disant:

Vous êtes connu comme voyant; les clients viendront à vous comme voyant et non comme médecin. Ce serait malsain, voire malhonnête.
Ainsi rejeté de partout, il vécut entre charité et misère noire. Pour Mélanie, l’exil fut plus radical. Malgré les problèmes de sa vie mystique («redimensionnement» bien décrit par Bergson, sévices du démon, stigmates, bien identifiés par les Sœurs qui avaient le sens spirituel), elle fut admise aux vœux dans leur communauté de la Providence, à l’unanimité. Mais Mgr Ginoulhiac récusa la décision.

Il envoya Mélanie prendre l’habit ailleurs, à Valence, mais sans vocation pour cet autre ordre estimable. Elle jeta des messages par-dessus le mur pour demander sa légitime libération (ce qui la fit taxer de capricieuse). L’évêque l’expédia alors à Dadington en Angleterre, où, malgré le problème de langue (qu’elle apprit), elle trouva vite de l’aide et même des vocations pour réaliser l’Ordre que la Vierge «lui demandait de fonder». Mais on interrompit ces contacts en l’introduisant dans la clôture du Carmel. Elle accepta finalement d’y faire ses vœux, mais avec une restriction mentale, car elle savait devoir rester disponible aux ordres de la Vierge, qui pouvait l’entraîner ailleurs, A partir de 1858, elle se sent effectivement appelée à témoigner, envoyant à Pie IX la rédaction complète du secret, En 1860, elle finit par jeter des messages par-dessus le mur pour obtenir sa libération…

A Marseille, ses aventures furent plus complexes, y compris un nouvel essai au Carmel, et deux années en Grèce, où les Sœurs de la Compassion l’envoyèrent pour secourir et transférer un orphelinat en perdition: mission réussie, malgré la langue. Au retour, elle enseigne chez les mêmes sœurs, jamais inactive, toujours serviable. Là, elle fait connaissance de Mgr Petagna, évêque italien qui devient son confesseur. Il l’invite en Italie, où elle trouve enfin compréhension, à partir de 1868. Dix ans plus tard, elle est reçue en audience privée par Léon XIII, qui veut la renvoyer à La Salette pour diffuser le message et fonder son Ordre. Mais, très lucide, elle l’avertit: «Je ne serai pas acceptée»: Mgr Fava, alors évêque de Grenoble, qui s’est rendu à Rome, a en effet d’autres projets. (Le livre édite le récit de l’audience.)

A défaut de fonder son Ordre en France, Mélanie sera recrutée en Sicile, d’abord par Giacomo Cusmano, puis par Annibale di Francia, aujourd’hui béatifiés. Ce dernier l’a déclarée cofondatrice de ses religieuses, qui se sont développées. Il fit son panégyrique à Altamura, établit sa tombe dans la chapelle de ses Sœurs, et souhaitait sa béatification.

Alors pourquoi cette élimination des deux voyants ?

Mgr Ginoulhiac avait à résoudre un problème politique pour la paix de l’Eglise sous le régime de Napoléon III. L’Empire avait soutenu sa nomination d’évêque contre les réticences de Rome et le promut finalement Primat des Gaules à Lyon. Or le secret de La Salette annonçait la chute de l’Empire: «L’Aiglon déplumé».
Le seul moyen de tout arranger entre l’Eglise et l’Etat était de continuer le pèlerinage, comme le Pape y invitait, en larguant les voyants. La comtesse Pauline de Nicolaï (fausse mystique, dénoncée plus tard à Rome) intriguait alors à La Salette pour fonder un Ordre de religieuses au service du pèlerinage, à la place de Mélanie, qui proposait une règle de vie reçue de l’apparition. Elle dénonça son «illusion», ou «pire», et conclut:

«Sa mission a fini quand la vôtre commençait» (lettre du 1 juin 1854).

L’année suivante, le 19 septembre 1855 dans son homélie solennelle pour l’anniversaire de l’unique apparition, devant une foule de milliers de pèlerins, Mgr Ginoulhiac donna forme officielle et lapidaire à cette maxime: La mission des bergers est finie, celle de l’Eglise commence.

Quantité de documents réhabilitent les deux voyants: ils furent de bons chrétiens, pénétrés de leur mission à laquelle ils voulaient invinciblement consacrer toute leur vie, ce qu’ils ne purent faire que marginalement, dans l’obéissance constante aux autorités.

D’où la vie difficile de Maximin qui oscille entre diverses tentatives, y compris le commerce d’un élixir, mais l’Eglise le lui reprocha et son associé le grugea. Il mourut pleinement abandonné à Dieu. Il a laissé un testament lucide et cohérent. Mélanie fut plus cohérente encore, à travers plus d’entraves et de contradictions. Mais ses écrits comme ses guides spirituels révèlent une vraie mystique, persévérante dans son témoignage à temps et contretemps, ses projets irrévocables et sa charité à toute épreuve, qui est d’abord celle de la vérité, manifestée parfois de manière crue. L’impiété et l’indifférence enflamment sa plume; l’hypocrisie, la langue de bois et les «passe-passe» sont à l’opposé de son style.

Malgré son langage élémentaire, elle exprime (aussi aisément en italien qu’en français), en termes justes et neufs qui ne trompent pas, sa vie profonde. L’expression de la vie mystique dépasse toujours les saints les plus cultivés. Il est d’autant plus remarquable qu’elle le dise en termes simples et imagés qui ne sont qu’à elle. Ce livre est donc révélateur: il éclaire l’histoire, la spiritualité mais aussi l’étrange situation des apparitions fréquentes tout au long de l’Ancien Testament comme du Nouveau et dans l’Eglise jusqu’à nos jours. Mais les apparitions sont le secteur le plus mal étudié de toute la théologie, le plus livré à la confusion et aux tâtonnements, en même temps que le plus difficile à discerner. Cela met souvent les voyants dans des situations éprouvantes et réprimées, même quand ce n’est pas leur faute, selon la parole du Christ: Bienheureux ceux qui n’ont pas vu mais qui ont cru (Jn 20).

Les voyants de La Salette ont payé un tribut particulièrement lourd. On a caché leurs tribulations dans le souci de mieux justifier la position critique aujourd’hui dépassée. Ce livre produit des raisons de les réhabiliter.

Apparitions et vie de l’Eglise

De façon plus générale, les apparitions ont un statut très médiocre et incertain dans l’Eglise. Bien que les apparitions du Christ ressuscité soient le fondement de la foi, selon l’Apôtre Paul (1 Co.15), les apparitions ultérieures ressemblent à des «faits divers» dont on souligne l’incertitude. Pourtant les grandes apparitions reconnues ont fondé les plus grands sanctuaires de la planète (Rome excepté): Guadalupe au Mexique, Aparecida au Brésil, la Médaille miraculeuse à la Rue du Bac, Lourdes, Fatima... et tant d’autres, sans parler du succès contesté des apparitions actuelles.

En ce domaine mal élucidé, l’Eglise continue avec raison de faire preuve de sa prudence et de sa circonspection: elle évite la hâte dans le discernement, et n’engage pas son autorité dogmatique. Le nouveau livre sur La Salette apporte des lumières pour la solution de ce problème, que l’événement de la révélation officielle du Secret de Fatima a remis d’actualité.

René Laurentin

(Extrait de «L’impartial», 12, Avenue du Train d’Or, F-49600 Beaupréau)
Littérature:
«Découverte du secret de La Salette», 264 p., disponible au Parvis E 20.– CHF 32.–

_________________
"N'éteignez pas l'Esprit, ne dépréciez pas les dons de prophétie; mais vérifiez tout : ce qui est bon, retenez-le; gardez-vous de toute espèce de mal." 1 Thess 5, 19-22

*Venez prier et adorer en direct sur le Forum VSJ via le Web* :

http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/
Octo
Octo
C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !

Messages : 16990
Date d'inscription : 15/12/2009
Age : 123
Localisation : Montréal, QUÉBEC

http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum