La naissance de Jésus par Maria Valtorta
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Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: Maria Valtorta (Italie)
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La naissance de Jésus par Maria Valtorta
LA NAISSANCE DE JÉSUS PAR MARIA VALTORTA
Pourquoi la crèche n’a rien à envier à ces décorations passagères ?
Un faisceau de lumière lunaire se glisse par une fissure du plafond et semble une lame immatérielle d’argent qui s’en va chercher Marie.
Il s’allonge peu à peu à mesure que la lune s’élève dans le ciel et l’atteint finalement. Le voilà sur la tête de l’orante. Il la nimbe d’une blancheur éclatante.
Marie lève la tête comme pour un appel du ciel et elle s’agenouille de nouveau.
Oh ! comme c’est beau ici ! Elle lève sa tête qui semble resplendir de la lumière blanche de la lune, et elle est transfigurée par un sourire qui n’est pas humain.
Que voit-elle ?
Qu’entend-elle ?
Qu’éprouve-t-elle ?
Il n’y a qu’elle qui pourrait dire ce qu’elle vit, entendit, éprouva à l’heure fulgurante de sa Maternité.
Je me rends seulement compte qu’autour d’elle la lumière croit, croit, croit. On dirait qu’elle descend du Ciel, qu’elle émane des pauvres choses qui l’environnent, qu’elle émane d’elle surtout.
Son vêtement, d’azur foncé, a à présent la couleur d’un bleu d’une douceur céleste de myosotis, les mains et le visage semblent devenir azurés comme s’ils étaient sous le feu d’un immense et clair saphir.
Cette couleur me rappelle, bien que plus légère, celle que je découvre dans la vision du saint Paradis et aussi celle de la vision de l’arrivée des Mages. Elle se diffuse surtout toujours plus sur les choses, les revêt, les purifie, leur communique sa splendeur.
La lumière se dégage toujours plus du corps de Marie, absorbe celle de la lune, on dirait qu’elle attire en elle tout ce qui peut arriver du ciel.
Désormais, c’est elle qui est la Dépositaire de la Lumière, celle qui doit donner cette Lumière au monde.
Et cette radieuse, irrésistible, incommensurable, éternelle, divine Lumière qui va être donnée au monde, s’annonce avec une aube, une diane, un éveil de la lumière, un chœur d’atomes lumineux qui grandit, s’étale comme une marée qui monte, monte en immenses volutes d’encens, qui descend comme un torrent, qui se déploie comme un voile…
La voûte, couverte de fissures, de toiles d’araignées, de décombres en saillie qui semblent miraculeusement équilibrées, noire, fumeuse, repoussante, semble la voûte d’une salle royale.
Chaque pierre est un bloc d’argent, chaque fissure une clarté opaline, chaque toile d’araignée un baldaquin broché d’argent et de diamants.
Un gros lézard, engourdi entre deux blocs de pierre, semble un collier d’émeraude oublié là, par une reine; une grappe de chauve-souris engourdies émettent une précieuse clarté d’onyx.
Le foin qui pend de la mangeoire la plus haute n’est plus de l’herbe : ce sont des fils et des fils d’argent pur qui tremblent dans l’air avec la grâce d’une chevelure flottante.
La mangeoire inférieure, en bois grossier, est devenue un bloc d’argent bruni. Les murs sont couverts d’un brocart où la blancheur de la soie disparaît sous une broderie de perles en relief.
Et le sol… qu’est-ce maintenant le sol ? Un cristal illuminé par une lumière blanche. Les saillies semblent des roses lumineuses jetées sur le sol en signe d’hommage; et les trous, des coupes précieuses, d’où se dégagent des arômes et des parfums.
Et la lumière croît de plus en plus. L’œil ne peut la supporter.
En elle, comme absorbée par un voile de lumière incandescente, disparaît la Vierge… et en émerge la Mère.
Oui, quand la lumière devient supportable pour mes yeux, je vois Marie avec son fils nouveau-né dans ses bras.
Un petit Bébé rose et grassouillet qui s’agite et se débat avec ses mains grosses comme un bouton de rose et des petits pieds qui iraient bien dans le cœur d’une rose; qui vagit d’une voix tremblotante exactement comme celle d’un petit agneau qui vient de naître, ouvrant la bouche, rouge comme une petite fraise de bois, montrant sa petite langue qui bat contre son palais couleur de rose; qui remue sa petite tête si blonde qu’on la croirait sans cheveux, une petite tête ronde que la Maman soutient dans le creux de l’une de ses mains pendant qu’elle regarde son Bébé et l’adore, pleurant et riant tout ensemble et qu’elle s’incline pour y déposer un baiser, non pas sur la tête innocente, mais sur le milieu de la poitrine sous lequel se trouve le petit cœur, qui bat, qui bat pour nous… là où un jour sera la blessure. Elle la panse d’avance, cette blessure, sa Maman, avec son pur baiser d’Immaculée.
Le bœuf éveillé par la clarté se dresse avec un grand bruit de sabots et il mugit. L’âne relève la tête et brait. C’est la lumière qui les réveille, mais j’aime penser qu’ils ont voulu saluer leur Créateur pour eux-mêmes et pour tous les animaux.
Joseph aussi, qui comme extasié priait avec autant d’intensité qu’il s’était abstrait de tout ce qui l’entourait, se secoue et entre ses doigts dont il se couvre le visage, il voit filtrer la lumière étrange.
Il découvre le visage, lève la tête, se retourne. Le bœuf debout, lui cache Marie, mais elle l’appelle : "Joseph, viens."
Joseph accourt et devant le spectacle s’arrête comme foudroyé de révérence, il va tomber à genoux là où il se trouve.
Mais Marie insiste : "Viens, Joseph." Elle appuie la main gauche sur le foin et tenant de la main droite l’Enfant qu’Elle serre sur son cœur, elle se lève et se dirige vers Joseph qui marche hésitant, pris entre le désir d’avancer et la peur d’être irrespectueux.
Pourquoi la crèche n’a rien à envier à ces décorations passagères ?
Un faisceau de lumière lunaire se glisse par une fissure du plafond et semble une lame immatérielle d’argent qui s’en va chercher Marie.
Il s’allonge peu à peu à mesure que la lune s’élève dans le ciel et l’atteint finalement. Le voilà sur la tête de l’orante. Il la nimbe d’une blancheur éclatante.
Marie lève la tête comme pour un appel du ciel et elle s’agenouille de nouveau.
Oh ! comme c’est beau ici ! Elle lève sa tête qui semble resplendir de la lumière blanche de la lune, et elle est transfigurée par un sourire qui n’est pas humain.
Que voit-elle ?
Qu’entend-elle ?
Qu’éprouve-t-elle ?
Il n’y a qu’elle qui pourrait dire ce qu’elle vit, entendit, éprouva à l’heure fulgurante de sa Maternité.
Je me rends seulement compte qu’autour d’elle la lumière croit, croit, croit. On dirait qu’elle descend du Ciel, qu’elle émane des pauvres choses qui l’environnent, qu’elle émane d’elle surtout.
Son vêtement, d’azur foncé, a à présent la couleur d’un bleu d’une douceur céleste de myosotis, les mains et le visage semblent devenir azurés comme s’ils étaient sous le feu d’un immense et clair saphir.
Cette couleur me rappelle, bien que plus légère, celle que je découvre dans la vision du saint Paradis et aussi celle de la vision de l’arrivée des Mages. Elle se diffuse surtout toujours plus sur les choses, les revêt, les purifie, leur communique sa splendeur.
La lumière se dégage toujours plus du corps de Marie, absorbe celle de la lune, on dirait qu’elle attire en elle tout ce qui peut arriver du ciel.
Désormais, c’est elle qui est la Dépositaire de la Lumière, celle qui doit donner cette Lumière au monde.
Et cette radieuse, irrésistible, incommensurable, éternelle, divine Lumière qui va être donnée au monde, s’annonce avec une aube, une diane, un éveil de la lumière, un chœur d’atomes lumineux qui grandit, s’étale comme une marée qui monte, monte en immenses volutes d’encens, qui descend comme un torrent, qui se déploie comme un voile…
La voûte, couverte de fissures, de toiles d’araignées, de décombres en saillie qui semblent miraculeusement équilibrées, noire, fumeuse, repoussante, semble la voûte d’une salle royale.
Chaque pierre est un bloc d’argent, chaque fissure une clarté opaline, chaque toile d’araignée un baldaquin broché d’argent et de diamants.
Un gros lézard, engourdi entre deux blocs de pierre, semble un collier d’émeraude oublié là, par une reine; une grappe de chauve-souris engourdies émettent une précieuse clarté d’onyx.
Le foin qui pend de la mangeoire la plus haute n’est plus de l’herbe : ce sont des fils et des fils d’argent pur qui tremblent dans l’air avec la grâce d’une chevelure flottante.
La mangeoire inférieure, en bois grossier, est devenue un bloc d’argent bruni. Les murs sont couverts d’un brocart où la blancheur de la soie disparaît sous une broderie de perles en relief.
Et le sol… qu’est-ce maintenant le sol ? Un cristal illuminé par une lumière blanche. Les saillies semblent des roses lumineuses jetées sur le sol en signe d’hommage; et les trous, des coupes précieuses, d’où se dégagent des arômes et des parfums.
Et la lumière croît de plus en plus. L’œil ne peut la supporter.
En elle, comme absorbée par un voile de lumière incandescente, disparaît la Vierge… et en émerge la Mère.
Oui, quand la lumière devient supportable pour mes yeux, je vois Marie avec son fils nouveau-né dans ses bras.
Un petit Bébé rose et grassouillet qui s’agite et se débat avec ses mains grosses comme un bouton de rose et des petits pieds qui iraient bien dans le cœur d’une rose; qui vagit d’une voix tremblotante exactement comme celle d’un petit agneau qui vient de naître, ouvrant la bouche, rouge comme une petite fraise de bois, montrant sa petite langue qui bat contre son palais couleur de rose; qui remue sa petite tête si blonde qu’on la croirait sans cheveux, une petite tête ronde que la Maman soutient dans le creux de l’une de ses mains pendant qu’elle regarde son Bébé et l’adore, pleurant et riant tout ensemble et qu’elle s’incline pour y déposer un baiser, non pas sur la tête innocente, mais sur le milieu de la poitrine sous lequel se trouve le petit cœur, qui bat, qui bat pour nous… là où un jour sera la blessure. Elle la panse d’avance, cette blessure, sa Maman, avec son pur baiser d’Immaculée.
Le bœuf éveillé par la clarté se dresse avec un grand bruit de sabots et il mugit. L’âne relève la tête et brait. C’est la lumière qui les réveille, mais j’aime penser qu’ils ont voulu saluer leur Créateur pour eux-mêmes et pour tous les animaux.
Joseph aussi, qui comme extasié priait avec autant d’intensité qu’il s’était abstrait de tout ce qui l’entourait, se secoue et entre ses doigts dont il se couvre le visage, il voit filtrer la lumière étrange.
Il découvre le visage, lève la tête, se retourne. Le bœuf debout, lui cache Marie, mais elle l’appelle : "Joseph, viens."
Joseph accourt et devant le spectacle s’arrête comme foudroyé de révérence, il va tomber à genoux là où il se trouve.
Mais Marie insiste : "Viens, Joseph." Elle appuie la main gauche sur le foin et tenant de la main droite l’Enfant qu’Elle serre sur son cœur, elle se lève et se dirige vers Joseph qui marche hésitant, pris entre le désir d’avancer et la peur d’être irrespectueux.
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QUE LA DIVINE VOLONTÉ VOUS COUVRE DE SES AILES!
Francine-2- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 328734
Date d'inscription : 09/09/2012
Age : 89
Localisation : Ville de Saguenay, Province de Québec
Re: La naissance de Jésus par Maria Valtorta
@ Francine 2, merci de nous avoir fait partager, ce merveilleux passage de Maria Valtorta, nous plongeant au coeur de la naissance du Sauveur, on s'y croirait presque. *
stjeanlagneau- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 27850
Date d'inscription : 04/05/2011
Age : 57
Localisation : BRETAGNE
Re: La naissance de Jésus par Maria Valtorta
@ Francine-2 :
Chère Francine-2,
Vous n'avez pas choisi les meilleures couleurs pour faciliter la lecture d'un texte !
Surveillez ça la prochaine fois !
L'Administrateur
Chère Francine-2,
Vous n'avez pas choisi les meilleures couleurs pour faciliter la lecture d'un texte !
Surveillez ça la prochaine fois !
L'Administrateur
_________________
"Le garant de ces révélations l'affirme :
"Oui, mon retour est proche!
Amen, viens, Seigneur Jésus!"
Apocalypse, 22, 20
*Venez prier et adorer en direct sur le Forum VSJ via le Web* :
http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/
Re: La naissance de Jésus par Maria Valtorta
@ Francine-2-Bis :
Haaa.... !
C'est beaucoup mieux comme ça !
J'ai pris le parti de rééditer votre texte en noir, Francine-2 !
L'Administrateur
Haaa.... !
C'est beaucoup mieux comme ça !
J'ai pris le parti de rééditer votre texte en noir, Francine-2 !
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"Le garant de ces révélations l'affirme :
"Oui, mon retour est proche!
Amen, viens, Seigneur Jésus!"
Apocalypse, 22, 20
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Re: La naissance de Jésus par Maria Valtorta
@ Admin
Merci beaucoup.
C'est vrai que les couleurs sont inadéquates. Quand j'ai vu tout cela il était trop tard.
J'ai failli vous demander de corriger en noir mais cela me gênait de vous déranger.
Voilà mon coeur danse de joie grâce à votre bienveillance.
Merci infiniment car j'étais désolée de faire lire ce texte en si petit format avec les mauvaises couleurs.
Et en plus, il y avait un petit malin qui m'a bloqué bien des fois lorsque je voilais envoyer le texte. Il m'a même enlevé les images.
Merci beaucoup.
C'est vrai que les couleurs sont inadéquates. Quand j'ai vu tout cela il était trop tard.
J'ai failli vous demander de corriger en noir mais cela me gênait de vous déranger.
Voilà mon coeur danse de joie grâce à votre bienveillance.
Merci infiniment car j'étais désolée de faire lire ce texte en si petit format avec les mauvaises couleurs.
Et en plus, il y avait un petit malin qui m'a bloqué bien des fois lorsque je voilais envoyer le texte. Il m'a même enlevé les images.
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Francine-2- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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