LES VERITABLES COMMANDITAIRES DE L'ATTENTAT DU PAPE JEAN-PAUL II
Viens, Seigneur Jésus ! :: La Fin des Temps :: Le Satanisme : Nouvel Âge, Ésotérisme, Occultisme et Société secrètes
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LES VERITABLES COMMANDITAIRES DE L'ATTENTAT DU PAPE JEAN-PAUL II
L’humanité entière a été saisie d’effroi par l’attentat qui a été perpétré contre le Pape Jean Paul II, place Saint-Pierre de Rome, le 13 mai 1981.
Mais qui se cache véritablement ce jour là derrière le visage de Mehmet Ali Ağca ? En premier lieu, l’assassin avait d'abord affirmé qu'il avait été chargé d'assassiner le pape par un certain Bechir Celenk, membre de la mafia lié aux services secrets bulgares, ensuite il dira que c’était le ressortissant bulgare Serguei Ali Antonov, chef d'escale de Balkan Air à Rome, arrêté fin 1982, qui aurait agi pour le compte des mêmes services secrets bulgares en lui fournissant le pistolet avec lequel il avait grièvement blessé le Pape Jean-Paul II.
Seulement, ces accusations n'ont jamais été prouvées et Serguei Antonov a été acquitté en 1986 pour « insuffisance de preuves », et ce, même après l'ouverture des archives des services secrets communistes bulgares en 1989.
Dans le même sens, il est bon de savoir que Jean-Paul II lui-même avait déclaré, lors de son voyage en Bulgarie en mai 2002, n’avoir jamais cru à la piste de la « connexion bulgare ». De plus, la Bulgarie et l'URSS nièrent formellement toute implication dans cette tentative d'assassinat, de même que Markus Wolf, ancien maître-espion de la Stasi.
Rappelons enfin la dernière de ses déclarations sur le sujet : « Ali agça comme tout le monde le dit, est un assassin professionnel. Cela veut dire que l’attentat n’était pas dû à son initiative, que c’est quelqu’un d’autre qui l’a fomenté, que quelqu’un d’autre le lui avait commandité » (extrait de l’ouvrage « Mémoire et identité », page 196).
Alors où la vérité se trouve t-elle ?
Pour répondre à cette question, et après ces nécessaires précisions historiques, il convient en premier lieu de s’interroger sur l’identité de ces « ennemis pleins d’astuce [qui] ont comblé d’opprobres et abreuvé d’amertume l’Eglise, épouse de l’Agneau immaculé, et sur ses biens les plus sacrés ils ont porté leurs mains criminelles »
selon les propos du Pape Léon XIII en 1890.
Serait-ce les mêmes qui ont voulu porter atteinte à la vie du Pape Jean-Paul II, puisque toutes les autres pistes sérieuses ont été écartées ?
Je réponds d’emblée affirmativement à la question. Il reste en effet une piste d’investigation qui, étrangement, ou plutôt fort logiquement n’est généralement jamais explorée, concernant un groupuscule de personnes que personne n’inquiète vraiment, surtout de façon directe et manifeste. La raison est simple : elle s’inscrit contre trop d’intérêts dans lesquels sont compromis une multitudes de personnes qui œuvrent en un réseau bien organisé, étendant ses ramifications et organisations dans le monde entier. Ces ennemis sont bien ceux pour lesquels la Sainte Église n’a de cesse de dénoncer les agissements pervers, sournois, occultes et diaboliques.
Vous l’avez bien compris, à l’instar de tous les Souverains Pontifes, je parle de la secte des francs-maçons. Pour s’en convaincre, il s’agit de formuler une unique observation à caractère péremptoire, sachant que « le Seigneur a tout fait avec intention, même le méchant pour le jour du malheur (Pr 16,4) ». C'est-à-dire, entendons-nous bien, que Dieu est le Maître absolu du temps et de l’histoire, et qu’en ce sens, absolument rien n’échappe à sa souveraineté, y compris et surtout les actions mauvaises que l’homme projette de faire.
Bien entendu cela ne signifie aucunement que la Source et l’Auteur de tout bien, puisse être complice d’un quelconque mal ou encore responsable du mal que l’homme commet par sa seule volonté, en utilisant contre lui-même la liberté que Dieu lui a donné en vu du bien commun.
Même si cela peut échapper à beaucoup de nos contemporains, il est un détail qui n’en est pas un, sur lequel le fidèle catholique se doit particulièrement de s’arrêter, à la lumière de l’Esprit Saint : l’heure de l’attentat.
A la page 198 du dernier ouvrage du Pape Jean-Paul II « Mémoire et identité », le Saint Père prend lui-même le soin de souligner à quelle heure l’attentat a été perpétré.
Ce n’est absolument pas sans intentionnalité, car si tel n’était pas le cas, s’il n’y avait pas de raison particulière à cela, le Saint Père se serait simplement contenté de rappeler l’évènement. A quoi peut bien servir que le Saint Père nous rappelle l’heure de l’attentat ?
Le Saint Père nous affirme que l’attentat a précisément été perpétré à 17h17.
4 chiffres 1717…Cela évoque t’il quelque chose pour nous ?
Et bien ! Rappelons-nous que la franc-maçonnerie voit officiellement ses débuts en 1717 en Grande-Bretagne.
L’attentat est donc signé cette fois malgré lui, contrairement à l'assassinat de son prédécesseur le Pape Jean-Paul I er tué bien intentionnellement au bout de 33 jours de pontificat par la loge P2.
Le signe qui nous est donné concernant l'heure de l'attentat ne peut être le fruit du pur hasard, car il est impossible, qu’au milieu des mouvements de foules, l’assassin ait pu préméditer exactement l’heure de l’attentat et le moment précis du passage de la Papa-mobile.
Dieu dans son omnipotence a permis (et non voulu, attention !) qu’il en soit ainsi, afin que nous puissions clairement identifier le commanditaire de l’attentat, qui n’est autre que la franc-maçonnerie, comme ce fut également le cas pour son prédécesseur.
Pour autant, le Ciel n’a pas permis que le Son Vicaire de la terre soit tué, ce qui est absolument miraculeux, comme le Saint Père l’a lui-même affirmé sans réserve : « ce fut comme si quelqu’un avait guidé et dévié le projectile » (extrait de l’ouvrage « Mémoire et identité », page 191). En ce sens, un an après jour pour jour après l’attentat, le 13 mai 1982, Jean-Paul II se rendait au sanctuaire de Fatima au Portugal, pour remercier la « main maternelle » de la Vierge Marie qui avait dévié le projectile.
Jean-Paul II aurait dû mourir, d’ailleurs le Saint Père confiait à ce sujet, lors de sa visite à l’auteur de l’attentat en prison Noël 1983 : « Durant tout l’entretien il parut clair qu’Ali Agça continuait à se demander pourquoi l’attentat n’avait pas réussi » (extrait de l’ouvrage « Mémoire et identité », page 196).
Mais qui se cache véritablement ce jour là derrière le visage de Mehmet Ali Ağca ? En premier lieu, l’assassin avait d'abord affirmé qu'il avait été chargé d'assassiner le pape par un certain Bechir Celenk, membre de la mafia lié aux services secrets bulgares, ensuite il dira que c’était le ressortissant bulgare Serguei Ali Antonov, chef d'escale de Balkan Air à Rome, arrêté fin 1982, qui aurait agi pour le compte des mêmes services secrets bulgares en lui fournissant le pistolet avec lequel il avait grièvement blessé le Pape Jean-Paul II.
Seulement, ces accusations n'ont jamais été prouvées et Serguei Antonov a été acquitté en 1986 pour « insuffisance de preuves », et ce, même après l'ouverture des archives des services secrets communistes bulgares en 1989.
Dans le même sens, il est bon de savoir que Jean-Paul II lui-même avait déclaré, lors de son voyage en Bulgarie en mai 2002, n’avoir jamais cru à la piste de la « connexion bulgare ». De plus, la Bulgarie et l'URSS nièrent formellement toute implication dans cette tentative d'assassinat, de même que Markus Wolf, ancien maître-espion de la Stasi.
Rappelons enfin la dernière de ses déclarations sur le sujet : « Ali agça comme tout le monde le dit, est un assassin professionnel. Cela veut dire que l’attentat n’était pas dû à son initiative, que c’est quelqu’un d’autre qui l’a fomenté, que quelqu’un d’autre le lui avait commandité » (extrait de l’ouvrage « Mémoire et identité », page 196).
Alors où la vérité se trouve t-elle ?
Pour répondre à cette question, et après ces nécessaires précisions historiques, il convient en premier lieu de s’interroger sur l’identité de ces « ennemis pleins d’astuce [qui] ont comblé d’opprobres et abreuvé d’amertume l’Eglise, épouse de l’Agneau immaculé, et sur ses biens les plus sacrés ils ont porté leurs mains criminelles »
selon les propos du Pape Léon XIII en 1890.
Serait-ce les mêmes qui ont voulu porter atteinte à la vie du Pape Jean-Paul II, puisque toutes les autres pistes sérieuses ont été écartées ?
Je réponds d’emblée affirmativement à la question. Il reste en effet une piste d’investigation qui, étrangement, ou plutôt fort logiquement n’est généralement jamais explorée, concernant un groupuscule de personnes que personne n’inquiète vraiment, surtout de façon directe et manifeste. La raison est simple : elle s’inscrit contre trop d’intérêts dans lesquels sont compromis une multitudes de personnes qui œuvrent en un réseau bien organisé, étendant ses ramifications et organisations dans le monde entier. Ces ennemis sont bien ceux pour lesquels la Sainte Église n’a de cesse de dénoncer les agissements pervers, sournois, occultes et diaboliques.
Vous l’avez bien compris, à l’instar de tous les Souverains Pontifes, je parle de la secte des francs-maçons. Pour s’en convaincre, il s’agit de formuler une unique observation à caractère péremptoire, sachant que « le Seigneur a tout fait avec intention, même le méchant pour le jour du malheur (Pr 16,4) ». C'est-à-dire, entendons-nous bien, que Dieu est le Maître absolu du temps et de l’histoire, et qu’en ce sens, absolument rien n’échappe à sa souveraineté, y compris et surtout les actions mauvaises que l’homme projette de faire.
Bien entendu cela ne signifie aucunement que la Source et l’Auteur de tout bien, puisse être complice d’un quelconque mal ou encore responsable du mal que l’homme commet par sa seule volonté, en utilisant contre lui-même la liberté que Dieu lui a donné en vu du bien commun.
Même si cela peut échapper à beaucoup de nos contemporains, il est un détail qui n’en est pas un, sur lequel le fidèle catholique se doit particulièrement de s’arrêter, à la lumière de l’Esprit Saint : l’heure de l’attentat.
A la page 198 du dernier ouvrage du Pape Jean-Paul II « Mémoire et identité », le Saint Père prend lui-même le soin de souligner à quelle heure l’attentat a été perpétré.
Ce n’est absolument pas sans intentionnalité, car si tel n’était pas le cas, s’il n’y avait pas de raison particulière à cela, le Saint Père se serait simplement contenté de rappeler l’évènement. A quoi peut bien servir que le Saint Père nous rappelle l’heure de l’attentat ?
Le Saint Père nous affirme que l’attentat a précisément été perpétré à 17h17.
4 chiffres 1717…Cela évoque t’il quelque chose pour nous ?
Et bien ! Rappelons-nous que la franc-maçonnerie voit officiellement ses débuts en 1717 en Grande-Bretagne.
L’attentat est donc signé cette fois malgré lui, contrairement à l'assassinat de son prédécesseur le Pape Jean-Paul I er tué bien intentionnellement au bout de 33 jours de pontificat par la loge P2.
Le signe qui nous est donné concernant l'heure de l'attentat ne peut être le fruit du pur hasard, car il est impossible, qu’au milieu des mouvements de foules, l’assassin ait pu préméditer exactement l’heure de l’attentat et le moment précis du passage de la Papa-mobile.
Dieu dans son omnipotence a permis (et non voulu, attention !) qu’il en soit ainsi, afin que nous puissions clairement identifier le commanditaire de l’attentat, qui n’est autre que la franc-maçonnerie, comme ce fut également le cas pour son prédécesseur.
Pour autant, le Ciel n’a pas permis que le Son Vicaire de la terre soit tué, ce qui est absolument miraculeux, comme le Saint Père l’a lui-même affirmé sans réserve : « ce fut comme si quelqu’un avait guidé et dévié le projectile » (extrait de l’ouvrage « Mémoire et identité », page 191). En ce sens, un an après jour pour jour après l’attentat, le 13 mai 1982, Jean-Paul II se rendait au sanctuaire de Fatima au Portugal, pour remercier la « main maternelle » de la Vierge Marie qui avait dévié le projectile.
Jean-Paul II aurait dû mourir, d’ailleurs le Saint Père confiait à ce sujet, lors de sa visite à l’auteur de l’attentat en prison Noël 1983 : « Durant tout l’entretien il parut clair qu’Ali Agça continuait à se demander pourquoi l’attentat n’avait pas réussi » (extrait de l’ouvrage « Mémoire et identité », page 196).
Dernière édition par Joannes Maria le Mar 7 Sep 2010 - 3:41, édité 1 fois
Invité- Invité
merci
Merci pour cette mise en lumière.
Tout se tient en effet,bénie sois la Vierge d'avoir
présevée notre pape tant aimé.
Il est grand notre Dieu,dans tout ce qu'il ordonne,nous
avons sa signature.
Que le Seigneur Deiu d'amour vous bénisse!
Tout se tient en effet,bénie sois la Vierge d'avoir
présevée notre pape tant aimé.
Il est grand notre Dieu,dans tout ce qu'il ordonne,nous
avons sa signature.
Que le Seigneur Deiu d'amour vous bénisse!
Thi-Sianne- Première Demeure : J'évite le péché mortel.
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Date d'inscription : 27/06/2010
Localisation : sud France
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