Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Mali : 53 soldats et 1 civil tués dans une attaque terroriste
L'attaque a été menée contre un camp militaire à Indelimane, près de la frontière avec le Niger. Des soldats maliens sont encore portés disparus. Source AFP
Publié le 02/11/2019 à 02:59 | Le Point.fr
Les renforts depeches sur la zone de l'attaque ont retrouve 54 corps dont un civil. (Illustration).
Les renforts dépêchés sur la zone de l'attaque ont retrouvé 54 corps dont un civil. (Illustration).
SOULEYMANE AG ANARA / AFP
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Très lourd bilan ce vendredi pour l'armée malienne. Elle a fait face à une "attaque terroriste" dont le bilan serait de 54 morts : 53 soldats et 1 civil. Les faits se sont déroulés dans un camp militaire à Indelimane, près de la frontière avec le Niger. "A la suite de l'attaque de la position des Fama (les forces armées maliennes) à Indelimane, les renforts dépêchés ont retrouvé 54 corps dont un civil", soit 53 soldats tués, a annoncé le ministre de la Communication, Yaya Sangaré, vendredi soir sur Twitter.
Yaya Sangare
@YayaBSangare
À la suite de l’attaque de la position des FAMa à Indelimane,les renforts dépêchés ont retrouvé 54 corps dont 1 civil,10 rescapés & constaté des dégâts matériels importants. La situation est sous contrôle.Le ratissage & le processus d’identification des corps se poursuivent.
11
01:00 - 2 nov. 2019
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Voir les autres Tweets de Yaya Sangare
Yaya Sangaré a également fait état de "dix rescapés" et de "dégâts matériels importants" à Indelimane, dans la localité d'Ansongo, dans le secteur de Ménaka (nord-est). Avec l'attaque de vendredi, l'armée malienne subit une de ses plus lourdes pertes depuis plusieurs années.
Lire aussi Mali : quand les djihadistes travaillent à bâtir l'ignorance
Une attaque pas encore revendiquée
Quarante soldats avaient été tués dans deux assauts jihadistes le 30 septembre à Boulkessy et le 1er octobre Mondoro, localités situés dans le sud du pays, près du Burkina Faso, selon un bilan d'un responsable du ministère de la Défense. Plusieurs sources estiment que ce bilan officiel de 40 morts a été sous-évalué.
Lire aussi Mali : les troupes du G5 Sahel dans le viseur des groupes djihadistes
L'attaque à Indelimane n'avait pas encore été revendiquée vendredi soir. Les circonstances de ce nouveau revers militaire n'ont également pas été précisées. "La situation est sous contrôle. Le ratissage et le processus d'identification des corps se poursuivent", a ajouté le ministre Sangaré.
Des soldats maliens portés disparus
Le gouvernement malien a pour sa part fait savoir vendredi soir qu'il "condamnait" cette "attaque terroriste qui a fait des morts, de nombreux blessés et des dégâts matériels du côté des Forces nationales de défense et de sécurité", selon un communiqué antérieur distinct qui ne donne pas de bilan précis. "Des renforts ont été dépêchés pour sécuriser la zone et traquer les assaillants", a ajouté le gouvernement, sans donner de précisions sur ces derniers. Des soldats maliens étaient également portés disparus vendredi, a indiqué à l'Agence France-Presse une source militaire.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l'armée face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes, qui l'ont ensuite évincée. Les jihadistes en ont été en grande partie chassés ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire, qui se poursuit toujours. Cependant les violences jihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires ayant fait des centaines de morts.
L'attaque a été menée contre un camp militaire à Indelimane, près de la frontière avec le Niger. Des soldats maliens sont encore portés disparus. Source AFP
Publié le 02/11/2019 à 02:59 | Le Point.fr
Les renforts depeches sur la zone de l'attaque ont retrouve 54 corps dont un civil. (Illustration).
Les renforts dépêchés sur la zone de l'attaque ont retrouvé 54 corps dont un civil. (Illustration).
SOULEYMANE AG ANARA / AFP
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Très lourd bilan ce vendredi pour l'armée malienne. Elle a fait face à une "attaque terroriste" dont le bilan serait de 54 morts : 53 soldats et 1 civil. Les faits se sont déroulés dans un camp militaire à Indelimane, près de la frontière avec le Niger. "A la suite de l'attaque de la position des Fama (les forces armées maliennes) à Indelimane, les renforts dépêchés ont retrouvé 54 corps dont un civil", soit 53 soldats tués, a annoncé le ministre de la Communication, Yaya Sangaré, vendredi soir sur Twitter.
Yaya Sangare
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À la suite de l’attaque de la position des FAMa à Indelimane,les renforts dépêchés ont retrouvé 54 corps dont 1 civil,10 rescapés & constaté des dégâts matériels importants. La situation est sous contrôle.Le ratissage & le processus d’identification des corps se poursuivent.
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Yaya Sangaré a également fait état de "dix rescapés" et de "dégâts matériels importants" à Indelimane, dans la localité d'Ansongo, dans le secteur de Ménaka (nord-est). Avec l'attaque de vendredi, l'armée malienne subit une de ses plus lourdes pertes depuis plusieurs années.
Lire aussi Mali : quand les djihadistes travaillent à bâtir l'ignorance
Une attaque pas encore revendiquée
Quarante soldats avaient été tués dans deux assauts jihadistes le 30 septembre à Boulkessy et le 1er octobre Mondoro, localités situés dans le sud du pays, près du Burkina Faso, selon un bilan d'un responsable du ministère de la Défense. Plusieurs sources estiment que ce bilan officiel de 40 morts a été sous-évalué.
Lire aussi Mali : les troupes du G5 Sahel dans le viseur des groupes djihadistes
L'attaque à Indelimane n'avait pas encore été revendiquée vendredi soir. Les circonstances de ce nouveau revers militaire n'ont également pas été précisées. "La situation est sous contrôle. Le ratissage et le processus d'identification des corps se poursuivent", a ajouté le ministre Sangaré.
Des soldats maliens portés disparus
Le gouvernement malien a pour sa part fait savoir vendredi soir qu'il "condamnait" cette "attaque terroriste qui a fait des morts, de nombreux blessés et des dégâts matériels du côté des Forces nationales de défense et de sécurité", selon un communiqué antérieur distinct qui ne donne pas de bilan précis. "Des renforts ont été dépêchés pour sécuriser la zone et traquer les assaillants", a ajouté le gouvernement, sans donner de précisions sur ces derniers. Des soldats maliens étaient également portés disparus vendredi, a indiqué à l'Agence France-Presse une source militaire.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l'armée face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes, qui l'ont ensuite évincée. Les jihadistes en ont été en grande partie chassés ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire, qui se poursuit toujours. Cependant les violences jihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires ayant fait des centaines de morts.
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Bolivie: huit morts dans les heurts mardi entre force de l'ordre et manifestants
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 10 min
Huit personnes sont mortes dans les heurts survenus mardi entre des partisans de l'ex-président Evo Morales et les forces de l'ordre boliviennes près d'une raffinerie à quelques kilomètres de La Paz, selon un nouveau bilan communiqué mercredi par le parquet.
À lire aussi : Evo Morales parti, la Bolivie reste divisée
Ce nouveau bilan porte à 32 le nombre de personnes tuées dans les violences qui secouent le pays sud-américain depuis la présidentielle controversée du 20 octobre qu'Evo Morales avait affirmé avoir remportée, avant de démissionner trois semaines plus tard sous la pression de la rue et après avoir été lâché par l'armée.
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 10 min
Huit personnes sont mortes dans les heurts survenus mardi entre des partisans de l'ex-président Evo Morales et les forces de l'ordre boliviennes près d'une raffinerie à quelques kilomètres de La Paz, selon un nouveau bilan communiqué mercredi par le parquet.
À lire aussi : Evo Morales parti, la Bolivie reste divisée
Ce nouveau bilan porte à 32 le nombre de personnes tuées dans les violences qui secouent le pays sud-américain depuis la présidentielle controversée du 20 octobre qu'Evo Morales avait affirmé avoir remportée, avant de démissionner trois semaines plus tard sous la pression de la rue et après avoir été lâché par l'armée.
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
RDC: nouvelles tueries à Beni, au moins 14 morts depuis lundi
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 3 heures
Au moins 14 civils ont été massacrés depuis lundi lors de nouvelles tueries signalées dans la région de Beni, dans l'est de la République démocratique du Congo, ont annoncé jeudi des sources au sein de l'administration et de la société civils.
À lire aussi : Félix Tshisekedi: «Le Congo vit une expérience délicate»
Ni l'armée congolaise ni la Mission des Nations unies au Congo (Monusco) n'ont confirmé ce bilan. L'armée et les Casques bleus ont annoncé des actions conjointes dans la région de Beni contre les groupes armés.
«Trois personnes ont été tuées dans la nuit de mercredi à jeudi à Oicha (30 km au nord de Beni)», a déclaré à l'AFP Donat Kibwana, administrateur du territoire de Beni (Nord-Kivu). Ce responsable politico-administratif attribue l'attaque au groupe armé «ADF (Forces démocratiques alliées), au vu du mode opératoire. Il n'y a pas de doute».
Par ailleurs, onze cadavres ont été retrouvés et enterrés mercredi à Orototo, près de la frontière avec l'Ouganda, selon David Mowaze, président de la société civile de la chefferie de Watalinga. «9 femmes et 2 hommes ont été massacrés à Orototo dans la nuit de lundi 2 à mardi 3 décembre», a détaillé le mouvement citoyen Lutte pour le changement (Lucha) sur Twitter.
La radio onusienne Okapi avance, elle, un dernier bilan de 18 morts pour cette dernière attaque. Au total, plus de 100 civils ont été tués depuis le 5 novembre dans des attaques attribuées au groupe ADF. Selon les experts, ces massacres visent les civils en représailles aux opérations militaires annoncées le 30 octobre par l'armée congolaise contre les bases ADF.
Iran: «plus de 1000 Iraniens» tués durant les manifestations, selon Washington
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 1 heure
Les forces de sécurité du régime de Téhéran ont pu tuer plus de 1000 Iraniens en réprimant violemment la contestation qui a éclaté mi-novembre, a estimé ce jeudi l'émissaire des Etats-Unis pour l'Iran, Brian Hook.
À lire aussi : Nicolas Baverez: «Iran, l’empire contre les peuples»
«Nous savons avec certitude qu'il y a eu des centaines et des centaines» de morts, a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Washington. «Il semble que le régime a pu tuer plus de 1000 citoyens iraniens depuis le début de la contestation», a-t-il ajouté, tout en reconnaissant que ce bilan précis n'était «pas certain, car le régime bloque l'information». «Des milliers et des milliers d'Iraniens ont été blessés. Et au moins 7000 manifestants ont été placés en détention», a encore déclaré l'émissaire.
La contestation a éclaté le 15 novembre dès l'annonce d'une forte hausse du prix de l'essence, en pleine crise économique, et a touché une centaine de villes. Mais les autorités, qui avaient bloqué internet durant les manifestations, ont dit avoir ramené l'ordre en quelques jours. Jusqu'ici, les organisations de défense des droits humains ont évoqué une répression meurtrière mais un bilan inférieur à celui affiché jeudi par les Etats-Unis. Amnesty International a estimé qu'au moins 208 personnes avaient été tuées par les forces de l'ordre iraniennes. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo avait demandé aux Iraniens de partager avec le gouvernement américain des vidéos, photos ou témoignages de la répression.
Selon Brian Hook, le département d'Etat a ainsi reçu 32.000 messages à ce jour. Le bilan de plus de 1000 morts s'appuie sur ces messages, ainsi que sur la collecte de renseignement et les rapports d'organisations internationales, a-t-il précisé. «Ce à quoi nous assistons avec les récentes manifestations, c'est la pire crise politique à laquelle le régime ait été confronté depuis 40 ans», c'est-à-dire depuis la révolution qui a instauré l'actuelle République islamique, a assuré l'émissaire américain.
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 3 heures
Au moins 14 civils ont été massacrés depuis lundi lors de nouvelles tueries signalées dans la région de Beni, dans l'est de la République démocratique du Congo, ont annoncé jeudi des sources au sein de l'administration et de la société civils.
À lire aussi : Félix Tshisekedi: «Le Congo vit une expérience délicate»
Ni l'armée congolaise ni la Mission des Nations unies au Congo (Monusco) n'ont confirmé ce bilan. L'armée et les Casques bleus ont annoncé des actions conjointes dans la région de Beni contre les groupes armés.
«Trois personnes ont été tuées dans la nuit de mercredi à jeudi à Oicha (30 km au nord de Beni)», a déclaré à l'AFP Donat Kibwana, administrateur du territoire de Beni (Nord-Kivu). Ce responsable politico-administratif attribue l'attaque au groupe armé «ADF (Forces démocratiques alliées), au vu du mode opératoire. Il n'y a pas de doute».
Par ailleurs, onze cadavres ont été retrouvés et enterrés mercredi à Orototo, près de la frontière avec l'Ouganda, selon David Mowaze, président de la société civile de la chefferie de Watalinga. «9 femmes et 2 hommes ont été massacrés à Orototo dans la nuit de lundi 2 à mardi 3 décembre», a détaillé le mouvement citoyen Lutte pour le changement (Lucha) sur Twitter.
La radio onusienne Okapi avance, elle, un dernier bilan de 18 morts pour cette dernière attaque. Au total, plus de 100 civils ont été tués depuis le 5 novembre dans des attaques attribuées au groupe ADF. Selon les experts, ces massacres visent les civils en représailles aux opérations militaires annoncées le 30 octobre par l'armée congolaise contre les bases ADF.
Iran: «plus de 1000 Iraniens» tués durant les manifestations, selon Washington
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 1 heure
Les forces de sécurité du régime de Téhéran ont pu tuer plus de 1000 Iraniens en réprimant violemment la contestation qui a éclaté mi-novembre, a estimé ce jeudi l'émissaire des Etats-Unis pour l'Iran, Brian Hook.
À lire aussi : Nicolas Baverez: «Iran, l’empire contre les peuples»
«Nous savons avec certitude qu'il y a eu des centaines et des centaines» de morts, a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Washington. «Il semble que le régime a pu tuer plus de 1000 citoyens iraniens depuis le début de la contestation», a-t-il ajouté, tout en reconnaissant que ce bilan précis n'était «pas certain, car le régime bloque l'information». «Des milliers et des milliers d'Iraniens ont été blessés. Et au moins 7000 manifestants ont été placés en détention», a encore déclaré l'émissaire.
La contestation a éclaté le 15 novembre dès l'annonce d'une forte hausse du prix de l'essence, en pleine crise économique, et a touché une centaine de villes. Mais les autorités, qui avaient bloqué internet durant les manifestations, ont dit avoir ramené l'ordre en quelques jours. Jusqu'ici, les organisations de défense des droits humains ont évoqué une répression meurtrière mais un bilan inférieur à celui affiché jeudi par les Etats-Unis. Amnesty International a estimé qu'au moins 208 personnes avaient été tuées par les forces de l'ordre iraniennes. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo avait demandé aux Iraniens de partager avec le gouvernement américain des vidéos, photos ou témoignages de la répression.
Selon Brian Hook, le département d'Etat a ainsi reçu 32.000 messages à ce jour. Le bilan de plus de 1000 morts s'appuie sur ces messages, ainsi que sur la collecte de renseignement et les rapports d'organisations internationales, a-t-il précisé. «Ce à quoi nous assistons avec les récentes manifestations, c'est la pire crise politique à laquelle le régime ait été confronté depuis 40 ans», c'est-à-dire depuis la révolution qui a instauré l'actuelle République islamique, a assuré l'émissaire américain.
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Chili: violents affrontements dans le centre de Santiago
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 2 heures
De violents affrontements entre policiers et manifestants ont éclaté vendredi dans le centre de Santiago du Chili, alors que le pays est secoué depuis deux mois par une profonde crise sociale. Des incidents ont notamment éclaté aux alentours de la Plaza Italia, haut lieu de la contestation, qui avait été bouclée et occupée en grand nombre par les forces anti-émeutes pour empêcher toute manifestation. «Nous voulons que les droits des personnes qui circulent et qui vivent dans le secteur de la plaza Italia cessent d'être bafoués» et «protéger les citoyens contre les actes violents», avait affirmé l'intendant (préfet) de Santiago, Felipe Guevara, pour justifier l'interdiction des rassemblements.
À lire aussi : Le Chili de Piñera ébranlé par la crise sociale
Cela n'a pas empêché plusieurs groupes de protestataires, principalement des jeunes, de tenter d'accéder à la place, la police ripostant à coups de jets d'eau et de gaz lacrymogène. Après une heure d'affrontements, les manifestants ont renversé les barrières métalliques qui bloquaient l'accès à la place et ont débordé les forces de l'ordre, qui ont dû se replier vers les rues avoisinantes. Un autre groupe de manifestants a marché vers le palais gouvernemental de La Moneda, où ils ont lancé des pierres sur la police qui les a dispersés à l'aide de gaz lacrymogène.
Le mouvement de contestation sociale qui secoue le Chili depuis le 18 octobre est le plus grave depuis le retour de la démocratie en 1990. Il a fait 24 morts et des milliers de blessés. Une hausse du prix du ticket de métro dans la capitale a été le détonateur de cette fronde sociale inédite contre le gouvernement du président Sebastian Piñera. Malgré la suspension de la mesure, le mouvement s'est amplifié, nourri par le ressentiment face aux inégalités sociales.
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 2 heures
De violents affrontements entre policiers et manifestants ont éclaté vendredi dans le centre de Santiago du Chili, alors que le pays est secoué depuis deux mois par une profonde crise sociale. Des incidents ont notamment éclaté aux alentours de la Plaza Italia, haut lieu de la contestation, qui avait été bouclée et occupée en grand nombre par les forces anti-émeutes pour empêcher toute manifestation. «Nous voulons que les droits des personnes qui circulent et qui vivent dans le secteur de la plaza Italia cessent d'être bafoués» et «protéger les citoyens contre les actes violents», avait affirmé l'intendant (préfet) de Santiago, Felipe Guevara, pour justifier l'interdiction des rassemblements.
À lire aussi : Le Chili de Piñera ébranlé par la crise sociale
Cela n'a pas empêché plusieurs groupes de protestataires, principalement des jeunes, de tenter d'accéder à la place, la police ripostant à coups de jets d'eau et de gaz lacrymogène. Après une heure d'affrontements, les manifestants ont renversé les barrières métalliques qui bloquaient l'accès à la place et ont débordé les forces de l'ordre, qui ont dû se replier vers les rues avoisinantes. Un autre groupe de manifestants a marché vers le palais gouvernemental de La Moneda, où ils ont lancé des pierres sur la police qui les a dispersés à l'aide de gaz lacrymogène.
Le mouvement de contestation sociale qui secoue le Chili depuis le 18 octobre est le plus grave depuis le retour de la démocratie en 1990. Il a fait 24 morts et des milliers de blessés. Une hausse du prix du ticket de métro dans la capitale a été le détonateur de cette fronde sociale inédite contre le gouvernement du président Sebastian Piñera. Malgré la suspension de la mesure, le mouvement s'est amplifié, nourri par le ressentiment face aux inégalités sociales.
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Au moins 78 morts dans un attentat à Mogadiscio
AFP
Publié le 28/12/2019 à 17:29 | AFP
Au moins 78 morts dans un attentat à MogadiscioAu moins 78 morts dans un attentat à Mogadiscio AFP / Abdirazak Hussein FARAH
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Un attentat à la voiture piégée a fait au moins 78 morts, dont de nombreux étudiants, et des dizaines de blessés samedi dans un quartier animé de Mogadiscio, l'attaque la plus meurtrière depuis deux ans dans la capitale somalienne, régulièrement ciblée par une insurrection islamiste.
L'explosion s'est produite dans une zone où la circulation est très dense en raison d'un poste de sécurité et d'un centre des impôts.
"Le nombre de morts (...) continue d'augmenter, nous avons maintenant 78 morts et 125 blessés", a déclaré à l'AFP le directeur du service privé d'ambulances Aamin Ambulance, Abdukadir Abdirahman Haji.
De nombreux étudiants figurent parmi les personnes tuées dans l'attentat, le bus dans lequel ils se trouvaient ayant été touché par l'explosion.
Un responsable policier, Ibrahim Mohamed, a qualifié l'explosion de "dévastatrice". Les blessés ont été emmenés sur des civières du site jonché de débris tordus et calcinés de véhicules touchés par l'explosion.
"Cela a été dévastateur parce qu'il y avait beaucoup de monde, notamment des lycéens dans des bus", a raconté un témoin, Muhibo Ahmed.
"Tout ce que j'ai pu voir, ce sont des corps éparpillés, certains brûlés au point d'être méconnaissables", a déclaré une autre personne présente, Sakariye Abdukadir.
Le président somalien Mohamed Abdullahi Farmaajo a condamné l'attaque dans des déclarations diffusées par l'agence nationale de presse SONNA.
"Cet ennemi s'emploie à mettre en oeuvre la volonté destructrice du terrorisme international, ils n'ont jamais fait quoi que ce soit de positif pour notre pays, ils n'ont pas fait de route, jamais construit d'hôpitaux ni d'établissements d'éducation", a-t-il déclaré. "Tout ce qu'ils font, c'est détruire et tuer, et (les Somaliens) le savent bien".
Deux ressortissants turcs, qui seraient des ingénieurs en bâtiment, figurent également parmi les morts, a précisé le policier Imbrahim Mohamed.
"On ignore encore s'il s'agissait de passants ou s'ils séjournaient dans la zone", a-t-il dit.
Le ministère turc de la Défense a indiqué sur Twitter avoir envoyé un avion militaire "chargé d'équipement (...) afin d'apporter une aide d'urgence à nos frères somaliens blessés dans la méprisable attaque terroriste en Somalie".
A Ankara, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Çavu ?oglu a confirmé que deux ressortissants turcs "avaient perdu la vie dans l'attentat terroriste haineux perpétré à Mogadiscio".
Le maire de Mogadiscio, Omar Mohamud Mohamed, a déclaré lors d'une conférence de presse qu'on ignorait encore le nombre précis de morts.
"Nous confirmerons plus tard le nombre exact de morts mais il sera important. La plupart des morts sont des étudiants innocents et d'autres civils", a-t-il dit.
Attentats en série
L'attentat, qui n'a pas été revendiqué dans l'immédiat, survient dans un contexte marqué par de multiples actions meurtrières des islamistes shebab affiliés à Al-Qaïda.
Ces insurgés ont juré la perte du gouvernement somalien, soutenu par la communauté internationale et par les 20.000 hommes de la force de l'Union africaine en Somalie (Amisom).
Chassés de Mogadiscio en 2011, ils ont ensuite perdu l'essentiel de leurs bastions. Mais ils contrôlent toujours de vastes zones rurales d'où ils mènent des opérations de guérilla et des attentats-suicides, y compris dans la capitale, contre des objectifs gouvernementaux, sécuritaires ou civils. On estime qu'ils comptent entre 5 et 9.000 combattants dans leurs rangs.
Il y a deux semaines, les shebab avaient attaqué un hôtel de la capitale fréquenté par des responsables politiques, des officiers et des diplomates.
Depuis 2015, on a dénombré 13 attentats en Somalie dont le bilan égale ou dépasse les 20 morts, dont onze à Mogadiscio, selon un comptage de l'AFP.
Tous ont été commis à la voiture piégée.
L'attentat le plus meurtrier de l'histoire de la Somalie s'est produit en octobre 2017 où 512 personnes avaient été tuées et quelque 295 blessées par l'explosion d'un camion piégé à Mogadiscio.
Six ans plus tôt, un attentat suicide au camion piégé visant un complexe ministériel avait fait au moins 82 morts et 120 blessés, le premier revendiqué par les shebab depuis leur retrait forcé en août de Mogadiscio.
Présents en Somalie, les États-Unis y ont intensifié depuis avril 2017 leurs frappes aériennes après l'extension, par le président Donald Trump, des pouvoirs donnés à l'armée américaine pour lancer des opérations antiterroristes, par voie aérienne ou terrestre.
En avril, le commandement militaire américain pour l'Afrique avait annoncé avoir tué 800 personnes en 110 attaques aériennes depuis avril 2017 dans ce pays de la Corne de l'Afrique.
str-fb/jlb/sd/stb
28/12/2019 17:27:09 - Mogadiscio (AFP) - 2019 AFP
AFP
Publié le 28/12/2019 à 17:29 | AFP
Au moins 78 morts dans un attentat à MogadiscioAu moins 78 morts dans un attentat à Mogadiscio AFP / Abdirazak Hussein FARAH
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Un attentat à la voiture piégée a fait au moins 78 morts, dont de nombreux étudiants, et des dizaines de blessés samedi dans un quartier animé de Mogadiscio, l'attaque la plus meurtrière depuis deux ans dans la capitale somalienne, régulièrement ciblée par une insurrection islamiste.
L'explosion s'est produite dans une zone où la circulation est très dense en raison d'un poste de sécurité et d'un centre des impôts.
"Le nombre de morts (...) continue d'augmenter, nous avons maintenant 78 morts et 125 blessés", a déclaré à l'AFP le directeur du service privé d'ambulances Aamin Ambulance, Abdukadir Abdirahman Haji.
De nombreux étudiants figurent parmi les personnes tuées dans l'attentat, le bus dans lequel ils se trouvaient ayant été touché par l'explosion.
Un responsable policier, Ibrahim Mohamed, a qualifié l'explosion de "dévastatrice". Les blessés ont été emmenés sur des civières du site jonché de débris tordus et calcinés de véhicules touchés par l'explosion.
"Cela a été dévastateur parce qu'il y avait beaucoup de monde, notamment des lycéens dans des bus", a raconté un témoin, Muhibo Ahmed.
"Tout ce que j'ai pu voir, ce sont des corps éparpillés, certains brûlés au point d'être méconnaissables", a déclaré une autre personne présente, Sakariye Abdukadir.
Le président somalien Mohamed Abdullahi Farmaajo a condamné l'attaque dans des déclarations diffusées par l'agence nationale de presse SONNA.
"Cet ennemi s'emploie à mettre en oeuvre la volonté destructrice du terrorisme international, ils n'ont jamais fait quoi que ce soit de positif pour notre pays, ils n'ont pas fait de route, jamais construit d'hôpitaux ni d'établissements d'éducation", a-t-il déclaré. "Tout ce qu'ils font, c'est détruire et tuer, et (les Somaliens) le savent bien".
Deux ressortissants turcs, qui seraient des ingénieurs en bâtiment, figurent également parmi les morts, a précisé le policier Imbrahim Mohamed.
"On ignore encore s'il s'agissait de passants ou s'ils séjournaient dans la zone", a-t-il dit.
Le ministère turc de la Défense a indiqué sur Twitter avoir envoyé un avion militaire "chargé d'équipement (...) afin d'apporter une aide d'urgence à nos frères somaliens blessés dans la méprisable attaque terroriste en Somalie".
A Ankara, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Çavu ?oglu a confirmé que deux ressortissants turcs "avaient perdu la vie dans l'attentat terroriste haineux perpétré à Mogadiscio".
Le maire de Mogadiscio, Omar Mohamud Mohamed, a déclaré lors d'une conférence de presse qu'on ignorait encore le nombre précis de morts.
"Nous confirmerons plus tard le nombre exact de morts mais il sera important. La plupart des morts sont des étudiants innocents et d'autres civils", a-t-il dit.
Attentats en série
L'attentat, qui n'a pas été revendiqué dans l'immédiat, survient dans un contexte marqué par de multiples actions meurtrières des islamistes shebab affiliés à Al-Qaïda.
Ces insurgés ont juré la perte du gouvernement somalien, soutenu par la communauté internationale et par les 20.000 hommes de la force de l'Union africaine en Somalie (Amisom).
Chassés de Mogadiscio en 2011, ils ont ensuite perdu l'essentiel de leurs bastions. Mais ils contrôlent toujours de vastes zones rurales d'où ils mènent des opérations de guérilla et des attentats-suicides, y compris dans la capitale, contre des objectifs gouvernementaux, sécuritaires ou civils. On estime qu'ils comptent entre 5 et 9.000 combattants dans leurs rangs.
Il y a deux semaines, les shebab avaient attaqué un hôtel de la capitale fréquenté par des responsables politiques, des officiers et des diplomates.
Depuis 2015, on a dénombré 13 attentats en Somalie dont le bilan égale ou dépasse les 20 morts, dont onze à Mogadiscio, selon un comptage de l'AFP.
Tous ont été commis à la voiture piégée.
L'attentat le plus meurtrier de l'histoire de la Somalie s'est produit en octobre 2017 où 512 personnes avaient été tuées et quelque 295 blessées par l'explosion d'un camion piégé à Mogadiscio.
Six ans plus tôt, un attentat suicide au camion piégé visant un complexe ministériel avait fait au moins 82 morts et 120 blessés, le premier revendiqué par les shebab depuis leur retrait forcé en août de Mogadiscio.
Présents en Somalie, les États-Unis y ont intensifié depuis avril 2017 leurs frappes aériennes après l'extension, par le président Donald Trump, des pouvoirs donnés à l'armée américaine pour lancer des opérations antiterroristes, par voie aérienne ou terrestre.
En avril, le commandement militaire américain pour l'Afrique avait annoncé avoir tué 800 personnes en 110 attaques aériennes depuis avril 2017 dans ce pays de la Corne de l'Afrique.
str-fb/jlb/sd/stb
28/12/2019 17:27:09 - Mogadiscio (AFP) - 2019 AFP
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Syrie: 18 civils tués dans des frappes du régime
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 7 min
Au moins 18 civils ont été tués ce samedi 11 janvier dans des frappes du régime syrien sur la province d'Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie, à la veille de l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu annoncé par Moscou, allié de Damas, a indiqué une ONG.
À lire aussi : Syrie: l'armée russe annonce un cessez-le-feu à Idleb
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), sept civils ont péri dans des raids aériens sur un marché de la ville de Benniche, tandis que sept autres ont été tués dans celle d'Idlib et quatre dans la localité d'Al-Nayrab.
Afghanistan : deux soldats américains tués dans l'explosion d'une bombe
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 33 min
Deux soldats américains ont été tués et deux autres blessés ce samedi dans le sud de l'Afghanistan, selon la mission de l'Otan sur place, dans une attaque à la bombe artisanale revendiquée par les talibans.
À lire aussi : Donald Trump va-t-il abandonner l’Afghanistan aux talibans?
Un porte-parole de l'Otan avait fait état plutôt dans la journée de l'attentat survenu le matin, près de Kandahar. Un porte-parole des talibans avait revendiqué l'attaque en affirmant que l'explosion avait tué tous les passagers du véhicule.
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 7 min
Au moins 18 civils ont été tués ce samedi 11 janvier dans des frappes du régime syrien sur la province d'Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie, à la veille de l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu annoncé par Moscou, allié de Damas, a indiqué une ONG.
À lire aussi : Syrie: l'armée russe annonce un cessez-le-feu à Idleb
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), sept civils ont péri dans des raids aériens sur un marché de la ville de Benniche, tandis que sept autres ont été tués dans celle d'Idlib et quatre dans la localité d'Al-Nayrab.
Afghanistan : deux soldats américains tués dans l'explosion d'une bombe
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 33 min
Deux soldats américains ont été tués et deux autres blessés ce samedi dans le sud de l'Afghanistan, selon la mission de l'Otan sur place, dans une attaque à la bombe artisanale revendiquée par les talibans.
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Un porte-parole de l'Otan avait fait état plutôt dans la journée de l'attentat survenu le matin, près de Kandahar. Un porte-parole des talibans avait revendiqué l'attaque en affirmant que l'explosion avait tué tous les passagers du véhicule.
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Mali : un camp de la gendarmerie attaqué, au moins 19 tués
Les assaillants étaient plus d'une centaine selon un habitant du village voisin de la caserne.
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 11 min, mis à jour il y a 3 min
Dix-neuf militaires maliens ont été tués et cinq blessés tôt dimanche matin 26 janvier lors d'une attaque de grande ampleur de présumés djihadistes contre un camp de gendarmes dans le centre du pays, a indiqué l'armée malienne, en faisant état d'un bilan encore provisoire.
À lire aussi : Deux soldats français blessés au Mali dans une explosion revendiquée par des djihadistes
«Le poste est sous contrôle #FAMa (Forces armées maliennes, NDLR). Le ratissage en cours. L'avion militaire malien sur zone. Le bilan provisoire est de 19 morts 5 blessés, du matériel endommagé et ou emporté», ont indiqué les FAMa sur Twitter. Peu avant, une source militaire malienne avait affirmé que le «nouveau bilan provisoire» de l'attaque contre le camp de Sokolo, proche de la frontière mauritanienne, était «d'au moins 18 gendarmes tués».
Sokolo est situé dans le cercle de Niono, dans la région de Ségou (centre), où sévissent des groupes djihadistes liés à Al-Qaïda. Il s'agit de la dernière localité avant la frontière avec la Mauritanie.
Des responsables maliens ont attribué ce coup de force à des «terroristes», terme avec lequel ils désignent les groupes djihadistes qui sévissent au Mali depuis huit ans, malgré des interventions militaires française, de l'ONU et africaine.
«Les assaillants étaient plus d'une centaine. Ils ont ramassé tous leurs corps. Ils n'ont touché à personne dans le village, c'est pourquoi avant l'arrivée du renfort nous avons secouru les blessés et regroupé les victimes», a déclaré à l'AFP un habitant de Sokolo, Baba Gakou. «Ils sont arrivés à 05H00 du matin (GMT et locales). Ils ont coupé la retraite des gendarmes. Les coups de feu ont cessé à 07H00 du matin», a-t-il ajouté.
Chaos
Selon cet habitant, les assaillants «sont partis avec tous les véhicules des militaires et les armes». Une source étrangère informée a indiqué à l'AFP qu'«au moins neuf véhicules de l'armée ont été emportés».
«Les militaires tués sont tous des gendarmes», a aussi déclaré un élu de cette localité, qui a affirmé avoir vu «deux autres corps en dehors du camp». «Les terroristes sont arrivés à motos. Ils étaient très armés», a-t-il ajouté.
«C'est vraiment un chaos», a pour sa part témoigné une source humanitaire locale ayant pu pénétrer dans le camp. «Nous avons compté au moins 15 corps de militaires. Tout le matériel militaire a été emporté. On a le sentiment que les assaillants savaient où ils mettaient les pieds», a déclaré cette source à l'AFP.
Des renforts ont été dépêchés sur place de Diabaly, à une dizaine de kilomètres.
À voir aussi - G5 Sahel: Macron a-t-il raison de renforcer les troupes?
À lire aussi : Opération au Mali: le soutien limité de l’Allemagne
Les assaillants étaient plus d'une centaine selon un habitant du village voisin de la caserne.
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 11 min, mis à jour il y a 3 min
Dix-neuf militaires maliens ont été tués et cinq blessés tôt dimanche matin 26 janvier lors d'une attaque de grande ampleur de présumés djihadistes contre un camp de gendarmes dans le centre du pays, a indiqué l'armée malienne, en faisant état d'un bilan encore provisoire.
À lire aussi : Deux soldats français blessés au Mali dans une explosion revendiquée par des djihadistes
«Le poste est sous contrôle #FAMa (Forces armées maliennes, NDLR). Le ratissage en cours. L'avion militaire malien sur zone. Le bilan provisoire est de 19 morts 5 blessés, du matériel endommagé et ou emporté», ont indiqué les FAMa sur Twitter. Peu avant, une source militaire malienne avait affirmé que le «nouveau bilan provisoire» de l'attaque contre le camp de Sokolo, proche de la frontière mauritanienne, était «d'au moins 18 gendarmes tués».
Sokolo est situé dans le cercle de Niono, dans la région de Ségou (centre), où sévissent des groupes djihadistes liés à Al-Qaïda. Il s'agit de la dernière localité avant la frontière avec la Mauritanie.
Des responsables maliens ont attribué ce coup de force à des «terroristes», terme avec lequel ils désignent les groupes djihadistes qui sévissent au Mali depuis huit ans, malgré des interventions militaires française, de l'ONU et africaine.
«Les assaillants étaient plus d'une centaine. Ils ont ramassé tous leurs corps. Ils n'ont touché à personne dans le village, c'est pourquoi avant l'arrivée du renfort nous avons secouru les blessés et regroupé les victimes», a déclaré à l'AFP un habitant de Sokolo, Baba Gakou. «Ils sont arrivés à 05H00 du matin (GMT et locales). Ils ont coupé la retraite des gendarmes. Les coups de feu ont cessé à 07H00 du matin», a-t-il ajouté.
Chaos
Selon cet habitant, les assaillants «sont partis avec tous les véhicules des militaires et les armes». Une source étrangère informée a indiqué à l'AFP qu'«au moins neuf véhicules de l'armée ont été emportés».
«Les militaires tués sont tous des gendarmes», a aussi déclaré un élu de cette localité, qui a affirmé avoir vu «deux autres corps en dehors du camp». «Les terroristes sont arrivés à motos. Ils étaient très armés», a-t-il ajouté.
«C'est vraiment un chaos», a pour sa part témoigné une source humanitaire locale ayant pu pénétrer dans le camp. «Nous avons compté au moins 15 corps de militaires. Tout le matériel militaire a été emporté. On a le sentiment que les assaillants savaient où ils mettaient les pieds», a déclaré cette source à l'AFP.
Des renforts ont été dépêchés sur place de Diabaly, à une dizaine de kilomètres.
À voir aussi - G5 Sahel: Macron a-t-il raison de renforcer les troupes?
À lire aussi : Opération au Mali: le soutien limité de l’Allemagne
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Date d'inscription : 13/08/2011
Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Egypte: 17 djihadistes présumés tués par la police dans le Sinaï
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 1 heure
Le ministère de l'Intérieur a annoncé le 11 février que la police égyptienne a abattu 17 djihadistes présumés lors d'une opération dans le nord de la péninsule du Sinaï, région du nord-est de l'Egypte en proie à une insurrection depuis plusieurs années. Le ministère indique dans un communiqué avoir lancé un assaut contre «une cache (de djihadistes)» près d'al-Arich, chef-lieu de la province du Nord-Sinaï, tuant 17 «éléments terroristes». Des fusils, des grenades et des ceintures explosives ont été retrouvées sur les lieux.
Dimanche 9 février, un attentat dans le Nord-Sinaï revendiqué par l'organisation Etat islamique (EI) a fait sept morts et blessés dans les rangs de l'armée. L'EI, très active dans la péninsule, a également revendiqué une attaque sur un gazoduc à 80km à l'est d'al-Arich, la semaine dernière.
À lire aussi : Les djihadistes égyptiens du Sinaï font allégeance à l'État islamique
L'insurrection dans le nord du Sinaï s'est intensifiée après l'éviction par l'armée, en 2013, du président islamisteMohamed Morsi à la suite d'importantes manifestations. L'armée a lancé en février 2018 une vaste opération «antiterroriste» dans la région mais aussi dans certaines parties du désert occidental, entre la vallée du Nil et la frontière avec la Libye.
Depuis son début, environ 840 djihadistes présumés ainsi que près de 67 militaires ont été tués dans des affrontements, selon les chiffres officiels. Aucun bilan vérifié de source indépendante n'est disponible et la région est largement interdite aux journalistes.
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 1 heure
Le ministère de l'Intérieur a annoncé le 11 février que la police égyptienne a abattu 17 djihadistes présumés lors d'une opération dans le nord de la péninsule du Sinaï, région du nord-est de l'Egypte en proie à une insurrection depuis plusieurs années. Le ministère indique dans un communiqué avoir lancé un assaut contre «une cache (de djihadistes)» près d'al-Arich, chef-lieu de la province du Nord-Sinaï, tuant 17 «éléments terroristes». Des fusils, des grenades et des ceintures explosives ont été retrouvées sur les lieux.
Dimanche 9 février, un attentat dans le Nord-Sinaï revendiqué par l'organisation Etat islamique (EI) a fait sept morts et blessés dans les rangs de l'armée. L'EI, très active dans la péninsule, a également revendiqué une attaque sur un gazoduc à 80km à l'est d'al-Arich, la semaine dernière.
À lire aussi : Les djihadistes égyptiens du Sinaï font allégeance à l'État islamique
L'insurrection dans le nord du Sinaï s'est intensifiée après l'éviction par l'armée, en 2013, du président islamisteMohamed Morsi à la suite d'importantes manifestations. L'armée a lancé en février 2018 une vaste opération «antiterroriste» dans la région mais aussi dans certaines parties du désert occidental, entre la vallée du Nil et la frontière avec la Libye.
Depuis son début, environ 840 djihadistes présumés ainsi que près de 67 militaires ont été tués dans des affrontements, selon les chiffres officiels. Aucun bilan vérifié de source indépendante n'est disponible et la région est largement interdite aux journalistes.
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Le conflit en Syrie a tué 384.000 personnes en neuf ans
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 40 min
Au moins 384.000 personnes ont péri en Syrie, dont plus de 116.000 civils, depuis le début du conflit en mars 2011, selon un nouveau bilan publié samedi 14 mars par l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 40 min
Au moins 384.000 personnes ont péri en Syrie, dont plus de 116.000 civils, depuis le début du conflit en mars 2011, selon un nouveau bilan publié samedi 14 mars par l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
HORRIBLE!
_________________
"CHERCHEZ D'ABORD LE ROYAUME DE DIEU ET SA JUSTICE,
ET LE RESTE VOUS SERA DONNE PAR SURCROIT" (Matthieu 6,33)
stjeanlagneau- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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