Enseignement reçu par la Fille du Oui à Jésus Vois mon amour, je me penche vers toi pour te dire :
Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: La "Fille du Oui" (Francine Bériault - Québec)
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Enseignement reçu par la Fille du Oui à Jésus Vois mon amour, je me penche vers toi pour te dire :
Enseignement reçu par la Fille du Oui à Jésus
Vois mon amour, je me penche vers toi pour te dire : « Je t’aime, toi le pécheur qui m’a crucifié. »
Pourquoi perdez-vous votre paix lorsque vous êtes devant de mauvais actes de vie faits par votre prochain ? Votre être est en émoi parce que ses actes de vie ne nourrissent pas vos actes de vie avec une nourriture d’amour.
Comme vous ne vous êtes pas pardonnés,
comme vous ne regardez pas vos actes de vie pardonnés avec amour,
comme vous ne savez pas comment vous aimer,
comme vous n’avez pas confiance en votre miséricorde, vous êtes en souffrance.
Inconsciemment, vous voyez les fautes de votre prochain comme étant les vôtres :
le pécheur souffre de ne pas être capable de se pardonner inconditionnellement,
le pécheur souffre de ne pas aimer ses actes de vie purifiés,
le pécheur souffre de ne pas s’aimer tel qu’il est,
le pécheur souffre de ne pas vivre sa miséricorde, et vous perdez votre paix.
Par conséquent, vous ne pardonnez pas ses actes mauvais, vous ressentez un malaise lorsqu’il fait des actes de vie impurs, vous ne l’aimez pas tel qu’il est, et vous jugez ses actes de vie qui sont pardonnés par mon Père.
Avez-vous compris votre conséquence ? Vous êtes faibles devant les tentations. Vous avez nourri les actes de vie de votre prochain avec la nourriture que portaient vos actes de vie. Et lorsque vous vous apercevez qu’il se conduit mal et qu’il ne fait pas les efforts qu’il serait en mesure de faire pour refuser les tentations, tout votre être réagit à ce que vous ne vous demandez pas.
Et que vous arrive-t-il ? Votre être consent à ce que vos actes de vie soient utilisés.
Par qui ? Ce qui est entré en vous et qui ne venait pas de Dieu, mais de Satan. Comme cela ne vient pas de Dieu, ce qui est étranger à la vie utilise vos actes de vie contre Dieu, contre vous-mêmes et contre votre prochain. C’est ainsi que vos mauvaises habitudes ont influencé les mauvaises habitudes de votre prochain, et cela a contribué à mettre pères contre fils, mères contre filles, frères contre frères, sœurs contre sœurs et frères contre sœurs. Si, aujourd’hui, les enfants de ce monde s’autodétruisent, c’est parce que vous avez contribué à cette destruction.
Si vous me demandez : ‘J’ai prié, j’ai jeûné, j’ai fait pénitence, j’ai été vers les sacrements et j’ai suivi les dix commandements de Dieu, alors à quoi est-ce que mes efforts ont servi ?’ Moi, le Fils de Dieu le Père, je vous dirai : « Sans moi tu ne pouvais rien faire. Ce sont mes grâces qui ont agi en toi afin que tu puisses prier, aller vers les sacrements, faire pénitence, jeûner et suivre les lois de mon Père. Je t’ai donné beaucoup.
Ce que je t’ai donné, est-ce que tu l’as mis à profit ?
Pour une prière, je t’ai comblé de grâces afin que tu te serves de tes talents que Dieu t’avait donnés pour servir ton prochain.
Pour un sacrement, le Saint-Esprit t’a couvert de son ombre afin que tu puisses utiliser tes talents avec ses dons et ses fruits.
Pour une pénitence, je t’ai couvert de mon Précieux Sang afin que tu ne gaspilles pas tes talents à faire des actes de vie inutiles.
Pour un jeûne, je t’ai accompagné dans ta solitude afin qu’au retour vers ton quotidien tu sois plus fort devant les tentations.
Pour une journée à faire ce que tu dois faire avec les lois de mon Père, je t’ai donné ma Vie afin que tu sois digne du don que mon Père t’a donné : son unique Fils.
Fallait-il que je meure encore pour que tu puisses comprendre qu’un seul acte de vie qui n’était pas pur a été contre Dieu, contre toi et contre les enfants de ce monde : du premier qui est Adam jusqu’au dernier qui viendrait en ce monde impur ? Oui, seule ma Vie donnée en acte de réparation pouvait te rendre pur. Vois mon amour, je me penche vers toi pour te dire :* « Je t’aime, toi le pécheur qui m’a crucifié. »
Regarde la Croix, c’est mon Acte de Vie qui te montre mon amour inconditionnel. Tu m’avais quitté pour un amour qui n’avait pas ma valeur. Je t’ai regardé partir pour t’installer dans le sein de ta mère, mais mon regard ne t’a jamais quitté. J’ai fait pour toi ce que tu ne pouvais faire.
Ô mon amour, qu’est-ce que tu ne pouvais faire ? J’ai pris en moi tous les actes de vie, comme si c’était les miens, pour les présenter à mon Père.
Mais, avant, je les ai purifiés en passant par le supplice de la Croix : mon Père agréa mon Acte de Vie que j’ai fait par amour.
Peux-tu réaliser ce que j’ai fait pour toi ? J’ai consolé ton âme que tu négligeais. J’ai pris soin de ceux que tu faisais souffrir à cause de tes actes de vie trompés par le mal, manipulés par la mort, torturés par la peur. Mon Cœur était rempli de compassion pour toi qui n’étais plus toi-même. Oui, tu étais un étranger dans ta vie.
Pour un seul acte de vie sans amour, le Malin te le faisait payer au centuple, car tu nourrissais les actes de vie de ton prochain, et leurs actes nourris par le mal en ta vie te revenaient.
Combien de fois t’ai-je vu douter de moi ? Tu m’accusais de ne rien faire pour te venir en aide ou tu ne disais rien, mais tes actes de vie en disaient long. Je priais mon Père de t’accorder la force de vivre ce que tu avais à vivre afin de redevenir l’enfant parfait que tu étais avant de choisir ton amour.
Quel était donc cet amour que tu avais préféré à celui de mon Père ? Un amour sans force.
Vois avec quel amour tu faisais tes actes de vie :
Tu priais, mais tu parlais de la mauvaise conduite de ton prochain.
Tu allais vers les sacrements, mais tu manquais à ta promesse : de ne pas recommencer.
Tu faisais pénitence, mais ton cœur ne soutenait pas ceux qui étaient orgueilleux, avares, envieux, paresseux, coléreux, gourmets, dans la luxure.
Tu jeûnais, mais tu nourrissais tes besoins contre toi.
Tu suivais les lois de mon Père, mais tu trichais ta vie. L’enfant que tu étais n’est pas demeuré fidèle à l’amour de ton Père ni à ton amour.
Qu’est-ce qui a remplacé ton amour ? Ton amour est toujours en toi, mais ce qui est entré en toi a fait taire ton amour. C’est un amour personnel qui ne vient pas de Dieu qui t’a pris, parce que tu n’es pas demeuré fidèle à l’enfant que tu es.
Devais-je te laisser seul avec tes mauvais choix ? Non, j’ai étendu sur toi ma lumière pour que tu saches que lorsque toi et ton prochain vous vous conduisiez mal, vous étiez pour en vivre les conséquences, non seuls, mais avec mes grâces.
Mon amour a été bafoué au pied de l’autel là où tu avançais avec tes actes de vie : purs ! Oui, ils étaient purs, mais pas tous. Lorsque tu te croyais plus pur que ceux qui ne venaient pas vers moi, tu tombais dans l’orgueil. Mais toi, tu avais tant reçu ! Tout ce que je t’ai donné, est-ce que tu l’as partagé avec ceux qui avaient faim et soif d’amour ? C’est mon amour que tu avais reçu et c’était pour toi et pour eux.
Mon Acte de Vie sur la Croix, tu le vois, n’est-ce pas ? Il a nourri tes actes de vie d’amour pour que tes actes de vie portent une nourriture plus nourrissante : c’est mon Acte de Vie fait avec mon amour inconditionnel qui a nourri tes bons actes de vie conditionnels.
La source qui coule en toi vient de moi lorsque tu es vrai envers toi-même. Mais si tu te triches, tu triches ta vie en le mouvement de vie et toutes les vies qui sont en le mouvement de vie sont trichées parce que tu te triches.
Qu’est-ce qui est en toi et qui fait en sorte que tu te triches ? Le mal en toi, car il veut ta place en ta vie. Si tu le laisses faire, il gagnera, et tu sortiras de ta vie éternelle pour entrer en la mort éternelle. Aime-moi plus que ta vie, plus que tous ceux qui ont été, sont et seront en ce monde, et tu demeureras avec moi dans la maison de mon Père. »
Mes enfants, ce n’est pas en vous conduisant comme tous les enfants de ce monde que vous les aiderez à avancer vers la terre nouvelle. L’esprit de ce monde triche tous les enfants de Dieu. L’esprit de ce monde, c’est l’orgueil, l’avarice, la colère, l’envie, la gourmandise, la luxure et la paresse spirituelle. J’ai envoyé ces péchés en enfer, mais l’esprit de ce monde les a conservés en vous maintenant dans la peur qui est l’ombre de vos péchés passés.
L’esprit de ce monde est nourri par le mal qui vient de Satan, le Prince de la terre.* La peur sert le Maître du mal, et c’est avec la peur qu’il maintient les enfants de Dieu dans la souffrance pour qu’ils ne puissent vivre avec la pureté du cœur leurs actes de vie que j’ai purifiés. Un être qui a le cœur pur n’a pas honte de qui il est devant Dieu. Il vit les épreuves de la vie sans accuser Dieu, car il sait que la souffrance en les humains a fait en sorte de les amener à écouter l’esprit du monde qui a empli d’erreurs l’esprit des enfants de Dieu pour qu’ils vivent dans de fausses réalités.
L’esprit de ce monde, c’est l’esprit du mal. Il a étouffé les valeurs humaines en nourrissant les enfants de ce monde avec ses œuvres immorales. Prisonniers de vos besoins excessifs, vous êtes tombés sous le poids de vos chaînes et, ne pouvant avancer en toute liberté, vous avez traîné derrière vous les fausses valeurs que vous aviez apprises à chérir.* Ces faussetés sont si nombreuses que les humains n’ont pu faire des œuvres avec la pureté du cœur.
Laissant libre cours à leurs pensées nébuleuses, à leurs écoutes déréglées, à leurs paroles empoisonnées, à leurs actions malsaines et leurs sentiments cachés à l’abri du jugement de Dieu, ils n’ont pas vu ni compris que les pièges de Satan les avaient enchaînés afin que tous soient réunis pour faire le mal. Ainsi, liés ensemble pour le mal, Satan avait réussi à ce que leurs mauvaises nourritures en leurs actes de vie s’infectent par elles-mêmes.*
Personne n’a pensé à se mettre à l’abri des tentations puisqu’ils se nourrissaient de leurs souffrances. Satan les a incités à se faire du tort en utilisant la peur ; par ce fait, le mal en eux les torturait devant ce qu’ils ressentaient : leur impuissance à connaître la paix en eux, donc la paix sur la terre.
Les conditions de vie sans amour briment les enfants de Dieu. Certains sont forts et d’autres plus forts, certains sont faibles et d’autres plus faibles ; mais tous les enfants de mon Père souffrent à cause de l’esprit du mal qui convoite leur vie pour maintenir les puissances du mal en ce monde. Le vrai amour est non vécu en la plupart des enfants de Dieu, car leur amour est sous la condition. Comme ils manquent envers l’amour de Dieu, ils mettent un frein à leurs bons actes de vie envers eux-mêmes, c’est pourquoi ils se donnent à Dieu et à leur prochain sous condition.
Se donner avec le vrai amour :
C’est faire de bons actes de vie pour aider le prochain à vivre en ce monde égoïste.
C’est donner à ceux qui ne partagent pas pour soutenir ceux qui se refusent aux autres.
C’est sourire à ceux qui n’ont pas de tendresse pour aider ceux qui s’accusent injustement.
C’est se taire devant ceux qui sont en colère pour appuyer ceux qui manquent de confiance.
C’est garder la paix là où il n’y a pas le bien pour que ceux qui font le mal se pardonnent.
C’est espérer là où il n’y a pas de foi pour marcher avec ceux qui ne croient pas en demain.
C’est aider ceux qui ne donnent rien pour encourager ceux qui oublient de donner.
C’est respecter là où il n’y a pas la pureté pour raffermir ceux qui espèrent la chasteté.
C’est avancer avec ceux qui briment la liberté pour comprendre ceux qui déforment la vérité.
C’est prier pour ceux qui n’ont pas de pudeur pour protéger ceux qui sont faibles.
C’est vivre simplement parmi ceux qui sont sans mesure pour aider ceux qui font des efforts.
C’est remplacer ceux qui ne visitent pas pour soulager ceux qui manquent de repos.
C’est s’abstenir de commentaires devant ceux qui ridiculisent pour assister ceux qui ont peur.
C’est accepter ceux qui n’ont pas de regret pour accueillir ceux qui pleureront.
C’est se taire là où il n’y a pas de vérité pour aimer ceux qui écrasent leur prochain.
C’est tolérer ceux qui manquent d’humilité pour servir ceux qui ne font pas d’efforts.
C’est apaiser ceux qui se révoltent pour respecter ceux qui ne sont pas tolérants.
C’est écouter ceux qui rejettent tout compromis pour entendre ceux qui croient en la vérité.
Mes enfants, ceux qui n’aiment côtoyer que ceux qui font le bien peuvent-ils facilement accepter dans leur vie ceux qui font le mal ? Non, car leur vie est planifiée par leur vouloir. Ils s’éloignent des grâces d’amour qui développent en eux la compassion, la patience, l’écoute, la simplicité, l’acceptation, l’humilité, l’abandon… Mes enfants, ces grâces font de vous des enfants amoureux de votre cher prochain.
Ceux qui n’aiment côtoyer que ceux qui font le mal sont-ils en danger de faire le mal ? Oui, puisqu’ils se plaisent en leur compagnie, et le mal nourrit leurs sens assoiffés de plaisirs. L’esprit de ce monde les enivre de ses trouvailles et de ses pompes captivantes qui semblent inépuisables, dans le but de capter leur attention afin de contrôler leur esprit.
L’esprit de ce monde n’est pas humain, c’est l’essence du paraître : il semble avoir un intérêt pour les humains, alors que ce n’est qu’un effet d’intérêt. En réalité, il veut que les humains mettent leur confiance en ce qu’ils représentent : des enfants qui semblent avancer avec ceux qui réunissent leurs efforts pour former un monde meilleur.
Volume-5-B- Amour pour tous les miens-Jésus
Vois mon amour, je me penche vers toi pour te dire : « Je t’aime, toi le pécheur qui m’a crucifié. »
Pourquoi perdez-vous votre paix lorsque vous êtes devant de mauvais actes de vie faits par votre prochain ? Votre être est en émoi parce que ses actes de vie ne nourrissent pas vos actes de vie avec une nourriture d’amour.
Comme vous ne vous êtes pas pardonnés,
comme vous ne regardez pas vos actes de vie pardonnés avec amour,
comme vous ne savez pas comment vous aimer,
comme vous n’avez pas confiance en votre miséricorde, vous êtes en souffrance.
Inconsciemment, vous voyez les fautes de votre prochain comme étant les vôtres :
le pécheur souffre de ne pas être capable de se pardonner inconditionnellement,
le pécheur souffre de ne pas aimer ses actes de vie purifiés,
le pécheur souffre de ne pas s’aimer tel qu’il est,
le pécheur souffre de ne pas vivre sa miséricorde, et vous perdez votre paix.
Par conséquent, vous ne pardonnez pas ses actes mauvais, vous ressentez un malaise lorsqu’il fait des actes de vie impurs, vous ne l’aimez pas tel qu’il est, et vous jugez ses actes de vie qui sont pardonnés par mon Père.
Avez-vous compris votre conséquence ? Vous êtes faibles devant les tentations. Vous avez nourri les actes de vie de votre prochain avec la nourriture que portaient vos actes de vie. Et lorsque vous vous apercevez qu’il se conduit mal et qu’il ne fait pas les efforts qu’il serait en mesure de faire pour refuser les tentations, tout votre être réagit à ce que vous ne vous demandez pas.
Et que vous arrive-t-il ? Votre être consent à ce que vos actes de vie soient utilisés.
Par qui ? Ce qui est entré en vous et qui ne venait pas de Dieu, mais de Satan. Comme cela ne vient pas de Dieu, ce qui est étranger à la vie utilise vos actes de vie contre Dieu, contre vous-mêmes et contre votre prochain. C’est ainsi que vos mauvaises habitudes ont influencé les mauvaises habitudes de votre prochain, et cela a contribué à mettre pères contre fils, mères contre filles, frères contre frères, sœurs contre sœurs et frères contre sœurs. Si, aujourd’hui, les enfants de ce monde s’autodétruisent, c’est parce que vous avez contribué à cette destruction.
Si vous me demandez : ‘J’ai prié, j’ai jeûné, j’ai fait pénitence, j’ai été vers les sacrements et j’ai suivi les dix commandements de Dieu, alors à quoi est-ce que mes efforts ont servi ?’ Moi, le Fils de Dieu le Père, je vous dirai : « Sans moi tu ne pouvais rien faire. Ce sont mes grâces qui ont agi en toi afin que tu puisses prier, aller vers les sacrements, faire pénitence, jeûner et suivre les lois de mon Père. Je t’ai donné beaucoup.
Ce que je t’ai donné, est-ce que tu l’as mis à profit ?
Pour une prière, je t’ai comblé de grâces afin que tu te serves de tes talents que Dieu t’avait donnés pour servir ton prochain.
Pour un sacrement, le Saint-Esprit t’a couvert de son ombre afin que tu puisses utiliser tes talents avec ses dons et ses fruits.
Pour une pénitence, je t’ai couvert de mon Précieux Sang afin que tu ne gaspilles pas tes talents à faire des actes de vie inutiles.
Pour un jeûne, je t’ai accompagné dans ta solitude afin qu’au retour vers ton quotidien tu sois plus fort devant les tentations.
Pour une journée à faire ce que tu dois faire avec les lois de mon Père, je t’ai donné ma Vie afin que tu sois digne du don que mon Père t’a donné : son unique Fils.
Fallait-il que je meure encore pour que tu puisses comprendre qu’un seul acte de vie qui n’était pas pur a été contre Dieu, contre toi et contre les enfants de ce monde : du premier qui est Adam jusqu’au dernier qui viendrait en ce monde impur ? Oui, seule ma Vie donnée en acte de réparation pouvait te rendre pur. Vois mon amour, je me penche vers toi pour te dire :* « Je t’aime, toi le pécheur qui m’a crucifié. »
Regarde la Croix, c’est mon Acte de Vie qui te montre mon amour inconditionnel. Tu m’avais quitté pour un amour qui n’avait pas ma valeur. Je t’ai regardé partir pour t’installer dans le sein de ta mère, mais mon regard ne t’a jamais quitté. J’ai fait pour toi ce que tu ne pouvais faire.
Ô mon amour, qu’est-ce que tu ne pouvais faire ? J’ai pris en moi tous les actes de vie, comme si c’était les miens, pour les présenter à mon Père.
Mais, avant, je les ai purifiés en passant par le supplice de la Croix : mon Père agréa mon Acte de Vie que j’ai fait par amour.
Peux-tu réaliser ce que j’ai fait pour toi ? J’ai consolé ton âme que tu négligeais. J’ai pris soin de ceux que tu faisais souffrir à cause de tes actes de vie trompés par le mal, manipulés par la mort, torturés par la peur. Mon Cœur était rempli de compassion pour toi qui n’étais plus toi-même. Oui, tu étais un étranger dans ta vie.
Pour un seul acte de vie sans amour, le Malin te le faisait payer au centuple, car tu nourrissais les actes de vie de ton prochain, et leurs actes nourris par le mal en ta vie te revenaient.
Combien de fois t’ai-je vu douter de moi ? Tu m’accusais de ne rien faire pour te venir en aide ou tu ne disais rien, mais tes actes de vie en disaient long. Je priais mon Père de t’accorder la force de vivre ce que tu avais à vivre afin de redevenir l’enfant parfait que tu étais avant de choisir ton amour.
Quel était donc cet amour que tu avais préféré à celui de mon Père ? Un amour sans force.
Vois avec quel amour tu faisais tes actes de vie :
Tu priais, mais tu parlais de la mauvaise conduite de ton prochain.
Tu allais vers les sacrements, mais tu manquais à ta promesse : de ne pas recommencer.
Tu faisais pénitence, mais ton cœur ne soutenait pas ceux qui étaient orgueilleux, avares, envieux, paresseux, coléreux, gourmets, dans la luxure.
Tu jeûnais, mais tu nourrissais tes besoins contre toi.
Tu suivais les lois de mon Père, mais tu trichais ta vie. L’enfant que tu étais n’est pas demeuré fidèle à l’amour de ton Père ni à ton amour.
Qu’est-ce qui a remplacé ton amour ? Ton amour est toujours en toi, mais ce qui est entré en toi a fait taire ton amour. C’est un amour personnel qui ne vient pas de Dieu qui t’a pris, parce que tu n’es pas demeuré fidèle à l’enfant que tu es.
Devais-je te laisser seul avec tes mauvais choix ? Non, j’ai étendu sur toi ma lumière pour que tu saches que lorsque toi et ton prochain vous vous conduisiez mal, vous étiez pour en vivre les conséquences, non seuls, mais avec mes grâces.
Mon amour a été bafoué au pied de l’autel là où tu avançais avec tes actes de vie : purs ! Oui, ils étaient purs, mais pas tous. Lorsque tu te croyais plus pur que ceux qui ne venaient pas vers moi, tu tombais dans l’orgueil. Mais toi, tu avais tant reçu ! Tout ce que je t’ai donné, est-ce que tu l’as partagé avec ceux qui avaient faim et soif d’amour ? C’est mon amour que tu avais reçu et c’était pour toi et pour eux.
Mon Acte de Vie sur la Croix, tu le vois, n’est-ce pas ? Il a nourri tes actes de vie d’amour pour que tes actes de vie portent une nourriture plus nourrissante : c’est mon Acte de Vie fait avec mon amour inconditionnel qui a nourri tes bons actes de vie conditionnels.
La source qui coule en toi vient de moi lorsque tu es vrai envers toi-même. Mais si tu te triches, tu triches ta vie en le mouvement de vie et toutes les vies qui sont en le mouvement de vie sont trichées parce que tu te triches.
Qu’est-ce qui est en toi et qui fait en sorte que tu te triches ? Le mal en toi, car il veut ta place en ta vie. Si tu le laisses faire, il gagnera, et tu sortiras de ta vie éternelle pour entrer en la mort éternelle. Aime-moi plus que ta vie, plus que tous ceux qui ont été, sont et seront en ce monde, et tu demeureras avec moi dans la maison de mon Père. »
Mes enfants, ce n’est pas en vous conduisant comme tous les enfants de ce monde que vous les aiderez à avancer vers la terre nouvelle. L’esprit de ce monde triche tous les enfants de Dieu. L’esprit de ce monde, c’est l’orgueil, l’avarice, la colère, l’envie, la gourmandise, la luxure et la paresse spirituelle. J’ai envoyé ces péchés en enfer, mais l’esprit de ce monde les a conservés en vous maintenant dans la peur qui est l’ombre de vos péchés passés.
L’esprit de ce monde est nourri par le mal qui vient de Satan, le Prince de la terre.* La peur sert le Maître du mal, et c’est avec la peur qu’il maintient les enfants de Dieu dans la souffrance pour qu’ils ne puissent vivre avec la pureté du cœur leurs actes de vie que j’ai purifiés. Un être qui a le cœur pur n’a pas honte de qui il est devant Dieu. Il vit les épreuves de la vie sans accuser Dieu, car il sait que la souffrance en les humains a fait en sorte de les amener à écouter l’esprit du monde qui a empli d’erreurs l’esprit des enfants de Dieu pour qu’ils vivent dans de fausses réalités.
L’esprit de ce monde, c’est l’esprit du mal. Il a étouffé les valeurs humaines en nourrissant les enfants de ce monde avec ses œuvres immorales. Prisonniers de vos besoins excessifs, vous êtes tombés sous le poids de vos chaînes et, ne pouvant avancer en toute liberté, vous avez traîné derrière vous les fausses valeurs que vous aviez apprises à chérir.* Ces faussetés sont si nombreuses que les humains n’ont pu faire des œuvres avec la pureté du cœur.
Laissant libre cours à leurs pensées nébuleuses, à leurs écoutes déréglées, à leurs paroles empoisonnées, à leurs actions malsaines et leurs sentiments cachés à l’abri du jugement de Dieu, ils n’ont pas vu ni compris que les pièges de Satan les avaient enchaînés afin que tous soient réunis pour faire le mal. Ainsi, liés ensemble pour le mal, Satan avait réussi à ce que leurs mauvaises nourritures en leurs actes de vie s’infectent par elles-mêmes.*
Personne n’a pensé à se mettre à l’abri des tentations puisqu’ils se nourrissaient de leurs souffrances. Satan les a incités à se faire du tort en utilisant la peur ; par ce fait, le mal en eux les torturait devant ce qu’ils ressentaient : leur impuissance à connaître la paix en eux, donc la paix sur la terre.
Les conditions de vie sans amour briment les enfants de Dieu. Certains sont forts et d’autres plus forts, certains sont faibles et d’autres plus faibles ; mais tous les enfants de mon Père souffrent à cause de l’esprit du mal qui convoite leur vie pour maintenir les puissances du mal en ce monde. Le vrai amour est non vécu en la plupart des enfants de Dieu, car leur amour est sous la condition. Comme ils manquent envers l’amour de Dieu, ils mettent un frein à leurs bons actes de vie envers eux-mêmes, c’est pourquoi ils se donnent à Dieu et à leur prochain sous condition.
Se donner avec le vrai amour :
C’est faire de bons actes de vie pour aider le prochain à vivre en ce monde égoïste.
C’est donner à ceux qui ne partagent pas pour soutenir ceux qui se refusent aux autres.
C’est sourire à ceux qui n’ont pas de tendresse pour aider ceux qui s’accusent injustement.
C’est se taire devant ceux qui sont en colère pour appuyer ceux qui manquent de confiance.
C’est garder la paix là où il n’y a pas le bien pour que ceux qui font le mal se pardonnent.
C’est espérer là où il n’y a pas de foi pour marcher avec ceux qui ne croient pas en demain.
C’est aider ceux qui ne donnent rien pour encourager ceux qui oublient de donner.
C’est respecter là où il n’y a pas la pureté pour raffermir ceux qui espèrent la chasteté.
C’est avancer avec ceux qui briment la liberté pour comprendre ceux qui déforment la vérité.
C’est prier pour ceux qui n’ont pas de pudeur pour protéger ceux qui sont faibles.
C’est vivre simplement parmi ceux qui sont sans mesure pour aider ceux qui font des efforts.
C’est remplacer ceux qui ne visitent pas pour soulager ceux qui manquent de repos.
C’est s’abstenir de commentaires devant ceux qui ridiculisent pour assister ceux qui ont peur.
C’est accepter ceux qui n’ont pas de regret pour accueillir ceux qui pleureront.
C’est se taire là où il n’y a pas de vérité pour aimer ceux qui écrasent leur prochain.
C’est tolérer ceux qui manquent d’humilité pour servir ceux qui ne font pas d’efforts.
C’est apaiser ceux qui se révoltent pour respecter ceux qui ne sont pas tolérants.
C’est écouter ceux qui rejettent tout compromis pour entendre ceux qui croient en la vérité.
Mes enfants, ceux qui n’aiment côtoyer que ceux qui font le bien peuvent-ils facilement accepter dans leur vie ceux qui font le mal ? Non, car leur vie est planifiée par leur vouloir. Ils s’éloignent des grâces d’amour qui développent en eux la compassion, la patience, l’écoute, la simplicité, l’acceptation, l’humilité, l’abandon… Mes enfants, ces grâces font de vous des enfants amoureux de votre cher prochain.
Ceux qui n’aiment côtoyer que ceux qui font le mal sont-ils en danger de faire le mal ? Oui, puisqu’ils se plaisent en leur compagnie, et le mal nourrit leurs sens assoiffés de plaisirs. L’esprit de ce monde les enivre de ses trouvailles et de ses pompes captivantes qui semblent inépuisables, dans le but de capter leur attention afin de contrôler leur esprit.
L’esprit de ce monde n’est pas humain, c’est l’essence du paraître : il semble avoir un intérêt pour les humains, alors que ce n’est qu’un effet d’intérêt. En réalité, il veut que les humains mettent leur confiance en ce qu’ils représentent : des enfants qui semblent avancer avec ceux qui réunissent leurs efforts pour former un monde meilleur.
Volume-5-B- Amour pour tous les miens-Jésus
métys- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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