Matière à réflexion
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Matière à réflexion
Matière à réflexion …
: Source : http://www.proliturgia.org/
« Si par fondamentaliste, on entend quelqu’un qui insiste sur les choses fondamentales, alors je suis un fondamentaliste. En tant que prêtre, je ne m’enseigne pas moi-même et je n’agis pas pour moi-même. J’appartiens au Christ. » Cardinal Raymond Burke.
« Nous avons la doctrine de l’Eglise, qui est également exprimée dans le Catéchisme, dans le concile de Trente, dans le concile Vatican II, dans d’autres déclarations de notre Congrégation [pour la Doctrine de la Foi]. La pastorale ne peut pas avoir un autre concept que la doctrine : la doctrine et la pastorale sont la même chose. Jésus-Christ comme Pasteur et Jésus-Christ comme Maître avec sa Parole ne sont pas des personnes différentes. La miséricorde de Dieu n’est pas contre la justice de Dieu. » Cardinal Gerhard Ludwig Müller.
« Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Voilà ce qui est stable. Voilà ce dont je cherche à rendre témoignage. (…) Faire en sorte que les gens reviennent aux racines des choses, de la Révélation, est un devoir pour nous évêques. Nous ne pouvons pas laisser les gens sans une route sûre. Sans un roc sur lequel s’appuyer. Dans la paroisse, le roc sur lequel s’appuyer est le curé ; dans le diocèse, c’est l’évêque ; dans l’Eglise universelle, c’est le Pape. Et nous essayons d’aider le Saint-Père à assurer aux gens qu’une stabilité existe. Qu’il y a une route. Et la route est Jésus-Christ. » Cardinal Robert Sarah.
« Il n’est pas étonnant, surtout après “Amoris laetitia”, que de nombreux observateurs aient annoncé la naissance d’une nouvelle Eglise, “l’Eglise du Pape François”, une Eglise qui ne juge plus, mais qui dialogue dans le sens où la culture dominante entend le dialogue : c’est-à-dire, une Eglise neutre, privée de la capacité et de la volonté de distinguer, d’évaluer, de porter un jugement.
Mais une question est inévitable : si l’Eglise ne juge pas, ne distingue pas et ne permet pas d’évaluer, quelle est sa fonction ? Le Pape François, avec son paradigme pastoral de la miséricorde, semble répondre que le but de l’Eglise est de consoler et d’accompagner. Mais peut-il y avoir consolation sans évaluation ? Peut-il y avoir accompagnement sans jugement ? Le Pape aurait-il décrété que la façon subjective de vivre une expérience est le seul critère capable d’évaluer la qualité morale de l’expérience elle-même ?
Si, en 1972, Paul VI souffrant arriva à la conclusion que “par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans l’Eglise”, nous pouvons nous demander aujourd’hui : le relativisme est-il aussi entré à travers ces fissures ? » Aldo Maria Valli.
« il est loin le temps où la religion catholique rassemblait des fidèles croyant dur comme fer à l’immaculée Conception, à la transsubstantiation, à l’infaillibilité papale, au Paraclet de la Pentecôte, à l’Assomption de Marie, à la résurrection de la chair ! Le catholicisme post-Vatican II a laïcisé la religion catholique en faisant du peuple des fidèles une force de vérité égale à celle du pasteur. Le sacré, la transcendance, le mystère ont souvent disparu au profit d’une morale de boy-scout qui tient lieu de règle du jeu contractuelle, un genre de contrat social catholique. (…) [Le remplacement de Benoît XVI] par un Pape jésuite, tellement jésuite qu’il prend un nom franciscain, fait lui aussi sens. Le catholicisme triomphe médiatiquement parce que le Pape sait en user, en jésuite, mais pas parce qu’il rallie à lui les disciples d’un catholicisme épuisé.
La quantité médiatique et le nombre de fidèles ne disent rien de la qualité théologique des croyances. Quand le Pape François dit, il y a deux ans exactement, c’était le 15 janvier 2015 : “Si un grand ami parle mal de ma mère, il peut s’attendre à un coup de poing”, je ne suis plus très sûr que Rome soit encore dans Rome… » Michel Onfray (dans “Le Figaro” du 8.1.2017)
: Source : http://www.proliturgia.org/
« Si par fondamentaliste, on entend quelqu’un qui insiste sur les choses fondamentales, alors je suis un fondamentaliste. En tant que prêtre, je ne m’enseigne pas moi-même et je n’agis pas pour moi-même. J’appartiens au Christ. » Cardinal Raymond Burke.
« Nous avons la doctrine de l’Eglise, qui est également exprimée dans le Catéchisme, dans le concile de Trente, dans le concile Vatican II, dans d’autres déclarations de notre Congrégation [pour la Doctrine de la Foi]. La pastorale ne peut pas avoir un autre concept que la doctrine : la doctrine et la pastorale sont la même chose. Jésus-Christ comme Pasteur et Jésus-Christ comme Maître avec sa Parole ne sont pas des personnes différentes. La miséricorde de Dieu n’est pas contre la justice de Dieu. » Cardinal Gerhard Ludwig Müller.
« Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Voilà ce qui est stable. Voilà ce dont je cherche à rendre témoignage. (…) Faire en sorte que les gens reviennent aux racines des choses, de la Révélation, est un devoir pour nous évêques. Nous ne pouvons pas laisser les gens sans une route sûre. Sans un roc sur lequel s’appuyer. Dans la paroisse, le roc sur lequel s’appuyer est le curé ; dans le diocèse, c’est l’évêque ; dans l’Eglise universelle, c’est le Pape. Et nous essayons d’aider le Saint-Père à assurer aux gens qu’une stabilité existe. Qu’il y a une route. Et la route est Jésus-Christ. » Cardinal Robert Sarah.
« Il n’est pas étonnant, surtout après “Amoris laetitia”, que de nombreux observateurs aient annoncé la naissance d’une nouvelle Eglise, “l’Eglise du Pape François”, une Eglise qui ne juge plus, mais qui dialogue dans le sens où la culture dominante entend le dialogue : c’est-à-dire, une Eglise neutre, privée de la capacité et de la volonté de distinguer, d’évaluer, de porter un jugement.
Mais une question est inévitable : si l’Eglise ne juge pas, ne distingue pas et ne permet pas d’évaluer, quelle est sa fonction ? Le Pape François, avec son paradigme pastoral de la miséricorde, semble répondre que le but de l’Eglise est de consoler et d’accompagner. Mais peut-il y avoir consolation sans évaluation ? Peut-il y avoir accompagnement sans jugement ? Le Pape aurait-il décrété que la façon subjective de vivre une expérience est le seul critère capable d’évaluer la qualité morale de l’expérience elle-même ?
Si, en 1972, Paul VI souffrant arriva à la conclusion que “par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans l’Eglise”, nous pouvons nous demander aujourd’hui : le relativisme est-il aussi entré à travers ces fissures ? » Aldo Maria Valli.
« il est loin le temps où la religion catholique rassemblait des fidèles croyant dur comme fer à l’immaculée Conception, à la transsubstantiation, à l’infaillibilité papale, au Paraclet de la Pentecôte, à l’Assomption de Marie, à la résurrection de la chair ! Le catholicisme post-Vatican II a laïcisé la religion catholique en faisant du peuple des fidèles une force de vérité égale à celle du pasteur. Le sacré, la transcendance, le mystère ont souvent disparu au profit d’une morale de boy-scout qui tient lieu de règle du jeu contractuelle, un genre de contrat social catholique. (…) [Le remplacement de Benoît XVI] par un Pape jésuite, tellement jésuite qu’il prend un nom franciscain, fait lui aussi sens. Le catholicisme triomphe médiatiquement parce que le Pape sait en user, en jésuite, mais pas parce qu’il rallie à lui les disciples d’un catholicisme épuisé.
La quantité médiatique et le nombre de fidèles ne disent rien de la qualité théologique des croyances. Quand le Pape François dit, il y a deux ans exactement, c’était le 15 janvier 2015 : “Si un grand ami parle mal de ma mère, il peut s’attendre à un coup de poing”, je ne suis plus très sûr que Rome soit encore dans Rome… » Michel Onfray (dans “Le Figaro” du 8.1.2017)
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Accorde-moi Seigneur la grâce d’être l’apôtre de Ta Divine Miséricorde .
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Dieu Saint, Dieu fort, Dieu éternel, Prend pitié de nous .
ToutPourJésus- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Date d'inscription : 13/12/2011
Re: Matière à réflexion
@ Tous :
Ces diverses citations ne font que reprendre l'Enseignement de l'Église Catholique !
Celle-ci n'a jamais enseigné autre chose que ce qu'elle enseigne depuis 2,000 ans !
Si jamais elle enseignait autre chose, que soit anathème celui qui serait à l'origine de ces changements !
Comprenne qui pourra !
L'Administrateur
Ces diverses citations ne font que reprendre l'Enseignement de l'Église Catholique !
Celle-ci n'a jamais enseigné autre chose que ce qu'elle enseigne depuis 2,000 ans !
Si jamais elle enseignait autre chose, que soit anathème celui qui serait à l'origine de ces changements !
Comprenne qui pourra !
L'Administrateur
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"Le garant de ces révélations l'affirme :
"Oui, mon retour est proche!
Amen, viens, Seigneur Jésus!"
Apocalypse, 22, 20
*Venez prier et adorer en direct sur le Forum VSJ via le Web* :
http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/
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