Maintenant, François ciblera la jeunesse « rigide Mais que signifie « rigide » ?
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Maintenant, François ciblera la jeunesse « rigide Mais que signifie « rigide » ?
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Maintenant, François ciblera la jeunesse « rigide »
Mais que signifie « rigide » ?
Et pourquoi François ne nous le dit-il pas ?
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par Christopher A. Ferrara
SOURCE : Fatima Network Perspectives
Le 8 mai 2017
Au cours des quatre dernières années, le Pape Bergoglio a dénoncé presque quotidiennement la « rigidité » des Catholiques rigides qu'il semble voir partout à un moment où le laxisme moral, doctrinal et disciplinaire est répandu dans l'Église.
Mais la énième dénonciation des « Chrétiens rigides », lors d'un sermon à Casa Santa Marta, avait une allure légèrement différente. Maintenant, il semble que le Pape Bergoglio perçoive une menace croissante de « rigidité » chez les jeunes Catholiques. En parlant de la conversion de Saul de Tarse en tant que jeune homme « rigide » qui suivait la Loi Mosaïque, François a fourni la distorsion habituelle de l'Écriture dans un acte d'accusation envers les Catholiques actuels
« Ce sont des personnes rigides qui vivent une double vie : ils se font voir beaux, honnêtes, mais quand personne ne les voit ils font de mauvaises choses. En revanche, ce jeune homme [Saint Paul] était honnête. Il croyait et agissait. Je pense, quand je dis cela, aux nombreux jeunes de l'Église d'aujourd'hui qui sont tombés dans la tentation de la rigidité. Certains sont honnêtes, certains sont bons. Nous devons prier pour que le Seigneur les aide à grandir sur le chemin de la douceur ».
Ainsi, selon le Pape Bergoglio, il existe aujourd'hui deux types de personnes « rigides » dans l'Église : les hypocrites, qu'il est tout à fait sûr qu’ils « font des mauvaises choses » quand personne ne regarde, et il y a des gens sincèrement rigides qui, comme Saint Paul, « sont honnêtes » dans leur rigidité. C'est-à-dire qu'ils pratiquent ce qu'ils prêchent, mais sont encore « rigides ». Et on s'attend à ce que même « beaucoup de jeunes soient tombés dans la tentation de la rigidité », bien que le Pape Bergoglio reconnaisse que certains soient sincèrement rigides comme Saint Paul .
Il serait assez facile de rire de cet interminable « J’accuse » comme étant un comportement plutôt puéril qui ne sied pas à un Pape et de vaquer à nos affaires sans ne plus rien lui porter la moindre attention. Mais il y a un sens plus profond et plus sinistre à tout cela : considérez que la seule chose que le Pape Bergoglio a échoué de faire dans ses attaques démagogiques sans fin sur les « rigides », c’est de nous dire exactement — ou même approximativement ! — ce qu’il veut dire par ce mot. L'épithète reste toujours dans un isolement rhétorique sans cadre contextuel. Que faut-il retenir de cette omission flagrante ?
La réponse, bien sûr, est évidente et tout le monde qui prête attention au Pape Bergoglio le sait : par « rigide », il veut dire une adhésion ferme aux Doctrines de l'Église sur la Foi, la morale et de ses disciplines connexes, y compris la Liturgie Latine Traditionnelle, à laquelle les jeunes « rigides » sont attirés en nombre croissant.
Par « rigide », Bergoglio signifie, en substance, être trop Catholique à son goût et donc pas enclin à accepter les principes du Bergoglianisme, y compris la notion selon laquelle les personnes qui s'engagent dans des relations sexuelles en dehors du Saint Mariage et qui prétendent avoir opéré un « second mariage » avec quelqu'un avec qui ils ne sont pas mariés, devraient être admises à la Sainte Communion s'ils « discernent » qu'ils ne sont pas coupables d'adultère, malgré ce que notre Seigneur a dit tout au contraire. Aucun autre Pape n'a même consenti à une telle atrocité, mais de ne pas l'approuver, c'est une forme de « rigidité » selon Bergoglio, lui seul parmi tous les Papes de l'histoire.
Le point n'est pas si évident, cependant, alors que tout le monde sait ce que le Pape Bergoglio signifie par « rigide », peu de gens se sont concentrés sur l'importance de son échec — en aucune circonstance — à nous dire ce qu'il veut dire par là.
Pourquoi ? La seule réponse raisonnable donne des frissons : le Pape Bergoglio sait que ce qu'il condamne constamment n'est rien d'autre que la saine orthodoxie et l'orthopraxie, mais qu'il ne peut pas admettre ouvertement cela sans se révéler comme un simple adversaire de ce que l'Église a toujours cru et pratiqué. En d'autres termes, la campagne Bergoglienne contre les Catholiques « rigides » n'est pas motivée par une conviction sincère qu'ils s'écartent réellement de la Foi, car si cela était sa sincère conviction, il préciserait avec sincérité sous quels égards particuliers ils ont dévié — doctrinalement , moralement, liturgiquement ou autrement.
Mais il ne peut pas le faire pour la simple raison que, dans son esprit, les termes « rigide » et « Catholicisme traditionnel » sont équivalents, et il sait très bien qu'il ne peut pas énoncer explicitement cette conviction essentiellement Moderniste. Ainsi, il emploie l'équivalence ecclésiale de la « vertu ostentatoire » [ ou du « bien paraître » ] en politique, lançant l'accusation de « rigidité » pour signaler la supériorité morale de l'accusateur à l'égard des Catholiques qui veulent simplement pratiquer la Foi de leurs pères sans les altérations Bergogliennes, y compris les « nombreux jeunes » qu’il humilie publiquement parce qu'ils cherchent la religion authentique qui est leur droit de naissance comme membres baptisés du Corps Mystique. Pensez à « rigide » comme l'analogie ecclésiale de « bigot » ou de « raciste » ou d’« homophobe » dans la sphère politique, où les mots de code cachent ce qui est vraiment une attaque contre les valeurs traditionnelles représentant ce qui reste du peu de l'ordre moral de la Chrétienté.
Quel mystère nous confronte alors que ce pontificat continue son cours destructeur. Seul Dieu sait pourquoi l'Église souffre de cette affliction ; et Lui seul sait quand cela finira par le Triomphe du Cœur Immaculé de Marie. Puisse-t-il arriver bientôt.
Maintenant, François ciblera la jeunesse « rigide »
Mais que signifie « rigide » ?
Et pourquoi François ne nous le dit-il pas ?
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par Christopher A. Ferrara
SOURCE : Fatima Network Perspectives
Le 8 mai 2017
Au cours des quatre dernières années, le Pape Bergoglio a dénoncé presque quotidiennement la « rigidité » des Catholiques rigides qu'il semble voir partout à un moment où le laxisme moral, doctrinal et disciplinaire est répandu dans l'Église.
Mais la énième dénonciation des « Chrétiens rigides », lors d'un sermon à Casa Santa Marta, avait une allure légèrement différente. Maintenant, il semble que le Pape Bergoglio perçoive une menace croissante de « rigidité » chez les jeunes Catholiques. En parlant de la conversion de Saul de Tarse en tant que jeune homme « rigide » qui suivait la Loi Mosaïque, François a fourni la distorsion habituelle de l'Écriture dans un acte d'accusation envers les Catholiques actuels
« Ce sont des personnes rigides qui vivent une double vie : ils se font voir beaux, honnêtes, mais quand personne ne les voit ils font de mauvaises choses. En revanche, ce jeune homme [Saint Paul] était honnête. Il croyait et agissait. Je pense, quand je dis cela, aux nombreux jeunes de l'Église d'aujourd'hui qui sont tombés dans la tentation de la rigidité. Certains sont honnêtes, certains sont bons. Nous devons prier pour que le Seigneur les aide à grandir sur le chemin de la douceur ».
Ainsi, selon le Pape Bergoglio, il existe aujourd'hui deux types de personnes « rigides » dans l'Église : les hypocrites, qu'il est tout à fait sûr qu’ils « font des mauvaises choses » quand personne ne regarde, et il y a des gens sincèrement rigides qui, comme Saint Paul, « sont honnêtes » dans leur rigidité. C'est-à-dire qu'ils pratiquent ce qu'ils prêchent, mais sont encore « rigides ». Et on s'attend à ce que même « beaucoup de jeunes soient tombés dans la tentation de la rigidité », bien que le Pape Bergoglio reconnaisse que certains soient sincèrement rigides comme Saint Paul .
Il serait assez facile de rire de cet interminable « J’accuse » comme étant un comportement plutôt puéril qui ne sied pas à un Pape et de vaquer à nos affaires sans ne plus rien lui porter la moindre attention. Mais il y a un sens plus profond et plus sinistre à tout cela : considérez que la seule chose que le Pape Bergoglio a échoué de faire dans ses attaques démagogiques sans fin sur les « rigides », c’est de nous dire exactement — ou même approximativement ! — ce qu’il veut dire par ce mot. L'épithète reste toujours dans un isolement rhétorique sans cadre contextuel. Que faut-il retenir de cette omission flagrante ?
La réponse, bien sûr, est évidente et tout le monde qui prête attention au Pape Bergoglio le sait : par « rigide », il veut dire une adhésion ferme aux Doctrines de l'Église sur la Foi, la morale et de ses disciplines connexes, y compris la Liturgie Latine Traditionnelle, à laquelle les jeunes « rigides » sont attirés en nombre croissant.
Par « rigide », Bergoglio signifie, en substance, être trop Catholique à son goût et donc pas enclin à accepter les principes du Bergoglianisme, y compris la notion selon laquelle les personnes qui s'engagent dans des relations sexuelles en dehors du Saint Mariage et qui prétendent avoir opéré un « second mariage » avec quelqu'un avec qui ils ne sont pas mariés, devraient être admises à la Sainte Communion s'ils « discernent » qu'ils ne sont pas coupables d'adultère, malgré ce que notre Seigneur a dit tout au contraire. Aucun autre Pape n'a même consenti à une telle atrocité, mais de ne pas l'approuver, c'est une forme de « rigidité » selon Bergoglio, lui seul parmi tous les Papes de l'histoire.
Le point n'est pas si évident, cependant, alors que tout le monde sait ce que le Pape Bergoglio signifie par « rigide », peu de gens se sont concentrés sur l'importance de son échec — en aucune circonstance — à nous dire ce qu'il veut dire par là.
Pourquoi ? La seule réponse raisonnable donne des frissons : le Pape Bergoglio sait que ce qu'il condamne constamment n'est rien d'autre que la saine orthodoxie et l'orthopraxie, mais qu'il ne peut pas admettre ouvertement cela sans se révéler comme un simple adversaire de ce que l'Église a toujours cru et pratiqué. En d'autres termes, la campagne Bergoglienne contre les Catholiques « rigides » n'est pas motivée par une conviction sincère qu'ils s'écartent réellement de la Foi, car si cela était sa sincère conviction, il préciserait avec sincérité sous quels égards particuliers ils ont dévié — doctrinalement , moralement, liturgiquement ou autrement.
Mais il ne peut pas le faire pour la simple raison que, dans son esprit, les termes « rigide » et « Catholicisme traditionnel » sont équivalents, et il sait très bien qu'il ne peut pas énoncer explicitement cette conviction essentiellement Moderniste. Ainsi, il emploie l'équivalence ecclésiale de la « vertu ostentatoire » [ ou du « bien paraître » ] en politique, lançant l'accusation de « rigidité » pour signaler la supériorité morale de l'accusateur à l'égard des Catholiques qui veulent simplement pratiquer la Foi de leurs pères sans les altérations Bergogliennes, y compris les « nombreux jeunes » qu’il humilie publiquement parce qu'ils cherchent la religion authentique qui est leur droit de naissance comme membres baptisés du Corps Mystique. Pensez à « rigide » comme l'analogie ecclésiale de « bigot » ou de « raciste » ou d’« homophobe » dans la sphère politique, où les mots de code cachent ce qui est vraiment une attaque contre les valeurs traditionnelles représentant ce qui reste du peu de l'ordre moral de la Chrétienté.
Quel mystère nous confronte alors que ce pontificat continue son cours destructeur. Seul Dieu sait pourquoi l'Église souffre de cette affliction ; et Lui seul sait quand cela finira par le Triomphe du Cœur Immaculé de Marie. Puisse-t-il arriver bientôt.
AnneLéa- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 31663
Date d'inscription : 03/07/2014
Localisation : Québec Canada
Re: Maintenant, François ciblera la jeunesse « rigide Mais que signifie « rigide » ?
@ Tous :
Toute personne qui est un tantinet Traditionnaliste au sein de l'Église Catholique ou toute personne qui est trop près de la Sainte Doctrine est vu par le Pape François comme un "Rigide", c'est-à-dire comme un ENNEMI de la Doctrine Moderniste qu'il voudrait bien nous imposer !
C'est un nom de code pour signifier « un ennemi du Bergoglionisme » !
L'Administrateur
Toute personne qui est un tantinet Traditionnaliste au sein de l'Église Catholique ou toute personne qui est trop près de la Sainte Doctrine est vu par le Pape François comme un "Rigide", c'est-à-dire comme un ENNEMI de la Doctrine Moderniste qu'il voudrait bien nous imposer !
C'est un nom de code pour signifier « un ennemi du Bergoglionisme » !
L'Administrateur
Re: Maintenant, François ciblera la jeunesse « rigide Mais que signifie « rigide » ?
@ AnneLéa :
Un très grand pour ce post qui démasque le Pape François !
L'Administrateur
Un très grand pour ce post qui démasque le Pape François !
L'Administrateur
La rigidité et la conversion ne se mélangent pas Mais ne vous laissez pas tromper par le double-lang
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La rigidité et la conversion ne se mélangent pas
Mais ne vous laissez pas tromper par le double-langage
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par : Dr. Jeff Mirus ( Droit Canon)
Le 9 mai 2017
SOURCE : Catholic Culture
Lorsque le Pape François a de nouveau réprimandé les Catholiques au cœur dur dans une homélie le 2 mai, tout ce que je pouvais faire, c’était de me gratter la tête. « Cela cause de la souffrance dans l'Église » a déclaré le Pape, « les cœurs fermés, les cœurs de pierre, les cœurs qui ne veulent pas être ouverts, ne veulent pas entendre, les cœurs qui connaissent seulement le langage de la condamnation ». En se référant à « la tendresse de Jésus », le Pape a exhorté tout le monde à demander la grâce qui « adoucit le cœur rigide de ces personnes qui sont toujours enfermées dans la loi et condamnent tous ceux qui sont en dehors de la loi ».
Si « cela cause de la souffrance dans l'Église », il faut présumer qu'il y a beaucoup de ces personnes dans l'Église. Pourtant, combien d'entre nous ont réellement rencontré un grand nombre de Catholiques croyants qui ne cessent de condamner les autres, qui n'ont aucun désir d'inviter les autres à se repentir afin qu'ils puissent profiter de l'étreinte de Notre-Seigneur ? Je ne peux pas parler pour tout le monde, mais la grande majorité des Catholiques que j'ai connus aujourd'hui qui apprécient le Christ et l'Église me semblent conduits par le désir d'étendre la miséricorde de Dieu aux autres. Ils aspirent à le faire, mais ils comprennent que cela ne peut être fait si ces autres personnes ne veulent pas se tourner vers Lui et se guérir de leur refus d'ouvrir leur cœur.
En fait, c'est la marque de notre culture sérieusement confuse mais aussi politiquement correcte que tous ceux qui sont sous son influence doivent fermer leurs cœurs envers le message du Christ. La culture insiste systématiquement sur le fait que tout le monde doit appeler le mal bien, et le bien mal, qui est simplement une variante du péché impardonnable contre le Saint-Esprit. Il semble que les seules personnes qui doivent être évitées comme étant « en dehors de la loi » sont celles qui insistent pour que la vérité soit libératrice.
C'était en fait notre Seigneur qui a dit : « Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libre » (Jean 8, 32). Ce sont avant tout ceux qui refusent la vérité qui subissent une dureté réelle du cœur, cette dureté de cœur qui mène si rapidement à la condamnation de tous ceux qui prétendent qu'il y a une différence entre le bien et le mal. Seuls ceux que la vérité a libérés sont condamnés par le monde comme « rigides », comme étant enfermés dans la loi, comme dépourvus de décence humaine fondamentale et comme incapables de s'ouvrir au Christ.
Si votre expérience est comme la mienne, vous avez eu de nombreuses occasions de témoigner de cette inversion des valeurs Chrétiennes. Ne se contentant pas de plaider positivement pour leurs propres désirs, ceux qui sont captifs des désirs trouvent nécessaire de condamner catégoriquement ceux qui témoignent de la vérité qui peut les libérer. N'avez-vous pas rencontré beaucoup plus de gens qui condamnent et écartent les bons même au sein de l'Église, que ceux qui condamnent les pécheurs au point de ne pas vouloir leur offrir un retour au bercail ? Je l'ai certainement vécu.
Permettez-moi de le dire ainsi : n'avez-vous pas été plus souvent scandalisés par des gens comme le Cardinal Joseph Tobin, qui a approuvé un pèlerinage à sa Cathédrale pour « les frères et sœurs LGBTQ » ? Ils distribuent des dépliants intitulés « Les LGBT Catholiques et amis » avec le slogan « L'amour comprend tout le monde », bien sûr, mais pas sans un certain élan vers le bien. Ou peut-être comme l'Évêque John Stowe, qui a récemment fait l'éloge du ministère New Ways malgré son refus constant de tenir compte de l'enseignement de l'Église lorsqu'il s'agit des personnes « LGBTQ » qu'il prétend servir.
Maintenant, à qui supposons-nous que les Catholiques LGBTQ et les amis adhèrent sinon à ceux qui embrassent activement la « bonté » du mode de vie LGBTQ? Attendons-nous que le Cardinal Tobin leur prêche comme Notre-Seigneur, Saint Pierre ou Saint Paul le feraient ? Attendons-nous que l'Évêque Stowe refuse d'employer dans ses écoles ceux qui se sont engagés à ce à quoi Notre-Seigneur s’oppose puisqu'il écarte une telle sérieuse morale qu’est la « discrimination » ?
Aucun Catholique croyant que je n’ai jamais rencontré refuse d'aimer ces personnes, mais les Catholiques qui rejettent l'enseignement Catholique refusent plus ou moins continuellement d'aimer. En revanche, les vrais disciples du Christ comprennent que l'appel d'amour de Notre-Seigneur leur exige un témoignage à la vérité qui peut seul libérer les autres. Tout le but est d'offrir aux autres une chance réelle de béatitude, comme l'a fait Pierre quand il les a implorés de « changer donc de comportement j et tournez-vous vers Dieu, pour qu'il efface vos péchés, alors le Seigneur fera venir des temps de repos et vous enverra Jésus » (Actes 3 : 19). Les vrais disciples du Christ échappent à cette miséricorde contrefaite qui n'est qu'un refus de dire la vérité. Et s'ils disent la vérité, ne seront-ils pas condamnés comme étant rigides ?
Autres considérations
Est-ce que quelqu'un croit vraiment qu'il faut une voix prophétique pour être « miséricordieux » par la technique de ne jamais parler franchement du péché, du désespoir et de la destruction des vies causées par les valeurs que le monde tient en grande estime ? Une approche beaucoup plus prophétique a été offerte il y a quelques jours par le Séraphin Métropolitain Orthodoxes Grec du Pirée. Il a envoyé une lettre ouverte au Président de la Turquie, lui disant qu'il devait se convertir de l'Islam au Christianisme ou être damné. « Renoncez », a-t-il écrit, « à toutes les erreurs, les hérésies et les innovations de l'Islam ». Oups !
Bien sûr, il existe probablement des moyens bien meilleurs de témoigner de la vérité que d'écrire des « lettres ouvertes » aux riches et aux puissants, ce qui ressemble à un coup de publicité. Mais ça devrait nous faire réfléchir. Pendant ce temps, l'Archevêque Pierbattista Pizzaballa (non, je n'ai pas inventé le nom) se trouva forcé d'analyser les conseils du Pape François. L'Administrateur Apostolique du Patriarcat Latin de Jérusalem a déclaré :
Le monde d'aujourd'hui est effrayé par le fondamentalisme religieux, hum ! surtout l'Islamisme ... Avec sa visite ... Le Pape François dit à l'Église ... de ne pas avoir peur de rencontrer et de dialoguer avec les membres des grandes religions. C'est la seule façon de lutter contre les êtres humains, les fondamentalismes et toutes les formes de violence religieuse. Il nous dit que, malheureusement, malgré ce que beaucoup pensent, c'est aussi, er, um, possible avec les Musulmans ... hum, er, ahem, whew ! [Texte en italique est, hum, er, imaginatif.]
En revanche, il est très intéressant d'apprendre que le gouverneur Chrétien de la province Indonésienne de Jakarta a perdu ses fonctions et a été accusé de blasphème pour avoir suggéré que les Musulmans abusaient du Coran pour démontrer qu'ils ne pouvaient pas accepter l'autorité publique des non-Musulmans. Pendant ce temps, un membre du parlement Irakien a noté que 1.500.000 Chrétiens ont quitté l'Irak depuis l'invasion américaine de 2003.
Maintenant, tous les Catholiques profondément engagés sont-ils libres du péché ? J'espère que non car cela signifie que je ne suis pas un Catholique profondément engagé. Mais n'est-il pas temps de parler honnêtement de ces termes « rigidité » et « fondamentalisme » ? Il y a actuellement deux, et je ne crois que deux grands groupes seulement durement rigides dans le monde moderne : les Musulmans militants et les laïcs bien assurés. C'est tout. Les deux groupes sont sérieusement et distinctement opposés à Jésus-Christ. Si vous le souhaitez, vous pouvez appeler ceux qui comprennent cela un peu simpliste. Mais nous ne sommes pas stupides.
La rigidité et la conversion ne se mélangent pas
Mais ne vous laissez pas tromper par le double-langage
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par : Dr. Jeff Mirus ( Droit Canon)
Le 9 mai 2017
SOURCE : Catholic Culture
Lorsque le Pape François a de nouveau réprimandé les Catholiques au cœur dur dans une homélie le 2 mai, tout ce que je pouvais faire, c’était de me gratter la tête. « Cela cause de la souffrance dans l'Église » a déclaré le Pape, « les cœurs fermés, les cœurs de pierre, les cœurs qui ne veulent pas être ouverts, ne veulent pas entendre, les cœurs qui connaissent seulement le langage de la condamnation ». En se référant à « la tendresse de Jésus », le Pape a exhorté tout le monde à demander la grâce qui « adoucit le cœur rigide de ces personnes qui sont toujours enfermées dans la loi et condamnent tous ceux qui sont en dehors de la loi ».
Si « cela cause de la souffrance dans l'Église », il faut présumer qu'il y a beaucoup de ces personnes dans l'Église. Pourtant, combien d'entre nous ont réellement rencontré un grand nombre de Catholiques croyants qui ne cessent de condamner les autres, qui n'ont aucun désir d'inviter les autres à se repentir afin qu'ils puissent profiter de l'étreinte de Notre-Seigneur ? Je ne peux pas parler pour tout le monde, mais la grande majorité des Catholiques que j'ai connus aujourd'hui qui apprécient le Christ et l'Église me semblent conduits par le désir d'étendre la miséricorde de Dieu aux autres. Ils aspirent à le faire, mais ils comprennent que cela ne peut être fait si ces autres personnes ne veulent pas se tourner vers Lui et se guérir de leur refus d'ouvrir leur cœur.
En fait, c'est la marque de notre culture sérieusement confuse mais aussi politiquement correcte que tous ceux qui sont sous son influence doivent fermer leurs cœurs envers le message du Christ. La culture insiste systématiquement sur le fait que tout le monde doit appeler le mal bien, et le bien mal, qui est simplement une variante du péché impardonnable contre le Saint-Esprit. Il semble que les seules personnes qui doivent être évitées comme étant « en dehors de la loi » sont celles qui insistent pour que la vérité soit libératrice.
C'était en fait notre Seigneur qui a dit : « Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libre » (Jean 8, 32). Ce sont avant tout ceux qui refusent la vérité qui subissent une dureté réelle du cœur, cette dureté de cœur qui mène si rapidement à la condamnation de tous ceux qui prétendent qu'il y a une différence entre le bien et le mal. Seuls ceux que la vérité a libérés sont condamnés par le monde comme « rigides », comme étant enfermés dans la loi, comme dépourvus de décence humaine fondamentale et comme incapables de s'ouvrir au Christ.
Si votre expérience est comme la mienne, vous avez eu de nombreuses occasions de témoigner de cette inversion des valeurs Chrétiennes. Ne se contentant pas de plaider positivement pour leurs propres désirs, ceux qui sont captifs des désirs trouvent nécessaire de condamner catégoriquement ceux qui témoignent de la vérité qui peut les libérer. N'avez-vous pas rencontré beaucoup plus de gens qui condamnent et écartent les bons même au sein de l'Église, que ceux qui condamnent les pécheurs au point de ne pas vouloir leur offrir un retour au bercail ? Je l'ai certainement vécu.
Permettez-moi de le dire ainsi : n'avez-vous pas été plus souvent scandalisés par des gens comme le Cardinal Joseph Tobin, qui a approuvé un pèlerinage à sa Cathédrale pour « les frères et sœurs LGBTQ » ? Ils distribuent des dépliants intitulés « Les LGBT Catholiques et amis » avec le slogan « L'amour comprend tout le monde », bien sûr, mais pas sans un certain élan vers le bien. Ou peut-être comme l'Évêque John Stowe, qui a récemment fait l'éloge du ministère New Ways malgré son refus constant de tenir compte de l'enseignement de l'Église lorsqu'il s'agit des personnes « LGBTQ » qu'il prétend servir.
Maintenant, à qui supposons-nous que les Catholiques LGBTQ et les amis adhèrent sinon à ceux qui embrassent activement la « bonté » du mode de vie LGBTQ? Attendons-nous que le Cardinal Tobin leur prêche comme Notre-Seigneur, Saint Pierre ou Saint Paul le feraient ? Attendons-nous que l'Évêque Stowe refuse d'employer dans ses écoles ceux qui se sont engagés à ce à quoi Notre-Seigneur s’oppose puisqu'il écarte une telle sérieuse morale qu’est la « discrimination » ?
Aucun Catholique croyant que je n’ai jamais rencontré refuse d'aimer ces personnes, mais les Catholiques qui rejettent l'enseignement Catholique refusent plus ou moins continuellement d'aimer. En revanche, les vrais disciples du Christ comprennent que l'appel d'amour de Notre-Seigneur leur exige un témoignage à la vérité qui peut seul libérer les autres. Tout le but est d'offrir aux autres une chance réelle de béatitude, comme l'a fait Pierre quand il les a implorés de « changer donc de comportement j et tournez-vous vers Dieu, pour qu'il efface vos péchés, alors le Seigneur fera venir des temps de repos et vous enverra Jésus » (Actes 3 : 19). Les vrais disciples du Christ échappent à cette miséricorde contrefaite qui n'est qu'un refus de dire la vérité. Et s'ils disent la vérité, ne seront-ils pas condamnés comme étant rigides ?
Autres considérations
Est-ce que quelqu'un croit vraiment qu'il faut une voix prophétique pour être « miséricordieux » par la technique de ne jamais parler franchement du péché, du désespoir et de la destruction des vies causées par les valeurs que le monde tient en grande estime ? Une approche beaucoup plus prophétique a été offerte il y a quelques jours par le Séraphin Métropolitain Orthodoxes Grec du Pirée. Il a envoyé une lettre ouverte au Président de la Turquie, lui disant qu'il devait se convertir de l'Islam au Christianisme ou être damné. « Renoncez », a-t-il écrit, « à toutes les erreurs, les hérésies et les innovations de l'Islam ». Oups !
Bien sûr, il existe probablement des moyens bien meilleurs de témoigner de la vérité que d'écrire des « lettres ouvertes » aux riches et aux puissants, ce qui ressemble à un coup de publicité. Mais ça devrait nous faire réfléchir. Pendant ce temps, l'Archevêque Pierbattista Pizzaballa (non, je n'ai pas inventé le nom) se trouva forcé d'analyser les conseils du Pape François. L'Administrateur Apostolique du Patriarcat Latin de Jérusalem a déclaré :
Le monde d'aujourd'hui est effrayé par le fondamentalisme religieux, hum ! surtout l'Islamisme ... Avec sa visite ... Le Pape François dit à l'Église ... de ne pas avoir peur de rencontrer et de dialoguer avec les membres des grandes religions. C'est la seule façon de lutter contre les êtres humains, les fondamentalismes et toutes les formes de violence religieuse. Il nous dit que, malheureusement, malgré ce que beaucoup pensent, c'est aussi, er, um, possible avec les Musulmans ... hum, er, ahem, whew ! [Texte en italique est, hum, er, imaginatif.]
En revanche, il est très intéressant d'apprendre que le gouverneur Chrétien de la province Indonésienne de Jakarta a perdu ses fonctions et a été accusé de blasphème pour avoir suggéré que les Musulmans abusaient du Coran pour démontrer qu'ils ne pouvaient pas accepter l'autorité publique des non-Musulmans. Pendant ce temps, un membre du parlement Irakien a noté que 1.500.000 Chrétiens ont quitté l'Irak depuis l'invasion américaine de 2003.
Maintenant, tous les Catholiques profondément engagés sont-ils libres du péché ? J'espère que non car cela signifie que je ne suis pas un Catholique profondément engagé. Mais n'est-il pas temps de parler honnêtement de ces termes « rigidité » et « fondamentalisme » ? Il y a actuellement deux, et je ne crois que deux grands groupes seulement durement rigides dans le monde moderne : les Musulmans militants et les laïcs bien assurés. C'est tout. Les deux groupes sont sérieusement et distinctement opposés à Jésus-Christ. Si vous le souhaitez, vous pouvez appeler ceux qui comprennent cela un peu simpliste. Mais nous ne sommes pas stupides.
AnneLéa- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 31663
Date d'inscription : 03/07/2014
Localisation : Québec Canada
Re: Maintenant, François ciblera la jeunesse « rigide Mais que signifie « rigide » ?
@ AnneLéa :
Un grand pour ce post !
Les "rigides" sont, en effet, ceux qui refusent de faire la Vérité et non ceux qui défendent coûte que coûte la Vérité !
L'Administrateur
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