Eglise catholique : pourquoi il ne faut pas discréditer la Compagnie de Jésus
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Parmi les conséquences les plus désastreuses du pontificat du Pape François, on en remarque deux, très liées entre elles : la première est la déformation de la vertu typiquement chrétienne de l’obéissance ; la deuxième est le discrédit jeté sur la Compagnie de Jésus et sur son fondateur saint Ignace de Loyola.
L’obéissance est une vertu éminente reconnue par tous les théologiens et pratiquée par tous les saints. Son modèle parfait est Jésus-Christ, dont saint Paul dit qu’il fut « obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la Croix ! » (Phil. 2, 8). Être dans l’obéissance signifie être en Jésus-Christ (2 Cor 2, 9) et vivre pleinement l’Evangile (Rom 10, 16 ; 2 Tess. 1, 8). Les Pères et les Docteurs ont défini l’obéissance comme la gardienne et la mère de toutes les vertus (S. Augustin, De Civ. Dei, Liber XIV, c. 12). Le fondement de l’obéissance est la subordination aux supérieurs, car ils représentent l’autorité de Dieu. Mais ils représentent l’autorité parce qu’ils gardent et appliquent la loi divine.
Cette loi divine est, à son tour, supérieure au pouvoir humain des hommes qui doivent la faire respecter. Pour un religieux l’obéissance est la vertu morale la plus sublime (Summa theologica 2-2ae, q. 186, aa. 5, 8). Cependant, on pèche contre cette vertu non seulement pour désobéissance, mais aussi pour servilisme, en se conformant à des décisions des supérieurs visiblement injustes.
L’obéissance est déformée, sous le pontificat du Pape François, lorsque les évêques, ou le Pape lui-même, abusent de leur autorité, en exigeant par les fidèles une soumission servile aux documents qui portent à l’hérésie ou à l’immortalité. Ces indications pastorales ne peuvent pas être acceptées. Mais la tentation de celui qui, dans cette situation confuse, veut rester ferme dans la foi est celle de mettre en discussion non pas l’exercice abusif de l’autorité, mais le principe d’autorité. Cela est favorisé par une certaine tendance psychologique à l’anarchisme qui caractérise les générations nées après 1988. En dévalorisant le principe d’autorité, on perd le sens de la vertu de l’obéissance, avec des graves dommages à la vie spirituelle.
Dans cette perspective, on rejette sur les Jésuites des fautes qui ne sont pas à eux, comme celle d’avoir introduit dans l’Eglise une conception hypertrophique et volontariste de l’obéissance religieuse. A ce propos, on cite l’invitation de saint Ignace de Loyola à l’« obéissance aveugle », déformant la signification que le fondateur de la Compagnie de Jésus donne à cette vertu. Le mot « aveugle » évoque en effet l’irrationalité, mais si parmi les saints il y a un champion de la rationalité celui-ci est justement saint Ignace. Ses Exercices Spirituels sont un chef-d’œuvre de logique, basé sur l’application du principe de non contradiction dans le domaine spirituel et moral de celui qui pratique les Exercices.
L’affirmation de Guillaume d’Occam, selon laquelle tout ce que Dieu commande est juste, mais Dieu peut commander aussi l’injuste (iustum quia iussum), jette les bases du volontarisme de Luther, dont la conception ignacienne représente l’antithèse. L’obéissance aveugle à laquelle se réfère saint Ignace serait irrationnelle si l’on faisait abstraction de la raison qui, par contre, constitue, comme il l’explique, sa condition, puisqu’elle est le résultat d’une réflexion attentive et pondérée (Monumenta Ignatiana (MI), G. Lopez del Horno, Madrid 1903, I, 4, pp. 677-679).
L’obéissance ignacienne n’a rien à voir avec le volontarisme, justement parce qu’il se fonde sur la logique et sur le respect d’une loi objective divine et naturelle, à laquelle le supérieur doit se subordonner. Saint Ignace trait de l’obéissance dans les Constitutions de la Compagnie, dans la Lettre sur l’obéissance, adressée aux jésuites du Portugal le 26 mars 1553 et dans beaucoup d’autres lettres, comme celles aux scolastiques de Coimbra, à la Communauté de Gandia, aux Jésuites de Rome, à Andrés Oviedo, au père Urbano Fernandez.
Dans ces documents il explique bien que l’obéissance a des limites précises : le péché et l’évidence contraire. Dans les Constitutions, par exemple, saint Ignace affirme que les Jésuites doivent obéir au Supérieur « dans toutes les choses où ils ne reconnaissent pas un péché » (n. 284) ; « dans toutes les choses que le supérieur ordonne et dans lesquelles on ne peut reconnaitre aucune sorte de péché » (n. 547) ; « dans toutes les choses où il n’y a aucun péché manifeste » (n. 549). Lorsque l’ordre du supérieur incite au péché, il doit être refusé.
Naturellement il s’agit d’un péché tant mortel que véniel, et aussi d’occasion de péché, à condition que celui qui se trouve face à l’ordre injuste en soit objectivement certain. En plus de la limitation qui vient de la volonté, qui est le péché, il y a celle qui dépend du jugement, comme explique la lettre aux jésuites de Coimbra du 14 janvier 1548, dans laquelle le fondateur de la Compagnie spécifique que l’obéissance vaut jusqu’à ce qu’« on rentre dans ce qui soit péché ou qui soit connu comme faux, de manière qu’il s’impose nécessairement au jugement » (MI, I, 1, p. 690).
Cette limite est exprimée aussi dans la Carte de l’Obéissance, dans laquelle le jésuite est invité à obéir « dans beaucoup de choses où l’évidence de la vérité connue ne le force pas » (MI, I, 4, p. 674). Le père Carlos Palmés de Genover s.j., qui a étudié ce sujet, commente : « Il est clair que l’évidence contraire est une limite naturelle de l’obéissance, pour l’impossibilité psychologique de donner son approbation à ce qui se présente évidemment faux » (La obediencia religiosa ignaciana, Eugenio Subirana, Barcelona 1963, p. 239). Si dans le péché la limite est d’ordre moral, dans le cas de l’évidence, elle est d’ordre psychologique. L’obéissance donc est « aveugle » à des conditions données et jamais irrationnelle.
Lorsque l’évidence montre qu’un document pontifical tel que l’Amoris laetitia favorise le péché, un vrai fils de saint Ignace ne peut que le refuser et le fait que ce soit justement un fils de saint Ignace à l’avoir promulgué ne signifie pas que le Pape Bergoglio soit un fruit de la spiritualité ignacienne, mais cela montre la véridicité du dicton corruptio optimi pexima. La corruption intellectuelle et morale de la Compagnie de Jésus des cinquante ans derniers ne doit pas faire oublier ses extraordinaires mérites dans le passé.
Entre la Révolution protestante et la Révolution française, les jésuites ont représenté la barrière incorruptible que la Providence a élevé contre les ennemis de l’Eglise. Et la digue s’écroula, en 1773, lorsqu’un Pape, Clément XIV, supprima la Compagnie de Jésus, en privant l’Eglise de ses meilleurs défenseurs. Le père Jacques Terrien a conduit une recherche historique soignée sur une tradition, qui remonte à la première époque de la Compagnie, selon laquelle la persévérance dans la vocation au sein de l’Institut fondé par saint Ignace serait un gage certain du salut (Recherches historiques sur cette tradition que la mort dans la Compagnie de Jésus est un gage certain de prédestination, Oudin, Paris 1883).
Parmi les nombreux témoignages rapportés par le religieux, depuis les Bollandistes jusqu’à sainte Thérèse d’Avila, on remarque une révélation, en 1569, de saint François de Borgia, préposé général de l’ordre. « Dieu m’a révélé – affirma le saint espagnol – que personne parmi ceux qui ont vécu, vivent ou vivront dans la Compagnie, en mourant chez elle, ne sera condamné, pour l’espace de trois cent ans. C’est la même grâce qui on fit déjà à l’Ordre de saint Benoît » (Terrien, op. cit., pp. 21-22).
Puisque les jésuites furent fondés en 1540, le privilège du salut pour ceux qui sont morts au sein de la Compagnie, s’étend jusqu’en 1840, sans considérer les générations successives. Et c’est en fait depuis la fin du XIXème siècle que la décadence de l’ordre fondé par saint Ignace commence, même si avec beaucoup d’exceptions. Cette décadence eut une expression importante dans les années du Concile Vatican II, où le rôle décisif fut joué par le jésuite Karl Rahner, et surtout à ceux qui le suivirent quand, sous le gouvernement du père Arrupe, les jésuites promurent, dans des formes différentes, la théologie de la libération en Amérique Latine.
Aujourd’hui un Pape jésuite, formé dans l’école de la théologie de la libération, alimente la crise dans l’Eglise. Pour résister à une autorité abusivement exercée, nous demandons l’aide de ces saints jésuites qui, dans les textes écrits ou dans le témoignage de la vie, montrèrent quels sont les limites de l’obéissance : de saint Robert Bellarmin, qui rappelait comme la regula fidei ne réside pas dans le supérieur, mais dans l’Eglise, au bienheureux Miguel Pro dont cette année est le quatre-vingtième anniversaire du martyre, causé par sa résistance au gouvernement maçonnique du Mexique, le 23 novembre 1927. (Roberto de Ma
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Parmi les conséquences les plus désastreuses du pontificat du Pape François, on en remarque deux, très liées entre elles : la première est la déformation de la vertu typiquement chrétienne de l’obéissance ; la deuxième est le discrédit jeté sur la Compagnie de Jésus et sur son fondateur saint Ignace de Loyola.
L’obéissance est une vertu éminente reconnue par tous les théologiens et pratiquée par tous les saints. Son modèle parfait est Jésus-Christ, dont saint Paul dit qu’il fut « obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la Croix ! » (Phil. 2, 8). Être dans l’obéissance signifie être en Jésus-Christ (2 Cor 2, 9) et vivre pleinement l’Evangile (Rom 10, 16 ; 2 Tess. 1, 8). Les Pères et les Docteurs ont défini l’obéissance comme la gardienne et la mère de toutes les vertus (S. Augustin, De Civ. Dei, Liber XIV, c. 12). Le fondement de l’obéissance est la subordination aux supérieurs, car ils représentent l’autorité de Dieu. Mais ils représentent l’autorité parce qu’ils gardent et appliquent la loi divine.
Cette loi divine est, à son tour, supérieure au pouvoir humain des hommes qui doivent la faire respecter. Pour un religieux l’obéissance est la vertu morale la plus sublime (Summa theologica 2-2ae, q. 186, aa. 5, 8). Cependant, on pèche contre cette vertu non seulement pour désobéissance, mais aussi pour servilisme, en se conformant à des décisions des supérieurs visiblement injustes.
L’obéissance est déformée, sous le pontificat du Pape François, lorsque les évêques, ou le Pape lui-même, abusent de leur autorité, en exigeant par les fidèles une soumission servile aux documents qui portent à l’hérésie ou à l’immortalité. Ces indications pastorales ne peuvent pas être acceptées. Mais la tentation de celui qui, dans cette situation confuse, veut rester ferme dans la foi est celle de mettre en discussion non pas l’exercice abusif de l’autorité, mais le principe d’autorité. Cela est favorisé par une certaine tendance psychologique à l’anarchisme qui caractérise les générations nées après 1988. En dévalorisant le principe d’autorité, on perd le sens de la vertu de l’obéissance, avec des graves dommages à la vie spirituelle.
Dans cette perspective, on rejette sur les Jésuites des fautes qui ne sont pas à eux, comme celle d’avoir introduit dans l’Eglise une conception hypertrophique et volontariste de l’obéissance religieuse. A ce propos, on cite l’invitation de saint Ignace de Loyola à l’« obéissance aveugle », déformant la signification que le fondateur de la Compagnie de Jésus donne à cette vertu. Le mot « aveugle » évoque en effet l’irrationalité, mais si parmi les saints il y a un champion de la rationalité celui-ci est justement saint Ignace. Ses Exercices Spirituels sont un chef-d’œuvre de logique, basé sur l’application du principe de non contradiction dans le domaine spirituel et moral de celui qui pratique les Exercices.
L’affirmation de Guillaume d’Occam, selon laquelle tout ce que Dieu commande est juste, mais Dieu peut commander aussi l’injuste (iustum quia iussum), jette les bases du volontarisme de Luther, dont la conception ignacienne représente l’antithèse. L’obéissance aveugle à laquelle se réfère saint Ignace serait irrationnelle si l’on faisait abstraction de la raison qui, par contre, constitue, comme il l’explique, sa condition, puisqu’elle est le résultat d’une réflexion attentive et pondérée (Monumenta Ignatiana (MI), G. Lopez del Horno, Madrid 1903, I, 4, pp. 677-679).
L’obéissance ignacienne n’a rien à voir avec le volontarisme, justement parce qu’il se fonde sur la logique et sur le respect d’une loi objective divine et naturelle, à laquelle le supérieur doit se subordonner. Saint Ignace trait de l’obéissance dans les Constitutions de la Compagnie, dans la Lettre sur l’obéissance, adressée aux jésuites du Portugal le 26 mars 1553 et dans beaucoup d’autres lettres, comme celles aux scolastiques de Coimbra, à la Communauté de Gandia, aux Jésuites de Rome, à Andrés Oviedo, au père Urbano Fernandez.
Dans ces documents il explique bien que l’obéissance a des limites précises : le péché et l’évidence contraire. Dans les Constitutions, par exemple, saint Ignace affirme que les Jésuites doivent obéir au Supérieur « dans toutes les choses où ils ne reconnaissent pas un péché » (n. 284) ; « dans toutes les choses que le supérieur ordonne et dans lesquelles on ne peut reconnaitre aucune sorte de péché » (n. 547) ; « dans toutes les choses où il n’y a aucun péché manifeste » (n. 549). Lorsque l’ordre du supérieur incite au péché, il doit être refusé.
Naturellement il s’agit d’un péché tant mortel que véniel, et aussi d’occasion de péché, à condition que celui qui se trouve face à l’ordre injuste en soit objectivement certain. En plus de la limitation qui vient de la volonté, qui est le péché, il y a celle qui dépend du jugement, comme explique la lettre aux jésuites de Coimbra du 14 janvier 1548, dans laquelle le fondateur de la Compagnie spécifique que l’obéissance vaut jusqu’à ce qu’« on rentre dans ce qui soit péché ou qui soit connu comme faux, de manière qu’il s’impose nécessairement au jugement » (MI, I, 1, p. 690).
Cette limite est exprimée aussi dans la Carte de l’Obéissance, dans laquelle le jésuite est invité à obéir « dans beaucoup de choses où l’évidence de la vérité connue ne le force pas » (MI, I, 4, p. 674). Le père Carlos Palmés de Genover s.j., qui a étudié ce sujet, commente : « Il est clair que l’évidence contraire est une limite naturelle de l’obéissance, pour l’impossibilité psychologique de donner son approbation à ce qui se présente évidemment faux » (La obediencia religiosa ignaciana, Eugenio Subirana, Barcelona 1963, p. 239). Si dans le péché la limite est d’ordre moral, dans le cas de l’évidence, elle est d’ordre psychologique. L’obéissance donc est « aveugle » à des conditions données et jamais irrationnelle.
Lorsque l’évidence montre qu’un document pontifical tel que l’Amoris laetitia favorise le péché, un vrai fils de saint Ignace ne peut que le refuser et le fait que ce soit justement un fils de saint Ignace à l’avoir promulgué ne signifie pas que le Pape Bergoglio soit un fruit de la spiritualité ignacienne, mais cela montre la véridicité du dicton corruptio optimi pexima. La corruption intellectuelle et morale de la Compagnie de Jésus des cinquante ans derniers ne doit pas faire oublier ses extraordinaires mérites dans le passé.
Entre la Révolution protestante et la Révolution française, les jésuites ont représenté la barrière incorruptible que la Providence a élevé contre les ennemis de l’Eglise. Et la digue s’écroula, en 1773, lorsqu’un Pape, Clément XIV, supprima la Compagnie de Jésus, en privant l’Eglise de ses meilleurs défenseurs. Le père Jacques Terrien a conduit une recherche historique soignée sur une tradition, qui remonte à la première époque de la Compagnie, selon laquelle la persévérance dans la vocation au sein de l’Institut fondé par saint Ignace serait un gage certain du salut (Recherches historiques sur cette tradition que la mort dans la Compagnie de Jésus est un gage certain de prédestination, Oudin, Paris 1883).
Parmi les nombreux témoignages rapportés par le religieux, depuis les Bollandistes jusqu’à sainte Thérèse d’Avila, on remarque une révélation, en 1569, de saint François de Borgia, préposé général de l’ordre. « Dieu m’a révélé – affirma le saint espagnol – que personne parmi ceux qui ont vécu, vivent ou vivront dans la Compagnie, en mourant chez elle, ne sera condamné, pour l’espace de trois cent ans. C’est la même grâce qui on fit déjà à l’Ordre de saint Benoît » (Terrien, op. cit., pp. 21-22).
Puisque les jésuites furent fondés en 1540, le privilège du salut pour ceux qui sont morts au sein de la Compagnie, s’étend jusqu’en 1840, sans considérer les générations successives. Et c’est en fait depuis la fin du XIXème siècle que la décadence de l’ordre fondé par saint Ignace commence, même si avec beaucoup d’exceptions. Cette décadence eut une expression importante dans les années du Concile Vatican II, où le rôle décisif fut joué par le jésuite Karl Rahner, et surtout à ceux qui le suivirent quand, sous le gouvernement du père Arrupe, les jésuites promurent, dans des formes différentes, la théologie de la libération en Amérique Latine.
Aujourd’hui un Pape jésuite, formé dans l’école de la théologie de la libération, alimente la crise dans l’Eglise. Pour résister à une autorité abusivement exercée, nous demandons l’aide de ces saints jésuites qui, dans les textes écrits ou dans le témoignage de la vie, montrèrent quels sont les limites de l’obéissance : de saint Robert Bellarmin, qui rappelait comme la regula fidei ne réside pas dans le supérieur, mais dans l’Eglise, au bienheureux Miguel Pro dont cette année est le quatre-vingtième anniversaire du martyre, causé par sa résistance au gouvernement maçonnique du Mexique, le 23 novembre 1927. (Roberto de Ma
AnneLéa- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 31663
Date d'inscription : 03/07/2014
Localisation : Québec Canada
Re: Eglise catholique : pourquoi il ne faut pas discréditer la Compagnie de Jésus
@ AnneLéa :
Très bon commentaire !
L'Administrateur
Très bon commentaire !
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