Les origines douteuses d'Obama : Est-il vraiment un Américain, un Noir et un Chrétien ?

Parmi les nombreuses intoxications mentales dont les médias nous abreuvèrent lors de l'élection de B.H. Obama, il en est une qui vaut d'être soulignée en rouge et dûment corrigée. C'est l'idée selon laquelle Obama serait le premier président "noir" de l'histoire US. Rien n'est plus éloigné de la vérité. Car non seulement, sa moitié de sang maternel est tout ce qu'il y a de plus blanche mais sa moitié paternelle est à peine plus colorée : environ 7% de sang noir africain, le reste étant de souche arabe. Rien à voir donc avec la communauté afro-américaine descendante de la traite des esclaves. Culturellement d'ailleurs, il est à cent lieues de cette communauté, ayant toujours fréquenté un enseignement réservé à des élites cultivées et fort bien nanties.
Mais ce qu'il y a de plus intéressant dans son pedigree se situe dans ses ascendances maternelles. C'est là qu'on découvre qu'il partage largement le sang de cette vieille communauté WASP (White, Anglo-Saxon, Protestant) qui dirige les USA depuis leur fondation et qui constituent avec certains autres la base secrète du Nouvel Ordre Mondial (NWO). Voir le copié-collé ci-dessous.
Que tout cela ait été soigneusement caché lors de sa campagne électorale tend évidemment à prouver que c'est une information capitale. C'est donc bien là qu'il faut creuser, dans l'ombre qui caractérise les voies du Malin. Ce n'est pas qu'il soit lui-même l'Antéchrist (celui-là sera européen !) mais il lui aura préparé le chemin, ne fût-ce qu'en faisant écran à la réalité financière, monétaire, économique et sociale, bref systémique, qui va d'ici peu (octobre 2011 ?) précipiter le monde entier dans le chaos qui fera le lit de la Bête. Voici donc le document :

Herman.

Of Politics and Genealogy: US Edition

This article is based on several online genealogies of the three candidates, the most comprehensive of which is http://www.wargs.com/political

Barack Obama, one of the two Democratic contenders for the presidency, is perhaps, among the three candidates, the most genealogically diversed. His bloodline consists of Luo (Kenyan), English, German, Irish, Welsh, and smattering of French and Dutch ancestries. His pedigree shows different groups of people spanning several generations from different places. (Click here to see his pedigree chart).

Obama’s Kenyan ancestry is sketchy, and is traced only through the male line. (Click here for a diagram of his Kenyan ancestry.) Much of his known family tree is through his maternal side, and it is here that we find many interesting relations to the senator.

Obama could count at least two royal ancestors: William I “the Lion”, King of Scotland, and Henry II of England. He is related to at least six US Presidents: Jimmy Carter (half 7th cousins three times removed), Harry Truman (7th cousins three times removed), the 2 George Bushes (10th cousins once and twice removed, respectively), Woodrow Wilson (husband of Obama’s 6th cousin five times removed), and James Madison (3rd cousin nine times removed). He is also a ninth cousin once removed of Vice-President Dick Cheney. He has several relative lawmakers and Supreme Court Justices, as well.

Of Politics and Genealogy: US Edition (continued)

But Obama’s ancestry is not limited to political personalities. He is a 7th cousin four times removed of renowned artist Georgia O’Keefe, and his eighth cousin once removed, Elizabeth H. Richardson, was married to novelist Ernest M. Hemingway. Another relative is Gordon B. Hinkley, President of the Church of Jesus Christ of Latter-Day Saints. Theodore N. Vail, founder of AT&T, is a sixth cousin four times removed, while banker JP Morgan is a 7th cousin four times removed.

SEE: MITT ROMNEY'S MORMONISM

Other interesting relations of Senator Obama are actors: Margaux Hemingway, his 9th cousin; Superman Christopher Reeve, a 7th couin twice removed, and Katharine Hepburn, a 7th cousin thrice removed, and Brad Pitt is a 9th cousin. Even Justin Timberlake is Obama’s 11th cousin! A truly interesting approach to American politics.