maria valtorta - jésus: "la vie est un don que l'on doit aimer "
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maria valtorta - jésus: "la vie est un don que l'on doit aimer "
dialogue de jésus avec judas vraiment bien éclairant tirés de l'extrait de l'oeuvre de maria valtorta
"Alors, tu dis que les hommes cités par l'Écriture comme s'étant donné la mort ont mal agi."
"Il n'est pas permis de faire violence à personne et non plus à soi-même. Ils ont mal agi. Dans leur imparfaite connaissance du bien, ils auront en certains cas obtenu encore la miséricorde de Dieu. Mais quand le Verbe aura éclairé toute vérité et donné la force aux esprits avec son Esprit, à partir de ce moment, il ne sera plus pardonné à qui meurt dans le désespoir , ni à l'instant du jugement particulier ni après des siècles de Géhenne, ni au jugement général, ni jamais. Dureté de Dieu, cela ? Non, justice. Dieu dira : "Tu as jugé, toi créature douée de raison et de science surnaturelle, créée libre par Moi, pour suivre le chemin que tu as choisi et tu as dit : 'Dieu ne me pardonne pas. Je suis pour toujours séparé de Lui. Je juge que je dois me faire justice pour mon délit. Je quitte la vie pour échapper aux remords" sans penser que les remords ne t'auraient plus atteint si tu étais venu sur mon sein paternel. Qu'il en soit fait selon ton jugement. Je ne violente pas la liberté que je t'ai donnée".
C'est cela que dira l'Éternel à celui qui se sera tué. Penses-y Judas : la vie est un don que l'on doit aimer. Mais quel don est-il ? Un don saint. Et alors, il faut l'aimer saintement. la vie dure tant que la chair résiste. Puis commence la grande Vie, l'éternelle Vie. De béatitude pour les justes, de malédiction pour ceux qui ne le sont pas.
La vie est-elle un but ou un moyen ? C'est un moyen. Elle est ordonnée à une fin qui est l'éternité. Et alors donnons à la vie ce qu'il faut pour qu'elle dure et pour servir l'esprit dans sa conquête. Continence de la chair en tous ses désirs, en tous. Continence de la pensée en tous ses désirs, en tous. Continence du cœur dans toutes les passions humaines. Que sans limites au contraire soient les passions qui viennent du Ciel : amour de Dieu et du prochain, volonté de servir Dieu et le prochain, obéissance aux paroles divines, héroïsme dans le bien et dans la vertu.
Je t'ai répondu Judas. En es-tu persuadé ? L'explication te suffit-elle ? Sois toujours sincère et demande si tu n'es pas encore suffisamment instruit, je suis ici pour être le Maître de l'enseignement."
"J'ai compris et cela me suffit. Mais... c'est très difficile de faire ce que j'ai compris. Toi, tu le peux parce que tu es saint. Mais moi... je suis un homme, jeune, plein de vie..."
"C'est pour les hommes que je suis venu, Judas, pas pour les anges. Eux, ils n'ont pas besoin de Maître. Ils voient Dieu. Ils vivent dans son Paradis. Ils n'ignorent pas les passions des hommes, car l'Intelligence qui est leur Vie les met au courant de tout même ceux qui ne sont pas gardiens d'un homme. Mais, spirituels comme ils le sont, ils ne peuvent avoir qu'un péché comme l'eut l'un d'eux et il entraîna les moins solides en charité : l'orgueil. La flèche qui défigura lucifer, le plus beau des archanges, et en fit le monstre horrible de l'Abîme. Je ne suis pas venu pour les anges qui, après la chute de Lucifer, sont saisis d'horreur à la moindre trace d'une pensée d'orgueil. Mais je suis venu pour les hommes pour faire de ces hommes des ange.
L'homme était la perfection de la création. Il avait de l'ange l'esprit et de l'animal une beauté parfaite dans tout son être animal et moral. Il n'y avait pas de créature qui l'égalât. Il était le roi de la terre comme Dieu est le Roi du Ciel, et un jour, ce jour où il se serait endormi pour la dernière fois sur la terre, il serait devenu roi avec le Père dans le Ciel. Satan a coupé les ailes de l'ange-homme, il lui a mis des griffes de faune et la soif de l'impureté. Il en a fait un être qui est plutôt un homme-démon qu'un homme tout court. Je veux effacer l'enlaidissement de Satan, supprimer la faim de la chair corrompue, souillée, rendre ses ailes à l'homme le ramener à la royauté, à partager l'héritage du Père et du Royaume céleste. Je sais que l'homme, s'il en a la volonté, peut faire tout ce que je dis pour redevenir un roi et un ange. Je ne vous dirai pas des choses que vous ne pourriez faire. Je ne suis pas un de ces rhéteurs qui prêchent des doctrines impossibles. J'ai pris une vraie chair, pour connaître par l'expérience d'une nature charnelle ce que sont les tentations de l'homme."
"Et les péchés ?"
"Tentés, tous peuvent l'être. Pécheurs ceux-là seulement qui le veulent."
"Tu n'as jamais péché, Jésus ?"
"Je n'ai jamais consenti au péché. Et cela non parce que je suis le Fils du Père, mais parce que cela, je l'ai voulu pour montrer à l'homme que le Fils de l'homme n'a pas péché parce qu'il n'a pas voulu pécher et que l'homme, s'il ne veut pas le péché peut ne pas le commettre."
"Tu n'as jamais été tenté ?"
"J'ai 30 ans, Judas. Je n'ai pas vécu dans une caverne sur une montagne, mais parmi les hommes. Même si j'avais été dans l'endroit le plus solitaire de la terre, crois-tu que les tentations ne seraient pas venues ? Nous avons tout en nous : le bien et le mal . Tout nous les portons avec nous. Sur le bien souffle le souffle de Dieu et il l'avive comme un encensoir d'agréables et sacrés parfums. Sur le mal souffle Satan et il en fait un bûcher de flammes féroces. Mais la volonté attentive et la prière constante sont comme un sable humide sur les flammes infernales, elles l'étouffent et en triomphent."
"Mais si tu n'as jamais péché, comment peux-tu juger les pécheurs !"
"Je suis homme et je suis Fils de Dieu. Ce que je pourrais ignorer comme homme et en mal juger, je le connais et j'en juge comme Fils de Dieu. Et du reste !... Judas, réponds à cette question que je te pose : quelqu'un qui a faim, souffre-t-il plus en disant : "Maintenant je m'assieds à table", ou en disant : "Il n'y a pas de nourriture pour moi ?"
"Il souffre plus dans le second cas, car le seul fait de s'en savoir privé, lui ramène l'odeur des mets et les viscères se tordent de désir."
"Voilà : la tentation vous mord comme ce désir, Judas. Satan le rend plus aigu, plus précis, plus séduisant que tout assouvissement. En outre, l'acte apporte une satisfaction et parfois le dégoût, tandis que la tentation ne faiblit pas, mais comme un arbre qu'on a taillé développe une plus abondante floraison."
"Et tu n'as jamais cédé ?"
"Je n'ai jamais cédé."
"Comment as-tu pu ?"
"J'ai dit : "Mon Père, ne m'induis pas en tentation".
"Comment Toi, Messie, Toi qui opères des miracles, tu as demandé l'aide du Père ?"
"Non seulement l'aide : je lui ai demandé de ne pas m'induire en tentation. Crois-tu que parce que je suis Celui que Je suis, je puisse me passer du Père ? Oh ! non ! En vérité, je te le dis que le Père accorde tout au Fils, mais que aussi le Fils reçoit tout du Père. Et je te dis que tout ce qu'on demandera en mon Nom au Père, sera accordé. Mais nous voici à Get-Sami où j'habite. On en voit déjà les premiers oliviers au-delà des murs. Toi, tu habites au-delà du Tofet . Déjà la nuit descend. Il vaut mieux que tu ne montes pas jusque là-haut. Nous nous reverrons demain, au même endroit. Adieu... La paix soit avec toi."
"La paix aussi avec Toi, Maître... Mais je voudrais te dire encore une chose. Je t'accompagnerai jusqu'au Cédron, puis je reviendrai. Pourquoi résider dans ce lieu si humble ? Tu sais, les gens regardent à tant de choses. Ne connais-tu personne en ville qui ait une belle maison ? Moi, si tu veux, je peux te conduire chez des amis. Ils te donneront l'hospitalité par amitié pour moi, et ce serait une demeure plus digne de Toi."
"Tu le crois ? Moi, je ne le crois pas. Le digne et l'indigne se trouvent dans toutes les classes sociales. Et, sans manquer à la charité, mais, pour ne pas offenser la justice, je te dis que l'indigne, ce qui est malicieusement indigne, se trouve souvent chez les grands . Il n'est pas nécessaire ni utile d'être puissant pour être bon ou pour dissimuler ce qui est péché aux yeux de Dieu. Tout doit se retourner sous mon Signe. Et ne sera grand, non pas celui qui est puissant, mais celui qui est humble et saint."
"Mais pour être respecté, pour s'imposer..."
"Est-il respecté Hérode ? Et César est-il respecté ? Non. On le subit et les lèvres comme les cœurs, les maudissent. Aux bons et même seulement à ceux qui désirent l'être, crois bien, Judas que je saurai m'imposer plutôt par la modestie que par les air de grandeur ...".
"Mais alors... tu mépriseras toujours les puissants ? Tu t'en feras des ennemis ! Moi, qui pensais parler de Toi à beaucoup de gens que je connais et qui ont un nom..."
"Je ne mépriserai personne. J'irai vers les pauvres comme vers les riches, vers les esclaves comme vers les rois, vers les purs comme vers les pécheurs. Mais si je suis reconnaissant à qui me donnera du pain et un toit quand je serai fatigué, quelque soit le toit et la nourriture, je donnerai toujours la préférence à ce qui est humble. Les grands ont déjà tant de joies. Les pauvres n'ont que la droiture de leur conscience, un amour fidèle, des enfants et se voient écoutés par ceux qui sont au-dessus d'eux. Moi, je serai toujours penché sur les pauvres, les affligés et les pécheurs. Je te remercie de ton obligeance. Mais laisse-moi à ce lieu de prière et de paix. Va, et que Dieu t'inspire ce qui est bien."
http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2002/02-032.htm
"Alors, tu dis que les hommes cités par l'Écriture comme s'étant donné la mort ont mal agi."
"Il n'est pas permis de faire violence à personne et non plus à soi-même. Ils ont mal agi. Dans leur imparfaite connaissance du bien, ils auront en certains cas obtenu encore la miséricorde de Dieu. Mais quand le Verbe aura éclairé toute vérité et donné la force aux esprits avec son Esprit, à partir de ce moment, il ne sera plus pardonné à qui meurt dans le désespoir , ni à l'instant du jugement particulier ni après des siècles de Géhenne, ni au jugement général, ni jamais. Dureté de Dieu, cela ? Non, justice. Dieu dira : "Tu as jugé, toi créature douée de raison et de science surnaturelle, créée libre par Moi, pour suivre le chemin que tu as choisi et tu as dit : 'Dieu ne me pardonne pas. Je suis pour toujours séparé de Lui. Je juge que je dois me faire justice pour mon délit. Je quitte la vie pour échapper aux remords" sans penser que les remords ne t'auraient plus atteint si tu étais venu sur mon sein paternel. Qu'il en soit fait selon ton jugement. Je ne violente pas la liberté que je t'ai donnée".
C'est cela que dira l'Éternel à celui qui se sera tué. Penses-y Judas : la vie est un don que l'on doit aimer. Mais quel don est-il ? Un don saint. Et alors, il faut l'aimer saintement. la vie dure tant que la chair résiste. Puis commence la grande Vie, l'éternelle Vie. De béatitude pour les justes, de malédiction pour ceux qui ne le sont pas.
La vie est-elle un but ou un moyen ? C'est un moyen. Elle est ordonnée à une fin qui est l'éternité. Et alors donnons à la vie ce qu'il faut pour qu'elle dure et pour servir l'esprit dans sa conquête. Continence de la chair en tous ses désirs, en tous. Continence de la pensée en tous ses désirs, en tous. Continence du cœur dans toutes les passions humaines. Que sans limites au contraire soient les passions qui viennent du Ciel : amour de Dieu et du prochain, volonté de servir Dieu et le prochain, obéissance aux paroles divines, héroïsme dans le bien et dans la vertu.
Je t'ai répondu Judas. En es-tu persuadé ? L'explication te suffit-elle ? Sois toujours sincère et demande si tu n'es pas encore suffisamment instruit, je suis ici pour être le Maître de l'enseignement."
"J'ai compris et cela me suffit. Mais... c'est très difficile de faire ce que j'ai compris. Toi, tu le peux parce que tu es saint. Mais moi... je suis un homme, jeune, plein de vie..."
"C'est pour les hommes que je suis venu, Judas, pas pour les anges. Eux, ils n'ont pas besoin de Maître. Ils voient Dieu. Ils vivent dans son Paradis. Ils n'ignorent pas les passions des hommes, car l'Intelligence qui est leur Vie les met au courant de tout même ceux qui ne sont pas gardiens d'un homme. Mais, spirituels comme ils le sont, ils ne peuvent avoir qu'un péché comme l'eut l'un d'eux et il entraîna les moins solides en charité : l'orgueil. La flèche qui défigura lucifer, le plus beau des archanges, et en fit le monstre horrible de l'Abîme. Je ne suis pas venu pour les anges qui, après la chute de Lucifer, sont saisis d'horreur à la moindre trace d'une pensée d'orgueil. Mais je suis venu pour les hommes pour faire de ces hommes des ange.
L'homme était la perfection de la création. Il avait de l'ange l'esprit et de l'animal une beauté parfaite dans tout son être animal et moral. Il n'y avait pas de créature qui l'égalât. Il était le roi de la terre comme Dieu est le Roi du Ciel, et un jour, ce jour où il se serait endormi pour la dernière fois sur la terre, il serait devenu roi avec le Père dans le Ciel. Satan a coupé les ailes de l'ange-homme, il lui a mis des griffes de faune et la soif de l'impureté. Il en a fait un être qui est plutôt un homme-démon qu'un homme tout court. Je veux effacer l'enlaidissement de Satan, supprimer la faim de la chair corrompue, souillée, rendre ses ailes à l'homme le ramener à la royauté, à partager l'héritage du Père et du Royaume céleste. Je sais que l'homme, s'il en a la volonté, peut faire tout ce que je dis pour redevenir un roi et un ange. Je ne vous dirai pas des choses que vous ne pourriez faire. Je ne suis pas un de ces rhéteurs qui prêchent des doctrines impossibles. J'ai pris une vraie chair, pour connaître par l'expérience d'une nature charnelle ce que sont les tentations de l'homme."
"Et les péchés ?"
"Tentés, tous peuvent l'être. Pécheurs ceux-là seulement qui le veulent."
"Tu n'as jamais péché, Jésus ?"
"Je n'ai jamais consenti au péché. Et cela non parce que je suis le Fils du Père, mais parce que cela, je l'ai voulu pour montrer à l'homme que le Fils de l'homme n'a pas péché parce qu'il n'a pas voulu pécher et que l'homme, s'il ne veut pas le péché peut ne pas le commettre."
"Tu n'as jamais été tenté ?"
"J'ai 30 ans, Judas. Je n'ai pas vécu dans une caverne sur une montagne, mais parmi les hommes. Même si j'avais été dans l'endroit le plus solitaire de la terre, crois-tu que les tentations ne seraient pas venues ? Nous avons tout en nous : le bien et le mal . Tout nous les portons avec nous. Sur le bien souffle le souffle de Dieu et il l'avive comme un encensoir d'agréables et sacrés parfums. Sur le mal souffle Satan et il en fait un bûcher de flammes féroces. Mais la volonté attentive et la prière constante sont comme un sable humide sur les flammes infernales, elles l'étouffent et en triomphent."
"Mais si tu n'as jamais péché, comment peux-tu juger les pécheurs !"
"Je suis homme et je suis Fils de Dieu. Ce que je pourrais ignorer comme homme et en mal juger, je le connais et j'en juge comme Fils de Dieu. Et du reste !... Judas, réponds à cette question que je te pose : quelqu'un qui a faim, souffre-t-il plus en disant : "Maintenant je m'assieds à table", ou en disant : "Il n'y a pas de nourriture pour moi ?"
"Il souffre plus dans le second cas, car le seul fait de s'en savoir privé, lui ramène l'odeur des mets et les viscères se tordent de désir."
"Voilà : la tentation vous mord comme ce désir, Judas. Satan le rend plus aigu, plus précis, plus séduisant que tout assouvissement. En outre, l'acte apporte une satisfaction et parfois le dégoût, tandis que la tentation ne faiblit pas, mais comme un arbre qu'on a taillé développe une plus abondante floraison."
"Et tu n'as jamais cédé ?"
"Je n'ai jamais cédé."
"Comment as-tu pu ?"
"J'ai dit : "Mon Père, ne m'induis pas en tentation".
"Comment Toi, Messie, Toi qui opères des miracles, tu as demandé l'aide du Père ?"
"Non seulement l'aide : je lui ai demandé de ne pas m'induire en tentation. Crois-tu que parce que je suis Celui que Je suis, je puisse me passer du Père ? Oh ! non ! En vérité, je te le dis que le Père accorde tout au Fils, mais que aussi le Fils reçoit tout du Père. Et je te dis que tout ce qu'on demandera en mon Nom au Père, sera accordé. Mais nous voici à Get-Sami où j'habite. On en voit déjà les premiers oliviers au-delà des murs. Toi, tu habites au-delà du Tofet . Déjà la nuit descend. Il vaut mieux que tu ne montes pas jusque là-haut. Nous nous reverrons demain, au même endroit. Adieu... La paix soit avec toi."
"La paix aussi avec Toi, Maître... Mais je voudrais te dire encore une chose. Je t'accompagnerai jusqu'au Cédron, puis je reviendrai. Pourquoi résider dans ce lieu si humble ? Tu sais, les gens regardent à tant de choses. Ne connais-tu personne en ville qui ait une belle maison ? Moi, si tu veux, je peux te conduire chez des amis. Ils te donneront l'hospitalité par amitié pour moi, et ce serait une demeure plus digne de Toi."
"Tu le crois ? Moi, je ne le crois pas. Le digne et l'indigne se trouvent dans toutes les classes sociales. Et, sans manquer à la charité, mais, pour ne pas offenser la justice, je te dis que l'indigne, ce qui est malicieusement indigne, se trouve souvent chez les grands . Il n'est pas nécessaire ni utile d'être puissant pour être bon ou pour dissimuler ce qui est péché aux yeux de Dieu. Tout doit se retourner sous mon Signe. Et ne sera grand, non pas celui qui est puissant, mais celui qui est humble et saint."
"Mais pour être respecté, pour s'imposer..."
"Est-il respecté Hérode ? Et César est-il respecté ? Non. On le subit et les lèvres comme les cœurs, les maudissent. Aux bons et même seulement à ceux qui désirent l'être, crois bien, Judas que je saurai m'imposer plutôt par la modestie que par les air de grandeur ...".
"Mais alors... tu mépriseras toujours les puissants ? Tu t'en feras des ennemis ! Moi, qui pensais parler de Toi à beaucoup de gens que je connais et qui ont un nom..."
"Je ne mépriserai personne. J'irai vers les pauvres comme vers les riches, vers les esclaves comme vers les rois, vers les purs comme vers les pécheurs. Mais si je suis reconnaissant à qui me donnera du pain et un toit quand je serai fatigué, quelque soit le toit et la nourriture, je donnerai toujours la préférence à ce qui est humble. Les grands ont déjà tant de joies. Les pauvres n'ont que la droiture de leur conscience, un amour fidèle, des enfants et se voient écoutés par ceux qui sont au-dessus d'eux. Moi, je serai toujours penché sur les pauvres, les affligés et les pécheurs. Je te remercie de ton obligeance. Mais laisse-moi à ce lieu de prière et de paix. Va, et que Dieu t'inspire ce qui est bien."
http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2002/02-032.htm
Bobestparti- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 3757
Date d'inscription : 24/04/2010

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