Vidéo-Mensonge : La Fille du Oui au service de la Vérité ? Plusieurs erreurs théologiques diffusées
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Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: La "Fille du Oui" (Francine Bériault - Québec)
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Re: Vidéo-Mensonge : La Fille du Oui au service de la Vérité ? Plusieurs erreurs théologiques diffusées
@ Tous :
À titre informatif, voici un extrait des propos publiés par le Père Nathan sur les Hérésies propagées par la Fille du Oui.
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Père Nathan
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L'Apocastase est une hérésie condamnée par l'Eglise !
L'Apocastase : c'est la pensée selon laquelle l'Enfer existe, mais soit il n'est pas éternel, soit s'il y a des hommes qui tombent dedans ce ne sera pas éternel, soit encore il n'y a personne dedans parce que Dieu est miséricordieux
Voici un révélation donnée par Ste Therese d'Avila, docteur de l'Eglise (mais il y en a tant d'autres que ce serait impossible de les donner tous) :
Et qui ne connait la parole de Ste Thérèse de l'Enfant Jésus, quant au nombre :
Et le pape Léon XIII :
Une page de mon ami Alexis dans son site vraiment très complet jesusmarie.free.fr :
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À titre informatif, voici un extrait des propos publiés par le Père Nathan sur les Hérésies propagées par la Fille du Oui.
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Père Nathan
______________________

L'Apocastase est une hérésie condamnée par l'Eglise !

L'Apocastase : c'est la pensée selon laquelle l'Enfer existe, mais soit il n'est pas éternel, soit s'il y a des hommes qui tombent dedans ce ne sera pas éternel, soit encore il n'y a personne dedans parce que Dieu est miséricordieux
Voici un révélation donnée par Ste Therese d'Avila, docteur de l'Eglise (mais il y en a tant d'autres que ce serait impossible de les donner tous) :
Vision de l'enfer (Sainte Thérèse d'Avila) :
L'entrée me parut semblable à une ruelle très longue et très étroite, ou encore à un four extrêmement bas, obscur et resserré. Le fond était comme une eau fangeuse, très sales, infecte et remplie de reptiles venimeux. A l'extrémité se trouvait une cavité creusée dans une muraille en forme d'alcôve où je me vis placer très à l'étroit. Tout cela était délicieux à la vue, en comparaison de ce que je sentis alors ; car je suis loin d'en avoir fait une description suffisante. Quant à la souffrance que j'endurai dans ce réduit, il me semble impossible d'en donner la moindre idée ; on ne saurait jamais la comprendre. Je sentis dans mon âme un feu dont je suis impuissante à décrire la nature, tandis que mon corps passait par des tourments intolérables. J'avais cependant enduré dans ma vie des souffrances bien cruelles ; et, de l'aveu des médecins, ce sont les plus grandes dont on puisse être affligés ici-bas, car tous mes nerfs s'étaient contractés quand je fus percluse de mes membres. J'avais eu aussi à supporter toutes sortes d'autres maux dont quelques-uns, je l'ai dit, venaient du démon. Mais tout cela n'est rien en comparaison de ce que je souffris dans ce cachot. De plus, je voyais que ce tourment devait être sans fin et sans relâche. Et cependant toutes ces souffrances ne sont rien encore auprès de l'agonie de l'âme. Elle éprouve une oppression, une angoisse, une affliction si sensible, une peine si désespérée et si profonde, que je ne saurais l'exprimer. Si je dis que l'on vous arrache continuellement l'âme, c'est peu, car, dans ce cas, c'est un autre qui semble vous ôter la vie. Mais ici, c'est l'âme elle-même qui se met en pièces. Je ne saurais, je l'avoue, donner une idée de ce feu intérieur et de ce désespoir qui s'ajoutent à des tourments et à des douleurs si terribles. Je ne voyais pas qui me les faisait endurer, mais je me sentais, ce semble, brûler et hacher en morceaux. Je le répète, ce qu'il y a de plus affreux, c'est ce feu intérieur et ce désespoir de l'âme.
Dans ce lieu si infect d'où le moindre espoir de consolation est à jamais banni, il est impossible de s'asseoir ou de se coucher ; l'espace manque ; j'y étais enfermée comme dans un trou pratiqué dans la muraille ; les parois elles-mêmes, objet d'horreur pour la vue, vous accablent de tout leur poids ; là tout vous étouffe ; il n'y a point de lumière, mais les ténèbres les plus épaisses. Et cependant, chose que je ne saurais comprendre, malgré ce manque de lumière, on aperçoit tout ce qui peut-être un tourment pour la vue. ~ Il m'a donné depuis, une vision de choses épouvantables et de châtiments infligés à certains vices ; ces tortures me paraissaient beaucoup plus horrible à la vue. Mais, comme je n'en souffrais pas la peine, j'en fus moins effrayée. Dans la vision précédente, au contraire, le Seigneur m'avait fait éprouver véritablement en esprit ces tourments et ces angoisses, comme si mon corps les avait endurés. Je ne sais comment cela se fit, mais je compris bien que c'était une grande grâce et que le Seigneur voulait me faire voir de mes propres yeux l'abîme d'où sa miséricorde m'avait délivrée. Entendre parler de l'enfer ce n'est rien. ~ Aussi, je fus épouvantée. ~ Aussi, chaque fois que je me rappelle ce souvenir au milieu de mes travaux et de mes peines, toutes les souffrances d'ici-bas ne sont plus rien à mes yeux ; il me semble même que, sous un certain rapport, nous nous plaignons sans motif.
Depuis lors, je le répète, tout me paraît facile en comparaison d'un seul instant de ces tortures que j'endurais alors. Je m'étonne même qu'après avoir lu souvent des livres où l'on donne quelque aperçu des peines de l'enfer, je ne les aie point redoutées comme elles le méritent et ne m'en soit pas fait une idée exacte. Où étais-je donc ?
Comment pouvais-je trouver quelque repos dans ce qui m'entraînait à un si terrible séjour ? O mon Dieu, soyez à jamais béni !
Cette vision m'a procuré, en outre, une douleur immense de la perte de tant d'âmes et en particulier de ces luthériens qui étaient déjà par le baptême membres de l'Église. Elle m'a procuré aussi les désirs les plus ardents d'être utile aux âmes. Il me semble en vérité que, pour en délivrer une seule de si horribles tourments, je souffrirais très volontiers mille fois la mort. Voici en effet ce que je pense. Quand nous voyons quelqu'un et surtout une personne amie au milieu de grandes épreuves et de grandes douleurs, il semble que nous sommes naturellement touchés de compassion ; et si ses souffrances sont intenses, nous les ressentons très vivement. Mais la vue d'une âme condamnée pour l'éternité au supplice des supplices, Qui donc pourrait la souffrir ? Il n'y a pas de coeur qui n'en serait brisé de douleur. Nous sommes émus de la plus tendre compassion pour les maux d'ici-bas, et cependant nous savons qu'ils ont un terme et finissent avec la vie. Ne le serions-nous pas d'avantage pour des supplices qui doivent durer toujours ? Je ne sais comment nous pouvons vivre en repos quand nous voyons tant d'âmes que le démon entraîne avec lui en enfer ...
Et qui ne connait la parole de Ste Thérèse de l'Enfant Jésus, quant au nombre :
« Céline, durant les brefs instants qui nous restent, ne perdons pas de temps... sauvons les âmes... car les âmes se perdent comme des flocons de neige ; Jésus pleure et nous ne pensons qu' à notre douleur sans consoler notre Epoux. »
Et le pape Léon XIII :
Léon XIII sur l'autorité des Pères de l'Eglise : Encyclique Providissimus Deus.
« L’autorité des Saints Pères, « par lesquels après les apôtres la Sainte Eglise a grandi par les pasteurs qui l’ont plantée, irriguée, construite et nourrie (Saint Augustin, Contre Julien, II, 17, 37.) » est très grande, à chaque fois qu’ils interprètent tous ensemble et de la même manière quelque passage de la Bible ... car à partir de leur convergence il apparaît clairement que leur interprétation a été transmise selon la foi catholique par les apôtres.
Comme cela apparaîtra de manière surabondante au lecteur attentif, un sorte de concile des anciens pères de l’église s’est constitué dans lequel c’est par un consensus unanime que l’on décide : qu’il y a un plus grand nombre dans le genre humain qui est condamné aux supplices éternels que d’hommes qui obtiennent le salut éternel ; -chose terrible à dire, mais utile à savoir, afin que personne ne s’égare et que cette chose puisse aussi être d’une très grande consolation au petit nombre de ceux qui luttent pour vivre avec peu de biens ; c’est une marque de prédestination insigne de conformer sa vie à une vie comportant peu de biens.
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