L'ONU interdira bientôt toute critique de l'isam à l'échelle mondiale !

L’Organisation de la coopération islamique (OCI), le plus grand organisme mondial de suprématie islamique au monde, a poursuivi sans relâche les résolutions sur la limitation de la liberté d’expression pendant des décennies. En 2012, Ekmeleddin Ihsanoglu, alors secrétaire général de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), avait déclaré qu’il ne réclamerait plus une interdiction de critiquer l’islam à l’ONU.

Le fait de revenir sur leur parole est sanctionné par la loi islamique. L’Occident n’a toujours pas compris cela. Nous y sommes donc à nouveau. Clairement, l'OCI pense avoir le pouvoir de le faire maintenant.

Ironiquement, les Nations Unies ont été créées pour soutenir et diffuser la démocratie et la liberté, sans imposer de mesures barbares anti-humaines au monde.

Les 56 pays musulmans (plus le groupe terroriste «palestinien») entendent imposer les lois islamiques sur le blasphème, qui prévoient la peine de mort pour ceux qui blasphèment ou se moquent de Mahomet. Vous plaisantez sûrement? Vous mourrez sûrement.


Aux yeux des responsables de l'OCI, aucun problème dans le monde contemporain n'est plus urgent que «l'islamophobie», qu'il appelle «un crime contre l'humanité» que le Royaume-Uni et l'Union européenne doivent officiellement proscrire. Il est même interdit d’expliquer pourquoi tant de terrorisme est perpétré au nom de l’islam. L’OCI insiste également pour que les instances internationales interdisent la «diffamation de la religion», ce qui signifie «critique de tout ce qui est islamique». La diffamation du judaïsme, du christianisme, des bahaï, de l'hindouisme et même de sectes musulmanes hétérodoxes telles que les ahmadis est courante dans les frontières de nombreux pays de l'OCI, un fait que l'OCI refuse de reconnaître.

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