SONDAGE : Rituel écologique païen dans les Jardins du Vatican sous les yeux du Pape François !
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Viens, Seigneur Jésus ! :: La Fin des Temps :: Le Synode sur la Famille et le Synode d'Amazonie : un prélude au Schisme à venir ?
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Quel effet cela vous fait de voir une cérémonie païenne dans les Jardins du Vatican ? (Vous pouvez cliquer sur plusieurs choix)
Re: SONDAGE : Rituel écologique païen dans les Jardins du Vatican sous les yeux du Pape François !
@ Robert Adelaide :
Il ne faut pas se surprendre, cher Robert !
À la Fin des Temps, ce sera la dissolution des mœurs, de même que la confusion religieuse qui s'installera !
Cela confirme l'arrivée imminente de la Nouvelle Religion Mondiale !
L'Administrateur
Il ne faut pas se surprendre, cher Robert !
À la Fin des Temps, ce sera la dissolution des mœurs, de même que la confusion religieuse qui s'installera !
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"Le garant de ces révélations l'affirme :
"Oui, mon retour est proche!
Amen, viens, Seigneur Jésus!"
Apocalypse, 22, 20
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Re: SONDAGE : Rituel écologique païen dans les Jardins du Vatican sous les yeux du Pape François !
MGR VIGANO : "L'HEURE EST GRAVE" !
Mgr Vigano: l’heure est grave
7 Nov 2019
A propos du Synode amazonien, très longue et dramatique interview de l’ex-nonce apostolique à Washington (qui vit désormais dans la clandestinité pour des raisons évidentes mais continue à accomplir sa mission de « lanceur d’alerte ») à Diana Montagna, de Life Site News. A lire, et à relayer, pour que son appel ne reste pas vox clamantis in deserto.
Avec ce synode, comme à d’autres occasions, l’Église catholique semble s’aligner sur les stratégies qui dominent la scène mondialiste, soutenues par les pouvoirs forts et la grande finance: des stratégies radicalement anti-humaines et intrinsèquement anti-chrétiennes, dont l’agenda inclut aussi la promotion de l’avortement, l’idéologie du gender, l’homosexualité et la théorie du réchauffement anthropologique mondial pris comme un dogme.
Mgr Vigano
Mgr Vigano: L’abomination des rites idolâtres est entrée dans le Sanctuaire de Dieu
Interview par Diane Fontana pour Life Site News
Ma traduction d’après la version en italien d’Aldo Maria Valli
6 novembre 2019
Votre Excellence, comment décririez-vous l’arc narratif du synode ? Existe-t-il une image qui le résume ?
Le navire de l’Église est en proie à une furieuse tempête. Pour calmer la tempête, ces successeurs des apôtres qui ont essayé de laisser Jésus sur la rive sans plus percevoir sa présence commencent à invoquer la Pachamama .
Je rappelle la prophétie de Jésus : « Vous verrez l’abomination de la désolation… il y aura une grande tribulation, comme cela ne s’est jamais produit depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant, et comme cela ne se reproduira jamais » (Mt 24, 15, 21).
L’abomination des rites idolâtres a fait son entrée dans le Sanctuaire de Dieu, donnant naissance à une forme d’apostasie sans précédent, dont les semences, actives depuis longtemps, se développent avec une efficacité renouvelée. Le processus de mutation interne de la foi, qui a lieu dans l’Église catholique depuis plusieurs décennies, a connu avec ce synode une accélération dramatique vers la fondation d’un nouveau credo, résumé dans un nouveau culte. Au nom de l’inculturation, des éléments païens infestent le culte divin pour le transformer en culte idolâtre.
Quelle est, à votre avis, la partie la plus préoccupante ou la plus problématique du document final ?
La stratégie de toute l’opération synode pour l’Amazonie est la tromperie, l’arme préférée du diable: dire des demi-vérités pour atteindre une fin perverse. Sous prétexte de la rareté des prêtres, il faut s’ouvrir aux prêtres mariés, au diaconat des femmes, pour détruire le célibat, d’abord en Amazonie, puis dans toute l’Église. Sur quel continent la première évangélisation de l’Église catholique a-t-elle été réalisée par des prêtres mariés? Les missions en Afrique, en Asie, en Amérique latine ont été promues par l’Église latine, mais dans une moindre mesure par les Églises orientales avec un clergé ‘uxorato‘ (marié).
Le document final de cette assemblée honteusement manipulée, dont l’ordre du jour et les résultats ont été capillairement planifiés depuis longtemps, frappe de front la construction divine de l’Église, attaquant le caractère sacré du sacerdoce catholique, poussant à l’abolition du célibat ecclésiastique et au diaconat féminin.
Qu’a révélé la saga de la Pachamama? Et que faut-il faire en réponse ?
A Abu Dhabi, le pape Bergoglio a signé que Dieu a voulu toutes les religions. Malgré la correction fraternelle que Mgr Athanasius Schneider lui a offerte en personne et par écrit, le pape Bergoglio a ordonné que sa déclaration hérétique soit enseignée dans les universités pontificales et qu’une commission spéciale soit créée pour diffuser cette grave erreur doctrinale. Conformément à cette doctrine aberrante, il n’est pas surprenant que le paganisme, l’idolâtrie, soient également inclus parmi les religions voulues par Dieu. Le Pape nous l’a montré et l’a personnellement mis en œuvre, profanant les jardins du Vatican, l’église de Santa Maria in Traspontina, profanant la Basilique Saint-Pierre elle-même et la messe de clôture du synode, plaçant sur l’autel de la confession cette « plante » idolâtre étroitement liée à la Pachamama.
Selon la tradition de l’Église, Santa Maria in Traspontina et la basilique Saint-Pierre elle-même doivent être reconsacrées compte tenu des terribles profanations idolâtres qui y ont été commises. La saga de la Pachamama a révélé une violation claire et très grave du premier commandement ainsi que la dérive idolâtre de « l’Église à visage amazonien ». Ce rite, qui s’est déroulé au cœur du christianisme, avec la participation de Bergoglio, revêt la valeur du rite initiatique de la nouvelle religion. Le culte rendu à la Pachamama est le fruit empoisonné d’une « inculturation » à tout prix, et l’expression fanatique de la « théologie indienne ». Le synode a offert un tremplin à cette nouvelle Église syncrétiste, néo-païenne, dédiée au culte de la Terre Mère, au mythe naturaliste du « bon sauvage », à la dénonciation du modèle occidental et du mode de vie des sociétés avancées. L’idolâtrie scelle l’apostasie: elle est le fruit du déni de la vraie foi; elle naît d’une méfiance de Dieu, pour dégénérer en protestation et rébellion.
Le Père Serafino Lanzetta a écrit:
« Adorer une idole, c’est s’adorer soi-même à la place de Dieu… c’est adorer l’anti-dieu qui séduit et sépare de Dieu, le diable, comme on le voit clairement dans les paroles de Jésus au diable, le tentateur dans le désert (cf. Mt 4,8-10). L’homme ne peut se passer d’adorer, mais il doit choisir qui. Tolérer la présence des idoles – la Pachamama dans notre cas actuel – à côté de la foi, c’est dire que la religion est au fond ce qui satisfait les désirs de l’homme. Les idoles sont toujours fascinantes parce qu’on adore ce qu’on veut et surtout parce qu’on n’a pas trop de maux de tête moraux. Et même, elles sont surtout la sublimation de tous les instincts humains. Les vrais maux de tête, cependant, viennent quand la corruption morale se répand et infeste l’Église. Un abandon de Dieu à l’impureté pour s’être prostitué pour d’autres dieux, pour avoir échangé la vérité de Dieu avec le mensonge en adorant et en servant des créatures au lieu du Créateur (cf. Rm 1, 24-25). Il semble que Saint Paul nous parle à nous les hommes d’aujourd’hui. La racine de cette triste parabole est l’effondrement dogmatique et moral ».
Nous ne pouvons rester indifférents aux actes idolâtres dont nous avons été témoins. Ces assauts contre la sainteté de l’Église, notre Mère, exigent de nous une réparation juste et généreuse. Il est urgent de retrouver le sens de la prière et de la pénitence réparatrice, du jeûne, des « petits sacrifices, des fioretti », et surtout de l’adoration silencieuse et prolongée devant le Saint Sacrement.
Nous implorons le Seigneur afin qu’il revienne parler au cœur de son Épouse bien-aimée, en l’attirant à nouveau à lui dans la grâce de l’amour premier et irrévocable, après qu’elle se soit fourvoyée en se livrant au monde et à ses prostitutions.
Que nous a montré le Synode amazonien sur la nature de la synodalité ?
L’Église n’est pas une démocratie, mais le Synode des évêques, depuis que Paul VI l’a créée avec le motu proprio « Apostolica sollicitudo » le 15 septembre 1965, a toujours traité des problèmes concernant l’Église universelle, avec le droit de participation des évêques représentant toutes les conférences épiscopales du monde. Le Synode pour l’Amazonie n’a pas respecté ce critère.
L’Église en Amazonie a certainement des problèmes majeurs qui lui sont propres et qui doivent donc être abordés au niveau local. Pour les résoudre, il aurait suffi que les évêques latino-américains suivent les recommandations que le Pape Benoît XVI leur a faites lors de sa visite à Aparecida en 2007. Ils ne l’ont pas fait. Et même, beaucoup d’entre eux ont permis (sinon promu), pendant des décennies que les adeptes de la théologie de la libération et des idéologies d’origine largement germanique, avec les Jésuites en première ligne, continuent à refuser de proclamer le Christ unique Sauveur.
« Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous sous la forme de brebis, mais il y a en eux des loups rapaces » (Mt 7,15). Une situation d’échec, telle est celle d’une partie de l’Église en Amazonie, y compris pour ces nonces apostoliques au Brésil, comme l’actuel Secrétaire général du Synode des Évêques, qui ont proposé des candidats à l’épiscopat comme ceux que nous avons vus dans le synode actuel pour l’Amazonie. Au lieu d’un synode local, avec le synode à Rome, en invitant des évêques choisis parmi les plus aveugles pour diriger d’autres aveugles, on a essayé d’exporter l’infection à l’Église universelle.
Le Pape François fait un usage synodal contradictoire, et très peu synodal, de la synodalité! La « synodalité » est l’un des « mantras » du pontificat actuel, la solution magique à tous les problèmes qui affectent la vie de l’Église. La très revendiquée « conversion synodale » a supplanté la conversion au Christ. C’est précisément pour cette raison que la synodalité n’est pas la solution, mais le problème.
De plus, le Pape François semble concevoir la synodalité à sens unique: les acteurs, les contenus et les résultats sont prévus et orientés d’une manière ciblée et univoque. L’institution synodale s’en trouve sérieusement délégitimée, ce qui sape l’adhésion des fidèles à cette institution.
On a l’impression que l’instrument synodal est remis en question et manipulé pour se libérer de la Tradition et de ce que l’Église a toujours enseigné. Comment peut-il y avoir synodalité quand il n’y a pas de fidélité absolue à la doctrine ?
Parlant à l’Angélus de l’Assemblée qui venait de se terminer, François a dit : « Nous avons marché en nous regardant dans les yeux et nous nous sommes écoutés, avec sincérité, sans cacher les difficultés ». Ces paroles évoquent une synodalité exercée d’en bas, et non du Christ Seigneur et de l’écoute de sa Vérité éternelle, une synodalité de nature sociologique et mondaine, fonctionnelle à un projet purement humain et idéologique.
Avez-vous une idée de la façon dont l’appareil médiatique du Vatican a géré le Synode? Les détracteurs disent qu’il a perdu toute crédibilité.
Pendant le Synode, nous avons assisté à une gestion de la communication à la soviétique, avec l’imposition d’une « version officielle » qui ne coïncidait presque jamais avec la réalité. Lorsque la preuve du mensonge ou de l’ambiguïté a été mise en lumière par des journalistes courageux, le complot a été nié ou a fait l’objet de cris.
On s’est déchiré les vêtements, jusqu’au dépôt d’une plainte, pour les déesses mères Pachamama jetées dans le Tibre gluant! Et les épithètes habituelles: des catholiques conservateurs et fanatiques, des gens rétrogrades qui ne croient pas au dialogue, des gens qui ignorent l’histoire même de l’Église, selon l’éditorial de Vatican News, avec une citation du saint cardinal Newman en faveur des malheureuses statuettes. Sauf que la citation de Newman, selon laquelle les éléments d’origine païenne sont sanctifiés par leur adoption dans l’Église, témoigne non seulement de la mauvaise foi de ceux qui l’ont faite mais se retourne contre eux. Elle souligne en réalité la différence substantielle entre la sage pratique de l’Église du Christ et l’apostasie moderniste. L’Église romaine, en effet, établie pour la destruction de la tyrannie des idoles démoniaques (pensez à la démolition des temples d’Apollon par la main de saint Benoît ou du chêne sacré par la main de saint Boniface [cf. Quand une historienne fait l’éloge de l’Espagne catholique] et l’établissement du royaume du Christ, assume les formes de l’ancienne religion païenne et les baptise. Les nouveaux modernistes, par contre, qui croient que Dieu veut positivement la diversité des religions, s’abandonnent volontiers au syncrétisme et à l’idolâtrie.
Qu’est-ce qui a été mis en danger ou menacé par le Synode amazonien, en particulier pour l’Église et sa foi ?
Le Synode pour l’Amazonie s’inscrit dans un processus qui n’a d’autre but que de changer l’Église. Le pontificat du pape François est parsemé de gestes sensationnels visant à saper les doctrines, les pratiques et les structures considérées jusqu’ici comme consubstantielles à l’Église catholique. Lui-même a défini cette ligne comme un « changement de paradigme », c’est-à-dire une rupture claire avec l’Église qui l’a précédé.
Avec le synode amazonien, l’utopie d’une nouvelle église tribaliste et écologiste se profile à l’horizon, un vieux projet de ce progressisme latino-américain, déjà affronté par Jean-Paul II et le cardinal Ratzinger, jamais vraiment éradiqué, et maintenant promu par le sommet de la hiérarchie catholique. Ce synode est destiné à procéder à la consécration définitive de la théologie de la libération dans sa version « verte » et « tribale ». Avec ce synode, comme à d’autres occasions, l’Église catholique semble s’aligner sur les stratégies qui dominent la scène mondialiste, soutenues par les pouvoirs forts et la grande finance: des stratégies radicalement anti-humaines et intrinsèquement anti-chrétiennes, dont l’agenda inclut aussi la promotion de l’avortement, l’idéologie du gender, l’homosexualité et la théorie du réchauffement anthropologique mondial pris comme un dogme.
Pour nous tous catholiques, le panorama de la Sainte Église s’assombrit de jour en jour. L’offensive progressiste en cours annonce une véritable révolution, non seulement quant à la manière dont l’Eglise est comprise, mais aussi quant aux images apocalyptiques qu’elle suscite pour l’ordre mondial tout entier. C’est avec une profonde tristesse que nous voyons le pontificat actuel marqué par des faits inhabituels, des comportements et des déclarations franchement déconcertants en contraste avec la doctrine traditionnelle, qui sème dans les âmes un doute généralisé sur ce qu’est l’Église catholique, sur ses principes véritables et immuables. Nous nous sentons sous l’emprise d’un chaos religieux aux dimensions gigantesques. Si ce plan satanique réussit, les catholiques qui y adhèrent changeront de religion et l’immense troupeau de Notre Seigneur Jésus Christ sera réduit à une minorité. Cette minorité aura probablement beaucoup à souffrir. Mais il sera soutenu par la promesse de Notre Seigneur que les portes du monde souterrain ne prévaudront pas contre l’Église, et avec Lui gagnera le triomphe du Cœur Immaculé de Marie promis par Notre Dame à Fatima.
Que pensez-vous que les organisateurs du synode ont réalisé, de leur point de vue? Quels progrès ont-ils réalisés dans leur programme ?
Les organisateurs et les protagonistes du synode ont certainement atteint l’un de leurs objectifs: rendre l’Église plus amazonienne et l’Amazonie moins catholique. Le paradigme amazonien n’est donc pas la fin du processus de transformation que vise l’action dite pastorale/révolutionnaire promue par le magistère papal actuel. Il sert de passerelle pour transporter ce qui reste de l’édifice catholique vers une religion universelle indistincte. Le paradigme amazonien, avec ses composantes de vénération panthéiste de la Terre Mère et d’interconnexion utopique entre tous les éléments de la nature, devrait permettre, selon les spéculations théologiques élaborées dans la zone germanique, le dépassement de la religion catholique traditionnelle vers un Panthéon globaliste et apatride. Le récent synode a fonctionné avec succès dans le sens de la création d’une Église amazonienne, c’est-à-dire composée d’un ensemble de croyances, de cultes, de pratiques païennes/sacramentelles, de liturgies inculturées en communion avec la Nature, avec clergé indien uxorato, et même, en perspective, féminin. Un progrès aberrant qui est vraiment significatif dans l’agenda de « l’Église sortante », engagée dans le processus de la Grande Substitution du catholicisme par une autre religion, celle qui glorifie l’homme à la place de Dieu.
Vous êtes l’ex-nonce apostolique aux États-Unis. Que diriez-vous si des lettres de laïcs inondaient les nunciatures du Vatican ?
« Le Royaume de Dieu subit la violence et les violents en prennent possession » (Mt 11, 12). Comme nous y invite le professeur de Mattei, « il faut militariser les cœurs et les transformer en une Acies ordinata. L’Eglise n’a pas peur de ses ennemis et gagne toujours quand les chrétiens combattent. Nos adversaires sont unis par la haine du bien, nous devons nous unir dans l’amour du bien et de la vérité ». [cf. « Motus in fine velocior »]
Ce n’est pas une bataille ordinaire mais une guerre! Il est urgent de donner compacité et visibilité à la résistance catholique face au processus d’auto-démolition de l’Église, en surmontant aussi « les nombreux malentendus qui souvent divisent le champ du bien et chercher parmi ces forces une unité de but et d’action, tout en maintenant les légitimes différences d’identités » (de Mattei).
En cette heure très grave, les laïcs sont certainement le fer de lance de la résistance. Leur courage doit nous interpeller, nous les pasteurs, et nous inciter à sortir, avec plus de courage et de détermination, pour défendre l’Épouse du Christ. L’avertissement de sainte Catherine de Sienne s’adresse à nous, pasteurs: « Ouvrez les yeux et regardez la perversité de la mort qui est venue dans le monde, et individuellement dans le Corps de la Sainte Église. Hélas, vos cœurs et vos âmes se brisent de voir tant d’offenses de Dieu ! Hélas, assez de silence ! Criez avec cent mille langues. Je vois que, à cause du silence, le monde est mort, l’Épouse du Christ est pâle ».
Avez-vous quelque chose à ajouter ?
Laissons la parole à sainte Brigitte de Suède, co-patronne de l’Europe:
Le Père éternel adressa ces mots à toute la cour céleste qui l’écoutait : « Devant vous, je me plains: j’ai donné l’Église, ma fille – à un homme qui l’afflige sans mesure et la maintient misérablement enchaînée ».
Son Fils lui répondit : « C’est celle que j’ai rachetée par mon Sang et que j’ai épousée par mon Amour; mais maintenant elle m’a été enlevée par la violence.
Le Père s’exclame : « Mon fils, je partage ta lamentation, ta parole est la mienne, tes œuvres sont les miennes. Tu es en moi et je suis en toi d’une manière inséparable. Que Ta volonté soit faite.
Alors la Mère de Dieu dit : « Tu es mon Dieu et mon Seigneur, et mon corps a gardé les membres de ton Fils.Je ne t’ai rien refusé sur terre: aie donc pitié de ta fille – l’Église – pour l’amour de mes prières.
Dieu le Père répondit : « Puisque tu ne m’as rien refusé sur la terre, je ne veux rien te refuser au ciel. Que Ta volonté soit faite.
Alors les anges parlèrent et dirent : « Tu es notre Dieu et notre Seigneur, en toi nous recevons toute forme de bien et nous n’avons besoin que de toi. Quand tu as choisi cette Épouse, nous nous sommes tous félicités; mais maintenant nous sommes à juste titre découragés, parce qu’elle a été donnée à une méchant qui l’humilie misérablement et la couvre d’insultes. C’est pourquoi prends pitié d’elle: sa misère est immense, et il n’y a personne pour la consoler et la libérer, sauf Toi, Seigneur, Dieu Tout-Puissant!
Et Il dit aux anges : « Vous êtes mes amis et la flamme de votre amour brûle dans mon cœur. J’aurai pitié de ma fille – mon Église – à cause de vos prières » (Révélations, Livre I, 24).
Laissons encore la parole à Sainte Brigitte:
« Je découvris que si un pape se montrait disposé à autoriser le mariage des prêtres, il s’ensuivrait un jugement terrible ; Dieu le frapperait d’aveuglement et de surdité ; il ne pourrait plus rien dire, ni faire ni goûter de l’ordre surnaturel ; et en outre, après sa mort, son âme serait jetée dans les profondeurs de l’enfer, pour rester éternellement la proie des démons. Oui, même si le saint pape Grégoire avait établi cette loi, il n’aurait jamais obtenu miséricorde devant Dieu s’il ne l’avait pas retirée humblement avant de mourir » (Révélations, livre VII, 10).
Seigneur, prends pitié de ton Église, pour nos prières et nos afflictions !
SOURCE :
http://www.benoit-et-moi.fr/2020/2019/11/07/mgr-vigano-lheure-est-grave/
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Re: SONDAGE : Rituel écologique païen dans les Jardins du Vatican sous les yeux du Pape François !
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stjeanlagneau- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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RITUEL ÉCOLOGIQUE PAÏEN DANS LES JARDINS DU VATICAN SOUS LES YEUX DU PAPE FRANÇOIS !
Je n'ai pas trouvé ma réponse au sondage proposé pour ce rituel païen dans les jardins du Vatican:
" Grotesque" serait la mienne assorti d'un immense éclat de rire dissimulé pour ne pas blesser ces quelques amazoniens requis pour la circonstance.
Ce pape se trompe, trompe les amazoniens arriérés, trompe les chrétiens mal informés. Le silence gêné des médias chrétiens ou non montre qu'ils adorent notre pape et donc qu'il est du monde et marche avec eux !
La Charité envers les amazoniens ne peut se faire sur le dos de la Vérité. Ce n'est donc pas une vraie charité. Il m'a semblé que c'était une pratique constante chez lui.
Que cherche-t-il ? Mystère. Ses discours en Thaïlande semblent le ramener dans le droit chemin qu'il n'aurait jamais dû quitter... jusqu'au prochain dérapage ( sans doute le synode allemand).
On dirait que même les messagers du Ciel ont des difficultés à s'y retrouver!
Il ne nous reste que le sensus fidelium pour le temps de silence de Dieu avant le tonitruant ça Suffit.
S'il n'est pas le faux prophète il prépare son chemin car un faux prophète peut en cacher un autre encore pire.
" Grotesque" serait la mienne assorti d'un immense éclat de rire dissimulé pour ne pas blesser ces quelques amazoniens requis pour la circonstance.
Ce pape se trompe, trompe les amazoniens arriérés, trompe les chrétiens mal informés. Le silence gêné des médias chrétiens ou non montre qu'ils adorent notre pape et donc qu'il est du monde et marche avec eux !
La Charité envers les amazoniens ne peut se faire sur le dos de la Vérité. Ce n'est donc pas une vraie charité. Il m'a semblé que c'était une pratique constante chez lui.
Que cherche-t-il ? Mystère. Ses discours en Thaïlande semblent le ramener dans le droit chemin qu'il n'aurait jamais dû quitter... jusqu'au prochain dérapage ( sans doute le synode allemand).
On dirait que même les messagers du Ciel ont des difficultés à s'y retrouver!
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Duquesne- Première Demeure : J'évite le péché mortel.
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Re: SONDAGE : Rituel écologique païen dans les Jardins du Vatican sous les yeux du Pape François !
@ Duquesne
Bobestparti- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: SONDAGE : Rituel écologique païen dans les Jardins du Vatican sous les yeux du Pape François !
Duquesne a écrit:
S'il n'est pas le faux prophète il prépare son chemin car un faux prophète peut en cacher un autre encore pire.
Ceux qui adulent le pape François ont bien le sentiment qu'il y a un malaise avec lui ..
Ils attendent que le pape lui-même se déclare " faux prophète "
Et même ainsi par crainte de se tromper, ils continueraient à le mettre sur un piédestal...
Quoi qu'il en soit, en toute humilité , nous avons le devoir de prier pour lui ..
Bobestparti- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: SONDAGE : Rituel écologique païen dans les Jardins du Vatican sous les yeux du Pape François !
@ Robert Adelaide :
Vous avez raison :
L'Administrateur
Vous avez raison :
Vous trouverez peut-être un peu longues les invocations? Est-ce trop long de prier pour celui qui vous représente dans Mon Église?
Non, Mes enfants, car votre Mère a toujours dit : priez, priez, priez sans cesse mes enfants.
Que ce chapelet soit votre dévotion particulière pour secourir Mon Église par votre pape pour votre époque où les mauvais esprits rôdent sans arrêt pour continuer à détruire mon Église, c’est-à-dire vous tous Mes enfants.
SOURCE : http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/t33939-prions-pour-le-pape-francois#775857
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Re: SONDAGE : Rituel écologique païen dans les Jardins du Vatican sous les yeux du Pape François !
08 novembre, 2019
Le prêtre qui a brûlé les Pachamama parle : elles « parodient » Notre Dame de Guadalupe
Les « Pachamama » vénérées de manière idolâtre au Vatican et dans la ville de Rome au moment du synode sur l’Amazonie étaient une « parodie » de la Vierge de Guadalupe, selon un exorciste mexicain cité par le prêtre qui a brûlé des effigies de la statuette il y a quelques jours au cours d’un rite de réparation que l'on peut voir ici sur le blog d'Yves Daoudal.
Ce prêtre catholique de l'archidiocèse de Mexico, le P. Hugo Valdemar Romero, a expliqué dans un entretien avec LifeSiteNews pourquoi il a décidé de brûler des statues païennes de la « Pachamama ». Son geste, visant à expier le péché public d'idolâtrie au synode sur l’Amazonie, se justifiait par la « loi de Dieu », a-t-il déclaré.La vidéo de la cérémonie qui a eu lieu en fin de semaine dernière est vite devenue virale sur les réseaux sociaux.
Le P. Hugo Valdemar Romero, ancien porte-parole de l'Archidiocèse de Mexico, actuellement grand pénitencier, a déclaré à LifeSiteNews qu’il avait invité les fidèles à participer à cette cérémonie en raison du « scandale et de la douleur causés par les graves actes d'idolâtrie, réalisés au Vatican avec les idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie ».
Voici ma traduction intégrale de l’interview du P. Hugo Valdemar Romero avec Bree A. Dail de LifeSiteNews.*
QUESTION : Qu'est-ce qui a inspiré votre geste, c’est-à-dire la décision de prendre la tête des fidèles pour prononcer des prières de réparation, puis brûler les effigies de la Pachamama ?
RÉPONSE : Ce sont le scandale et la douleur causés par les graves actes d'idolâtrie, perpétrés au Vatican avec des idoles amazoniennes pendant le synode sur l'Amazonie. De nom nombreux fidèles, très blessés et en colère, se sont tournés vers moi ils nous demandaient (au clergé) de faire quelque chose pour montrer que nous rejetons l'idolâtrie et pour demander pardon à Dieu pour tant de sacrilèges et de profanations. J'ai donc décidé de faire ces actes de réparation.
Q : Avez-vous parlé à des exorcistes d'Amérique latine et croyez-vous que ces rituels relevaient d’une influence démoniaque ?
R : Oui, j'ai parlé à un exorciste de Mexico qui m'a affirmé que la figure de la Pachamama était une parodie de la Vierge de Guadalupe. La Sainte Vierge, Notre Dame de Guadalupe apparaît dans sa sainte image comme une femme enceinte. Elle est venue pour donner naissance à Jésus, Lumière du Monde et seul Vrai Dieu, le seul but de notre vie. Elle est venue comme la Femme de l'Apocalypse, revêtue de soleil, et la lune à ses pieds. Cette Pachamama, en revanche, est sur le point de donner naissance à une créature rouge, de couleur démoniaque, et cette créature n'est rien de moins qu'une « nouvelle église ». Cette « église » est née du synode qui vient de s'achever – cette soi-disant « église à visage amazonien » qui prétend célébrer des rites orthodoxes, mais qui promeut (la notion de) diacres féminins et de prêtres mariés, l’exact contraire de la doctrine catholique et de la tradition de l'Église (romaine).
Q : Dans votre vidéo, nous vous voyons parler de Notre-Dame de Guadalupe. A S. Maria in Traspontina, l'image de Notre-Dame de Guadalupe pouvait se voir, poussée sur le côté d’un des autels latéraux – où les Pachamamas ont été placées. Estimez-vous que c'est important ?
R : Bien sûr, c'est la grande imposture de la déesse satanique Pachamama. Elle cherche à usurper la place de Notre Dame de Guadalupe, à ôter de la foi catholique Celle qui est la Mère du Vrai Dieu, et à mettre à la place de Notre Dame la Terre-Mère, qui en réalité est idolâtrie, panthéisme et superstition.
Q : En quoi l'apparition de Notre Dame à Guadalupe fut-elle significative pour contrer le paganisme en Amérique latine ?
R : Ce fut fondamental, parce que, comme le disait saint Jean Paul II, elle était le modèle parfait de l'inculturation. Cela veut dire que Notre Dame a pris des éléments de la culture du monde indigène, non pas pour créer un syncrétisme avec le paganisme, mais pour purifier certains symboles et leur donner un sens chrétien. En attendant, avec la Pachamama, l'intention n'est pas l'inculturation authentique mais une usurpation diabolique pour restaurer l'idolâtrie.
Q : Il semble y avoir eu une montée de l'occultisme au Mexique, y compris la « Santería ». Croyez-vous que les rituels au Vatican relevaient du même synchronisme, et pourquoi ?
R : Malheureusement, là où la foi est affaiblie, le paganisme et la superstition reviennent. C'est ce que nous voyons, non seulement au Mexique, mais dans tout le monde occidental, qui a abandonné le christianisme, et qui le compense par des superstitions, le Nouvel Age et le Satanisme.
Q : Vos détracteurs ont affirmé que vous avez manqué de respect envers la culture indigène en brûlant les effigies de la Pachamama. Pouvez-vous nous expliquer comment l'histoire de l'Amérique latine, y compris au Mexique, vient au secours de vos actes de réparation et de prière ?
R : Ceux qui exigent le respect doivent aussi respecter. Personne n'aurait rien dit si les idoles amazoniennes avaient été exposées dans les musées du Vatican ou dans une salle d'exposition, mais ce qu’ils ont fait est une véritable abomination et un sacrilège. Nous avons regardé, stupéfaits, comment les idoles étaient vénérées devant le Pape lui-même, dans les jardins du Vatican, et nous avons été témoins des rituels de culte quotidiens dans l'église de Santa Maria in Traspontina. Outre que c’était un crime contre la loi divine, c'était une offense pour les catholiques qui rejettent l'idolâtrie et qui ne veulent pas être témoins de la profanation de nos églises.
Q : Nous avons vu, ces derniers mois, un évêque colombien exorciser son diocèse (à cause du niveau élevé de drogue, de violence et d'occultisme que l’on y trouve), ainsi que de violentes féministes pro-avortement essayer de brûler la cathédrale de Mexico City. Des nouvelles de l'escalade de la violence des cartels sont rapportées du Mexique. Pensez-vous que tout cela est lié ? Quel est le remède ?
R : Derrière tout ce qui détruit la vie humaine, comme l'avortement et les crimes liés aux stupéfiants, se cache Satan. Il est « menteur et assassin dès le commencement », comme l'appelle Jésus, et nous pouvons dire que ces deux attributs désignent les pratiques préférées du démon. Nous trouverons toujours son influence quand nous en serons témoins.
Q : Après avoir vu votre vidéo, de nombreuses personnes ont appelé leurs prêtres et leurs évêques à se lever et à organiser à leur tour des actes de réparation. D'autres, plus nombreuses encore, craignent que vous ne fassiez l’objet de représailles de la part de certains membres de la hiérarchie, et que cela n’effraie leur clergé. Qu’en dites-vous ?
R : Malheureusement, la tolérance, le dialogue et la miséricorde si souvent mis en avant par ce pontificat ne semblent s'adresser qu'à ceux de l'extérieur (de l'Eglise), alors que pour ceux de l'intérieur il y a censure, silence et représailles. Oui, il y a beaucoup de peur, et surtout la peur qu’il n’en résulte un schisme. Mais il y a malheureusement déjà un schisme de facto. En ce qui me concerne, cependant, je n'ai pas encore été censuré et, bien sûr, je suis prêt à répondre de mes actes. Ces actions, cependant, ne sont pas en dehors de la loi de Dieu ou du droit canonique. Je n'ai pas peur parce que je me sens protégé par Dieu et surtout par Notre Dame de Guadalupe – je défendrai toujours son honneur.
Q : Quel message souhaiteriez-vous nous adresser ?
R : Seulement que nous ne devons pas perdre la foi ! La foi est ce qui vainc le monde. Ne manquez pas d'aimer Christ de toute votre âme. Ne manquez pas d'aimer Sa Sainte Mère et l'Eglise, qui traverse une grande tribulation dans laquelle, à la fin, le Christ triomphera, n'en doutez pas.***
Prières récitées par le P. Hugo Valdemar Romero pendant la destruction des effigies de la Pachamama par la feu.
Prières de réparation :
Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, recevez des mains de l'Immaculée, Mère de Dieu, Vierge Marie de Guadalupe, de notre cœur contrit, un acte sincère de réparation pour les actes d'adoration des idoles et des fétiches sataniques qui ont eu lieu à Rome, Ville éternelle et cœur du monde catholique, au cours du synode sur l'Amazonie.Versez dans le cœur des cardinaux, des évêques, des prêtres et des religieux et religieuses votre Esprit, qui expulsera les ténèbres des esprits, afin qu'ils reconnaissent l'impiété de tels actes, qui ont offensé Votre Divine Majesté, et qu’ils offrent des actes de réparation et de consolation.Accordez à tous les membres de l'Église la lumière de la plénitude et de la beauté de la foi catholique. Enflammez chacun du zèle ardent d'apporter le salut de Jésus-Christ, Vrai Dieu et vrai homme à tous les hommes, en particulier ceux de la région amazonienne, qui sont encore esclaves des idoles et de la superstition, afin que tous les gens de cette région atteignent la liberté des enfants de Dieu, et aient le bonheur indescriptible de connaître Jésus Christ, et par Lui entrent dans la vie de votre Nature Divine.Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, toi, le seul vrai Dieu, en dehors duquel il n'y a pas d'autre dieu ni salut, ayez pitié de votre Église. Regardez surtout les larmes, les soupirs contrits et humbles de vos fidèles et bénissez et protégez les vrais héros chrétiens qui, dans leur zèle pour votre gloire et dans leur amour pour l'Église Mère, ont jeté prophétiquement dans l'eau les idoles des abominations.Ayez pitié de nous : pardonnez-nous, Seigneur ! Ayez pitié de nous : Kyrie eleison !
Prières déprécatives :
1. Pardonnez-nous, Seigneur, l'acte sacrilège d'adoration de la Pachamama et des idoles amazoniennes dans les jardins du Vatican.Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié
2. Pardonnez-nous, Seigneur, pour la profanation de la basilique et du tombeau de l'apôtre saint Pierre, où ils ont prié et chanté aux idoles amazoniennes.Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié
3. Pardonne-nous, Seigneur, pour la procession du canot maudit avec les fétiches amazoniens portés par les évêques, religieux et laïcs dans la salle synodale.Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
4. Pardonnez-nous, Seigneur, pour la profanation de l'église dédiée à votre Sainte Mère, sous l’invocation de Santa María in Traspontina, à Rome, où des ont abrité les idoles diaboliques de la Pachamama et l'ont adorée, offensant la mémoire de notre Sainte Mère et la sainteté de ta Maison.Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
5. Pardonnez-nous, Seigneur, pour la profanation de votre sainte Via Crucis, sur la Via de la Conciliazione à Rome, où l’on a offensé votre glorieuse Passion.Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié
6. Pardonne-nous, Seigneur, pour la prières adressées à l'abominable idole de la Pachamama, composée par l'Agence pastorale de la Conférence épiscopale italienne et récitée dans plusieurs églises en Italie.Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
7. Pardonnez-nous, Seigneur, pour la profanation de la cathédrale de Lima au Pérou, où ils ont loué l'idole Pachamama, engendrée par Satan et par sa tromperie.Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
8. Pardonnez-nous, Seigneur, pour tous les évêques, prêtres, religieux et religieuses qui ont offensé votre sainteté, vous le Dieu unique, en commettant le crime d'idolâtrie et défendant, répandant et adorant Satan à travers la tromperie de l'idole de la Pachamama.Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
9. Pardonne-nous, Seigneur, pour les catholiques qui voient sans voir, qui entendent sans entendre, et qui prennent la défense de ces actes démoniaques et abominables d'adoration des idoles amazoniennes, tromperie du démon. Ne laissez pas leurs âmes se perdre, donnez-leur Votre Lumière Divine pour ne faire qu'un avec Vous, le seul Vrai Dieu.Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
10. Pardonnez-nous, Seigneur, pour le cautionnement de l'« écologie intégrale », le mépris de l'être humain, le manque de courage pour défendre l'enfant à naître, les avortements et les crimes sans fin de tes enfants.-->
Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
leblogdejeannesmits pour la traduction.
SOURCE :
https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2019/11/le-pretre-qui-brule-les-pachamama-parle.html
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"Le garant de ces révélations l'affirme :
"Oui, mon retour est proche!
Amen, viens, Seigneur Jésus!"
Apocalypse, 22, 20
*Venez prier et adorer en direct sur le Forum VSJ via le Web* :
http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/
Re: SONDAGE : Rituel écologique païen dans les Jardins du Vatican sous les yeux du Pape François !
20 novembre, 2019
Mgr Athanasius Schneider dénonce de nouveaux symboles païens dans le culte de Pachamama au Vatican : on a scandalisé les plus petits
Il faut avoir perdu le sens de la foi et des réalités pour prétendre que la cérémonie du 4 octobre au Vatican, à l'orée du synode sur l'Amazonie, était autre chose qu'un rituel païen, et les statuettes dont nombre ont fini dans le Tibre autre chose que des images d'une divinité des Incas, Pachamama, la Terre-Mère. Tel est l'essentiel d'une tribune publiée par Mgr Athanasius Schneider en allemand le mardi 19 novembre sur Kath.net. La version anglaise est ici sur LifesSiteNews.
Mgr Schneider évoque plusieurs symboles liés au culte de la fertilité dans les religions païennes que l'on a retrouvés dans la cérémonie des jardins du Vatican et par la suite, lors d'autres événements du synode. Il établit clairement le lien avec le culte de Gaïa tel qu'il est promu par les écologistes, les environnementalistes, jusqu'aux hautes sphères des institutions internationales comme l'UNESCO.
Il répond au passage à tous ceux qui invoquent frauduleusement des exemples d'« inculturation » pour prétendre que la figurine de la Pachamama est soit une légitime représentation de la fécondité féminine, soit une représentation locale de la Bienheureuse Vierge Marie. Non : c'est la représentation d'une déesse païenne, et elle a été idolâtrée sous les yeux du pape.
Je vous propose ici ma traduction de travail de ce texte, réalisée avec l'autorisation de Mgr Schneider et approuvée par lui. – J.S.
Pourquoi le culte de la Pachamama au Vatican n'était pas inoffensif
Le 4 octobre 2019, en la fête de St. François d'Assise, en présence du Pape François et d'autres hauts dignitaires ecclésiastiques, a eu lieu dans les Jardins du Vatican une cérémonie au caractère évidemment religieux, comme l'indique le communiqué de presse du Vatican du 4 octobre 2019 : « Au cours de la cérémonie de prière, qui marquait la conclusion de l'initiative “Saison de la Création” récemment promue par le Pape François, un arbre venant d'Assise a été planté comme symbole d'écologie intégrale, pour consacrer le synode sur l'Amazonie à saint François, peu avant le quarantième anniversaire de la proclamation par laquelle le pape faisait du Poverello d'Assise le saint patron des écologistes. A la fin de la célébration, le Saint-Père a récité le Notre Père. Des représentants des populations indigènes d'Amazonie, des frères franciscains et divers membres de l'Église ont assisté à la cérémonie. »
Mais cette déclaration a occulté le fait qu'au cours de cette cérémonie de prière, des rites religieux des religions païennes des Amérindiens ont été célébrés. Des gestes et des paroles ont eu lieu qui exprimaient le culte religieux de figures mythologiques de la religion aborigène ; surtout, des actes de prosternation ont été accomplis devant deux figures féminines enceintes nues, supposées représenter la fertilité. Une danse religieuse a également été exécutée autour de ces personnages. Au cours de celle-ci une femme déguisée en chamane utilisait des hochets symbolisant les dieux païens de la fertilité. L'utilisation des « maracas » ou hochets par le chaman signifie dans les cultes indigènes d'Amazonie la voix des esprits et ils sont utilisés pour réclamer l'aide de la puissance des animaux et des esprits. Les maracas sont au nombre des instruments magiques les plus puissants aux yeux de ces peuples. La tête du « maraca » est une citrouille ; la tête du hochet emmanchée représente l'union de fécondation du monde masculin (manche) avec le monde féminin (tête). Ce sont précisément de tels « maracas" qui ont été utilisés lors de la « Cérémonie de Prière » du 4 octobre.
Les statues représentant des femmes enceintes nues ont ensuite été placées brièvement dans la basilique Saint-Pierre devant le tombeau pétrinien, toujours en présence du Pape, puis, pendant toute la durée du Synode amazonien dans l'église de Santa Maria in Traspontina sur la Via della Conciliazione. Aux cours de prières régulièrement organisées elles ont été vénérées dans une église dans laquelle se trouvait un tabernacle et la présence eucharistique du Christ. En outre, la statue de la femme enceinte nue a même été portée le 19 octobre lors d'un chemin de croix organisé par des participants au Synode.
Au cours des premiers jours qui ont suivi ces cérémonies, le Vatican a évité de mentionner la signification exacte des deux figures féminines enceintes nues. Ce n'est qu'après que ces figures ont été été retirées le 21 octobre de l'église de Santa Maria in Traspontina et jetées dans le Tibre que le pape François lui-même a proclamé le 25 octobre l'identité de ces statuettes devant symboliser la Pachamama, en ces termes : « Je voudrais dire un mot des statues de Pachamama qui ont été enlevées de l'église de la Traspontina et qui étaient là sans intention idolâtre et qui ont été jetées dans le Tibre. Cela a été fait pour la première fois à Rome, et en tant qu'évêque du diocèse, je présente mes excuses à ceux qui se sont sentis offensés par ce geste. »
Le père jésuite Fernando Lopez, l'un des organisateurs de la vénération des statues de Pachamama au Vatican, a dit que ces statues ont été achetées dans un marché artisanal à Manaus, une ville de l'Amazonie brésilienne, ajoutant que la Pachamama a un sens pour nous tous et que nous devons continuer « la danse de la vie sur la Terre Mère ».
Affirmer que tous ces actes de culte des statues de Pachama, qui ont systématiquement eu lieu lors d'une cérémonie de prière et dans les église, ne sont ni cultuels ni religieux, mais constituent la simple expression de la culture et du folklore, et les déclarer ainsi inoffensifs et peu significatifs, nie les faits et cherche à échapper à la réalité.
Face à la grave réalité d'aussi discutables actes de culte religieux, qui sont à l'évidence au moins proches de la superstition et de l'idolâtrie, certains cardinaux, évêques, prêtres et de nombreux laïcs ont protesté publiquement, et certains ont même appelé le pape François à se repentir et à faire amende honorable. Malheureusement, ces voix courageuses ont été critiquées même par de bons catholiques, souvent au motif qu'elles constituent une attaque personnellement contre le pape François. Un tel raisonnement rappelle fortement l'histoire des nouveaux habits de l'Empereur. D'autres considèrent le culte des statues de Pachamama comme inoffensif et comparent cette question à celle des rites dits chinois (appelée « dispute de l'accommodement ») aux 17e et 18e siècles. Ceux qui font de telles affirmations manquent à la fois de connaissances factuelles sur ce que la Pachamama signifie pour les peuples indigènes et sur la propagande mondiale de la nouvelle « religion de Gaia ou Terre Mère » aujourd'hui, ainsi que d'une connaissance plus précise du problème historique des rites chinois et de leur solution au 20e siècle.
Le fait que le phénomène « Pachamama » ait une connotation clairement religieuse est déjà défini de manière probante dans les sources d'information généralement accessibles et les plus consultées, comme par exemple sur Wikipedia, qui déclare : « Pachamama est une déesse vénérée par les peuples indigènes des Andes. Elle est aussi connue comme la mère de la terre et du temps. Dans la mythologie inca, Pachamama est une déesse de la fertilité qui préside à la plantation et à la récolte, incarne les montagnes et provoque des tremblements de terre. Elle est aussi une divinité toujours présente et indépendante qui a son propre pouvoir créatif et autosuffisant pour soutenir la vie sur cette terre. Pachamama se traduit généralement par Terre Mère, mais une traduction plus littérale serait “Mère du monde” (en aymara et en quechua). On peut se référer à la déesse Inca de multiples façons ; la principale étant Pachamama. D'autres noms pour elle sont : Mama Pacha, La Pachamama, et Terre Mère. Pachamama diffère de la Pachamama parce que le “La” signifie le lien entrelacé qui unit la déesse à la nature, alors que Pachamama – sans le “La” – ne fait référence qu'à la déesse. »
Quiconque s'est intéressé avec mouvement environnemental mondial a sans aucun doute entendu le terme Gaïa. Gaïa est un renouveau du paganisme qui rejette le christianisme, considère le christianisme comme son plus grand ennemi et considère la foi chrétienne comme le seul obstacle à une religion mondiale qui se concentre sur le culte de Gaïa et l'unification de toutes les formes de vie concentrées autour de la déesse « Terre Mère » ou « la Pachamama ». Un mélange sophistiqué de science, de paganisme, de mysticisme orientale et de féminisme a transformé ce culte païen en menace croissante pour l'Eglise chrétienne. Le culte de la « Terre Mère », ou « Gaia » ou « Pachamama », est au centre de la politique environnementale mondiale actuelle.
L'Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 22 avril 2009 “Journée internationale de la Terre nourricière”. Ce jour-là, le président bolivien Evo Morales, adorateur autoproclamé de la Pachamama, a fait cette déclaration à l'Assemblée générale des Nations Unies : « La “Pachamama” – la “Mère Terre” quechua – est une divinité fondamentale de la vision indigène du monde, fondée sur le respect total de la nature. La terre ne nous appartient pas, mais nous appartenons à la terre . »
Le fait que l'expression « Mère Terre » ou « Pachamama » ne soit pas un nom culturel inoffensif, mais qu'elle a des traits religieux est également prouvé, par exemple, par un Manuel de l'Enseignant publié en 2002 par l'UNESCO sous le titre significatif https://wedocs.unep.org/bitstream/handle/20.500.11822/8154/-Pachamama%20Teachers%20Guide-20021189.pdf?sequence=3&isAllowed=y On y lit par exemple ce qui suit : « Imaginez que la Terre Mère prenne une forme physique, et ce que ce serait que de la rencontrer. De quoi aurait-elle l'air ? De quoi lui parleriez-vous ? Quelles seraient votre principale préoccupation et vos questions ? Comment y répondriez-vous ? Où pourriez-vous la rencontrer ? Pensez à un endroit où vous pourriez les rencontrer. »
Tel le lieu, par exemple, où l'on pourrait rencontrer la « Terre Mère » ou « Pachamama » sous la forme de femmes enceintes nues sculptées dans des figures en bois : la cérémonie de prière dans les Jardins du Vatican le 4 octobre 2019, la Basilique Saint-Pierre, le Chemin de Croix le 19 octobre et l'église Santa Maria in Traspontina à Rome.
Mgr José Luis Azcona, évêque émérite de la prélature amazonienne de Marajó, a évoqué de manière convaincante l'absurdité et le caractère intenable de la minimisation du culte de la Pachamama par le Vatican. Il est un connaisseur des religions et des coutumes des Indiens d'Amazonie, a vécu parmi eux pendant plus de 30 ans et il les a évangélisés. Dans une lettre ouverte du 1er novembre 2019, Mgr José Luis Azcona a souligné que ce sont surtout les « petits » dans l'Église, et ensuite les convertis parmi les Indiens amazoniens qui vivent intensément la foi catholique, qui sont scandalisés par le culte de la Pachamama au Vatican. Ils ont été troublés et profondément blessés dans leur sens catholique de la foi. La déclaration suivante de Mgr José Luis Azcona donne la mesure de l'horreur : « Mais ce geste [d'adoration de la Pachamama] a constitué un scandale (et non un fait dénoncé par pharisaïsme) pour des millions de catholiques à travers le monde. Ce sont surtout les pauvres, les « petits », les ignorants, les « faibles », qui possèdent apparemment le « sensus fidei » (le sens de la foi) et qui sont défendus par le pape François de manière juste et permanente, qui ont été sévèrement frappés dans leur conscience désarmée, complètement sans défense contre cette violence religieuse. Du moins les pauvres, les simples, les « faibles », les sans défense de l'Amazonie sont les plus touchés au plus profond de leur cœur par ce coup idolâtre, qui est une attaque contre la foi chrétienne, contre la conviction de l'Eglise pour qui la seule reine de l'Amazonie est Notre-Dame de Nazareth, la Mère de Dieu Créateur et Rédempteur. Il n'y pas d'autre mère, pas de Pachamama des Andes ou d'ailleurs et pas de Yemanja[déesse mère des cultes afro-brésiliens] ! »
Mgr José Luis Azcona a également évoqué l'impact dévastateur que les actes publics du culte de la Pachamama au Vatican ont eu sur les fidèles protestants : « Pour les frères protestants et pentecôtistes, ce scandale a eu un effet dévastateur. Horrifiés, ils ont été témoins de scènes de véritable idolâtrie, et entre stupéfaction et étonnement, ils se sentent de plus en plus confirmés dans leur vision erronée selon laquelle le catholique est un adorateur d'idoles, non de saints, de Joseph, de Marie, mais de vrais démons. Le dialogue œcuménique-interreligieux a ainsi été ébranlé avec des conséquences humainement irréparables et de graves complications œcuméniques pour ceux qui veulent comprendre le mystère de l'Eglise comme le “Sacrement universel du salut” (Lumen Gentium). "
Mgr José Luis Azcona a déclaré avec justesse que l'idée et le symbolisme de la Terre Mère, « Gaïa », et aussi celle de la « Pachamama » qui est largement répandue aujourd'hui, ne peuvent être détachés mentalement et religieusement du phénomène des nombreuses déités mères païennes de l'histoire : « Souvenons-nous des innombrables divinités de la Terre Mère qui ont précédé et accompagné la Pachamama comme déesses de la fertilité dans toutes les cultures et religions évoquées dans la Bible. Dans l'Ancien Testament, Astarte (Asherà) est la déesse de la fertilité, de l'amour sensuel tel que l'évoque sa représentation dénudée. Dans le Nouveau Testament, Actes 19 : 23-40 ; 20, 1, c'est l'Artémis d'Éphèse, « la Grande », la déesse de la fertilité ; elle est représentée avec la moitié de son corps recouvert de seins. Elle résume ce que signifie la statue de la Terre Mère « Pachamama ». Il est impossible de placer l'image de Notre-Dame de Nazareth, Mère de Dieu et de l'Église, et la statue de la Pachamama, déesse de la fertilité, sur le même autel ou sur la même église. "
La comparaison entre le culte de la Pachamama au Vatican et la dispute historique des rites chinois est intenable au vu des faits. Les rituels chinois impliquaient des actes d'adoration de l'image de Confucius, un personnage historique vénéré comme un grand héros national et penseur de la culture chinoise. De plus, il s'agissait du culte des ancêtres décédés. Dans les deux cas, des actes de vénération tels qu'une inclination ou ou le geste d'allumer des bougies étaient exécutés devant les portraits de ces personnages historiques. Parce qu'aux XVIIe et XVIIIe siècles ces rites étaient encore associés aux croyances superstitieuses du confucianisme en tant que religion, l'Église les a rigoureusement interdits pour éviter toute apparence de superstition et d'idolâtrie. Au XXe siècle, les actes de vénération de Confucius étaient de nature purement civile et se déroulaient dans des lieux non sacrés et non religieux. De plus, les effigies des ancêtres étaient vénérées par les catholiques sans l'inscription habituelle "siège de l'âme" comme c'était le cas chez les païens chinois. Ainsi, après la disparition de toute apparence de superstition et d'idolâtrie, le Saint-Siège autorisa les rites chinois en 1939 par une Instruction de la Congregation pour la propagation de la foi, sous réserve des conditions suivantes : il est seulement permis d'incliner la tête devant une image de Confucius exposée dans les lieux civils, et si l'on peut craindre un scandale, la droite intention des catholiques devra être publiquement explicitée. De plus, l'Instruction affirme que les catholiques ne peuvent faire que des gestes honorifiques de nature purement civile et, si nécessaire, expliquer leur intention, afin de corriger toute mauvaise interprétation de ces actes. Il en va de même pour l'acte de vénération des portraits des ancêtres. De plus, l'Église catholique a permis la seule utilisation du nom divin sans équivoque « Seigneur du Ciel », en interdisant d'autres appellations chinoises de la divinité ambiguës, tels que « Ciel » ou « Déité suprême » ou « Empereur suprême », et cette interdiction ne fut pas abrogée par l'instruction de 1939.
La différence essentielle entre les rites du culte de la Pachamama et les rites dits chinois réside dans le fait que la Pachamama est une construction des mythologies païennes, c'est-à-dire qu'elle est vénérée soit comme un mythe pur soit comme un conglomérat inanimé et impersonnel de matière, comme la terre.
Quiconque prétend que le culte de la Pachamama était inoffensif et n'avait aucun aspect religieux, mais seulement un aspect culturel, sera mieux renseigné par une prière à la Pachamama publiée dans le contexte du Synode amazonien par la « Fondazione Missio », un organe de la Conférence épiscopale italienne, où il est dit : « Pachamama, bonne mère, Sois propice ! Sois propice ! Donne un bon goût à la graine, que rien de mal ne lui arrive, que le gel ne puisse le perturber, qu'il produise de la bonne nourriture. Nous te le demandons : donne-nous tout. Sois propice ! Sois propice ! »
Le culte de la Pachamama pratiqué au Vatican pendant le Synode amazonien est soit une forme de superstition idolâtre parce qu'il contient des gestes qui, dans sa forme originale, impliquent le culte de la « Terre mère » considérée comme une déité, soit une forme de superstition non idolâtre. Car ce culte de Pachamama exprime la croyance en la terre en tant qu'être vivant et personnel, c'est donc un syncrétisme qui introduit des éléments trompeurs dans le culte chrétien, qui, au bout du compte, doit toujours être dirigé vers le vrai Dieu.
Dans un article du 23 octobre 2019 pour le site internet Infocatolica (www.infocatolica.com), le P. Nelson Medina, OP, lui-même missionnaire de l'Amazonie colombienne, a démasqué la fraude d'un culte de Pachamama prétendument anodin, avec cette déclaration pertinente : « L'image [la pachamama] apportée à Rome n'est pas représentative de l'Amazonie colombienne, et je crois qu'elle n'existe nulle part en Amazonie. La figure ne représente en rien les “ancêtres” dans la culture amazonienne. En outre, notre foi adore-t-elle ou vénère-t-elle au moyen d'un culte la fertilité, la vie ou la femme en tant que telles ? Si elles ne sont pas adorés, pourquoi associer ce culte à l'autel, sur lequel le sacrifice unique et universel du Christ est présent ? N'est-ce pas là exactement une violation publique et scandaleuse du Premier Commandement de la Loi de Dieu ? Amener ces statues dans des lieux sacrés ne peut que signifier qu'elles ont une signification religieuse, contrairement à ce qui se serait passé si elles avaient été exposées dans une galerie d'art ou un musée d'histoire ethnique ou amazonienne. »
Les représentants du Vatican ont également utilisé St. John Henry Newman pour les aider à légitimer le culte de la Pachamama. Cependant, cette comparaison est tirée par les cheveux et inexacte dans les faits, comme l'a dit de façon convaincante le P. Nelson Medina, en montrant que John Henry Newman faisait référence à des actions ou des objets qui sont relativement neutres en eux-mêmes, puis transformés dans leur signification afin d'être utilisés dans l'église. Les images conçues pour le Synode amazonien n'ont rien de cette neutralité : célébrer « la vie » sans adorer Dieu, le seul Créateur, est un simple paganisme. Et pour ce qui est des idoles païennes, que ce soit le veau d'or ou l'argent des marchands du Temple de Jérusalem, il faut des mesures décisives et claires… qui peuvent mener jusqu'au Tibre ".
De tout temps, et aussi à travers l'instruction de 1939 sur les rites chinois, l'Église catholique, imitant fidèlement le comportement des Apôtres, s'est pour ainsi dire scrupuleusement engagé dans ses paroles et ses actions, afin d'éviter même l'ombre de l'idolâtrie (idolatria)et de la superstition (supersitio) et n'en laisser aucune apparence (voir aussi saint Thomas d'Aquin, Summa Theol., IIa IIae, q 93, a.1).
Comma l'a fait Gianfranco Amato, avocat italien et avocat pour la vie, on peut résumer ce qui suit concernant le culte de la Pachamama au Vatican (voir son texte dans La Verità du 14 novembre 2019) :
« Représenter Pachamama comme une icône de la culture indigène de l'Amazonie ne signifie pas seulement déformer la réalité, mais aussi nier et humilier la diversité des vraies cultures amazoniennes afin d'imposer une vision théologique indigène pour imposer des objectifs purement idéologiques et politiques.
Le président mexicain Lopéz Obrador a organisé un rituel en l'honneur de la divinité Pachamama pour demander l'autorisation de construire le chemin de fer maya dans le sud-est du Mexique. Hugo Chávez, Nicolas Maduro, Cristina Fernandez de Kirchner, Andres Manuel Lopez Obrador, Evo Morales et Daniel Ortega ne sont que quelques-uns des chefs d'Etat qui ont officiellement participé à des cultes en l'honneur de la Terre Mère. Il s'agit donc non seulement d'un fait purement religieux péruvien, mais aussi d'un fait politique réel qui s'inscrit dans un plan politique précis qui favorise la pensée panthéiste. Elle exclut l'idée chrétienne d'un Dieu transcendant par rapport à la création et place la dignité de la terre au-dessus de la dignité de la personne humaine. Une révolution culturelle copernicienne est tentée : dépasser l'anthropocentrisme de la modernité par un « géocentrisme » écologique. La terre et non l'être humain devrait maintenant être au centre du cosmos, au point que nous entendons déjà des discours dans lesquels la limitation des droits humains en faveur des « droits » de la terre est théorisée.
La Pachamama constitue une tromperie théologique à l'égard des chrétiens. Comme nous l'avons vu, c'est une divinité Inca païenne. Les images qui la représentent d'un point de vue théologique ne sont que des idoles. Le fait qu'un théologien, un prêtre, un évêque, un cardinal, un pape ou un simple croyant ne puisse reconnaître ce fait apparemment incontestable paraît vraiment troublant et complètement incompréhensible. Nous pourrions dire que nous sommes face à une nouvelle éclipse de la conscience, cette fois non pas dans la sphère de la loi de la vie, mais dans la sphère du premier et plus important des commandements : dans celle des droits de Dieu. A cela s'ajoute la circonstance aggravante que non seulement la conscience d'un peuple, mais aussi la conscience de l'Eglise elle-même est obscurcie par ce culte de la Pachamama. A la lumière de la révélation divine contenue dans la Parole de Dieu, dans la Tradition de l'Eglise et dans le Magistère, la question est très simple : fabriquer des idoles en vue de les adorer est un péché très grave. Se prosterner devant les idoles, c'est de l'idolâtrie. Leur offrir des cadeaux et des sacrifices, les porter en triomphe, les mettre sur un trône, les couronner et leur brûler de l'encens est une idolâtrie manifeste et totalement immorale. Les mettre sur des autels ou dans des églises consacrées pour les adorer, c'est une profanation pure et simple.
Le culte de la Pachamama est une tromperie quant à la manière de comprendre la tolérance. La sensibilité des fidèles semble, à juste titre, blessée lorsqu'ils font l'expérience du désolant spectacle de l'adoration des idoles dans les églises catholiques. C'est un fait profondément déplaisant qui exige une condamnation stricte. Il ne s'agit pas d'un manque de respect ou de tolérance envers les personnes qui professent une religion différente. Nous respectons les croyances religieuses de chacun, mais il s'agit ici d'imposer la tolérance envers l'idolâtrie dans les églises catholiques et les lieux profanés par la présence des idoles. C'est inacceptable. Tolérer tout cela signifie être complice de la profanation. C'est pourquoi le geste de « l'idoloclasme » (destruction des idoles), courageusement accompli dans l'église romaine de Santa Maria in Transpontina est l'expression de la foi la plus noble. Il ne mérite pas d'être calomnié, mais au contraire d'être loué.
Le culte de la Pachamama est une tromperie quant à l'inculturation. Le principe de l'inculturation est l'annonce de l'Évangile, qui peut être accueillie par tous les peuples et toutes les cultures. Le dynamisme de l'évangélisation conduit à un processus progressif de transformation de la culture qui accueille la Parole de Dieu, pénètre au cœur de la même culture en conservant ce qui est bien, en la purifiant du mal qu'elle contient, et entraîne une évolution dynamique de la foi qui peut toujours tout renouveler. Si l'on ne prend pas en considération le critère de contraste, on ne peut pas parler d'inculturation. Il est clair que l'évangélisation est un contraste nécessaire par rapport aux graves aspects immoraux des cultures qu'elle cherche à atteindre, et qu'elle exige évidemment le renoncement à l'idolâtrie. »
L'histoire de Pachamama est une radiographie précise de l'état de l'Église en ce moment dramatique de l'histoire, qui rappelle les paroles vraiment prophétiques du professeur Joseph Ratzinger dans son essai Les nouveaux païens et l'Église, initialement publié dans le magazine Hochland (octobre 1958). Les paroles bouleversantes de Joseph Ratzinger qui suivent peuvent certainement être lues comme une sorte de commentaire d'actualité sur les actes de culte de la Pachamama qui ont eu lieu au Vatican et qui ont même été justifiés par le pape François :
« Le paganisme se tient aujourd'hui dans l'Eglise elle-même, et c'est ce qui caractérise l'Eglise d'aujourd'hui, ainsi que le nouveau paganisme : qu'il est un paganisme dans l'Eglise et une Eglise au coeur de laquelle vit le paganisme.
Ces paroles de feu suivantes sorties droit du cœur de Mgr José Luís Azcona, missionnaire amazonien et digne successeur des apôtres, resteront gravées dans l'histoire : « L'un des aspects les plus honteux de ce geste idolâtre [au Vatican] fut l'écrasement de la conscience des ”petits” par ce scandale. »
Compte tenu de l'indéniable gravité objective des actes de culte de la Pachamama au Vatican, avec ses évidents enchevêtrements pseudo-religieux et son approche sentimentalisée en vue de faire la propagande de la religion mondialiste de la « Terre-Mère », peut-on encore parler d'innocuité ou se réfugier derrière l'alibi des « Rites chinois » ? Cela reviendrait à défendre l'indéfendable.
A l'époque de la grande confusion doctrinale et pastorale ecclésiale qui a marqué la crise arienne du IVe siècle, sainte Hilaire de Poitiers, « Athanase de l'Occident », avait la conviction qu'un tel état ne doit pas être acceptée dans le silence ou ni en minimisant la situation. Ces paroles, citées ci-après, sont tout à fait opportunes et applicables au scandale du culte de Pachamama au Vatican : « Désormais, le silence ne s'appellera plus retenue, mais inertie » (Const. 1).
A tous ceux qui, dans l'Eglise d'aujourd'hui, n'ont ni minimisé ni accepté silencieusement les actes du culte de la Pachamama au Vatican, mais ont élevé leur voix d'admonestation, il faut rendre grâce et appréciation, en premier lieu aux laïcs, qui ont été mûs par leur sens surnaturel de la foi et qui par ces actions ont exprimé leur amour et respect véritables envers le pape et leur mère, la Sainte Eglise catholique.
Le 18 novembre 2019+ Athanasius Schneider,
évêque auxiliaire de l'archidiocèse de Sainte Marie d'Astana
SOURCE : https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2019/11/mgr-athanasius-schneider-denonce-de.html
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Re: SONDAGE : Rituel écologique païen dans les Jardins du Vatican sous les yeux du Pape François !
Le Nonce du Mexique Franco Coppola, 62 ans, a écrit sur Facebook.com (10 novembre) une défense mensongère la Cérémonie de Pachamama dans les Jardins du Vatican du 4 octobre.
Coppola veut "faire confiance" et "vraiment faire confiance" à François, et insinue que pendant la cérémonie "aucun dieu ou idole" n'était présent, seulement des "symboles". Néanmoins, il identifia ses "symboles" comme étant la Pachamama, la déesse andine de la fertilité.
Contre les preuves filmées, Coppola proteste qu'il n'y a "jamais eu d'acte d'adoration de la part du Saint-Père ou de ceux qui l'ont accompagné", car "ils se sont assis sur leurs chaises" en regardant simplement le rituel, ce qui est faux.
Par sa présence, François avait l'intention de "faire preuve de proximité" avec les peuples amazoniens [lire : païens], suggère Coppola, comparant les prosternations devant Pachamama à des petits amis agenouillés devant leurs copines, ce qui n'est " pas de l'idolâtrie".
Dan Hitchen du Catholic Herald a écrit sur Twitter.com (8 novembre) une parodie sur les mensonges du Vatican utilisés pour justifier Pachamama,
"C'étaient des statues mariales. Ou plutôt, elles représentaient la fertilité, mais ce n'est pas païen. C'est vrai, mais l'Église s'engage dans le paganisme ! Ce n'est pas comme si quelqu'un se prosternait devant eux. Ils l'ont fait, mais seulement en signe de respect. Je ne sais pas pourquoi vous continuez à vous plaindre de l'ambiguïté."
SOURCE : https://gloria.tv/post/zDtHatcuXXb111JMvys2SCMXH
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