ANTONIO SOCCI : "Je prie pour que Bergoglio renonce à détruire l'église" !
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ANTONIO SOCCI : "Je prie pour que Bergoglio renonce à détruire l'église" !

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Message  Admin Mer 1 Jan 2020 - 12:17

ANTONIO SOCCI : "JE PRIE POUR QUE BERGOGLIO RENONCE À DÉTRUIRE L'ÉGLISE" !


ANTONIO SOCCI : "Je prie pour que Bergoglio renonce à détruire l'église" ! Sans-352


« Je prie pour que Bergoglio renonce à détruire l’Eglise »
8 Déc 2019

A l’occasion de la sortie de son dernier livre dont nous avons avons parlé ces jours-ci, « Il dio mercato, la Chiesa e l’anticristo » (cf. Benoît XVI, le dernier rempart contre l’Antéchrist), Antonio Socci a accordé une longue interview à La Verità, dans laquelle il dresse un tableau saisissant des temps « apocalyptiques » que nous vivons, et surtout du pontificat de François. L’article m’a été envoyé par une lectrice abonnée au journal. Ma traduction (à ne pas manquer!!!)

Je prie pour que Bergoglio change d’avis et renonce à détruire l’Eglise
La Verità
Maurizio Caverzan
8 décembre 2019

Le journaliste et écrivain Antonio Socci: « C’est un Pape conformiste, et ainsi, il aide la pensée unique anti-chrétienne. J’espère découvrir que j’ai tort et je me bats contre moi-même, mais jusqu’à présent… C’est avec douleur que j’écris sur cette situation »

QUESTION- Antonio Socci fait tous les jours le trajet de Sienne à Pérouse pour aller à l’école de journalisme de la Rai qu’il dirige depuis 2004. Trois heures par jour en voiture: comment les utilises-tu et où trouves-tu le temps de lire les livres que tu cites dans Il dio Mercato, la Chiesa e l’Anticristo?

RÉPONSE - « Dans la voiture, j’écoute la radio, je téléphone, je prie… Quant aux livres, c’est un sujet dont je parle depuis longtemps ».

Depuis son enfance, peut-on dire. Depuis l’époque de Sabato, l’hebdomadaire où nous avons travaillé tous les deux et sur lequel, dans l’introduction, il reconnaît l’intuition lumineuse sur cette époque controversée, sur la base de deux piliers de la littérature du XXe siècle: L’histoire de l’Antéchrist du penseur russe Vladimir Solovev et le roman dystopien Le Maître du monde par Robert Benson. C’était en 1988, le mur de Berlin n’était pas encore tombé et les années suivantes, le dialogue entre l’empereur et le starets Jean fut proposé à nouveau par le Cardinal Giacomo Biffi lors des exercices spirituels à la Curie romaine en 2007 et, à plusieurs occasions, par Benoît XVI. Le passage le plus significatif se trouve dans le face à face entre l’empereur, un « messie du politiquement correct », auquel se soumettent les représentants des religions, et le mystique, témoin des derniers chrétiens, qui lui résiste. Auquel l’empereur demande, irrité, « Que puis-je faire de plus pour vous? Hommes étranges! Que voulez-vous de moi? Je ne le sais pas. Alors dites-moi, vous ou les chrétiens, abandonnés par la majorité de vos frères et dirigeants, condamnés par le sentiment populaire, qu’avez-vous de plus cher dans le christianisme? »

La réponse, humble mais fière, des starets est un manifeste: « Grand souverain, ce que nous avons de plus cher dans le christianisme, c’est le Christ lui-même, lui et tout ce qui vient de lui, puisque nous savons qu’en lui habite corporellement la plénitude de la divinité ».

Depuis quelques années, Socci critique vigoureusement le Magistère du Pape François, c’est pourquoi en abordant la lecture d’un essai qui a l’Antéchrist dans son titre, il y a de quoi avoir peur. Au contraire, il s’achève par l’invitation à recueillir l’exhortation du Pape François à prier pour lui.

Q- Comment est-ce possible?

R- « Parce qu’il me le demande. Et je prie pour qu’il se convertisse et se mette sur le chemin de Jean-Paul II et Benoît XVI. Jusqu’à présent, il semble presque vouloir s’identifier à des figures bibliques inquiétantes. J’aimerais que nous le sauvions de cette dérive ».

Q- C’est une conclusion surprenante parce que tu es considéré comme l’un des antagonistes les plus intransigeants du Magistère du Pape François. Quelque chose t’a retenu ?

R- « Non. J’ai écrit librement ce que je pense. Mais je ne me reconnais pas dans le rôle d’antagoniste. Je ne suis qu’un journaliste. Tous les jours depuis six ans, j’espère découvrir que j’ai tort. Je me bats contre moi-même, mais malheureusement, Bergoglio ne faisait que confirmer mes craintes. En tant que pauvre chrétien, qui souffre, je n’écris sur cette situation que par devoir de conscience. Cela me coûte. Je préférerais continuer à publier des textes sur l’apologétique comme je le fais depuis trente ans ».

Q- Jusqu’à un certain point, il semblait que ta réflexion avait conduit à identifier François à l’Antéchrist.

R- « Dans son livre L’Antéchrist Joseph Roth écrit que l’Antéchrist est en chacun de nous. Ce qui s’oppose au Christ est aussi en nous. Et puis, dans l’Apocalypse, il est prophétisé que cette opposition au Rédempteur deviendra un jour un système, une puissance politique et économique planétaire. Le Catéchisme de l’Église catholique nous explique qu’il aura une idéologie anti-chrétienne, mais déguisée en humanisme. Ce sera une « imposture religieuse ». C’est une philanthropie qui utilise des paroles chrétiennes, mais qui, en réalité, expulse le Christ et met l’homme à la place de Dieu. Celui qui a autorité dans l’Église doit faire comme Benoît XVI et Jean-Paul II, il ne peut pas défendre cette imposture ».

Q- Au-delà de l’affirmation, qu’on peut partager, tu crains que cela arrive?

R- « Oui.

Q- L’Antichrist est-il un système économique, une nouvelle religion séduisante basée sur des philosophies faciles à partager ou un « inquisiteur souriant » comme dit Vittorio Messori?

R- « Il y a tous ces composants. Soloveiv le dépeint comme « un messie du politiquement correct », voire comme un européiste et un écologiste. Même Massimo Cacciari [taper son nom dans le moteur de recherche, ndt] considère la modernité comme une puissance fortement anti-chrétienne. Ce qui laisse songeur, c’est la divinisation du marché. Les pages de Walter Benjamin sur « Le capitalisme comme religion » sont formidables. Dans le livre, je rapporte les réflexions de Jacques Attali, Giulio Sapelli et Giulio Tremonti, pas trois dangereux subversifs, qui décrivent la puissance écrasante du « mercatisme » qui dévore la démocratie, les peuples et les Etats. S’y associe en outre la puissance prophétique de la technologie qui menace maintenant l’être humain dans son essence. De plus, pour la première fois dans l’histoire, l’homme a le pouvoir, par simple pression sur un bouton, de détruire le monde et l’humanité. Si ce n’est pas apocalyptique, ça… ».

Q- La narration des médias qui mettent l’accent sur les interventions fonctionnelle aux philosophies humanitaires, mondialistes, écologistes, fait-elle du tort à François ?

R- « Non. Il a été comme ça jusqu’à présent ».

Q- Par exemple, ils soulignent les déclarations en faveur de l’accueil des migrants selon une clé anti-Salvini.

R- « Mais le pape Bergoglio a fait de ses batailles politiques la connotation de son pontificat. Comme l’a dit Marcello Pera, en lui on ne ressent pas l’Evangile, mais seulement la politique. Du reste, si les médias grand public qui ont attaqué ses prédécesseurs l’applaudissent maintenant sans critique, cela veut sans doute dire quelque chose

Q- Mais tu lui avais accordé une ligne de crédit au début.

R- « Bien sûr. C’était normal. Mais il m’a fallu six mois pour changer d’avis. Ce fut d’abord la mise sous contrôle des Franciscains de l’Immaculée, une famille religieuse admirable, pleine de vocations, qui vivait d’ascèse, de prière et de pauvreté. N’étant pas catholique progressiste, on la regardait d’un mauvais œil. Peu de temps après, en octobre 2013, le premier entretien avec Eugenio Scalfari est arrivé et à ce moment-là, il m’est apparu clairement qui était Bergoglio ».

Q- Scalfari a l’habitude de ne pas prendre de notes ou d’enregistreur, à tel point que le contenu de ces conversations a été démenti.

R- « Ce n’étaient pas de vrais démentis, en fait ces conversations ont été republiées par la Libreria Editrice Vativana, alors…. Si un journaliste attribue une énormité à un pape et que celui-ci ne la dément pas catégoriquement, fait republier ces interviews et se fait même à nouveau interviewer par lui, que penser?

Q- Il y a quelques jours, en recevant les membres du centre d’études Rosario Livatino, François a fermement condamné le recours à l’euthanasie.

R- « De temps en temps, il s’aligne sur le magistère de ses prédécesseurs. Mais cela arrive très sporadiquement et ses partisans et les médias le félicitent précisément pour sa discontinuité. En fait, il plaît à Repubblica plus qu’aux catholiques. Ils sont aussi désorientés par l’énormité pastorale qui caractérise son pontificat. D’ailleurs, les faits ont montré que céder à la mentalité mondaine non seulement n’apporte pas la foi à ceux qui sont loin, mais aussi éloigne les fidèles d’elle. Comme cela était déjà arrivé en Amérique latine où s’est produit l’effondrement colossal du catholicisme qui a vu des millions et des millions de fidèles fuir l’Église. Malheureusement, en 2013, un progressiste catholique argentin a été placé à la tête de l’Église universelle, de sorte que maintenant cet échec se répète à l’échelle planétaire ».

Q- Ces jours-ci, dans une lettre apostolique, il parle de la crèche comme d’un « signe admirable », invitant les gens à la faire à la maison et sur leur lieu de travail.

R- « Il l’a fait pour essayer de reconstruire son image après la figure catastrophique du Synode amazonien. Et après avoir loué la crèche, il a aussi précisé de ne pas l’exploiter. En fin de compte, c’est donc aussi une initiative contre Salvini. Même les quelques rares choses qu’il dit sont minées par une logique politique ».

Q- Nous disions que ton livre est un livre apocalyptique. Sommes-nous déjà au temps de l’apostasie qui précède le jugement final ?

R- « Je cite le grand théologien du Concile, Jean Danielou, qui explique que le temps chrétien est par définition un temps apocalyptique. Avec la mort et la résurrection du Christ, tout est déjà accompli, rien de substantiellement nouveau ne peut arriver. Le temps est donné pour choisir : soit avec le Christ, soit contre. Ivan Illich confirme aussi qu’après l’ère chrétienne, il n’y a pas d’ère post-chrétienne, mais seulement un temps apocalyptique, celui de l’Antéchrist. Au contraire, au congrès de Florence en 2015, le Pape François a dit qu’ « aujourd’hui, nous ne vivons pas tant une époque de changement qu’un changement d’époque ». Comme si de nouvelles époques pouvaient exister et que l’Église devait s’y adapter. Mais l’Église ne doit pas s’adapter aux temps, elle doit sauver tous les temps ».

Q- Quel est ce temps apocalyptique, cette « grande apostasie » ?

R- « L’Église revit l’histoire de Jésus en tout. Cette fois, c’est son Vendredi Saint. Le moment où Jésus a été trahi et abandonné. Les papes du XXe siècle ont ressenti le drame de cette heure, également documenté par les événements de ce début de siècle. Les paroles de Paul VI, Jean Paul II et Benoît XVI que je cite dans le livre sont impressionnantes ».

Q- L’harmonie présumée entre Benoît XVI et le Pape François est-elle précisément très présumée?

R- « Bergoglio est aux antipodes de tous ses prédécesseurs. Laisse-moi donner un seul exemple. Interrogé par la presse sur l’urgence pour l’humanité contemporaine, Bergoglio a parlé du déclin de la biodiversité. Honnêtement, le président du WWF peut donner une telle réponse. N’importe quel pape de notre temps aurait indiqué l’effacement de Dieu comme la tragédie de cette époque. Dans ses dernières interventions, Benoît XVI l’a répété ».

Q- Pourquoi, selon toi, le pape François n’a-t-il jamais répondu au document de l’ex-nonce apostolique aux États-Unis Carlo Maria Viganò sur le fait qu’il était au courant des pratiques de l’ancien cardinal Théodore McCarrick ?

R- « Je pense que Monseigneur Viganò a fait échec au roi et que le roi a décidé de jeter l’échiquier en l’air.

Flèche

Q- N’y a-t-il pas le danger d’exploiter Benoît XVI dans une clé anticommuniste et anti-Bergoglio ?

R- « Je vois plutôt un autre danger, c’est que la partie du monde catholique qui a grandi dans la foi avec Jean-Paul II et Benoît XVI, aujourd’hui, en réaction, risque de se laisser séduire par les sirènes lefebvristes. Ce n’est pas un hasard si ces cercles hyper-traditionalistes sont beaucoup plus critiques du Magistère de Karol Wojtyla et Joseph Ratzinger que de Jorge Mario Bergoglio ».

Q- L’insistance sur les racines chrétiennes de l’Europe a été la bataille des athées dévots, pourquoi est-elle si importante ?

R- « Non, c’était la bataille de Jean-Paul II et de Benoît XVI. L’élimination de l’appel aux racines chrétiennes est la preuve que la nouvelle Union européenne, laïque et technocratique, a voulu couper ses fondations. Cette haine du christianisme est un chapitre de la haine de soi de l’Occident au nom du multiculturalisme. Mais si vous ne savez plus quelle est votre identité, même la fameuse intégration n’est pas possible. L’Europe de Maastricht ne voulait plus être ancrée dans son histoire, dans le christianisme et ce que cela signifiait, par exemple pour des raisons éthiques ».

Q- L’Église actuelle n’est-elle pas consciente de tout cela ?

R- « Bergoglio s’aligne sur l’idéologie dominante. Il dit que l’Europe doit s’identifier à ‘l’accueil’ et qu’il ne faut pas être « identitaire ». C’est du nihilisme ».

Q- Peut-être considère-t-il les questions sociales plus importantes que les questions éthiques ?

R- « Chaque année, environ 50 millions d’avortements sont pratiqués dans le monde. Deux géants comme Jean-Paul II et Mère Teresa, considéraient cela comme la plus grande tragédie de notre temps. Ce n’est pas seulement une tragédie éthique, c’est aussi une tragédie sociale: ces enfants sont les derniers des derniers, a dit Mère Teresa. La mondialisation a deux visages complémentaires et les deux sont désastreux: la déréglementation financière et la déréglementation anthropologique. L’Église doit les combattre tous les deux ».

Q- L’insistance sur le katechon, sur celui qui retient, ne risque-t-elle pas de faire de l’Église une entité anti-moderne ?

R- « La modernité est une catégorie idéologique, elle suppose que l’histoire tourne par nature vers le Bien: il suffit de voir ce qu’était le XXe siècle pour comprendre que c’est une fausse idée ».

Q- Mais en critiquant le pape Bergoglio, ne risque-t-on pas de sous-estimer les besoins des peuples les plus pauvres et les mouvements migratoires qui en découlent, ou la situation climatique de la planète ?

R- « C’est exactement le contraire. C’est le Pape qui sous-estime la complexité de ces urgences, en utilisant des slogans des années 70 sur les riches et les pauvres. Nous nous trouvons dans un scénario différent où le dieu marché domine, prétendant être la loi en soi, et depuis les années 90, il a imposé une mondialisation qui trouve son seul obstacle dans les États et dans la souveraineté des peuples. C’est pourquoi attaquer les souverainistes et exalter les mondialistes et l’UE comme le fait Bergoglio convient parfaitement aux pouvoirs forts. Également sur l’émigration. Comment ne pas voir que les mouvements migratoires répondent au besoin du marché d’avoir une main d’œuvre à bas coût et sans garanties sociales? Ce n’est pas un hasard si les évêques africains et le cardinal Robert Sarah affirment haut et fort qu’encourager les flux migratoires entraînera la mort de l’Afrique. Au contraire, Bergoglio a depuis des années fait de la migration son étendard ».

Q- Aujourd’hui, ce qui compte, c’est la lutte contre le changement climatique.

R- « Bergoglio a adopté comme dogme de foi incontestable ce réchauffement de la planète pour causes humaines que la science elle-même considère comme une hypothèse sur laquelle, de surcroît, il existe des opinions divergentes. Mais, même si c’était une idée bien fondée, Jésus est venu pour sauver les âmes, pas la planète. Au contraire, il a dit que « le ciel et la terre passeront ». C’est seulement Lui qui ne passera pas. L’Église devrait annoncer de nouveaux cieux et une nouvelle terre et ne pas se transformer en garde forestier de la planète. Saint Thomas et Saint Augustin disent qu’aux yeux de Dieu le salut d’une seule âme vaut plus que tout l’univers créé ».

SOURCE :

http://www.benoit-et-moi.fr/2020/2019/12/08/je-prie-pour-que-bergoglio-renonce-a-detruire-leglise/


Dernière édition par Admin le Mer 1 Jan 2020 - 14:35, édité 1 fois

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Message  Admin Mer 1 Jan 2020 - 12:33

@ Tous :

Dans l'extrait suivant, Antonio Socci nous avertit des dangers de se tourner vers les Lefèvristes comme moi-même je l'ai fait à de nombreuses reprises sur VSJ :

Q- N’y a-t-il pas le danger d’exploiter Benoît XVI dans une clé anticommuniste et anti-Bergoglio ?

R- « Je vois plutôt un autre danger, c’est que la partie du monde catholique qui a grandi dans la foi avec Jean-Paul II et Benoît XVI, aujourd’hui, en réaction, risque de se laisser séduire par les sirènes lefèbvristes. Ce n’est pas un hasard si ces cercles hyper-traditionalistes sont beaucoup plus critiques du Magistère de Karol Wojtyla et Joseph Ratzinger que de Jorge Mario Bergoglio ».

Flèche

Cette affirmation me console car elle confirme nettement mes appréhensions vis-à-vis de la Secte à Lefèbvre, laquelle Secte n'a rien d'autre de mieux à faire que de TENTER D'USURPER LES CLEFS DE SAINT PIERRE, QUI APPARTIENNENT TOUJOURS À ROME (AU VATICAN), ET DE S'APPROPRIER DE L'AUTORITÉ DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE !

Flèche droite  Sachons que la Secte, quand elle a quitté l'Église Catholique, A PERDU TOUTE LÉGITIMITÉ !

Flèche

C'est pourquoi, ET JE LE RÉPÈTE, il ne faut surtout pas quitter l'Église Catholique pour aller rejoindre la Mouvance lefèbvriste, MAIS SE TOURNER VERS LES SAINTS CARDINAUX QUI SONT RESTÉS FIDÈLES À L'ÉGLISE CATHOLIQUE EN REFUSANT DE LA QUITTER !

Le Combat se fait de l'intérieur, et non pas de l'extérieur !

Flèche

Quitter l'Église Catholique pour rejoindre la Secte de la FSSPX, ou d'autres Sectes, c'est assurément prendre un ticket, ALLER SEULEMENT, pour l'Enfer !

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Message  Admin Mer 1 Jan 2020 - 12:41

@ Tous-Bis :

Quand je parle de se tourner vers les Saints Cardinaux, je fais référence aux Cardinaux qui ont manifesté publiquement leur désaccord avec certaines paroles, certains gestes, certaines actions du Pape François.

Ici, je pense principalement aux Cardinaux suivants :

1- Cardinal Raymond Burke;

2- Cardinal Athanase Schneider;

3- Cardinal Müller;

4- Cardinal Brandmüller;

5- Cardinal Vigano.

J'ai laissé de côté le Cardinal Ouellet car JAMAIS il n'a manifesté une quelconque opposition au Pape François.

De même que le Cardinal Sarah qui, manifestement, dénonce des choses pour ensuite reculer.

Sans doute y a-t-il d'autres Cardinaux qu'il faudrait rajouter dans cette liste, MAIS ILS NE SE MANIFESTENT PAS PUBLIQUEMENT ET ON NE LES ENTEND PAS !

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Message  ParAmourPourJésus Mer 1 Jan 2020 - 14:19

@ Administrateur

Entièrement d'accord avec vous !
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Message  métys Jeu 2 Jan 2020 - 5:44

@ Admin

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Message  Admin Jeu 2 Jan 2020 - 11:00


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Message  Admin Jeu 2 Jan 2020 - 11:06

Métys-Bis :

Je crois que Schönborn fait partie de la Mafia de Saint-Gall, ou, du moins, il a de solides accointances avec certains membres de ce groupe mafieux :

- http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/t30598-cardinal-schonborn-l-ordination-sacramentelle-des-femmes-en-cours-de-discussion?highlight=gall#774572

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Message  Admin Jeu 2 Jan 2020 - 15:37

BENOÎT XVI, LE DERNIER REMPART CONTRE L'ANTÉCHRIST !


ANTONIO SOCCI : "Je prie pour que Bergoglio renonce à détruire l'église" ! Extrai10


Benoît XVI, le dernier rempart contre l’Antéchrist
5 Déc 2019 | Benoît XVI

Au-delà des Alpes, le Pape émérite est l’objet d’une notable et constante activité éditoriale, sans parler des multiples Symposium organisés autour de sa pensée. Dommage que cette notoriété ne traverse pas les Alpes. Cette fois, c’est le dernier livre d’Antonio Socci, qui se réclame de son enseignement, dénonçant les dérives de la finance et renvoyant dos à dos le libéralisme et le marxisme (*) La Verità propose en avant-première un chapitre, intitulé « Un no global di nome Ratzinger »

Merci à Anna, qui m’a transmis l’article, réservé aux abonnés.

(*) Que vont dire les « papistes » enragés qui gravitent autour du Pape régnant, et qui voient dans les « ennemis » de François d’irréductibles « ultra »-libéraux » financés par les gros intérêts internationaux? et les « tradis » qui accusent Benoît XVI d’être un suppôt du mondialisme et un agent zélé du gouvernement mondial?

Pensée forte
L’Antéchrist existe et c’est un mondialiste.
Le dernier rempart est le génie de Ratzinger.

Antonio Socci/La Verità
3 décembre 2019
Ma traduction

ANTONIO SOCCI : "Je prie pour que Bergoglio renonce à détruire l'église" ! Il-dio11

Le nouveau livre d’Antonio Socci est un voyage – sous la conduite de Benoît XVI – entre Carl Schmitt, les papes et les mystiques sur les traces de l’ennemi. Une entité non seulement métaphysique mais aussi politique qui a quelque chose à voir avec l’économie et avec l’Église.
Nous publions le chapitre « Un no global di nome Ratzinger » du nouveau livre d’Antonio Socci, « Il dio Mercato, la Chiesa e l’Anticristo » (Rizzoli), en librairie dès aujourd’hui. Le texte enquête sur le pouvoir de l’Antichrist : pas (seulement) un dilemme théologique, mais une « figure qui exerce le pouvoir politique sur toute l’humanité comme souverain mondial ». Quelle clé de lecture sur l’époque contemporaine offrent les textes, les visions et les doctrines de l’Antéchrist? Le livre tente un début de réponse fascinant qui ne néglige pas l’économie, les organes supranationaux, les derniers pontificats. Et il identifie dans Benoît XVI le dernier grand katéchon, le pouvoir qui retarde l’avènement de l’Antichrist, approfondissant aussi la question de sa démission.

Le passage proposé illustre, dans le Magistère de Ratzinger, le lien philosophique paradoxal mais profond entre libéralisme et marxisme, uni par le déterminisme, envers l’homme et l’histoire. Une philosophie également contraire à la pensée chrétienne.

Habituellement, on impute à Adam Smith l’idée fondamentale de la théorie économique contemporaine: la main dite « invisible » du marché. Mais en réalité, sa doctrine était beaucoup plus complexe et celle qui domine aujourd’hui le mainstream, ou plutôt l’interprétation ultra-libérale que les modernes lui ont donnée.

Mais tout d’abord, je voudrais souligner que le concept même qui est contenu dans l’expression « main invisible » du marché est une sécularisation mondaine évidente de la notion catholique de Providence. C’est Adam Smith lui-même qui suggère cette superposition, mais en réalité il s’agit d’une déformation gnostique du concept de Providence.

Dans la pratique, cette théorie, que traditionnellement nous faisons remonter à Smith, célèbre – pour ainsi dire – le « miracle du marché ». Le prétendu « miracle » consiste en ceci: l’opérateur économique qui, dans un marché de libre concurrence, agit exclusivement à la recherche de ses propres intérêts, produit automatiquement l’efficacité, l’ordre, le développement et la prospérité de tous. Par conséquent, la conséquence involontaire nécessaire de l’égoïsme individuel est le bien commun, la prospérité générale.

Pour cette raison, dit cette doctrine, il est nécessaire d’effacer les liens et les limites à la libre initiative et au libre-échange. L’Etat doit se limiter au minimum, dans quelques secteurs (comme la défense), afin de ne pas entraver le développement du potentiel du marché. Cette centralité absolue du marché ne signifie évidemment pas – expliquent les libéraux – l’absence de règles, ni de cadre juridique. Cela ne signifie pas non plus, en ce qui concerne Smith, [l’absence] de la morale.

Le problème, cependant, n’est pas de voir à quel point ceci est vrai, mais si l’hypothèse fondamentale est juste et vraie. La crise de 2007-2008 montre que la recherche exclusive d’intérêts égoïstes, laissée aussi libre que possible de se déployer dans toute sa puissance, a conduit le monde au bord du gouffre. Le déni de l’histoire est donc tout aussi retentissant que celui dont souffre la théorie marxiste.

La raison en est – précisément – ce que le Cardinal Ratzinger avait déjà identifié en 1985. Le Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la
Foi de l’époque expliquait : « Pour autant que cette conception se fonde sur la liberté du sujet économique individuel et puisse donc en tant que tel être considérée comme libéraliste, elle est néanmoins déterministe dans son essence. Elle présuppose que le libre jeu des forces du marché, avec ces hommes, et de cette manière, pousse dans une seule direction, c’est-à-dire vers l’équilibre entre l’offre et la demande, vers l’efficacité économique et le progrès. Mais dans ce déterminisme – dans lequel l’homme, malgré son apparente liberté, opère en réalité exclusivement selon les règles strictes du marché – est aussi inhérente une autre hypothèse peut-être encore plus déconcertante: que les lois naturelles du marché – si je puis m’exprimer ainsi – sont essentiellement bonnes et conduisent nécessairement au bien, sans dépendre de la morale de l’individu ».

Il s’agit donc d’un « déterminisme » spéculairement [/comme dans un jeu de miroirs] identique à celui de la doctrine marxiste. En effet, notait Ratzinger, par rapport au libre marché capitaliste « l’économie centralisée semble être l’alternative morale, vers laquelle on se tourne avec une confiance presque religieuse et sa forme devient même contenu de la religion. Néanmoins, malgré ce contraste fondamental sur les mécanismes économiques concrets, il y a des points communs dans les principes philosophiques de base. Le premier est le fait que le marxisme est aussi un déterminisme et qu’il promet une libération totale, fruit du déterminisme. (…) Par conséquent, compte tenu de ses fondements, c’est une erreur de penser que le système centralisé est un système moral opposé au système mécaniste de l’économie de marché. Cela devient clair si l’on considère, par exemple, que Lénine adhérait à la thèse de Werner Sombart, selon laquelle dans le marxisme il n’y aurait absolument aucune éthique, mais seulement des normes économiques. Indubitablement, ici, le déterminisme est beaucoup plus radical et profond que dans le libéralisme ».

Nous savons bien quel démenti tragique l’histoire a donné (aussi) à cette idéologie qui se prétendait scientifique. Dans les deux cas, nous nous trouvons dans un horizon idéologique gnostique qui, de façon déterministe, fait dériver le « salut » de l’humanité, c’est-à-dire le bien, l’ordre et le bonheur, d’un mécanisme historique qui élude le besoin d’un choix moral de l’homme et le mystère de l’impondérable, ce qui dépasse les capacités humaines.

Dans les deux cas, il s’agit de constructions idéologiques qui, dérivant du protestantisme, tentent d’échapper à l’aventure dramatique de la liberté humaine et de la grâce (comme c’est le cas dans le catholicisme), en se réfugiant dans un « système » qui garantit le salut, le bonheur, le bien.

Malheureusement, cependant, 1989 pour certains et 2007-2008 pour d’autres représentent les démentis de l’histoire. Comme pape, Benoît XVI, une fois la crise de 2007-2008 éclatée, reviendra sur les thèmes de l’économie, de la finance et de la mondialisation avec le message pour la Journée mondiale de la Paix du 1er janvier 2009: c’est un texte complexe et profond, où le pontife soulignait tous les drames de l’humanité, de celui de la pauvreté et de la guerre à celui des politiques démographiques et sur la vie. C’est pourquoi Benoît XVI fournissait le point d’appui sûr pour redémarrer après les décombres de 1989 et 2007, en fondant les politiques économiques et sociales sur les bons principes: la « loi naturelle ».

Le pape écrivait en effet : « Il faut un ‘code éthique commun’, dont les normes ne sont pas seulement de caractère conventionnel, mais enracinées dans la loi naturelle inscrite par le Créateur dans la conscience de chaque être humain. Chacun de nous, au plus profond de sa conscience, ne ressent-il pas l’appel à apporter sa contribution au bien commun et à la paix sociale? »

Benoît XVI rappelait que son prédécesseur, Jean-Paul II, avait déjà déclaré que la mondialisation « se présente avec une caractéristique marquée d’ambivalence » et doit donc « être gouvernée avec une prudente sagesse. Le fait de prendre en compte en premier lieu les besoins des pauvres de la Terre fait partie de cette forme de sagesse ».

La nécessité de gouverner la mondialisation découle du fait que « la mondialisation seule est incapable de construire la paix et, dans bien des cas, crée des divisions et des conflits ». Par conséquent, aucune « main invisible du marché » ne peut être le salut.

Dans les mêmes semaines de 2008, Giulio Tremonti fit référence à une vieille conférence du Cardinal Ratzinger, en 1985 [ma traduction complète ici: benoit-et-moi.fr/2008]. Il la rappela en prenant la parole lors de l’inauguration de l’année académique de l’Université catholique de Milan, en novembre 2008. La réflexion de Tremonti, alors ministre de l’Économie, sur la crise qui avait explosé aux États-Unis et rebondi en Europe, s’est ensuite développée dans certains de ses livres, mettant sous les feux des projecteurs et sur le banc des accusés « le pouvoir excessif de la finance et surtout celui de la spéculation financière ». Ce « nouveau type de capitalisme » qui dévore l’économie réelle et – au lieu de biens – produit des bulles spéculatives dévastatrices, a été défini par Tremonti même comme « fascisme financier ». C’est « la dictature de l’argent d’aujourd’hui » qui maintient les États à sa merci.

Mais – avec la crise de 2007-2008 – la cause de la catastrophe a-t-elle été comprise? Bien au contraire. L’ex-ministre de l’Économie expliquait qu’en affrontant cette crise, l’Occident a commis « trois erreurs tragiques: il n’a pas compris la différence entre un cycle économique normal et une crise historique; il a payé avec l’argent public la facture des jeux privés; il a échangé de fausses règles avec de vraies règles. Bref, il a accepté passivement la victoire de la finance sur la politique ». De plus, le transfert des « pertes privées » vers les « dettes publiques » n’a même pas conduit à des corrections dans les règles: « Aucune nouvelle règle réelle de financement n’est vraiment entrée en vigueur » et « l’élite financière, qui a gardé les leviers du pouvoir et pour l’instant évité la faillite, administre ses leçons morales et ses échecs aux jeunes, aux peuples, aux gouvernements. Pour finir, n’hésitant pas à recourir à la prise de pouvoir directe ».

Cela dit, la mondialisation vécue dans l’Union européenne est encore plus pénalisante. Tremonti explique: « A la différence des États-Unis d’Amérique et de la Chine, l’Europe est dans la mondialisation, non pas comme sujet actif, mais plutôt comme objet presque totalement passif. Cela réduit fortement ,jusqu’à le comprimer, le degré de souveraineté démocratique. L’Union européenne, avec une population supérieure à celle des Etats-Unis (508 millions contre 321 millions) et un produit intérieur brut en valeur absolue encore supérieur à celui des Etats-Unis (environ 19 milliardsde dollars contre 18 milliards de dollars), a au contraire privilégié le marché mondial et a ainsi sacrifié et soumis les démocraties et les Etats ».

La voie que Tremonti recommande est la même que celle que nous avons modestement suggérée dans ces pages : « Le temps est venu de remettre l’Etat au dessus de la finance et la finance sous l’Etat. Faire cela, en fin de compte, signifie clore un cycle de vingt ans de prévalence de l’intérêt particulier sur l’intérêt général ». Benoît XVI lui-même, dans le message du 1er janvier 2009 que nous avons cité, suggère et prospecte cette voie: « L’histoire du développement économique au XXe siècle nous enseigne que les bonnes politiques de développement sont de la responsabilité des personnes et de la création de synergies positives entre les marchés, la société civile et les États ».
C’est en fait l’histoire des ‘trente glorieuses’ de l’Italie (et de l’Europe), celle qui va de 1945 à 1975 et qui a représenté pour notre pays (comme pour toute l’Europe occidentale) la période la plus extraordinaire de prospérité, de démocratie et de liberté.

SOURCE : http://www.benoit-et-moi.fr/2020/2019/12/05/3005/

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ANTONIO SOCCI : "Je prie pour que Bergoglio renonce à détruire l'église" ! Empty Re: ANTONIO SOCCI : "Je prie pour que Bergoglio renonce à détruire l'église" !

Message  Admin Jeu 2 Jan 2020 - 15:47

LE DIEU DU MARCHÉ, L'ÉGLISE ET L'ANTÉCHRIST - UNE RECENSION DE MARCO TOSATTI !


ANTONIO SOCCI : "Je prie pour que Bergoglio renonce à détruire l'église" ! Il-dio12


Marco Tosatti

Cher Stilumcuriali, c'est avec grand plaisir que nous vous présentons aujourd'hui les derniers travaux d'Antonio Socci, destinés à sortir en ces jours pour les types Rizzoli, "Le Dieu du Marché, l'Église et l'Antéchrist". Un point long et très riche et plus que provocateur - du moins pour ceux qui se disent chrétiens et catholiques - sur l'époque où nous vivons.

Ce n'est pas un mystère pour quiconque suit avec une certaine attention l'univers de la foi qui, dans beaucoup, fait croître la sensation de vivre à une époque apocalyptique. En particulier pour ce qui se passe dans l'Église, et cela s'est produit pendant le Synode amazonien. Vous savez que Stilum Curiae interagit beaucoup sur les réseaux sociaux: Facebook, Twitter, Telegram, LinkedIn, Vk.com. Et au cours des dernières semaines pendant le Synode, la saga de Pachamama (que certains prélats, nous ne saurions pas si plus à la mode, superficielle ou stupide ont renouvelée sous d'autres formes également en Italie ...) et du Priape ​​qui a disparu après la fugitive apparition devant le Pontife dans le Jardins du Vatican, lors des prosternations de frères et de laïcs vers personne ne sait quel rite, les réactions désorientées des simples fidèles étaient nombreuses. Ce qui m'a le plus frappé, c'est le témoignage d'une femme qui, sur Facebook, si je me souviens bien, a écrit:

«Quand ma mère, âgée, a vu à la télévision les images de la cérémonie dans les jardins du Vatican, elle a mis pleurer. " Je pense que quelqu'un devra répondre de ces larmes de dette locale et en temps voulu.

Oui, le point peut être le suivant: quand sera la dette maintenant? Nous approchons-nous du dévoilement de l'Antéchrist, et donc au moment de l'Apocalypse? Antonio Socci nous amène à une lecture des dernières années avec son style fluide et impétueux, qui ne laisse pas le lecteur se reposer, comme un torrent en crue et le traîne vers la bouche.

En lisant le livre, nous avons pris toute une série de notes, peut-être trop, que nous vous proposons, comme une petite carte de lecture. À partir de l'affirmation, si évidente pour ceux qui veulent juger les gens et les choses avec équanimité, selon laquelle l'Église s'est rendue.

Voici quelques paragraphes, qui sont une photographie lucide et impitoyable de la situation:

«Depuis 2013, après le départ de Benoît XVI, l'Église s'est également rendue. Non seulement elle a abandonné et abandonné les thèmes du magistère de Jean-Paul II et de Benoît XVI, mais il semble qu'elle soit même allée de l'autre côté: elle a adopté le "programme Obama" (qui est le programme de l'UE et le Agenda des Nations Unies) s'inscrivant ainsi dans le Nouvel Ordre.

Le père Antonio Spadaro, le bras droit de Bergoglio, l'a avoué avec franchise en août 2016: «Le pape a accordé une interview trois jours après avoir reçu le prix Charlemagne, [...] et a exprimé son malaise à l'idée de parler de valeurs non négociables. , avant tout des racines chrétiennes de l'Europe ».

SOURCE : https://www.marcotosatti.com/2019/12/03/il-dio-mercato-la-chiesa-e-lanticristo-di-antonio-socci-da-leggere/

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