MONDIALISATION : "Les États-Unis sont devenus un problème plus important avec Trump", J. Sachs !

LORS D'UNE CONFÉRENCE AU VATICAN, un mondialiste attaque les États-Unis, et qualifie Trump de "dangereux" pour le "Grand Consensus" Mondial.

Par Paul Smeaton

« Les États-Unis sont un problème. C'est devenu un problème beaucoup plus important avec Donald Trump », a déclaré Jeffrey SACHS lors de la conférence.

6 fév. 2020 (LifeSiteNews) — Le mondialiste pro-avortement et citoyen américain Jeffrey SACHS a attaqué les États-Unis lors d'une conférence organisée par le Vatican à Rome, qualifiant la terre de la liberté et maison des braves non seulement de "problème" mais de "dangereux" pour son opposition à ce qu'il a appelé le « Grand Consensus » Mondial sur les questions économiques et le climat.

SACHS a directement attaqué le président Donald Trump par son nom, affirmant que le problème américain « est devenu un problème beaucoup plus important avec Donald Trump », ajoutant que les États-Unis seront « absolument dangereux » pour le « Grand Consensus » si Trump « remporte la ré-élection ce année. »

Sachs était le conférencier d'honneur à la conférence du 5 février sur les « Nouvelles formes de solidarité : vers l'inclusion fraternelle, l'intégration et l'innovation » à l'Académie Pontificale des Sciences Sociales. Le correspondant de Rome du National Catholic Register, Edward Pentin, a d'abord couvert les propos de Sachs et publié une vidéo à leur sujet.

L'Évêque argentin Marcelo Sanchez SORONDO, chancelier des Académies Pontificales des Sciences et Sciences Sociales, a souri et a hoché la tête avec approbation pendant le discours de dix minutes de Sachs. SORONDO a déjà défendu l'idée que les catholiques n'aient pas plus d'un ou deux enfants, et l'Académie Pontificale des Sciences, qu'il dirige, a été critiquée ces dernières années pour avoir accueilli des orateurs pro-avortement, pro-contrôle de la population, et liés aux Nations Unies.

Le thème récurrent du discours de SACHS était que Trump et les États-Unis sont une menace pour le « multilatéralisme », ce qui signifie la poursuite d'objectifs communs par diverses nations.

Un exemple du type d'effort « multilatéral » soutenu par Sachs est les « Objectifs de Développement Durable » de l'ONU, qu'il a aidé à rédiger. Ces objectifs comprennent l'objectif de « garantir la santé et les droits sexuels et reproductifs universels », un euphémisme pour la légalisation de l'avortement à la demande et donner aux enfants l'accès aux médicaments et aux dispositifs de contrôle des naissances ainsi que l'avortement à l'insu des parents.

En revanche, TRUMP a pris des mesures pour empêcher les contribuables américains de financer l'avortement à l'étranger ; et a financé le Fonds des Nations Unies pour la population, qui coopère avec le régime chinois de l'avortement forcé.

En 2018, TRUMP a déclaré à la 73e session de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York : « L'Amérique est gouvernée par des Américains. Nous rejetons l'idéologie du Mondialisme et nous adhérons à la doctrine du Patriotisme. »

SACHS a commencé son discours en disant que « le multilatéralisme n'est pas menacé, en soi, dans la plupart du monde. Il est menacé à cause des États-Unis, et je tiens à le dire clairement parce que ce n'est pas un jeu. » « Les États-Unis sont un problème », a-t-il poursuivi. « C'est devenu un problème beaucoup plus important avec Donald Trump. »

SACHS a concentré ses attaques sur les politiques économiques étrangères de Trump, mais l'a également attaqué pour son approche des accords internationaux sur le climat et des engagements militaires américains. « Les États-Unis ont bloqué toutes les initiatives multilatérales de ces dernières années », a déclaré Sachs. « C'est le seul pays qui se retire de l'accord de Paris sur le climat. »

L'Accord de Paris a été vivement critiqué par les dirigeants pro-vie et pro-famille, principalement parce qu'il appelle à « l'égalité des sexes » et à « l'autonomisation des femmes », des expressions qui, selon les critiques, sont utilisées pour faire avancer l'agenda LGBT, la contraception et l'avortement. En 2018, le Cardinal américain Joseph Tobin a appelé Trump à rejoindre l'Accord.

SACHS a également critiqué Trump pour avoir retiré l'accord nucléaire du JCPOA avec l'Iran et pour ses actions économiques à l'égard de la Chine. "Il n'y a pas de guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis", a poursuivi SACHS. « Il y a une guerre commerciale américaine contre la Chine, c'est différent. Il s'agissait d'une attaque non préméditée. »

SACHS a accusé l'administration Trump de « vol à main armée » et de « violation complète de toutes les règles internationales » en ce qui concerne son engagement militaire en Irak. Il a décrit l'administration américaine actuelle comme des « intimi- dateurs » qui font des « menaces vulgaires » et a parlé de « l'hostilité manifeste de Trump contre tout le monde ».

Dans une attaque directe contre les espoirs de Trump de remporter la réélection cette année, SACHS a déclaré : « Je suis désolé de le dire, c'est - c'est mon pays - je ne suis pas très heureux de le dire, mais c'est une puissance impériale en déclin et c’est un pays dangereux en ce moment. CE SERA ABSOLUMENT DANGEREUX SI TRUMP REMPORTE LA RÉÉLECTION. »

SACHS a terminé son discours en appelant les Mondialistes et autres dirigeants réunis pour la conférence à avancer vers un « monde décent », même sans « unanimité ».

« Donc, nous avons eu une bonne discussion aujourd'hui. Il y a vraiment un GRAND CONSENSUS sur ce monde pour un monde décent. Ce n'est pas unanime, mais nous ne dépendons pas de l'unanimité. ALLONS DE L'AVANT quand une grande partie du monde veut faire ce qu'il faut », a-t-il déclaré.

SOURCE : Reçu par courriel. Merci à Brigitte D.