"Amadora pleurera la mort de ses enfants. Douleur plus grande n'a jamais existé," -Marie

**Octo** Jeu 2 Juin 2011 - 12:48

"OUVREZ VOTRE COEUR À LA GRÂCE SANCTIFIANTE DU SEIOGNEUR POUR ÊTRE SAUVÉS !

"Amadora pleurera la mort de ses enfants. Douleur plus grande n'a jamais existé," nous annonce Notre Dame d'Anguera !

Messages donnés à Pedro Régis (Brésil) 3483 - Message de Notre Dame d’Anguera, reçu dans le Distrito de Serra Bonita/MG, le 15 Mai 2011

Chers enfants, tournez-vous vers Jésus. Ne vivez pas plantés dans le péché. Ouvrez vos cœurs à la grâce sanctifiante du Seigneur pour être sauvés. Vous êtes dans le monde, mais vous n'êtes pas du monde. Pliez vos genoux dans la prière. L'humanité est malade et a besoin d'être guérie. Soyez obéissants et cherchez à imiter Mon Fils Jésus en tout. Je connais vos besoins et Je prierai Mon Jésus pour vous. Ayez confiance, foi et espérance.

Quand tout semblera perdu viendra une grande joie pour les élus du Seigneur. Voici le temps opportun pour vous convertir. Je ne veux pas vous forcer, mais ce que Je dis doit être pris au sérieux. Amadora pleurera la mort de ses enfants. Douleur plus grande n'a jamais existé. Je suis votre Mère et Je souffre à cause de vos souffrances. Restez fermes sur le chemin que Je vous ai indiqué.

C'est le message que Je vous transmets aujourd'hui au Nom de la Sainte Trinité. Merci de M'avoir permis de vous rencontrer ici une fois de plus. Je vous bénis au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen. Demeurez dans la Paix.

[Amadora est une ville portugaise du district de Lisbonne de 180.000 habitants. La ville est située entre l'autoroute menant à l'aéroport et le périphérique de Lisbonne. Elle est à proximité du stade de la Luz. Amadora est l'une des villes avec la plus grande délinquance et violence urbaine d'Europe. La ville est un ensemble de tours d'une trentaine d'étages entourée de favelas. Mélange des cités françaises et des favelas d'Amérique latines.

Amadora est l'une des villes les plus ethniques du Portugal, populations gitanes, africaines ou familles ouvrières portugaises, se mélangent dans les quartiers, ce qui y provoque de nombreuses violences urbaines. Bien que des plans de réhabilitation importants aient été lancés, Amadora est encore considérée comme une des villes dont le taux de criminalité dépasse largement la moyenne européenne et internationale, ceci pour la ville en général, certains quartiers dépassant même les taux de criminalité du Bronx : les quartiers de Cova da Moura et Buraca sont un exemple incroyable de cette « citoyenneté fermée ». Dans la Cova da Moura et ses environs, depuis les années 1970 et 1980, l'arrivée de plus de 100.000 hommes et femmes, la plupart des îles africaines du Cap-Vert (mais aussi du Nord du Portugal, de l'Angola, de la Guinée Bissau, du Mozambique et d'Europe orientale), ont construit une ville illégale dans la banlieue de Lisbonne.]

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