Le Gouvernement Trudeau veut CRIMINALISER ceux qui s'opposeront à l'avortement et à l'euthanasie !
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Re: Le Gouvernement Trudeau veut CRIMINALISER ceux qui s'opposeront à l'avortement et à l'euthanasie !
SUICIDE ASSISTÉ : LES CANADIENS SONT CONTRAINTS DE RECEVOIR DES INJECTIONS LÉTALES DANS LES CENTRES DE SOIN !
par Rhoda Wilson et Jonathon van Maren
Le Canada est confronté à une crise des droits de l’homme qui s’est développée à un rythme effréné au cours des dernières années. Les Canadiens souffrants, malades et handicapés se voient constamment proposer une aide au suicide au moment où ils sont le plus vulnérables.
Le régime canadien de suicide assisté est devenu un tapis roulant d’histoires d’horreur
J’ai de nombreuses craintes concernant le régime d’euthanasie du Canada. Je crains que les activistes de Mourir dans la dignité ne parviennent à étendre explicitement l’éligibilité aux enfants, aux personnes handicapées et à celles souffrant de maladies mentales. Je crains que les familles soient un jour impuissantes à empêcher leurs proches souffrant de troubles mentaux d’obtenir une injection létale et que la force de l’État les empêche d’intervenir. Je crains que le système judiciaire canadien, radicalement gauchiste, ne fasse échouer les tentatives visant à limiter notre régime d’euthanasie.
Mais ce que je crains le plus souvent, c’est que nous devenions insensibles au tapis roulant des histoires d’horreur qui nous parviennent presque chaque semaine – que le simple volume de ces histoires finisse par cesser de nous choquer, et que nous les acceptions comme la norme non pas parce que nous les approuvons moralement, mais parce que, comme notre acceptation tacite de l’avortement jusqu’à la naissance, nous nous habituons tout simplement à ce nouveau statu quo.
Par exemple, le 19 juillet, j’ai interviewé Roger Foley, un Canadien handicapé, pour LifeSiteNews. Il a expliqué comment les professionnels de la santé ont constamment évoqué le suicide assisté comme une option pour lui, même lorsqu’il a admis qu’il se sentait suicidaire. Le 10 juillet, j’ai couvert l’histoire de Tracy Polewczuk, une femme souffrant de spina-bifida. On lui a proposé le suicide assisté à deux reprises et, comme Foley, elle a expliqué que l’offre proactive d’une injection létale l’avait profondément affectée. Ils ne sont pas les seuls – nous entendons ces histoires depuis des années. Elles s’échappent de nos institutions médicales comme le sang s’infiltre sous la porte d’une clinique.
Heather Hancock, une Canadienne atteinte d’infirmité motrice cérébrale, a écrit un article d’opinion pour la Coalition pour la prévention de l’euthanasie, révélant qu’une infirmière de l’Alberta lui avait dit «de faire ce qu’il fallait et d’envisager le MAiD», le programme canadien d’aide au suicide. Elle aussi a été encouragée à de multiples reprises à accepter la mise à mort médicalisée. Depuis la légalisation du suicide assisté, écrit-elle, la façon dont elle est traitée a changé :
À l’hôpital, j’ai découvert un changement dans l’attitude des infirmières, des médecins, des aides-soignants et des thérapeutes. Il y avait un sous-entendu subtil qui était presque tangible. Des infirmières me négligeaient, me forçant à essayer de marcher pendant qu’elles se tenaient à distance et regardaient en croisant les bras. Il était évident que le personnel médical préférait ne pas me soigner.
En 2018, un médecin de l’hôpital général de Victoria lui a demandé si elle avait déjà envisagé le suicide assisté. En 2019, dans le même hôpital, on lui a de nouveau proposé le suicide assisté. Pour échapper au système médical de la Colombie-Britannique, Mme Hancock a déménagé dans une ville située à la frontière entre la Saskatchewan et l’Alberta. Après une chute, elle a été transportée à l’hôpital de Medicine Hat où, pendant un séjour de trois semaines, une infirmière est venue à son chevet et lui a conseillé d’opter pour le suicide assisté. «Si j’étais vous, je le ferais sans hésiter», lui dit l’infirmière. «Vous ne vivez pas, vous existez». Horrifiée, Mme Hancock a répondu à l’infirmière qu’elle ne choisirait jamais le suicide assisté et que sa«vie a de la valeur et aucun être humain n’a le droit de dire le contraire».
Des histoires comme celles de Foley, Polewczuk, Hancock et bien d’autres devraient nous troubler profondément – elles sont révélatrices d’une crise des droits de l’homme qui s’est développée à un rythme effréné au cours des dernières années. Les Canadiens souffrants, malades et handicapés se voient constamment proposer une aide au suicide au moment où ils sont le plus vulnérables, tandis que les militants de Mourir dans la dignité et les défenseurs de l’euthanasie tels que le Dr Ellen Wiebe affirment que tout va bien dans le régime de mort du Canada. Parce que la vérité est si horrible, de nombreuses personnes préfèrent écouter ces voix rassurantes. L’autre solution consiste à reconnaître que les Canadiens sont contraints de subir des injections létales dans les établissements de soins.
Malgré tout, la presse canadienne fait aujourd’hui campagne pour que les derniers espaces sûrs pour les personnes souffrantes soient supprimés. L’un des principaux objectifs des militants de l’euthanasie est d’obliger toutes les institutions – religieuses ou non – à proposer et à réaliser des injections létales sur place. Le suicide est d’abord devenu un «droit» ; l’offrir est devenu une obligation. C’est ainsi que nous obtenons des articles avec des titres comme celui-ci, de CTV : «Une femme de Colombie-Britannique s’est tournée vers MAID pour trouver la paix. Sa famille affirme que sa mort a été indigne et traumatisante». Les parents et le médecin d’une femme décédée par euthanasie poursuivent Providence Health Care et le gouvernement de la Colombie-Britannique parce qu’elle a dû être transférée de l’hôpital Saint-Paul pour recevoir une injection létale.
La CBC a fait suivre cet article d’un autre rapport axé sur Providence Health Care : «Providence Health reveals 19 patients were forced to transfer this year due to its MAiD policy» (Providence Health révèle que 19 patients ont été contraints d’être transférés cette année en raison de sa politique MAiD). Remarquez le cadrage de l’article : aucun patient n’a été «forcé» à faire quoi que ce soit. Certains hôpitaux ne tuent pas les gens et donc si vous souhaitez recevoir une injection létale, vous devez être transféré ailleurs. La CBC a choisi de ne pas s’adresser aux défenseurs des personnes handicapées ou à d’autres personnes qui auraient pu souligner l’importance extrême des lieux sans euthanasie – à la place, elle s’est entretenue avec Daphne Gilbert, professeur à l’Université d’Ottawa, qui a travaillé avec Mourir dans la dignité Canada sur une contestation judiciaire visant à forcer les hôpitaux à offrir l’euthanasie sur place. «Mourir dans la dignité» est décrit, de manière absurde, comme une «organisation caritative de défense des droits de l’homme».
Les journalistes canadiens devraient, à ce stade, savoir à quel point l’euthanasie légale a été désastreuse. Ils ont rapporté de nombreux abus ; ils ont sûrement lu les reportages sur les abus publiés dans toute l’anglosphère. Mais ils n’ont pas retenu la leçon. Une fois de plus, ils se plient aux exigences des militants canadiens de l’euthanasie et exploitent la douleur des mourants pour les obliger à tuer dans les derniers endroits sûrs du pays.
SOURCE :
https://reseauinternational.net/suicide-assiste-les-canadiens-sont-contraints-de-recevoir-des-injections-letales-dans-les-centres-de-soins/
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"Oui, mon retour est proche!
Amen, viens, Seigneur Jésus!"
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Re: Le Gouvernement Trudeau veut CRIMINALISER ceux qui s'opposeront à l'avortement et à l'euthanasie !
Le régime canadien d’euthanasie se développe rapidement alors que la plupart des gens doivent attendre des mois pour obtenir des soins de santé. Les Canadiens doivent attendre en moyenne 27,7 semaines pour recevoir des soins médicaux de base, mais le programme d'euthanasie du gouvernement Trudeau est celui qui se développe le plus rapidement au monde, de nombreuses personnes malades optant pour l'injection létale plutôt que d'attendre un traitement.
par Clare Marie Merkowsky
27 août 2024
(LifeSiteNews) - Le Canada est actuellement le pays qui connaît la croissance la plus rapide en matière de Le temps d'attente pour recevoir des soins médicaux de base peut aller jusqu'à 27 semaines.
Selon un Rapport du mois d'août du groupe de réflexion canadien Cardus, le nombre de Canadiens se suicider par le biais du programme d'euthanasie "Medical Assistance in Dying" (MAiD) a été multipliée par treize depuis sa légalisation, faisant de MAiD le programme d'euthanasie qui connaît la croissance la plus rapide au monde.
Santé Canada a considérablement sous-estimé ce à quoi ressemblerait un "état stable" des décès dus à la MAiD et la rapidité avec laquelle le Canada atteindrait le seuil de 4 % du nombre total de décès", selon le rapport.
"Ce seuil a été atteint en 2022, soit onze ans plus tôt que ce que Santé Canada avait prévu quelques mois plus tôt et le double de ce qu'il avait prévu quatre ans plus tôt", poursuit le rapport.
Introduite pour la première fois en 2016, la MAiD n'était initialement accessible qu'aux personnes en phase terminale. Toutefois, en 2021, le gouvernement Trudeau a étendu cette pratique mortelle aux personnes qui ne sont pas en danger de mort mais qui souffrent d'une maladie chronique.
Si la MAiD ne s'applique pas encore aux malades mentaux, cela n'est pas dû à un manque d'effort de la part du gouvernement Trudeau qui a décidé de retarder l'extension de l'euthanasie aux personnes souffrant uniquement de ces maladies jusqu'en 2027, à la suite de la réaction des Canadiens et d'éminents médecins.
Les rapports les plus récents montrent que la MAiD est la sixième cause de décès au Canada. Cependant, elle n'était pas répertoriée comme telle dans les rapports de Statistique Canada. les 10 principales causes de décès de 2019 à 2022.
Interrogée sur les raisons pour lesquelles la MAiD n'a pas été incluse dans la liste, l'agence a déclaré que les maladies qui ont conduit les Canadiens à choisir de mettre fin à leur vie par l'euthanasie, et non la cause réelle du décès, comme la première cause de décès.
Selon Santé Canada, en 2022, 13 241 Canadiens sont décédés par injections létales MAiD. Cela représente 4,1 % de tous les décès survenus dans le pays cette année-là, soit une augmentation de 31,2 % par rapport à 2021.
Les Canadiens peuvent être euthanasiés mais ne peuvent pas bénéficier de soins de santé de base
Les Canadiens seront peut-être surpris d'apprendre que Le gouvernement du Premier ministre Justin Trudeau continuerait à faire pression pour l'expansion du MAiD alors que de nombreux Canadiens n'ont pas accès aux soins de santé.
Toutefois, le rapport semble avoir confirmé ce que de nombreux Canadiens ont déjà réalisé lorsqu'ils se sont rendus dans un hôpital pour recevoir des soins médicaux : La MAiD est prioritaire par rapport aux véritables soins de santé.
Temps d'attente pour recevoir des soins au Canada ont augmenté à une moyenne de 27,7 semaines, ce qui a conduit certains Canadiens à désespérer et à opter pour l'euthanasie au lieu d'attendre une assistance.
C'est le cas de Dan Quayle, 52 ans, un grand-père de Colombie-Britannique. Le 24 novembre, il a choisi à être tué par injection létale après avoir été dans l'impossibilité de recevoir un traitement contre le cancer en raison de l'allongement des délais d'attente.
De même, en 2022, une femme de Winnipeg a écrit dans sa nécrologie publiée à titre posthume, qu'elle avait choisi de mourir par suicide assisté après s'être vu refuser les traitements dont elle avait besoin : "J'aurais pu avoir plus de temps si j'avais eu plus d'aide".
En effet, les malades et les personnes âgées qui refusent de mettre fin à leur vie avec la MAiD sont souvent condamnés comme des "égoïstes".
Comme le souligne LifeSiteNews : En 2019, une infirmière de l'Alberta aurait dit à l'auteure chrétienne Heather Hancock qu'elle était "égoïste" parce qu'elle n'avait pas mis fin à ses jours par le biais de la MAiD.
En mai, LifeSiteNews a fait un rapport sur un Canadien qui s'est senti "complètement traumatisé" et violé parce qu'on lui a proposé la MAiD "à plusieurs reprises" au lieu de lui prodiguer les soins appropriés dont il avait besoin à l'hôpital.
SOURCE :
https://www.lifesitenews.com/fr/analysis/le-regime-canadien-deuthanasie-se-developpe-rapidement-alors-que-la-plupart-des-gens-doivent-attendre-des-mois-pour-obtenir-des-soins-de-sante/
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