Un belle histoire vécue durant la Guerre '39-45 - La Prière des enfants est toujours exaucée !
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Message  Admin Lun 27 Fév 2023 - 12:32

UNE BELLE HISTOIRE VÉCUE DURANT LA GUERRE '39-45 - LA PRIÈRE DES ENFANTS EST TOUJOURS EXAUCÉE !


Un belle histoire vécue durant la Guerre '39-45 - La Prière des enfants est toujours exaucée ! R_jfif49


Pierre, le 15 août 2008 raconte comment, à l’âge de 5 ans, il a obtenu du Ciel la libération de son papa artilleur, prisonnier des Allemands en 1940.

(D’après le Stella Maris n° 460 de juillet/août 2009)

Ma maman s’appelait Marie-Claude, la plus jeune des 3 enfants. Très occupée sur l’exploitation familiale de Mornant, ce fut ma grand-mère Marie Brouillet dont le papa était l’instituteur du village qui m’éleva. C’était un ange rayonnant d’amour, de tendresse, de pureté, de joie et de sainteté qui m’a profondément marqué. Dieu était au centre de sa vie : elle assistait à la messe chaque matin, récitait son chapelet dès que le travail de la ferme le lui permettait… et si je m’étais endormi, le soir, sans avoir fait ma prière elle me réveillait : « Pierre, tu n’as pas fait ta prière ! » Avec elle, je récitais un Pater, trois Ave et un Gloria Patri. Avec elle, impossible de se réveiller ou de s’endormir sans avoir prié.

Nous sommes en 1 940. Le canon tonnait fort et toute la famille était dans l’angoisse, car nous n’avions plus de nouvelles de mon papa artilleur.

Ma grand-mère me dit un jour : « Mon petit Pierre, nous sommes toujours sans nouvelles de ton papa. Je voudrais que tu fasses une promesse à Notre-Dame de Valfleury. Elle consistera à y faire un pèlerinage si ton papa rentre de la guerre. »

Je répondis avec enthousiasme :

- Oui, oui, bonne maman !

- Je ne veux pas que tu promettes sans réfléchir. Tu vas attendre trois jours et tu me donneras ta réponse.

Au bout de ces trois jours, ma décision n’étant pas changée, ma grand-mère nous expliqua comment nous allions procéder.

- À la messe à laquelle nous allons assister, lorsque le prêtre élèvera l’hostie, tu diras à Jésus : « Si mon papa rentre de la guerre, Jésus, je promets d’aller en pèlerinage à Valfleury. »

Lorsque le prêtre éleva l’hostie, bonne maman me caressant l’épaule me dit :

- Dis ta promesse à Jésus !

Je la formulai avec tout l’amour que peut contenir le cœur d’un enfant de 5 ans.

Bonne maman qui connaissait parfaitement sa religion savait bien que le Bon Dieu ne peut pas résister à la prière d’un enfant.

À partir de là, ma famille demanda au député du Lyonnais d’écrire une lettre à la Kommandatur de Lyon pour demander des nouvelles du soldat Louis Delorme.

Cette aberrante requête fut exaucée. Premier miracle, la lettre fut envoyée !!!

Deuxième miracle : à la Kommandatur de Lyon, la lettre ne fut pas jetée au panier.

Troisième miracle, si tant est qu’on puisse les compter, la lettre remonta toute le hiérarchie de l’armée allemande et aboutit en Autriche à Kaiserchtenbruck sur le bureau du stalag XVII.

Le directeur fit appeler mon papa à son bureau et lui dit :

- Delorme vous faites votre paquetage et vous rentrez chez vous !

Il fut tellement surpris qu’il lui demanda en allemand de lui répéter l’information, croyant à une erreur administrative. Mais sur un ton sec, l’officier allemand répéta :

- Delorme, vous faites votre paquetage et vous rentrez chez vous. C’est un ordre ! »

Au baraquement, évidemment, on prit mal la nouvelle, une telle faveur incitait à croire qu’elle n’était pas gratuite !!! Il fut victime de méchancetés et entendit des réflexions désobligeantes comme :

- Sa famille a livré des secrets militaires etc… etc…

La Kommandatur demanda au maire Jean Condamin de venir le chercher à Lyon. C’est ainsi que papa eut la joie de retrouver notre famille qu’il aimait tant, trois ans avant la libération mais il eut à subir à nouveau l’épreuve de se voir soupçonné et jalousé dans le village.

Mon cœur d’enfant exulta de joie quand bonne maman me rappela ma promesse. Mon oncle Jean Brouillet, homme très pieux, fut chargé de m’accompagner. Debout dès 4 heures du matin, nous partîmes d’un bon pas, accompagnés un moment par ma grand-mère. Il me fallait bien faire deux pas pendant que tonton Jean n’en faisait qu’un ! Tout se passa bien durant les quatre heures de trajets pour aller au sanctuaire de Valfleury.

Là , mon oncle se confessa, participa à tous les offices religieux, tenant à ce que tout soit bien fait, sans précipitations malgré le long trajet du retour à effectuer dans la journée : il s’agissait d’un vœu ! Je l’ai encore admiré sur le chemin du retour durant lequel bien que la nuit fut tombée il suivit l’itinéraire des chemins de montagne qu’il connaissait parfaitement, sans se tromper. Nous marchions aussi vite que pour venir. Bonne maman faisait le chemin en sens inverse et notre rencontre se fit à la hauteur de Sainte-Catherine. Quelle joie pour ma grand-mère de constater que tout s’était bien passé. À ce moment là, j’avais six, mais durant cette expédition à risques je n’ai ressenti aucune fatigue pendant ces huit heures de marche. La Sainte Vierge a donné toute l’énergie qu’il fallait à mes petites jambes.

Mon papa Louis nous a quittés le 22 janvier 2 008 à l’âge de 95 ans après une vie bien remplie. Merci mon Dieu de nous avoir rendu notre papa, recevez-le maintenant dans votre paradis.

Que cette histoire invite les parents à bien prier et à faire prier leurs enfants. Après la guerre on voyait que la France était perdue à nouveau. Non, dit Marthe Robin, elle sera sauvée par la prière des enfants. En effet, Marie apparut à l’Île-Bouchard et les quatre petite filles Jeannette, Jacqueline, Nicole et Laura furent les privilégiées qui intercédèrent et furent exaucées en 1 947 comme d’autres l’avaient été le 17 janvier 1 871 à Pontmain et l’ennemi fut stoppé net à Laval et les 38 prisonniers revinrent sain et sauf.

Ce qui attend la France et le monde est bien autre chose.

Préparons maintenant des enfants adorateurs.

SOURCE : Reçu par courriel. Merci à Roger A.

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"Oui, mon retour est proche!
Amen, viens, Seigneur Jésus!"


Apocalypse, 22, 20


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