Instrument de perdition (message de Jésus à Mgr Ottavio Michelini).
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Message  Invité Lun 26 Sep 2011 - 15:54

28 octobre 1975
La façon dont le sacrement de la Confession est administré ne répond pas du tout au plan de ma Miséricorde et de mon Amour, mais plutôt à un dessein pervers du Malin.
Ce dernier n'a rien négligé pour transformer ce sacrement, moyen de résurrection et de vie, en un instrument meurtrier de perdition, obscurcissant, lui, Prince des ténèbres, ce précieux fruit de ma Rédemption...
Je suis le Prêtre éternel. Je suis le Juge éternel, Je suis l'Amour éternel et la Justice éternelle. Je suis la Miséricorde éternelle. A Moi, Juge, est réservé le jugement particulier de chaque homme, jugement sans appel, irrévocable, qui aura sa conclusion finale avec le Jugement général, que ce soit pour l'humanité ou pour la nature angélique.
Moi, le Juge infiniment juste, Je juge chaque homme avec justice. Être juge veut dire : absoudre ou condamner avec justice les fautes de ceux qui ont péché.
Tout prêtre doit être un juge droit, juste et impartial. Ce pouvoir ne vient pas d'eux, mais de Moi, Juge éternel. Un grand nombre exerce ce pouvoir comme s'il venait d'eux : ils administrent ce pouvoir surnaturel avec une légèreté et une inconscience qui font frémir ceux qui ont un tant soit peu de sensibilité spirituelle.
On aide les pénitents à trouver toutes les justifications possibles à leurs péchés, concluant que la Miséricorde de Dieu est grande.

Confessions sacrilèges

La Miséricorde de Dieu n'est pas seulement grande, elle est infinie, mais cela n'autorise personne à en abuser d'une façon aussi honteuse. C'est important, fils; c'est pourquoi Je te répète : d'administrateurs de la justice divine, ne devenez pas des complices du démon; d'instruments du salut, ne devenez pas des instruments de perdition !
On ne se moque pas de Dieu impunément. Les paroles par lesquelles J'ai institué ce moyen de salut sont d'une clarté sans équivoque: remettre ou retenir les péchés.
Il ne peut pas y avoir de confession valide sans une contrition sincère; il ne peut pas y avoir de contrition sincère sans un sérieux et efficace propos de ne plus vouloir pécher.
Beaucoup de confessions sont nulles. Beaucoup sont deux fois sacrilèges. Qui se confesse sans avoir les dispositions requises, ou qui absout sans vérifier qu'existent les dispositions requises, profane le sacrement et accomplit un sacrilège. Avilit ce prodigieux moyen de salut, le changeant en moyen de perdition, le prêtre qui se fait complice du nuisible dessein de Satan. Il ne cherche pas Dieu et le bien des âmes, mais il se cherche lui-même, et il est terrible de se préférer à Dieu.
Pourquoi aurais-Je dit à mes Apôtres et à leurs successeurs: «Allez, et à tous ceux à qui vous remettrez les péchés, ils seront remis, à ceux à qui vous les retiendrez, ils seront retenus ? » Il est évident qu'est requis un jugement sérieux et équilibré qui n'admet de compromis avec personne, ni avec sa propre conscience, ni avec le pénitent et encore moins avec Moi.

Plus rien n'est péché
Je répète volontairement certaines choses pour mieux imprimer dans l'âme de mes prêtres ce point capital de l'actuelle pastorale. Oui, on absout tout et tous sans aucune discrimination.
Pour beaucoup de prêtres il est tellement facile d'absoudre, puisque plus rien n'est péché... La pureté n'est plus une vertu; la paternité responsable, qui bien comprise est une bonne chose, est devenue motif de toutes les licences dans les rapports matrimoniaux.
Sous le prétexte de favoriser la culture, on autorise les lectures les plus anti-conformistes où les germes de la luxure et des erreurs philosophiques et théologiques sont jetés sans parcimonie.
Tout aujourd'hui est basé sur la fraude, sur le vol. La justice requiert que le confesseur s'assure du sérieux et ferme propos de restituer le bien mal acquis. Très souvent, le pénitent n'est même pas averti de ce devoir strict.
Au nom du progrès, pour convaincre le pénitent que le confesseur est un homme moderne à la hauteur des temps, on ferme les yeux.
Ceux qui ont la responsabilité de combattre le mal à la racine, toujours, partout et sans arrêt glissent sur ces choses, pour ne pas subir de vexations et de brimades -ce qui malgré tout arrivera- en cette obscure et terrible heure que vous êtes sur le point de vivre.

Je te bénis et avec Moi te bénissent ma Mère et saint Joseph.

(Source : Les Editions du Parvis - Les Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles -1990 - chapitre 61, pages 121/122).
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