Le progrès moderne est paganisme (message de Jésus à Mgr Ottavio Michelini).

Le progrès moderne est l'arme meurtrière par laquelle Satan éloigne quantité d'âmes des sources d'eau vive pour les amener et ensuite les abandonner dans un désert où elles meurent de soif.
Ceux qui devaient mettre en garde les âmes des baptisés contre ce grave péril se sont eux-mêmes laissé éblouir. Sans opposer de résistance ni avertir le troupeau du très grave péril au-devant duquel il allait, ils ont suivi l'Ennemi qui a ainsi pu éloigner de la lumière de la foi troupeau et pasteurs.
Il me semble superflu de t'en démontrer la réalité. Qui ne voit aujourd'hui la famille désacralisée et disloquée ? Qui ne voit aujourd'hui l'école, de sanctuaire qu'elle était, transformée en un repaire infernal où, sous prétexte de progrès et d'évolution, les enfants sont officiellement initiés au péché ? Qui ne voit comment le cinéma et la télévision sont devenus des chaires, avec des millions et des millions d'élèves qui absorbent avidement des leçons de violence, de criminalité, d'adultères ?
Ce sont des chaires d'où le poison de l'athéisme est inoculé, à toutes les heures du jour et de la nuit, par les chroniques mensongères, par les films exaltant le divorce et l'avortement, par les chansons prônant l'amour libre et la sensualité. L'immodestie est exaltée et glorifiée à travers le nudisme et l'immoralité des moeurs. La diffusion d'erreurs de tout genre est quotidiennement accueillie comme une conquête de la liberté.

Au nom de la liberté on tue, au nom de la liberté on corrompt, au nom de la liberté on accomplit les actions les plus criminelles.
Je ne te parle pas de ce qui se passe dans les résidences, dans les maisons privées, dans les lieux publics. Toute espèce d'aberrations, de perversions et d'iniquités sont accomplies. Là, Satan décharge toute sa haine contre la nature humaine en la dégradant, en détruisant en elle toute pudeur et tout sentiment de dignité, en la piétinant, en l'humiliant de toutes les façons que lui permet son astuce dégradée.
Que dire de la presse, autre gloire du progrès ? Elle est un moyen de communication domestiqué au service du mal. La bonne presse trouve un accueil plus froid et elle est bien moins répandue que la mauvaise presse. Regarde les journaux, ils sont en train de passer en bonne partie au service de l'athéisme. Ce pseudo-progrès (progrès matériel, mais impressionnante régression morale et spirituelle) a été accepté sans réaction, et cependant en lui est manifeste la présence orgueilleuse du Malin, qui en a fait une arme pour tuer Dieu dans les âmes.
Non seulement on n'a pas réagi, mais un certain nombre l'ont exalté et tant d'hommes qui devaient s'unir pour opposer une digue à cette invasion satanique, l'ont au contraire suivie. Ainsi, mes exemples et mes enseignements sont en parfait contraste avec les principes et les moeurs de cette civilisation du péché.
De là, pour concilier l'inconciliable, le zèle effréné de beaucoup de mes ministres et de mes Pasteurs qui veulent tout changer et réformer. Voilà la pluie d'innovations qui, selon eux, devrait donner la possibilité de servir deux maîtres en même temps. Ils voudraient faire fusionner la lumière et les ténèbres, rendre licite l’illicite, augmentant dans mon Eglise scandales, déchirements et divisions.
Les innovateurs ont oublié la seule chose vraiment importante: se rénover eux-mêmes. Une fois rénovés, ils auraient pu procéder, avec sagesse, à une mise à jour raisonnable, à une utile réforme.

Ceux qui aujourd'hui s'accrochent à ma Miséricorde auraient raison s'ils n'oubliaient pas une chose capitale :
-L'âme vaut-elle, oui ou non, plus que le corps ?
-Dans l'affirmative, serait-ce de la Miséricorde, pour sauver les corps, que de laisser les âmes se perdre ?
Je ne suis pas le Dieu de la vengeance, mais l'Amour infini et éternel, ce qui veut dire que de toute éternité Je vous aime infiniment. Je ne veux pas la ruine des hommes, mais parce que Je suis Amour Je veux leur salut, leur salut éternel. Vous m'avez abandonné, vous m'avez fait passer après la civilisation païenne que vous avez acceptée et avec laquelle vous avez pactisé en vous abaissant aux plus indignes compromis.
Maintenant, vous commencez confusément à entrevoir l'abîme qui se trouve sous vos pieds, et vous en appelez à ma Miséricorde. Ce sera bien ma Miséricorde qui empêchera les âmes de continuer à se perdre. Je ferai tourner l'heure prochaine de la Justice à la Miséricorde, de sorte que mon Eglise née à une vie nouvelle s'acquittera des fins pour lesquelles Moi Je l'ai voulue.