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Giuliana Buttini, messagère de «Ma vie à Nazareth» Le silence de Marie devient parole

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Message  fabienne Mer 12 Oct 2011 - 5:00

Giuliana Buttini, messagère de «Ma vie à Nazareth»
Le silence de Marie devient parole
Par Sabrina Covic-Radojicic

«Moi, votre Mère; Moi, la Mère des saints, des justes et des autres, j’ai tant de noms à présent et c’est toujours Moi: la petite Myriam de Nazareth.» (26.1.1982) Marie, la Mère aux nombreux et doux noms de femme toute à Dieu et à Jésus. Voilà la vraie Marie de Nazareth aux nombreux noms et aux douces paroles. Elle a parlé à Nazareth avec l’ange. Elle a parlé avec sa cousine Elisabeth à Aïn Karim. Elle a parlé avec Dieu dans le chant du Magnificat. Elle a parlé à Jésus quand Elle l’a retrouvé dans le Temple à l’âge de douze ans. Elle a parlé à Jésus le jour du miracle de Cana. Puis dans les Evangiles, sa voix se tait. Elle devait attendre son heure: l’heure de Marie dans l’Eglise. Et Marie, celle qui parle peu, a repris la parole, comme à Cana, pour le bien de ses enfants dans le besoin. Elle a parlé à Guadalupe au petit Indien Juan Diego. Elle a parlé à la rue du Bac comme la Vierge des Miracles. Elle a parlé à La Salette. Elle a parlé à Lourdes. Elle a parlé à Pontmain. Elle a parlé à Pellevoisin. Elle a parlé à Fatima. Elle a parlé à Beauraing. Elle a parlé à Banneux. Elle a parlé à Rome dans la grotte des Trois Fontaines… L’Eglise a parlé comme maîtresse de la Vérité pour approuver ces messages. La Vierge a parlé aussi de nombreuses autres manières, par des messages individuels et personnels qui ne sont pas en contradiction avec les grands enseignements de l’Eglise. Elle a parlé à ses saints. Elle a parlé aux mystiques. Elle a parlé à Mère Marie de Jésus d’Agreda. Elle a parlé à Maria Valtorta. Et Marie continue de parler, Elle qui parlait peu dans les Evangiles. Elle parle dans ses messages personnels avec familiarité et en de longues conversations. Elle a parlé à Mère Marie de Jésus d’Agreda pour lui révéler toute sa vie et celle de son Fils Jésus. A la fin de chaque chapitre, Elle lui a donné des enseignements personnels dans son oeuvre importante «La Cité mystique de Dieu». Elle a parlé abondamment et avec des mots tendres à Maria Valtorta. Elle, la silencieuse, la discrète, aux messages concis et bien concrets quand Elle s’adresse à l’Eglise. Ses conversations personnelles sont plaisantes et Elle ne manque pas de parler abondamment.

* * *

Le livre Ma vie à Nazareth est de ceux qui renferment les douces paroles de Marie adressées aux hommes. Ce ne sont pas des paroles savantes et profondes comme celles adressées à soeur Marie d’Agreda. Elles ne renferment ni un enseignement important, ni des souvenirs avec un contenu mariologique remarquable comme lors de ses messages à Maria Valtorta. Ce sont des mots simples. Des paroles que prononcent, tous les jours, les mamans en famille, des propos qu’on tient à la maison pendant le travail, au moment du repas, au début de la prière, à la fin de la journée quand on s’apprête à se coucher. Ce livre est rempli de ces paroles de la petite et simple Marie de Nazareth, des paroles qui vous enchantent singulièrement. Ce ne sont pas des paroles répétées comme au magnétophone, comme des épisodes d’un passé qui n’existe plus. Ce sont les paroles de quelqu’un qui, dans le monde invisible d’à présent, revit toute sa vie passée et celle de son Fils. C’est Marie d’aujourd’hui qui parle en ces messages, voilà pourquoi Elle nous enchante merveilleusement. C’est Marie, aujourd’hui, qui se souvient, qui revit et revisite son passé en profondeur. Elle passe en revue, avec naturel et fraîcheur, des souvenirs très vivaces, fortement enracinés dans sa mémoire.
C’est toute la vie de Jésus et de Marie de Nazareth racontée à travers des conversations simples, avec une âme candide et intuitive comme Marie elle-même. Paroles familières, pleines de fraîcheur comme le parfum des champs, l’odeur du pain, les couleurs de l’herbe, le calme des après-midi de printemps… Cependant cette simplicité et ce naturel sont empreints de sublime. Il n’y a aucun message qui ne nous surprenne par une touche de profondeur inattendue, signe de ce sublime qui parvient à convaincre. Referme ce livre et dis: «Personne ne peut parler avec une telle et inimitable simplicité.» Voilà la signature qui confirme, par certains aspects, l’authenticité de chacun de ces messages.
Parfois, un seul mot suffit pour éveiller en ton âme un écho que toi seul peux interpréter. D’autres fois, c’est une suggestion depuis toujours latente en ton coeur et qui n’avait jamais pu émerger. C’est l’affirmation de quelque chose d’immédiat et de quotidien que tu n’aurais jamais su exprimer ainsi. Il y a des paragraphes qu’aucun théologien n’aurait jamais pu rédiger pour exprimer une vérité trinitaire avec une telle densité et transparence. Certains dialogues ont été tenus par chaque maman avec les siens, mais aucun lettré n’aurait pu imprimer autant de fraîcheur à ses oeuvres. Dans chaque nouveau message, on découvre un aspect différent de Marie, pourtant, c’est toujours le même visage, toujours neuf et surprenant.
On ne peut atteindre Jésus par sa seule intelligence. L’histoire n’est pas la voie exhaustive pour connaître la vie de Jésus. Le sentiment t’empêche de pénétrer la transparence du Verbe. L’imagination ne t’offre pas une image réelle de Jésus. Les maîtres te désorientent en te parlant de l’Homme-Dieu. Pourtant, tu as soif, soif de vérité. Oui, soif de ce qui est pur et non frelaté. Tu veux arriver à le connaître par toi-même, et à ta manière personnelle apprendre qui était le vrai Jésus quand Il vivait en ce monde, qu’Il était enfant, et comment Il se comportait réellement. Comment atteindre ce but? Jésus a une manière toute personnelle de fasciner chaque homme. Mais cette fascination a un début. C’est la fascination par contagion de quelqu’un qui est lui-même totalement fasciné par Jésus. Tu es appelé à vivre de manière personnelle la fascination de Jésus.
Cependant, tu dois l’être d’abord par contagion d’une autre personne qui est elle-même fascinée par Jésus. Cette personne idéale est sa Mère: Marie.
Elle est cette personne qui te communique, par ses paroles, sa propre fascination. Par ce livre, tu as l’opportunité de te laisser fasciner, car l’âme de Marie est une avec le mystère de Jésus. Si tu lis ces pages avec simplicité de coeur, tu ne pourras t’empêcher de ressentir l’inexprimable fascination de la virginité mariale qui te conduit à la complète lumière et pureté de l’unique humain totalement différent de nous: l’Homme-Dieu. Une lumière, une joie, quelque chose d’inexprimable pénétrera ton âme. Ne t’étonne pas. Laisse-toi envahir par cette lumière, par cette paix! C’est l’Esprit de Jésus et de Marie qui agit chaque fois que tu tournes les pages de ce livre, à la fois simple et divin, comme est simple et divine
la transcendante féminité de cette femme, Mère de Dieu, Marie de Nazareth! Ces messages ont une place particulière dans l’histoire récente de la mariologie. Il faut dire, en effet, que jusqu’au concile Vatican II, une mariologie de privilèges et de titres extraordinaires attribués à Marie, avait dominé. La constitution «Lumen Gentium», dans le fameux chapitre VIII, a introduit un changement de perspective dans la manière de concevoir la mariologie. Mais, c’est plus particulièrement le Serviteur de Dieu, le pape Paul VI, dans l’encyclique «Marialis Cultus», qui a marqué un tournant dans la perception théologique du mystère de Marie. Après ce document du Vatican, s’est imposée peu à peu une mariologie biblique, qui met en relief la foi exceptionnelle de la Sainte Vierge, une foi vécue dans une vie ordinaire et simple. L’encyclique a été promulguée le 2 février 1974. Un an auparavant, le 9 février 1973, Marie a commencé à s’exprimer d’une manière qui annonçait les termes de Paul VI. L’instrument qu’Elle a utilisé pour ces dictées, s’est envolé au paradis.
Puisse Giuliana se tenir à tes côtés, avec la Mère de Jésus, quand tu entreprendras la lecture de ces messages empreints de simplicité, de lumière et d’amour.

Lima, 13.05.2007,
90e anniversaire de la première apparition de la Vierge à Fatima.
P. Antonio M. Artola, CP

Préface de
«Ma vie à Nazareth», p. 8-12.

Littérature:
«Ma vie à Nazareth» Messages de la Vierge Marie à Giuliana Buttini, 624 pages, 14,5x21 cm Euro 26.– CHF 34.–







































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Message  fabienne Mer 12 Oct 2011 - 13:28

Giuliana Buttini
Ma vie à Nazareth
Messages de la Vierge Marie (1973-2003)

STELLA MARIS 481 SOMMAIRE





Un voile se lève sur le mystère de Marie et de sa vie cachée à Nazareth. Giulianan Buttini a recueilli les confidences de la Vierge Marie, destinées à notre temps:
Ma vie à Nazareth. Messages de la Madone (1973-2003).
«Domina, l’amour te fait parler avec tellement de clarté et de manière si émouvante, si douce… Cela me fait vivre avec Jésus et me fait l’aimer!» (p.280). Ces paroles que Marie replace dans la bouche de l’évangéliste Luc à son propos disent si bien ce qu’est ce livre, ce qu’il contient. «Marie conservait toutes ces choses dans son coeur…», nous dit saint Luc (2,51b). Et “toutes ces choses», dans l’Evangile, — celles nécessaires au salut et à notre discernement — se concentrent en si peu de pages que notre désir de connaître le jeune Jésus, la Sainte Famille… nous laisse sur notre faim. Mais de ce que saint Luc n’a pu écrire et que nous aurions désiré connaître et méditer, Marie de Nazareth l’a confié à Giuliana Buttini pour nous en l’accompagnant de sa réflexion pour notre vie aujourd’hui! Et pas seulement la vie à Nazareth, mais toute sa vie, y compris celle avec les apôtres et celle qui est la sienne aujourd’hui dans le Ciel. Ce sont des souvenirs intimes sur sa vie à Nazareth, vie de la Sainte Famille, spécialement les faits, les gestes, les paroles de sagesse de Jésus que Marie, fascinée par son étonnant Fils, rapporte dans ce document exceptionnel. Ce sont de petits traits sur leurs vies quotidiennes, tissés de réflexions sublimes de Jésus et sur Jésus, immédiatement rapportées à nos vies actuelles, des lumières sur le mystère de son être Dieu et homme plein d’amour, des lumières sur la destinée éternelle qui attend tous ceux
qui veulent aimer… Ce sont des mots simples, ceux d’une maman, qui, dans la gloire, revit, relit pour le monde d’aujourd’hui sa vie sur la terre. C’est une parole qui fascine l’âme
du lecteur qui se remplit de lumière, de paix, d’amour, de joie.
Marie: «Pour en revenir, par la pensée à l’enfance et à la prime jeunesse de Jésus, je voudrais vous dire beaucoup de choses, ainsi vous l’aimerez encore plus…» (P. 59).
En effet, la connaissance fait grandir l’amour. Et qui mieux que Marie, sa mère, pourrait mieux faire connaître son Fils? Et avec quelle finesse et délicatesse de coeur! Marie, éducatrice du Verbe de Dieu, devenue éducatrice des enfants de Dieu! Ces confidences révèlent en profondeur l’âme de notre maman du Ciel. Elles révéleront aussi les pensées
d’un grand nombre: «Je te bénis, Seigneur, d’avoir caché ces choses aux sages et aux savants et de les avoir révélées aux tout-petits.» (Lc 10,21) A l’heure où nombre de ceux qui ont été appelés à enseigner le peuple, n’enseignent qu’eux-mêmes, la Providence pourvoit et l’Esprit Saint donne la “manne céleste” à ces pauvres de coeur. Voici une catéchèse extraordinaire, une catéchèse qui pénètre par le coeur, car ces paroles d’amour débordent du coeur de notre Mère; une catéchèse qui va remettre en place en douceur tant de confusions dues à de faux discours et à des interprétations erronées sur Jésus, sur la rédaction des Evangiles… «D’autres dans le monde écrivent à Mon sujet, mais Ma vie est celle-ci, celle que je te décris!» (p. 584) Voici un magnifique cadeau du Ciel que Giuliana Buttini a reçu de la Vierge Marie elle-même, après avoir été éprouvée par la perte de son fils unique, Armando.

Christian Parmantier

Tous le regardaient, mais ils ne savaient pas ce qu’Il allait faire plus tard
23 novembre 1981
Marie: Jésus avait un petit escabeau en bois clair que Joseph avait fait. Parfois, Il le plaçait dans un coin de la pièce et s’y asseyait pensif. D’autres fois, Il s’en servait pour manger ou boire quelque chose en s’y asseyant. Je le revois ainsi avec une écuelle plutôt grande, remplie de lait, qu’Il tenait dans ses tendres petites mains… Ces mains qui un jour allaient être percées. Beaucoup disent qu’il y a des personnes qui souffrent des mois, des années de maladies physiques, Jésus a souffert trois jours!
Jésus a souffert intensément durant ces trois jours et au cours de son temps, Il a souffert de douleurs spirituelles déchirantes. Chaque fois qu’Il perdait pour toujours une âme, quand Il voyait, comme Dieu, Il souffrait comme vous quand un membre de votre famille vous quitte pour venir chez Nous ou pour aller vers sa purification. Jésus souffrait pour la véritable mort de ceux qui n’ont pas su aimer et parmi eux tous ceux qui devront encore venir. Et les sacrifices, les renoncements de chaque jour, qui les connaît?
«Immi1, Je ne mange pas ce petit pain, Je vais l’apporter à ce petit garçon qui habite au bout de la rue…» Générosité d’un enfant, amour de Dieu! «Voici, ceci est Mon Corps, ceci est Mon Sang.» J’avais tissé un rideau, il avait des rayures rouges et presque blanches, les trames peu serrées du tissu le rendaient presque transparent: «Qu’il est beau ce rideau,
Immi! Regarde, il colore les rayons du soleil!»
Jésus voyait la beauté en chaque chose, Il la découvrait: un hanneton, une feuille, un rayon de lumière. Son Coeur miséricordieux! Il cherche le bien caché dans les âmes pour pardonner le mal évident en elles et pour comprendre les êtres humains. «Immi, beaucoup d’hommes semblent mauvais, parce que personne ne les aime…»
Lui, les aime tous et beaucoup sont tout de même mauvais. On dit que Jésus ne savait pas écrire… Il n’a rien laissé par écrit, Il a préféré laisser des écrits dans le coeur des justes et des saints: «Aimez-vous les uns les autres!» Il savait écrire… A Dieu rien n’est impossible, donc, même se servir d’une plume… Comme homme, Il savait écrire, c’est Moi qui le lui ai appris. J’avais appris au Temple, mais Je vous le répète, Il n’avait pas besoin d’écrire; ce qui comptait pour lui, c’était que ce soit écrit dans le coeur des hommes: «Aimez-vous les uns les autres!» Il était simple et très profond dans sa manière de parler. Il a parlé pour tous, pour les savants et pour ceux qui n’étaient pas instruits, pour les grands et pour ses bien-aimés petits de la terre. Mon Fils: l’Homme Dieu! Il avait vingt ans, Il était un très beau jeune homme.
«Ce garçon semble fils de roi et non celui d’un charpentier…» Tous le regardaient, mais ils ne savaient pas ce qu’Il allait faire plus tard, ni qui Il était vraiment. Moi, Je savais qu’un jour Il allait me quitter… Presque tous les enfants quittent leur première demeure. Les enfants appartiennent d’abord à Dieu et ensuite à leurs parents. Au-delà du temps, Dieu rend chaque enfant; Il rend les enfants à ceux à qui Il les a enlevés en vue d’un bien plus grand. Mon Fils, le Fils Unique du Dieu vivant venu pour prendre sur lui les péchés du monde.
Pour beaucoup, il est difficile de croire en sa divinité. Ils disent qu’Il est un prophète… Et les miracles? Pour eux, ils tiennent de la légende, ou encore, ils pourront un jour les expliquer par la science. Et le miracle d’un homme qui est Dieu, suivi par des hommes sans aucune culture et ordinaires qui vont porter au monde la Vérité qui sera transmise à travers les siècles grâce à eux? Le miracle de la parole non écrite par Jésus, mais transmise par les évangélistes au cours du temps. Et d’autres paroles de la Parole qu’Il vous transmet maintenant pour l’ultime oeuvre de salut? Et les miracles les plus importants, ceux qui sont invisibles? Les spirituels?

Giuliana Buttini,
«Ma vie à Nazareth» p. 54-56.

Note:
1. Par ce mot araméen «immi», Jésus disait «maman».
Littérature:
«Ma vie à Nazareth» Messages de la Vierge Marie, Giuliana Buttini, 624 pages, Euro 26.– CHF 34.–






































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Message  fabienne Ven 14 Oct 2011 - 12:08

Témoignage (2e partie) – Ma vie à Nazareth
Une mystique italienne à découvrir
Giuliana Buttini (1921-2003)

STELLA MARIS 480 SOMMAIRE





Un livre passionnant vient de sortir aux Editions du Parvis: Ma vie à Nazareth, messages de la Madone (1973-2003). Magnifique cadeau du Ciel que Giuliana Buttini a reçu de la Vierge Marie elle-même, en de petits récits sur sa vie simple à Nazareth, avec Jésus et Joseph.
Suite du témoignage d’une parente de Giuliana. (cf SM.479)
Luigi, comme un grand frère, m’aida à comprendre beaucoup de choses sur la religion. Après la mort d’Armando, il suivit ce qui arrivait à Giuliana et décida d’étudier la théologie pour mieux comprendre et pour parler avec des autorités du Vatican qui le fréquentaient. Il fut d’un grand soutien pour sa femme; il retapait à la machine les messages reçus, faisant même imprimer quelques livres. Ils visitaient des amis communs qui, ayant compris que c’était quelque chose d’important, s’intéressaient à ce que recevait Giuliana. Parfois, elle était rétive, elle se sentait observée, scrutée, comme une chose rare… mais elle comprenait l’importance de certaines rencontres; pour cette raison, elle suivait Luigi. Ils furent reçus au Vatican. Autour d’une grande table, il y avait des prélats, des évêques, des cardinaux; au milieu de la table, une lettre fermée, cachetée à la cire. Ils lui dirent que, dans cette lettre, il y avait des questions de grands théologiens adressées à saint Augustin. Elle répondit que cela ne dépendait pas d’elle… Un peu après, elle demanda à Luigi son livre et se mit à écrire rapidement. Et puis, comme elle le faisait toujours, elle remit le livre à son mari pour qu’il lise: C’était les réponses de saint Augustin à chaque question! Ils ouvrirent l’enveloppe; certains constatèrent étonnés… et d’autres, malgré tout, demeurèrent incrédules… à la mesure de leur foi! Un jour, Giuliana dit à Luigi: C’est un tel qui dit être Paul de la Croix. Et Luigi qui n’en avait jamais entendu parler suggéra: “Ce sera saint Jean de la Croix”. “Non, il dit qu’il est Paolo Donei, le fondateur de l’Ordre des Passionistes. La Maison Mère et l’église consacrée à deux grands martyrs romains, Jean et Paul, se trouvent sur le mont Celio. Il voudrait dicter une série de messages à porter à sa Maison, parce que c’est le 250e anniversaire de l’ordre. Là, il nous fera rencontrer un de ses fils auquel nous devrons consigner les messages, en lui recommandant de les confronter avec ses anciens écrits. Et ils firent ainsi. Après avoir reçu une série de messages, ils allèrent au Mont Celio, rencontrèrent le Père Carmelo Naselli, grand prédicateur. Ils lui racontèrent tout et lui consignèrent les messages du saint. Quelques jours plus tard, le Père les chercha et voulut savoir beaucoup de choses, se rendant compte du grand charisme de Giuliana.
Ils organisèrent des rencontres spirituelles dans la Maison Mère, auxquelles participèrent de nombreuses personnes une fois par mois. Après la messe, Luigi lisait quelques messages.
Les Passionistes firent imprimer le livre intitulé: “Saint Paul de la Croix revient!” Il fut rapidement épuisé et, quand je me suis rendu auprès du Père Naselli pour acheter d’autres livres, il me dit: “Nous ne pouvons plus le faire réimprimer!” Puis, me prenant la main, affligé, il me dit: “Parlez, vous, qui êtes hors de l’Institution!”
Il y eut aussi, auprès des Passionistes, une rencontre autour d’une table. Saint Paul de la Croix vint et il dicta un message pour ses fils. Beaucoup demeurèrent frappés… et d’autres indifférents… Saint Paul de la Croix envoya beaucoup de messages, aussi personnels. Nous nous sommes pris d’affection pour lui, au point que Flavia et mon fils Roberto décidèrent de se marier dans son église. Leur mariage fut protégé, ils eurent quatre enfants. Quand naquit le second, Gianpaolo, il y eut des complications. Il les rassura en leur disant que l’enfant était sous sa protection. Il en fut ainsi; vite, il se reprit et maintenant, il est déjà lauréat. Un important message vint en présence de mes belles-filles; il nous marqua particulièrement, parce qu’il parlait des maris et l’argument n’était pas en leur faveur… Nous sommes restés baba... Tout ce qu’il a dit est vrai, j’en conviens; quelle belle secouée il fallait pour nous faire réfléchir!

Marina di san Nicola, 05/06/79

Message de saint Paul de la Croix aux épouses: Vous les épouses…
Vous les épouses, vous êtes le pivot des familles, à vous, le devoir de supporter avec patience, indulgence et compréhension. Le mariage n’est pas un point d’arrivée, mais de départ. Ne vous laissez jamais aller. Montez chaque jour une marche sur l’escalier de la sainteté, parce que c’est aussi une vocation. Cherchez à exalter les qualités de votre conjoint, à voir ses défauts avec des yeux indulgents, et… cherchez à les corriger avec une infinie douceur. Je le sais, chères épouses, ce n’est pas facile, surtout en ces temps, où on veut que tout soit facile. Mais le sacrement du mariage comporte des sacrifices et aussi des joies. Comme je vous ai dit précédemment: pour la plus grande part, cela dépend de vous, les épouses, de rendre faciles, les choses plus difficiles. Il peut même arriver un moment de larmes (mais cachées), patience. Demandez à Dieu suprême bien, l’aide pour l’âme de votre époux. Parfois, il arrive à la maison, fatigué et préoccupé, et alors il désire trouver chez lui cette paix qu’il n’a pas eue durant la journée. Si alors il trouve l’épouse grognon, qui se lamente d’avoir eu une journée difficile, toute la paix qu’il attendait s’évanouit, commence la mauvaise humeur qui se transmet et… adieu la paix. Et alors, paroles mauvaises, bouderie, mauvaise humeur, larmes! Non, chères épouses, soyez fortes, accueillez vos chéris avec le sourire, ne vous lamentez pas, votre époux sera si joyeux qu’il vivra des heures de paix et d’amour avec vous. Tenez ferme! Pas seulement un jour pour essayer, tous les jours! C’est difficile? Rien n’est facile sur la terre: vous êtes (constituées) pour être éprouvées; ne gaspillez jamais les heures qui peuvent être sereines! Ne faites jamais la gueule, jamais de gamineries, calme, sourire… Il semble qu’il dépend de votre volonté que tout soit simple. Soyez aussi un peu héroïques, supportez en silence les cris, parfois les mauvaises humeurs. Elles se dégonfleront par votre silence. Mordez-vous la langue! Je vous ai donné une petite leçon. Je disais les mêmes choses aux épouses de mon temps et j’obtenais de bons résultats. Avec vous, ce sera certainement la même chose. Je vous le souhaite de tout coeur, avec ma bénédiction, au nom du Seigneur notre Dieu, bien suprême.

Paolo Danei

Une certaine Nettina
Un jour, j’ai dit à Giuliana que j’avais une soeur morte à 23 ans, après dix années d’infirmité, pour une sclérose en plaques qu’alors on ne connaissait pas, c’est pourquoi elle était soignée pour autre chose. Finalement, après 15 jours aux Molinettes de Turin pour vérifications, ils comprirent et expliquèrent à ma maman que pour cette maladie, il n’y avait pas de traitement adapté… J’avais 7 ans de moins qu’elle et je l’aimais beaucoup. Je la peignais, je lui faisais les ongles, je cherchais à la faire rire… Elle était résignée; parfois je m’apercevais qu’il lui coulait des larmes… Elle souffrait en silence et offrait tout à Dieu pour le salut de la jeunesse! Nous avons su cela de notre Curé, après sa mort. Giuliana dit: “C’est une certaine Nettina…” Oui, répondis-je, c’est ma soeur Anne que nous appelions Nettina. (24/04/1978)
“Chère Luisa, je suis venue avec la permission de Notre-Seigneur, pour te dire que je vous ai toujours été proche, proche de vous tous depuis que je suis arrivée au Ciel, et cela a été rapide. Comme elle est belle ma vie, comme elles ont été précieuses pour moi, les souffrances changées en grandes joies! Comme je vous aime! Vous vous êtes toujours souvenus de moi! Tu vois, Luisa, je suis venue te dire que la vie ne finit pas, parce qu’il y a l’âme, et plus tard, nous nous reverrons! Embrasse tout le mode pour moi et pense-moi comme je suis: très heureuse!”

Ta Nettina

Personne ne voudrait retourner sur la terre
Ma soeur Franca de Turino, morte à 70 ans, après qu’elle ait fait avancer les choses que recevait Giuliana pendant dix ans, est venue peu de jours après sa mort nous dire:
“Tout ce que je vois et vis est tellement beau qu’il n’est pas possible de le décrire. Tout ce qu’on nous disait, tout ce qu’ils vous disent, c’est tout à fait vrai! Cette harmonie que maintenant je vis, c’est comme les anges la décrivaient comme il pouvaient, mais dans la réalité, c’est beaucoup mieux. Et alors je voudrais dire à tous de vivre dans la charité et dans l’amour pour obtenir ensuite cette félicité. Certainement, ici, c’est très beau, personne ne voudrait retourner sur la terre, si nous retournons de manière invisible, c’est pour vous regarder. Et Nettina est heureuse d’être avec moi, avec nous tous. La réunion d’une famille est toujours très belle… Merci, Giuliana et Luigi, pour ce que vous avez été pour moi. Je vous embrasse tous de mon âme très heureuse. La Immi1 vous sourit aussi.

Franca

Franca est encore venue nous dire dans ses 13 merveilleux messages ce qu’elle voyait et qui la réjouissait dans le royaume de Dieu. La vie sur terre est une épreuve, un examen continu et, selon la manière dont nous nous serons comportés, nous aurons à jouir dans la vraie vie. Ça vaut la peine de souffrir et d’offrir les douleurs qui nous sont données par Dieu, même si humainement c’est difficile! Ou plutôt, ça peut être un martyre… C’est ainsi que dit Jésus…

1984 La Verne et le papillon
C’était le printemps, avec Giuliana et Luigi, nous nous rendions depuis Turin, ma soeur Franca, Valerio et Marina, chez nos cousins en Romagne. C’est si beau de rester ensemble, non seulement pour l’amour qui nous liait, mais aussi pour la joie de recevoir des messages du Ciel à travers Giuliana, étonnée de tout ce qu’on recevait en ce lieu. Un jour, nous sommes allés à La Verne, où saint François reçut les stigmates. Après la messe célébrée par notre ami, le frère Teodoro, venu avec nous, Giuliana dit que saint François et son fils Armando avaient servi la messe, au dire de saint François. C’était une belle journée, mais dans les jours précédents, il avait beaucoup plu… Aussi nous ne pouvions nous asseoir à aucun endroit pour manger…
Marina alors étendit sur le coffre de la voiture une serviette, en mettant dessus, salami, fromage, rôtis, fruits, gâteaux, etc… Tous autour, debout, nous nous servions… Soudain Franca dit: “regardez le papillon!” Il était vraiment beau, grand, avec de très belles couleurs, il virevoltait ça et là, se posant sur la table improvisée, sans nous craindre, même si nous continuions à nous servir, enchanté d’une telle beauté… Tout d’un coup, Giuliana dit: “Saint François dit qu’il l’a envoyé pour notre joie, “mais… ne le mangez pas!” “Loué sois-tu, oh mon Seigneur, qui a permis à saint François de nous montrer sa présence et son amour!”

LZR In Segno 267 p. 25/26.

Note:
1. Immi en araméen veut dire maman.

Littérature:
«Ma vie à Nazareth» Messages de la Vierge Marie, Giuliana Buttini, 624 pages, 14,5x21 cm
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Message  Admin Ven 16 Juin 2017 - 19:21

@ Tous :

Cette Giuliana Buttini me laisse perplexe devant le peu de substance de ses révélations !

Ces Anges qui parlent me font penser aux anges du Nouvel Âge !

Effrayé Carton rouge !

L'Administrateur

_________________
"Le garant de ces révélations l'affirme :

"Oui, mon retour est proche!
Amen, viens, Seigneur Jésus!"


Apocalypse, 22, 20


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C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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