Signe de fête (message de Mgr Giovanni Pranzini à Mgr Ottavio Michelini).
Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: Mgr Ottavio Michelini (Italie)
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Signe de fête (message de Mgr Giovanni Pranzini à Mgr Ottavio Michelini).
15 juin 1978
Don Ottavio, tu sais que l'Eglise est un mystère où l'humain et le divin se rencontrent, s'entrelacent et se fondent. La partie humaine, tout en étant merveilleusement unie à la partie divine, demeure toujours humaine, de sorte qu'elle est sujette aux maux dérivant d'une nature affaiblie et blessée par le péché originel. L'histoire se répète, mais fait plus que se répéter; l'histoire montre que la nature humaine, depuis le moment de sa blessure mortelle, est toujours en butte à la persécution implacable de son mortel Ennemi. Si elle ne se défend pas et n'est pas défendue, elle est vaincue inexorablement. Pauvre nature humaine !
En outre, tu sais bien que l'Eglise est un "corps", un corps véritable, social mais réel, au sommet suprême duquel se trouve le divin Rédempteur, Jésus, le Verbe de Dieu fait chair. Auprès de Lui se trouve son Vicaire sur la terre. Il faut dire que le Chef divin et le chef humain gouvernent et font mouvoir le corps entier en se servant des membres, comme il advient, ni plus ni moins, dans le corps humain : de la tête partent tous les ordres qui font mouvoir les membres. De même, dans l'Eglise, de sa tête et de son sommet partent les impulsions qui mettent en mouvement les divers membres. Mais tandis que les divers organes et membres du corps humain, yeux, bouche, oreilles, jambes, bras ...ne sont ni libres ni intelligents et par conséquent se laissent librement manoeuvrer par le sommet, au contraire dans le corps social qu'est l'Eglise les membres sont libres et intelligents, ils font partie de ce corps blessé et contaminé, et par conséquent peuvent être influencés par leur Ennemi mortel; les puissances ténébreuses du Mal toujours aux aguets font pression sur leur liberté et prennent le dessus si le sujet, sur qui porte leur action maléfique, a laissé développer en lui les germes du mal injectés au moment de la chute originelle.
Je suis Mgr Giovanni Pranzini, écris.
Rappelle-toi, Don Ottavio, le jour où, dans la cathédrale de Mirandola, le 12 mars 1932, je t'ai ordonné prêtre. Dans la nuit, il tomba 12 cm de neige. Moi, ton évêque, je te dis que cette chute de neige n'était pas fortuite, mais qu'elle constituait un signe de fête, un signe que la Providence divine voulait donner pour confirmer une intuition que j'avais à ton égard, pour confirmer que ton ordination était une chose grande dans la vie de l'Eglise. Je t'avais dit ouvertement que cette chute de neige était de bon augure, mais il ne me sembla pas que toi tu aies compris. En fait, tu ne crus pas à mes paroles. A toi, cette chute de neige ne dit rien; à moi elle me disait beaucoup. Elle me disait que ton sacerdoce était marqué comme étant en dehors du commun et j'en eus la confirmation au ciel; tu en as la preuve à présent.
Tu sais déjà en quoi consiste ta mission sacerdotale: mettre sur le tapis le problème central de la Pastorale de l'Eglise universelle. C'est un problème de substance, c'est un problème central sans lequel les autres problèmes ecclésiaux n'ont pas de raison d'être.
Comment donc, Don Ottavio, peut-on expliquer que l'Eglise, vraie, une, sainte, catholique, apostolique, ait pu être obnubilée au point d'oublier sa raison d'être dans le monde, bien que ces derniers temps elle ait eu comme chefs visibles des hommes saints, tels les pontifes qui se sont succédé sur le trône de Pierre durant les cent dernières années ?
Rappelle-toi, Don Ottavio, le jour où, dans la cathédrale de Mirandola, le 12 mars 1932, je t'ai ordonné prêtre. Dans la nuit, il tomba 12 cm de neige. Moi, ton évêque, je te dis que cette chute de neige n'était pas fortuite, mais qu'elle constituait un signe de fête, un signe que la Providence divine voulait donner pour confirmer une intuition que j'avais à ton égard, pour confirmer que ton ordination était une chose grande dans la vie de l'Eglise. Je t'avais dit ouvertement que cette chute de neige était de bon augure, mais il ne me sembla pas que toi tu aies compris. En fait, tu ne crus pas à mes paroles. A toi, cette chute de neige ne dit rien; à moi elle me disait beaucoup. Elle me disait que ton sacerdoce était marqué comme étant en dehors du commun et j'en eus la confirmation au ciel; tu en as la preuve à présent.
Tu sais déjà en quoi consiste ta mission sacerdotale: mettre sur le tapis le problème central de la Pastorale de l'Eglise universelle. C'est un problème de substance, c'est un problème central sans lequel les autres problèmes ecclésiaux n'ont pas de raison d'être.
Comment donc, Don Ottavio, peut-on expliquer que l'Eglise, vraie, une, sainte, catholique, apostolique, ait pu être obnubilée au point d'oublier sa raison d'être dans le monde, bien que ces derniers temps elle ait eu comme chefs visibles des hommes saints, tels les pontifes qui se sont succédé sur le trône de Pierre durant les cent dernières années ?
L'Eglise, mystère où l'humain et le divin se rencontrent
Don Ottavio, tu sais que l'Eglise est un mystère où l'humain et le divin se rencontrent, s'entrelacent et se fondent. La partie humaine, tout en étant merveilleusement unie à la partie divine, demeure toujours humaine, de sorte qu'elle est sujette aux maux dérivant d'une nature affaiblie et blessée par le péché originel. L'histoire se répète, mais fait plus que se répéter; l'histoire montre que la nature humaine, depuis le moment de sa blessure mortelle, est toujours en butte à la persécution implacable de son mortel Ennemi. Si elle ne se défend pas et n'est pas défendue, elle est vaincue inexorablement. Pauvre nature humaine !
En outre, tu sais bien que l'Eglise est un "corps", un corps véritable, social mais réel, au sommet suprême duquel se trouve le divin Rédempteur, Jésus, le Verbe de Dieu fait chair. Auprès de Lui se trouve son Vicaire sur la terre. Il faut dire que le Chef divin et le chef humain gouvernent et font mouvoir le corps entier en se servant des membres, comme il advient, ni plus ni moins, dans le corps humain : de la tête partent tous les ordres qui font mouvoir les membres. De même, dans l'Eglise, de sa tête et de son sommet partent les impulsions qui mettent en mouvement les divers membres. Mais tandis que les divers organes et membres du corps humain, yeux, bouche, oreilles, jambes, bras ...ne sont ni libres ni intelligents et par conséquent se laissent librement manoeuvrer par le sommet, au contraire dans le corps social qu'est l'Eglise les membres sont libres et intelligents, ils font partie de ce corps blessé et contaminé, et par conséquent peuvent être influencés par leur Ennemi mortel; les puissances ténébreuses du Mal toujours aux aguets font pression sur leur liberté et prennent le dessus si le sujet, sur qui porte leur action maléfique, a laissé développer en lui les germes du mal injectés au moment de la chute originelle.
Aucun résultat positif sans la souffrance
Don Ottavio, en d'autres termes, si les cerveaux de ceux qui sont au sommet de l'Eglise sont contaminés, la contamination s'étend forcément à toute l'Eglise ...Il t'a été dit, ne l'oublie pas, que l'obscurité spirituelle qui environne l'Eglise est causée par l'orgueil. Maintenant, comprends-moi; celui qui accède au gouvernement des Eglises par des manigances et des manoeuvres issues de l'ambition est un intrus qui n'agit pas animé par l'humilité et l'amour, mais par l'ambition et l'égoïsme comme un mercenaire. Voilà pourquoi il y en a tant qui ne sont pas des "pères" mais des bureaucrates et des fonctionnaires, qui n'ont rien à envier aux bureaucrates et aux fonctionnaires d'une société sans Dieu et par conséquent sans amour.
Don Ottavio, c'est terrible, mais c'est ainsi. Tu comprends alors pourquoi il t'est suggéré avec tant d'insistance de proposer de nouveau à l'Eglise d'étudier le problème fondamental de sa raison d'être au centre du monde et des peuples, c'est-à-dire la lutte sans trêve entre la Lumière et les ténèbres, entre Dieu et Satan, entre le Bien et le Mal. Ne t'étonne donc pas de la succession de messages remplis tous des mêmes appels sur le plus grand problème de la Pastorale.
Tu es en train de travailler pour la nouvelle Eglise. Ce doit être pour toi un motif de joie, même si ce travail est intimement lié à la Croix.
Aucun résultat positif de ta mission sans la souffrance, que tu as déjà expérimentée et que tu expérimenteras davantage encore par la suite.
Que Dieu Tout-Puissant, Un et Trine, le Verbe éternel de Dieu, personnellement présent dans son Eglise, et sa Très Sainte Mère te bénissent, vous bénissent, maintenant et toujours.
(Source : Editions du Parvis – Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles – 1990 – chapitre 86 pages 173/174).Don Ottavio, c'est terrible, mais c'est ainsi. Tu comprends alors pourquoi il t'est suggéré avec tant d'insistance de proposer de nouveau à l'Eglise d'étudier le problème fondamental de sa raison d'être au centre du monde et des peuples, c'est-à-dire la lutte sans trêve entre la Lumière et les ténèbres, entre Dieu et Satan, entre le Bien et le Mal. Ne t'étonne donc pas de la succession de messages remplis tous des mêmes appels sur le plus grand problème de la Pastorale.
Tu es en train de travailler pour la nouvelle Eglise. Ce doit être pour toi un motif de joie, même si ce travail est intimement lié à la Croix.
Aucun résultat positif de ta mission sans la souffrance, que tu as déjà expérimentée et que tu expérimenteras davantage encore par la suite.
Que Dieu Tout-Puissant, Un et Trine, le Verbe éternel de Dieu, personnellement présent dans son Eglise, et sa Très Sainte Mère te bénissent, vous bénissent, maintenant et toujours.
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