Une grande humilité (message de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles).
Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: Mgr Ottavio Michelini (Italie)
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Une grande humilité (message de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles).
16 juin 1976
Je te bénis, mon fils.
(Source : Editions du Parvis – Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles – 1990 – chapitre 110 pages 227/228).
Avez-vous considéré les circonstances dans lesquelles le Malin me tenta, spécialement dans le désert ?
Ces circonstances de temps et de lieu doivent être considérées attentivement, car Moi, Verbe éternel de Dieu, Je n'ai rien dit qui ne fût inspiré par une très haute fin. Et si J'ai permis à Satan de s'approcher de Moi pour me tenter, Je l'ai fait pour que vous, à qui Je pensais, que Je voyais, vous appreniez comment on doit affronter le Malin et ses perfides troupes.
La tentation est venue à la fin de mon séjour au désert, est venue à la fin de mon jeûne.
Moi, Homme et Dieu, J'ai voulu vous indiquer une disposition de lutte. J'ai voulu vous dire : prière et pénitence; beaucoup de prière et beaucoup de pénitence ! De cette façon seulement, on peut espérer sortir victorieux du combat.
Aujourd'hui, les forces de l'enfer courent de par le monde et se comportent en maîtres, ricanant de la naïveté de ceux qui devraient, bien cuirassés, avancer en première ligne contre elles.
Ces circonstances de temps et de lieu doivent être considérées attentivement, car Moi, Verbe éternel de Dieu, Je n'ai rien dit qui ne fût inspiré par une très haute fin. Et si J'ai permis à Satan de s'approcher de Moi pour me tenter, Je l'ai fait pour que vous, à qui Je pensais, que Je voyais, vous appreniez comment on doit affronter le Malin et ses perfides troupes.
La tentation est venue à la fin de mon séjour au désert, est venue à la fin de mon jeûne.
Moi, Homme et Dieu, J'ai voulu vous indiquer une disposition de lutte. J'ai voulu vous dire : prière et pénitence; beaucoup de prière et beaucoup de pénitence ! De cette façon seulement, on peut espérer sortir victorieux du combat.
Aujourd'hui, les forces de l'enfer courent de par le monde et se comportent en maîtres, ricanant de la naïveté de ceux qui devraient, bien cuirassés, avancer en première ligne contre elles.
Incohérence
L'enfer ne craint aujourd'hui ni évêques ni prêtres, à part les exceptions habituelles, parce qu'ils n'ont pas le moins du monde la vision ni donc la conviction que l'enjeu fondamental de l'Eglise est le salut de vos âmes, et qu'il y aune lutte à mener contre ceux qui veulent leur perdition. Au contraire, ils réagissent négativement devant ces réalités spirituelles et devant mes présents appels ...
Ils réagissent négativement et confirment de cette façon leur incurable aveuglement et leur incohérence dans une mission qui fut désirée non pour le bien des âmes, mais pour des intérêts propres, c'est-à-dire ceux de leur propre orgueil.
Etant donné que vous vous êtes enracinés dans une attitude anti-pastorale, il faut maintenant un acte de grande humilité pour en sortir. Un acte de bonne volonté vous ramènera bien vite sur le plan qui convient.
A maux extrêmes, dites-vous, remèdes extrêmes! Eh bien, Je vous dis : c'est certainement un remède extrême, c'est certainement une chose difficile pour un évêque que de prendre la décision de convoquer ses prêtres autour de lui pour leur dire :
«Mes fils, nous avons été tous un peu trompés, nous nous sommes laissé fourvoyer par les artifices de nos irréductibles ennemis spirituels. Ils ont réussi à détourner notre attention d'un problème vital de la Pastorale, à savoir celui de baser notre action sur une vision plus juste, plus réaliste et plus en rapport avec les besoins et les intérêts des âmes.
Moi, Pasteur d'âmes, je serai plus proche de ceux qui souffrent par la faute des forces obscures de l'enfer et je serai plus vigilant à protéger mon troupeau en usant des moyens que Lui, le divin Maître, m'a indiqués par l'exemple et par la parole. »
Ils réagissent négativement et confirment de cette façon leur incurable aveuglement et leur incohérence dans une mission qui fut désirée non pour le bien des âmes, mais pour des intérêts propres, c'est-à-dire ceux de leur propre orgueil.
Etant donné que vous vous êtes enracinés dans une attitude anti-pastorale, il faut maintenant un acte de grande humilité pour en sortir. Un acte de bonne volonté vous ramènera bien vite sur le plan qui convient.
A maux extrêmes, dites-vous, remèdes extrêmes! Eh bien, Je vous dis : c'est certainement un remède extrême, c'est certainement une chose difficile pour un évêque que de prendre la décision de convoquer ses prêtres autour de lui pour leur dire :
«Mes fils, nous avons été tous un peu trompés, nous nous sommes laissé fourvoyer par les artifices de nos irréductibles ennemis spirituels. Ils ont réussi à détourner notre attention d'un problème vital de la Pastorale, à savoir celui de baser notre action sur une vision plus juste, plus réaliste et plus en rapport avec les besoins et les intérêts des âmes.
Moi, Pasteur d'âmes, je serai plus proche de ceux qui souffrent par la faute des forces obscures de l'enfer et je serai plus vigilant à protéger mon troupeau en usant des moyens que Lui, le divin Maître, m'a indiqués par l'exemple et par la parole. »
Humble courage
Mon fils, Je sais bien quelle lutte devrait soutenir un Pasteur d'âmes pour accomplir ce geste d'humilité, mais ce geste d'humilité le rendrait grand devant Dieu et grand devant l'Eglise.
Ils se revêtent parfois d'une grande humilité dans leurs discours, dans leurs homélies, mais si ensuite quelqu'un osait leur dire les choses qu'ils disent eux-mêmes, tu verrais leur réaction immédiate et leur hostilité tenace, parce qu'ils n'oublient pas, comme oublieraient de vrais pères.
Essaie, fils, de comparer l'onctueuse humilité qui ressort de certaines confessions publiques de leur misères, de leurs limites, avec l'humilité vraie de saint François qui disait à son compagnon de voyage: «Mon frère, si, quand nous serons arrivés, on nous fermait la porte au nez, puis si encore on nous insultait et on nous donnait des coups de bâton, et plus encore si, dans ce piteux état, on nous jetait par terre dans la neige, cela serait la vraie joie, la vraie jubilation. »
Le fait de recevoir le baiser d'amour donné par l'Apôtre-traître n'a pas été en Moi une pseudo-humilité, mais une vraie humilité.
Le fait d'oublier l'offense, pourtant si atroce, de Pierre qui me renia trois fois, n'a pas été un artifice de ma part.
S'ils méditaient sérieusement ces épisodes de ma vie, que de choses changeraient !
Ils se revêtent parfois d'une grande humilité dans leurs discours, dans leurs homélies, mais si ensuite quelqu'un osait leur dire les choses qu'ils disent eux-mêmes, tu verrais leur réaction immédiate et leur hostilité tenace, parce qu'ils n'oublient pas, comme oublieraient de vrais pères.
Essaie, fils, de comparer l'onctueuse humilité qui ressort de certaines confessions publiques de leur misères, de leurs limites, avec l'humilité vraie de saint François qui disait à son compagnon de voyage: «Mon frère, si, quand nous serons arrivés, on nous fermait la porte au nez, puis si encore on nous insultait et on nous donnait des coups de bâton, et plus encore si, dans ce piteux état, on nous jetait par terre dans la neige, cela serait la vraie joie, la vraie jubilation. »
Le fait de recevoir le baiser d'amour donné par l'Apôtre-traître n'a pas été en Moi une pseudo-humilité, mais une vraie humilité.
Le fait d'oublier l'offense, pourtant si atroce, de Pierre qui me renia trois fois, n'a pas été un artifice de ma part.
S'ils méditaient sérieusement ces épisodes de ma vie, que de choses changeraient !
Je te bénis, mon fils.
(Source : Editions du Parvis – Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles – 1990 – chapitre 110 pages 227/228).
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