Les pleurs ne sont pas un indice de faiblesse (message de Jésus à tous).
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Message  Invité Sam 29 Oct 2011 - 12:16

30 septembre 1975
Mon fils, Moi J'ai pleuré, et pas seulement une fois comme certains croient. J'ai pleuré en contemplant la ville, objet de mon grand amour. Mes larmes n'étaient que le débordement d'une douleur que mon Coeur ne pouvait plus contenir. J'ai pleuré, non par faiblesse, mais bien parce que Je voyais les plaies, la dissolution de la ville bien-aimée, et son sort marqué par la Justice divine.
Comme ils sont sots ceux qui, avec une opiniâtre obstination, pensent pouvoir se moquer de Dieu, ou ceux qui pensent pouvoir persévérer dans leurs péchés en se fiant à la Miséricorde divine. Ils oublient, comme Je te l'ai déjà dit, qu'en Dieu la Miséricorde et la Justice sont inséparables, parce qu'elles sont une seule et même chose.
Fils, Je n'ai pas pleuré que sur la ville aimée entre toutes, J'ai pleuré de nombreuses autres fois sur la ruine des âmes aimées au point que pour elles Je n'ai pas hésité à m'immoler, comme victime d'expiation et de réconciliation, sur le Calvaire et sur les autels. J'ai pleuré pour Judas, comme tu le sais déjà, non pas tant pour la trahison perpétrée à mon égard que pour la ruine de son âme orgueilleuse, luxurieuse et impénitente.
Judas a résisté à mon Amour, à toute impulsion de ma grâce. Il aurait suffi d'un simple acte de repentir de sa part et Moi, avec joie, Je l'aurais sauvé.

C'est ce que doivent bien considérer les Judas qui existent au centuple en ces temps, et ce que doivent considérer mes nombreux fils qui s'obstinent à me refuser.
Donc, mes pleurs ne sont pas un indice de faiblesse mais le débordement de la douleur de mon Coeur, mortellement blessé par la ruine de tant d'âmes, dont beaucoup pourtant me sont consacrées.

La Maman a aussi pleuré
Ma Mère, la plus forte et la plus courageuse de toutes les mamans de l'humanité, a versé des larmes amères, dans les temps passés et présents, au milieu de la quasi totale insensibilité de beaucoup de prêtres et de fidèles.
Elle connaît bien la grave crise dont souffrent mon Eglise et le monde entier, sourds à tout appel de mon Coeur Miséricordieux, plongés dans une obscurité effrayante, prélude de la prochaine tempête.
Qu'ils ne rient pas, les fils du péché ! Qu'ils ne rient pas, les fils des ténèbres! L'épée de la divine Justice est suspendue sur leur tête !

Fils, que pouvais-Je faire pour ma chère et bien-aimée ville ? C'est alors que Je dis : «Jérusalem, Jérusalem, toi qui tues les prophètes et lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois J'ai voulu rassembler tes enfants, comme la poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et tu n'as pas voulu ! Votre maison vous sera laissée déserte et de toi il ne restera pas pierre sur pierre. »

Jette la semence
Aujourd'hui mon Eglise, mes Eglises, les villes et les nations sont-elles meilleures que Jérusalem ? Mais que pouvais-Je faire que Je n'aie pas fait pour vous sauver ? Jérusalem me refusa, Jérusalem me condamna; les bons ne manquèrent pas qui accueillirent mes paroles, comme ils ne manquent pas aujourd'hui.
Villes et peuples, plongés dans un répugnant paganisme, me refusent, renouvelant l'inique condamnation.
Mon fils, le cours de la divine Justice sera inexorable et irrépressible. Transmets ce message à tes confrères, sans te soucier des réactions qui peuvent en résulter.
Comme un bon semeur, jette ta semence. Si même un seul petit grain tombe sur un bon terrain, ton travail et ta souffrance n'auront pas été inutiles. Tu auras rendu un bon service à tes confrères et tu m'auras procuré un peu de joie, au milieu des nombreuses amertumes qui me frappent.
Je te bénis, mon fils, aime-Moi !
(Source : Editions du Parvis – Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles – 1990 – chapitre 132 pages 268/269).
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