Prophéties de Marie-Julie Jahenny sur le GRAND ROI et le SAINT PONTIFE
Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: Marie-Julie Jahenny (France)
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Prophéties de Marie-Julie Jahenny sur le GRAND ROI et le SAINT PONTIFE
INTRODUCTION
COURTE BIOGRAPHIE DE MARIE-JULIE JAHENNY (1873-1941)
(Mise-à-jour du 27-11-2011)
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Marie-Julie JAHENNY est une tertiaire franciscaine stigmatisée de Blain en Bretagne qui a bénéficiée de plus de 3000 extases.
Marie Julie Jahenny naquit le 12 février 1850 à Coyault, lieu-dit de Blain (Loire-Atlantique, France) à une trentaine de kilomètres au nord de Nantes. Sa mère la consacra de suite à la Sainte Vierge, elle fut baptisée le lendemain de sa naissance, un mercredi des Cendres.
Marie-Julie avait trois ou quatre ans lorsque la famille Jahenny vint se fixer à La Fraudais, petit hameau proche de Blain, où elle vécut toute sa vie.
L'enfant n'eut que 6 mois d'école. À 16 ans, elle fut placée au service d'une famille, mais sa faible constitution ne lui permit d'y rester que 6 mois, ce fut suffisant pour édifier ses maîtres.
Dès son plus jeune âge, elle eut un grand amour de la prière et de la Croix, elle s'imposait de redoutables mortifications à l'insu de ses parents.
Paysanne bretonne illettrée, elle n’est jamais entrée en religion, mais elle s’engagea dans le tiers-ordre franciscain.
Sur les pas de St François d’Assise, Marie-Julie semble être par ses charismes, ses prophéties et sa longévité, une âme parmi les plus extraordinaires extatiques qui ont marqué l’histoire de l’Eglise contemporaine, tant sa vie fut un miracle permanent.
Le Seigneur n'a pas sauvé le monde par ses miracles mais par ses souffrances. C'est le rôle qu'assumera toute sa vie la stigmatisée de Blain pour la conversion des pécheurs et le salut de la France. De la mission de Marie-Julie, le Sacré-Cœur dévoilait :
« La bienheureuse Marguerite-Marie a été choisie pour publier la gloire de Mon Sacré-Cœur et toi, tu es choisie pour publier la gloire de Ma Croix ».
Et encore :
« Marguerite-Marie a eu pour mission de révéler au monde les tendresses ineffables de Mon Cœur, tu as celle de les donner ».
Dans la chambre de sa petite chaumière de La Fraudais, de 1873 à 1941, Marie-Julie fut favorisée de plus de 3000 extases, connue de tous les papes, et de nombreuses visites du Christ et de la Sainte Vierge. Marie-Julie eut des dialogues avec plus de deux cents saints. Marie-Julie reçut de très nombreuses visions et prophéties lors de ses extases. Durant des heures, elle était en colloque avec le Ciel et ses proches se firent écrivains bénévoles pour rédiger en double exemplaire des milliers de pages. Dans la cellule de la stigmatisée, d’innombrables visiteurs reçurent aussi grâce et réconfort : guérisons des corps et des âmes, vocations religieuses et sacerdotales annoncées ou confirmées, immolations acceptées. Marie-Julie prodiguait de sages conseils pour les temps très durs que nous allons vivre.
Elle reçut les stigmates du Christ à 23 ans en 1873, et les porta visibles pendant 62 ans. Dès juin 1880, et pendant 4 longues années, elle fut privée de l’ouïe, de la parole, de la vue et de l’usage de ses membres. Cependant, devenue sourde, elle entendait et comprenait la parole du prêtre lorsqu’il lui parlait en latin, elle qui n’avait aucune instruction ; privée de l’usage de la parole, dans ses extases, sa langue se déliait. Aveugle, elle voyait les apparitions du Ciel. Frappée de paralysie durant une longue période, elle retrouvait sa mobilité chaque vendredi pendant une heure, le temps de pouvoir faire son Chemin de Croix. Marie-Julie fut gratifiée de nombreuses communions surnaturelles qui se produiront régulièrement et publiquement : l’hostie était toujours visible sur la langue de la stigmatisée. Marie-Julie dont la mission était d’arracher les âmes à l’empire du Démon, ne pouvait pas manquer d’attirer sur elle la rage de l’enfer. Comme le Saint Curé d’Ars, elle eut à subir de nombreux assauts du démon en embuscade au pied de son lit de souffrance.
Marie-Julie s’est éteinte paisiblement le mardi 4 mars 1941, elle avait alors quatre-vingt-onze ans.
 ce jour Marie-Julie n'a toujours pas été reconnue par l'Église. De son vivant Mgr Fournier et Mgr Le Fer de la Motte, Évêques de Nantes, lui étaient favorables et lui rendaient visite. Notre Seigneur a dit que c'est Lui qui ferait tout concernant Marie-Julie. Elle a eu également la visite du Cardinal Pacelli.
La Sainte Vierge a assisté Marie-Julie tout au long de sa vie mystique. La première apparition de Notre Dame a eu lieu le 22 février 1873.
Marie-Julie a eu de très nombreuses apparitions de Notre Seigneur. Elles ont commencé le 6 janvier 1873 et ont duré pratiquement jusqu'à sa mort.
Marie-Julie a eu des colloques avec plus de 200 saints et saintes. Grâce à elle nous avons appris beaucoup de choses concernant ces saints.
Le Docteur Imbert-Gourbeyre, spécialiste en stigmatisation, avait à la demande de Mgr Fournier examiné Marie-Julie. C'est à la suite de ces différentes visites qu'il avait pu dire : "il n'y a pas de fraude à la Fraudais".
Précisons qu'elle portait sur la poitrine une inscription stigmatique écrite par la Ste Vierge et ainsi rédigée : « Délivrance du Saint Père, triomphe de la Ste Église ».
Marie- Julie a reçu un grand nombre de communions miraculeuses. La première a eu lieu le 4 juin 1874.
 aucun moment Marie-Julie n'a donné de dates ou d'années pour les événements à venir, tout comme elle n'a jamais révélé le nom d'un Pape martyr quel qu'il soit.
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Voici quelques prédictions données par Marie-Julie dont de nombreuses se sont déjà réalisées ou sont d'actualité :
Notre Dame des Douleurs annonce :
« Je vous salue, mes enfants, de mon cœur de Mère et de toute ma tendresse. Je viens établir mon trône au milieu de vous.
- Merci, bonne Mère ! Nous aussi, nous vous saluons, du fond de nos cœurs.
- Mes enfants, ne soyez pas attristés, si vous me voyez descendre ainsi revêtue d’un deuil complet.
Pas une parcelle de son vêtement ne porte de la blancheur, ni aucune couleur réjouissante. Son front est voilé jusqu’aux sourcils. Elle est toute triste et dit : Ce n’est pas à cause de vous, mes enfants, que je porte ce vêtement noir, c’est à cause... - son cœur bat de douleur, je le vois bien - c’est à cause de cette heure malheureuse qui, pour de longs jours, va vous envelopper et achever de perdre ce malheureux royaume qui me fut si cher et qui l’est encore. Si je dis longs, c’est à cause de la profondeur de douleurs que ces jours renferment... »
Saint Michel dit :
« Mes bien-aimés fidèles, courage ! Encore un peu de temps, et vous verrez tout l’enfer se déchaîner pour tout renverser. Vous verrez des choses abominables, des violations épouvantables. La malice des hommes va encore grandir en fureur et en méchanceté. La fille aînée de l’Église sera divisée, partagée, déshonorée, souillée de crimes... C’est mon dernier mot… »
1879-01-23 :
« Ce n’est que par la douce offrande de toutes les prières, les larmes, les douleurs, les croix de Mes pauvres enfants que je prolonge encore le répit, que je retiens le coup fatal contre les pécheurs. J’offre à mon Fils les sacrifices de Ses Ministres, leurs prières et leurs croix. Je serai avec vous ».
1896-09-19 :
« Rappelez-vous mes graves paroles sur la montagne de la Salette. Le prêtre n’est plus humble et n’est plus respectueux... »
1896-12-01 :
« Quant je verrai en souffrance la vie des victimes, ma main qui bénit et qui frappe, fendra le firmament et apparaîtra aux regards de mes justes pour les diriger, comme une étoile mystérieuse, vers la terre du repos. Ensuite cette main armée de traits de vengeance, après tant de patience et de bonté, touchera la terre ; et le coup sera le grand coup de ma justice.
Un peu plus tard, sous une belle aurore d'un matin plein d'espérance, sortira un Sauveur qui sera choisi par moi pour rendre la paix à mes enfants exilés. Il bénira mes œuvres ; il favorisera mes desseins ; il sera l'ami de Dieu. Si les hommes ne font pas ce qu'ils doivent, je prendrai leur place et je ferai mon œuvre sans les hommes et malgré les hommes ».
1898-05-19 :
« Le grand Coup de la main de Dieu ne sera pas de longue durée, mais il sera si terrible que beaucoup en mourront de peur. C’est après ce grand Coup qu’arrivera le triomphe de l’Église et de la France.
D’abord paraîtra celui que la France prendra pour son sauveur : mais ce ne sera pas le vrai Sauveur : celui qui est choisi et envoyé par Dieu et qui sera des lys ».
1901-09-29 :
« J’ai encore à mes yeux, dit la Sainte Vierge, la trace des larmes que j’ai répandues à pareil jour, en voulant apporter à mes enfants la bonne nouvelle, s’ils se convertissaient, mais la triste nouvelle s’ils persistaient dans leur iniquité. On a fait peu de cas de ce que j’ai révélé...
Mes enfants, quand je me rappelle, depuis le jour où, sur la sainte montagne, j’ai apporté mes avertissements à la terre menacée... quand je me rappelle la dureté avec laquelle on a reçu mes paroles... pas tous, mais beaucoup Et ceux qui auraient dû les faire passer dans le cœur de mes enfants, avec une confiance immense et une pénétration profonde, ils n’en ont pas fait cas. Ils les ont méprisées et, pour la plus grande part, ont refusé leur confiance.
Eh bien ! je vous assure que toutes ces promesses, mes secrets intimes, vont se réaliser. Il faut qu’ils passent visiblement... Quand je vois ce qui attend la terre, mes larmes coulent encore...
Quand la terre aura été purifiée, par les châtiments, de ses crimes et de tous les vices dont elle est revêtue, de beaux jours reviendront avec le Sauveur choisi par nous, inconnu de nos enfants jusqu’ici ».
1904-08-04 :
« Dernièrement j’ai bien souffert. Quand de saints Pasteurs prêtres ont voulu que les dernières lignes de mes secrets, sur la montagne des douleurs, soient connues de tout mon peuple, d’autres pasteurs se sont révoltés. J’ai eu la douleur de voir remisées, sous scellés, ces dernières pages qui auraient dû être livrées au monde... C’est parce qu’il y est grandement question des pasteurs et du sacerdoce qu’on s’est révolté, et qu’on a replié les dernières pages de ce secret divin. Comment voulez-vous que les châtiments ne tombent pas sur la terre ? On va jusqu’à envelopper mes dernières paroles sur la sainte montagne, et à les faire disparaître... jusqu’à faire souffrir ceux qui se sont dévoués pour cette sainte cause, avec la joie de me glorifier dans cette solennelle prédiction. C’est parce que ces dernières lignes sont toutes au sujet du sacerdoce - et c’est moi-même qui les ai prononcées et révélées - et que je montre comment on sert mon Fils dans les saints ordres et comment on vit son sacerdoce... »
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COURTE BIOGRAPHIE DE MARIE-JULIE JAHENNY (1873-1941)
(Mise-à-jour du 27-11-2011)
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Marie-Julie JAHENNY est une tertiaire franciscaine stigmatisée de Blain en Bretagne qui a bénéficiée de plus de 3000 extases.
Marie Julie Jahenny naquit le 12 février 1850 à Coyault, lieu-dit de Blain (Loire-Atlantique, France) à une trentaine de kilomètres au nord de Nantes. Sa mère la consacra de suite à la Sainte Vierge, elle fut baptisée le lendemain de sa naissance, un mercredi des Cendres.
Marie-Julie avait trois ou quatre ans lorsque la famille Jahenny vint se fixer à La Fraudais, petit hameau proche de Blain, où elle vécut toute sa vie.
L'enfant n'eut que 6 mois d'école. À 16 ans, elle fut placée au service d'une famille, mais sa faible constitution ne lui permit d'y rester que 6 mois, ce fut suffisant pour édifier ses maîtres.
Dès son plus jeune âge, elle eut un grand amour de la prière et de la Croix, elle s'imposait de redoutables mortifications à l'insu de ses parents.
Paysanne bretonne illettrée, elle n’est jamais entrée en religion, mais elle s’engagea dans le tiers-ordre franciscain.
Sur les pas de St François d’Assise, Marie-Julie semble être par ses charismes, ses prophéties et sa longévité, une âme parmi les plus extraordinaires extatiques qui ont marqué l’histoire de l’Eglise contemporaine, tant sa vie fut un miracle permanent.
Le Seigneur n'a pas sauvé le monde par ses miracles mais par ses souffrances. C'est le rôle qu'assumera toute sa vie la stigmatisée de Blain pour la conversion des pécheurs et le salut de la France. De la mission de Marie-Julie, le Sacré-Cœur dévoilait :
« La bienheureuse Marguerite-Marie a été choisie pour publier la gloire de Mon Sacré-Cœur et toi, tu es choisie pour publier la gloire de Ma Croix ».
Et encore :
« Marguerite-Marie a eu pour mission de révéler au monde les tendresses ineffables de Mon Cœur, tu as celle de les donner ».
Dans la chambre de sa petite chaumière de La Fraudais, de 1873 à 1941, Marie-Julie fut favorisée de plus de 3000 extases, connue de tous les papes, et de nombreuses visites du Christ et de la Sainte Vierge. Marie-Julie eut des dialogues avec plus de deux cents saints. Marie-Julie reçut de très nombreuses visions et prophéties lors de ses extases. Durant des heures, elle était en colloque avec le Ciel et ses proches se firent écrivains bénévoles pour rédiger en double exemplaire des milliers de pages. Dans la cellule de la stigmatisée, d’innombrables visiteurs reçurent aussi grâce et réconfort : guérisons des corps et des âmes, vocations religieuses et sacerdotales annoncées ou confirmées, immolations acceptées. Marie-Julie prodiguait de sages conseils pour les temps très durs que nous allons vivre.
Elle reçut les stigmates du Christ à 23 ans en 1873, et les porta visibles pendant 62 ans. Dès juin 1880, et pendant 4 longues années, elle fut privée de l’ouïe, de la parole, de la vue et de l’usage de ses membres. Cependant, devenue sourde, elle entendait et comprenait la parole du prêtre lorsqu’il lui parlait en latin, elle qui n’avait aucune instruction ; privée de l’usage de la parole, dans ses extases, sa langue se déliait. Aveugle, elle voyait les apparitions du Ciel. Frappée de paralysie durant une longue période, elle retrouvait sa mobilité chaque vendredi pendant une heure, le temps de pouvoir faire son Chemin de Croix. Marie-Julie fut gratifiée de nombreuses communions surnaturelles qui se produiront régulièrement et publiquement : l’hostie était toujours visible sur la langue de la stigmatisée. Marie-Julie dont la mission était d’arracher les âmes à l’empire du Démon, ne pouvait pas manquer d’attirer sur elle la rage de l’enfer. Comme le Saint Curé d’Ars, elle eut à subir de nombreux assauts du démon en embuscade au pied de son lit de souffrance.
Marie-Julie s’est éteinte paisiblement le mardi 4 mars 1941, elle avait alors quatre-vingt-onze ans.
 ce jour Marie-Julie n'a toujours pas été reconnue par l'Église. De son vivant Mgr Fournier et Mgr Le Fer de la Motte, Évêques de Nantes, lui étaient favorables et lui rendaient visite. Notre Seigneur a dit que c'est Lui qui ferait tout concernant Marie-Julie. Elle a eu également la visite du Cardinal Pacelli.
La Sainte Vierge a assisté Marie-Julie tout au long de sa vie mystique. La première apparition de Notre Dame a eu lieu le 22 février 1873.
Marie-Julie a eu de très nombreuses apparitions de Notre Seigneur. Elles ont commencé le 6 janvier 1873 et ont duré pratiquement jusqu'à sa mort.
Marie-Julie a eu des colloques avec plus de 200 saints et saintes. Grâce à elle nous avons appris beaucoup de choses concernant ces saints.
Le Docteur Imbert-Gourbeyre, spécialiste en stigmatisation, avait à la demande de Mgr Fournier examiné Marie-Julie. C'est à la suite de ces différentes visites qu'il avait pu dire : "il n'y a pas de fraude à la Fraudais".
Précisons qu'elle portait sur la poitrine une inscription stigmatique écrite par la Ste Vierge et ainsi rédigée : « Délivrance du Saint Père, triomphe de la Ste Église ».
Marie- Julie a reçu un grand nombre de communions miraculeuses. La première a eu lieu le 4 juin 1874.
 aucun moment Marie-Julie n'a donné de dates ou d'années pour les événements à venir, tout comme elle n'a jamais révélé le nom d'un Pape martyr quel qu'il soit.
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Voici quelques prédictions données par Marie-Julie dont de nombreuses se sont déjà réalisées ou sont d'actualité :
Notre Dame des Douleurs annonce :
« Je vous salue, mes enfants, de mon cœur de Mère et de toute ma tendresse. Je viens établir mon trône au milieu de vous.
- Merci, bonne Mère ! Nous aussi, nous vous saluons, du fond de nos cœurs.
- Mes enfants, ne soyez pas attristés, si vous me voyez descendre ainsi revêtue d’un deuil complet.
Pas une parcelle de son vêtement ne porte de la blancheur, ni aucune couleur réjouissante. Son front est voilé jusqu’aux sourcils. Elle est toute triste et dit : Ce n’est pas à cause de vous, mes enfants, que je porte ce vêtement noir, c’est à cause... - son cœur bat de douleur, je le vois bien - c’est à cause de cette heure malheureuse qui, pour de longs jours, va vous envelopper et achever de perdre ce malheureux royaume qui me fut si cher et qui l’est encore. Si je dis longs, c’est à cause de la profondeur de douleurs que ces jours renferment... »
Saint Michel dit :
« Mes bien-aimés fidèles, courage ! Encore un peu de temps, et vous verrez tout l’enfer se déchaîner pour tout renverser. Vous verrez des choses abominables, des violations épouvantables. La malice des hommes va encore grandir en fureur et en méchanceté. La fille aînée de l’Église sera divisée, partagée, déshonorée, souillée de crimes... C’est mon dernier mot… »
1879-01-23 :
« Ce n’est que par la douce offrande de toutes les prières, les larmes, les douleurs, les croix de Mes pauvres enfants que je prolonge encore le répit, que je retiens le coup fatal contre les pécheurs. J’offre à mon Fils les sacrifices de Ses Ministres, leurs prières et leurs croix. Je serai avec vous ».
1896-09-19 :
« Rappelez-vous mes graves paroles sur la montagne de la Salette. Le prêtre n’est plus humble et n’est plus respectueux... »
1896-12-01 :
« Quant je verrai en souffrance la vie des victimes, ma main qui bénit et qui frappe, fendra le firmament et apparaîtra aux regards de mes justes pour les diriger, comme une étoile mystérieuse, vers la terre du repos. Ensuite cette main armée de traits de vengeance, après tant de patience et de bonté, touchera la terre ; et le coup sera le grand coup de ma justice.
Un peu plus tard, sous une belle aurore d'un matin plein d'espérance, sortira un Sauveur qui sera choisi par moi pour rendre la paix à mes enfants exilés. Il bénira mes œuvres ; il favorisera mes desseins ; il sera l'ami de Dieu. Si les hommes ne font pas ce qu'ils doivent, je prendrai leur place et je ferai mon œuvre sans les hommes et malgré les hommes ».
1898-05-19 :
« Le grand Coup de la main de Dieu ne sera pas de longue durée, mais il sera si terrible que beaucoup en mourront de peur. C’est après ce grand Coup qu’arrivera le triomphe de l’Église et de la France.
D’abord paraîtra celui que la France prendra pour son sauveur : mais ce ne sera pas le vrai Sauveur : celui qui est choisi et envoyé par Dieu et qui sera des lys ».
1901-09-29 :
« J’ai encore à mes yeux, dit la Sainte Vierge, la trace des larmes que j’ai répandues à pareil jour, en voulant apporter à mes enfants la bonne nouvelle, s’ils se convertissaient, mais la triste nouvelle s’ils persistaient dans leur iniquité. On a fait peu de cas de ce que j’ai révélé...
Mes enfants, quand je me rappelle, depuis le jour où, sur la sainte montagne, j’ai apporté mes avertissements à la terre menacée... quand je me rappelle la dureté avec laquelle on a reçu mes paroles... pas tous, mais beaucoup Et ceux qui auraient dû les faire passer dans le cœur de mes enfants, avec une confiance immense et une pénétration profonde, ils n’en ont pas fait cas. Ils les ont méprisées et, pour la plus grande part, ont refusé leur confiance.
Eh bien ! je vous assure que toutes ces promesses, mes secrets intimes, vont se réaliser. Il faut qu’ils passent visiblement... Quand je vois ce qui attend la terre, mes larmes coulent encore...
Quand la terre aura été purifiée, par les châtiments, de ses crimes et de tous les vices dont elle est revêtue, de beaux jours reviendront avec le Sauveur choisi par nous, inconnu de nos enfants jusqu’ici ».
1904-08-04 :
« Dernièrement j’ai bien souffert. Quand de saints Pasteurs prêtres ont voulu que les dernières lignes de mes secrets, sur la montagne des douleurs, soient connues de tout mon peuple, d’autres pasteurs se sont révoltés. J’ai eu la douleur de voir remisées, sous scellés, ces dernières pages qui auraient dû être livrées au monde... C’est parce qu’il y est grandement question des pasteurs et du sacerdoce qu’on s’est révolté, et qu’on a replié les dernières pages de ce secret divin. Comment voulez-vous que les châtiments ne tombent pas sur la terre ? On va jusqu’à envelopper mes dernières paroles sur la sainte montagne, et à les faire disparaître... jusqu’à faire souffrir ceux qui se sont dévoués pour cette sainte cause, avec la joie de me glorifier dans cette solennelle prédiction. C’est parce que ces dernières lignes sont toutes au sujet du sacerdoce - et c’est moi-même qui les ai prononcées et révélées - et que je montre comment on sert mon Fils dans les saints ordres et comment on vit son sacerdoce... »
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Poirot- Deuxième Demeure : Je m'applique à l'oraison.
- Messages : 93
Date d'inscription : 29/04/2010
LA MISSION SPIRITUELLE DE MARIE-JULIE JAHENNY
LA MISSION SPIRITUELLE DE MARIE-JULIE JAHENNY :
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 27-11-2011)
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La mission spirituelle de Marie-Julie Jahenny est essentiellement de nous avoir obtenu le Grand Monarque à venir par l’incroyable étendue de ses souffrances offertes, en plus de 70 années de vie mystique. Aucune autre âme privilégiée n’a été autant favorisée que Marie-Julie en annonces prophétiques.
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Le Message de La Fraudais :
Les Français vivront la grande espérance dans l'attente de leur sauveur, Henri de la Croix.
C'est saint Michel qui sera chargé de nous le présenter, protégé contre ses ennemis par une nuée opaque et sombre de leur côté. Du côté du Roi et de son escorte la nuée ferme est lumineuse. La terre reste ferme sous les pieds du Roi et de son escorte.
Alors se réalisera l'annonce de la vision du ciel faite à Marie-Julie et rappela le 13 octobre 1917 par - la Sainte Vierge à Fatima : (Vous venez de voir la danse du soleil. Je suis Notre-Dame du Rosaire, je reviendrai une septième fois, j'y ferai un miracle plus grand que verra le monde entier ». Alors le ciel s'ouvrira, le Christ aux plaies sanglantes et glorieuses, apparaîtra, accompagné de la Reine du ciel, de saint Joseph, des anges et des saints et saintes de France. La grande espérance sera réalisée. L'action de grâces éclatera universelle, la France réalisera le bienfait de la paix et la fin du cauchemar.
Pour autant les événements terminés pour la France ne le seront pas encore pour l'Europe et pour le monde.
Au reste, l'incident historique de la « Fuite en Egypte de la Sainte Famille », sera vécu par une foule de gens. Que de familles seront prévenues i miraculeusement en quelque point de la France de partir pour éviter un danger mortel.
II y a là une exigence de la Justice Divine pour faire expier, par le détachement des biens terrestres, les abus de toutes sortes. La grâce de se décider à tout quitter pour avoir la vie sauve viendra des mérites acquis par la Sainte Famille fuyant en Egypte. Les anges gardiens seront les meilleurs intermédiaires et les meilleurs protecteurs.
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Parole de Notre Dame des Douleurs à Marie-Julie et à ses amis :
« Je vous salue, mes enfants, de mon cœur de Mère et de toute ma tendresse. Je viens établir mon trône au milieu de vous.
- Merci, bonne Mère ! Nous aussi, nous vous saluons, du fond de nos cœurs.
- Mes enfants, ne soyez pas attristés, si vous me voyez descendre ainsi revêtue d’un deuil complet.
Pas une parcelle de son vêtement ne porte de la blancheur, ni aucune couleur réjouissante. Son front est voilé jusqu’aux sourcils. Elle est toute triste et dit : Ce n’est pas à cause de vous, mes enfants, que je porte ce vêtement noir, c’est à cause... - son cœur bat de douleur, je le vois bien - c’est à cause de cette heure malheureuse qui, pour de longs jours, va vous envelopper et achever de perdre ce malheureux royaume qui me fut si cher et qui l’est encore. Si je dis longs, c’est à cause de la profondeur de douleurs que ces jours renferment... »
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1874-01-01 :
« Elle montrait son Crucifix, comme on montre une arme redoutable, un livre admirable, une consolation inégalable.
Toute sa vie, elle a été à la Fraudais comme un Saint Jean-Baptiste, le prophète du désert. Elle a montré du doigt sur son Crucifix, et sur elle-même, véritable crucifix vivant, l’Agneau de Dieu qui porte les péchés du monde. Tout au long de cette vie de "prière, de souffrance offerte, d’obéissance avec Jésus", selon sa devise, elle a dit et répété l’éternelle Vérité que le monde refuse ».
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1874-03-19 :
« Au début de sa vie mystique, Marie-Julie a eu comme directeur spirituel un saint prêtre, l’Abbé David, qui notait régulièrement les extases de sa dirigée :
Le 19 mars 1874, la Très Sainte Vierge avait précisé :
- Priez, priez, priez encore, Je sauverai la France mais il faut qu’elle pleure. Les larmes ne sont pas amères car la foi n’est pas morte, elle n’est qu’endormie et Je la réveillerai. Mais priez, mes enfants ! »
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1878-02-11 :
« Mon Dieu, tout Vous regarde et rien ne me regarde moi-même si ce n’est de Vous prier et de me soumettre. Je reste tranquille sur la Croix et dans Votre Amour. "
- Tu ne désespéreras jamais, dût plutôt tout s’écrouler, la terre fût-elle couverte de feu et de charbon ».
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1878-02-09 :
« Il sera élevé, ici, un Sanctuaire à la Croix et à Marie-Immaculée. Ce lieu sera vénéré par tous. J’y guérirai le corps et l’âme par une eau vive.
J’emploierai beaucoup de pierre pour les maisons où j’enfermerai les Pères de la Croix, et les orphelins de père et des veuves. Autour du Sanctuaire, d’où auront fui tous les bruits du monde, je veux faire des cloîtres de serviteurs et de vierges.
Au commencement, il y aura des difficultés, mais de courte durée.
Ce temple s’élèvera si rapidement que l’on verra bien que les Anges auront contribué à élever les murs... (Suit le plan du Sanctuaire de la Croix).
Voilà, chères victimes, des travaux où couleront vos sueurs. La France entière viendra d’abord s’abriter sous l’arbre de la Croix ; puis l’univers entier comprendra et viendra. Voilà la fontaine, je vais bientôt la remplir ».
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1878-02-11 :
« Il n’y aura aucun espoir de renouveau avant une immense purification ».
« Mon Dieu, tout Vous regarde et rien ne me regarde moi-même si ce n’est de Vous prier et de me soumettre. Je reste tranquille sur la Croix et dans Votre Amour ».
« Tu ne désespéreras jamais, dût plutôt tout s’écrouler, la terre fût-elle couverte de feu et de charbon ».
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1879-01-23 :
« Ce n’est que par la douce offrande de toutes les prières, les larmes, les douleurs, les croix de Mes pauvres enfants que je prolonge encore le répit, que je retiens le coup fatal contre les pécheurs. J’offre à mon Fils les sacrifices de Ses Ministres, leurs prières et leurs croix. Je serai avec vous ».
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1880-03-16 :
« Depuis le Calvaire jusqu’à ce jour, je n’ai jamais remarqué tant de grâces, autant qu’il en est réservé pour ce lieu. "
Le nom de "La Fraudais" signifierait "le torrent" C’est donc un lieu prédestiné au torrent de grâces, après avoir vu se déverser le torrent des souffrances, et le torrent des prières.
" Mes enfants, tant de peines, tant de croix, tant de larmes seront hautement récompensées.
Le Ciel a tout prévu... Ce lieu deviendra grand, d’une immense grandeur. Les âmes viendront, poussées par une grâce extraordinaire.
Mes enfants, une montagne a été élevée ici...
C’est mon Fils qui, à Son tour va commander. Voilà comment les œuvres secrètes arrivent doucement à leur terme, après avoir été longtemps voilées en apparence.
Vous êtes appelés à une régénération extraordinaire. Vous serez appelés les enfants du monde nouveau... »
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1880-08-30 :
L’extase qui suit nous donne une vue d’ensemble du plan divin de purification :
« Je vois qu’au moment où le Seigneur monté au Ciel, prit possession de son Royaume Éternel, à ce moment, l’enfer devint le Royaume de l’Ennemi. Le Seigneur s’empara de son royaume terrestre et dit : " Je suis établi Roi Éternel. "
Satan, furieux, cherche quelque détour pour étendre malicieusement sa puissance... Il demande un partage...
Le Seigneur lui dit : " Tu Me seras soumis, tu ne feras que ce que te permettra la Loi Éternelle...
Je te laisse le pouvoir de tenter tous les hommes, de les faire souffrir jusqu’à une certaine mesure, mais Je serai présent... Au commencement, tu ne feras pas beaucoup de prodiges ; ils te serviront à faire le mal.
Je te laisse permission de tenter Mon peuple, mais Je ne te permettrai jamais de prendre la forme divine, ni celle de figures véritables... "
Satan dit : " Je transformerai tout en outil de travail contre Vous, je mettrai la révolte, la guerre, la division partout. Je renverserai le temple de Vos prières ; j’y établirai des idoles qu’on adorera. J’y briserai tout. "
Jésus dit : " J’écraserai sous la foudre du Ciel, tous ceux qui te seront donnés pour l’enfer. Je rétablirai Mon peuple ; Je le préserverai des fléaux ; Je relèverai les ruines. Je te précipiterai dans l’abîme, mais seulement après que tu auras usé des pouvoirs que Je te laisse pour le moment... Pendant les ténèbres, il y aura beaucoup de conversions ; beaucoup d’égarés reviendront à Moi par le repentir ».
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1880-09-29 :
Je contemple le grand Archange Saint Michel sur son trône magnifique de gloire qui luit et qui rayonne d'un céleste éclat. Le Saint Archange dit :
- Je viens aujourd'hui au nom du Seigneur par son ordre et sa volonté éternelle. Je viens parler au cœur des amis de mon Divin Maître et leur apporter une parole qui est celle du Seigneur comme tous les ans.
- Merci Saint Archange, mille fois !
- Voilà, dit-il, en montrant le Sacré-Cœur de Jésus qu'il porte lui-même, la porte de ce divin cœur est ouverte, elle est si large et si grande qu'on peut entrer tous à la fois. Voilà, chers amis du Divin Cœur, la porte du refuge ouverte, la prison d'amour pour abriter tous ses enfants qu'Il veut conserver au milieu de l'orage.
- Merci Saint Archange.
- Voilà une épée flamboyante, éclatante, je viens en faire part aux amis du Sacré-Cœur, leur offrir cette épée pour le combat car l'heure n'est pas éloignée où vous tous, peuples fidèles, il faudra prendre les armes de la foi et du courage pour lutter contre l'implacable acharnement de l'enfer et de la vengeance des hommes. Je mets, par ordre du Seigneur, mon épée à votre service sans la quitter. Il dit encore : Mes amis du Sacré-Cœur, je descends avec vous, votre compagnie est celle de Jésus, vous êtes des soldats généreux et vaillants. Le Seigneur me charge de vous dire à tous, cette parole : Tenez-vous prêts vaillants serviteurs de Dieu car le Divin Maître ne va pas tarder à venir premièrement dans sa Miséricorde, secondement dans sa juste colère et vengeance. Il veut que je dise cette parole à ses amis présents et j'ai fait mon devoir.
- Merci Saint Archange.
- Voilà cette épée que je délègue aux amis du Seigneur, voilà la mienne, elles se ressemblent, elles portent toutes les deux le cachet du Seigneur ; c'est le Nom de Jésus écrit sur la lame bien gravé. Chers amis du Seigneur, nous voilà donc sur le seuil de la Miséricorde et sur le seuil de la justice du Seigneur.
Voilà la porte que le Seigneur a réservé pour ses amis, voilà l'autre voie qui est celle des malheureux que le ciel menace de foudroyer de sa colère. Voilà l'heure où nous allons tous combattre pour être témoin de choses que l'œil n' jamais vues, jamais oreilles mortelles n'a entendues ce que le Seigneur réserve pour le temps à passer sur la terre.
- Saint Archange, vous êtes tout puissant, prenez donc la défense de ces pauvres malheureux !
- Ils vont lever, dit-il, l'arme criminelle, ignoble et perfide contre Dieu et ses ministres ; ils vont lever l'étendard frémissant sous cet étendard, ils vont envelopper celle que la Sainte vierge a tant aimée, pour qui Elle a pris tant de peine.
- Pas toute, Saint Archange, de son arbre, il restera encore quelques branches par où l'étendard de l'enfer ne passera pas.
- Oui, dit l'Archange, en plusieurs parties de ce pauvre Royaume, plusieurs protections sont écrites dans le Cœur adorable. Voilà ce Cœur qui va tomber en lambeaux, sur la Croix, il sera percé par la lance criminelle des hommes, il sera, il va être profané. Prochainement le côté du Seigneur sera ouvert et le sang divin coulera avec abondance et ses gouttes se rangeront parmi celui de ses victimes qui tomberont sous l'instrument des meurtriers.
Oui, ce royaume est le royaume du meurtre, du crime, de toutes sortes d'hypocrisies et d'injustices. Son beau nom est perdu mais un seul homme est destiné pour lui rapporter et le faire fleurir comme autrefois, Saint Louis.
- Saint Michel Archange, dites donc au Seigneur qu'Il les arrête dans leur décision et qu'Il ne permette pas tant de crimes sous les yeux de ses enfants bien aimés.
- Depuis le jour où Lucifer fut précipité dans l'Abîme, depuis, cette époque est écrite dans le Sacré-Cœur, l'époque présente qui suit une marche effroyable, oui, sans l'espoir du Sacré-Cœur, mortelle sans l'espérance de la Puissance éternelle. Je te dis que l'époque de cette année et de la prochaine, est écrite en gros caractères dans le Cœur affligé de Jésus et de son auguste Mère.
- Saint Michel, si tous ceux qui veulent la guerre au Seigneur, s'Il les convertissait, elle n'existerait pas.
- Il faut qu'elle passe, elle est proche, ils remuent, ils complotent, ils trament sourdement et décident leur marche. Ils la fixent pour bien peu de temps, soyez sûrs, chers amis de la Croix que l'enfer ne va pas se reposer désormais. Il n'y a presque plus que deux jours de repos pour lui. Pour elle, ce n'est pas un repos mais c'est encore du calme et ensuite ils vont commencer leur horrible projet et ils vont sans mesure, sans retard, commencer leurs affreuses, leurs cruelles vengeances, ils attaquent tout, pas une seule chose, ne leur échappe. Ce mois qui s'écoule, puisque nous voilà à la fin, le Seigneur avait dit cette parole à Satan : " Tu ne bougeras pas, tu ne te montreras pas plus que moi par ta puissance, Je te tiens encore enchaîné. "
Saint Michel dit que Satan répondait au Seigneur : " Mes chaînes seront libres à la fin de ce mois, vous me laisserez la liberté et je vais entrer comme un grand conquérant d'abord dans le Royaume menacé qui périra. "
Le Seigneur lui dit alors :
- Il périra beaucoup, il en périra beaucoup mais beaucoup seront sauvés et auront un abri sous la Croix et dans mon Cœur.
A ces mots, Satan, blasphémant devant le Seigneur et lui jurait une haine plus que jamais infernale. Saint Michel dit que Satan vomissait sa rage devant Notre-Seigneur en lui disant :
- J'attaquerai l'Église, je renverserai la Croix, je diviserai le peuple, je déposerai dans le cœur un grand affaiblissement de la foi et il y aura un grand reniement. Il finit par dire au Seigneur :
- Je deviendrai pour quelque temps, le Maître suprême de toutes choses, j'aurai tout sous mon empire, même votre temple et les vôtres tout entiers.
Saint Michel dit que Satan aura aussi une permission pour quelque temps de tout et qu'il règnera pleinement sur toutes choses que fait le bien, la foi, la religion, tout descendra dans le tombeau d'un deuil profond. Satan et les siens triompheront joyeusement mais après ce triomphe le Seigneur prendra le sien à son tour. Il triomphera du mal et fera sortir du tombeau, l'Église ensevelie, la croix anéantie, les prières en apparence disparues, tout le peuple consterné sous l'empire des massacres mais le Seigneur fera sortir le soleil qui console après qu'il aura été obscurci.
Il est impossible, sans un miracle éclatant du ciel que le pauvre peuple français soit sauvé, car tout ce pauvre royaume est descendu aux dernières limites de la honte et du mal, un mal sans remède. Saint Michel dit :
- Je tiens mon épée car l'heure du combat va sonner, la voix de Dieu va parler, la vengeance des hommes va éclater. Je serai du côté des justes, je marcherai avec eux sous l'étendard du Sacré-Cœur, nous nous rencontrerons avec l'étendard de l'enfer, lequel des deux triomphera ? Le nôtre tombera à terre mais nous le tiendrons tout de même. Celui de l'enfer ne bronchera pas, il sera levé quand le nôtre sera prosterné et autour sont les enfants du Seigneur que sa grâce veut protéger.
- Saint Michel, tous nos chers amis qui sont sur la terre, j'en avons ben loin, il y en a un bien près aujourd'hui, je veux que vous disiez avant de vous en aller car je ne vous reverrai peut-être plus ?
- Ne t'inquiète pas, je saurai, du haut du ciel, marcher sur les remparts de la grâce jusqu'à leur demeure et les protéger de mon épée flamboyante. Sois tranquille, ils sont un bon nombre destiné pour publier les merveilles du Seigneur. Vois-tu qu'ils ne périront pas ?
- Je veux que vous me disiez autre chose, je sais, voici un secret, je sais que vous en avez un, je l'ai vu mais je n'ai pas vu dedans, disez-moi l'intérieur.
- Vois, ils auront une spéciale protection puisque tous, de près et de loin, doivent assister à la magnifique plantation de la Croix, mon secret tout entier, cette croix sera bénite à l'église paroissiale, les amis, tes frères la porteront de l'église jusque dans ce lieu sur leurs épaules, présidés par un bon nombre d'éclatants personnages dont la hauteur et la grandeur fait voir que plusieurs viennent de la Ville Éternelle.
- Mais ils seront bien lassés, Saint Archange car il y a bien loin.
- Jamais lassitude dans un aussi beau cortège, jamais lassitude quand on marche sous l'harmonie des cantiques et des prières, voilà mon secret.
- Je le savais bien un petit, mais pas tout.
- Chers amis du Seigneur, après que l'étendard de l'enfer aura triomphé quelques mois, l'étendard du Seigneur se relèvera à son tour pour aussi triompher mais encore il retombera. Et dans la seconde reprise, l'effet sera si grand que la plus grande partie du peuple vivra comme autrefois sans prêtres, sans messes, sans réception du Divin Cœur adorable.
- O Saint Archange, c'est tout de même bien triste !
- J'affirme qu'il n'y a jamais eu d'époque pareille malgré que bien des angoisses ont passé sur la terre, bien des victimes ont succombé mais jamais il n'a existé un temps si cruel que celui qui est commencé et qui suit lentement jusqu'au fond, sa terrible vengeance. Mais plus de repos, il faut s'attendre et se préparer, ne pas être surpris.
- Oh ! Non, saint Archange ! Mes chers amis se seront munis du bouclier de la foi, de l'espérance et de la confiance.
- Tous les démons vont se rassembler : il y en a beaucoup sous la forme de l'homme et qui depuis longtemps voudraient bien lancer l'éclat mais quelque chose les a retenu jusqu'ici. Désormais la liberté va s'ouvrir et l'éclat va sillonner presque tout le royaume entier. Voilà, chers amis, le temps mauvais, gâté, corrompu, souillé jusqu'aux dernières profondeurs. Tous ces hommes vêtus sont sous l'habit que portent même les vrais serviteurs de Dieu : ce sont des démons acharnés, ils ont une faim étrange de se rassasier et pour se rassasier, il leur faut des victimes, il leur faut la chair des ministres du Seigneur, la chair de ses enfants chrétiens, le sang des veines où la foi est florissante.
- Vous ne les laisserez pas, Saint Michel, faire tout cela !
- C'est le Seigneur qui m'envoie et m'a chargé de tous ses avertissements, je suis obligé d'obéir.
- J'aimerais bien mieux moi aussi, pas ouïr mais comme vous, je veux obéir à la Sainte Volonté.
- Je me dirige vers le centre empoisonné, menacé de la foudre du ciel, son sort est fixé à partir d'aujourd'hui : heureux ceux qui sauront abandonner les murs pour se réfugier dans l'éloignement de ce lieu pitoyable où les victimes seront par monceaux et les places teintes de sang comme la pluie qui tombe dans l'orage.
- C'est bien douloureux, Saint Michel !
- Il faut que cela passe, c'est inévitable, le péché et les crimes en sont la cause, les prières des justes vont être mises pour servir de réconciliation avec le Dieu des miséricordes à l'égard de son peuple vengeur. Je vais me tenir au-dessus de l'enfer qui est cette source sous la terre. Tous les valets de Satan et ses zélés serviteurs ne périront pas dans la lutte première : à eux la victoire et aux justes la douleur de voir et d'entendre ces effroyables forfaits. Mais après, les ennemis vengeurs auront leurs supplices, pas tous, mais un grand nombre.
A ce moment, à vous, peuple fidèle, de vous relever sous le fardeau des douleurs pour entrer dans le trône de la gloire et d'élever la voix pour acclamer celui que Dieu destine pour la paix de son peuple. Aujourd'hui, la promesse du Divin Cœur est insultée, elle n'est pas crue, que par le petit nombre des prédestinés de la grâce de la protection, c'est le peuple fidèle. Aujourd'hui les miracles du ciel sont blasphémés, reniés, insultés. Vous, chers amis de Dieu, vous êtes destinés à vivre pour voir s'accomplir de grands miracles, de grands prodiges parmi de grands fléaux, de grandes justices, de grandes calamités que le Seigneur a promises. Vous serez protégés mais observez bien tout ce que les voix éternelles vous ont commandé.
- Saint Michel, soyez sûr que nous sommes fidèles à obéir aux voix éternelles.
- Chers amis, vous aurez aussi vos épreuves avec tous les justes, mais ces épreuves seront bien douces à comparer à la cruauté qui étend ses armes pour attaquer tout sans respect : pour attaquer le blasphème sur les lèvres, l'hypocrisie dans les cœurs, l'hypocrisie la plus noire, pour attaquer ce qu'il y a de plus saint, de plus véritable et de plus respectable. Chers amis de la Croix, savez-vous pourquoi jusqu'ici, la main du Seigneur n'a pas frappé ?
- Non, Saint Archange.
- C'est vous, braves et fidèles serviteurs, vos prières, vos dévouements, votre foi et votre confiance qui jusqu'ici, avec les souffrances, a soutenu ce bras irrité qui porte la vengeance. Vos épaules l'ont soutenu. Vos prières et vos souffrances sont comme un pilier solide qui se lève de la terre et monte jusqu'à la main irritée du Seigneur. Remarquez, chers amis, jusqu'ici le Seigneur a envoyé beaucoup de souffrances, de croix, beaucoup de peines, de privations de toutes sortes. Cela a été uniquement pour la prolongation des jours du pauvre pécheur ; il n'en a pas profité. Les souffrances, les sacrifices, les peines vont bientôt finir et le pécheur reste encore dans l'état déplorable et affreux !
- O Saint Archange, il ne sait pas cela, s'il le savait, il reviendrait au Seigneur !
- Un grand nombre n'y reviendra jamais.
- Oh ! Que faire de plus encore ?
- Je ne vois plus guère à faire, il y a plus à recevoir qu'à donner.
- O Saint Archange, faut plutôt donner jusqu'à la fin et ne recevoir qu'au dernier jour.
- Voici le temps qui approche où les victimes fermeront les paupières mortelles pour la terre du bas monde, pour aller trôner avec le Seigneur dans la gloire. Qu'elles se réjouissent toutes, qu'elles tressaillent d'allégresse, joyeuses parce que sa main éternelle va bientôt déposer la couronne méritée pour avoir souffert et l'avoir suivi dans la route du Calvaire sans plainte, sans murmure, mais toujours joyeuses.
- O Saint Michel, pour penser à un si haut séjour qu'avons nous à offrir au tendre Époux qui est si bon ?
- Tous les mérites des épreuves et les vertus gagnées dans les souffrances de l'abandon.
- C'est guère, Saint Archange, j'emprunterai moi, à mes amis quelque chose et je leur rendrai quand ils viendront dans le Ciel.
- Je me ferai le donateur.
- Saint Archange, je veux bien, je veux bien.
- C'est moi qui ai la balance.
- Oui, j'y songe bien souvent quand vous pèserez nos âmes, vous ferez bien attention à mettre juste le bon et le déchet.
- Je compte faire passer tous les chers amis de la Croix qui sont les amis choisis du Seigneur, tous, je le pense, je les enverrai dans la céleste Jérusalem.
- Saint Michel, vous qui pesez, si vous mettiez, quand il n'y a qu'une petite miette qui manque, pour aller en Paradis, si vous mettiez un petit poids caché pour faire entrer ces âmes qui n'ont quelquefois que trois heures, une heure d'expiation, c'est une charité, mon bon Archange !
- Il faut être juste.
- Je le sais bien mais si je pesais moi-même, je dirais au Bon Jésus de leur faire grâce, je le chérirais, je le supplierais, je le consolerais, j'embrasserais ses Pieds adorables.
- Il faut qu'elles aillent pour le temps qui leur est fixé, se purifier et se sanctifier.
- Où pesez-vous de si belles choses, dites-nous ?
- A journée, il n'y a pas de nuit.
- Qui pèse à cette heure-là que vous êtes avec nous ?
- Je suis là-bas.
- Saint Michel, vous ne pouvez pas vous mettre en deux !
- La Puissance éternelle est grande.
- Combien pesez-vous d'âmes par jour ?
- Quelquefois 10.000 quelquefois moins.
- O Saint Michel, vous avez bien de l'ouvrage tout de même !
- Quelquefois, je souffre bien quand je vois un criminel chargé de péchés.
- Oh ! Je sais bien qu'oui, vous n'avez guère de goût pour celui-là.
- A peine est-elle pesée, cette âme, que les démons sont au grillage pour la prendre et l'emporter.
- Les entendez-vous ?
- Non, mais l'âme les entend bien, elle a bien de la peine à y aller ; il le faut bien puisque sa place est assignée.
- Y a-t-il un chapelet dans le Paradis ?
- Oui, et des livres aussi.
- Et des livres aussi ! Ceux qui s'en servent, pour lire, ils apprennent ? Qui fait donc l'école dans le Ciel ?
- Le Bon Jésus, ses Anges et ses Saints.
- C'est-il des lettres d'écriture de plume ou bien moulées.
- Ce sont des lettres glorieuses qui n'ont rien de commun avec celles de la terre.
- C'est-il difficile à lire dedans ?
- Non, pas plus que les chers frères qui savent couramment dans l'écriture.
- Je ne sais pas l’écriture, vous ne m’en ferais pas lire, je m’embrouillerais.
- Non, on ne s’embrouille pas.
- Mais on ne se repose donc jamais pour dormir ?
- On ne dort point, on ne vit que d’amour, de prière et d’adoration.
- Oh ! C’est beau ! Mais pour aller, il faut porter ses bonnes œuvres moi, j’en ai point.
- Le bon Jésus en trouvera.
- Ah ! J’avais oublié, j’ai vu des musiques au ciel, des grosses et des grandes. Qui donc les mène ?
- Ce sont les Séraphins, les Chérubins et les Archanges.
- Les menez vous, Saint Archange ?
- Oui.
- Voulez-vous m’apprendre sur votre musique quelque beau cantique d’amour ?
- Bientôt quand le bon Jésus viendra célébrer la sainte Messe dans ta cellule, tu chanteras avec la musique.
- Ah ! Dame, je ne veux pas m’en mêler, je ne sais pas chanter. Saint Archange, nous chanterons le Credo en musique et le Gloria en musique par tous les petits Anges et le Credo par les Saints et les Vierges.
- Et la communion sera chantée par une musique la plus harmonieuse et la plus ravissante, ce sera le Souverain Prêtre éternel qui la chantera lui-même avec la Sainte Vierge et aussi toi.
- Oh ! J’aimerais mieux prier que chanter.
- On fera les deux.
- Merci, bon Archange. Que faudra-t-il vous donner pour cela ?
- Cinq petites médailles qui m’appartiennent.
- Je ne sais pas si j’en ai, je crois bien et à qui faudrait-il en demander ?
- A qui tu voudras, à tes amis. Ces médailles seront cinq pièces d’or qui se retrouveront à la messe d’action de grâces et de bénédictions, aux quatre coins de ta cellule et l’autre au milieu, qui sera en face de la porte par où tu sortiras pour ne plus jamais entrer.
- Ah ! Je veux bien, Saint Michel.
- Ce sera cette pièce d’or changée en soleil qui t’accompagnera d’ici jusqu’au sanctuaire.
- Si je n’en ai pas cinq, Saint Michel ?
- Tu en demanderas, je t’en ferai trouver.
- J’en ai bien quelques unes, mais pas cinq, une autre de Jésus, Marie ou autre manière.
- Ça comptera pareil, je vais en bénir tu as dans ta boite, dans ton tiroir.
- Je ne les reconnaîtrai pas !
- Je te les ferai reconnaître, reste tranquille.
- Je suis très contente !
- Moi aussi, maintenant, La Sainte Vierge va venir un moment à son tour.
- Oh ! Que je suis heureuse de la voir.
- Je vais me retirer. A ce soir, Je bénirai tous mes enfants. Reposez vous, délassez-vous en attendant l’heure de la douleur et de la joie : les choses sont proches qui feront fondre le cœur de douleur, la crise de tous les désordres rassemblés est près de son éclat mais ne vous découragez pas, le Seigneur vous aime, il vous protègera tous pour vous retrouver au Sanctuaire béni ( dit le Saint Archange ).
- Si vous voyez mon Jésus, dites-lui bien des choses pour mon cher père et mes amis. Dites-lui pour moi que je voudrais bien l’aimer et qu’il me donne la vertu de ne pas l’offenser.
- Repos -
(Il est 4 h - I/4 environ. Les bras de Marie Julie sont restés tout le temps étendus le long de son corps avec saillie considérable des tendons et amaigrissement remarquable de la main). – Note du Docteur Imbert assistant :
Marie-Julie reprend : Je contemple et j’honore la Très Sainte Mère Immaculée sur son Trône elle dit :
- Salut a vous, mes enfants bien aimés, je ne puis… sans vous visitez ce soir ou m’en retourner sans vous dire un mot.
- O bonne Mère, je vous salue, trône d’amour, Reine de l’Univers éternel
- Mes enfants, écoutez les plaintes d’une Mère qui vous aime et qui ne peut contenir sa douleur !
- Parlez, Mère d’Amour, nos cœurs sont sensibles puisque la souffrance nous à altérés et elles seules a le don de les rendre sensibles.
- Mes enfants, je ne peux plus rien, pas pour tous mais pour les pécheurs et les ingrats. Je ne peut plus arrêter la main prête a frappés, je ne peux plus la soutenir, prolongés le temps douloureux. O ! Mes enfants ! Mon Divin Fils est irrité, il est si offensé que je crains beaucoup que son bras se laisse aller avant le grand triomphe du Mal pour répandre sa justice en fléau et en autre malheur
- Ah ! Si nous pouvions vous aider ?
- Mes enfants, je ne puis plus le retenir ! De Grâce, priez avec moi, je ne peux plus me consoler en voyant les pertes si grandes de tant d’âmes qui ont coûté si cher à la Sainte Victime et à Moi, sa tendre Mère. Il lance les traits de sa colère et son Père Éternel lui dit :
- Mon Fils, lancez sans plus attendre, les traits de la Justice et répandez vos bénédictions sur votre peuple.
- O bonne Mère du ciel ! Implorez encore, demandez encore !
- Je ne peux plus obtenir, l’heure est arrêtée, la parole éternelle est donnée et voila la grande route ouverte : cette route est la route du triomphe du mal profond.
- O bonne Mère, vous avez pourtant bien longtemps supplié et retenu encore, la justice qui plane sur la terre !
- Je ne peux plus, mes enfants. Je pleure comme autrefois au Calvaire et mon cœur est percé d’un glaive de douleur et déchirant car je vois tous les maux qui pèsent non pas sur vous mais sur celle que j’ai tant aimée et à qui j’avais donné la fleur de Lys que je portais dans mon cœur ; elle est plongée dans le crime, elle blasphème son Créateur, elle est rongée par les vers, souillée par les crimes les plus infâmes.
- C’est vrai, bonne Mère, mais le ciel la ressuscitera, elle sera baptisée dans le sang des chrétiens, leurs prières formeront sa couronne, les larmes qui couleront dans l’horrible déluge du mal, lui formeront une croix de diamants. Oui, elle ressuscitera, bonne Mère, mais après, bien des maux et un espace de temps bien long encore, par la profondeur des atteintes et des cruelles angoisses. Oui, c’est lourd quand ces tableaux sinistres sont présents.
- Pauvre France ! Moi qui l’ai tant aimée et qui lui avait tressée une si belle couronne ! Et aujourd’hui, sa couronne est le blasphème, son sceptre, c’est la lance de l’homme impie pour entrouvrir le corps de mon Fils. Ce n’est-t-il pas dur pour un Père, mes enfants ! Je lui ai donné une chaussure sans tache, elle l’a jetée pour en posséder une autre qui n’était que la chaussure qui doit parcourir la France entière, brisant tout. Et un étrange crucifiement comme… le Chef de l’Église mais pas sur la Croix, mais sur l’arbre qui a grandi sous les yeux de mon Fils. Mes enfants, je vous promets mon assistance, de vous garder vous et vos chers enfants sous mon manteau protecteur.
- Merci, bonne Mère.
- Pensons au ciel, ma fille.
- Ah ! Bonne Mère, la pensée du ciel est pour toutes les âmes, mais la place n’est réservée qu’aux élus de la grâce. Je ne suis q’un ver moulu, pâture des vers et indignité.
- Ma fille, désormais, il faudra que je parle clair.
- Ma Mère, tout ce que vous voudrez, je vous obéirai.
- Tu vois, ma fille, que mon Divin Fils m’ordonne d’apporter à son trône, une parole à chacune de ses victimes.
- Oui, j’ai entendu Notre Seigneur, je ne l’ai pas vu, je l’ai entendu dire d’ici : Ma Mère, apportez moi deux paroles que je veux les premières et ensuite, vous m’apporterez les autres : l’une d’une sœur de la terre étrangère et l’autre de la source du Royaume de France ou plutôt de la Bretagne.
- O bonne Mère, que voulez vous que je vous dise, si j’avais celle de ma sœur étrangère, je pourrai me conformer sur la sienne pour dire une parole à moi.
- Ma fille, il m’en faut une, cherche là dans ton cœur.
- Eh bien, dites à mon Jésus que j’aime plus que je souffre, que je souffre bien moins que j’aime, voici ma parole.
(Elle sourit, ma bonne Mère et Elle a mis dans son cœur comme une fleur pleine d’une douce rosée et elle dit :)
- Vois-tu venir la fin de l’exil ?
- Je ne dis pas que je la vois car on ne la voit que dans l’amour des souffrances et moi, je n’ai pas cette sublime vertu, mais je la vois, je la sens par l’affaiblissement des forces humaines.
- Comment pourrais-je faire pour venir le dire ? Dire adieu à ta famille à tes parents, à tes amis et à la terre ou tu as vécu ?
- O ma Mère, ne vous gênez pas, cela ne me fera pas de mal : au contraire ça me réjouira tant que ma joie deviendra jubilation.
- Voila pourtant l’approche de la séparation. Moi, Je descendrai encore dans ce lieu mais toi, tu n’y seras plus.
- O ma Mère, j’y serai encore parce que je serai partout ou vous serez, je vous suivrai partout, je vous aimerai tant que vous ne pourrez aller sans moi.
- Ma chère enfant, quand Je regarde pendues au crochet d’or tu Trône de mon Fils, les couronnes achevées, quand Je vois les trésors derniers des dons de la grâce, je dis : plus guère de visites dans le lieu que j’aime, ou j’ai souvent descendu.
- Au ciel, ensemble, ma Mère, mes chers amis resteront ici, vous viendrez les voir et leur parler, moi, je reviendrai avec vous.
- Plus que quelque temps de douleur, que quelques jours pour reposer nos cœurs, l’un sur l’autre.
- Mais au ciel, ma Mère, ils battront ensemble d’amour pour ne plus se séparer.
- Je suis consolée d’un coté et de l’autre, je vois s’envoler l’a p… des pécheurs ! Je vais enlever de la terre le manteau qui retenait la foudre qui l’écrase. D’un autre coté, je me console, mes chères victimes et zélés serviteurs publieront bien haut sa gloire dont ils sont témoins.
- Oh ! Oui, cela vous consolera beaucoup, bonne Mère !
- Mes enfants, Je vais maintenant vous quitter mais pour rester toujours avec vous.
- Je suis bien pauvre, ma Mère, j’ai pas en ma possession, un grain de poussière de la terre, veuillez me donner quelque chose.
- Va à la porte du cœur de tous mes enfants et amis.
- Si je leur prends tout ! Je suis si affamée de posséder quelque chose pour Jésus, je serais capable de tout prendre.
- Je ferai la part.
- Déjà mes amis me donnent plus qu’ils n’en gardent, comment voulez-vous que je prenne le reste ?
- Il en restera beaucoup encore.
- O bonne Mère, vous êtes riche au ciel, il y a tout ! Daignez me donner quelque chose.
- Je veux bien mais vends-moi ton crucifix.
- C’est toute ma richesse, ma maison, mon meuble.
- Combien veux-tu me le vendre, je t’en donnerai un autre, combien ?
- Vous ne l’achèterez pas car je veux le vendre bien cher.
- Combien ?
- Cent vingt millions.
- C’est trop !
- Je ne diminuerai pas car je vous ai dit.
- Je vais le prendre.
- Ce n’est pas mon compte juste que je vous ai fait, quand je l’ai fait je me suis trompée, c’est deux cent millions que je veux le prix bien juste.
- Je vais le prendre.
- Oh ! Vous ne le voudriez pas. Vous dites que vous aimez vos enfants, vous aimez bien leur bien, leur âme puisque vous voulez prendre ce qui est leur force ?
( Elle sourit et dit : )
- C’est pour t’éprouver.
- Je veux bien vous éprouver, moi, m’aimez-vous ?
- Et toi, m’aimes-tu ?
- Oh ! je vous aime, vous êtes mon âme, j’aime mon âme pour le bon de Dieu. Je vous aime tant que je voudrais vous briser à toute seconde si c’est possible, je voudrais me voir dans votre bouche dans vos yeux dans votre front immaculé, votre cœur, votre sublime virginité, ce serait là ma cellule.
- Bientôt pour toujours.
- Merci, ma bonne Mère du ciel, merci !
- Courage, mes chers enfants, à tout, portez bien votre croix, elle est lourde parfois. Il y a bien de la peine en ce monde, des larmes, de profondes blessures dans le pauvre cœur, Je les guérirai, sois sans inquiétude.
- Je vous demande, au nom de la Sainte Trinité, si je ne suis pas dans la vois sincère du bon Dieu, car, ma Mère, je vous en supplie, j’aimerais mieux mourir tout à l’heure car une voix du ciel prononce cette parole. Daignez me rassurer vous-même !
- Écoute, ma fille, j’ai bien de la peine à ce sujet, console-toi, tu est bien dans la voie de la grâce, reste en paix, je te l’ordonne par mon Fils éternel, l’homme n’a pas la lumière immortelle, lui aussi peut se tromper.
- J’ai pourtant le dessein de bien finir le reste de ma vie dans la voie du Seigneur, si je savais qu’il y a un battement de cœur non à lui, je le jetterais bien loin de moi.
- Reste en paix, nous n’avons aucun reproche à te faire.
- Puisque je n’ai personne à me plaindre, je le fais à vous seulement, je ne cherche aucune consolation, je cherche d’être rassurée dans la vérité, c’est mon seul désir.
- Preuve de plus que tu es l’ennemi du serpent infernal. Attends-toi à de grands combats et à des luttes terribles de sa part. Dans ce temps-ci, il n’en veut qu’aux amis du ciel, il laisse les siens en paix dans leur hypocrisie.
- J’aurais-t-il fait quelque chose que mes amis auraient vu et que je n’aurais pas aperçu ?
- Non, reste dans la paix rassurante.
- Me serais-je trompée dans les extases ?
- Reste en paix.
- Aurais-je mal dit quelques mots ?
- Non, je t’ordonne de garder ma parole d’assurance et de paix. Tu as bien fait de m’ouvrir ton âme, j’en suis très contente, je vais jusqu’à te remercier.
- Je ne souffrirai jamais que vous vous abaissiez.
- Rappelle-toi de ce nom qui te consolera quand mon Fils t’à dit : Je te prends pour victime et épouse jusqu’à la fin. Le nom que Je te donne, le voici Marie-Julie du crucifix. M’aimeras-tu toujours ?
- Je me rappelle bien ! J’ai répondu : Toujours ! Éternellement !
- Te rappelles-tu cette parole quand il disait : Quand tu feras le petit partage à tes amis, tu mettras cette parole : Marie-Julie du crucifix.
Victime, amis de Jésus : don qu’elle délègue à son ami un tel et a tel.- Oui, je me rappelle.
- Rappelle-toi de cela et tu jouiras d’une assurance bien profonde.
- Merci, bonne Mère, je suis heureuse, je n’ai que quelques amis, je ne voudrais pas leur faire de la peine, je vous le dis à vous.
- Va te reposer, Je laisse aux victimes et chers serviteurs, cette parole : Un jour, chers enfants, vous verrez la preuve bien conforme qu’elle a marché dans la voie des grâces de mon Divin Fils et qu’elle lui a été agréable toute sa vie. Je vous laisse cette parole que je vous ferai comprendre plus facilement, attendez quelques jours.
- Que ta chère famille reste en paix dans la pauvreté, ils ne seront jamais riches mais le ciel jamais ne les abandonnera.
- Tes amis, maintenant, te resteront pour plus tard.
- Merci, bonne Mère !
- Je vous bénis tous et toutes les familles de près et de loin. Je connais bien le désir de tous mes enfants, je les contenterai.
- Je vous demande toutes les grâces pour les pères, victimes, les frères de la Croix, pour tous mes chers amis de près et de loin ».
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1881-02-02 :
« Quand vous le pourrez, mes enfants, dites, soir et matin, le Miserere tout entier. Si vous êtes empêchés, dites-le au moins une fois. Si vous ne le pouvez pas, récitez un Pater et un Ave, ou l’acte de contrition au pied de la Croix ou en vous tournant vers l’Église ».
« Priez beaucoup pour l’Église, pour les prêtres et pour les pêcheurs, pour ceux qui vont faire lever le désordre et recrucifier mon Fils... Mes enfants, faites le Chemin de Croix qui, en peu de temps, mènera au Ciel bien des âmes... Faites beaucoup de communions, récitez le chapelet ».
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1882-01-01 :
Marie-Julie du Crucifix recevait ses lumières prophétiques au cours de ses extases mystiques dont le caractère surnaturel n’a jamais été l’objet de doute de la part des autorités qualifiées de l’Église. Elle recevait les lumières sur l’avenir dans son " soleil mystérieux miroir de la Sagesse Divine, à qui rien n’échappe " et qui lui annonçait :
« Je suis la grande et impénétrable Lumière de Dieu, révélatrice des grandes choses que Sa Puissance envoie à Son peuple.
Par Moi, qui apporte Ses divines paroles, chrétiens fidèles, serviteurs de Dieu, tous ensemble, écoutez la prophétique parole de l’invincible Lumière éternelle ; c’est Dieu, le Maître de toutes choses ».
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1883-09-21 :
La mission de souffrance de Marie-Julie :
« Pour toi, ma fille, il y a encore trois croix différentes sur lesquelles il va falloir t'étendre et souffrir douloureusement, mais peu de temps sur chacune.
La première, c'est celle de la sainte Eglise Catholique : c'est sur celle-là d'abord qu'il va falloir s'étendre. Il va te falloir souffrir douloureusement pour elle, avant que tu ne fermes les yeux sur la terre.
La seconde croix est celle de la fermeture du royaume de la Sainte Vierge, en conséquence des grands maux qui vont, prochainement, monter leur éclat. Il va falloir souffrir, en vue de cette heure chère au crime et au péché ; souffrir pour compenser la faiblesse de la foi ; souffrir un peu, aussi, pour les soldats du Seigneur qui iront, sous ses yeux divins, conquérir la couronne du royaume.
La troisième croix, c'est celle qui porte en elle le riche et magnifique bouquet qui sera présenté au Sauveur de ce royaume, quand il entrera sur cette terre du Centre (Paris) si souillé et si coupable. Sur cette même croix je vais te donner le chemin marqué, par où tu reviendras remercier tes amis fidèles, après les courses et les combats...
Ma fille, voilà la place où, du haut des frontières célestes, tu verras les départs des nobles soldats de la croix ; d'où tu verras entrer, sur le sol de France, celui qui vient apporter paix et joie à mon peuple ; d'où tu verras le Sanctuaire du Seigneur et ses fidèles ouvriers, en place, pour noter et contempler les œuvres du Seigneur et celles de sa sainte Mère et de ses anges ».
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1884-01-01 :
« J’ai envoyé Ma Mère, on n’a pas cru à Sa parole. J’ai fait entendre Ma voix, Me choisissant des victimes sur lesquelles J’ai opéré des merveilles. On les a méprisées et persécutées. Je vais Me livrer è Ma colère. Je vais rappeler à Moi Mes paratonnerres ».
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1901-07-16 :
Voici ce que disait la Très Sainte Vierge :
« Mes enfants, quelle puissance que le Saint Sacrifice de la Messe. Ce n’est qu’au Ciel que vous pénétrerez l’immense efficacité de ce prodige de puissance, de bonheur, de merveille et de délivrance ».
Soyez sûrs que Marie-Julie vous soutiendra dans ce combat, elle qui demanda la faveur d’assister à toutes les Messes jusqu’à la fin du monde :
" Je veux souffrir jusqu’à la Fin du monde. Je veux assister à toutes les Messes jusqu’à la Fin du monde ».
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1901-09-19 :
« Il n’y aura aucun espoir de renouveau avant une immense purification, tel est l’avertissement maintes fois répété par Notre Seigneur et la Sainte Vierge à La Fraudais ».
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1925-09-03 :
« Je vous unis, petites âmes que J’aime et que Je choisis pour faire beaucoup de bien, pour semer beaucoup de paix dans les âmes et encore beaucoup d’amour miséricordieux (2 fois), amour de Miséricorde. Je vous donne cette grâce d’être à l’époque douloureuse de vrais porte-miséricorde pour beaucoup d’âmes. Vous me sauverez des âmes par les dons tout divins que Je vous donne dès aujourd’hui dans ma tendresse. Oh ! que Je vous aime. "
" Je vous aime tant que Je vous laisse dans ma bonté ce que Je veux de vous, mes petits apôtres de mon divin Cœur, de ma Croix et de ma Miséricorde, pour les âmes coupables qui ne me connaissent plus. Mes petites épouses, vous remplacerez mon prêtre qui fera défaut dans bien des lieux. Belle mission inventée par mon divin Amour et par ma divine Miséricorde. (2 fois) »
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1926-07-22
« Ô nos Saints Anges gardiens, quand nous oublierons la Divine Présence du Bien-Aimé, pensez-y pour nous, adorez-Le pour nous, afin que pas une minute ne soit sans la pensée du Bien-Aimé ».
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1930-01-01 :
Jésus annonce à Marie-Julie : « On est déçu parce que beaucoup de ce que J’avais ordonné d’annoncer pour inviter les hommes à se convertir n’est pas encore arrivé.
On croira pouvoir outrager des âmes élues parce que, à cause d’elles, J’aurais retardé un peu le terrible événement.
Si dans Ma bonté, et à cause des expiations qui Me sont offertes, Je retarde le désastre, Je ne le supprime pas. Cela ne dépend pas du jugement des hommes ignorants.
Dois-je encore, Moi-même, rendre des comptes à ceux qui ne veulent rien savoir ? »
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(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 27-11-2011)
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La mission spirituelle de Marie-Julie Jahenny est essentiellement de nous avoir obtenu le Grand Monarque à venir par l’incroyable étendue de ses souffrances offertes, en plus de 70 années de vie mystique. Aucune autre âme privilégiée n’a été autant favorisée que Marie-Julie en annonces prophétiques.
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Le Message de La Fraudais :
Les Français vivront la grande espérance dans l'attente de leur sauveur, Henri de la Croix.
C'est saint Michel qui sera chargé de nous le présenter, protégé contre ses ennemis par une nuée opaque et sombre de leur côté. Du côté du Roi et de son escorte la nuée ferme est lumineuse. La terre reste ferme sous les pieds du Roi et de son escorte.
Alors se réalisera l'annonce de la vision du ciel faite à Marie-Julie et rappela le 13 octobre 1917 par - la Sainte Vierge à Fatima : (Vous venez de voir la danse du soleil. Je suis Notre-Dame du Rosaire, je reviendrai une septième fois, j'y ferai un miracle plus grand que verra le monde entier ». Alors le ciel s'ouvrira, le Christ aux plaies sanglantes et glorieuses, apparaîtra, accompagné de la Reine du ciel, de saint Joseph, des anges et des saints et saintes de France. La grande espérance sera réalisée. L'action de grâces éclatera universelle, la France réalisera le bienfait de la paix et la fin du cauchemar.
Pour autant les événements terminés pour la France ne le seront pas encore pour l'Europe et pour le monde.
Au reste, l'incident historique de la « Fuite en Egypte de la Sainte Famille », sera vécu par une foule de gens. Que de familles seront prévenues i miraculeusement en quelque point de la France de partir pour éviter un danger mortel.
II y a là une exigence de la Justice Divine pour faire expier, par le détachement des biens terrestres, les abus de toutes sortes. La grâce de se décider à tout quitter pour avoir la vie sauve viendra des mérites acquis par la Sainte Famille fuyant en Egypte. Les anges gardiens seront les meilleurs intermédiaires et les meilleurs protecteurs.
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Parole de Notre Dame des Douleurs à Marie-Julie et à ses amis :
« Je vous salue, mes enfants, de mon cœur de Mère et de toute ma tendresse. Je viens établir mon trône au milieu de vous.
- Merci, bonne Mère ! Nous aussi, nous vous saluons, du fond de nos cœurs.
- Mes enfants, ne soyez pas attristés, si vous me voyez descendre ainsi revêtue d’un deuil complet.
Pas une parcelle de son vêtement ne porte de la blancheur, ni aucune couleur réjouissante. Son front est voilé jusqu’aux sourcils. Elle est toute triste et dit : Ce n’est pas à cause de vous, mes enfants, que je porte ce vêtement noir, c’est à cause... - son cœur bat de douleur, je le vois bien - c’est à cause de cette heure malheureuse qui, pour de longs jours, va vous envelopper et achever de perdre ce malheureux royaume qui me fut si cher et qui l’est encore. Si je dis longs, c’est à cause de la profondeur de douleurs que ces jours renferment... »
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1874-01-01 :
« Elle montrait son Crucifix, comme on montre une arme redoutable, un livre admirable, une consolation inégalable.
Toute sa vie, elle a été à la Fraudais comme un Saint Jean-Baptiste, le prophète du désert. Elle a montré du doigt sur son Crucifix, et sur elle-même, véritable crucifix vivant, l’Agneau de Dieu qui porte les péchés du monde. Tout au long de cette vie de "prière, de souffrance offerte, d’obéissance avec Jésus", selon sa devise, elle a dit et répété l’éternelle Vérité que le monde refuse ».
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1874-03-19 :
« Au début de sa vie mystique, Marie-Julie a eu comme directeur spirituel un saint prêtre, l’Abbé David, qui notait régulièrement les extases de sa dirigée :
Le 19 mars 1874, la Très Sainte Vierge avait précisé :
- Priez, priez, priez encore, Je sauverai la France mais il faut qu’elle pleure. Les larmes ne sont pas amères car la foi n’est pas morte, elle n’est qu’endormie et Je la réveillerai. Mais priez, mes enfants ! »
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1878-02-11 :
« Mon Dieu, tout Vous regarde et rien ne me regarde moi-même si ce n’est de Vous prier et de me soumettre. Je reste tranquille sur la Croix et dans Votre Amour. "
- Tu ne désespéreras jamais, dût plutôt tout s’écrouler, la terre fût-elle couverte de feu et de charbon ».
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1878-02-09 :
« Il sera élevé, ici, un Sanctuaire à la Croix et à Marie-Immaculée. Ce lieu sera vénéré par tous. J’y guérirai le corps et l’âme par une eau vive.
J’emploierai beaucoup de pierre pour les maisons où j’enfermerai les Pères de la Croix, et les orphelins de père et des veuves. Autour du Sanctuaire, d’où auront fui tous les bruits du monde, je veux faire des cloîtres de serviteurs et de vierges.
Au commencement, il y aura des difficultés, mais de courte durée.
Ce temple s’élèvera si rapidement que l’on verra bien que les Anges auront contribué à élever les murs... (Suit le plan du Sanctuaire de la Croix).
Voilà, chères victimes, des travaux où couleront vos sueurs. La France entière viendra d’abord s’abriter sous l’arbre de la Croix ; puis l’univers entier comprendra et viendra. Voilà la fontaine, je vais bientôt la remplir ».
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1878-02-11 :
« Il n’y aura aucun espoir de renouveau avant une immense purification ».
« Mon Dieu, tout Vous regarde et rien ne me regarde moi-même si ce n’est de Vous prier et de me soumettre. Je reste tranquille sur la Croix et dans Votre Amour ».
« Tu ne désespéreras jamais, dût plutôt tout s’écrouler, la terre fût-elle couverte de feu et de charbon ».
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1879-01-23 :
« Ce n’est que par la douce offrande de toutes les prières, les larmes, les douleurs, les croix de Mes pauvres enfants que je prolonge encore le répit, que je retiens le coup fatal contre les pécheurs. J’offre à mon Fils les sacrifices de Ses Ministres, leurs prières et leurs croix. Je serai avec vous ».
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1880-03-16 :
« Depuis le Calvaire jusqu’à ce jour, je n’ai jamais remarqué tant de grâces, autant qu’il en est réservé pour ce lieu. "
Le nom de "La Fraudais" signifierait "le torrent" C’est donc un lieu prédestiné au torrent de grâces, après avoir vu se déverser le torrent des souffrances, et le torrent des prières.
" Mes enfants, tant de peines, tant de croix, tant de larmes seront hautement récompensées.
Le Ciel a tout prévu... Ce lieu deviendra grand, d’une immense grandeur. Les âmes viendront, poussées par une grâce extraordinaire.
Mes enfants, une montagne a été élevée ici...
C’est mon Fils qui, à Son tour va commander. Voilà comment les œuvres secrètes arrivent doucement à leur terme, après avoir été longtemps voilées en apparence.
Vous êtes appelés à une régénération extraordinaire. Vous serez appelés les enfants du monde nouveau... »
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1880-08-30 :
L’extase qui suit nous donne une vue d’ensemble du plan divin de purification :
« Je vois qu’au moment où le Seigneur monté au Ciel, prit possession de son Royaume Éternel, à ce moment, l’enfer devint le Royaume de l’Ennemi. Le Seigneur s’empara de son royaume terrestre et dit : " Je suis établi Roi Éternel. "
Satan, furieux, cherche quelque détour pour étendre malicieusement sa puissance... Il demande un partage...
Le Seigneur lui dit : " Tu Me seras soumis, tu ne feras que ce que te permettra la Loi Éternelle...
Je te laisse le pouvoir de tenter tous les hommes, de les faire souffrir jusqu’à une certaine mesure, mais Je serai présent... Au commencement, tu ne feras pas beaucoup de prodiges ; ils te serviront à faire le mal.
Je te laisse permission de tenter Mon peuple, mais Je ne te permettrai jamais de prendre la forme divine, ni celle de figures véritables... "
Satan dit : " Je transformerai tout en outil de travail contre Vous, je mettrai la révolte, la guerre, la division partout. Je renverserai le temple de Vos prières ; j’y établirai des idoles qu’on adorera. J’y briserai tout. "
Jésus dit : " J’écraserai sous la foudre du Ciel, tous ceux qui te seront donnés pour l’enfer. Je rétablirai Mon peuple ; Je le préserverai des fléaux ; Je relèverai les ruines. Je te précipiterai dans l’abîme, mais seulement après que tu auras usé des pouvoirs que Je te laisse pour le moment... Pendant les ténèbres, il y aura beaucoup de conversions ; beaucoup d’égarés reviendront à Moi par le repentir ».
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1880-09-29 :
Je contemple le grand Archange Saint Michel sur son trône magnifique de gloire qui luit et qui rayonne d'un céleste éclat. Le Saint Archange dit :
- Je viens aujourd'hui au nom du Seigneur par son ordre et sa volonté éternelle. Je viens parler au cœur des amis de mon Divin Maître et leur apporter une parole qui est celle du Seigneur comme tous les ans.
- Merci Saint Archange, mille fois !
- Voilà, dit-il, en montrant le Sacré-Cœur de Jésus qu'il porte lui-même, la porte de ce divin cœur est ouverte, elle est si large et si grande qu'on peut entrer tous à la fois. Voilà, chers amis du Divin Cœur, la porte du refuge ouverte, la prison d'amour pour abriter tous ses enfants qu'Il veut conserver au milieu de l'orage.
- Merci Saint Archange.
- Voilà une épée flamboyante, éclatante, je viens en faire part aux amis du Sacré-Cœur, leur offrir cette épée pour le combat car l'heure n'est pas éloignée où vous tous, peuples fidèles, il faudra prendre les armes de la foi et du courage pour lutter contre l'implacable acharnement de l'enfer et de la vengeance des hommes. Je mets, par ordre du Seigneur, mon épée à votre service sans la quitter. Il dit encore : Mes amis du Sacré-Cœur, je descends avec vous, votre compagnie est celle de Jésus, vous êtes des soldats généreux et vaillants. Le Seigneur me charge de vous dire à tous, cette parole : Tenez-vous prêts vaillants serviteurs de Dieu car le Divin Maître ne va pas tarder à venir premièrement dans sa Miséricorde, secondement dans sa juste colère et vengeance. Il veut que je dise cette parole à ses amis présents et j'ai fait mon devoir.
- Merci Saint Archange.
- Voilà cette épée que je délègue aux amis du Seigneur, voilà la mienne, elles se ressemblent, elles portent toutes les deux le cachet du Seigneur ; c'est le Nom de Jésus écrit sur la lame bien gravé. Chers amis du Seigneur, nous voilà donc sur le seuil de la Miséricorde et sur le seuil de la justice du Seigneur.
Voilà la porte que le Seigneur a réservé pour ses amis, voilà l'autre voie qui est celle des malheureux que le ciel menace de foudroyer de sa colère. Voilà l'heure où nous allons tous combattre pour être témoin de choses que l'œil n' jamais vues, jamais oreilles mortelles n'a entendues ce que le Seigneur réserve pour le temps à passer sur la terre.
- Saint Archange, vous êtes tout puissant, prenez donc la défense de ces pauvres malheureux !
- Ils vont lever, dit-il, l'arme criminelle, ignoble et perfide contre Dieu et ses ministres ; ils vont lever l'étendard frémissant sous cet étendard, ils vont envelopper celle que la Sainte vierge a tant aimée, pour qui Elle a pris tant de peine.
- Pas toute, Saint Archange, de son arbre, il restera encore quelques branches par où l'étendard de l'enfer ne passera pas.
- Oui, dit l'Archange, en plusieurs parties de ce pauvre Royaume, plusieurs protections sont écrites dans le Cœur adorable. Voilà ce Cœur qui va tomber en lambeaux, sur la Croix, il sera percé par la lance criminelle des hommes, il sera, il va être profané. Prochainement le côté du Seigneur sera ouvert et le sang divin coulera avec abondance et ses gouttes se rangeront parmi celui de ses victimes qui tomberont sous l'instrument des meurtriers.
Oui, ce royaume est le royaume du meurtre, du crime, de toutes sortes d'hypocrisies et d'injustices. Son beau nom est perdu mais un seul homme est destiné pour lui rapporter et le faire fleurir comme autrefois, Saint Louis.
- Saint Michel Archange, dites donc au Seigneur qu'Il les arrête dans leur décision et qu'Il ne permette pas tant de crimes sous les yeux de ses enfants bien aimés.
- Depuis le jour où Lucifer fut précipité dans l'Abîme, depuis, cette époque est écrite dans le Sacré-Cœur, l'époque présente qui suit une marche effroyable, oui, sans l'espoir du Sacré-Cœur, mortelle sans l'espérance de la Puissance éternelle. Je te dis que l'époque de cette année et de la prochaine, est écrite en gros caractères dans le Cœur affligé de Jésus et de son auguste Mère.
- Saint Michel, si tous ceux qui veulent la guerre au Seigneur, s'Il les convertissait, elle n'existerait pas.
- Il faut qu'elle passe, elle est proche, ils remuent, ils complotent, ils trament sourdement et décident leur marche. Ils la fixent pour bien peu de temps, soyez sûrs, chers amis de la Croix que l'enfer ne va pas se reposer désormais. Il n'y a presque plus que deux jours de repos pour lui. Pour elle, ce n'est pas un repos mais c'est encore du calme et ensuite ils vont commencer leur horrible projet et ils vont sans mesure, sans retard, commencer leurs affreuses, leurs cruelles vengeances, ils attaquent tout, pas une seule chose, ne leur échappe. Ce mois qui s'écoule, puisque nous voilà à la fin, le Seigneur avait dit cette parole à Satan : " Tu ne bougeras pas, tu ne te montreras pas plus que moi par ta puissance, Je te tiens encore enchaîné. "
Saint Michel dit que Satan répondait au Seigneur : " Mes chaînes seront libres à la fin de ce mois, vous me laisserez la liberté et je vais entrer comme un grand conquérant d'abord dans le Royaume menacé qui périra. "
Le Seigneur lui dit alors :
- Il périra beaucoup, il en périra beaucoup mais beaucoup seront sauvés et auront un abri sous la Croix et dans mon Cœur.
A ces mots, Satan, blasphémant devant le Seigneur et lui jurait une haine plus que jamais infernale. Saint Michel dit que Satan vomissait sa rage devant Notre-Seigneur en lui disant :
- J'attaquerai l'Église, je renverserai la Croix, je diviserai le peuple, je déposerai dans le cœur un grand affaiblissement de la foi et il y aura un grand reniement. Il finit par dire au Seigneur :
- Je deviendrai pour quelque temps, le Maître suprême de toutes choses, j'aurai tout sous mon empire, même votre temple et les vôtres tout entiers.
Saint Michel dit que Satan aura aussi une permission pour quelque temps de tout et qu'il règnera pleinement sur toutes choses que fait le bien, la foi, la religion, tout descendra dans le tombeau d'un deuil profond. Satan et les siens triompheront joyeusement mais après ce triomphe le Seigneur prendra le sien à son tour. Il triomphera du mal et fera sortir du tombeau, l'Église ensevelie, la croix anéantie, les prières en apparence disparues, tout le peuple consterné sous l'empire des massacres mais le Seigneur fera sortir le soleil qui console après qu'il aura été obscurci.
Il est impossible, sans un miracle éclatant du ciel que le pauvre peuple français soit sauvé, car tout ce pauvre royaume est descendu aux dernières limites de la honte et du mal, un mal sans remède. Saint Michel dit :
- Je tiens mon épée car l'heure du combat va sonner, la voix de Dieu va parler, la vengeance des hommes va éclater. Je serai du côté des justes, je marcherai avec eux sous l'étendard du Sacré-Cœur, nous nous rencontrerons avec l'étendard de l'enfer, lequel des deux triomphera ? Le nôtre tombera à terre mais nous le tiendrons tout de même. Celui de l'enfer ne bronchera pas, il sera levé quand le nôtre sera prosterné et autour sont les enfants du Seigneur que sa grâce veut protéger.
- Saint Michel, tous nos chers amis qui sont sur la terre, j'en avons ben loin, il y en a un bien près aujourd'hui, je veux que vous disiez avant de vous en aller car je ne vous reverrai peut-être plus ?
- Ne t'inquiète pas, je saurai, du haut du ciel, marcher sur les remparts de la grâce jusqu'à leur demeure et les protéger de mon épée flamboyante. Sois tranquille, ils sont un bon nombre destiné pour publier les merveilles du Seigneur. Vois-tu qu'ils ne périront pas ?
- Je veux que vous me disiez autre chose, je sais, voici un secret, je sais que vous en avez un, je l'ai vu mais je n'ai pas vu dedans, disez-moi l'intérieur.
- Vois, ils auront une spéciale protection puisque tous, de près et de loin, doivent assister à la magnifique plantation de la Croix, mon secret tout entier, cette croix sera bénite à l'église paroissiale, les amis, tes frères la porteront de l'église jusque dans ce lieu sur leurs épaules, présidés par un bon nombre d'éclatants personnages dont la hauteur et la grandeur fait voir que plusieurs viennent de la Ville Éternelle.
- Mais ils seront bien lassés, Saint Archange car il y a bien loin.
- Jamais lassitude dans un aussi beau cortège, jamais lassitude quand on marche sous l'harmonie des cantiques et des prières, voilà mon secret.
- Je le savais bien un petit, mais pas tout.
- Chers amis du Seigneur, après que l'étendard de l'enfer aura triomphé quelques mois, l'étendard du Seigneur se relèvera à son tour pour aussi triompher mais encore il retombera. Et dans la seconde reprise, l'effet sera si grand que la plus grande partie du peuple vivra comme autrefois sans prêtres, sans messes, sans réception du Divin Cœur adorable.
- O Saint Archange, c'est tout de même bien triste !
- J'affirme qu'il n'y a jamais eu d'époque pareille malgré que bien des angoisses ont passé sur la terre, bien des victimes ont succombé mais jamais il n'a existé un temps si cruel que celui qui est commencé et qui suit lentement jusqu'au fond, sa terrible vengeance. Mais plus de repos, il faut s'attendre et se préparer, ne pas être surpris.
- Oh ! Non, saint Archange ! Mes chers amis se seront munis du bouclier de la foi, de l'espérance et de la confiance.
- Tous les démons vont se rassembler : il y en a beaucoup sous la forme de l'homme et qui depuis longtemps voudraient bien lancer l'éclat mais quelque chose les a retenu jusqu'ici. Désormais la liberté va s'ouvrir et l'éclat va sillonner presque tout le royaume entier. Voilà, chers amis, le temps mauvais, gâté, corrompu, souillé jusqu'aux dernières profondeurs. Tous ces hommes vêtus sont sous l'habit que portent même les vrais serviteurs de Dieu : ce sont des démons acharnés, ils ont une faim étrange de se rassasier et pour se rassasier, il leur faut des victimes, il leur faut la chair des ministres du Seigneur, la chair de ses enfants chrétiens, le sang des veines où la foi est florissante.
- Vous ne les laisserez pas, Saint Michel, faire tout cela !
- C'est le Seigneur qui m'envoie et m'a chargé de tous ses avertissements, je suis obligé d'obéir.
- J'aimerais bien mieux moi aussi, pas ouïr mais comme vous, je veux obéir à la Sainte Volonté.
- Je me dirige vers le centre empoisonné, menacé de la foudre du ciel, son sort est fixé à partir d'aujourd'hui : heureux ceux qui sauront abandonner les murs pour se réfugier dans l'éloignement de ce lieu pitoyable où les victimes seront par monceaux et les places teintes de sang comme la pluie qui tombe dans l'orage.
- C'est bien douloureux, Saint Michel !
- Il faut que cela passe, c'est inévitable, le péché et les crimes en sont la cause, les prières des justes vont être mises pour servir de réconciliation avec le Dieu des miséricordes à l'égard de son peuple vengeur. Je vais me tenir au-dessus de l'enfer qui est cette source sous la terre. Tous les valets de Satan et ses zélés serviteurs ne périront pas dans la lutte première : à eux la victoire et aux justes la douleur de voir et d'entendre ces effroyables forfaits. Mais après, les ennemis vengeurs auront leurs supplices, pas tous, mais un grand nombre.
A ce moment, à vous, peuple fidèle, de vous relever sous le fardeau des douleurs pour entrer dans le trône de la gloire et d'élever la voix pour acclamer celui que Dieu destine pour la paix de son peuple. Aujourd'hui, la promesse du Divin Cœur est insultée, elle n'est pas crue, que par le petit nombre des prédestinés de la grâce de la protection, c'est le peuple fidèle. Aujourd'hui les miracles du ciel sont blasphémés, reniés, insultés. Vous, chers amis de Dieu, vous êtes destinés à vivre pour voir s'accomplir de grands miracles, de grands prodiges parmi de grands fléaux, de grandes justices, de grandes calamités que le Seigneur a promises. Vous serez protégés mais observez bien tout ce que les voix éternelles vous ont commandé.
- Saint Michel, soyez sûr que nous sommes fidèles à obéir aux voix éternelles.
- Chers amis, vous aurez aussi vos épreuves avec tous les justes, mais ces épreuves seront bien douces à comparer à la cruauté qui étend ses armes pour attaquer tout sans respect : pour attaquer le blasphème sur les lèvres, l'hypocrisie dans les cœurs, l'hypocrisie la plus noire, pour attaquer ce qu'il y a de plus saint, de plus véritable et de plus respectable. Chers amis de la Croix, savez-vous pourquoi jusqu'ici, la main du Seigneur n'a pas frappé ?
- Non, Saint Archange.
- C'est vous, braves et fidèles serviteurs, vos prières, vos dévouements, votre foi et votre confiance qui jusqu'ici, avec les souffrances, a soutenu ce bras irrité qui porte la vengeance. Vos épaules l'ont soutenu. Vos prières et vos souffrances sont comme un pilier solide qui se lève de la terre et monte jusqu'à la main irritée du Seigneur. Remarquez, chers amis, jusqu'ici le Seigneur a envoyé beaucoup de souffrances, de croix, beaucoup de peines, de privations de toutes sortes. Cela a été uniquement pour la prolongation des jours du pauvre pécheur ; il n'en a pas profité. Les souffrances, les sacrifices, les peines vont bientôt finir et le pécheur reste encore dans l'état déplorable et affreux !
- O Saint Archange, il ne sait pas cela, s'il le savait, il reviendrait au Seigneur !
- Un grand nombre n'y reviendra jamais.
- Oh ! Que faire de plus encore ?
- Je ne vois plus guère à faire, il y a plus à recevoir qu'à donner.
- O Saint Archange, faut plutôt donner jusqu'à la fin et ne recevoir qu'au dernier jour.
- Voici le temps qui approche où les victimes fermeront les paupières mortelles pour la terre du bas monde, pour aller trôner avec le Seigneur dans la gloire. Qu'elles se réjouissent toutes, qu'elles tressaillent d'allégresse, joyeuses parce que sa main éternelle va bientôt déposer la couronne méritée pour avoir souffert et l'avoir suivi dans la route du Calvaire sans plainte, sans murmure, mais toujours joyeuses.
- O Saint Michel, pour penser à un si haut séjour qu'avons nous à offrir au tendre Époux qui est si bon ?
- Tous les mérites des épreuves et les vertus gagnées dans les souffrances de l'abandon.
- C'est guère, Saint Archange, j'emprunterai moi, à mes amis quelque chose et je leur rendrai quand ils viendront dans le Ciel.
- Je me ferai le donateur.
- Saint Archange, je veux bien, je veux bien.
- C'est moi qui ai la balance.
- Oui, j'y songe bien souvent quand vous pèserez nos âmes, vous ferez bien attention à mettre juste le bon et le déchet.
- Je compte faire passer tous les chers amis de la Croix qui sont les amis choisis du Seigneur, tous, je le pense, je les enverrai dans la céleste Jérusalem.
- Saint Michel, vous qui pesez, si vous mettiez, quand il n'y a qu'une petite miette qui manque, pour aller en Paradis, si vous mettiez un petit poids caché pour faire entrer ces âmes qui n'ont quelquefois que trois heures, une heure d'expiation, c'est une charité, mon bon Archange !
- Il faut être juste.
- Je le sais bien mais si je pesais moi-même, je dirais au Bon Jésus de leur faire grâce, je le chérirais, je le supplierais, je le consolerais, j'embrasserais ses Pieds adorables.
- Il faut qu'elles aillent pour le temps qui leur est fixé, se purifier et se sanctifier.
- Où pesez-vous de si belles choses, dites-nous ?
- A journée, il n'y a pas de nuit.
- Qui pèse à cette heure-là que vous êtes avec nous ?
- Je suis là-bas.
- Saint Michel, vous ne pouvez pas vous mettre en deux !
- La Puissance éternelle est grande.
- Combien pesez-vous d'âmes par jour ?
- Quelquefois 10.000 quelquefois moins.
- O Saint Michel, vous avez bien de l'ouvrage tout de même !
- Quelquefois, je souffre bien quand je vois un criminel chargé de péchés.
- Oh ! Je sais bien qu'oui, vous n'avez guère de goût pour celui-là.
- A peine est-elle pesée, cette âme, que les démons sont au grillage pour la prendre et l'emporter.
- Les entendez-vous ?
- Non, mais l'âme les entend bien, elle a bien de la peine à y aller ; il le faut bien puisque sa place est assignée.
- Y a-t-il un chapelet dans le Paradis ?
- Oui, et des livres aussi.
- Et des livres aussi ! Ceux qui s'en servent, pour lire, ils apprennent ? Qui fait donc l'école dans le Ciel ?
- Le Bon Jésus, ses Anges et ses Saints.
- C'est-il des lettres d'écriture de plume ou bien moulées.
- Ce sont des lettres glorieuses qui n'ont rien de commun avec celles de la terre.
- C'est-il difficile à lire dedans ?
- Non, pas plus que les chers frères qui savent couramment dans l'écriture.
- Je ne sais pas l’écriture, vous ne m’en ferais pas lire, je m’embrouillerais.
- Non, on ne s’embrouille pas.
- Mais on ne se repose donc jamais pour dormir ?
- On ne dort point, on ne vit que d’amour, de prière et d’adoration.
- Oh ! C’est beau ! Mais pour aller, il faut porter ses bonnes œuvres moi, j’en ai point.
- Le bon Jésus en trouvera.
- Ah ! J’avais oublié, j’ai vu des musiques au ciel, des grosses et des grandes. Qui donc les mène ?
- Ce sont les Séraphins, les Chérubins et les Archanges.
- Les menez vous, Saint Archange ?
- Oui.
- Voulez-vous m’apprendre sur votre musique quelque beau cantique d’amour ?
- Bientôt quand le bon Jésus viendra célébrer la sainte Messe dans ta cellule, tu chanteras avec la musique.
- Ah ! Dame, je ne veux pas m’en mêler, je ne sais pas chanter. Saint Archange, nous chanterons le Credo en musique et le Gloria en musique par tous les petits Anges et le Credo par les Saints et les Vierges.
- Et la communion sera chantée par une musique la plus harmonieuse et la plus ravissante, ce sera le Souverain Prêtre éternel qui la chantera lui-même avec la Sainte Vierge et aussi toi.
- Oh ! J’aimerais mieux prier que chanter.
- On fera les deux.
- Merci, bon Archange. Que faudra-t-il vous donner pour cela ?
- Cinq petites médailles qui m’appartiennent.
- Je ne sais pas si j’en ai, je crois bien et à qui faudrait-il en demander ?
- A qui tu voudras, à tes amis. Ces médailles seront cinq pièces d’or qui se retrouveront à la messe d’action de grâces et de bénédictions, aux quatre coins de ta cellule et l’autre au milieu, qui sera en face de la porte par où tu sortiras pour ne plus jamais entrer.
- Ah ! Je veux bien, Saint Michel.
- Ce sera cette pièce d’or changée en soleil qui t’accompagnera d’ici jusqu’au sanctuaire.
- Si je n’en ai pas cinq, Saint Michel ?
- Tu en demanderas, je t’en ferai trouver.
- J’en ai bien quelques unes, mais pas cinq, une autre de Jésus, Marie ou autre manière.
- Ça comptera pareil, je vais en bénir tu as dans ta boite, dans ton tiroir.
- Je ne les reconnaîtrai pas !
- Je te les ferai reconnaître, reste tranquille.
- Je suis très contente !
- Moi aussi, maintenant, La Sainte Vierge va venir un moment à son tour.
- Oh ! Que je suis heureuse de la voir.
- Je vais me retirer. A ce soir, Je bénirai tous mes enfants. Reposez vous, délassez-vous en attendant l’heure de la douleur et de la joie : les choses sont proches qui feront fondre le cœur de douleur, la crise de tous les désordres rassemblés est près de son éclat mais ne vous découragez pas, le Seigneur vous aime, il vous protègera tous pour vous retrouver au Sanctuaire béni ( dit le Saint Archange ).
- Si vous voyez mon Jésus, dites-lui bien des choses pour mon cher père et mes amis. Dites-lui pour moi que je voudrais bien l’aimer et qu’il me donne la vertu de ne pas l’offenser.
- Repos -
(Il est 4 h - I/4 environ. Les bras de Marie Julie sont restés tout le temps étendus le long de son corps avec saillie considérable des tendons et amaigrissement remarquable de la main). – Note du Docteur Imbert assistant :
Marie-Julie reprend : Je contemple et j’honore la Très Sainte Mère Immaculée sur son Trône elle dit :
- Salut a vous, mes enfants bien aimés, je ne puis… sans vous visitez ce soir ou m’en retourner sans vous dire un mot.
- O bonne Mère, je vous salue, trône d’amour, Reine de l’Univers éternel
- Mes enfants, écoutez les plaintes d’une Mère qui vous aime et qui ne peut contenir sa douleur !
- Parlez, Mère d’Amour, nos cœurs sont sensibles puisque la souffrance nous à altérés et elles seules a le don de les rendre sensibles.
- Mes enfants, je ne peux plus rien, pas pour tous mais pour les pécheurs et les ingrats. Je ne peut plus arrêter la main prête a frappés, je ne peux plus la soutenir, prolongés le temps douloureux. O ! Mes enfants ! Mon Divin Fils est irrité, il est si offensé que je crains beaucoup que son bras se laisse aller avant le grand triomphe du Mal pour répandre sa justice en fléau et en autre malheur
- Ah ! Si nous pouvions vous aider ?
- Mes enfants, je ne puis plus le retenir ! De Grâce, priez avec moi, je ne peux plus me consoler en voyant les pertes si grandes de tant d’âmes qui ont coûté si cher à la Sainte Victime et à Moi, sa tendre Mère. Il lance les traits de sa colère et son Père Éternel lui dit :
- Mon Fils, lancez sans plus attendre, les traits de la Justice et répandez vos bénédictions sur votre peuple.
- O bonne Mère du ciel ! Implorez encore, demandez encore !
- Je ne peux plus obtenir, l’heure est arrêtée, la parole éternelle est donnée et voila la grande route ouverte : cette route est la route du triomphe du mal profond.
- O bonne Mère, vous avez pourtant bien longtemps supplié et retenu encore, la justice qui plane sur la terre !
- Je ne peux plus, mes enfants. Je pleure comme autrefois au Calvaire et mon cœur est percé d’un glaive de douleur et déchirant car je vois tous les maux qui pèsent non pas sur vous mais sur celle que j’ai tant aimée et à qui j’avais donné la fleur de Lys que je portais dans mon cœur ; elle est plongée dans le crime, elle blasphème son Créateur, elle est rongée par les vers, souillée par les crimes les plus infâmes.
- C’est vrai, bonne Mère, mais le ciel la ressuscitera, elle sera baptisée dans le sang des chrétiens, leurs prières formeront sa couronne, les larmes qui couleront dans l’horrible déluge du mal, lui formeront une croix de diamants. Oui, elle ressuscitera, bonne Mère, mais après, bien des maux et un espace de temps bien long encore, par la profondeur des atteintes et des cruelles angoisses. Oui, c’est lourd quand ces tableaux sinistres sont présents.
- Pauvre France ! Moi qui l’ai tant aimée et qui lui avait tressée une si belle couronne ! Et aujourd’hui, sa couronne est le blasphème, son sceptre, c’est la lance de l’homme impie pour entrouvrir le corps de mon Fils. Ce n’est-t-il pas dur pour un Père, mes enfants ! Je lui ai donné une chaussure sans tache, elle l’a jetée pour en posséder une autre qui n’était que la chaussure qui doit parcourir la France entière, brisant tout. Et un étrange crucifiement comme… le Chef de l’Église mais pas sur la Croix, mais sur l’arbre qui a grandi sous les yeux de mon Fils. Mes enfants, je vous promets mon assistance, de vous garder vous et vos chers enfants sous mon manteau protecteur.
- Merci, bonne Mère.
- Pensons au ciel, ma fille.
- Ah ! Bonne Mère, la pensée du ciel est pour toutes les âmes, mais la place n’est réservée qu’aux élus de la grâce. Je ne suis q’un ver moulu, pâture des vers et indignité.
- Ma fille, désormais, il faudra que je parle clair.
- Ma Mère, tout ce que vous voudrez, je vous obéirai.
- Tu vois, ma fille, que mon Divin Fils m’ordonne d’apporter à son trône, une parole à chacune de ses victimes.
- Oui, j’ai entendu Notre Seigneur, je ne l’ai pas vu, je l’ai entendu dire d’ici : Ma Mère, apportez moi deux paroles que je veux les premières et ensuite, vous m’apporterez les autres : l’une d’une sœur de la terre étrangère et l’autre de la source du Royaume de France ou plutôt de la Bretagne.
- O bonne Mère, que voulez vous que je vous dise, si j’avais celle de ma sœur étrangère, je pourrai me conformer sur la sienne pour dire une parole à moi.
- Ma fille, il m’en faut une, cherche là dans ton cœur.
- Eh bien, dites à mon Jésus que j’aime plus que je souffre, que je souffre bien moins que j’aime, voici ma parole.
(Elle sourit, ma bonne Mère et Elle a mis dans son cœur comme une fleur pleine d’une douce rosée et elle dit :)
- Vois-tu venir la fin de l’exil ?
- Je ne dis pas que je la vois car on ne la voit que dans l’amour des souffrances et moi, je n’ai pas cette sublime vertu, mais je la vois, je la sens par l’affaiblissement des forces humaines.
- Comment pourrais-je faire pour venir le dire ? Dire adieu à ta famille à tes parents, à tes amis et à la terre ou tu as vécu ?
- O ma Mère, ne vous gênez pas, cela ne me fera pas de mal : au contraire ça me réjouira tant que ma joie deviendra jubilation.
- Voila pourtant l’approche de la séparation. Moi, Je descendrai encore dans ce lieu mais toi, tu n’y seras plus.
- O ma Mère, j’y serai encore parce que je serai partout ou vous serez, je vous suivrai partout, je vous aimerai tant que vous ne pourrez aller sans moi.
- Ma chère enfant, quand Je regarde pendues au crochet d’or tu Trône de mon Fils, les couronnes achevées, quand Je vois les trésors derniers des dons de la grâce, je dis : plus guère de visites dans le lieu que j’aime, ou j’ai souvent descendu.
- Au ciel, ensemble, ma Mère, mes chers amis resteront ici, vous viendrez les voir et leur parler, moi, je reviendrai avec vous.
- Plus que quelque temps de douleur, que quelques jours pour reposer nos cœurs, l’un sur l’autre.
- Mais au ciel, ma Mère, ils battront ensemble d’amour pour ne plus se séparer.
- Je suis consolée d’un coté et de l’autre, je vois s’envoler l’a p… des pécheurs ! Je vais enlever de la terre le manteau qui retenait la foudre qui l’écrase. D’un autre coté, je me console, mes chères victimes et zélés serviteurs publieront bien haut sa gloire dont ils sont témoins.
- Oh ! Oui, cela vous consolera beaucoup, bonne Mère !
- Mes enfants, Je vais maintenant vous quitter mais pour rester toujours avec vous.
- Je suis bien pauvre, ma Mère, j’ai pas en ma possession, un grain de poussière de la terre, veuillez me donner quelque chose.
- Va à la porte du cœur de tous mes enfants et amis.
- Si je leur prends tout ! Je suis si affamée de posséder quelque chose pour Jésus, je serais capable de tout prendre.
- Je ferai la part.
- Déjà mes amis me donnent plus qu’ils n’en gardent, comment voulez-vous que je prenne le reste ?
- Il en restera beaucoup encore.
- O bonne Mère, vous êtes riche au ciel, il y a tout ! Daignez me donner quelque chose.
- Je veux bien mais vends-moi ton crucifix.
- C’est toute ma richesse, ma maison, mon meuble.
- Combien veux-tu me le vendre, je t’en donnerai un autre, combien ?
- Vous ne l’achèterez pas car je veux le vendre bien cher.
- Combien ?
- Cent vingt millions.
- C’est trop !
- Je ne diminuerai pas car je vous ai dit.
- Je vais le prendre.
- Ce n’est pas mon compte juste que je vous ai fait, quand je l’ai fait je me suis trompée, c’est deux cent millions que je veux le prix bien juste.
- Je vais le prendre.
- Oh ! Vous ne le voudriez pas. Vous dites que vous aimez vos enfants, vous aimez bien leur bien, leur âme puisque vous voulez prendre ce qui est leur force ?
( Elle sourit et dit : )
- C’est pour t’éprouver.
- Je veux bien vous éprouver, moi, m’aimez-vous ?
- Et toi, m’aimes-tu ?
- Oh ! je vous aime, vous êtes mon âme, j’aime mon âme pour le bon de Dieu. Je vous aime tant que je voudrais vous briser à toute seconde si c’est possible, je voudrais me voir dans votre bouche dans vos yeux dans votre front immaculé, votre cœur, votre sublime virginité, ce serait là ma cellule.
- Bientôt pour toujours.
- Merci, ma bonne Mère du ciel, merci !
- Courage, mes chers enfants, à tout, portez bien votre croix, elle est lourde parfois. Il y a bien de la peine en ce monde, des larmes, de profondes blessures dans le pauvre cœur, Je les guérirai, sois sans inquiétude.
- Je vous demande, au nom de la Sainte Trinité, si je ne suis pas dans la vois sincère du bon Dieu, car, ma Mère, je vous en supplie, j’aimerais mieux mourir tout à l’heure car une voix du ciel prononce cette parole. Daignez me rassurer vous-même !
- Écoute, ma fille, j’ai bien de la peine à ce sujet, console-toi, tu est bien dans la voie de la grâce, reste en paix, je te l’ordonne par mon Fils éternel, l’homme n’a pas la lumière immortelle, lui aussi peut se tromper.
- J’ai pourtant le dessein de bien finir le reste de ma vie dans la voie du Seigneur, si je savais qu’il y a un battement de cœur non à lui, je le jetterais bien loin de moi.
- Reste en paix, nous n’avons aucun reproche à te faire.
- Puisque je n’ai personne à me plaindre, je le fais à vous seulement, je ne cherche aucune consolation, je cherche d’être rassurée dans la vérité, c’est mon seul désir.
- Preuve de plus que tu es l’ennemi du serpent infernal. Attends-toi à de grands combats et à des luttes terribles de sa part. Dans ce temps-ci, il n’en veut qu’aux amis du ciel, il laisse les siens en paix dans leur hypocrisie.
- J’aurais-t-il fait quelque chose que mes amis auraient vu et que je n’aurais pas aperçu ?
- Non, reste dans la paix rassurante.
- Me serais-je trompée dans les extases ?
- Reste en paix.
- Aurais-je mal dit quelques mots ?
- Non, je t’ordonne de garder ma parole d’assurance et de paix. Tu as bien fait de m’ouvrir ton âme, j’en suis très contente, je vais jusqu’à te remercier.
- Je ne souffrirai jamais que vous vous abaissiez.
- Rappelle-toi de ce nom qui te consolera quand mon Fils t’à dit : Je te prends pour victime et épouse jusqu’à la fin. Le nom que Je te donne, le voici Marie-Julie du crucifix. M’aimeras-tu toujours ?
- Je me rappelle bien ! J’ai répondu : Toujours ! Éternellement !
- Te rappelles-tu cette parole quand il disait : Quand tu feras le petit partage à tes amis, tu mettras cette parole : Marie-Julie du crucifix.
Victime, amis de Jésus : don qu’elle délègue à son ami un tel et a tel.- Oui, je me rappelle.
- Rappelle-toi de cela et tu jouiras d’une assurance bien profonde.
- Merci, bonne Mère, je suis heureuse, je n’ai que quelques amis, je ne voudrais pas leur faire de la peine, je vous le dis à vous.
- Va te reposer, Je laisse aux victimes et chers serviteurs, cette parole : Un jour, chers enfants, vous verrez la preuve bien conforme qu’elle a marché dans la voie des grâces de mon Divin Fils et qu’elle lui a été agréable toute sa vie. Je vous laisse cette parole que je vous ferai comprendre plus facilement, attendez quelques jours.
- Que ta chère famille reste en paix dans la pauvreté, ils ne seront jamais riches mais le ciel jamais ne les abandonnera.
- Tes amis, maintenant, te resteront pour plus tard.
- Merci, bonne Mère !
- Je vous bénis tous et toutes les familles de près et de loin. Je connais bien le désir de tous mes enfants, je les contenterai.
- Je vous demande toutes les grâces pour les pères, victimes, les frères de la Croix, pour tous mes chers amis de près et de loin ».
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1881-02-02 :
« Quand vous le pourrez, mes enfants, dites, soir et matin, le Miserere tout entier. Si vous êtes empêchés, dites-le au moins une fois. Si vous ne le pouvez pas, récitez un Pater et un Ave, ou l’acte de contrition au pied de la Croix ou en vous tournant vers l’Église ».
« Priez beaucoup pour l’Église, pour les prêtres et pour les pêcheurs, pour ceux qui vont faire lever le désordre et recrucifier mon Fils... Mes enfants, faites le Chemin de Croix qui, en peu de temps, mènera au Ciel bien des âmes... Faites beaucoup de communions, récitez le chapelet ».
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1882-01-01 :
Marie-Julie du Crucifix recevait ses lumières prophétiques au cours de ses extases mystiques dont le caractère surnaturel n’a jamais été l’objet de doute de la part des autorités qualifiées de l’Église. Elle recevait les lumières sur l’avenir dans son " soleil mystérieux miroir de la Sagesse Divine, à qui rien n’échappe " et qui lui annonçait :
« Je suis la grande et impénétrable Lumière de Dieu, révélatrice des grandes choses que Sa Puissance envoie à Son peuple.
Par Moi, qui apporte Ses divines paroles, chrétiens fidèles, serviteurs de Dieu, tous ensemble, écoutez la prophétique parole de l’invincible Lumière éternelle ; c’est Dieu, le Maître de toutes choses ».
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1883-09-21 :
La mission de souffrance de Marie-Julie :
« Pour toi, ma fille, il y a encore trois croix différentes sur lesquelles il va falloir t'étendre et souffrir douloureusement, mais peu de temps sur chacune.
La première, c'est celle de la sainte Eglise Catholique : c'est sur celle-là d'abord qu'il va falloir s'étendre. Il va te falloir souffrir douloureusement pour elle, avant que tu ne fermes les yeux sur la terre.
La seconde croix est celle de la fermeture du royaume de la Sainte Vierge, en conséquence des grands maux qui vont, prochainement, monter leur éclat. Il va falloir souffrir, en vue de cette heure chère au crime et au péché ; souffrir pour compenser la faiblesse de la foi ; souffrir un peu, aussi, pour les soldats du Seigneur qui iront, sous ses yeux divins, conquérir la couronne du royaume.
La troisième croix, c'est celle qui porte en elle le riche et magnifique bouquet qui sera présenté au Sauveur de ce royaume, quand il entrera sur cette terre du Centre (Paris) si souillé et si coupable. Sur cette même croix je vais te donner le chemin marqué, par où tu reviendras remercier tes amis fidèles, après les courses et les combats...
Ma fille, voilà la place où, du haut des frontières célestes, tu verras les départs des nobles soldats de la croix ; d'où tu verras entrer, sur le sol de France, celui qui vient apporter paix et joie à mon peuple ; d'où tu verras le Sanctuaire du Seigneur et ses fidèles ouvriers, en place, pour noter et contempler les œuvres du Seigneur et celles de sa sainte Mère et de ses anges ».
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1884-01-01 :
« J’ai envoyé Ma Mère, on n’a pas cru à Sa parole. J’ai fait entendre Ma voix, Me choisissant des victimes sur lesquelles J’ai opéré des merveilles. On les a méprisées et persécutées. Je vais Me livrer è Ma colère. Je vais rappeler à Moi Mes paratonnerres ».
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1901-07-16 :
Voici ce que disait la Très Sainte Vierge :
« Mes enfants, quelle puissance que le Saint Sacrifice de la Messe. Ce n’est qu’au Ciel que vous pénétrerez l’immense efficacité de ce prodige de puissance, de bonheur, de merveille et de délivrance ».
Soyez sûrs que Marie-Julie vous soutiendra dans ce combat, elle qui demanda la faveur d’assister à toutes les Messes jusqu’à la fin du monde :
" Je veux souffrir jusqu’à la Fin du monde. Je veux assister à toutes les Messes jusqu’à la Fin du monde ».
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1901-09-19 :
« Il n’y aura aucun espoir de renouveau avant une immense purification, tel est l’avertissement maintes fois répété par Notre Seigneur et la Sainte Vierge à La Fraudais ».
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1925-09-03 :
« Je vous unis, petites âmes que J’aime et que Je choisis pour faire beaucoup de bien, pour semer beaucoup de paix dans les âmes et encore beaucoup d’amour miséricordieux (2 fois), amour de Miséricorde. Je vous donne cette grâce d’être à l’époque douloureuse de vrais porte-miséricorde pour beaucoup d’âmes. Vous me sauverez des âmes par les dons tout divins que Je vous donne dès aujourd’hui dans ma tendresse. Oh ! que Je vous aime. "
" Je vous aime tant que Je vous laisse dans ma bonté ce que Je veux de vous, mes petits apôtres de mon divin Cœur, de ma Croix et de ma Miséricorde, pour les âmes coupables qui ne me connaissent plus. Mes petites épouses, vous remplacerez mon prêtre qui fera défaut dans bien des lieux. Belle mission inventée par mon divin Amour et par ma divine Miséricorde. (2 fois) »
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1926-07-22
« Ô nos Saints Anges gardiens, quand nous oublierons la Divine Présence du Bien-Aimé, pensez-y pour nous, adorez-Le pour nous, afin que pas une minute ne soit sans la pensée du Bien-Aimé ».
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1930-01-01 :
Jésus annonce à Marie-Julie : « On est déçu parce que beaucoup de ce que J’avais ordonné d’annoncer pour inviter les hommes à se convertir n’est pas encore arrivé.
On croira pouvoir outrager des âmes élues parce que, à cause d’elles, J’aurais retardé un peu le terrible événement.
Si dans Ma bonté, et à cause des expiations qui Me sont offertes, Je retarde le désastre, Je ne le supprime pas. Cela ne dépend pas du jugement des hommes ignorants.
Dois-je encore, Moi-même, rendre des comptes à ceux qui ne veulent rien savoir ? »
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Poirot- Deuxième Demeure : Je m'applique à l'oraison.
- Messages : 93
Date d'inscription : 29/04/2010
LA MISSION SPIRITUELLE DE MARIE-JULIE JAHENNY - LES PRIERES ET LES DEVOTIONS
LA MISSION SPIRITUELLE DE MARIE-JULIE JAHENNY
LES PRIERES ET LES DEVOTIONS :
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 27-11-2011)
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La mission spirituelle de Marie-Julie Jahenny est essentiellement de nous avoir obtenu le Grand Monarque à venir par l’incroyable étendue de ses souffrances offertes, en plus de 70 années de vie mystique. Aucune autre âme privilégiée n’a été autant favorisée que Marie-Julie en annonces prophétiques.
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LES PRIERES ET LES DEVOTIONS :
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 27-11-2011)
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La mission spirituelle de Marie-Julie Jahenny est essentiellement de nous avoir obtenu le Grand Monarque à venir par l’incroyable étendue de ses souffrances offertes, en plus de 70 années de vie mystique. Aucune autre âme privilégiée n’a été autant favorisée que Marie-Julie en annonces prophétiques.
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Poirot- Deuxième Demeure : Je m'applique à l'oraison.
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Marie-Julie Jahenny - SIGNES AVANT-COUREURS ET AVERTISSEMENTS
SIGNES AVANT-COUREURS ET AVERTISSEMENTS
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 12-12-2011)
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1874-01-01 :
« Quand vous entendez un blasphème, dites un Gloria Patri. C’est une consolation pour le Ciel ! »
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1874-07-29 :
Sainte-Anne, patronne de la Bretagne :
« C’est Moi qui vous protégerai des dangers dans la Bretagne et qui étendrai ma main pour renverser tous les ingrats. Non, la Bretagne ne périra pas. Je l’ai toujours protégée. Je la protégerai encore. Mais priez et venez à mon béni sanctuaire ! »
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1874-11-26 :
Le Sacré-Cœur annonce à Marie-Julie :
« J’ai voulu prévenir mon peuple, pour qu’il ne soit pas surpris. Attendez dans la confiance et l’espérance... Douter, ce serait M’offenser... Sois sûre, France, les jours et les heures sont marquées dans Mon Cœur ; encore un peu de temps et J’accomplirai Mes promesses ! »
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1877-05-25 :
Saint Michel annonce :
« La France est à la veille de son malheur et de son bonheur : le malheur pour les pêcheurs, le bonheur pour les justes ».
« Avant que la Paix refleurisse sur la terre, il faut qu’une grande pénitence fléchisse la colère divine. C’est le Seigneur Lui-même qui exerce Sa Justice. Il n’appartient qu’à Lui de châtier, mais en châtiant, Il purifiera la terre et son peuple. Il n’épargnera rien. Il cultivera la terre pour y semer une nouvelle semence ».
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1877-10-24 :
Notre Seigneur annonce :
« Ma victime, tu vois que l’heure fatale va gronder sur la France et au-delà. Le bien et le mal vont se combattre. Le mal, pendant un moment, sera vainqueur mais, bientôt, cédera devant le bien. L’Univers sera presque renversé, car mon peuple est coupable. J’ai promis que les châtiments du ciel éteindraient la race corrompue. Le moment va venir. Je fermerai la bouche des impies. Je les surprendrai par ma Justice. Je ne puis plus supporter le mal. Je suis comme dans une piscine où l’eau me gagne ; je suis submergé.
- C’est vrai, Seigneur. Si, depuis Pontmain et l’apparition de Notre-Dame d’Espérance, nos cris n’étaient arrivés à vous, vous nous auriez déjà foudroyés.
- Je me laisserai encore toucher, mais seulement après la destruction que j’ai promise. Ceux qu’au milieu des cendres j’aurai épargnés seront la gloire de la France.
- Oh ! Seigneur, je vois votre Justice sur la France.
- Ce sera un moment terrible pour les ingrats et les méchants. Ce moment sera sans frayeur pour les justes.
Je vais être foulé aux pieds : ma prison d’amour sera violée, mais je n’y serai plus. Mes ministres m’auront soustrait et emporté, caché sur leur cœur. Mon temple sera souillé et plein d’horreur, mais ce moment sera court. Mon sanctuaire vous sera fermé; mais je serai avec vous, et ces jours seront rapides. La France coupable verra le sang couler ; ma douleur sera amère, mais je resterai insensible. La terre sera abreuvée du sang des martyrs et de celui des impies : le premier criera miséricorde, le second vengeance ».
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1877-11-29 :
La Sainte Vierge annonce :
« J’ai prié ; j’ai pleuré ; j’ai souffert... Je suis descendue sur la terre pour les avertir. J’ai promis le salut si l’on faisait pénitence...
J’ai annoncé au clergé de fatales perditions ; j’ai fait entendre pour lui mes menaces, s’il faiblissait dans l’orage et la tempête. J’ai pleuré sur la France. J’y ai tracé le chemin de la Croix. J’ai ouvert des fontaines pour laver les malades. J’ai consolé mon peuple, lui promettant de le sauvegarder. Tout cela n’a pas touché le coupable. Il est resté dans le crime ; son châtiment est proche... »
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1878-08-19 :
Saint Grégoire le Grand, Pape, vient donner ses consignes à ceux qui doivent combattre en notre époque si terrible :
« Qu’aurez-vous à faire ? Attendre, prier et faire ce que Dieu veut.
Aimons Dieu de tout notre cœur, servons Dieu fidèlement, servons-Le à travers les obscurités qui se trouvent en nous, servons-Le malgré les ténèbres où Dieu nous laisse et où il nous faut marcher, servons-Le quand même.
Quand même la lumière de vos âmes serait complètement éteinte, servons-Le quand même ; servons-Le toujours.
Ne perdez pas courage, traversez tous les périls, affrontez les dangers et Dieu vous comblera de Ses grâces et de Ses consolations.
Qui peut nous rendre heureux sur la terre, si ce n’est la paix de Dieu qui vit en nous, qui travaille en nous, qui prie en nous ? Sans cette paix, l’homme devient comme un damné, il court et se précipite dans le premier gouffre qu’il rencontre, parce que c’est l’affreux ravage que font en lui tous ses amours déréglés... »
Après sa mort en 1878, le Pape Pie IX apparaît à Marie-Julie, lui aussi appelle au bon combat :
« Prenez vos armes, et si elles sont rouillées, il faut les frotter...
Préparez vos armes ; les meilleures sont la prière, la Foi et la confiance ».
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1878-09-08 :
« J'aimerais mieux aller en prison que de dire tout ce que je sais sur le prêtre ; j'aimerais mieux être traînée par le cou que de le révéler : il y a de quoi faire trembler le ciel, non pas la terre, mais le ciel, avec ses puissances et ses prodiges.
Notre-Seigneur dit que la faiblesse du prêtre est grande et, qu'à peine l'heure fatale aurait-elle sonné, qu'un grand nombre serait à la tête des impies pour déformer son nom et le profaner.
Mes enfants, dit la Sainte Vierge, je veux vous dire que vous marchez dans la lumière...
Quand, dans ce lieu où je me plais, vous commencez votre travail pour mon divin fils, la lumière descend sur vous, vous éclaire, vous guide et vous dirige. La lumière luit sur ce papier où vous recueillez si bien les paroles de mon Fils. Mes enfants, que j'aime ce lieu où vous habitez ! Que j'aime ce petit coin de France où Dieu vous a fait naître!
Voilà un moment bien redoutable qui se prépare. Ne vous effrayez pas si je vous parle aussi ouvertement. Ce sera une heure bien amère pour les hommes de cette terre sans foi, sans amour et sans religion. Ils vont subir le coup terrible qui leur est depuis longtemps réservé. Ce coup est suspendu encore.
Si vous entendez courir des bruits, des bruits de scandales affreux par leur laideur, si vous voyez venir jusqu'à vous des espèces de doctrines empoissonnées, ne soyez ni surpris ni troublés. Ce sera une grande perdition pour les âmes peu solides. Laissons-les travailler à leur gré : une autre loi saura bien les arrêter.
Mes enfants, si vous saviez combien est petit le nombre de ceux qui soutiennent la foi ! Si vous saviez combien ce petit nombre sera contredit, raillé, insulté, tourné en dérision !
J'ai, depuis longtemps, le dessein de m'adresser à une âme. Le moment approche où je serai forcée de parler à nouveau. Ce sera la dernière fois que je ferai passer mes grands avertissements. Je n'ai pas encore choisi cette âme. Cela se fera sans bruit, sans agitation, avec simplicité, comme toutes les œuvres de mon Fils et les miennes ».
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1880-06-28 :
« Mes enfants, dit la Ste Vierge, faites attention à mes paroles... (...) A partir des années 80, Satan fera beaucoup de révélations (...). Il sera impossible de démarquer son langage, car il imitera trop bien les paroles du Christ et ses révélations. En chargeant ces âmes, il veut perdre beaucoup de prêtres pieux, les égarer profondément dans toutes ces choses. Il veut en perdre aussi beaucoup qui ne sont pas prêtres… »
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1880-08-30 :
L’extase qui suit nous donne une vue d’ensemble du plan divin de purification :
« Je vois qu’au moment où le Seigneur monté au Ciel, prit possession de son Royaume Éternel, à ce moment, l’enfer devint le Royaume de l’Ennemi. Le Seigneur s’empara de son royaume terrestre et dit : " Je suis établi Roi Éternel. "
Satan, furieux, cherche quelque détour pour étendre malicieusement sa puissance... Il demande un partage...
Le Seigneur lui dit : " Tu Me seras soumis, tu ne feras que ce que te permettra la Loi Éternelle...
Je te laisse le pouvoir de tenter tous les hommes, de les faire souffrir jusqu’à une certaine mesure, mais Je serai présent... Au commencement, tu ne feras pas beaucoup de prodiges ; ils te serviront à faire le mal.
Je te laisse permission de tenter Mon peuple, mais Je ne te permettrai jamais de prendre la forme divine, ni celle de figures véritables... "
Satan dit : " Je transformerai tout en outil de travail contre Vous, je mettrai la révolte, la guerre, la division partout. Je renverserai le temple de Vos prières ; j’y établirai des idoles qu’on adorera. J’y briserai tout. "
Jésus dit : " J’écraserai sous la foudre du Ciel, tous ceux qui te seront donnés pour l’enfer. Je rétablirai Mon peuple ; Je le préserverai des fléaux ; Je relèverai les ruines. Je te précipiterai dans l’abîme, mais seulement après que tu auras usé des pouvoirs que Je te laisse pour le moment... Pendant les ténèbres, il y aura beaucoup de conversions ; beaucoup d’égarés reviendront à Moi par le repentir ».
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1880-09-20 :
Marie-Julie demanda à quelle époque Satan devait régner en maître.
La flamme du Saint Esprit lui répondit : « C’est celle où vous êtes maintenant, enfants de Dieu ».
« Si les justes n’avaient pas redoublé de prières, surtout en égard des justices annoncées depuis des siècles, la Main du Seigneur se serait appesantie sur tout son peuple, et les plus grandes épreuves auraient depuis longtemps visité Ses enfants ».
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1880-11-30 :
Les Châtiments :
« Les foudres du ciel se succéderont avec une violence rapide. Le feu du ciel parcourra la terre sur une largeur effroyable : cette foudre vengeresse brûlera toute pointe qui produit du fruit. Les terres cultivées seront ravagées par la puissance de ce feu ; les prairies seront brûlées et réduites à une terre complètement dépouillée. Les fruits ne paraîtront point ; toutes les branches d’arbres seront sèches jusqu’au tronc.
Enfants de la Bretagne, vous userez, pour conserver vos récoltes, de ce que la bonté de mon Fils vous a révélé : c’est le seul moyen de sauver votre nourriture.
Mes enfants, pendant trois jours le ciel sera en feu, sillonné de frayeur par la colère divine. Ce qui m’attriste, c’est que cette colère n’arrêtera pas la force de l’enfer. On ne craint ni mon Fils ni l’enfer. Il faut que ce temps passe. Le péril de la France est inscrit au ciel par la puissance éternelle. Je ne peux plus intercéder ; je ne suis plus qu’une mère sans puissance.
Pendant plusieurs années, la terre ne produira rien. La France sera malheureuse, même après son triomphe. Pendant deux ou trois ans, elle se ressentira de ces ruines et de ces misères profondes. La misère sera grande, bien que mon peuple soit éclairci. La prière ramènera la bénédiction. Mon Fils et moi, nous aurons pitié de cette longue pénitence.
Mes enfants, priez pour l’Église ; priez pour tous ses ministres priez pour le Pape, car on attentera à ses jours. Ce lieu aussi sera criblé de vengeance, et le mal y fera des sans mesure, malgré la foi d’une grande partie de mon peuple.
Le mal, que j’entrevois si proche, laisse à mon cœur une blessure qui durera toujours : une perte d’âmes considérable, la foi ruinée, le baptême souillé. Toutes ces lâchetés, que je vois, changeront en mauvais chrétiens beaucoup de mes enfants.
La France périra - pas toute, mais beaucoup périront – Elle sera sauvée avec un nombre bien petit... O France, on apportera, jusque dans tes lieux, la poussière de l’étranger. Tu ne pourras renvoyer ces étrangers.
Tu fus si noble, ta noblesse sera perdue.
J’ai vu tout passer sur terre. Jamais - je vous le dis avec un cœur de mère - jamais je n’ai eu sous les yeux l’attente de pareils crimes, de pareils malheurs : violations, sacrilèges, attentats. C’est dès aujourd’hui que je vois toutes ces peines. Oh ! Priez, mes enfants !
Je m’arrête sur ces douleurs.
Reposez-vous, mes enfants ».
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1881-02-08 :
« Quand vous le pourrez, mes enfants, dites, soir et matin, le Miserere tout entier. Si vous êtes empêchés, dites-le au moins une fois. Si vous ne le pouvez pas, récitez un Pater et un Ave, ou l’acte de contrition au pied de la Croix ou en vous tournant vers l’Église ».
« Priez beaucoup pour l’Église, pour les prêtres et pour les pêcheurs, pour ceux qui vont faire lever le désordre et recrucifier mon Fils... Mes enfants, faites le Chemin de Croix qui, en peu de temps, mènera au Ciel bien des âmes... Faites beaucoup de communions, récitez le chapelet ».
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1881-03-08 :
« Les serviteurs du Seigneur font bien la divine volonté. Ils attendent, avec confiance, l’arrivée de toutes choses ».
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1881-06-09 :
« Ma douleur la plus profonde, c’est de voir cette sorte de joie de cœurs chrétiens - qui ont été chrétiens, mais qui ont perdu la grâce - c’est de voir cette joie quand la puissance des hommes mortels va ordonner dans tout ce royaume, une religion affreuse, opposée à celle qui existe aujourd’hui et qui fait le bonheur de Mon peuple.
Je suis inconsolable. J’y vois courir, pour se soustraire à la mort et s’arracher aux supplices imposés, des multitudes de chrétiens. Je les vois embrasser cette religion d’un cœur joyeux, sans réflexion sur Moi, sur l’Église, sur leur Baptême et sur tout ce qui fait du bien à l’âme chrétienne... En manifestant ces signes à Mon peuple (les avertissements), je veux reprendre Mon peuple, avant de le punir, car Je l’aime... Du haut de Ma gloire, je vois entrer avec empressement dans cette religion coupable, sacrilège, infâme, en un mot semblable à celle de Mahomet... (Parce qu’elle nie la divinité de Jésus-Christ) j’y vois entrer des Évêques. En voyant ces Évêques, beaucoup, beaucoup, et à leur suite tout le troupeau, et sans hésitation se précipiter dans la damnation et l’enfer, Mon Cœur est blessé à mort, comme au temps de Ma Passion... Je vais devenir un objet d’horreur pour la plus grande partie de Mon peuple. Toute la jeunesse sera gâtée et bientôt tombera dans une putréfaction dont l’odeur sera insupportable... »
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1882-01-24 :
« Il n’y a que la prière qui peut sauver la terre qui peut donner la victoire… Je ne peux vous donner cette victoire tant désirée. Il n’y a pas assez de prières, de sacrifices, de calvaires... ».
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1882-03-15 :
« Dans le soleil, la flamme dit :
- Jusque dans les lieux les plus retirés, les suppôts de l'enfer travaillent, maintenant, à des écritures abominables. Mon peuple les trouvera partout sur son chemin. Beaucoup de coureurs appellent les ouvriers à la révolte, à cause du manque de travail qui est leur pain de chaque jour...
- Les petites villes, comme les grandes, seront bientôt perdues par des groupes d'ouvriers qui n’ont ni asile ni refuge. Ils s'étendront partout, surtout que l'heure où ils pourront se rassasier ne tardera pas à sonner.
La flamme dit :
- Partout, la France presqu'entière sera soulevée contre l'église. On répandra sans repos, sur la Foi et l'Eglise, des articles abominables que le monde, sans l'enfer, n'aurait jamais su inventer.
- Les indignes ennemis du Dieu-Sauveur, qui s'assemblent dans les loges et les remplissent, sentent le moment approcher. Ils vont se lever, pleins d'espoir, pour jeter boue et scandale sur les apôtres de Dieu et sur son église. C'est par eux que la jeunesse finira d'oublier son Créateur et Rédempteur. Ce temps fait frémir, au sujet de ceux des chrétiens dont la foi se trouvera inébranlable.
La Mère de Dieu, poussée par l'amour de son cœur, va redescendre sur la terre, apparaissant à son peuple d'une façon qui sera sans mesure.
Elle va renouveler sa descente du ciel sur terre, dans les environs des montagnes de la Salette. Elle apparaîtra, suspendue sur une nuée blanche, environnée d'une guirlande de roses, pour dire :
"La terre ne sera qu'un tombeau, depuis l'Alsace-Lorraine, qui n'est pas comptée, jusqu'au bord de la Bretagne."
La mère de Dieu manifestera une autre gloire à son peuple, comme dernier trait de son amour, au sujet de la douleur des chrétiens. Dans le nord de le France... Elle viendra, avec des signes de deuil, et n'adressera que trois paroles qui seront entendues par une dizaine d'âmes.
1° toute la terre, excepté la Bretagne, ne sera qu'un tombeau sans vie.
2° L'église va souffrir des persécutions telles que l'enfer n'en aura jamais inventé de plus cruelles.
3° le Centre deviendra une terre imbibée de sang. Le dernier qui y coulera sera celui de l'homme que le ciel maudit à cause de ses crimes.
La flamme dit encore :
- Mon peuple, ne crains rien. Nos victimes seront alors revenues à l'abri de l'orage de feu et de flammes. Leur grande œuvre ne s'arrêtera pas pour cela l'espace d'une minute.
Le ciel baissera sur terre les signes de sa justice. La terre étrangère ne récoltera aucune nourriture. Une pluie de feu réduira en poussière la nourriture de ces peuples où sont mêlés chrétiens, non-catholiques et mahométans.
La flamme dit encore :
- La Terre de France va subir aussi la Justice de Dieu. Pendant trois années, les pommes de terre pourriront à l'heure de la semence ; le blé ne poussera pas ou s'arrêtera à mi-hauteur. Les fruits noirciront un ver en rongera l'intérieur, avant qu'ils aient atteint la grosseur du doigt.
La flamme dit :
- Le Centre et ses demeures seront broyés par la violence du tonnerre de Dieu. Les frémissements et tremblements de terre se multiplieront, jours et nuits, sans cesser, pendant quarante-trois jours. La mer s'agitera et jamais de tous les siècles, ses vagues et ses flots n'auront pris une forme semblable. Tout le monde de cette époque périra à jamais.
Mon peuple, si Dieu te parle ainsi, c'est qu'il ne peut plus soutenir sa justice inexorable. Il te dit : n'aie pas peur, j'ai tous les pouvoirs.
Maintenant, mon peuple, que rien ne t'épouvante. Si, demain, tes oreilles entendent des bruits nouveaux ; si tes yeux parcourent des lignes qui font frémir, que rien ne t'étonne ! C'est l'enfer qui se met à l'œuvre.
Il faut que la terre périsse : pas toute, mais plus de la moitié de la moitié. La terre deviendra le désert, mais Dieu la repeuplera dans la paix et la tranquillité.
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1882-03-29 :
« J’ai renouvelé bien des fois, dit le Seigneur, le secret de l’humble fille de la montagne. Ma sainte Mère portait l’instrument de ma Passion. Elle répétait : - Les plantes chrétiennes seront si clairsemées que la terre ressemblera plutôt à un désert qu’à une terre habitée par des chrétiens, qui sont si nombreux pourtant…
Il y aura si peu de monde resté dans ces contrées qu’un grand nombre d’églises ne seront plus occupées, même par une seule âme. Ce sera selon les contrées et selon les progrès de l’iniquité ».
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1982-08-25 :
« Mes enfants, avant même, peut-être que la première crise de la Fille aînée de l’Église ne soit commencée, il y aura des nouvelles douloureuses de ces peuples : Angleterre, Perse, Jérusalem. Tous auront subi de grands maux.
Mes enfants, je prévois qu’à la sortie de ce trouble, il y aura un nouveau règne pour la terre anglaise et un choix se fera, quand, soudain, la mort viendra frapper ceux qui ont en main le gouvernail de ce Royaume. Pour cette terre... il se fera bien du mal et elle sera divisée en quatre parties, car leurs volontés ne s’accorderont nullement... Le choix des Catholiques sera rejeté ».
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1882-10-05 :
Avertissement :
« Mon peuple, mon peuple, mon peuple, tes yeux vont voir le commencement de l'heure épouvantable, quand le froment en herbe ne sera pas au troisième nœud de sa croissance (le froment est semé en février, le nœud 1 est situé en mars et le 3ème nœud en mai).
Au moment où mon peuple n'aura plus qu'à s'armer de foi et d'espérance, encore en la saison dure, pendant quatre heures - de midi à quatre heures en France - en des jours durs encore. Le soleil aura comme un voilement de deuil. Il sera obscurci, sans lumière.
Jamais personne sur la terre ne pourrait croire aux noirceurs de ces ténèbres. La terre n'aura plus rien. L'œil sera voilé, sans qu'il puisse apercevoir le moindre objet.
Mon peuple, ce sera le commencement des châtiments de Ma justice. C'est le soleil qui annoncera ces douleurs ; le ciel qui pleurera, sans pouvoir se consoler, parce que ce sera l'entrée du temps où les âmes se perdront, l'entrée, en un mot, de l'épouvantable malheur.
Mon peuple, cette obscurité, couvrira la Bretagne l'espace de quatre heures, mais il n'y aura pas de mal... Petite frayeur simplement. Vous n'aurez pas peur ! »
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1882-10-10 :
« Ma fille, dit la Sainte Vierge, j'ai besoin de faire passer mes paroles à mon peuple, peuple plus nombreux, il est vrai, mais fidèle et juste. Mes enfants écoutez ma parole.
Dans le centre, à descendre sur la terre de Périgueux...
- Dame ! Je ne sais pas ce que c'est que ce mot là !
- Sois tranquille, mes serviteurs le connaissent.
Là, en cette terre de Périgueux, un mortel outrage attend mon Fils. Des groupes d'hommes, du côté de ceux qui mènent la France à l'abîme, vont en quatre immenses rassemblements, pour déclarer vouloir la même chose qu'au temps passé de 93. Il n'y aura q'un cri :
"Nous voulons le sang des victimes et la mort de ceux qui ne pensent pas comme nous, et qui nous combattent".
Mes enfants, sur la terre de Périgueux, un tremblement soudain va tomber sur les enfants, entre dix et seize ans. Leur corps sera tremblant et agité. La malédiction du ciel les fera marcher d'une manière toute opposée à la marche du chrétien sur ses pieds. Aucun homme mortel ne pourra alléger le châtiment. Je déclare l'art humain impossible ».
« La Sainte Vierge dit :
"Mes enfants, en descendant sur le midi où la colère de mon Fils parle déjà... au moment ou des rassemblements d'humains, semblables à des lions, marcheront triomphalement sous l'empire des gouvernants, pour piller la France... au moment où se compléteront les discours d'ouvriers, prisonniers de tous les mauvais, et qui n'attendent qu'un cri pour marcher sur la route de la révolution...
A ce moment, deux petits enfants français seront soudain enveloppés d'une éblouissante lumière. Ils seront encore à l'âge où le langage est à peine compréhensible.
Voici le refrain qu'ils répéteront :
"Arrêtez vos desseins, arrêtez vos complots et, surtout, arrêtez toutes les ambitions qui vous pressent de ramasser les trésors du pauvre peuple que vous allez immoler".
Mes enfants, l'un de ces anges de la terre mourra immédiatement, né d'une famille pauvre, d'un père portant le nom d'Henri et d'une mère portant celui de Marthe.
Le récit de cette histoire ne passera pas inconnu.
L'autre enfant survivra quelques jours de plus, jusqu'à l'heure où la révolution régnera dans son éclat. La fin de son langage sera ceci:
"Un ange du ciel vous offre le drapeau de celui qui doit régner noblement et qui descend de l'illustre famille blanche".
Les paroles dernières du faible enfant provoqueront l'éclat dernier de la fureur. Les éclairs du ciel réduiront en cendre les plus riches de ces villes, dont l'une est bien connue par son nom qui indique la force" ».
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1882-10-26 :
« Je lis cette parole :
Préférez, chers fils, la palme du martyre, plutôt que d'accepter les offres de ceux qui vous auront réduit à de si pitoyables douleurs, et qui vont envahir votre chère France entière par leur puissance et leurs massacres impies et pervers.
Chers fils, groupez autour de vous vos fils et vos frères-prêtres afin de les protéger contre l'offre des hommes mortels, contre lesquels ils sont avertis. Cette douleur vous contristera l'âme et vous brûlera le cœur, comme si la mort venait vous frapper.
Vous allez voir circuler des paroles dans la France si chère à tous les Papes, surtout à celui qui règne maintenant, et qui pleure chaque jour à la vue des abîmes où se perdent ses enfants ».
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1882-11-16 :
La seconde Flamme dit :
"Le Seigneur, las des offenses de la terre, va, par un châtiment terrible, rendre plus des trois quarts de la France stériles des fruits de sa Providence.
Une ruine, voulue par son inévitable Justice, va retomber sur la France catholique et impie. Tout ce qui, en France, fournit à presque tout le peuple ses trésors et ses aises, tous ces riches palais où sont produits les bénéfices de la nation, tout cela, le Seigneur va le détruire par un châtiment terrible, sous la forme d'un écroulement de terre.
Tous ces hauts édifices, qui sont une partie du pain de la France, s'écrouleront. Dieu va surprendre ceux qui travaillent sans penser à lui, ni à sa puissance qui donne tout sur la terre".
La troisième Flamme dit à son tour :
"Le Seigneur va renouveler la terre, comme au temps d'autrefois quand les signes de sa gloire étaient si manifestes.
En la terre d'Amiens, la Mère de Dieu est sur le point de se fixer un nouveau séjour, pour y venir avec l'Enfant Jésus dans ses bras maternels, et prévenir ce peuple, mélangé comme partout.
Jésus a, dans sa main droite, un trait et, dans l'autre, une forme de coquille largement ouverte qui indique à tous les justes, la barque du salut au milieu des luttes promises.
A trois reprises différentes, en l'intervalle de douze à seize jours, au-dehors de cette ville immense, près d'un petit coteau très étroit que le feu a plusieurs fois ébranlé, paraîtra la forme d'un petit soleil deux fois large comme le cœur de la main. Ce petit soleil fera le tour de cette montagne bien étroite et très basse.
Hors de la ville, à une distance assez longue, il y a un petit hameau retiré et bas, bien simple au regard des passants. Le petit soleil passera par le toit, après en avoir fait trois fois le tour, par temps sombre,
Hors de la ville, à une distance assez longue, il y a un petit hameau retiré et bas, bien simple au regard des passants. Le petit soleil passera par le toit, après en avoir fait trois fois le tour, par temps sombre, vers quatre heures et dix minutes du soir. Il laissera la forme d'un jet de sa flamme très mince et très étroit. Il passera sur le toit ; puis ce jet disparaîtra comme s'il n'eût jamais été.
Et la Flamme dit :
"Couché dans un berceau, un enfant de douze mois, d'une beauté semblable à celle d'un ange... A lui est réservé, dans sa petitesse innocente, un acte grand et sublime.
L'enfant, attiré par l'éclat d'un petit soleil, sera porté au lieu indiqué, sur les bras de sa mère. Une voix d'homme, la plus forte, la plus éloquente et la plus instruite de la terre, ne pourrait jamais arriver au développement frappant de la voix de cet enfant.
La voix retentissante de cet ange mortel annoncera, d'une voix qui se répandra à des lieux de distance, annoncera, par permission divine, les terribles malheurs qui attendent la patrie. Il l'annoncera très peu de temps avant que ces projets ne s'éveillent".
Comme bien d'autres en France, le clergé de ce lieu refusera de croire aux ordres du ciel. L'autorité sera punie : des coupables tremperont leurs mains dans le sang de ces hommes qui auront refusé de se rendre à la voix du ciel.
La voix dit qu'Amiens sera terriblement punie : des rassemblements de mauvais chrétiens y feront de grands désordres par le feu et les armes mortelles.
La Flamme dit :
"Cet enfant parlera environ vingt-sept minutes avec, dans la voix, des sanglots qui feront s'émouvoir jusqu'aux brins d'herbe. Cette annonce, terrible pour la France, sera universelle".
La Flamme ajoute :
"Les dernières minutes seront terribles pour la terre de la Ville Eternelle. Le fléau qui s'y découvrira sur les Russes, après deux jours seulement, semblera proche de terribles épreuves pour ce peuple" ».
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1882-11-21 :
Avertissement et Découvertes de Prophéties :
« En entrant en vision, je me trouve transportée sur un sommet d'où je contemple l'étoile lumineuse qui fait le guide de mon âme. Je la suis, et je vois qu'elle me dirige vers une sorte de temple rayonnant de céleste beauté.
Je pénètre dans cette vaste demeure à la clarté sublime ; et je vois la Sainte Vierge à genoux, au milieu d'une lumière resplendissante. Elle me dit :
"C'est ici, qu'en la pureté de mon âme et de mon corps, je fus présentée au Seigneur, aujourd'hui, jour de la Présentation".
Elle dit :
Père infiniment saint, je vous supplie, de mon cœur d'épouse et de mère, de bien vouloir mettre fin, sur terre, aux épreuves des chrétiens justes et fidèles qui croient aux promesses de votre divin Fils, qui est aussi le mien.
- Très digne Mère de mon Fils, répond le Père Eternel, Celui que j'ai envoyé sauver le monde est entré enfin dans la grande décision, pour l'accomplissement des promesses qu'il avait révélées aux saints et aux saintes dont l'Eglise chante ou chantera la gloire...
Très sainte Mère de Jésus, prévenez votre peuple que l'approche du Seigneur n'est plus éloignée. Mais, d'abord, il va prendre en main, rapidement, le rétablissement de ses œuvres glorieuses. J'assure, et je déclare à mon peuple de la terre, que mon Fils a commencé... à manifester la conquête des coupables.
- Oui, Père divin, des hommes saints, serviteurs choisis par votre Fils Eternel pour l'accomplissement des triomphes de l'Eglise, ont déjà vu, de leurs yeux mortels, le règne bien annoncé des méchants et des coupables, en cette lutte où le sang sera doublement versé.
Elle dit :
Mes enfants, voici le signe qui vous indiquera que le combat est proche pour sauver l'Eglise et sa fille aînée. D'abord tous les méchants vont régner victorieusement. Leur volonté ne sera point renversée, avant les époques indiquées dans les extases passées, avant que tous ces hommes...
- Pas fort, bonne Mère, je souffre d'atroces douleurs au-dedans de mon cœur qui souffre déjà de la douleur annoncée. S'il vous plaît, bonne Mère, pas fort.
- Non, mes enfants, mais je dois vous avertir gravement que le mal va empirer, et que ceux qui le font vont triompher comme c'est annoncé.
Après leur règne de courte victoire sur les blancs - et sur ceux qui ne le sont pas - tout mon peuple aura plus ou moins à souffrir ; après que la victoire des impies aura couvert presque toute la France de sang et de morts, la blanche armée de la victoire fendra rapidement ces milliers et ces milliers de triomphateurs coupables qui seront punis. Mes enfants, elle traversera la rougeur de leurs âmes ; mais ils ne changeront ni de pensée ni d'opinion. Ce sera visible jusque sous les yeux du Sauveur mortel et des "royals" soldats. Le châtiment les aura atteints ; mais ils ne seront pas changés.
Mes enfants, dès que le signe de Dieu sera commencé, ne vous étonnez pas ; disposez-vous à en voir fuir dans les abris, en toutes les parties de la France et non d'un seul côté...
Mes enfants, ne soyez pas surpris si le rouge de ce signe reste le dernier. L'armée des justes, des soldats de la Croix, mêlée à d'autres braves, traversera presque toute le France, sous le feu des signes de Dieu. Elle sortira de Bretagne pour se rendre jusqu'au fleuve où le Sauveur de la terre doit arriver avec sa propre armée. Ils se rejoindront tous ensemble, sous l'étoile de la victoire.
Ma fille, remarque bien cette parole : ce sera sous des signes du ciel semblables au sang des chrétiens. Au milieu de ces signes sanglants et effrayants, il y aura une blanche lumière qui surpassera la beauté de l'aurore quand le jour paraît. Cette blancheur fendra les sillons de sang et ira au-devant de vous, sur le bord du fleuve. Cette blancheur aura traversé ce sang le jour des souvenirs de la Passion de mon Fils.
- Oui, bonne Mère, un vendredi.
- Mes enfants, dit la Sainte Vierge, pour que vous ne doutiez pas, je vous décris ce signe que mon Fils vous manifestera à la chute du jour, une preuve véritable... Un signe blanc, à l'ouest de la France, environné d'un rideau de franges diamantées, énorme, l'espace de trois quarts d'heure. Vos demeures en seront éclairées comme par le soleil. Les rues seront aussi claires que dans le jour ordinaire.
Au bout d'une demi-heure, une barre rouge se formera, vers l'ouest, en forme de branches ; et des gouttes de sang s'en échapperont. Cette barre rouge cernera la blancheur du signe et en envahira l'éclat de sa lumière.
Mes enfants, de l'ouest, ce signe remontera un peu ; puis la barre rouge se dissipera, comme par la victoire de la blancheur. Un samedi, entre cinq et six heures...
Je parlerai encore pour prévenir mon peuple des signes du Seigneur.
Après ces paroles, la Sainte Vierge tombe à genoux aux pieds du Père Eternel et voici les paroles du Père Céleste :
- Très digne Mère de Dieu, mon Fils Eternel veut manifester le signe du Sauveur mortel et tourner sa puissance du côté de l'étranger. Tous les yeux, en France, pourront contempler cette faveur à son égard.
- Il sera, reprend la Sainte Vierge, comme un ornement au firmament, sous la forme d'une étoile carrée, portant en son milieu un sceptre et une couronne que pourront bien distinguer tous les yeux des peuples de la terre.
Et elle ajoute :
Puisque mon divin Fils ne peut convaincre son peuple du jour fortuné qui le surprendra au milieu de ses idées mauvaises et coupables, il commencera par placer sous le firmament l'annonce des prédilections faites aux siècles passés et au siècle présent.
Je cite, dit-elle, l'épouse de mon Fils, cette religieuse de Saint Vincent de Paul, qui en cette pauvre Ninive, fut favorisée de mes apparitions glorieuses (Catherine Labouré).
- Oui, reprend Marie-Julie, je l'ai connue... Frère, c'était ma sœur de Pau, vue en une vision, il y aura cinq ans le 10 du mois prochain, portant les stigmates du Sauveur. Je le vis, en cette vision, lui mettre la lance au cœur, les clous qui l'ont crucifiée et, de plus, l'éponge et le roseau. Le Seigneur m'avait dit de garder, pendant cinq années, quelques graves paroles de cette vision. J'ai obéi. Il me dit : tu remettras un jour mes trois secrets.
Le Père Céleste dit :
Il n'y a plus que peu de temps avant le terme.
Je cite encore, continue la Sainte Vierge, cette sainte et belle âme, la sœur de la Sainte Face, sœur Saint-Pierre qui avait demandé de rester inconnue jusqu'à la veille des malheurs dont le Seigneur lui avait fait voir l'étrange lutte mortelle. Sous peu, mes enfants, la Touraine va refleurir en mettant à jour ce qui sera le départ de la gloire qui l'attend.
Je citerai cette autre servante qui a si noblement prié et souffert, Marie Estelle que les chrétiens ont laissée dans l'oubli, ainsi que les secrets saints que le ciel avait déposés en son âme".
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1882-11-23 :
« Un des signes précurseurs de la grande tribulation sera le manque de travail et la montée du chômage :
- Tous les ouvriers, dont l’emploi fournissait chaque jour une occupation qui les empêchait de se livrer au mal. Les desseins de ceux qui dirigent la France ont résolu d’enlever à l’ouvrier tout travail, tout emploi…
- Mes enfants, il ne va plus y avoir de repos. Nuit et jour, les coureurs (Les factieux) se livrent au mal : l’incendie, l’affreux assassinat. Ils vont user de la poudre violente qui réduit en lambeaux les murs les plus solides bâtis sur la terre ».
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1883-10-17 :
« Il faudra rester où le Bon Dieu nous aura placés et beaucoup prier. La France n’ayant pas mérité celui qui devait la sauver, Dieu l’a enlevé de la terre (Henri V, le Comte de Chambord) ; C’est le premier châtiment ».
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1884-01-01 :
« J’ai envoyé Ma Mère, on n’a pas cru à Sa parole. J’ai fait entendre Ma voix, Me choisissant des victimes sur lesquelles J’ai opéré des merveilles. On les a méprisées et persécutées. Je vais Me livrer è Ma colère. Je vais rappeler à Moi Mes paratonnerres ».
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1884-01-04 :
« La désolation sera si grande et les châtiments si terribles que plusieurs sécheront de frayeur et se croiront à la fin du monde. Il y aura des ténèbres physiques pendant trois jours, et de jour, il y aura une nuit continuelle. Des cierges en cire bénits pourront seuls donner de la lumière pendant cette terrible obscurité. Un seul cierge suffira pour les trois jours, mais dans les maisons des impies ils ne donneront aucune lumière ; pendant ces trois jours de ténèbres, les démons apparaîtrons sous les formes les plus hideuses et les plus épouvantables. Vous entendrez dans l’air les blasphèmes les plus horribles. Les éclairs pénétreront dans vos demeures mais ils n’éteindront pas la lumière des cierges bénits ; ni le vent, ni la tempête, ni les tremblements de terre ne pourront les éteindre. Des nuages rouges comme du sang parcourront le ciel, les fracas du tonnerre ébranleront la terre, des éclairs sinistres sillonneront les nues dans une saison où ils ne se produisent jamais. La terre sera remuée jusque dans ses fondements. La mer soulèvera les vagues mugissantes qui se répandront sur tout le continent. Le sang coulera avec tant d’abondance que les hommes en auront jusqu’à la ceinture. La terre deviendra comme un vaste cimetière. Les cadavres des impies et des justes joncheront le sol. La famine sera grande ; enfin tout sera bouleversé. Les trois quarts des hommes périront. La crise éclatera presque subitement. Les châtiments seront communs à tout le monde et se succéderont sans interruption.
Lorsque mon peuple est tombé dans l’indifférence, J’ai commencé à le menacer. Aujourd’hui, il mérite Ma justice. Je suis venu sur la terre ; ils veulent Me chasser, M’enlever Mon Saint Tabernacle, renverser Ma Croix et méconnaître Ma Puissance.
- Ô Seigneur, dit Marie-Julie, ayez pitié !
- Oui, J’aurai pitié du bon peuple, mais l’autre, Je l’engloutirai. La terre s’entrouvrira et il disparaîtra pour toujours ».
« Quelques-uns peut être riront de notre crédulité. C’est qu’ils n’ont vu ni la guerre ni la Commune en 1870-1871 avec ses horreurs, et qu’ils croient que la guerre actuelle (1914), depuis si longtemps prévue et annoncée, n’est qu’une conflagration résultant de conflits entre nations et non un avertissement du ciel. Plaignons-les et prions pour eux. Les hommes ont voulu faire leurs affaires eux-mêmes ; aujourd’hui le ciel est fermé. Rouvrons-le par la prière et la pénitence et tenons-nous prêts ».
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1895-07-02 :
Saint Michel dit :
«Mes bien-aimés fidèles, courage ! Encore un peu de temps et vous verrez tout l’enfer se déchaîner pour tout renverser. Vous verrez des choses abominables, des violations épouvantables. La malice des hommes va encore grandir en fureur et en méchanceté. La fille aînée de l’Eglise sera divisée, partagée, déshonorée, souillée de crimes… C’est mon dernier mot… »
Et la voix vibrante de l’extatique saisi les assistants :
« Mes bien-aimés enfants, consolez-vous à l’heure du désespoir terrible, sous le coup de la Justice, la fille aînée de l’Église verra se lever pour elle ceux qui ont été ses sincères amis. Elle sera sauvée et chantera le Te Deum d’actions de grâce ».
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1896-09-19 :
« Rappelez-vous mes graves paroles sur la montagne de la Salette. Le prêtre n’est plus humble et n’est plus respectueux... ».
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1896-12-01 :
« Quant je verrai en souffrance la vie des victimes, ma main qui bénit et qui frappe, fendra le firmament et apparaîtra aux regards de mes justes pour les diriger, comme une étoile mystérieuse, vers la terre du repos. Ensuite cette main armée de traits de vengeance, après tant de patience et de bonté, touchera la terre ; et le coup sera le grand coup de ma justice.
Un peu plus tard, sous une belle aurore d'un matin plein d'espérance, sortira un Sauveur qui sera choisi par moi pour rendre la paix à mes enfants exilés. Il bénira mes œuvres ; il favorisera mes desseins ; il sera l'ami de Dieu. Si les hommes ne font pas ce qu'ils doivent, je prendrai leur place et je ferai mon œuvre sans les hommes et malgré les hommes ».
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1898-05-19 :
« Le grand Coup de la main de Dieu ne sera pas de longue durée, mais il sera si terrible que beaucoup en mourront de peur. C’est après ce grand Coup qu’arrivera le triomphe de l’Église et de la France.
D’abord paraîtra celui que la France prendra pour son sauveur : mais ce ne sera pas le vrai Sauveur : celui qui est choisi et envoyé par Dieu et qui sera des lys »
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1900-04-15 :
La Sainte Vierge nous annonce :
« Mes petits enfants, c’est la Foi, c’est la confiance, la plus belle prière qui obtient le plus et davantage ».
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1901-07-16 :
La Sainte Vierge nous annonce :
« Mes enfants, quelle puissance que le Saint Sacrifice de la Messe. Ce n’est qu’au Ciel que vous pénétrerez l’immense efficacité de ce prodige de puissance, de bonheur, de merveille et de délivrance ».
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1901-09-19 :
Notre Seigneur annonce :
« Les âmes sont mises en demeure de choisir leur camp. C’est pourquoi un des buts que nous devons poursuivre est de faire connaître le pourquoi des événements ; les dates et les lieux sont du domaine de la Providence : " il ne vous appartient pas de connaître ni le jour, ni l’heure ", et cette divine Providence n’a jamais abandonné personne ».
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1901-09-29 :
La Sainte Vierge annonce :
« J’ai encore à mes yeux, la trace des larmes que j’ai répandues à pareil jour, en voulant apporter à mes enfants la bonne nouvelle, s’ils se convertissaient, mais la triste nouvelle s’ils persistaient dans leur iniquité. On a fait peu de cas de ce que j’ai révélé...
Mes enfants, quand je me rappelle, depuis le jour où, sur la sainte montagne, j’ai apporté mes avertissements à la terre menacée... quand je me rappelle la dureté avec laquelle on a reçu mes paroles... pas tous, mais beaucoup Et ceux qui auraient dû les faire passer dans le cœur de mes enfants, avec une confiance immense et une pénétration profonde, ils n’en ont pas fait cas. Ils les ont méprisées et, pour la plus grande part, ont refusé leur confiance.
Eh bien ! je vous assure que toutes ces promesses, mes secrets intimes, vont se réaliser. Il faut qu’ils passent visiblement... Quand je vois ce qui attend la terre, mes larmes coulent encore...
Quand la terre aura été purifiée, par les châtiments, de ses crimes et de tous les vices dont elle est revêtue, de beaux jours reviendront avec le Sauveur choisi par nous, inconnu de nos enfants jusqu’ici ».
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1904-08-04 :
« Dernièrement j’ai bien souffert. Quand de saints Pasteurs prêtres ont voulu que les dernières lignes de mes secrets, sur la montagne des douleurs, soient connues de tout mon peuple, d’autres pasteurs se sont révoltés.
J’ai eu la douleur de voir remisées, sous scellés, ces dernières pages qui auraient dû être livrées au monde...
C’est parce qu’il y est grandement question des pasteurs et du sacerdoce qu’on s’est révolté, et qu’on a replié les dernières pages de ce secret divin. Comment voulez-vous que les châtiments ne tombent pas sur la terre ?
On va jusqu’à envelopper mes dernières paroles sur la sainte montagne, et à les faire disparaître... jusqu’à faire souffrir ceux qui se sont dévoués pour cette sainte cause, avec la joie de me glorifier dans cette solennelle prédiction. C’est parce que ces dernières lignes sont toutes au sujet du sacerdoce - et c’est moi-même qui les ai prononcées et révélées - et que je montre comment on sert mon Fils dans les saints ordres et comment on vit son sacerdoce... »
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1914-06-16 :
L’Ave Maria est un acte d’humilité qui plaît beaucoup à la Sainte Vierge :
« Mes petites âmes aimantes, J’ai un temps mesuré dans cette terrible épreuve où Mes justes souffrent et où Mes ennemis se réjouissent, mais la tâche sera bientôt abrégée. En abrégeant, Je bouleverserai la terre, Je ferai retentir du fond des montagnes, une voix de lamentation et de menace qui aura tous les accents de ce grand "Libera" réservé à la grande mortalité de la terre sous les foudres de Ma Justice et sous les rigueurs de Ma juste Colère.
Mes petites âmes aimantes, vous trouverez votre asile dans Ma Croix et dans Mon Sacré-Cœur, car Mon Sacré-Cœur est surmonté de la Croix et la Croix est le paratonnerre et l’abri de Mes justes ».
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1921-04-21 :
Notre Seigneur nous confie le 21 avril 1921 :
« Âmes bien aimées, il y a trois abris : Mon Divin Cœur, Ma Divine Croix, Ma Bien-Aimée Mère Immaculée ».
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1923-03-01 :
Notre Seigneur annonce :
« Ne vous découragez pas, je laisse faire l'ennemi de vos âmes, car il est à la dernière limite de son effort. Il sent qu'approche l'heure de la grande Justice. Je suis las de tant de péchés, de tant d'offenses. Je n'ai plus qu'à laisser sortir de ma bouche un souffle pour que la terre entière soit remuée jusque dans ses fondements.
Je m'effraie cependant de ce grand Coup annoncé depuis tant et tant d'années et qui n'est plus éloigné. J’aime tant la France. Je me la suis choisie pour l'accomplissement de mes grands desseins ».
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1922-10-19 :
« Notre Dame annonce :
- Je vois le Divin Cœur de mon Fils qui obscurcit les rayons si clairs et si puissants de Son Divin Cœur. Mes enfants, ceci est le grand signe précurseur des maux ; c’est le grand signe avant-coureur de la juste colère de mon Divin Fils contre la terre. Les rayons du Divin Cœur obscurcis, la lumière du jour en aura un grand contrecoup.
Il sera sombre le jour comme une demi-nuit sous un firmament, très épais et très noir, de sorte que ce sera un degré de plus que la demi-nuit sombre. Les ténèbres, voilà le signe prochain qui vous annoncera la grande marche de la justice divine.
Il y aura en même temps un grand soulèvement dans les pays de puissances étrangères et même dans mon pauvre royaume qui a perdu son honneur, sa grandeur, sa beauté et son grand titre de noblesse. Il reviendra, ce grand titre, avec beaucoup de luttes différentes, tantôt plus terribles, tantôt moins dures. C’est là qu’un sauveur inconnu à la terre, peut-être supposé mais pas réellement connu, surgira par un don du Ciel, par un don du Sacré-Cœur, par le don immaculé de votre Mère ».
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1925-07-23 :
« Après ce sera un Royaume purifié. En des contrées, il restera très peu de monde. La Justice fauchera une multitude, mais les justes seront préservés... Ma France plongée dans le crime ressuscitera glorieuse. Le règne de la paix sera prolongé de 25 ou 30 années, sous la direction d’une âme que le Divin Cœur réserve à Son peuple. A la montée de ce Prince qui deviendra roi, ma France nouvelle sera purifiée, ennoblie, ravissante à mes yeux ».
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1925-07-30 :
Notre Dame annonce :
« Ne vous effrayez pas encore. Vous recevrez l’avertissement précis par l’apparition de taches dans le soleil... Je l’ai déjà dit (à La Salette)... Vous verrez le firmament sillonné de bandes. Il y aura une bande blanche qui contiendra la protection de nos justes. Il y en aura une rouge qui enveloppera le châtiment des misérables qui insultent leur Créateur. Il y en aura une noire où l’on verra se débattre Satan et toute son armée. Celle-ci sera plus large, parce que Satan a plus d’âmes pour le servir que mon Divin Fils n’en a pour Le consoler et sécher Ses larmes ».
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1929-10-04 :
« Je veux qu’ils s’attendent à tout, Je veux que rien ne les étonne ».
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1938-01-01 :
Le texte qui suit est formellement attribué à Marie-Julie ; mais la copie que détenait le Père Pierre Roberdel ne porte ni date, ni signature. Il est garanti en parfaite authenticité et il doit dater des années qui ont précédé 1938 :
« Les hommes n’ont pas écouté les paroles prononcées par ma très Sainte Mère à Fatima. Malheur à ceux qui n’écoutent pas maintenant Mes paroles.
Les hommes n’ont pas compris le langage de la guerre. Beaucoup d’hommes vivent dans le péché d’impureté. Malheurs à ceux qui séduisent les innocents.
Vous ne devez pas en vouloir à ceux qui ne veulent pas croire, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Mais malheur à ceux qui se permettent de juger avant de s’être informé.
Les apparitions fréquentes de ma bonne Mère sont l’œuvre de ma Miséricorde. Je l’envoie, par la force du Saint-Esprit, pour prévenir les hommes, et pour sauver ce qui est à sauver… Je dois laisser arriver cela, sur le monde entier, afin que soient sauvées beaucoup d’âmes qui, sans cela, seraient perdues. Pour toutes les croix, pour toutes les souffrances et pour tout ce qui surviendra encore de plus terrible, vous ne devez pas maudire mais remercier mon Père du ciel.
C’est l’œuvre de mon amour. Vous ne le connaîtrez que plus tard… Je dois venir dans ma Justice, parce que les hommes n’ont pas reconnu le temps de ma grâce. La mesure du péché est comble, mais, à mes fidèles il n’arrivera aucun mal.
Je viendrai sur le monde pécheur, dans un terrible roulement de tonnerre, par une froide nuit d’hiver. Un vent du sud très chaud précédera cette tempête, et de lourds grêlons fouilleront la terre.
D’une masse de nuages rouge-feu des éclairs dévastateurs zigzagueront, enflammant et réduisant tout en cendre. L’air se remplira de gaz toxiques et de vapeurs mortelles qui, en cyclones, arracheront les œuvres de l’audace, de la folie et de la volonté de puissance de la "Cité de la Nuit".
Le genre humain devra reconnaître qu’au-dessus de lui se trouve une volonté qui fera tomber, comme une maison de cartes, les plans audacieux de son ambition. L’Ange destructeur anéantira pour toujours la vie de ceux qui auront dévasté mon royaume.
Vous, âmes qui profanez le nom du Seigneur, gardez-vous de vous moquer de moi ; gardez-vous du péché contre l’Esprit !
Lorsque l’Ange de la mort fauchera la mauvaise herbe, avec le glaive tranchant de ma Justice, alors l’enfer se jettera avec colère et tumulte sur les justes et, avant tout, sur les âmes consacrées, pour essayer de les anéantir par une terreur effroyable.
Je veux vous protéger, mes fidèles, et vous donner les signes qui vous indiqueront le commencement du Jugement :
Quand, par une froide nuit d’hiver, le tonnerre grondera à faire trembler les montagnes, alors fermez très vite portes et fenêtres...
Vos yeux ne doivent pas profaner le terrible événement par des regards curieux...
Réunissez-vous en prières devant le Crucifix. Placez-vous sous la protection de ma très Sainte Mère... Ne laissez aucun doute s’installer en vous, au sujet de votre salut : plus vous serez confiants, plus sera inviolable le rempart dont je veux vous entourer. Brûlez des cierges bénits, récitez le chapelet.
Persévérez trois jours et deux nuits. La nuit suivante, la terreur se calmera. Après l’horreur de cette longue obscurité, avec le jour naissant, le soleil paraîtra dans toute sa lumière et sa chaleur.
Ce sera une grande dévastation. Moi, votre Dieu, j’aurai Fout purifié. Les survivants devront remercier la Sainte Trinité de leur protection. Magnifique sera mon royaume de paix et mon nom sera invoqué et loué, du lever au coucher du soleil.
Priez, priez, priez, convertissez-vous et faites pénitence. Ne dormez pas comme mes disciples au Jardin des Oliviers, car je suis très proche. La colère du Père envers le genre humain est très grande. Si la prière du Rosaire et l’offrande du Précieux Sang n’étaient si agréables au Père, il y aurait déjà sur terre, une misère sans nom. Mais ma Mère intercède auprès du Père, de Moi-même et du Saint-Esprit. C’est pour cela que Dieu se laisse attendrir. Remerciez donc ma Mère de ce que le genre humain vive encore. Honorez-la avec un respect d’enfant - je vous en ai donné l’exemple - car elle est Mère de Miséricorde.
N’oubliez jamais de renouveler continuellement l’offrande du Précieux Sang. Ma Mère me supplie inlassablement et, avec elle, beaucoup d’âmes pénitentes et expiatrices. Je ne peux rien lui refuser. C’est donc grâce à ma Mère, et à cause de mes élus, que ces jours seront raccourcis.
Soyez consolés, vous tous qui honorez mon Précieux Sang, il ne vous arrivera rien.
J’inspirerai à mon Représentant de mettre continuellement en honneur le sacrifice de mon Précieux Sang et la vénération de ma Mère...
Quelques-uns de mes prêtres voudraient-ils être plus pape que le Pape ? Ils me crucifieront, car ils retarderont l’œuvre de ma Mère. Priez beaucoup pour les préférés de mon Cœur, les prêtres. Un temps viendra où mes prêtres aussi comprendront tout cela...
Quand vous verrez l’Aurore Boréale apparaître, sachez que ce sera le signe d’une guerre prochaine. Quand la lumière sera de nouveau visible, alors ma Mère se tiendra debout, devant le soleil couchant, pour prévenir les bons que le temps est là. Les méchants verront un animal effrayant, et crieront, épouvantés et désespérés ; mais il sera trop tard. Je sauverai beaucoup, beaucoup d’âmes (pour l’autre vie).
On est déçu parce que beaucoup de ce que j’avais ordonné d’annoncer pour inviter les hommes à se convertir n’est pas encore arrivé. On croira pouvoir outrager des âmes élues parce que, à cause d’elles, j’aurai retardé un peu le terrible événement. Si, dans ma bonté et à cause des expiations qui me sont offertes, je retarde le désastre, je ne le supprime pas. Cela ne dépend pas du jugement des hommes ignorants. Dois-je encore, moi-même, rendre des comptes à ceux qui ne veulent rien savoir ?
Alors que le monde se croira en sûreté, je viendrai comme un voleur dans la nuit. Comme l’éclair, je suis là.
C’est encore le temps de mon immense Miséricorde, pour donner le temps de se repentir. Soyez prêts, en état de grâce, alors vous serez en sécurité sous ma protection et celle de ma Mère ».
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(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 12-12-2011)
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1874-01-01 :
« Quand vous entendez un blasphème, dites un Gloria Patri. C’est une consolation pour le Ciel ! »
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1874-07-29 :
Sainte-Anne, patronne de la Bretagne :
« C’est Moi qui vous protégerai des dangers dans la Bretagne et qui étendrai ma main pour renverser tous les ingrats. Non, la Bretagne ne périra pas. Je l’ai toujours protégée. Je la protégerai encore. Mais priez et venez à mon béni sanctuaire ! »
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1874-11-26 :
Le Sacré-Cœur annonce à Marie-Julie :
« J’ai voulu prévenir mon peuple, pour qu’il ne soit pas surpris. Attendez dans la confiance et l’espérance... Douter, ce serait M’offenser... Sois sûre, France, les jours et les heures sont marquées dans Mon Cœur ; encore un peu de temps et J’accomplirai Mes promesses ! »
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1877-05-25 :
Saint Michel annonce :
« La France est à la veille de son malheur et de son bonheur : le malheur pour les pêcheurs, le bonheur pour les justes ».
« Avant que la Paix refleurisse sur la terre, il faut qu’une grande pénitence fléchisse la colère divine. C’est le Seigneur Lui-même qui exerce Sa Justice. Il n’appartient qu’à Lui de châtier, mais en châtiant, Il purifiera la terre et son peuple. Il n’épargnera rien. Il cultivera la terre pour y semer une nouvelle semence ».
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1877-10-24 :
Notre Seigneur annonce :
« Ma victime, tu vois que l’heure fatale va gronder sur la France et au-delà. Le bien et le mal vont se combattre. Le mal, pendant un moment, sera vainqueur mais, bientôt, cédera devant le bien. L’Univers sera presque renversé, car mon peuple est coupable. J’ai promis que les châtiments du ciel éteindraient la race corrompue. Le moment va venir. Je fermerai la bouche des impies. Je les surprendrai par ma Justice. Je ne puis plus supporter le mal. Je suis comme dans une piscine où l’eau me gagne ; je suis submergé.
- C’est vrai, Seigneur. Si, depuis Pontmain et l’apparition de Notre-Dame d’Espérance, nos cris n’étaient arrivés à vous, vous nous auriez déjà foudroyés.
- Je me laisserai encore toucher, mais seulement après la destruction que j’ai promise. Ceux qu’au milieu des cendres j’aurai épargnés seront la gloire de la France.
- Oh ! Seigneur, je vois votre Justice sur la France.
- Ce sera un moment terrible pour les ingrats et les méchants. Ce moment sera sans frayeur pour les justes.
Je vais être foulé aux pieds : ma prison d’amour sera violée, mais je n’y serai plus. Mes ministres m’auront soustrait et emporté, caché sur leur cœur. Mon temple sera souillé et plein d’horreur, mais ce moment sera court. Mon sanctuaire vous sera fermé; mais je serai avec vous, et ces jours seront rapides. La France coupable verra le sang couler ; ma douleur sera amère, mais je resterai insensible. La terre sera abreuvée du sang des martyrs et de celui des impies : le premier criera miséricorde, le second vengeance ».
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1877-11-29 :
La Sainte Vierge annonce :
« J’ai prié ; j’ai pleuré ; j’ai souffert... Je suis descendue sur la terre pour les avertir. J’ai promis le salut si l’on faisait pénitence...
J’ai annoncé au clergé de fatales perditions ; j’ai fait entendre pour lui mes menaces, s’il faiblissait dans l’orage et la tempête. J’ai pleuré sur la France. J’y ai tracé le chemin de la Croix. J’ai ouvert des fontaines pour laver les malades. J’ai consolé mon peuple, lui promettant de le sauvegarder. Tout cela n’a pas touché le coupable. Il est resté dans le crime ; son châtiment est proche... »
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1878-08-19 :
Saint Grégoire le Grand, Pape, vient donner ses consignes à ceux qui doivent combattre en notre époque si terrible :
« Qu’aurez-vous à faire ? Attendre, prier et faire ce que Dieu veut.
Aimons Dieu de tout notre cœur, servons Dieu fidèlement, servons-Le à travers les obscurités qui se trouvent en nous, servons-Le malgré les ténèbres où Dieu nous laisse et où il nous faut marcher, servons-Le quand même.
Quand même la lumière de vos âmes serait complètement éteinte, servons-Le quand même ; servons-Le toujours.
Ne perdez pas courage, traversez tous les périls, affrontez les dangers et Dieu vous comblera de Ses grâces et de Ses consolations.
Qui peut nous rendre heureux sur la terre, si ce n’est la paix de Dieu qui vit en nous, qui travaille en nous, qui prie en nous ? Sans cette paix, l’homme devient comme un damné, il court et se précipite dans le premier gouffre qu’il rencontre, parce que c’est l’affreux ravage que font en lui tous ses amours déréglés... »
Après sa mort en 1878, le Pape Pie IX apparaît à Marie-Julie, lui aussi appelle au bon combat :
« Prenez vos armes, et si elles sont rouillées, il faut les frotter...
Préparez vos armes ; les meilleures sont la prière, la Foi et la confiance ».
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1878-09-08 :
« J'aimerais mieux aller en prison que de dire tout ce que je sais sur le prêtre ; j'aimerais mieux être traînée par le cou que de le révéler : il y a de quoi faire trembler le ciel, non pas la terre, mais le ciel, avec ses puissances et ses prodiges.
Notre-Seigneur dit que la faiblesse du prêtre est grande et, qu'à peine l'heure fatale aurait-elle sonné, qu'un grand nombre serait à la tête des impies pour déformer son nom et le profaner.
Mes enfants, dit la Sainte Vierge, je veux vous dire que vous marchez dans la lumière...
Quand, dans ce lieu où je me plais, vous commencez votre travail pour mon divin fils, la lumière descend sur vous, vous éclaire, vous guide et vous dirige. La lumière luit sur ce papier où vous recueillez si bien les paroles de mon Fils. Mes enfants, que j'aime ce lieu où vous habitez ! Que j'aime ce petit coin de France où Dieu vous a fait naître!
Voilà un moment bien redoutable qui se prépare. Ne vous effrayez pas si je vous parle aussi ouvertement. Ce sera une heure bien amère pour les hommes de cette terre sans foi, sans amour et sans religion. Ils vont subir le coup terrible qui leur est depuis longtemps réservé. Ce coup est suspendu encore.
Si vous entendez courir des bruits, des bruits de scandales affreux par leur laideur, si vous voyez venir jusqu'à vous des espèces de doctrines empoissonnées, ne soyez ni surpris ni troublés. Ce sera une grande perdition pour les âmes peu solides. Laissons-les travailler à leur gré : une autre loi saura bien les arrêter.
Mes enfants, si vous saviez combien est petit le nombre de ceux qui soutiennent la foi ! Si vous saviez combien ce petit nombre sera contredit, raillé, insulté, tourné en dérision !
J'ai, depuis longtemps, le dessein de m'adresser à une âme. Le moment approche où je serai forcée de parler à nouveau. Ce sera la dernière fois que je ferai passer mes grands avertissements. Je n'ai pas encore choisi cette âme. Cela se fera sans bruit, sans agitation, avec simplicité, comme toutes les œuvres de mon Fils et les miennes ».
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1880-06-28 :
« Mes enfants, dit la Ste Vierge, faites attention à mes paroles... (...) A partir des années 80, Satan fera beaucoup de révélations (...). Il sera impossible de démarquer son langage, car il imitera trop bien les paroles du Christ et ses révélations. En chargeant ces âmes, il veut perdre beaucoup de prêtres pieux, les égarer profondément dans toutes ces choses. Il veut en perdre aussi beaucoup qui ne sont pas prêtres… »
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1880-08-30 :
L’extase qui suit nous donne une vue d’ensemble du plan divin de purification :
« Je vois qu’au moment où le Seigneur monté au Ciel, prit possession de son Royaume Éternel, à ce moment, l’enfer devint le Royaume de l’Ennemi. Le Seigneur s’empara de son royaume terrestre et dit : " Je suis établi Roi Éternel. "
Satan, furieux, cherche quelque détour pour étendre malicieusement sa puissance... Il demande un partage...
Le Seigneur lui dit : " Tu Me seras soumis, tu ne feras que ce que te permettra la Loi Éternelle...
Je te laisse le pouvoir de tenter tous les hommes, de les faire souffrir jusqu’à une certaine mesure, mais Je serai présent... Au commencement, tu ne feras pas beaucoup de prodiges ; ils te serviront à faire le mal.
Je te laisse permission de tenter Mon peuple, mais Je ne te permettrai jamais de prendre la forme divine, ni celle de figures véritables... "
Satan dit : " Je transformerai tout en outil de travail contre Vous, je mettrai la révolte, la guerre, la division partout. Je renverserai le temple de Vos prières ; j’y établirai des idoles qu’on adorera. J’y briserai tout. "
Jésus dit : " J’écraserai sous la foudre du Ciel, tous ceux qui te seront donnés pour l’enfer. Je rétablirai Mon peuple ; Je le préserverai des fléaux ; Je relèverai les ruines. Je te précipiterai dans l’abîme, mais seulement après que tu auras usé des pouvoirs que Je te laisse pour le moment... Pendant les ténèbres, il y aura beaucoup de conversions ; beaucoup d’égarés reviendront à Moi par le repentir ».
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1880-09-20 :
Marie-Julie demanda à quelle époque Satan devait régner en maître.
La flamme du Saint Esprit lui répondit : « C’est celle où vous êtes maintenant, enfants de Dieu ».
« Si les justes n’avaient pas redoublé de prières, surtout en égard des justices annoncées depuis des siècles, la Main du Seigneur se serait appesantie sur tout son peuple, et les plus grandes épreuves auraient depuis longtemps visité Ses enfants ».
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1880-11-30 :
Les Châtiments :
« Les foudres du ciel se succéderont avec une violence rapide. Le feu du ciel parcourra la terre sur une largeur effroyable : cette foudre vengeresse brûlera toute pointe qui produit du fruit. Les terres cultivées seront ravagées par la puissance de ce feu ; les prairies seront brûlées et réduites à une terre complètement dépouillée. Les fruits ne paraîtront point ; toutes les branches d’arbres seront sèches jusqu’au tronc.
Enfants de la Bretagne, vous userez, pour conserver vos récoltes, de ce que la bonté de mon Fils vous a révélé : c’est le seul moyen de sauver votre nourriture.
Mes enfants, pendant trois jours le ciel sera en feu, sillonné de frayeur par la colère divine. Ce qui m’attriste, c’est que cette colère n’arrêtera pas la force de l’enfer. On ne craint ni mon Fils ni l’enfer. Il faut que ce temps passe. Le péril de la France est inscrit au ciel par la puissance éternelle. Je ne peux plus intercéder ; je ne suis plus qu’une mère sans puissance.
Pendant plusieurs années, la terre ne produira rien. La France sera malheureuse, même après son triomphe. Pendant deux ou trois ans, elle se ressentira de ces ruines et de ces misères profondes. La misère sera grande, bien que mon peuple soit éclairci. La prière ramènera la bénédiction. Mon Fils et moi, nous aurons pitié de cette longue pénitence.
Mes enfants, priez pour l’Église ; priez pour tous ses ministres priez pour le Pape, car on attentera à ses jours. Ce lieu aussi sera criblé de vengeance, et le mal y fera des sans mesure, malgré la foi d’une grande partie de mon peuple.
Le mal, que j’entrevois si proche, laisse à mon cœur une blessure qui durera toujours : une perte d’âmes considérable, la foi ruinée, le baptême souillé. Toutes ces lâchetés, que je vois, changeront en mauvais chrétiens beaucoup de mes enfants.
La France périra - pas toute, mais beaucoup périront – Elle sera sauvée avec un nombre bien petit... O France, on apportera, jusque dans tes lieux, la poussière de l’étranger. Tu ne pourras renvoyer ces étrangers.
Tu fus si noble, ta noblesse sera perdue.
J’ai vu tout passer sur terre. Jamais - je vous le dis avec un cœur de mère - jamais je n’ai eu sous les yeux l’attente de pareils crimes, de pareils malheurs : violations, sacrilèges, attentats. C’est dès aujourd’hui que je vois toutes ces peines. Oh ! Priez, mes enfants !
Je m’arrête sur ces douleurs.
Reposez-vous, mes enfants ».
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1881-02-08 :
« Quand vous le pourrez, mes enfants, dites, soir et matin, le Miserere tout entier. Si vous êtes empêchés, dites-le au moins une fois. Si vous ne le pouvez pas, récitez un Pater et un Ave, ou l’acte de contrition au pied de la Croix ou en vous tournant vers l’Église ».
« Priez beaucoup pour l’Église, pour les prêtres et pour les pêcheurs, pour ceux qui vont faire lever le désordre et recrucifier mon Fils... Mes enfants, faites le Chemin de Croix qui, en peu de temps, mènera au Ciel bien des âmes... Faites beaucoup de communions, récitez le chapelet ».
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1881-03-08 :
« Les serviteurs du Seigneur font bien la divine volonté. Ils attendent, avec confiance, l’arrivée de toutes choses ».
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1881-06-09 :
« Ma douleur la plus profonde, c’est de voir cette sorte de joie de cœurs chrétiens - qui ont été chrétiens, mais qui ont perdu la grâce - c’est de voir cette joie quand la puissance des hommes mortels va ordonner dans tout ce royaume, une religion affreuse, opposée à celle qui existe aujourd’hui et qui fait le bonheur de Mon peuple.
Je suis inconsolable. J’y vois courir, pour se soustraire à la mort et s’arracher aux supplices imposés, des multitudes de chrétiens. Je les vois embrasser cette religion d’un cœur joyeux, sans réflexion sur Moi, sur l’Église, sur leur Baptême et sur tout ce qui fait du bien à l’âme chrétienne... En manifestant ces signes à Mon peuple (les avertissements), je veux reprendre Mon peuple, avant de le punir, car Je l’aime... Du haut de Ma gloire, je vois entrer avec empressement dans cette religion coupable, sacrilège, infâme, en un mot semblable à celle de Mahomet... (Parce qu’elle nie la divinité de Jésus-Christ) j’y vois entrer des Évêques. En voyant ces Évêques, beaucoup, beaucoup, et à leur suite tout le troupeau, et sans hésitation se précipiter dans la damnation et l’enfer, Mon Cœur est blessé à mort, comme au temps de Ma Passion... Je vais devenir un objet d’horreur pour la plus grande partie de Mon peuple. Toute la jeunesse sera gâtée et bientôt tombera dans une putréfaction dont l’odeur sera insupportable... »
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1882-01-24 :
« Il n’y a que la prière qui peut sauver la terre qui peut donner la victoire… Je ne peux vous donner cette victoire tant désirée. Il n’y a pas assez de prières, de sacrifices, de calvaires... ».
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1882-03-15 :
« Dans le soleil, la flamme dit :
- Jusque dans les lieux les plus retirés, les suppôts de l'enfer travaillent, maintenant, à des écritures abominables. Mon peuple les trouvera partout sur son chemin. Beaucoup de coureurs appellent les ouvriers à la révolte, à cause du manque de travail qui est leur pain de chaque jour...
- Les petites villes, comme les grandes, seront bientôt perdues par des groupes d'ouvriers qui n’ont ni asile ni refuge. Ils s'étendront partout, surtout que l'heure où ils pourront se rassasier ne tardera pas à sonner.
La flamme dit :
- Partout, la France presqu'entière sera soulevée contre l'église. On répandra sans repos, sur la Foi et l'Eglise, des articles abominables que le monde, sans l'enfer, n'aurait jamais su inventer.
- Les indignes ennemis du Dieu-Sauveur, qui s'assemblent dans les loges et les remplissent, sentent le moment approcher. Ils vont se lever, pleins d'espoir, pour jeter boue et scandale sur les apôtres de Dieu et sur son église. C'est par eux que la jeunesse finira d'oublier son Créateur et Rédempteur. Ce temps fait frémir, au sujet de ceux des chrétiens dont la foi se trouvera inébranlable.
La Mère de Dieu, poussée par l'amour de son cœur, va redescendre sur la terre, apparaissant à son peuple d'une façon qui sera sans mesure.
Elle va renouveler sa descente du ciel sur terre, dans les environs des montagnes de la Salette. Elle apparaîtra, suspendue sur une nuée blanche, environnée d'une guirlande de roses, pour dire :
"La terre ne sera qu'un tombeau, depuis l'Alsace-Lorraine, qui n'est pas comptée, jusqu'au bord de la Bretagne."
La mère de Dieu manifestera une autre gloire à son peuple, comme dernier trait de son amour, au sujet de la douleur des chrétiens. Dans le nord de le France... Elle viendra, avec des signes de deuil, et n'adressera que trois paroles qui seront entendues par une dizaine d'âmes.
1° toute la terre, excepté la Bretagne, ne sera qu'un tombeau sans vie.
2° L'église va souffrir des persécutions telles que l'enfer n'en aura jamais inventé de plus cruelles.
3° le Centre deviendra une terre imbibée de sang. Le dernier qui y coulera sera celui de l'homme que le ciel maudit à cause de ses crimes.
La flamme dit encore :
- Mon peuple, ne crains rien. Nos victimes seront alors revenues à l'abri de l'orage de feu et de flammes. Leur grande œuvre ne s'arrêtera pas pour cela l'espace d'une minute.
Le ciel baissera sur terre les signes de sa justice. La terre étrangère ne récoltera aucune nourriture. Une pluie de feu réduira en poussière la nourriture de ces peuples où sont mêlés chrétiens, non-catholiques et mahométans.
La flamme dit encore :
- La Terre de France va subir aussi la Justice de Dieu. Pendant trois années, les pommes de terre pourriront à l'heure de la semence ; le blé ne poussera pas ou s'arrêtera à mi-hauteur. Les fruits noirciront un ver en rongera l'intérieur, avant qu'ils aient atteint la grosseur du doigt.
La flamme dit :
- Le Centre et ses demeures seront broyés par la violence du tonnerre de Dieu. Les frémissements et tremblements de terre se multiplieront, jours et nuits, sans cesser, pendant quarante-trois jours. La mer s'agitera et jamais de tous les siècles, ses vagues et ses flots n'auront pris une forme semblable. Tout le monde de cette époque périra à jamais.
Mon peuple, si Dieu te parle ainsi, c'est qu'il ne peut plus soutenir sa justice inexorable. Il te dit : n'aie pas peur, j'ai tous les pouvoirs.
Maintenant, mon peuple, que rien ne t'épouvante. Si, demain, tes oreilles entendent des bruits nouveaux ; si tes yeux parcourent des lignes qui font frémir, que rien ne t'étonne ! C'est l'enfer qui se met à l'œuvre.
Il faut que la terre périsse : pas toute, mais plus de la moitié de la moitié. La terre deviendra le désert, mais Dieu la repeuplera dans la paix et la tranquillité.
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1882-03-29 :
« J’ai renouvelé bien des fois, dit le Seigneur, le secret de l’humble fille de la montagne. Ma sainte Mère portait l’instrument de ma Passion. Elle répétait : - Les plantes chrétiennes seront si clairsemées que la terre ressemblera plutôt à un désert qu’à une terre habitée par des chrétiens, qui sont si nombreux pourtant…
Il y aura si peu de monde resté dans ces contrées qu’un grand nombre d’églises ne seront plus occupées, même par une seule âme. Ce sera selon les contrées et selon les progrès de l’iniquité ».
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1982-08-25 :
« Mes enfants, avant même, peut-être que la première crise de la Fille aînée de l’Église ne soit commencée, il y aura des nouvelles douloureuses de ces peuples : Angleterre, Perse, Jérusalem. Tous auront subi de grands maux.
Mes enfants, je prévois qu’à la sortie de ce trouble, il y aura un nouveau règne pour la terre anglaise et un choix se fera, quand, soudain, la mort viendra frapper ceux qui ont en main le gouvernail de ce Royaume. Pour cette terre... il se fera bien du mal et elle sera divisée en quatre parties, car leurs volontés ne s’accorderont nullement... Le choix des Catholiques sera rejeté ».
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1882-10-05 :
Avertissement :
« Mon peuple, mon peuple, mon peuple, tes yeux vont voir le commencement de l'heure épouvantable, quand le froment en herbe ne sera pas au troisième nœud de sa croissance (le froment est semé en février, le nœud 1 est situé en mars et le 3ème nœud en mai).
Au moment où mon peuple n'aura plus qu'à s'armer de foi et d'espérance, encore en la saison dure, pendant quatre heures - de midi à quatre heures en France - en des jours durs encore. Le soleil aura comme un voilement de deuil. Il sera obscurci, sans lumière.
Jamais personne sur la terre ne pourrait croire aux noirceurs de ces ténèbres. La terre n'aura plus rien. L'œil sera voilé, sans qu'il puisse apercevoir le moindre objet.
Mon peuple, ce sera le commencement des châtiments de Ma justice. C'est le soleil qui annoncera ces douleurs ; le ciel qui pleurera, sans pouvoir se consoler, parce que ce sera l'entrée du temps où les âmes se perdront, l'entrée, en un mot, de l'épouvantable malheur.
Mon peuple, cette obscurité, couvrira la Bretagne l'espace de quatre heures, mais il n'y aura pas de mal... Petite frayeur simplement. Vous n'aurez pas peur ! »
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1882-10-10 :
« Ma fille, dit la Sainte Vierge, j'ai besoin de faire passer mes paroles à mon peuple, peuple plus nombreux, il est vrai, mais fidèle et juste. Mes enfants écoutez ma parole.
Dans le centre, à descendre sur la terre de Périgueux...
- Dame ! Je ne sais pas ce que c'est que ce mot là !
- Sois tranquille, mes serviteurs le connaissent.
Là, en cette terre de Périgueux, un mortel outrage attend mon Fils. Des groupes d'hommes, du côté de ceux qui mènent la France à l'abîme, vont en quatre immenses rassemblements, pour déclarer vouloir la même chose qu'au temps passé de 93. Il n'y aura q'un cri :
"Nous voulons le sang des victimes et la mort de ceux qui ne pensent pas comme nous, et qui nous combattent".
Mes enfants, sur la terre de Périgueux, un tremblement soudain va tomber sur les enfants, entre dix et seize ans. Leur corps sera tremblant et agité. La malédiction du ciel les fera marcher d'une manière toute opposée à la marche du chrétien sur ses pieds. Aucun homme mortel ne pourra alléger le châtiment. Je déclare l'art humain impossible ».
« La Sainte Vierge dit :
"Mes enfants, en descendant sur le midi où la colère de mon Fils parle déjà... au moment ou des rassemblements d'humains, semblables à des lions, marcheront triomphalement sous l'empire des gouvernants, pour piller la France... au moment où se compléteront les discours d'ouvriers, prisonniers de tous les mauvais, et qui n'attendent qu'un cri pour marcher sur la route de la révolution...
A ce moment, deux petits enfants français seront soudain enveloppés d'une éblouissante lumière. Ils seront encore à l'âge où le langage est à peine compréhensible.
Voici le refrain qu'ils répéteront :
"Arrêtez vos desseins, arrêtez vos complots et, surtout, arrêtez toutes les ambitions qui vous pressent de ramasser les trésors du pauvre peuple que vous allez immoler".
Mes enfants, l'un de ces anges de la terre mourra immédiatement, né d'une famille pauvre, d'un père portant le nom d'Henri et d'une mère portant celui de Marthe.
Le récit de cette histoire ne passera pas inconnu.
L'autre enfant survivra quelques jours de plus, jusqu'à l'heure où la révolution régnera dans son éclat. La fin de son langage sera ceci:
"Un ange du ciel vous offre le drapeau de celui qui doit régner noblement et qui descend de l'illustre famille blanche".
Les paroles dernières du faible enfant provoqueront l'éclat dernier de la fureur. Les éclairs du ciel réduiront en cendre les plus riches de ces villes, dont l'une est bien connue par son nom qui indique la force" ».
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1882-10-26 :
« Je lis cette parole :
Préférez, chers fils, la palme du martyre, plutôt que d'accepter les offres de ceux qui vous auront réduit à de si pitoyables douleurs, et qui vont envahir votre chère France entière par leur puissance et leurs massacres impies et pervers.
Chers fils, groupez autour de vous vos fils et vos frères-prêtres afin de les protéger contre l'offre des hommes mortels, contre lesquels ils sont avertis. Cette douleur vous contristera l'âme et vous brûlera le cœur, comme si la mort venait vous frapper.
Vous allez voir circuler des paroles dans la France si chère à tous les Papes, surtout à celui qui règne maintenant, et qui pleure chaque jour à la vue des abîmes où se perdent ses enfants ».
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1882-11-16 :
La seconde Flamme dit :
"Le Seigneur, las des offenses de la terre, va, par un châtiment terrible, rendre plus des trois quarts de la France stériles des fruits de sa Providence.
Une ruine, voulue par son inévitable Justice, va retomber sur la France catholique et impie. Tout ce qui, en France, fournit à presque tout le peuple ses trésors et ses aises, tous ces riches palais où sont produits les bénéfices de la nation, tout cela, le Seigneur va le détruire par un châtiment terrible, sous la forme d'un écroulement de terre.
Tous ces hauts édifices, qui sont une partie du pain de la France, s'écrouleront. Dieu va surprendre ceux qui travaillent sans penser à lui, ni à sa puissance qui donne tout sur la terre".
La troisième Flamme dit à son tour :
"Le Seigneur va renouveler la terre, comme au temps d'autrefois quand les signes de sa gloire étaient si manifestes.
En la terre d'Amiens, la Mère de Dieu est sur le point de se fixer un nouveau séjour, pour y venir avec l'Enfant Jésus dans ses bras maternels, et prévenir ce peuple, mélangé comme partout.
Jésus a, dans sa main droite, un trait et, dans l'autre, une forme de coquille largement ouverte qui indique à tous les justes, la barque du salut au milieu des luttes promises.
A trois reprises différentes, en l'intervalle de douze à seize jours, au-dehors de cette ville immense, près d'un petit coteau très étroit que le feu a plusieurs fois ébranlé, paraîtra la forme d'un petit soleil deux fois large comme le cœur de la main. Ce petit soleil fera le tour de cette montagne bien étroite et très basse.
Hors de la ville, à une distance assez longue, il y a un petit hameau retiré et bas, bien simple au regard des passants. Le petit soleil passera par le toit, après en avoir fait trois fois le tour, par temps sombre,
Hors de la ville, à une distance assez longue, il y a un petit hameau retiré et bas, bien simple au regard des passants. Le petit soleil passera par le toit, après en avoir fait trois fois le tour, par temps sombre, vers quatre heures et dix minutes du soir. Il laissera la forme d'un jet de sa flamme très mince et très étroit. Il passera sur le toit ; puis ce jet disparaîtra comme s'il n'eût jamais été.
Et la Flamme dit :
"Couché dans un berceau, un enfant de douze mois, d'une beauté semblable à celle d'un ange... A lui est réservé, dans sa petitesse innocente, un acte grand et sublime.
L'enfant, attiré par l'éclat d'un petit soleil, sera porté au lieu indiqué, sur les bras de sa mère. Une voix d'homme, la plus forte, la plus éloquente et la plus instruite de la terre, ne pourrait jamais arriver au développement frappant de la voix de cet enfant.
La voix retentissante de cet ange mortel annoncera, d'une voix qui se répandra à des lieux de distance, annoncera, par permission divine, les terribles malheurs qui attendent la patrie. Il l'annoncera très peu de temps avant que ces projets ne s'éveillent".
Comme bien d'autres en France, le clergé de ce lieu refusera de croire aux ordres du ciel. L'autorité sera punie : des coupables tremperont leurs mains dans le sang de ces hommes qui auront refusé de se rendre à la voix du ciel.
La voix dit qu'Amiens sera terriblement punie : des rassemblements de mauvais chrétiens y feront de grands désordres par le feu et les armes mortelles.
La Flamme dit :
"Cet enfant parlera environ vingt-sept minutes avec, dans la voix, des sanglots qui feront s'émouvoir jusqu'aux brins d'herbe. Cette annonce, terrible pour la France, sera universelle".
La Flamme ajoute :
"Les dernières minutes seront terribles pour la terre de la Ville Eternelle. Le fléau qui s'y découvrira sur les Russes, après deux jours seulement, semblera proche de terribles épreuves pour ce peuple" ».
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1882-11-21 :
Avertissement et Découvertes de Prophéties :
« En entrant en vision, je me trouve transportée sur un sommet d'où je contemple l'étoile lumineuse qui fait le guide de mon âme. Je la suis, et je vois qu'elle me dirige vers une sorte de temple rayonnant de céleste beauté.
Je pénètre dans cette vaste demeure à la clarté sublime ; et je vois la Sainte Vierge à genoux, au milieu d'une lumière resplendissante. Elle me dit :
"C'est ici, qu'en la pureté de mon âme et de mon corps, je fus présentée au Seigneur, aujourd'hui, jour de la Présentation".
Elle dit :
Père infiniment saint, je vous supplie, de mon cœur d'épouse et de mère, de bien vouloir mettre fin, sur terre, aux épreuves des chrétiens justes et fidèles qui croient aux promesses de votre divin Fils, qui est aussi le mien.
- Très digne Mère de mon Fils, répond le Père Eternel, Celui que j'ai envoyé sauver le monde est entré enfin dans la grande décision, pour l'accomplissement des promesses qu'il avait révélées aux saints et aux saintes dont l'Eglise chante ou chantera la gloire...
Très sainte Mère de Jésus, prévenez votre peuple que l'approche du Seigneur n'est plus éloignée. Mais, d'abord, il va prendre en main, rapidement, le rétablissement de ses œuvres glorieuses. J'assure, et je déclare à mon peuple de la terre, que mon Fils a commencé... à manifester la conquête des coupables.
- Oui, Père divin, des hommes saints, serviteurs choisis par votre Fils Eternel pour l'accomplissement des triomphes de l'Eglise, ont déjà vu, de leurs yeux mortels, le règne bien annoncé des méchants et des coupables, en cette lutte où le sang sera doublement versé.
Elle dit :
Mes enfants, voici le signe qui vous indiquera que le combat est proche pour sauver l'Eglise et sa fille aînée. D'abord tous les méchants vont régner victorieusement. Leur volonté ne sera point renversée, avant les époques indiquées dans les extases passées, avant que tous ces hommes...
- Pas fort, bonne Mère, je souffre d'atroces douleurs au-dedans de mon cœur qui souffre déjà de la douleur annoncée. S'il vous plaît, bonne Mère, pas fort.
- Non, mes enfants, mais je dois vous avertir gravement que le mal va empirer, et que ceux qui le font vont triompher comme c'est annoncé.
Après leur règne de courte victoire sur les blancs - et sur ceux qui ne le sont pas - tout mon peuple aura plus ou moins à souffrir ; après que la victoire des impies aura couvert presque toute la France de sang et de morts, la blanche armée de la victoire fendra rapidement ces milliers et ces milliers de triomphateurs coupables qui seront punis. Mes enfants, elle traversera la rougeur de leurs âmes ; mais ils ne changeront ni de pensée ni d'opinion. Ce sera visible jusque sous les yeux du Sauveur mortel et des "royals" soldats. Le châtiment les aura atteints ; mais ils ne seront pas changés.
Mes enfants, dès que le signe de Dieu sera commencé, ne vous étonnez pas ; disposez-vous à en voir fuir dans les abris, en toutes les parties de la France et non d'un seul côté...
Mes enfants, ne soyez pas surpris si le rouge de ce signe reste le dernier. L'armée des justes, des soldats de la Croix, mêlée à d'autres braves, traversera presque toute le France, sous le feu des signes de Dieu. Elle sortira de Bretagne pour se rendre jusqu'au fleuve où le Sauveur de la terre doit arriver avec sa propre armée. Ils se rejoindront tous ensemble, sous l'étoile de la victoire.
Ma fille, remarque bien cette parole : ce sera sous des signes du ciel semblables au sang des chrétiens. Au milieu de ces signes sanglants et effrayants, il y aura une blanche lumière qui surpassera la beauté de l'aurore quand le jour paraît. Cette blancheur fendra les sillons de sang et ira au-devant de vous, sur le bord du fleuve. Cette blancheur aura traversé ce sang le jour des souvenirs de la Passion de mon Fils.
- Oui, bonne Mère, un vendredi.
- Mes enfants, dit la Sainte Vierge, pour que vous ne doutiez pas, je vous décris ce signe que mon Fils vous manifestera à la chute du jour, une preuve véritable... Un signe blanc, à l'ouest de la France, environné d'un rideau de franges diamantées, énorme, l'espace de trois quarts d'heure. Vos demeures en seront éclairées comme par le soleil. Les rues seront aussi claires que dans le jour ordinaire.
Au bout d'une demi-heure, une barre rouge se formera, vers l'ouest, en forme de branches ; et des gouttes de sang s'en échapperont. Cette barre rouge cernera la blancheur du signe et en envahira l'éclat de sa lumière.
Mes enfants, de l'ouest, ce signe remontera un peu ; puis la barre rouge se dissipera, comme par la victoire de la blancheur. Un samedi, entre cinq et six heures...
Je parlerai encore pour prévenir mon peuple des signes du Seigneur.
Après ces paroles, la Sainte Vierge tombe à genoux aux pieds du Père Eternel et voici les paroles du Père Céleste :
- Très digne Mère de Dieu, mon Fils Eternel veut manifester le signe du Sauveur mortel et tourner sa puissance du côté de l'étranger. Tous les yeux, en France, pourront contempler cette faveur à son égard.
- Il sera, reprend la Sainte Vierge, comme un ornement au firmament, sous la forme d'une étoile carrée, portant en son milieu un sceptre et une couronne que pourront bien distinguer tous les yeux des peuples de la terre.
Et elle ajoute :
Puisque mon divin Fils ne peut convaincre son peuple du jour fortuné qui le surprendra au milieu de ses idées mauvaises et coupables, il commencera par placer sous le firmament l'annonce des prédilections faites aux siècles passés et au siècle présent.
Je cite, dit-elle, l'épouse de mon Fils, cette religieuse de Saint Vincent de Paul, qui en cette pauvre Ninive, fut favorisée de mes apparitions glorieuses (Catherine Labouré).
- Oui, reprend Marie-Julie, je l'ai connue... Frère, c'était ma sœur de Pau, vue en une vision, il y aura cinq ans le 10 du mois prochain, portant les stigmates du Sauveur. Je le vis, en cette vision, lui mettre la lance au cœur, les clous qui l'ont crucifiée et, de plus, l'éponge et le roseau. Le Seigneur m'avait dit de garder, pendant cinq années, quelques graves paroles de cette vision. J'ai obéi. Il me dit : tu remettras un jour mes trois secrets.
Le Père Céleste dit :
Il n'y a plus que peu de temps avant le terme.
Je cite encore, continue la Sainte Vierge, cette sainte et belle âme, la sœur de la Sainte Face, sœur Saint-Pierre qui avait demandé de rester inconnue jusqu'à la veille des malheurs dont le Seigneur lui avait fait voir l'étrange lutte mortelle. Sous peu, mes enfants, la Touraine va refleurir en mettant à jour ce qui sera le départ de la gloire qui l'attend.
Je citerai cette autre servante qui a si noblement prié et souffert, Marie Estelle que les chrétiens ont laissée dans l'oubli, ainsi que les secrets saints que le ciel avait déposés en son âme".
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1882-11-23 :
« Un des signes précurseurs de la grande tribulation sera le manque de travail et la montée du chômage :
- Tous les ouvriers, dont l’emploi fournissait chaque jour une occupation qui les empêchait de se livrer au mal. Les desseins de ceux qui dirigent la France ont résolu d’enlever à l’ouvrier tout travail, tout emploi…
- Mes enfants, il ne va plus y avoir de repos. Nuit et jour, les coureurs (Les factieux) se livrent au mal : l’incendie, l’affreux assassinat. Ils vont user de la poudre violente qui réduit en lambeaux les murs les plus solides bâtis sur la terre ».
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1883-10-17 :
« Il faudra rester où le Bon Dieu nous aura placés et beaucoup prier. La France n’ayant pas mérité celui qui devait la sauver, Dieu l’a enlevé de la terre (Henri V, le Comte de Chambord) ; C’est le premier châtiment ».
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1884-01-01 :
« J’ai envoyé Ma Mère, on n’a pas cru à Sa parole. J’ai fait entendre Ma voix, Me choisissant des victimes sur lesquelles J’ai opéré des merveilles. On les a méprisées et persécutées. Je vais Me livrer è Ma colère. Je vais rappeler à Moi Mes paratonnerres ».
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1884-01-04 :
« La désolation sera si grande et les châtiments si terribles que plusieurs sécheront de frayeur et se croiront à la fin du monde. Il y aura des ténèbres physiques pendant trois jours, et de jour, il y aura une nuit continuelle. Des cierges en cire bénits pourront seuls donner de la lumière pendant cette terrible obscurité. Un seul cierge suffira pour les trois jours, mais dans les maisons des impies ils ne donneront aucune lumière ; pendant ces trois jours de ténèbres, les démons apparaîtrons sous les formes les plus hideuses et les plus épouvantables. Vous entendrez dans l’air les blasphèmes les plus horribles. Les éclairs pénétreront dans vos demeures mais ils n’éteindront pas la lumière des cierges bénits ; ni le vent, ni la tempête, ni les tremblements de terre ne pourront les éteindre. Des nuages rouges comme du sang parcourront le ciel, les fracas du tonnerre ébranleront la terre, des éclairs sinistres sillonneront les nues dans une saison où ils ne se produisent jamais. La terre sera remuée jusque dans ses fondements. La mer soulèvera les vagues mugissantes qui se répandront sur tout le continent. Le sang coulera avec tant d’abondance que les hommes en auront jusqu’à la ceinture. La terre deviendra comme un vaste cimetière. Les cadavres des impies et des justes joncheront le sol. La famine sera grande ; enfin tout sera bouleversé. Les trois quarts des hommes périront. La crise éclatera presque subitement. Les châtiments seront communs à tout le monde et se succéderont sans interruption.
Lorsque mon peuple est tombé dans l’indifférence, J’ai commencé à le menacer. Aujourd’hui, il mérite Ma justice. Je suis venu sur la terre ; ils veulent Me chasser, M’enlever Mon Saint Tabernacle, renverser Ma Croix et méconnaître Ma Puissance.
- Ô Seigneur, dit Marie-Julie, ayez pitié !
- Oui, J’aurai pitié du bon peuple, mais l’autre, Je l’engloutirai. La terre s’entrouvrira et il disparaîtra pour toujours ».
« Quelques-uns peut être riront de notre crédulité. C’est qu’ils n’ont vu ni la guerre ni la Commune en 1870-1871 avec ses horreurs, et qu’ils croient que la guerre actuelle (1914), depuis si longtemps prévue et annoncée, n’est qu’une conflagration résultant de conflits entre nations et non un avertissement du ciel. Plaignons-les et prions pour eux. Les hommes ont voulu faire leurs affaires eux-mêmes ; aujourd’hui le ciel est fermé. Rouvrons-le par la prière et la pénitence et tenons-nous prêts ».
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1895-07-02 :
Saint Michel dit :
«Mes bien-aimés fidèles, courage ! Encore un peu de temps et vous verrez tout l’enfer se déchaîner pour tout renverser. Vous verrez des choses abominables, des violations épouvantables. La malice des hommes va encore grandir en fureur et en méchanceté. La fille aînée de l’Eglise sera divisée, partagée, déshonorée, souillée de crimes… C’est mon dernier mot… »
Et la voix vibrante de l’extatique saisi les assistants :
« Mes bien-aimés enfants, consolez-vous à l’heure du désespoir terrible, sous le coup de la Justice, la fille aînée de l’Église verra se lever pour elle ceux qui ont été ses sincères amis. Elle sera sauvée et chantera le Te Deum d’actions de grâce ».
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1896-09-19 :
« Rappelez-vous mes graves paroles sur la montagne de la Salette. Le prêtre n’est plus humble et n’est plus respectueux... ».
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1896-12-01 :
« Quant je verrai en souffrance la vie des victimes, ma main qui bénit et qui frappe, fendra le firmament et apparaîtra aux regards de mes justes pour les diriger, comme une étoile mystérieuse, vers la terre du repos. Ensuite cette main armée de traits de vengeance, après tant de patience et de bonté, touchera la terre ; et le coup sera le grand coup de ma justice.
Un peu plus tard, sous une belle aurore d'un matin plein d'espérance, sortira un Sauveur qui sera choisi par moi pour rendre la paix à mes enfants exilés. Il bénira mes œuvres ; il favorisera mes desseins ; il sera l'ami de Dieu. Si les hommes ne font pas ce qu'ils doivent, je prendrai leur place et je ferai mon œuvre sans les hommes et malgré les hommes ».
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1898-05-19 :
« Le grand Coup de la main de Dieu ne sera pas de longue durée, mais il sera si terrible que beaucoup en mourront de peur. C’est après ce grand Coup qu’arrivera le triomphe de l’Église et de la France.
D’abord paraîtra celui que la France prendra pour son sauveur : mais ce ne sera pas le vrai Sauveur : celui qui est choisi et envoyé par Dieu et qui sera des lys »
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1900-04-15 :
La Sainte Vierge nous annonce :
« Mes petits enfants, c’est la Foi, c’est la confiance, la plus belle prière qui obtient le plus et davantage ».
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1901-07-16 :
La Sainte Vierge nous annonce :
« Mes enfants, quelle puissance que le Saint Sacrifice de la Messe. Ce n’est qu’au Ciel que vous pénétrerez l’immense efficacité de ce prodige de puissance, de bonheur, de merveille et de délivrance ».
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1901-09-19 :
Notre Seigneur annonce :
« Les âmes sont mises en demeure de choisir leur camp. C’est pourquoi un des buts que nous devons poursuivre est de faire connaître le pourquoi des événements ; les dates et les lieux sont du domaine de la Providence : " il ne vous appartient pas de connaître ni le jour, ni l’heure ", et cette divine Providence n’a jamais abandonné personne ».
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1901-09-29 :
La Sainte Vierge annonce :
« J’ai encore à mes yeux, la trace des larmes que j’ai répandues à pareil jour, en voulant apporter à mes enfants la bonne nouvelle, s’ils se convertissaient, mais la triste nouvelle s’ils persistaient dans leur iniquité. On a fait peu de cas de ce que j’ai révélé...
Mes enfants, quand je me rappelle, depuis le jour où, sur la sainte montagne, j’ai apporté mes avertissements à la terre menacée... quand je me rappelle la dureté avec laquelle on a reçu mes paroles... pas tous, mais beaucoup Et ceux qui auraient dû les faire passer dans le cœur de mes enfants, avec une confiance immense et une pénétration profonde, ils n’en ont pas fait cas. Ils les ont méprisées et, pour la plus grande part, ont refusé leur confiance.
Eh bien ! je vous assure que toutes ces promesses, mes secrets intimes, vont se réaliser. Il faut qu’ils passent visiblement... Quand je vois ce qui attend la terre, mes larmes coulent encore...
Quand la terre aura été purifiée, par les châtiments, de ses crimes et de tous les vices dont elle est revêtue, de beaux jours reviendront avec le Sauveur choisi par nous, inconnu de nos enfants jusqu’ici ».
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1904-08-04 :
« Dernièrement j’ai bien souffert. Quand de saints Pasteurs prêtres ont voulu que les dernières lignes de mes secrets, sur la montagne des douleurs, soient connues de tout mon peuple, d’autres pasteurs se sont révoltés.
J’ai eu la douleur de voir remisées, sous scellés, ces dernières pages qui auraient dû être livrées au monde...
C’est parce qu’il y est grandement question des pasteurs et du sacerdoce qu’on s’est révolté, et qu’on a replié les dernières pages de ce secret divin. Comment voulez-vous que les châtiments ne tombent pas sur la terre ?
On va jusqu’à envelopper mes dernières paroles sur la sainte montagne, et à les faire disparaître... jusqu’à faire souffrir ceux qui se sont dévoués pour cette sainte cause, avec la joie de me glorifier dans cette solennelle prédiction. C’est parce que ces dernières lignes sont toutes au sujet du sacerdoce - et c’est moi-même qui les ai prononcées et révélées - et que je montre comment on sert mon Fils dans les saints ordres et comment on vit son sacerdoce... »
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1914-06-16 :
L’Ave Maria est un acte d’humilité qui plaît beaucoup à la Sainte Vierge :
« Mes petites âmes aimantes, J’ai un temps mesuré dans cette terrible épreuve où Mes justes souffrent et où Mes ennemis se réjouissent, mais la tâche sera bientôt abrégée. En abrégeant, Je bouleverserai la terre, Je ferai retentir du fond des montagnes, une voix de lamentation et de menace qui aura tous les accents de ce grand "Libera" réservé à la grande mortalité de la terre sous les foudres de Ma Justice et sous les rigueurs de Ma juste Colère.
Mes petites âmes aimantes, vous trouverez votre asile dans Ma Croix et dans Mon Sacré-Cœur, car Mon Sacré-Cœur est surmonté de la Croix et la Croix est le paratonnerre et l’abri de Mes justes ».
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1921-04-21 :
Notre Seigneur nous confie le 21 avril 1921 :
« Âmes bien aimées, il y a trois abris : Mon Divin Cœur, Ma Divine Croix, Ma Bien-Aimée Mère Immaculée ».
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1923-03-01 :
Notre Seigneur annonce :
« Ne vous découragez pas, je laisse faire l'ennemi de vos âmes, car il est à la dernière limite de son effort. Il sent qu'approche l'heure de la grande Justice. Je suis las de tant de péchés, de tant d'offenses. Je n'ai plus qu'à laisser sortir de ma bouche un souffle pour que la terre entière soit remuée jusque dans ses fondements.
Je m'effraie cependant de ce grand Coup annoncé depuis tant et tant d'années et qui n'est plus éloigné. J’aime tant la France. Je me la suis choisie pour l'accomplissement de mes grands desseins ».
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1922-10-19 :
« Notre Dame annonce :
- Je vois le Divin Cœur de mon Fils qui obscurcit les rayons si clairs et si puissants de Son Divin Cœur. Mes enfants, ceci est le grand signe précurseur des maux ; c’est le grand signe avant-coureur de la juste colère de mon Divin Fils contre la terre. Les rayons du Divin Cœur obscurcis, la lumière du jour en aura un grand contrecoup.
Il sera sombre le jour comme une demi-nuit sous un firmament, très épais et très noir, de sorte que ce sera un degré de plus que la demi-nuit sombre. Les ténèbres, voilà le signe prochain qui vous annoncera la grande marche de la justice divine.
Il y aura en même temps un grand soulèvement dans les pays de puissances étrangères et même dans mon pauvre royaume qui a perdu son honneur, sa grandeur, sa beauté et son grand titre de noblesse. Il reviendra, ce grand titre, avec beaucoup de luttes différentes, tantôt plus terribles, tantôt moins dures. C’est là qu’un sauveur inconnu à la terre, peut-être supposé mais pas réellement connu, surgira par un don du Ciel, par un don du Sacré-Cœur, par le don immaculé de votre Mère ».
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1925-07-23 :
« Après ce sera un Royaume purifié. En des contrées, il restera très peu de monde. La Justice fauchera une multitude, mais les justes seront préservés... Ma France plongée dans le crime ressuscitera glorieuse. Le règne de la paix sera prolongé de 25 ou 30 années, sous la direction d’une âme que le Divin Cœur réserve à Son peuple. A la montée de ce Prince qui deviendra roi, ma France nouvelle sera purifiée, ennoblie, ravissante à mes yeux ».
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1925-07-30 :
Notre Dame annonce :
« Ne vous effrayez pas encore. Vous recevrez l’avertissement précis par l’apparition de taches dans le soleil... Je l’ai déjà dit (à La Salette)... Vous verrez le firmament sillonné de bandes. Il y aura une bande blanche qui contiendra la protection de nos justes. Il y en aura une rouge qui enveloppera le châtiment des misérables qui insultent leur Créateur. Il y en aura une noire où l’on verra se débattre Satan et toute son armée. Celle-ci sera plus large, parce que Satan a plus d’âmes pour le servir que mon Divin Fils n’en a pour Le consoler et sécher Ses larmes ».
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1929-10-04 :
« Je veux qu’ils s’attendent à tout, Je veux que rien ne les étonne ».
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1938-01-01 :
Le texte qui suit est formellement attribué à Marie-Julie ; mais la copie que détenait le Père Pierre Roberdel ne porte ni date, ni signature. Il est garanti en parfaite authenticité et il doit dater des années qui ont précédé 1938 :
« Les hommes n’ont pas écouté les paroles prononcées par ma très Sainte Mère à Fatima. Malheur à ceux qui n’écoutent pas maintenant Mes paroles.
Les hommes n’ont pas compris le langage de la guerre. Beaucoup d’hommes vivent dans le péché d’impureté. Malheurs à ceux qui séduisent les innocents.
Vous ne devez pas en vouloir à ceux qui ne veulent pas croire, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Mais malheur à ceux qui se permettent de juger avant de s’être informé.
Les apparitions fréquentes de ma bonne Mère sont l’œuvre de ma Miséricorde. Je l’envoie, par la force du Saint-Esprit, pour prévenir les hommes, et pour sauver ce qui est à sauver… Je dois laisser arriver cela, sur le monde entier, afin que soient sauvées beaucoup d’âmes qui, sans cela, seraient perdues. Pour toutes les croix, pour toutes les souffrances et pour tout ce qui surviendra encore de plus terrible, vous ne devez pas maudire mais remercier mon Père du ciel.
C’est l’œuvre de mon amour. Vous ne le connaîtrez que plus tard… Je dois venir dans ma Justice, parce que les hommes n’ont pas reconnu le temps de ma grâce. La mesure du péché est comble, mais, à mes fidèles il n’arrivera aucun mal.
Je viendrai sur le monde pécheur, dans un terrible roulement de tonnerre, par une froide nuit d’hiver. Un vent du sud très chaud précédera cette tempête, et de lourds grêlons fouilleront la terre.
D’une masse de nuages rouge-feu des éclairs dévastateurs zigzagueront, enflammant et réduisant tout en cendre. L’air se remplira de gaz toxiques et de vapeurs mortelles qui, en cyclones, arracheront les œuvres de l’audace, de la folie et de la volonté de puissance de la "Cité de la Nuit".
Le genre humain devra reconnaître qu’au-dessus de lui se trouve une volonté qui fera tomber, comme une maison de cartes, les plans audacieux de son ambition. L’Ange destructeur anéantira pour toujours la vie de ceux qui auront dévasté mon royaume.
Vous, âmes qui profanez le nom du Seigneur, gardez-vous de vous moquer de moi ; gardez-vous du péché contre l’Esprit !
Lorsque l’Ange de la mort fauchera la mauvaise herbe, avec le glaive tranchant de ma Justice, alors l’enfer se jettera avec colère et tumulte sur les justes et, avant tout, sur les âmes consacrées, pour essayer de les anéantir par une terreur effroyable.
Je veux vous protéger, mes fidèles, et vous donner les signes qui vous indiqueront le commencement du Jugement :
Quand, par une froide nuit d’hiver, le tonnerre grondera à faire trembler les montagnes, alors fermez très vite portes et fenêtres...
Vos yeux ne doivent pas profaner le terrible événement par des regards curieux...
Réunissez-vous en prières devant le Crucifix. Placez-vous sous la protection de ma très Sainte Mère... Ne laissez aucun doute s’installer en vous, au sujet de votre salut : plus vous serez confiants, plus sera inviolable le rempart dont je veux vous entourer. Brûlez des cierges bénits, récitez le chapelet.
Persévérez trois jours et deux nuits. La nuit suivante, la terreur se calmera. Après l’horreur de cette longue obscurité, avec le jour naissant, le soleil paraîtra dans toute sa lumière et sa chaleur.
Ce sera une grande dévastation. Moi, votre Dieu, j’aurai Fout purifié. Les survivants devront remercier la Sainte Trinité de leur protection. Magnifique sera mon royaume de paix et mon nom sera invoqué et loué, du lever au coucher du soleil.
Priez, priez, priez, convertissez-vous et faites pénitence. Ne dormez pas comme mes disciples au Jardin des Oliviers, car je suis très proche. La colère du Père envers le genre humain est très grande. Si la prière du Rosaire et l’offrande du Précieux Sang n’étaient si agréables au Père, il y aurait déjà sur terre, une misère sans nom. Mais ma Mère intercède auprès du Père, de Moi-même et du Saint-Esprit. C’est pour cela que Dieu se laisse attendrir. Remerciez donc ma Mère de ce que le genre humain vive encore. Honorez-la avec un respect d’enfant - je vous en ai donné l’exemple - car elle est Mère de Miséricorde.
N’oubliez jamais de renouveler continuellement l’offrande du Précieux Sang. Ma Mère me supplie inlassablement et, avec elle, beaucoup d’âmes pénitentes et expiatrices. Je ne peux rien lui refuser. C’est donc grâce à ma Mère, et à cause de mes élus, que ces jours seront raccourcis.
Soyez consolés, vous tous qui honorez mon Précieux Sang, il ne vous arrivera rien.
J’inspirerai à mon Représentant de mettre continuellement en honneur le sacrifice de mon Précieux Sang et la vénération de ma Mère...
Quelques-uns de mes prêtres voudraient-ils être plus pape que le Pape ? Ils me crucifieront, car ils retarderont l’œuvre de ma Mère. Priez beaucoup pour les préférés de mon Cœur, les prêtres. Un temps viendra où mes prêtres aussi comprendront tout cela...
Quand vous verrez l’Aurore Boréale apparaître, sachez que ce sera le signe d’une guerre prochaine. Quand la lumière sera de nouveau visible, alors ma Mère se tiendra debout, devant le soleil couchant, pour prévenir les bons que le temps est là. Les méchants verront un animal effrayant, et crieront, épouvantés et désespérés ; mais il sera trop tard. Je sauverai beaucoup, beaucoup d’âmes (pour l’autre vie).
On est déçu parce que beaucoup de ce que j’avais ordonné d’annoncer pour inviter les hommes à se convertir n’est pas encore arrivé. On croira pouvoir outrager des âmes élues parce que, à cause d’elles, j’aurai retardé un peu le terrible événement. Si, dans ma bonté et à cause des expiations qui me sont offertes, je retarde le désastre, je ne le supprime pas. Cela ne dépend pas du jugement des hommes ignorants. Dois-je encore, moi-même, rendre des comptes à ceux qui ne veulent rien savoir ?
Alors que le monde se croira en sûreté, je viendrai comme un voleur dans la nuit. Comme l’éclair, je suis là.
C’est encore le temps de mon immense Miséricorde, pour donner le temps de se repentir. Soyez prêts, en état de grâce, alors vous serez en sécurité sous ma protection et celle de ma Mère ».
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Dernière édition par Hercule le Jeu 15 Déc 2011 - 9:46, édité 2 fois
Poirot- Deuxième Demeure : Je m'applique à l'oraison.
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Marie-Julie Jahenny - EPREUVES ET PURIFICATION - LES GRANDES CRISES
EPREUVES ET PURIFICATION
LES GRANDES CRISES
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 27-11-2011)
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1877-10-27 :
Une promesse ancienne.
« La bienheureuse Marguerite-Marie est à genoux, au pied de la bannière du Sacré-Cœur, tenue par Saint-Michel. Le Seigneur montre la plaie de son Cœur et dit :
Mes enfants, mon divin Cœur a le privilège de toutes les grâces. Là est le triomphe. Mais, avant de vous donner ce triomphe, je veux vous éprouver. Je vous enverrai bien des maux : vous verrez ma justice tomber sur la terre ; vous verrez aussi paraître, au firmament, d'éclatants signes précurseurs.
J'avais promis à la bienheureuse victime de mon Sacré-Cœur, de donner le triomphe à la France, par mon Cœur-Sacré, mais à la condition que tous les enfants de la France se seraient soumis. S'ils demeuraient lents et ingrats, les châtiments seraient plus terribles.
J'avais promis que, peut-être, j'aurais attendu deux cents ans, peut-être plus. Si mon peuple avait été docile : j'ai attendu. Mais... Le triomphe aura lieu. Ma victime, retiens bien cela.
Il dit encore :
La victime de mon Sacré-Cœur n'a pu transmettre toutes mes révélations. Voilà pourquoi je veux aujourd'hui prévenir mon peuple, afin qu'il soit bien préparé quand l'heure de ma justice arrivera.
J'avais promis que le triomphe de la France viendrait après de grands châtiments : cette révélation n'a pas été transmise.
J'avais annoncé, à plusieurs âmes saintes, qu'avant le triomphe de la France, il y aurait une grande révolte entre tous mes enfants. On tentera de profaner tout ce qu'il y a de respectable sur la terre : ce sera en vain.
France coupable, ne vois-tu pas le tombeau qui s'ouvre pour entasser les victimes du crime? ... Tu ne vois pas l'heure fatale qui grandit ? Ce sera l'heure du démon. Il va me jeter à la face le souffle empoisonné de sa colère.
Mes enfants, je vous préviens : Satan va satisfaire sa rage qui est d'autant plus grande que les siens seront vaincus. Je veux humilier mon peuple, il n'a pas écouté mes paroles. Ensuite je donnerai la victoire complète.
Voici le moment où le lys blanc et la bannière blanche vont être foulés aux pieds. Ce ne sera que pour un temps. Cette bannière blanche sera plantée sur la France, et ses ennemis seront forcés de vivre sous sa dépendance ».
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1878-03-09 :
« Mes enfants, il sortira de ce nuage une pluie bien extraordinaire, que le monde n’a jamais vue encore et qu’il ne verra jamais ensuite, jusqu’à la consommation des siècles.
Ce sera une pluie rouge qui restera coagulée sur la terre pendant 7 semaines. La terre elle-même sera coagulée par cette pluie qui donnera un souffle empoisonné, une odeur que personne ne pourra supporter.
Mon peuple restera enfermé pendant sept semaines. Il sera difficile de sortir, tant la terre fera peur. Voilà le premier orage qui s’annonce et se réalisera bientôt.
A la suite de cet orage, Je ferai sortir de terre une " brûlaison " horrible. Les chrétiens ne pourront supporter cette odeur et cette chaleur. Mes enfants, vous n’ouvrirez ni vos portes, ni vos fenêtres.
Il faut que le règne du péché finisse. Jamais la terre et le monde n’auront été en semblable état. Il faut en finir, ou bien toute âme se perdra ! »
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1879-01-23 :
« Notre Dame :
- Ce n’est que par la douce offrande de toutes les prières, les larmes, les douleurs, les croix de Mes pauvres enfants que je prolonge encore le répit, que je retiens le coup fatal contre les pécheurs. J’offre à mon Fils les sacrifices de Ses Ministres, leurs prières et leurs croix. Je serai avec vous ».
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1880-04-08 :
« Je vois, dans mon soleil, un arc-en-ciel noir et bleu... Il pleut de cet arc-en-ciel au moment où les attentats et les crimes se commettent, il pleut une pluie rouge. Sur les couvertures des demeures, elle reste collée comme une peinture ; à terre, elle ne peut être bue. Elle tombe avec une rapidité effrayante.
Dans cette pluie, il se produit un signe d’effroi : une croix qui se forme dans cette pluie et qui porte l’empreinte d’un Christ.
II se produit des signes de terreur qui ne s’effacent plus. Les cris des justes sont effroyables.
Dans cette pluie périssent tous ceux qui ont ouvert l’impiété, foudroyés de terreur. Après trois jours, la pluie de l’arc-en-ciel s’étend visible en tout l’univers ».
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1880-09-20 :
« Marie-Julie demanda à quelle époque Satan devait régner en maître. La flamme du Saint Esprit lui répondit :
- C’est celle où vous êtes maintenant, enfants de Dieu.
- Si les justes n’avaient pas redoublé de prières, surtout en égard des justices annoncées depuis des siècles, la Main du Seigneur se serait appesantie sur tout son peuple, et les plus grandes épreuves auraient depuis longtemps visité Ses enfants ».
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1880-11-30 :
Les Châtiments :
« Les foudres du ciel se succéderont avec une violence rapide. Le feu du ciel parcourra la terre sur une largeur effroyable : cette foudre vengeresse brûlera toute pointe qui produit du fruit. Les terres cultivées seront ravagées par la puissance de ce feu ; les prairies seront brûlées et réduites à une terre complètement dépouillée. Les fruits ne paraîtront point ; toutes les branches d’arbres seront sèches jusqu’au tronc.
Enfants de la Bretagne, vous userez, pour conserver vos récoltes, de ce que la bonté de mon Fils vous a révélé : c’est le seul moyen de sauver votre nourriture.
Mes enfants, pendant trois jours le ciel sera en feu, sillonné de frayeur par la colère divine. Ce qui m’attriste, c’est que cette colère n’arrêtera pas la force de l’enfer. On ne craint ni mon Fils ni l’enfer. Il faut que ce temps passe. Le péril de la France est inscrit au ciel par la puissance éternelle. Je ne peux plus intercéder ; je ne suis plus qu’une mère sans puissance.
Pendant plusieurs années, la terre ne produira rien. La France sera malheureuse, même après son triomphe. Pendant deux ou trois ans, elle se ressentira de ces ruines et de ces misères profondes. La misère sera grande, bien que mon peuple soit éclairci. La prière ramènera la bénédiction. Mon Fils et moi, nous aurons pitié de cette longue pénitence.
Mes enfants, priez pour l’Église ; priez pour tous ses ministres priez pour le Pape, car on attentera à ses jours. Ce lieu aussi sera criblé de vengeance, et le mal y fera des sans mesure, malgré la foi d’une grande partie de mon peuple.
Le mal, que j’entrevois si proche, laisse à mon cœur une blessure qui durera toujours : une perte d’âmes considérable, la foi ruinée, le baptême souillé. Toutes ces lâchetés, que je vois, changeront en mauvais chrétiens beaucoup de mes enfants.
La France périra - pas toute, mais beaucoup périront – Elle sera sauvée avec un nombre bien petit... O France, on apportera, jusque dans tes lieux, la poussière de l’étranger. Tu ne pourras renvoyer ces étrangers.
Tu fus si noble, ta noblesse sera perdue.
J’ai vu tout passer sur terre. Jamais - je vous le dis avec un cœur de mère - jamais je n’ai eu sous les yeux l’attente de pareils crimes, de pareils malheurs : violations, sacrilèges, attentats. C’est dès aujourd’hui que je vois toutes ces peines. Oh ! Priez, mes enfants !
Je m’arrête sur ces douleurs.
Reposez-vous, mes enfants ».
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1881-03-08 :
« La terre tremblera depuis ce lieu jusqu’au lever du soleil, l’espace de six jours. Un jour de repos et le huitième jour, le tremblement recommencera. La France et l’Angleterre se répondront par leurs cris de désespoir. La terre tremblera si fort que le peuple en sera jeté à 300 pas. Le tonnerre retentira avec plus d’éclat que dans les mois qui précéderont la fin du monde, avec un bruit étrange ».
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1881-09-20 :
« Ce sera la " Troisième époque ", celle du grand Coup, celle du retour à l’ordre qui ne sera pas sans souffrances. L’ensemble de ces phases devrait s’étaler sur deux à trois années. Les pertes humaines seront très importantes. Il y aura divers avertissements du Ciel pendant ces épreuves, pour ouvrir les yeux des moins endurcis. (Signes dans le Ciel, ténèbres de quelques heures, miracles...) Mais ce n’est qu’après ces semonces que le Grand Châtiment universel des trois jours de ténèbres mettra un terme aux hostilités.., faute de combattants !
Mon peuple, demande pour le Centre (Paris), grâce et miséricorde. L’enveloppe de la mort est préparée ; il n’y a point de cercueil pour enfermer les restes du peuple malheureux.
En bien peu de temps, il ne restera guère de peuple. Les hommes seront si clairs qu’il faudra des lieues pour rencontrer une seule âme, surtout dans le midi, dans les grandes villes, dans le Centre. Il n’y aura plus guère que quelques âmes cachées sous terre qui auront pu échapper. La terre sera désolée, empoisonnée de cadavres, toute remplie du sang des chrétiens.
Un Miserere, Mon peuple, pour le Centre, pour le Midi, pour Lyon, Toulouse. Un Miserere pour les soldats, les enfants restés sur la terre d’exil entre la vie et la mort. Pour Mes prêtres, Mes serviteurs et Mes servantes ; un De profundis pour les pauvres âmes qui expirent là, sans prêtres, sans Sacrements. Voilà ce que Dieu vous demande pour ses chères âmes qu’Il a rachetées de Son Sang !... ».
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1882-03-15 :
« Dans le soleil, la flamme dit :
- Jusque dans les lieux les plus retirés, les suppôts de l'enfer travaillent, maintenant, à des écritures abominables. Mon peuple les trouvera partout sur son chemin. Beaucoup de coureurs appellent les ouvriers à la révolte, à cause du manque de travail qui est leur pain de chaque jour...
- Les petites villes, comme les grandes, seront bientôt perdues par des groupes d'ouvriers qui n’ont ni asile ni refuge. Ils s'étendront partout, surtout que l'heure où ils pourront se rassasier ne tardera pas à sonner.
La flamme dit :
- Partout, la France presqu'entière sera soulevée contre l'église. On répandra sans repos, sur la Foi et l'Eglise, des articles abominables que le monde, sans l'enfer, n'aurait jamais su inventer.
- Les indignes ennemis du Dieu-Sauveur, qui s'assemblent dans les loges et les remplissent, sentent le moment approcher. Ils vont se lever, pleins d'espoir, pour jeter boue et scandale sur les apôtres de Dieu et sur son église. C'est par eux que la jeunesse finira d'oublier son Créateur et Rédempteur. Ce temps fait frémir, au sujet de ceux des chrétiens dont la foi se trouvera inébranlable.
La Mère de Dieu, poussée par l'amour de son cœur, va redescendre sur la terre, apparaissant à son peuple d'une façon qui sera sans mesure.
Elle va renouveler sa descente du ciel sur terre, dans les environs des montagnes de la Salette. Elle apparaîtra, suspendue sur une nuée blanche, environnée d'une guirlande de roses, pour dire :
"La terre ne sera qu'un tombeau, depuis l'Alsace-Lorraine, qui n'est pas comptée, jusqu'au bord de la Bretagne."
La mère de Dieu manifestera une autre gloire à son peuple, comme dernier trait de son amour, au sujet de la douleur des chrétiens. Dans le nord de le France... Elle viendra, avec des signes de deuil, et n'adressera que trois paroles qui seront entendues par une dizaine d'âmes.
1° toute la terre, excepté la Bretagne, ne sera qu'un tombeau sans vie.
2° L'église va souffrir des persécutions telles que l'enfer n'en aura jamais inventé de plus cruelles.
3° le Centre deviendra une terre imbibée de sang. Le dernier qui y coulera sera celui de l'homme que le ciel maudit à cause de ses crimes.
La flamme dit encore :
- Mon peuple, ne crains rien. Nos victimes seront alors revenues à l'abri de l'orage de feu et de flammes. Leur grande œuvre ne s'arrêtera pas pour cela l'espace d'une minute.
Le ciel baissera sur terre les signes de sa justice. La terre étrangère ne récoltera aucune nourriture. Une pluie de feu réduira en poussière la nourriture de ces peuples où sont mêlés chrétiens, non-catholiques et mahométans.
La flamme dit encore :
- La Terre de France va subir aussi la Justice de Dieu. Pendant trois années, les pommes de terre pourriront à l'heure de la semence ; le blé ne poussera pas ou s'arrêtera à mi-hauteur. Les fruits noirciront un ver en rongera l'intérieur, avant qu'ils aient atteint la grosseur du doigt.
La flamme dit :
- Le Centre et ses demeures seront broyés par la violence du tonnerre de Dieu. Les frémissements et tremblements de terre se multiplieront, jours et nuits, sans cesser, pendant quarante-trois jours. La mer s'agitera et jamais de tous les siècles, ses vagues et ses flots n'auront pris une forme semblable. Tout le monde de cette époque périra à jamais.
Mon peuple, si Dieu te parle ainsi, c'est qu'il ne peut plus soutenir sa justice inexorable. Il te dit : n'aie pas peur, j'ai tous les pouvoirs.
Maintenant, mon peuple, que rien ne t'épouvante. Si, demain, tes oreilles entendent des bruits nouveaux ; si tes yeux parcourent des lignes qui font frémir, que rien ne t'étonne ! C'est l'enfer qui se met à l'œuvre.
Il faut que la terre périsse : pas toute, mais plus de la moitié de la moitié. La terre deviendra le désert, mais Dieu la repeuplera dans la paix et la tranquillité.
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1882-07-20 :
L’heure d’annoncer :
« Au jour décidé pour que mes écritures soient envoyées à tous mes serviteurs et à mes victimes, pour leur indiquer mon heure et l'heure du miracle, à cet appel, rien ne les retiendra.
Je protégerai et garderai ceux qui seront obligés d'attendre un peu de temps avant de trouver refuge sous l'arbre divin de la Croix (les croix d’amour).
L'heure sera envoyée à toute la famille de la Croix dont le destin est d'être protégée. Cette heure viendra avant que les voies de la terre soient fermées (nous ne pourrons plus circuler), avant que l'ennemi ne soit embarqué sur l'étendue de la France entière pour la conquérir et la faire périr.
Je vais donner à mes chers serviteurs et victimes la réelle description de la croix qu'ils devront porter. Ils vivront comme les missionnaires de ma parole divine, les Pères de la Croix...
Je désire que mes serviteurs, servantes et jusqu'aux petits enfants puissent aussi se revêtir d'une croix. Cette croix sera plus petite et portera en son milieu comme l'apparence d'une petite flamme blanche. Cette flamme indiquera qu'ils sont fils et filles de la lumière.
Le mal inévitable s'avance. Bientôt la terre entière ne sera plus que sous la pluie des châtiments terribles de ma Justice. Le bien sera au tombeau et le mal élevé sur le sommet des montagnes pour attester son triomphe ».
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1882-10-16 :
« II y aura de grands écroulements, surtout au Centre. Tous ces riches palais où sont produits les bénéfices de la nation, tout cela, le Seigneur va le détruire par un châtiment terrible, sous la forme d’un écroulement de terre. Tous ces hauts édifices, (Banques) qui sont une partie du pain de la France, s’écrouleront. Dieu va surprendre ceux qui travaillent sans penser à Lui, ni à Sa Puissance qui donne tout sur la terre ».
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1883-09-06 :
À la mort du Comte de Chambord, en 1883, il est dit :
« Il faudra rester où le Bon Dieu nous aura placé et beaucoup prier. La France n’ayant pas mérité celui qui devait la sauver, Dieu l’a enlevé de la terre ; C’est le premier châtiment ».
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1922-11-26 :
La flamme du Saint Esprit lui annonce :
« Mes petites âmes aimantes, Je l’avais fait belle cette terre que vous foulez. Je l’avais créée avec une grande ferveur et de nobles sentiments. Le règne du crime s’avance. J’ai tout permis, malheurs, tribulations, méchanceté des hommes... J’ai tout laissé au gré des consciences et à Mon tour... Je me lèverai terrible pour finir le règne qui éteint Mes lois saintes, le règne qui comble d’amertume Mes âmes justes, le règne qui Me fait tant de mal, en perdant tant d’âmes qui se précipitent dans l’éternel malheur. Je vous sauverai à travers le grand déluge de Ma Justice divine... J’ai tout laissé faire avant de Me lever, mais voilà que la mesure est pleine et que Mon heure approche...
II viendra le règne de Mon Sacré-Cœur. On ne Me demande pas assez cette grande merveille, surtout au pied du Saint Autel. Je voudrais que ce fût un cri retentissant, un cri de désir, un appel de Foi, pour finir le mal affreux qui perd tant d’âmes ».
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Sans date :
Notre Seigneur annonce :
« Il fera noir pendant ces frais jours de pluie, de deuil, d’agonie et de mort. Il y aura une tempête affreuse ; les arbres les plus profondément enracinés seront ébranlés.
Mes enfants, Je suis la Voie, la Vérité et la Vie.
Au sortir de ces trois jours, vous ne trouverez que cadavres.
C’est là une prophétie que Je vous fais Moi-même, Moi qui suis la Voie de la Vérité et de la Vie. Écoutez Mes paroles ».
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LES GRANDES CRISES
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 27-11-2011)
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1877-10-27 :
Une promesse ancienne.
« La bienheureuse Marguerite-Marie est à genoux, au pied de la bannière du Sacré-Cœur, tenue par Saint-Michel. Le Seigneur montre la plaie de son Cœur et dit :
Mes enfants, mon divin Cœur a le privilège de toutes les grâces. Là est le triomphe. Mais, avant de vous donner ce triomphe, je veux vous éprouver. Je vous enverrai bien des maux : vous verrez ma justice tomber sur la terre ; vous verrez aussi paraître, au firmament, d'éclatants signes précurseurs.
J'avais promis à la bienheureuse victime de mon Sacré-Cœur, de donner le triomphe à la France, par mon Cœur-Sacré, mais à la condition que tous les enfants de la France se seraient soumis. S'ils demeuraient lents et ingrats, les châtiments seraient plus terribles.
J'avais promis que, peut-être, j'aurais attendu deux cents ans, peut-être plus. Si mon peuple avait été docile : j'ai attendu. Mais... Le triomphe aura lieu. Ma victime, retiens bien cela.
Il dit encore :
La victime de mon Sacré-Cœur n'a pu transmettre toutes mes révélations. Voilà pourquoi je veux aujourd'hui prévenir mon peuple, afin qu'il soit bien préparé quand l'heure de ma justice arrivera.
J'avais promis que le triomphe de la France viendrait après de grands châtiments : cette révélation n'a pas été transmise.
J'avais annoncé, à plusieurs âmes saintes, qu'avant le triomphe de la France, il y aurait une grande révolte entre tous mes enfants. On tentera de profaner tout ce qu'il y a de respectable sur la terre : ce sera en vain.
France coupable, ne vois-tu pas le tombeau qui s'ouvre pour entasser les victimes du crime? ... Tu ne vois pas l'heure fatale qui grandit ? Ce sera l'heure du démon. Il va me jeter à la face le souffle empoisonné de sa colère.
Mes enfants, je vous préviens : Satan va satisfaire sa rage qui est d'autant plus grande que les siens seront vaincus. Je veux humilier mon peuple, il n'a pas écouté mes paroles. Ensuite je donnerai la victoire complète.
Voici le moment où le lys blanc et la bannière blanche vont être foulés aux pieds. Ce ne sera que pour un temps. Cette bannière blanche sera plantée sur la France, et ses ennemis seront forcés de vivre sous sa dépendance ».
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1878-03-09 :
« Mes enfants, il sortira de ce nuage une pluie bien extraordinaire, que le monde n’a jamais vue encore et qu’il ne verra jamais ensuite, jusqu’à la consommation des siècles.
Ce sera une pluie rouge qui restera coagulée sur la terre pendant 7 semaines. La terre elle-même sera coagulée par cette pluie qui donnera un souffle empoisonné, une odeur que personne ne pourra supporter.
Mon peuple restera enfermé pendant sept semaines. Il sera difficile de sortir, tant la terre fera peur. Voilà le premier orage qui s’annonce et se réalisera bientôt.
A la suite de cet orage, Je ferai sortir de terre une " brûlaison " horrible. Les chrétiens ne pourront supporter cette odeur et cette chaleur. Mes enfants, vous n’ouvrirez ni vos portes, ni vos fenêtres.
Il faut que le règne du péché finisse. Jamais la terre et le monde n’auront été en semblable état. Il faut en finir, ou bien toute âme se perdra ! »
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1879-01-23 :
« Notre Dame :
- Ce n’est que par la douce offrande de toutes les prières, les larmes, les douleurs, les croix de Mes pauvres enfants que je prolonge encore le répit, que je retiens le coup fatal contre les pécheurs. J’offre à mon Fils les sacrifices de Ses Ministres, leurs prières et leurs croix. Je serai avec vous ».
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1880-04-08 :
« Je vois, dans mon soleil, un arc-en-ciel noir et bleu... Il pleut de cet arc-en-ciel au moment où les attentats et les crimes se commettent, il pleut une pluie rouge. Sur les couvertures des demeures, elle reste collée comme une peinture ; à terre, elle ne peut être bue. Elle tombe avec une rapidité effrayante.
Dans cette pluie, il se produit un signe d’effroi : une croix qui se forme dans cette pluie et qui porte l’empreinte d’un Christ.
II se produit des signes de terreur qui ne s’effacent plus. Les cris des justes sont effroyables.
Dans cette pluie périssent tous ceux qui ont ouvert l’impiété, foudroyés de terreur. Après trois jours, la pluie de l’arc-en-ciel s’étend visible en tout l’univers ».
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1880-09-20 :
« Marie-Julie demanda à quelle époque Satan devait régner en maître. La flamme du Saint Esprit lui répondit :
- C’est celle où vous êtes maintenant, enfants de Dieu.
- Si les justes n’avaient pas redoublé de prières, surtout en égard des justices annoncées depuis des siècles, la Main du Seigneur se serait appesantie sur tout son peuple, et les plus grandes épreuves auraient depuis longtemps visité Ses enfants ».
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1880-11-30 :
Les Châtiments :
« Les foudres du ciel se succéderont avec une violence rapide. Le feu du ciel parcourra la terre sur une largeur effroyable : cette foudre vengeresse brûlera toute pointe qui produit du fruit. Les terres cultivées seront ravagées par la puissance de ce feu ; les prairies seront brûlées et réduites à une terre complètement dépouillée. Les fruits ne paraîtront point ; toutes les branches d’arbres seront sèches jusqu’au tronc.
Enfants de la Bretagne, vous userez, pour conserver vos récoltes, de ce que la bonté de mon Fils vous a révélé : c’est le seul moyen de sauver votre nourriture.
Mes enfants, pendant trois jours le ciel sera en feu, sillonné de frayeur par la colère divine. Ce qui m’attriste, c’est que cette colère n’arrêtera pas la force de l’enfer. On ne craint ni mon Fils ni l’enfer. Il faut que ce temps passe. Le péril de la France est inscrit au ciel par la puissance éternelle. Je ne peux plus intercéder ; je ne suis plus qu’une mère sans puissance.
Pendant plusieurs années, la terre ne produira rien. La France sera malheureuse, même après son triomphe. Pendant deux ou trois ans, elle se ressentira de ces ruines et de ces misères profondes. La misère sera grande, bien que mon peuple soit éclairci. La prière ramènera la bénédiction. Mon Fils et moi, nous aurons pitié de cette longue pénitence.
Mes enfants, priez pour l’Église ; priez pour tous ses ministres priez pour le Pape, car on attentera à ses jours. Ce lieu aussi sera criblé de vengeance, et le mal y fera des sans mesure, malgré la foi d’une grande partie de mon peuple.
Le mal, que j’entrevois si proche, laisse à mon cœur une blessure qui durera toujours : une perte d’âmes considérable, la foi ruinée, le baptême souillé. Toutes ces lâchetés, que je vois, changeront en mauvais chrétiens beaucoup de mes enfants.
La France périra - pas toute, mais beaucoup périront – Elle sera sauvée avec un nombre bien petit... O France, on apportera, jusque dans tes lieux, la poussière de l’étranger. Tu ne pourras renvoyer ces étrangers.
Tu fus si noble, ta noblesse sera perdue.
J’ai vu tout passer sur terre. Jamais - je vous le dis avec un cœur de mère - jamais je n’ai eu sous les yeux l’attente de pareils crimes, de pareils malheurs : violations, sacrilèges, attentats. C’est dès aujourd’hui que je vois toutes ces peines. Oh ! Priez, mes enfants !
Je m’arrête sur ces douleurs.
Reposez-vous, mes enfants ».
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1881-03-08 :
« La terre tremblera depuis ce lieu jusqu’au lever du soleil, l’espace de six jours. Un jour de repos et le huitième jour, le tremblement recommencera. La France et l’Angleterre se répondront par leurs cris de désespoir. La terre tremblera si fort que le peuple en sera jeté à 300 pas. Le tonnerre retentira avec plus d’éclat que dans les mois qui précéderont la fin du monde, avec un bruit étrange ».
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1881-09-20 :
« Ce sera la " Troisième époque ", celle du grand Coup, celle du retour à l’ordre qui ne sera pas sans souffrances. L’ensemble de ces phases devrait s’étaler sur deux à trois années. Les pertes humaines seront très importantes. Il y aura divers avertissements du Ciel pendant ces épreuves, pour ouvrir les yeux des moins endurcis. (Signes dans le Ciel, ténèbres de quelques heures, miracles...) Mais ce n’est qu’après ces semonces que le Grand Châtiment universel des trois jours de ténèbres mettra un terme aux hostilités.., faute de combattants !
Mon peuple, demande pour le Centre (Paris), grâce et miséricorde. L’enveloppe de la mort est préparée ; il n’y a point de cercueil pour enfermer les restes du peuple malheureux.
En bien peu de temps, il ne restera guère de peuple. Les hommes seront si clairs qu’il faudra des lieues pour rencontrer une seule âme, surtout dans le midi, dans les grandes villes, dans le Centre. Il n’y aura plus guère que quelques âmes cachées sous terre qui auront pu échapper. La terre sera désolée, empoisonnée de cadavres, toute remplie du sang des chrétiens.
Un Miserere, Mon peuple, pour le Centre, pour le Midi, pour Lyon, Toulouse. Un Miserere pour les soldats, les enfants restés sur la terre d’exil entre la vie et la mort. Pour Mes prêtres, Mes serviteurs et Mes servantes ; un De profundis pour les pauvres âmes qui expirent là, sans prêtres, sans Sacrements. Voilà ce que Dieu vous demande pour ses chères âmes qu’Il a rachetées de Son Sang !... ».
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1882-03-15 :
« Dans le soleil, la flamme dit :
- Jusque dans les lieux les plus retirés, les suppôts de l'enfer travaillent, maintenant, à des écritures abominables. Mon peuple les trouvera partout sur son chemin. Beaucoup de coureurs appellent les ouvriers à la révolte, à cause du manque de travail qui est leur pain de chaque jour...
- Les petites villes, comme les grandes, seront bientôt perdues par des groupes d'ouvriers qui n’ont ni asile ni refuge. Ils s'étendront partout, surtout que l'heure où ils pourront se rassasier ne tardera pas à sonner.
La flamme dit :
- Partout, la France presqu'entière sera soulevée contre l'église. On répandra sans repos, sur la Foi et l'Eglise, des articles abominables que le monde, sans l'enfer, n'aurait jamais su inventer.
- Les indignes ennemis du Dieu-Sauveur, qui s'assemblent dans les loges et les remplissent, sentent le moment approcher. Ils vont se lever, pleins d'espoir, pour jeter boue et scandale sur les apôtres de Dieu et sur son église. C'est par eux que la jeunesse finira d'oublier son Créateur et Rédempteur. Ce temps fait frémir, au sujet de ceux des chrétiens dont la foi se trouvera inébranlable.
La Mère de Dieu, poussée par l'amour de son cœur, va redescendre sur la terre, apparaissant à son peuple d'une façon qui sera sans mesure.
Elle va renouveler sa descente du ciel sur terre, dans les environs des montagnes de la Salette. Elle apparaîtra, suspendue sur une nuée blanche, environnée d'une guirlande de roses, pour dire :
"La terre ne sera qu'un tombeau, depuis l'Alsace-Lorraine, qui n'est pas comptée, jusqu'au bord de la Bretagne."
La mère de Dieu manifestera une autre gloire à son peuple, comme dernier trait de son amour, au sujet de la douleur des chrétiens. Dans le nord de le France... Elle viendra, avec des signes de deuil, et n'adressera que trois paroles qui seront entendues par une dizaine d'âmes.
1° toute la terre, excepté la Bretagne, ne sera qu'un tombeau sans vie.
2° L'église va souffrir des persécutions telles que l'enfer n'en aura jamais inventé de plus cruelles.
3° le Centre deviendra une terre imbibée de sang. Le dernier qui y coulera sera celui de l'homme que le ciel maudit à cause de ses crimes.
La flamme dit encore :
- Mon peuple, ne crains rien. Nos victimes seront alors revenues à l'abri de l'orage de feu et de flammes. Leur grande œuvre ne s'arrêtera pas pour cela l'espace d'une minute.
Le ciel baissera sur terre les signes de sa justice. La terre étrangère ne récoltera aucune nourriture. Une pluie de feu réduira en poussière la nourriture de ces peuples où sont mêlés chrétiens, non-catholiques et mahométans.
La flamme dit encore :
- La Terre de France va subir aussi la Justice de Dieu. Pendant trois années, les pommes de terre pourriront à l'heure de la semence ; le blé ne poussera pas ou s'arrêtera à mi-hauteur. Les fruits noirciront un ver en rongera l'intérieur, avant qu'ils aient atteint la grosseur du doigt.
La flamme dit :
- Le Centre et ses demeures seront broyés par la violence du tonnerre de Dieu. Les frémissements et tremblements de terre se multiplieront, jours et nuits, sans cesser, pendant quarante-trois jours. La mer s'agitera et jamais de tous les siècles, ses vagues et ses flots n'auront pris une forme semblable. Tout le monde de cette époque périra à jamais.
Mon peuple, si Dieu te parle ainsi, c'est qu'il ne peut plus soutenir sa justice inexorable. Il te dit : n'aie pas peur, j'ai tous les pouvoirs.
Maintenant, mon peuple, que rien ne t'épouvante. Si, demain, tes oreilles entendent des bruits nouveaux ; si tes yeux parcourent des lignes qui font frémir, que rien ne t'étonne ! C'est l'enfer qui se met à l'œuvre.
Il faut que la terre périsse : pas toute, mais plus de la moitié de la moitié. La terre deviendra le désert, mais Dieu la repeuplera dans la paix et la tranquillité.
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1882-07-20 :
L’heure d’annoncer :
« Au jour décidé pour que mes écritures soient envoyées à tous mes serviteurs et à mes victimes, pour leur indiquer mon heure et l'heure du miracle, à cet appel, rien ne les retiendra.
Je protégerai et garderai ceux qui seront obligés d'attendre un peu de temps avant de trouver refuge sous l'arbre divin de la Croix (les croix d’amour).
L'heure sera envoyée à toute la famille de la Croix dont le destin est d'être protégée. Cette heure viendra avant que les voies de la terre soient fermées (nous ne pourrons plus circuler), avant que l'ennemi ne soit embarqué sur l'étendue de la France entière pour la conquérir et la faire périr.
Je vais donner à mes chers serviteurs et victimes la réelle description de la croix qu'ils devront porter. Ils vivront comme les missionnaires de ma parole divine, les Pères de la Croix...
Je désire que mes serviteurs, servantes et jusqu'aux petits enfants puissent aussi se revêtir d'une croix. Cette croix sera plus petite et portera en son milieu comme l'apparence d'une petite flamme blanche. Cette flamme indiquera qu'ils sont fils et filles de la lumière.
Le mal inévitable s'avance. Bientôt la terre entière ne sera plus que sous la pluie des châtiments terribles de ma Justice. Le bien sera au tombeau et le mal élevé sur le sommet des montagnes pour attester son triomphe ».
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1882-10-16 :
« II y aura de grands écroulements, surtout au Centre. Tous ces riches palais où sont produits les bénéfices de la nation, tout cela, le Seigneur va le détruire par un châtiment terrible, sous la forme d’un écroulement de terre. Tous ces hauts édifices, (Banques) qui sont une partie du pain de la France, s’écrouleront. Dieu va surprendre ceux qui travaillent sans penser à Lui, ni à Sa Puissance qui donne tout sur la terre ».
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1883-09-06 :
À la mort du Comte de Chambord, en 1883, il est dit :
« Il faudra rester où le Bon Dieu nous aura placé et beaucoup prier. La France n’ayant pas mérité celui qui devait la sauver, Dieu l’a enlevé de la terre ; C’est le premier châtiment ».
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1922-11-26 :
La flamme du Saint Esprit lui annonce :
« Mes petites âmes aimantes, Je l’avais fait belle cette terre que vous foulez. Je l’avais créée avec une grande ferveur et de nobles sentiments. Le règne du crime s’avance. J’ai tout permis, malheurs, tribulations, méchanceté des hommes... J’ai tout laissé au gré des consciences et à Mon tour... Je me lèverai terrible pour finir le règne qui éteint Mes lois saintes, le règne qui comble d’amertume Mes âmes justes, le règne qui Me fait tant de mal, en perdant tant d’âmes qui se précipitent dans l’éternel malheur. Je vous sauverai à travers le grand déluge de Ma Justice divine... J’ai tout laissé faire avant de Me lever, mais voilà que la mesure est pleine et que Mon heure approche...
II viendra le règne de Mon Sacré-Cœur. On ne Me demande pas assez cette grande merveille, surtout au pied du Saint Autel. Je voudrais que ce fût un cri retentissant, un cri de désir, un appel de Foi, pour finir le mal affreux qui perd tant d’âmes ».
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Sans date :
Notre Seigneur annonce :
« Il fera noir pendant ces frais jours de pluie, de deuil, d’agonie et de mort. Il y aura une tempête affreuse ; les arbres les plus profondément enracinés seront ébranlés.
Mes enfants, Je suis la Voie, la Vérité et la Vie.
Au sortir de ces trois jours, vous ne trouverez que cadavres.
C’est là une prophétie que Je vous fais Moi-même, Moi qui suis la Voie de la Vérité et de la Vie. Écoutez Mes paroles ».
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Poirot- Deuxième Demeure : Je m'applique à l'oraison.
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Marie-Julie Jahenny - EVENEMENTS ANNONCES POUR PARIS
EVENEMENTS ANNONCES POUR PARIS
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 12-12-2011)
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La capitale de la France, sa tête, c’est Paris. Dans les extases elle est souvent appelée " le Centre. "
II faut une capitale à tout royaume. Mais la fonction d’une capitale n’est pas de s’arroger, de centraliser tous les pouvoirs, ne laissant aux régions que le devoir de se soumettre. La Monarchie catholique savait tenir compte des richesses de chaque province et veillait à sauvegarder les droits des communautés, des familles, des corporations. La Révolution a tout détruit en centralisant tout à Paris. L’action d’un centre peut devenir catastrophique, s’il ne reconnaît pas de lois, hors de celles qu’il fait lui-même.
À la Fraudais, Jésus pleure sur Paris, comme II pleura sur Jérusalem. Que de grâces Il a donné à cette ville ! Que de saints ! La Sainte Vierge l’honora de ses visites. Que de protections contre les menaces de destruction !
Mais le Centre est devenu la tête venimeuse sécrétant les mauvaises lois, les mœurs perverties, l’insouciance égoïste et jouisseuse, et tout le corps a été infecté de ces poisons, sans pouvoir défendre ses droits. C’est à Paris, au Centre, au cœur de la France que le crime sacrilège de la décapitation de Louis XVI a été perpétré, en haine du Christ en haine de l’Église, en haine du droit divin. Paris est devenu la capitale de l’esprit antichrist, nouvelle Babylone, nouvelle Sodome.
C’est pourquoi elle devra subir un châtiment exemplaire qui la purifiera par le feu de cette possession mauvaise.
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1874-12-08 :
« À Rome la tempête sera la plus noire. L’orage de Rome sera encore pire que l’orage de France. Toute la colère de l’impie est à Rome. Toute la colère de l’impie est concentrée sur le Saint Siège. Les châtiments commenceront par Paris. Châtiments pour les villes du midi. Quelle boucherie ! Dans la France il sera versé plus de sang qu'à Rome. Ce ne sera pas long ».
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1875-10-01 :
« Heureux, dit Saint Michel, ceux qui sauront abandonner ces murs et se réfugier loin de ce lieu pitoyable où les victimes s'amasseront en morceaux, où les places seront teintes de sang, comme de la pluie qui tombe dans l'orage.
Mes enfants, dit la Sainte Vierge, ce fléau est allumé sur cette grande ville (Paris) que le ciel a en horreur. C'est de cette ville que sortira le souffle infect. Ses murs s'écrouleront, et les flammes dévoreront ce luxe et ces cœurs sans foi. Les pierres en seront jetées au loin, mais elle sera rebâtie ».
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1877-04-06 :
« Je tourne Mes regards vers cette ville impie, ville ingrate, n’es-tu pas bâtie sur une montagne de péchés ? N’as-tu pas fait couler des ruisseaux de sang ? Autrefois, tu M’as donné des martyrs. Aujourd’hui, tu peuples l’enfer et tu dépeuples le Ciel. Oui, Ma Justice vous visitera !
Vous, familles chrétiennes, qui portez encore la Croix au fond du cœur, le souvenir de Mes bienfaits, fuyez cette ville ingrate qui périra par Ma Justice ! ».
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1877-04-27 :
« Les cris de désespoir et d’alarme monteront jusqu’au Ciel... Les mois du Sacré-Cœur et de Mon Sang, ce sera le signal des châtiments, guerre civile... Quand le gouvernement verra ces bouleversements, il fera comme l’oiseau... il s’envolera et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans sa révolution... C’est à ce moment qu’il faudra fuir Paris.
Le premier soulèvement se fera dans la ville de Paris et ce trône de mauvais rois s’écroulera comme la ville et ses victimes périront dans ses murs... Bien des fois les flammes et le feu se sont montrés dans cette ville criminelle, mais cette fois ce sera la grêle de feu ensoufrée et qui étouffera les coupables.
Quand le gouvernement verra ces bouleversements et la révolte, il fera comme l’oiseau ! Il prendra son vol et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans la révolution... Le premier soulèvement se fera dans la ville de Paris et ce trône de mauvais rois s’écroulera comme la ville et ses victimes périront dans ses murs... Bien des fois les flammes et le feu se sont montrés dans cette ville criminelle, mais cette fois ce sera la grêle de feu ensoufrée et qui étouffera les coupables.
Là, on violera les Tabernacles. Là, on poursuivra les Pères de l’Église avec rage. Beaucoup ne sortiront pas. Je recevrai le sang des martyrs pour aider les vrais Français à obtenir la Victoire.
C’est là où les flammes dévoreront des églises, que la statue de Marie sera brisée et jetée au feu... La France n’aura pour elle aucun soutien. Elle sera seule et pourquoi ? Parce qu’elle n’a pas un Roi ».
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1877-11-26 :
« Ma bonne Mère me conduit au trône de Jésus. Sainte Geneviève est à ses genoux sur les marches du trône.
"Ma victime, dit Jésus, voici ton humble sœur, Sainte Geneviève. Je lui ai attribué le don des miracles : elle en a fait de bien grands. Elle a sauvé cette ville ingrate (Paris) qui, aujourd'hui, est menacée de grands fléaux.
- Pardon pour elle, ô mon Dieu !
- Je donnerai à Sainte Geneviève de faire un nouveau miracle, mais ce sera après bien des épreuves et bien des victimes, après l'accomplissement de mes justes châtiments.
Que de fois les pavés de cette ville ont été arrosés du sang des chrétiens ! Les ruisseaux couleront encore... Du sang, ses pavés en seront encore rougis ! C'est sur cette ville ingrate que s'est arrêté le poids de mon juste châtiment.
Ma victime, Sainte Geneviève, subira le déchaînement des barbares et des impies. Elle souffrira de leurs sacrilèges ; pas elle, mais sa statue. Leurs mains se porteront sur elle, mais sa voix sortira vivante de sa statue plantée au milieu de la ville. A ce moment, je ferai un miracle qui ouvrira les yeux ».
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1877-12-06 :
« Pourquoi, ma bonne Mère, une telle puanteur ?
- Ma fille, ils sont si aveuglés qu'il est désormais impossible de les faire croire. Ils sont arrivés au dernier point de l'incrédulité. Ils ne craignent plus ni Dieu, ni le ciel. Cette puanteur, c'est l'haleine de l'enfer et de cette société maudite.
- Pourquoi, très Sainte Vierge, ces trois flammes et cette fumée infecte ?
- Mes enfants, c'est le commencement des funestes malheurs. Elles font pressentir la suite de ce qui doit arriver.
- Ah ! bonne Mère, je vois des flammes rouges avec une rage féroce.
- Mes enfants, une fois que cette société impure et impie aura toute sa liberté, le désordre s'étendra partout, surtout au cœur de cette ville ingrate. Depuis longtemps je préviens...
Les murs de cette ville ingrate seront ébranlés : ils enseveliront, sous leurs décombres, les cadavres impurs ; ils en engloutiront un grand nombre ».
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1878-01-09 :
« O France, tu espères toujours en ces nouveaux gouverneurs ?
Eh bien, tu abrèges ainsi le terme de ma Justice...
Mes enfants, sans moi il n'y aurait plus d'espoir pour elle, plus rien. Je ferai un miracle pour les justes, mais il n'y aura qu'une partie du royaume qui sera sauvée.
France, depuis que je suis venu sur la terre, il ne s'est jamais passé, et il ne se passera jamais un coup si fatal que celui qui t'est réservé !
Malheur à vous qui tenez vos conseils dans cette chambre de l'enfer !
Et toi, ville ingrate, murs souillés de crimes, pourquoi ne dites-vous pas aux bons : fuyez, fuyez, il est temps encore ? Et vous, pavés des rues, grains de sable qui formez les pavés, pourquoi ne vous levez-vous pas et ne prévenez-vous pas qu'il faudra prendre la fuite quand le tonnerre grondera sur un peuple en péril ?
Mes enfants, tout est au comble, c'est le moment où ma vengeance va éclater. Mettez votre main droite sur la plaie de mon Cœur et vous serez sauvés ».
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1880-09-20 :
« Au moment où la rage des impies s’arrêtera pour un court répit, il arrivera une grande maladie, presque subitement. Ce châtiment laissera les victimes comme étant sans vie ; ils respireront encore sans pouvoir parler, la chair à vif comme après une profonde brûlure. Ce mal sera très contagieux et on ne pourra l’arrêter. C’est une punition du Seigneur afin d’en ramener plusieurs ».
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1881-05-12 :
« Mes enfants, La punition fut promise sur la ville de Ninive, et, aujourd’hui, une punition grave, une punition terrible est promise à la nouvelle Ninive que J’ai tant aimée et qui est de Mon Royaume ».
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1881-10-05 :
« Il y aura des épidémies sur le Midi, Valence, Lyon, Bordeaux, tout ce qui suit cette terre en venant vers le Centre (Paris). Très peu de monde pourra en réchapper. Les cadavres auront répandu une odeur infecte qui donne la mort.
Je saurai protéger tous les miens. J’ai fait placer l’échelle qui conduit de la terre à Mon Cœur, route préparée pour les temps malheureux. Le temps ne sera pas bien long, mais il sera terrible dans les trois reprises différentes ».
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1881-11-28 :
« Si le Centre (Paris) ne se convertit pas, il sera brûlé. Les pierres qui ferment les demeures ne préserveront plus, car le feu de la vengeance les réduira dans l’impossibilité de monter les murs nouveaux ».
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1881-12-23 :
« Soudain il se lèvera un fruit déchirant du blasphème qui, du Centre de tous les maux, retentira partout... Tout à coup, au milieu du Centre, il y aura des voix, des cris, des chants odieux, des cris confus et le pauvre peuple sera sans avoir le temps d’échapper. Les rues seront fermées, les passages bouchés, un massacre douloureux au milieu de l’étendue du malheur... Les véritables apôtres, connus par l’énergie de leur courage, ce sera sur ceux-là qu’ils voudront se venger avec rage et fureur, les deux jours, orage du ciel et de la terre, les éclats du tonnerre viendront avant leur époque (hiver). Leurs éclairs viendront sur la terre du royaume pendant les deux jours où se lèvera le terrible orage. Plus de repos au milieu du Centre, plus rien pour se délivrer pendant ces deux jours. Ils trancheront la tête aux uns avec les armes de la mort, et feront mourir les chrétiens avec des balles. Pendant deux jours et deux nuits, ni repos, ni sommeil sur la terre... Beaucoup de monde périra... »
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1882-05-09 :
« Un repos fort court suivra cette grande entrée dans le mal qui sera complet, surtout au Centre (Paris) et dans les environs... Le 24 mai, il se passera entre les hommes qui se disent vainqueurs et élevés en science, un éclat qui ébranlera cette Grande Ville où le sang a tant de fois rougi le pavé et ce branle ne s’apaisera pas... Tu sais que le nombre 14 a été choisi par Moi... »
« La seconde et violente crise commencera et ira jusqu’à 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocèse qui commence la Bretagne. La plus forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul élan, ils parviendront jusqu’aux alentours de la Grande Ville. (Paris) Ils n’y pénétreront qu’à la moitié de la crise ».
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1882-10-05 :
« Le feu du ciel tombera sur Sodome et principalement sur cette salle de l'enfer (Paris), où se fabriquent les mauvaises lois ; elle sera engloutie et, à sa place, sera comme une immense carrière de laquelle, jusqu'à la fin du monde, on ne pourra s'approcher sans un frémissement d'horreur.
Dans cette Sodome, il y aura des endroits tellement bouleversés qu'il n'y aura pas un seul pavé en place... Le feu du ciel se mêlera au feu de l'enfer.
La colombe dit :
Amis du Seigneur, ce lieu va s'écrouler, sur une immense distance, aux alentours. Il n'en restera qu'une carrière dont personne ne pourra voir la profondeur, ni mesurer l'immensité du creux.
Mes amis, tout ce sol, sur tout ce lieu et ses environs, où se commettent tant d'injustices, ce sol va crouler jusqu'au fond...
Personne ne pourra passer autour de ce lieu avant que celui qui dort n'apporte la paix et la religion florissante ; avant que ne lui ait été donnée une bénédiction par plusieurs saints Pasteurs de l'Eglise Catholique.
Amis du Seigneur, le Cœur digne de ce règne ne s'établira pas là dès l'entrée de sa victoire. C'est la Mère du Ciel qui lui assignera de son repos.
La colombe dit :
Amis du Seigneur, vous pourrez voir de vos yeux cette carrière épouvantable où l'eau sera semblable au feu...
N'oubliez jamais ma parole. D'âge en âge, elle se redira. Jamais on ne pourra bâtir alentour...
Jamais, de générations en générations, on n'oubliera ces marques de Dieu, restées visibles sur une terre où il y a de si beaux sanctuaires dédiés à la Sainte Mère Immaculée ».
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1882-10-19 :
«Frère, dit Marie-Julie à Auguste Charbonnier, le Seigneur m'a déclaré :
"Ma fille, maintenant je vais faire passer à mon vrai peuple, avant les grands jours sans repos, les principaux faits, pour être publiés en France, dans ces lieux où se trouvent bons et mauvais. Je ne veux pas mêler ces annonces aux grands jours : il serait trop tard pour en prévenir mon peuple".
... La Sainte Vierge me fit voir, en versant quelques larmes, les flammes incendiaires s'élevant sur le Centre (Paris) et le feu allumé au milieu de terribles combats, surtout aux alentours de la Salle de l'Enfer.
Il ne restera guère de bois dans les maisons, à mesure qu'ils remporteront leur victoire et qu'ils jetteront cet incendie, si vaste et si étendu qu'on n'en pourra dire la mesure. Trois églises, qui ne sont pas loin du centre, n'échapperont pas à ces flammes de vengeance.
Frère, ce que j'ai vu était si affreux que, malgré la présence du Bon Dieu en ma cellule, j'y pense sans cesse. Mon cœur en devient si malade à cette pensée que, si j'avais un père spirituel, je le prierais de consoler mon âme à ce sujet.
Frère, les flammes du feu de la terre montaient à une hauteur incompréhensible.
La Sainte Vierge me disait en soupirant :
"Ma fille, les hommes l'allument et Satan le souffle".
Il ne restait que les murs noircis de ces temples sur lesquels la Sainte Vierge a pleuré. Elle me fit voir les tabernacles et les autels tout réduits en cendre. Les flammes ne paraissaient point encore rassasiés après tout ce ravage ».
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1882-10-24 :
« L'heure de Dieu est proche, dit le Saint-Esprit. Peuple, sors de tes murs, si tu veux échapper à la terrible mitraille de la lutte du siècle : 80 et à monter à l'année où nous sommes ».
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1882-11-16 :
« II y aura de grands écroulements, surtout au Centre (Paris). Tous ces riches palais où sont produits les bénéfices de la nation, tout cela, le Seigneur va le détruire par un châtiment terrible, sous la forme d’un écroulement de terre. Tous ces hauts édifices (buildings d’affaires) qui sont une partie du pain de la France, s’écrouleront. Dieu va surprendre ceux qui travaillent sans penser à Lui, ni à Sa Puissance qui donne tout sur la terre ».
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1882-11-23 :
« Voici ce que je lis :
Mes enfants, depuis plusieurs années, les mines établies dans le centre (Paris)...
Sous peu la terre va trembler et toute la France va gémir d'épouvante. Dans le centre (Paris), beaucoup de monde va périr - annonce du déluge de sang et de mort - va périr, mes enfants, par les mines qui sans cesse rongent, de leurs flammes dures et ardentes, le sol de cette terre où l'on bâtit pour se servir de refuge.
Sur une barre, en travers de la page :
Hors du centre, mais en France, 689 enfants, sans compter celles et ceux qui instruisent de la religion ces anges d'innocence, vont périr par cette poudre lancée dans les sombres...
- Pas fort, ange.
- Lancée dans les ténèbres et l'obscurité des nuits. Les jours sont proches où ce triste évènement va parcourir avec alarme la France si coupable.
En grandes lettres, je lis :
Tous les ouvriers, dont l'emploi fournissait chaque jour une occupation qui les empêchait de se livrer au mal... Les desseins de ceux qui dirigent la France ont résolu d'enlever à l'ouvrier tout travail, tout emploi.
Mes enfants, il ne va plus y avoir de repos. Nuit et jour, les coureurs se livrent au mal : l'incendie, l'affreux assassinat. Ils vont user de la poudre violente qui réduit en lambeaux les murs les plus solides bâtis sur la terre ».
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1902-09-04 :
« Dans cette Sodome, il y aura des lieux tellement bouleversés qu’il ne restera plus un seul pavé en place. Il y a des lieux, surtout autour de cette cité, où l’on ne retrouvera pas une seule âme ».
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Sans date :
« Le feu du Ciel tombera sur Sodome et principalement sur cette salle de l’enfer, où se fabriquent les mauvaises lois ; elle sera engloutie et à sa place, sera comme une immense carrière de laquelle, jus qu’à la fin du monde, on ne pourra s’approcher sans un frémissement d’horreur. Le feu du Ciel se mêlera au feu de l’enfer. L’eau y sera semblable à du feu... Ce lieu va s’écrouler sur une immense distance aux alentours... Jamais, on n’oubliera ces marques de Dieu, restées visibles sur une terre où il y a de si beaux sanctuaires dédiés à la Sainte Mère Immaculée ».
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Toute la ville ne sera pas détruite. Les banlieues seront aussi éprouvées. La Sainte Vierge et Sainte Geneviève n’abandonneront pas les justes. Il y aura des miracles de protection en particulier à Notre-Dame des Victoires :
« Des Anges viendront enlever les Hosties menacées de profanation ».
Mais le message de toutes ces annonces répétées très souvent pendant la vie de notre amie est clair : fuyez Paris. La fuite du gouvernement sera l’ultime signal. La Providence avertira en temps utile, il faut prier et se tenir attentifs à la Volonté divine. Jésus prévient longtemps à l’avance pour éviter les effets mortels de la peur panique. Jusqu’au dernier instant de sursis, il écoutera les supplications de Ses " paratonnerres ", les âmes victimes, les familles chrétiennes, les communautés ferventes. " Ces choses arriveront, à moins que, par un miracle de Dieu, cette ville ne se convertisse. "
À Dieu seul, rien n’est impossible... sauf de Se contredire !
Il n’est pas possible de fixer précisément, d’après les documents connus, la chronologie des événements à Paris. Pendant les 2 premières crises, ce sera la guerre, civile et étrangère, la persécution religieuse. Le grand châtiment devrait terminer la troisième crise. En effet, il est annoncé que Le Roi qui aura commencé la reconquête depuis le milieu de la deuxième crise ne pourra y installer son gouvernement.
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(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 12-12-2011)
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La capitale de la France, sa tête, c’est Paris. Dans les extases elle est souvent appelée " le Centre. "
II faut une capitale à tout royaume. Mais la fonction d’une capitale n’est pas de s’arroger, de centraliser tous les pouvoirs, ne laissant aux régions que le devoir de se soumettre. La Monarchie catholique savait tenir compte des richesses de chaque province et veillait à sauvegarder les droits des communautés, des familles, des corporations. La Révolution a tout détruit en centralisant tout à Paris. L’action d’un centre peut devenir catastrophique, s’il ne reconnaît pas de lois, hors de celles qu’il fait lui-même.
À la Fraudais, Jésus pleure sur Paris, comme II pleura sur Jérusalem. Que de grâces Il a donné à cette ville ! Que de saints ! La Sainte Vierge l’honora de ses visites. Que de protections contre les menaces de destruction !
Mais le Centre est devenu la tête venimeuse sécrétant les mauvaises lois, les mœurs perverties, l’insouciance égoïste et jouisseuse, et tout le corps a été infecté de ces poisons, sans pouvoir défendre ses droits. C’est à Paris, au Centre, au cœur de la France que le crime sacrilège de la décapitation de Louis XVI a été perpétré, en haine du Christ en haine de l’Église, en haine du droit divin. Paris est devenu la capitale de l’esprit antichrist, nouvelle Babylone, nouvelle Sodome.
C’est pourquoi elle devra subir un châtiment exemplaire qui la purifiera par le feu de cette possession mauvaise.
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1874-12-08 :
« À Rome la tempête sera la plus noire. L’orage de Rome sera encore pire que l’orage de France. Toute la colère de l’impie est à Rome. Toute la colère de l’impie est concentrée sur le Saint Siège. Les châtiments commenceront par Paris. Châtiments pour les villes du midi. Quelle boucherie ! Dans la France il sera versé plus de sang qu'à Rome. Ce ne sera pas long ».
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1875-10-01 :
« Heureux, dit Saint Michel, ceux qui sauront abandonner ces murs et se réfugier loin de ce lieu pitoyable où les victimes s'amasseront en morceaux, où les places seront teintes de sang, comme de la pluie qui tombe dans l'orage.
Mes enfants, dit la Sainte Vierge, ce fléau est allumé sur cette grande ville (Paris) que le ciel a en horreur. C'est de cette ville que sortira le souffle infect. Ses murs s'écrouleront, et les flammes dévoreront ce luxe et ces cœurs sans foi. Les pierres en seront jetées au loin, mais elle sera rebâtie ».
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1877-04-06 :
« Je tourne Mes regards vers cette ville impie, ville ingrate, n’es-tu pas bâtie sur une montagne de péchés ? N’as-tu pas fait couler des ruisseaux de sang ? Autrefois, tu M’as donné des martyrs. Aujourd’hui, tu peuples l’enfer et tu dépeuples le Ciel. Oui, Ma Justice vous visitera !
Vous, familles chrétiennes, qui portez encore la Croix au fond du cœur, le souvenir de Mes bienfaits, fuyez cette ville ingrate qui périra par Ma Justice ! ».
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1877-04-27 :
« Les cris de désespoir et d’alarme monteront jusqu’au Ciel... Les mois du Sacré-Cœur et de Mon Sang, ce sera le signal des châtiments, guerre civile... Quand le gouvernement verra ces bouleversements, il fera comme l’oiseau... il s’envolera et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans sa révolution... C’est à ce moment qu’il faudra fuir Paris.
Le premier soulèvement se fera dans la ville de Paris et ce trône de mauvais rois s’écroulera comme la ville et ses victimes périront dans ses murs... Bien des fois les flammes et le feu se sont montrés dans cette ville criminelle, mais cette fois ce sera la grêle de feu ensoufrée et qui étouffera les coupables.
Quand le gouvernement verra ces bouleversements et la révolte, il fera comme l’oiseau ! Il prendra son vol et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans la révolution... Le premier soulèvement se fera dans la ville de Paris et ce trône de mauvais rois s’écroulera comme la ville et ses victimes périront dans ses murs... Bien des fois les flammes et le feu se sont montrés dans cette ville criminelle, mais cette fois ce sera la grêle de feu ensoufrée et qui étouffera les coupables.
Là, on violera les Tabernacles. Là, on poursuivra les Pères de l’Église avec rage. Beaucoup ne sortiront pas. Je recevrai le sang des martyrs pour aider les vrais Français à obtenir la Victoire.
C’est là où les flammes dévoreront des églises, que la statue de Marie sera brisée et jetée au feu... La France n’aura pour elle aucun soutien. Elle sera seule et pourquoi ? Parce qu’elle n’a pas un Roi ».
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1877-11-26 :
« Ma bonne Mère me conduit au trône de Jésus. Sainte Geneviève est à ses genoux sur les marches du trône.
"Ma victime, dit Jésus, voici ton humble sœur, Sainte Geneviève. Je lui ai attribué le don des miracles : elle en a fait de bien grands. Elle a sauvé cette ville ingrate (Paris) qui, aujourd'hui, est menacée de grands fléaux.
- Pardon pour elle, ô mon Dieu !
- Je donnerai à Sainte Geneviève de faire un nouveau miracle, mais ce sera après bien des épreuves et bien des victimes, après l'accomplissement de mes justes châtiments.
Que de fois les pavés de cette ville ont été arrosés du sang des chrétiens ! Les ruisseaux couleront encore... Du sang, ses pavés en seront encore rougis ! C'est sur cette ville ingrate que s'est arrêté le poids de mon juste châtiment.
Ma victime, Sainte Geneviève, subira le déchaînement des barbares et des impies. Elle souffrira de leurs sacrilèges ; pas elle, mais sa statue. Leurs mains se porteront sur elle, mais sa voix sortira vivante de sa statue plantée au milieu de la ville. A ce moment, je ferai un miracle qui ouvrira les yeux ».
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1877-12-06 :
« Pourquoi, ma bonne Mère, une telle puanteur ?
- Ma fille, ils sont si aveuglés qu'il est désormais impossible de les faire croire. Ils sont arrivés au dernier point de l'incrédulité. Ils ne craignent plus ni Dieu, ni le ciel. Cette puanteur, c'est l'haleine de l'enfer et de cette société maudite.
- Pourquoi, très Sainte Vierge, ces trois flammes et cette fumée infecte ?
- Mes enfants, c'est le commencement des funestes malheurs. Elles font pressentir la suite de ce qui doit arriver.
- Ah ! bonne Mère, je vois des flammes rouges avec une rage féroce.
- Mes enfants, une fois que cette société impure et impie aura toute sa liberté, le désordre s'étendra partout, surtout au cœur de cette ville ingrate. Depuis longtemps je préviens...
Les murs de cette ville ingrate seront ébranlés : ils enseveliront, sous leurs décombres, les cadavres impurs ; ils en engloutiront un grand nombre ».
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1878-01-09 :
« O France, tu espères toujours en ces nouveaux gouverneurs ?
Eh bien, tu abrèges ainsi le terme de ma Justice...
Mes enfants, sans moi il n'y aurait plus d'espoir pour elle, plus rien. Je ferai un miracle pour les justes, mais il n'y aura qu'une partie du royaume qui sera sauvée.
France, depuis que je suis venu sur la terre, il ne s'est jamais passé, et il ne se passera jamais un coup si fatal que celui qui t'est réservé !
Malheur à vous qui tenez vos conseils dans cette chambre de l'enfer !
Et toi, ville ingrate, murs souillés de crimes, pourquoi ne dites-vous pas aux bons : fuyez, fuyez, il est temps encore ? Et vous, pavés des rues, grains de sable qui formez les pavés, pourquoi ne vous levez-vous pas et ne prévenez-vous pas qu'il faudra prendre la fuite quand le tonnerre grondera sur un peuple en péril ?
Mes enfants, tout est au comble, c'est le moment où ma vengeance va éclater. Mettez votre main droite sur la plaie de mon Cœur et vous serez sauvés ».
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1880-09-20 :
« Au moment où la rage des impies s’arrêtera pour un court répit, il arrivera une grande maladie, presque subitement. Ce châtiment laissera les victimes comme étant sans vie ; ils respireront encore sans pouvoir parler, la chair à vif comme après une profonde brûlure. Ce mal sera très contagieux et on ne pourra l’arrêter. C’est une punition du Seigneur afin d’en ramener plusieurs ».
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1881-05-12 :
« Mes enfants, La punition fut promise sur la ville de Ninive, et, aujourd’hui, une punition grave, une punition terrible est promise à la nouvelle Ninive que J’ai tant aimée et qui est de Mon Royaume ».
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1881-10-05 :
« Il y aura des épidémies sur le Midi, Valence, Lyon, Bordeaux, tout ce qui suit cette terre en venant vers le Centre (Paris). Très peu de monde pourra en réchapper. Les cadavres auront répandu une odeur infecte qui donne la mort.
Je saurai protéger tous les miens. J’ai fait placer l’échelle qui conduit de la terre à Mon Cœur, route préparée pour les temps malheureux. Le temps ne sera pas bien long, mais il sera terrible dans les trois reprises différentes ».
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1881-11-28 :
« Si le Centre (Paris) ne se convertit pas, il sera brûlé. Les pierres qui ferment les demeures ne préserveront plus, car le feu de la vengeance les réduira dans l’impossibilité de monter les murs nouveaux ».
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1881-12-23 :
« Soudain il se lèvera un fruit déchirant du blasphème qui, du Centre de tous les maux, retentira partout... Tout à coup, au milieu du Centre, il y aura des voix, des cris, des chants odieux, des cris confus et le pauvre peuple sera sans avoir le temps d’échapper. Les rues seront fermées, les passages bouchés, un massacre douloureux au milieu de l’étendue du malheur... Les véritables apôtres, connus par l’énergie de leur courage, ce sera sur ceux-là qu’ils voudront se venger avec rage et fureur, les deux jours, orage du ciel et de la terre, les éclats du tonnerre viendront avant leur époque (hiver). Leurs éclairs viendront sur la terre du royaume pendant les deux jours où se lèvera le terrible orage. Plus de repos au milieu du Centre, plus rien pour se délivrer pendant ces deux jours. Ils trancheront la tête aux uns avec les armes de la mort, et feront mourir les chrétiens avec des balles. Pendant deux jours et deux nuits, ni repos, ni sommeil sur la terre... Beaucoup de monde périra... »
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1882-05-09 :
« Un repos fort court suivra cette grande entrée dans le mal qui sera complet, surtout au Centre (Paris) et dans les environs... Le 24 mai, il se passera entre les hommes qui se disent vainqueurs et élevés en science, un éclat qui ébranlera cette Grande Ville où le sang a tant de fois rougi le pavé et ce branle ne s’apaisera pas... Tu sais que le nombre 14 a été choisi par Moi... »
« La seconde et violente crise commencera et ira jusqu’à 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocèse qui commence la Bretagne. La plus forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul élan, ils parviendront jusqu’aux alentours de la Grande Ville. (Paris) Ils n’y pénétreront qu’à la moitié de la crise ».
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1882-10-05 :
« Le feu du ciel tombera sur Sodome et principalement sur cette salle de l'enfer (Paris), où se fabriquent les mauvaises lois ; elle sera engloutie et, à sa place, sera comme une immense carrière de laquelle, jusqu'à la fin du monde, on ne pourra s'approcher sans un frémissement d'horreur.
Dans cette Sodome, il y aura des endroits tellement bouleversés qu'il n'y aura pas un seul pavé en place... Le feu du ciel se mêlera au feu de l'enfer.
La colombe dit :
Amis du Seigneur, ce lieu va s'écrouler, sur une immense distance, aux alentours. Il n'en restera qu'une carrière dont personne ne pourra voir la profondeur, ni mesurer l'immensité du creux.
Mes amis, tout ce sol, sur tout ce lieu et ses environs, où se commettent tant d'injustices, ce sol va crouler jusqu'au fond...
Personne ne pourra passer autour de ce lieu avant que celui qui dort n'apporte la paix et la religion florissante ; avant que ne lui ait été donnée une bénédiction par plusieurs saints Pasteurs de l'Eglise Catholique.
Amis du Seigneur, le Cœur digne de ce règne ne s'établira pas là dès l'entrée de sa victoire. C'est la Mère du Ciel qui lui assignera de son repos.
La colombe dit :
Amis du Seigneur, vous pourrez voir de vos yeux cette carrière épouvantable où l'eau sera semblable au feu...
N'oubliez jamais ma parole. D'âge en âge, elle se redira. Jamais on ne pourra bâtir alentour...
Jamais, de générations en générations, on n'oubliera ces marques de Dieu, restées visibles sur une terre où il y a de si beaux sanctuaires dédiés à la Sainte Mère Immaculée ».
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1882-10-19 :
«Frère, dit Marie-Julie à Auguste Charbonnier, le Seigneur m'a déclaré :
"Ma fille, maintenant je vais faire passer à mon vrai peuple, avant les grands jours sans repos, les principaux faits, pour être publiés en France, dans ces lieux où se trouvent bons et mauvais. Je ne veux pas mêler ces annonces aux grands jours : il serait trop tard pour en prévenir mon peuple".
... La Sainte Vierge me fit voir, en versant quelques larmes, les flammes incendiaires s'élevant sur le Centre (Paris) et le feu allumé au milieu de terribles combats, surtout aux alentours de la Salle de l'Enfer.
Il ne restera guère de bois dans les maisons, à mesure qu'ils remporteront leur victoire et qu'ils jetteront cet incendie, si vaste et si étendu qu'on n'en pourra dire la mesure. Trois églises, qui ne sont pas loin du centre, n'échapperont pas à ces flammes de vengeance.
Frère, ce que j'ai vu était si affreux que, malgré la présence du Bon Dieu en ma cellule, j'y pense sans cesse. Mon cœur en devient si malade à cette pensée que, si j'avais un père spirituel, je le prierais de consoler mon âme à ce sujet.
Frère, les flammes du feu de la terre montaient à une hauteur incompréhensible.
La Sainte Vierge me disait en soupirant :
"Ma fille, les hommes l'allument et Satan le souffle".
Il ne restait que les murs noircis de ces temples sur lesquels la Sainte Vierge a pleuré. Elle me fit voir les tabernacles et les autels tout réduits en cendre. Les flammes ne paraissaient point encore rassasiés après tout ce ravage ».
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1882-10-24 :
« L'heure de Dieu est proche, dit le Saint-Esprit. Peuple, sors de tes murs, si tu veux échapper à la terrible mitraille de la lutte du siècle : 80 et à monter à l'année où nous sommes ».
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1882-11-16 :
« II y aura de grands écroulements, surtout au Centre (Paris). Tous ces riches palais où sont produits les bénéfices de la nation, tout cela, le Seigneur va le détruire par un châtiment terrible, sous la forme d’un écroulement de terre. Tous ces hauts édifices (buildings d’affaires) qui sont une partie du pain de la France, s’écrouleront. Dieu va surprendre ceux qui travaillent sans penser à Lui, ni à Sa Puissance qui donne tout sur la terre ».
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1882-11-23 :
« Voici ce que je lis :
Mes enfants, depuis plusieurs années, les mines établies dans le centre (Paris)...
Sous peu la terre va trembler et toute la France va gémir d'épouvante. Dans le centre (Paris), beaucoup de monde va périr - annonce du déluge de sang et de mort - va périr, mes enfants, par les mines qui sans cesse rongent, de leurs flammes dures et ardentes, le sol de cette terre où l'on bâtit pour se servir de refuge.
Sur une barre, en travers de la page :
Hors du centre, mais en France, 689 enfants, sans compter celles et ceux qui instruisent de la religion ces anges d'innocence, vont périr par cette poudre lancée dans les sombres...
- Pas fort, ange.
- Lancée dans les ténèbres et l'obscurité des nuits. Les jours sont proches où ce triste évènement va parcourir avec alarme la France si coupable.
En grandes lettres, je lis :
Tous les ouvriers, dont l'emploi fournissait chaque jour une occupation qui les empêchait de se livrer au mal... Les desseins de ceux qui dirigent la France ont résolu d'enlever à l'ouvrier tout travail, tout emploi.
Mes enfants, il ne va plus y avoir de repos. Nuit et jour, les coureurs se livrent au mal : l'incendie, l'affreux assassinat. Ils vont user de la poudre violente qui réduit en lambeaux les murs les plus solides bâtis sur la terre ».
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1902-09-04 :
« Dans cette Sodome, il y aura des lieux tellement bouleversés qu’il ne restera plus un seul pavé en place. Il y a des lieux, surtout autour de cette cité, où l’on ne retrouvera pas une seule âme ».
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Sans date :
« Le feu du Ciel tombera sur Sodome et principalement sur cette salle de l’enfer, où se fabriquent les mauvaises lois ; elle sera engloutie et à sa place, sera comme une immense carrière de laquelle, jus qu’à la fin du monde, on ne pourra s’approcher sans un frémissement d’horreur. Le feu du Ciel se mêlera au feu de l’enfer. L’eau y sera semblable à du feu... Ce lieu va s’écrouler sur une immense distance aux alentours... Jamais, on n’oubliera ces marques de Dieu, restées visibles sur une terre où il y a de si beaux sanctuaires dédiés à la Sainte Mère Immaculée ».
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Toute la ville ne sera pas détruite. Les banlieues seront aussi éprouvées. La Sainte Vierge et Sainte Geneviève n’abandonneront pas les justes. Il y aura des miracles de protection en particulier à Notre-Dame des Victoires :
« Des Anges viendront enlever les Hosties menacées de profanation ».
Mais le message de toutes ces annonces répétées très souvent pendant la vie de notre amie est clair : fuyez Paris. La fuite du gouvernement sera l’ultime signal. La Providence avertira en temps utile, il faut prier et se tenir attentifs à la Volonté divine. Jésus prévient longtemps à l’avance pour éviter les effets mortels de la peur panique. Jusqu’au dernier instant de sursis, il écoutera les supplications de Ses " paratonnerres ", les âmes victimes, les familles chrétiennes, les communautés ferventes. " Ces choses arriveront, à moins que, par un miracle de Dieu, cette ville ne se convertisse. "
À Dieu seul, rien n’est impossible... sauf de Se contredire !
Il n’est pas possible de fixer précisément, d’après les documents connus, la chronologie des événements à Paris. Pendant les 2 premières crises, ce sera la guerre, civile et étrangère, la persécution religieuse. Le grand châtiment devrait terminer la troisième crise. En effet, il est annoncé que Le Roi qui aura commencé la reconquête depuis le milieu de la deuxième crise ne pourra y installer son gouvernement.
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Poirot- Deuxième Demeure : Je m'applique à l'oraison.
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Date d'inscription : 29/04/2010
Marie-Julie Jahenny - EVENEMENTS ANNONCES POUR LA BRETAGNE
EVENEMENTS ANNONCES POUR LA BRETAGNE
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 12-12-2011)
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1874-07-17 :
« Sainte-Anne, patronne de la Bretagne annonce :
- C’est Moi qui vous protégerai des dangers dans la Bretagne et qui étendrai ma main pour renverser tous les ingrats. Non, la Bretagne ne périra pas. Je l’ai toujours protégée, je la protégerai encore, mais priez et venez à mon béni sanctuaire ! »
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1875-10-02 :
« Au Nord, ils iront jusqu’aux limites de la Vendée et en Normandie.
La Bretagne ne sera pas envahie, mais ne sera pas exempte de tout châtiment, surtout au Nord déchristianisé, ils se livreront au pillage et à la vengeance ».
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1878-01-22 :
« Mes enfants, dit la Vierge Marie, je ne crains point pour la Bretagne, car ma main bénie est étendue sur elle.
En bien peu de temps, vous en entendrez vous-mêmes le récit - je ne m'adresse pas à toi - vous pourrez le lire.
- Mais, bonne Mère, ce sera donc un livre ?
- Vous verrez, mes enfants. Il vous sera facile de reconnaître ces monstres (les impies-coureurs).
O Croix adorable, faut-il que tu sois portée par des mains profanes ! Faut-il que tu sois foulée aux pieds par des chrétiens !
- Mais, ma bonne Mère, il n'y en aura guère à la profaner ?
- Mes enfants, ici vous ne connaissez pas toute la profondeur du mal.
Allez, parcourez toutes ces grandes villes, et vous verrez combien le mal est horrible.
- Oh ! Très sainte Mère, nous le croyons bien !
En continuant à marcher, la Sainte Vierge dit :
« Tout est calme et silencieux sur cette terre-ci.
- Où sommes-nous, ma sainte Mère ?
- Sur la terre de Bretagne...
Mes enfants, je serai votre protectrice, votre soutien et votre espérance...
Mes enfants, je viens vous dire que mon Fils adorable ne peut plus supporter les crimes et les iniquités.
- Oh ! Sainte Mère, je tremble à ces mots !
- Mon divin Fils est dans sa troisième Passion et cette troisième Passion qui va faire éclater sa Miséricorde et sa Justice. France, tu es divisée...
Si mes enfants me demandent où il faudra qu'ils s'abritent, je répondrai : faites votre asile dans la Bretagne.
- Mais elle ne sera pas assez grande pour nous abriter tous !
- Je ferai une tente et mon manteau en sera la couverture.
- Ah ! Faites que tous les amis de Dieu y viennent et que nous soyons tous ensemble ! ».
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1878-03-09 :
« Nous aussi, disent les impies, nous viendrons nous abriter en Bretagne.
- Il n'y aura, réplique le Seigneur, que mon peuple qui aura cette protection, et la Bretagne sera choisie comme un royaume spécialement cher. Son nom sera cher à la France et au-dehors ».
« Oui, mes enfants, dit la sainte Vierge, je suis venue faire un refuge sur cette terre de Bretagne, parce que j'y trouve des cœurs généreux. Ce sera un abri très fort pour les oiseaux qui fuiront la tempête et s'y refugieront.
Voilà, dit SAINT MICHEL, la chaîne, le grillage qui sépare la Bretagne de la France.
- Mais, Saint Archange, est-ce que la Bretagne ne restera pas toujours française.
- Si, elle sera toujours française, mais elle aura un don de plus et portera un nom que le Seigneur lui a choisi et qui sera révélé ».
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1878-03-25 :
« "Oui, mes enfants, dit Marie, ma protection la plus spéciale vous est réservée. Voyez sans crainte tout venir et approcher. Je suis venue sur cette terre de Bretagne parce que j'y trouve des cœurs généreux.
- C'est vrai, ma Mère.
- Mon refuge sera aussi celui de mes enfants que j'aime et qui, tous, n'habitent pas cette terre. Ce sera un refuge de paix au milieu des fléaux, un abri très fort et très puissant que rien ne pourra détruire. Les oiseaux qui fuiront la tempête se réfugierons en Bretagne. La terre de Bretagne est en mon pouvoir".
Mon Fils m'a dit :
"Ma Mère, je vous donne tout pouvoir sur cette Bretagne".
Il m'a donné le pouvoir de séparer des orages cette Bretagne chère à mon cœur. Il m'a donné le pouvoir d'y descendre, le pouvoir de préserver les pécheurs, de les bénir et aussi de les frapper... Mais, mon enfant, tu connais ma bonté.
- Oh ! Oui, ma Bonne Mère, vous ne frapperez pas.
- ce refuge m'appartient et, aussi, à ma bonne mère Sainte Anne. Quel privilège pour mes enfants bretons !
- Pourquoi ce si grand privilège, bonne Mère ?
- La Bretagne, mes enfants, deviendra un jour puissante. Le moyen, je vous le ferai connaître plus tard. Ce sera une terre de grâce et de privilèges. Mon pouvoir, ici, est plus grand que sur toutes les autres parties de la France et de l'Univers ».
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1878-09-08 :
« J'aimerais mieux aller en prison que de dire tout ce que je sais sur le prêtre ; j'aimerais mieux être traînée par le cou que de le révéler : il y a de quoi faire trembler le ciel, non pas la terre, mais le ciel, avec ses puissances et ses prodiges.
Notre-Seigneur dit que la faiblesse du prêtre est grande et, qu'à peine l'heure fatale aurait-elle sonné, qu'un grand nombre serait à la tête des impies pour déformer son nom et le profaner.
Mes enfants, dit la Sainte Vierge, je veux vous dire que vous marchez dans la lumière...
Quand, dans ce lieu où je me plais, vous commencez votre travail pour mon divin fils, la lumière descend sur vous, vous éclaire, vous guide et vous dirige. La lumière luit sur ce papier où vous recueillez si bien les paroles de mon Fils. Mes enfants, que j'aime ce lieu où vous habitez ! Que j'aime ce petit coin de France où Dieu vous a fait naître!
Voilà un moment bien redoutable qui se prépare. Ne vous effrayez pas si je vous parle aussi ouvertement. Ce sera une heure bien amère pour les hommes de cette terre sans foi, sans amour et sans religion. Ils vont subir le coup terrible qui leur est depuis longtemps réservé. Ce coup est suspendu encore.
Si vous entendez courir des bruits, des bruits de scandales affreux par leur laideur, si vous voyez venir jusqu'à vous des espèces de doctrines empoissonnées, ne soyez ni surpris ni troublés. Ce sera une grande perdition pour les âmes peu solides. Laissons-les travailler à leur gré : une autre loi saura bien les arrêter.
Mes enfants, si vous saviez combien est petit le nombre de ceux qui soutiennent la foi ! Si vous saviez combien ce petit nombre sera contredit, raillé, insulté, tourné en dérision !
J'ai, depuis longtemps, le dessein de m'adresser à une âme. Le moment approche où je serai forcée de parler à nouveau. Ce sera la dernière fois que je ferai passer mes grands avertissements. Je n'ai pas encore choisi cette âme. Cela se fera sans bruit, sans agitation, avec simplicité, comme toutes les œuvres de mon Fils et les miennes ».
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1878-09-29 :
« Notre Dame annonce : Mes enfants, c'est moi qui viens finir avec vous cette journée...
Je crains que vous ne soyez effrayés. Ne soyez pas tristes, ni chancelants dans votre foi, durant ces jours si proches qui me font verser des torrents de larmes sur la perte de tant d'âmes. Je vous garderai dans ce coin de Bretagne où mon nom est si bien redit.
- C'est vrai, Mère chérie, souvent nous redisons votre nom.
- C'est surtout quand ce sont des bouches innocentes de petits enfants qui le redisent que mon cœur est tendre.
- Nous avons perdu, nous, cette parole d'innocence, car nous avons péché.
- Non... Vous m'aimez et je vous aime. Soyez prudents parce que les efforts de l'ennemi vont être terribles. Soyez bien fermes et résolus à vivre votre foi.
- Oui, Mère chérie, nous le promettons, comme si nous faisions un testament...
- C'est en dehors de toi... Vous aurez des pièges tendus et combats à soutenir. Soyez réservés. Les souffrances se changeront en joie, parce que vous aurez tout attendu avec une patience admirable.
Je ne viens pas, mes enfants, autant que je le voudrais, mais je reviendrai ».
///////////////////////////////////////////////////////
1881-03-24 :
« La Bretagne sera protégée par la Sainte Vierge, mais selon la mesure de la Foi.
Notre-Seigneur la fit gardienne de notre Bretagne et elle obtint de Son Fils une large protection en tout temps ; mais le Seigneur poursuit ceux qui ont mis de côté la Foi, pour suivre les mouvements du temps présent...
Cinq fois, la Bretagne sera traversée et retraversée par ceux qui portent partout le désordre...
Dans le Nord de la Bretagne, il y aura un peu plus à souffrir. Là le mal sera proportionné : il y restera une lisière où chacun aura permission de marcher sur ses terres...
Sainte Anne protégera la région d’Auray, il y aura des punitions pour les rebelles, mais les justes ont la destination d’être protégés...
La région du Mont Saint Michel sera relativement protégée.
La Vendée sera protégée, sauf sur les frontières, au midi...
Mais nombre de Vendéens verseront leur sang, car ils ont conservé leur Foi.
Nantes aura moins à souffrir. Le diocèse sera comparativement protégé, mais nulle grâce pour les impies et les mauvaises familles !...
D’autres malheurs à partir de Nantes vers le Sud.
Pontchâteau sera épargné à cause du Père de Montfort...
La Fraudais, le jardin de Marie sera protégé... ».
///////////////////////////////////////////////////////
1881-06-09 :
La Vierge Marie, apparue à Pontmain le 17 janvier 1881, manifestation reconnue par l’Eglise, révéla dix ans plus tard à Marie-Julie Jahenny, qu’elle s’y manifesterait de nouveau pour annoncer les guerres de la France :
« Je reviendrai à Pontmain comme la première fois pour annoncer les guerres de la France. L’invasion de armées Russo-Arabes viendra jusque là pour fondre sur la Bretagne. Je les arrêterai encore par un signe qui se manifestera dans les airs. Ce signe jettera à terre miraculeusement ces armées internationales à la Croix des 3 provinces, face à une petite armée d’une soixantaine d’hommes ».
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1882-02-07 :
« Mes enfants, dit Monseigneur Fournier, je ne vois que le ciel pour vous défendre de ces ennemis étrangers, ambitieux et avares des trésors de cette terre qui est votre patrie.
Mes enfants, je ne vois pas le cœur d'un père pour repousser ces cœurs cruels qui fonceront, de différents côtés, pour puiser, si c'est possible, jusque dans mon diocèse qui est de Bretagne. Je supplierai le ciel d'épargner bien des maux, bien des victimes ; mais le cœur de ces hommes sera insensible, dur et inflexible en leurs idées ».
///////////////////////////////////////////////////////
1882-09-28 :
« La seconde et violente crise commencera et ira jusqu’à 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocèse qui commence la Bretagne. La plus forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul élan, ils parviendront jusqu’aux alentours de la Grande Ville. (Paris) Ils n’y pénétreront qu’à la moitié de la crise ».
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1882-10-05 :
« Je lis : Pendant que mon royaume sera en liberté, j'entendrai des cris entre Nantes et la Rochelle. Les pauvres troupes françaises, soldats du temps présent, y seront amenées pour achever l'épuisement de cette garde pour la France... Environ au milieu de ces deux terres, l'autorité si coupable, gouvernante d'aujourd'hui, fera massacrer les troupes, et la France sera sans soutien. Pieds et mains liés pendant vingt-quatre heures, puis une torture leur est réservée qui aura vite terminé leur vie.
Mon peuple, ils jetteront ces chrétiens au fond des torrents ; leur sang inondera les pavés. Le crime horrible descendra jusque sur le milieu de la Bretagne. A deux reprises, le châtiment est réservé à cette terre nantaise.
Je lis encore :
Je laisse Satan couronner son règne. Sa bannière viendra jusque sur le bord de la paroisse, du côté du midi. Elle entrera dans la paroisse qui sera peu de temps exposée, mais dans un deuil d'appréhension douloureuse. Mon peuple ne sera pas atteint de la mortalité.
Un autre fléau tombera sur le cœur de la Bretagne. Mes amis n'en souffriront aucune douleur ».
///////////////////////////////////////////////////////
1882-11-16 :
« En entrant dans la vision, je contemple et j'adore le divin Crucifix, entouré de ses flammes.
La première Flamme dit :
"L'âme du chrétien est une graine que je sème dans le champ de l'Eglise, pour qu'elle fructifie en grâces et en vertus... Si le Seigneur augmente les tribulations sur les âmes, c'est que son heure divine est proche d'éclater sur la terre ; c'est la preuve de sa bonté divine...
La même Flamme dit encore :
Je déclare qu'une cruelle désolation fera gémir tout le peuple du centre du diocèse.
- Pas fort, Flamme.
- Amis de Dieu, il s'agit d'une multitude de coupables, capables de toutes sortes de mal, pervertis et dans de si mauvais sentiments que Dieu ne pourra jamais les ramener.
Voici :
A Nantes, près de la place de la Maison de la Justice, se lèvera une assemblée de cinq cents hommes, tout ce qu'on peut compter d'affamés de sang et de victimes.
Il y aura des scènes terribles : contre le clergé d'abord, contre les lois de la religion catholique, contre le Sauveur mortel de cette terre. Ils seront appuyés par l'autorité humaine, si mauvaise, de ce temps.
Dans leur rage inassouvie et indomptable, ils marcheront, d'une façon remarquable, dans la voie des douleurs grandissantes. Dans cette rue, près du Palais de Justice, aux heures profondes de la nuit, il y aura beaucoup de victimes dans ce cœur du diocèse.
Le plus frémissant, c'est qu'il sortira des feuilles du milieu de ce groupe : elles n'auront pour but que de couvrir de honte et d'iniquités ceux qui attendent, avec persévérance, la réalisation des promesses de Dieu. Aux environs de cette époque, on aura, de jour en jour plus pénible, le sentiment d'avoir à ressentir cette coupable injustice.
La Flamme dit que ce sera vers le temps où une loi périlleuse donnera la liberté de laisser sortir les scélérats maintenus jusque là en captivité. Rien ne s'y opposera au Parlement, car l'homme seul sera déjà dans l'étendue de son triomphe immense qui couronnera son désert, en renversant la terre et le monde ».
///////////////////////////////////////////////////////
Sans date :
La Bretagne devrait moins souffrir de cette pluie et de cette tempête.
Notre Seigneur nous annonce :
« Je laisserai la moitié de la moisson. Mais sachez que Je saurais bien trouver, dans cette Bretagne, ceux qui M’outragent et blasphèment Mon Nom... Heureux ceux qui ne seront pas éloignés de la Croix !
Mes enfants, dans ce déluge de frayeur, vous porterez Ma Croix, fût-elle toute petite ou grande ! Vous direz la prière suivante "».
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(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 12-12-2011)
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1874-07-17 :
« Sainte-Anne, patronne de la Bretagne annonce :
- C’est Moi qui vous protégerai des dangers dans la Bretagne et qui étendrai ma main pour renverser tous les ingrats. Non, la Bretagne ne périra pas. Je l’ai toujours protégée, je la protégerai encore, mais priez et venez à mon béni sanctuaire ! »
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1875-10-02 :
« Au Nord, ils iront jusqu’aux limites de la Vendée et en Normandie.
La Bretagne ne sera pas envahie, mais ne sera pas exempte de tout châtiment, surtout au Nord déchristianisé, ils se livreront au pillage et à la vengeance ».
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1878-01-22 :
« Mes enfants, dit la Vierge Marie, je ne crains point pour la Bretagne, car ma main bénie est étendue sur elle.
En bien peu de temps, vous en entendrez vous-mêmes le récit - je ne m'adresse pas à toi - vous pourrez le lire.
- Mais, bonne Mère, ce sera donc un livre ?
- Vous verrez, mes enfants. Il vous sera facile de reconnaître ces monstres (les impies-coureurs).
O Croix adorable, faut-il que tu sois portée par des mains profanes ! Faut-il que tu sois foulée aux pieds par des chrétiens !
- Mais, ma bonne Mère, il n'y en aura guère à la profaner ?
- Mes enfants, ici vous ne connaissez pas toute la profondeur du mal.
Allez, parcourez toutes ces grandes villes, et vous verrez combien le mal est horrible.
- Oh ! Très sainte Mère, nous le croyons bien !
En continuant à marcher, la Sainte Vierge dit :
« Tout est calme et silencieux sur cette terre-ci.
- Où sommes-nous, ma sainte Mère ?
- Sur la terre de Bretagne...
Mes enfants, je serai votre protectrice, votre soutien et votre espérance...
Mes enfants, je viens vous dire que mon Fils adorable ne peut plus supporter les crimes et les iniquités.
- Oh ! Sainte Mère, je tremble à ces mots !
- Mon divin Fils est dans sa troisième Passion et cette troisième Passion qui va faire éclater sa Miséricorde et sa Justice. France, tu es divisée...
Si mes enfants me demandent où il faudra qu'ils s'abritent, je répondrai : faites votre asile dans la Bretagne.
- Mais elle ne sera pas assez grande pour nous abriter tous !
- Je ferai une tente et mon manteau en sera la couverture.
- Ah ! Faites que tous les amis de Dieu y viennent et que nous soyons tous ensemble ! ».
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1878-03-09 :
« Nous aussi, disent les impies, nous viendrons nous abriter en Bretagne.
- Il n'y aura, réplique le Seigneur, que mon peuple qui aura cette protection, et la Bretagne sera choisie comme un royaume spécialement cher. Son nom sera cher à la France et au-dehors ».
« Oui, mes enfants, dit la sainte Vierge, je suis venue faire un refuge sur cette terre de Bretagne, parce que j'y trouve des cœurs généreux. Ce sera un abri très fort pour les oiseaux qui fuiront la tempête et s'y refugieront.
Voilà, dit SAINT MICHEL, la chaîne, le grillage qui sépare la Bretagne de la France.
- Mais, Saint Archange, est-ce que la Bretagne ne restera pas toujours française.
- Si, elle sera toujours française, mais elle aura un don de plus et portera un nom que le Seigneur lui a choisi et qui sera révélé ».
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1878-03-25 :
« "Oui, mes enfants, dit Marie, ma protection la plus spéciale vous est réservée. Voyez sans crainte tout venir et approcher. Je suis venue sur cette terre de Bretagne parce que j'y trouve des cœurs généreux.
- C'est vrai, ma Mère.
- Mon refuge sera aussi celui de mes enfants que j'aime et qui, tous, n'habitent pas cette terre. Ce sera un refuge de paix au milieu des fléaux, un abri très fort et très puissant que rien ne pourra détruire. Les oiseaux qui fuiront la tempête se réfugierons en Bretagne. La terre de Bretagne est en mon pouvoir".
Mon Fils m'a dit :
"Ma Mère, je vous donne tout pouvoir sur cette Bretagne".
Il m'a donné le pouvoir de séparer des orages cette Bretagne chère à mon cœur. Il m'a donné le pouvoir d'y descendre, le pouvoir de préserver les pécheurs, de les bénir et aussi de les frapper... Mais, mon enfant, tu connais ma bonté.
- Oh ! Oui, ma Bonne Mère, vous ne frapperez pas.
- ce refuge m'appartient et, aussi, à ma bonne mère Sainte Anne. Quel privilège pour mes enfants bretons !
- Pourquoi ce si grand privilège, bonne Mère ?
- La Bretagne, mes enfants, deviendra un jour puissante. Le moyen, je vous le ferai connaître plus tard. Ce sera une terre de grâce et de privilèges. Mon pouvoir, ici, est plus grand que sur toutes les autres parties de la France et de l'Univers ».
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1878-09-08 :
« J'aimerais mieux aller en prison que de dire tout ce que je sais sur le prêtre ; j'aimerais mieux être traînée par le cou que de le révéler : il y a de quoi faire trembler le ciel, non pas la terre, mais le ciel, avec ses puissances et ses prodiges.
Notre-Seigneur dit que la faiblesse du prêtre est grande et, qu'à peine l'heure fatale aurait-elle sonné, qu'un grand nombre serait à la tête des impies pour déformer son nom et le profaner.
Mes enfants, dit la Sainte Vierge, je veux vous dire que vous marchez dans la lumière...
Quand, dans ce lieu où je me plais, vous commencez votre travail pour mon divin fils, la lumière descend sur vous, vous éclaire, vous guide et vous dirige. La lumière luit sur ce papier où vous recueillez si bien les paroles de mon Fils. Mes enfants, que j'aime ce lieu où vous habitez ! Que j'aime ce petit coin de France où Dieu vous a fait naître!
Voilà un moment bien redoutable qui se prépare. Ne vous effrayez pas si je vous parle aussi ouvertement. Ce sera une heure bien amère pour les hommes de cette terre sans foi, sans amour et sans religion. Ils vont subir le coup terrible qui leur est depuis longtemps réservé. Ce coup est suspendu encore.
Si vous entendez courir des bruits, des bruits de scandales affreux par leur laideur, si vous voyez venir jusqu'à vous des espèces de doctrines empoissonnées, ne soyez ni surpris ni troublés. Ce sera une grande perdition pour les âmes peu solides. Laissons-les travailler à leur gré : une autre loi saura bien les arrêter.
Mes enfants, si vous saviez combien est petit le nombre de ceux qui soutiennent la foi ! Si vous saviez combien ce petit nombre sera contredit, raillé, insulté, tourné en dérision !
J'ai, depuis longtemps, le dessein de m'adresser à une âme. Le moment approche où je serai forcée de parler à nouveau. Ce sera la dernière fois que je ferai passer mes grands avertissements. Je n'ai pas encore choisi cette âme. Cela se fera sans bruit, sans agitation, avec simplicité, comme toutes les œuvres de mon Fils et les miennes ».
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1878-09-29 :
« Notre Dame annonce : Mes enfants, c'est moi qui viens finir avec vous cette journée...
Je crains que vous ne soyez effrayés. Ne soyez pas tristes, ni chancelants dans votre foi, durant ces jours si proches qui me font verser des torrents de larmes sur la perte de tant d'âmes. Je vous garderai dans ce coin de Bretagne où mon nom est si bien redit.
- C'est vrai, Mère chérie, souvent nous redisons votre nom.
- C'est surtout quand ce sont des bouches innocentes de petits enfants qui le redisent que mon cœur est tendre.
- Nous avons perdu, nous, cette parole d'innocence, car nous avons péché.
- Non... Vous m'aimez et je vous aime. Soyez prudents parce que les efforts de l'ennemi vont être terribles. Soyez bien fermes et résolus à vivre votre foi.
- Oui, Mère chérie, nous le promettons, comme si nous faisions un testament...
- C'est en dehors de toi... Vous aurez des pièges tendus et combats à soutenir. Soyez réservés. Les souffrances se changeront en joie, parce que vous aurez tout attendu avec une patience admirable.
Je ne viens pas, mes enfants, autant que je le voudrais, mais je reviendrai ».
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1881-03-24 :
« La Bretagne sera protégée par la Sainte Vierge, mais selon la mesure de la Foi.
Notre-Seigneur la fit gardienne de notre Bretagne et elle obtint de Son Fils une large protection en tout temps ; mais le Seigneur poursuit ceux qui ont mis de côté la Foi, pour suivre les mouvements du temps présent...
Cinq fois, la Bretagne sera traversée et retraversée par ceux qui portent partout le désordre...
Dans le Nord de la Bretagne, il y aura un peu plus à souffrir. Là le mal sera proportionné : il y restera une lisière où chacun aura permission de marcher sur ses terres...
Sainte Anne protégera la région d’Auray, il y aura des punitions pour les rebelles, mais les justes ont la destination d’être protégés...
La région du Mont Saint Michel sera relativement protégée.
La Vendée sera protégée, sauf sur les frontières, au midi...
Mais nombre de Vendéens verseront leur sang, car ils ont conservé leur Foi.
Nantes aura moins à souffrir. Le diocèse sera comparativement protégé, mais nulle grâce pour les impies et les mauvaises familles !...
D’autres malheurs à partir de Nantes vers le Sud.
Pontchâteau sera épargné à cause du Père de Montfort...
La Fraudais, le jardin de Marie sera protégé... ».
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1881-06-09 :
La Vierge Marie, apparue à Pontmain le 17 janvier 1881, manifestation reconnue par l’Eglise, révéla dix ans plus tard à Marie-Julie Jahenny, qu’elle s’y manifesterait de nouveau pour annoncer les guerres de la France :
« Je reviendrai à Pontmain comme la première fois pour annoncer les guerres de la France. L’invasion de armées Russo-Arabes viendra jusque là pour fondre sur la Bretagne. Je les arrêterai encore par un signe qui se manifestera dans les airs. Ce signe jettera à terre miraculeusement ces armées internationales à la Croix des 3 provinces, face à une petite armée d’une soixantaine d’hommes ».
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1882-02-07 :
« Mes enfants, dit Monseigneur Fournier, je ne vois que le ciel pour vous défendre de ces ennemis étrangers, ambitieux et avares des trésors de cette terre qui est votre patrie.
Mes enfants, je ne vois pas le cœur d'un père pour repousser ces cœurs cruels qui fonceront, de différents côtés, pour puiser, si c'est possible, jusque dans mon diocèse qui est de Bretagne. Je supplierai le ciel d'épargner bien des maux, bien des victimes ; mais le cœur de ces hommes sera insensible, dur et inflexible en leurs idées ».
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1882-09-28 :
« La seconde et violente crise commencera et ira jusqu’à 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocèse qui commence la Bretagne. La plus forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul élan, ils parviendront jusqu’aux alentours de la Grande Ville. (Paris) Ils n’y pénétreront qu’à la moitié de la crise ».
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1882-10-05 :
« Je lis : Pendant que mon royaume sera en liberté, j'entendrai des cris entre Nantes et la Rochelle. Les pauvres troupes françaises, soldats du temps présent, y seront amenées pour achever l'épuisement de cette garde pour la France... Environ au milieu de ces deux terres, l'autorité si coupable, gouvernante d'aujourd'hui, fera massacrer les troupes, et la France sera sans soutien. Pieds et mains liés pendant vingt-quatre heures, puis une torture leur est réservée qui aura vite terminé leur vie.
Mon peuple, ils jetteront ces chrétiens au fond des torrents ; leur sang inondera les pavés. Le crime horrible descendra jusque sur le milieu de la Bretagne. A deux reprises, le châtiment est réservé à cette terre nantaise.
Je lis encore :
Je laisse Satan couronner son règne. Sa bannière viendra jusque sur le bord de la paroisse, du côté du midi. Elle entrera dans la paroisse qui sera peu de temps exposée, mais dans un deuil d'appréhension douloureuse. Mon peuple ne sera pas atteint de la mortalité.
Un autre fléau tombera sur le cœur de la Bretagne. Mes amis n'en souffriront aucune douleur ».
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1882-11-16 :
« En entrant dans la vision, je contemple et j'adore le divin Crucifix, entouré de ses flammes.
La première Flamme dit :
"L'âme du chrétien est une graine que je sème dans le champ de l'Eglise, pour qu'elle fructifie en grâces et en vertus... Si le Seigneur augmente les tribulations sur les âmes, c'est que son heure divine est proche d'éclater sur la terre ; c'est la preuve de sa bonté divine...
La même Flamme dit encore :
Je déclare qu'une cruelle désolation fera gémir tout le peuple du centre du diocèse.
- Pas fort, Flamme.
- Amis de Dieu, il s'agit d'une multitude de coupables, capables de toutes sortes de mal, pervertis et dans de si mauvais sentiments que Dieu ne pourra jamais les ramener.
Voici :
A Nantes, près de la place de la Maison de la Justice, se lèvera une assemblée de cinq cents hommes, tout ce qu'on peut compter d'affamés de sang et de victimes.
Il y aura des scènes terribles : contre le clergé d'abord, contre les lois de la religion catholique, contre le Sauveur mortel de cette terre. Ils seront appuyés par l'autorité humaine, si mauvaise, de ce temps.
Dans leur rage inassouvie et indomptable, ils marcheront, d'une façon remarquable, dans la voie des douleurs grandissantes. Dans cette rue, près du Palais de Justice, aux heures profondes de la nuit, il y aura beaucoup de victimes dans ce cœur du diocèse.
Le plus frémissant, c'est qu'il sortira des feuilles du milieu de ce groupe : elles n'auront pour but que de couvrir de honte et d'iniquités ceux qui attendent, avec persévérance, la réalisation des promesses de Dieu. Aux environs de cette époque, on aura, de jour en jour plus pénible, le sentiment d'avoir à ressentir cette coupable injustice.
La Flamme dit que ce sera vers le temps où une loi périlleuse donnera la liberté de laisser sortir les scélérats maintenus jusque là en captivité. Rien ne s'y opposera au Parlement, car l'homme seul sera déjà dans l'étendue de son triomphe immense qui couronnera son désert, en renversant la terre et le monde ».
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Sans date :
La Bretagne devrait moins souffrir de cette pluie et de cette tempête.
Notre Seigneur nous annonce :
« Je laisserai la moitié de la moisson. Mais sachez que Je saurais bien trouver, dans cette Bretagne, ceux qui M’outragent et blasphèment Mon Nom... Heureux ceux qui ne seront pas éloignés de la Croix !
Mes enfants, dans ce déluge de frayeur, vous porterez Ma Croix, fût-elle toute petite ou grande ! Vous direz la prière suivante "».
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Poirot- Deuxième Demeure : Je m'applique à l'oraison.
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Date d'inscription : 29/04/2010
Marie-Julie Jahenny - EVENEMENTS ANNONCES POUR LA FRANCE
EVENEMENTS ANNONCES POUR LA FRANCE
- Extases de 1873 à 1879 -
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 12-12-2011)
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1874-01-01 :
Le texte qui suit est formellement attribué à Marie-Julie ; mais la copie d’origine ne porte ni date, ni signature. Nous ne pouvons donc en garantir la parfaite authenticité :
« Les hommes n’ont pas écouté les paroles prononcées par ma très Sainte Mère à Fatima. Malheur à ceux qui n’écoutent pas maintenant mes paroles. Les hommes n’ont pas compris le langage de la guerre. Beaucoup d’hommes vivent dans le péché, le plus souvent dans le péché d’impureté. Malheur à ceux qui séduisent les innocents. Vous ne devez pas en vouloir à ceux qui ne veulent pas croire, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Mais malheur à ceux qui se permettent de juger avant de s’être informés.
Les apparitions fréquentes de ma bonne Mère sont l’œuvre de ma miséricorde. Je l’envoie, par la force du Saint-Esprit, pour prévenir les hommes, et pour sauver ce qui est à sauver... Je dois laisser arriver cela, sur le monde entier, afin que soient sauvées beaucoup d’âmes qui, sans les cela, seraient perdues. Pour toutes les croix, pour toutes les souffrances et pour tout ce qui surviendra encore de plus terrible, vous ne devez pas maudire, mais remercier mon Père du ciel.
C’est l’œuvre de mon amour. Vous ne le connaîtrez que plus tard... Je dois venir dans ma Justice, parce que les hommes n’ont pas reconnu le temps de ma grâce. La mesure du péché est comble, mais à mes fidèles, il n’arrivera aucun mal. Je viendrai sur le monde pécheur, dans un terrible roulement de tonnerre, par une froide nuit d’hiver. Un vent du sud très chaud précédera cette tempête, et de lourds grêlons fouilleront la terre. D’une masse de nuages rouge-feu des éclairs dévastateurs zigzagueront, enflammant et réduisant tout en cendre. L’air se remplira de gaz toxiques et de vapeurs mortelles qui, en cyclones, arracheront les œuvres de l’audace, de la folie et de la volonté de puissance de la " Cité de la Nuit. " Le genre humain devra reconnaître qu’au-dessus de lui se trouve une volonté qui fera tomber, comme une maison de cartes, les plans audacieux de son ambition. L’Ange destructeur anéantira pour toujours la vie de ceux qui auront dévasté mon royaume. Vous, âmes qui profanez le nom du Seigneur, gardez-vous de vous moquer de moi ; gardez-vous du péché contre l’Esprit. Lorsque l’Ange de la mort fauchera la mauvaise herbe, avec le glaive tranchant de ma Justice, alors l’enfer se jettera avec colère et tumulte sur les justes et, avant tout, sur les âmes consacrées, pour essayer de les anéantir par une terreur effroyable. Je veux vous protéger, mes fidèles, et vous donner les signes qui vous indiqueront le commencement du Jugement ; Quand, par une froide nuit d’hiver, le tonnerre grondera à faire trembler les montagnes, alors fermez très vite portes et fenêtres... Vos yeux ne doivent pas profaner le terrible événement par des regards curieux... Réunissez-vous en prières devant le Crucifix. Placez-vous sous la protection de ma très Sainte Mère... Ne laissez aucun doute s’installer en vous, au sujet de votre salut : plus vous serez confiants, plus sera inviolable le rempart dont je veux vous entourer. Brûlez des cierges bénits, récitez le chapelet. Persévérez trois jours et deux nuits. La nuit suivante, la terreur se calmera. Après l’horreur de cette longue obscurité, avec le jour naissant, le soleil paraîtra dans toute sa lumière et sa chaleur. Ce sera une grande dévastation. Moi, votre Dieu, j’aurai Fout purifié. Les survivants devront remercier la Sainte Trinité de leur protection. Magnifique sera mon royaume de paix et mon nom sera invoqué et loué, du lever au coucher du soleil. Priez, priez, priez, convertissez-vous et faites pénitence. Ne dormez pas comme mes disciples au Jardin des Oliviers, car je suis très proche. La colère du Père envers le genre humain est très grande. Si la prière du Rosaire et l’offrande du Précieux Sang n’étaient si agréables au Père, il y aurait déjà sur terre, une misère sans nom. Mais ma Mère intercède auprès du Père, de Moi-même et du Saint-Esprit. C’est pour cela que Dieu se laisse attendrir. Remerciez donc ma Mère de ce que le genre humain vive encore. Honorez-la avec un respect d’enfant - je vous en ai donné l’exemple - car elle est Mère de Miséricorde.
N’oubliez jamais de renouveler continuellement l’offrande du Précieux Sang. Ma Mère me supplie inlassablement et, avec elle, beaucoup d’âmes pénitentes et expiatrices. Je ne peux rien lui refuser. C’est donc grâce à ma Mère, et à cause de mes élus, que ces jours seront raccourcis. Soyez consolés, vous tous qui honorez mon Précieux Sang, il ne vous arrivera rien. J’inspirerai à mon Représentant de mettre continuellement en honneur le sacrifice de mon Précieux Sang et la vénération de ma Mère... Quelques-uns de mes prêtres voudraient-ils être plus pape que le Pape ? Ils me crucifieront, car ils retarderont l’œuvre de ma Mère. Priez beaucoup pour les préférés de mon Cœur, les prêtres. Un temps viendra où mes prêtres aussi comprendront tout cela... Quand vous verrez l’Aurore Boréale apparaître, sachez que ce sera le signe d’une guerre prochaine. Quand la lumière sera de nouveau visible, alors ma Mère se tiendra debout, devant le soleil couchant, pour prévenir les bons que le temps est là. Les méchants verront un animal effrayant, et crieront, épouvantés et désespérés ; mais il sera trop tard. Je sauverai beaucoup, beaucoup d’âmes (pour l’autre vie). On est déçu parce que beaucoup de ce que j’avais ordonné d’annoncer pour inviter les hommes à se convertir n’est pas encore arrivé. On croira pouvoir outrager des âmes élues parce que, à cause d’elles, j’aurai retardé un peu le terrible événement. Si, dans ma bonté et à cause des expiations qui me sont offertes, je retarde le désastre, je ne le supprime pas. Cela ne dépend pas du jugement des hommes ignorants. Dois-je encore, moi-même, rendre des comptes à ceux qui ne veulent rien savoir ? Alors que le monde se croira en sûreté, je viendrai comme un voleur dans la nuit. Comme l’éclair, je suis là. C’est encore le temps de mon immense Miséricorde, pour donner le temps de se repentir. Soyez prêts, en état de grâce, alors vous serez en sécurité sous ma protection et celle de ma Mère ».
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1874-03-19 :
« Au début de sa vie mystique, Marie-Julie a eu comme directeur spirituel un saint prêtre, l’Abbé David, qui notait régulièrement les extases de sa dirigée ».
Notre Dame avait précisé :
- Priez, priez, priez encore. Je sauverai la France, mais il faut qu’elle pleure. Les larmes ne sont pas amères car la foi n’est pas morte, elle n’est qu’endormie et Je la réveillerai. Mais priez, mes enfants ! »
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1874-03-25 :
« Marie-Julie disait :
- La Vierge m’a beaucoup parlé de la France. Elle me demandait trois prières pour la France à réciter tous les jours : un Magnificat, un Ave Maris Stella et un Stabat Mater. Il faudra s’agenouiller, la supplier et regarder vers le Ciel. La Sainte Vierge Marie la délivrera par un Roi qui la sauvera et la gouvernera longtemps. Elle dit qu’on ne lui demande pas assez ce Roi et qu’on ne la supplie pas assez de nous l’accorder. Elle le nomme Henri V et nous recommande de prier aussi beaucoup Saint-Michel.
De son côté, le Sacré-Cœur s’est plaint, à plusieurs reprises, que les Français ne lui demandaient pas le Roi. Je crois bon de préciser - ainsi que je vous l’ai déjà dit - que ce Roi ne sera certainement pas un des Orléans puisqu’ils ne descendent pas par les mâles de la race des Rois de France qui seule est voulue par Dieu qui l’a instituée. Il a été précisé que ce grand Monarque descendrait du Roi et de la Reine martyrs ».
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1874-04-20 :
« Marie-Julie disait :
- La Sainte Vierge m’a dit qu’il fallait beaucoup prier pour détourner les malheurs qui doivent fondre sur la France. Je bouleverserai, dit la Sainte Vierge, je renverserai la bande des méchants et des impies. Je ferai triompher l’homme juste et les âmes ferventes. Je confondrai le mauvais que j’amènerai aux pieds du juste, de l’homme qui doit gouverner la terre de France. Le moment sera terrible mais je vous protègerai.
- Il lui faudra hélas ! expier deux siècles d’athéisme politique et social, deux siècles de régime non chrétien. La démocratie est en effet le régime luciférien par excellence ».
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1874-05-23 :
« La Reine du Ciel annonçait :
- Je bouleverserai, Je renverserai la bande des méchants et des impies. Je ferai triompher l’homme juste et les âmes ferventes. Oui, Je confondrai les méchants que J’amènerai aux pieds du juste, de l’homme qui doit gouverner la terre de France. Le moment sera terrible, mais Je vous protègerai ».
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1874-07-17 :
« Le Sacré-Cœur à son tour, déclare :
- C’est ma fille aînée, cette France qui m’a abandonné. Je la tiens néanmoins sur mon Cœur. Je la presserai davantage et ce sera le jour où elle verra la Colombe du Ciel qui viendra apporter cette bannière avec le Sacré-Cœur.
Et Il annonce que le Roi sauvera le Pape et ajoute :
- Heureux ceux qui aiment mon Cœur, ils seront en sûreté ! »
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1874-08-25, en la fête de Saint Louis :
« Je veux que la France abjure ses erreurs... Marie Immaculée lui donnera un baptême nouveau, puis, après, je lui rétablirai son trône. Je lui apporterai cette belle palme de pureté au milieu de ce trône. Mon frère en Jésus-Christ qui la gouvernera conservera l’innocence et la pureté et Jésus et Marie le béniront, béniront sa Charité et sa Foi héroïque ».
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1874-09-29 :
« Notre Dame annonce :
- Au ciel, Saint Michel va célébrer avec le Sacré-Cœur le triomphe du Saint-Père et celui de l’Eglise. Il va terrasser les ennemis de la France ».
« Notre Dame :
- Vous ne serez sauvés que par la prière et par les pénitences. Priez le Sacré-Cœur de mon Fils ».
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1874-11-26 :
« Le Sacré-Cœur annonce à Marie-Julie :
- J’ai voulu prévenir mon peuple, pour qu’il ne soit pas surpris. Attendez dans la confiance et l’espérance... Douter, ce serait M’offenser... Sois sûre, France, les jours et les heures sont marquées dans Mon Cœur ; encore un peu de temps et J’accomplirai Mes promesses ! »
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1875-06-16 :
« Le jour de la pose de la première pierre de la basilique du Sacré-Cœur à Montmartre, Notre Dame vient dire à Marie-Julie :
- La France est sauvé ; le Sacré-Cœur a signé sa délivrance, la France est sauvé ».
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1875-10-01 :
France, écoute ma parole :
« - Tu auras beaucoup à souffrir pendant quatorze jours de combats terribles. Pendant ces quatorze jours de guerre, il y aura des châtiments. Ah ! si mon peuple savait comme il est à la veille d’un si beau triomphe, il ne pourrait contenir sa joie ! Il prierait chaque jour et, par ces prières, recevrait des consolations : ce serait, même avant la victoire, une marque de reconnaissance. France, en ces jours de combat, tu ne t’attristeras pas ; tu ne perdras pas courage. Quand l’étranger viendra fondre sur la France, c’est par une prière révélée qu’il sera refoulé et dispersé. Il viendra fondre sur la France comme un lion furieux, avec toute sa rage, avec toutes les armes de l’impiété, pour faire plier le peuple français et l’immoler. Ma main, invisible, le foudroiera. France, sans ma Mère, tu ne te serais jamais relevée de tes forfaits. Si le triomphe t’est accordé si vite, c’est grâce à Marie, à ses supplications, à ses larmes. France, tu auras un combat terrible pour le Roi Henri qui doit apporter la paix et la concorde dans sa patrie. Tu auras moins de peine pour défendre la sainte Église. Rappelle-toi que la délivrance du Saint-Père sera terrible cependant, mais moins terrible que la lutte pour le Roi. La France aura besoin d’un bras puissant le premier jour, la bataille sera livrée par le ciel, le second jour, par les hommes ».
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1875-10-02 :
« Au Nord, ils iront jusqu’aux limites de la Vendée et en Normandie.
La Bretagne ne sera pas envahie, mais ne sera pas exempte de tout châtiment, surtout au Nord déchristianisé, ils se livreront au pillage et à la vengeance.
Ils viendront de l’Est et de la Méditerranée, car il est annoncé en même temps beaucoup de troubles en Italie et en Espagne causés par des forces venues des régions orientales. Dans le Midi, "Marseille, Valence ! quelle boucherie".
Les régions du Nord, du Levant, du Midi, Paris seront très atteintes.
Le territoire national sera partagé en deux.
Il y aura des prétendants pour la restauration d’un pouvoir dans une des parties.
C’est à la moitié de ces mois terribles qu’apparaîtra le Roi Sauveur.
Mais il y aura un long combat de reconquête de plusieurs mois pour chasser les envahisseurs. Il n’établira pas son trône à Paris qui aura été détruit.
Quand l’étranger viendra fondre sur la France, ce sera par une prière révélée qu’il sera dispersé et refoulé (très certainement la prière "Auguste Reine des Cieux" du père Cestas)... Ma Main invisible le foudroiera et le renversera ».
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1875-11-05 :
« Depuis que la France est fille aînée de l’Église, elle a versé beaucoup de sang et fait beaucoup de victimes. Le jour de sa délivrance sera le plus fatal, le plus terrible, le plus triste, le plus douloureux qui ait passé. Oui, beaucoup d’âmes seront moissonnées par l’effroi et la terreur. France, tu auras de grandes afflictions, au milieu de la foudre du ciel qui grondera et des éléments qui se déchaîneront ».
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1876-02-12 :
« France, tu ne rougirais pas d’avoir été si lâche, toi si opulente ? Aujourd’hui, dans ta misère, tu viens mendier le pain de chaque jour. Sans moi, tu serais pour toujours ensevelie dans un tombeau, et tu ne porterais plus ton nom de France.
Remarque bien que, dans ta dernière épreuve, quand le peuple sera plus acharné que jamais, tu verras commencer tous les châtiments guerre, boucherie, horribles fléaux... Après ce sera l’appel au Roi ».
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1876-02-18 :
« Où es-tu, pauvre France, brebis perdue, égarée ? Pourtant, c’est toi qui dois espérer la première, puisque c’est toi qui dois délivrer l’Église...France, France, tu n’as encore rien vu, rien éprouvé. Si, aujourd’hui, ton cœur manque de courage, que seras-tu dans ce grand jour ? Reste là... jusqu’à l’heure où tu verras les châtiments du ciel écraser les tiens qui se seront rendus coupables. Après cette dévastation, la fleur (de lys) apportera la paix la plus douce. Tu n’auras pas à souffrir longtemps, mais ces jours si courts te seront pénibles, douloureux, épineux, déchirants. Place-toi, pauvre France, droit au milieu de la Croix ».
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1877-02-11 :
« Marie-Julie a reçu de grandes lumières sur Charlemagne, le Grand et pieux Empereur. Elle annonce que l’Eglise va régulariser sa canonisation et le faire monter sur les autels. En effet, le pieux empereur bien que canonisé à Aix, n’a pas eu un procès régulier d’information canonique. La canonisation régulière doit avoir lieu.
Marie-Julie a reçu le texte d’une prière au grand Empereur. Elle annonce qu’il sera spécialement destiné à protéger notre France :
- Saint Charlemagne, qui avez fait de la France l’empire et le Royaume de Jésus-Christ, vous qui avez donné la foi à la France, vous serez notre grand défenseur, notre grand protecteur, vous qui avez consacré la France à Jésus dans les jours de périls et de lutte, ayez pitié d’elle.
Saint Charlemagne, qui étiez un grand guerrier de la foi, faites que le Roi des Rois, le Dieu des armées et de la France, ne nous oublie pas. Bientôt de grands miracles feront voir que vous êtes bien l’ami de Dieu. Aujourd’hui la foi est ébranlée, elle se flétrit, relevez la foi de la patrie française, ayez pitié de la France !
Saint Charlemagne, qui avez rétabli la foi, qui avez aidé les Saints Pontifes, ayez pitié du Souverain Pontife et de la France et des pauvres Français qui vous demandent la paix. O Saint Charlemagne, ne soyez pas sourd à notre voix. Soyez comme Saint-Martin de Tours, venez à notre aide et délivrez le Saint-Père. Il souffre et il gémit. Vous aimez le Saint-Père et tous les Papes, ayez pitié. Venez à son secours, ayez pitié de la France !
Saint Charlemagne, si puissant en France, qui surpassiez tous les grands Chefs qui n’étaient pas chrétiens, qui avez détruit l’idolâtrie, qui avez toujours été conquérant, qui marchiez au devant de ces grands Chefs et les confondiez car le Dieu des Armées était avec vous, ayez pitié de la France !
Saint Charlemagne, qui faisiez partout fleurir la foi, qui portiez votre drapeau au milieu d’un peuple qui ne le connaissait pas, vous marchiez, la croix sur la poitrine au milieu de tous ces Chefs et des grands qui ne connaissaient pas Jésus-Christ. Aujourd’hui la France est menacée de grands malheurs et sans le secours du Sacré-Cœur, nous tomberions comme des victimes pour le bourreau, ayez pitié de nous !
Saint-Martin et vous, vous serez les grands défenseurs de la France avec les autres saints Rois et saintes Reines de France. Du haut du Ciel, priez pour notre délivrance.
Saint Charlemagne, vous qui avez parcouru tant de provinces, faisant bâtir des églises et des chapelles pour faire adorer le Dieu de clémence, vous qui ne craigniez rien pour faire le Signe de Croix sur votre front, faisant ainsi connaître que vous étiez chrétien et aimé de Dieu, ce qui était la cause que les grands se soumettaient à vous. Quelques uns cependant faisaient résistance et vous invoquiez Dieu et vous les gagniez par votre foi.
O Saint Charlemagne, la France à grand besoin de renouveler sa foi, elle a besoin, de ce drapeau blanc, la France est bien noire. C’est une fumée bien épaisse, montrez-lui la croix que vous portiez sur votre cœur et le courage que vous aviez autrefois, vous exposant pour elle, à perdre la vie.
O Saint Charlemagne, vous aviez sur vos lèvres, ce mot "J’ai la foi gravée dans mon cœur". Ayez pitié de la France, de l’Église et des pasteurs de l’Église et des malheureux qui gémissent. Après avoir fait connaître ainsi la religion, vous avez élevé l’étendard de la foi, vous le faisiez porter par vos Officiers sur le champ de bataille. A ceux qui murmuraient, vous disiez : "Mes enfants, ne murmurez pas, j’ai la foi". Faisons-la fleurir, cette foi. Elevons des sanctuaires.
Un jour, la France ne vous oubliera pas ; elle dira que c’est vous qui avez fait fleurir cette foi. Je suis chrétien et il le faisait répéter à ses soldats. Son cœur était bon.
Saint Charlemagne a toujours été vainqueur et il combattra pour nous. Il sera vénéré un jour par tous. La France vous appelle, elle a besoin du bel arbre de la foi et de s’écrier aussi : "Je suis chrétienne" ! Elle a succombé, elle est bien délaissée de la part des hommes. Ayez pitié d’elle !
Saint Charlemagne remerciait Dieu de sa victoire. Il a implanté la foi dans la France avec bien des peines, des veilles et des jeûnes. Ayez pitié du peuple français. Nous vous appelons, nous vous vénérons avec Saint-Martin de Tours, mais bientôt la France vaincra !
Saint Charlemagne, ayez pitié de ceux qui ont perdu la foi. Nous espérons en vous. Faites germer cette belle pureté ! ».
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1877-04-27 :
« Les cris de désespoir et d’alarme monteront jusqu’au Ciel... Les mois du Sacré-Cœur (juin) et de Mon Sang (juillet), ce sera le signal des châtiments, guerre civile... " " Quand le gouvernement verra ces bouleversements, il fera comme l’oiseau.., il s’envolera et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans sa révolution... C’est à ce moment qu’il faudra fuir Paris ».
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1877-05-25 :
Saint Michel annonce :
« La France est à la veille de son malheur et de son bonheur : le malheur pour les pêcheurs, le bonheur pour les justes ».
« Avant que la Paix refleurisse sur la terre, il faut qu’une grande pénitence fléchisse la colère divine. C’est le Seigneur Lui-même qui exerce Sa Justice. Il n’appartient qu’à Lui de châtier, mais en châtiant, Il purifiera la terre et son peuple. Il n’épargnera rien. Il cultivera la terre pour y semer une nouvelle semence ».
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1877-05-27 :
« Les cris de désespoir et d’alarme monteront jusqu’au Ciel. Les mois du Sacré-Cœur (juin) et de Mon Sang (juillet), ce sera le signal des châtiments, guerre civile ».
« Quand le gouvernement verra ces bouleversements, il fera comme l’oiseau, il s’envolera et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans sa révolution. C’est à ce moment qu’il faudra fuir Paris ».
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1877-09-18 :
« Au pied de la montagne, sur un rocher, je vois comme une prison solitaire et, là, est enfermé un vieillard à cheveux blancs dont les traits sont resplendissants. Il porte une croix sur la poitrine. Le Bon Maître s’avance, le vieillard se prosterne et Jésus l'embrasse.
Mon fils bien-aimé, dit-il, martyr de la Sainte Eglise, prisonnier du Sacré-Cœur, repose-toi sur Moi et J’adoucirai ta peine. L’auguste vieillard verse des larmes de bonheur.
Mon fils bien-aimé, reprend le Sauveur, sèche tes larmes. Depuis longtemps tu portes la croix, mais bientôt, je te rendrai tous tes droits ravis et ta liberté ! Rien ne rompra le lien qui nous unit. L’enfer a voulu te faire plier mais, je t’ai soutenu et tu ne te courberas pas.
La Sainte Vierge passe au cou de l’auguste vieillard une belle petite croix.
Toute ma peine, dit-elle, c’est de voir l’Eglise submergée sous l’iniquité dans tous les pays. Elle souffre de plus en plus. Quand viendra la délivrance, entre toutes les nations, je distingue la France. Je l’aime et c’est de la France que sa vie dépend ».
« La Mère Immaculée vient près de la France coupable et lui dit par trois fois : " France, donne-moi ton cœur. " Celle-ci demeure sourde.
" Te rappelles-tu, France ingrate et couverte de plaies hideuses, te rappelles-tu que tu avais promis à mon divin Fils de lui donner ton cœur ? "
La France demeure muette, les yeux levés fièrement vers Marie. Tout en elle respire l’orgueil. O France coupable et perfide, n’es-tu pas contente d’avoir déjà fait tant de victimes ? Le sang versé par ta faute a coulé par ruisseaux. Si ni savais quels châtiments mon Fils te réserve encore, avec quelle ardeur tu reviendrais à lui. La France ne dit rien mais découvre lentement son cœur. Mon Fils, s’écrie Marie, que son cœur est noir ! Ce n’est qu’une source de vices, d’iniquités et d’incrédulité !
France, suis moi.
- Je vous suivrai Marie, à condition que mes compagnons me suivent moi-même.
- Non. France, tu me suivras seule.
La France refuse. La Sainte Vierge lui rappelle ses beaux jours passés, le lys de Saint Louis. En vain... Elle lui retrace le courage de Louis XVI...
Rien ne touche la France. La bonne Mère prend, sous son manteau, une chaîne dont elle entoure, sous les aisselles, la poitrine de la France. Suis-moi, dit-elle, suis-moi maintenant. Malheur à toi si tu résistes ; tu périras tout entière. La France, obligée à contrecœur de marcher, est conduite comme une criminelle devant son juge. De temps en temps, Saint Michel lui présente sa bannière du Sacré-Cœur, mais elle refuse.
- Arrêtons-nous, dit la France, c’est marcher trop longtemps. Je n’en puis plus.
- France, tu marcheras, quand tes pieds seraient en sang ! Ils ont marché dans l’ingratitude. Tu es corrompue de la tête aux pieds. Le ciel est ta seule espérance.
- J’attends et j’espère encore sur la terre.
- Quel est ton espoir sur la terre ?
- Marie, en France, il y a encore de la foi.
- Qui l’a conservée ? Ce n’est pas toi.
- J’ai répandu la foi dans le monde.
- Comment l’as-tu répandue ? Si tu avais pu monter jusqu’à mon Fils, tu y serais montée pour y éteindre ses lumières ».
« La France tombe sans force devant Jésus. Marie la soutient et la présente comme la fille aînée de l’Église. Jésus la reçoit comme une misérable.
- Je ne la reconnaîtrai, dit-il, pour la fille aînée de mon Église que lorsqu’elle aura vidé son cœur de ses iniquités.
La France n’est vêtue que de quelques haillons.
- Pourquoi, ô France, reprend-t-il, t’es-tu laissée entraîner à l’incrédulité ? Pourquoi rougis-tu d’appeler le ciel à ton secours ? Tu savais que tu violais mes lois.
- Les hommes m’ont trompée.
- Pourquoi t’es-tu laissée abuser ?
- Ils m’ont bandé les yeux ; je les ai suivis.
- Pourquoi ô France coupable, as-tu méprisé ma sainte religion ? Pourquoi t’es-tu révoltée contre elle ?
- Seigneur, je ne me suis point préoccupée de religion. Je t’ai laissé à l’écart.
- Comment ne pouvais-tu redouter mes châtiments ?
- Mon intelligence s’est évanouie. Je n’en ai plus. Je n’en ai plus.
- Tu as toute mon intelligence ; mais tu l’as fait servir au service du mal. "
La France baisse les yeux. Le Seigneur ordonne de la placer dans un tombeau, sur un monceau d’épines ».
« "Le triomphe des vivants sera beau, dit Saint Michel, quand la sainte Église, aujourd’hui entourée d’épines, se verra entourée d’une couronne de lys d’or. Les défenseurs de la foi seront couverts par la protection du ciel.
Le divin Jésus ajoute : Je peuplerai la France de fleurs nouvelles quand aura passé le déluge de mes justes châtiments.
Il bénit la France et lui dit : J’enverrai Saint Michel, prince de la victoire, apporter le lys au chevet de ta tête. Tu verras comme, de jour en jour, je me réconcilierai avec toi, selon qu’il fleurira peu à peu... Je viendrai te visiter, puis te relever moi-même. " La France s’émeut et se rassure. Les épines, coupées pour être placées dans son tombeau, sont remises dans le champ. Le lieu du tombeau reste sans épines.
J’entends Saint Michel : " Comme je me réjouis, s’écrie-t-il, voilà le moment de combattre contre l’enfer dont la rage est plus rouge que les charbons ardents. Mais ne craignez rien, car vous êtes les combattants de la bonne cause. Redoublez de prières pour les pécheurs et les aveugles. Les sifflets des monstres de l’enfer, bientôt, vont se faire entendre d’un bout à l’autre de la France. Le trouble civil... " Marie-Julie, de plus en plus effrayée, s’arrête en murmurant : " Je ne comprends pas. " La Mère Immaculée fond en sanglots plus amers, inconsolable à la pensée de tant d’âmes perdues, dont le rachat avait coûté si cher. " Ma Mère chérie, lui dit son Fils, il faut mettre fin au mal. Si je retardais encore, toutes les âmes seraient perdues. Il est nécessaire que ma sainte Église triomphe. Que de fois n’avez-vous pas averti la France, votre fille bien-aimée ! Pourquoi a-t-elle toujours étouffé votre voix ? »
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1877-09-29 :
« Marie-Julie annonce :
- La Croix de Saint Michel s’illumine comme un flambeau ».
« Saint Michel dit au grand diable :
"La puissance de Dieu est au dessus de toi. Il t'a précipité dans l'abîme pour punir ton orgueil. Tu as été enfermé dans l'enfer pour faire souffrir les damnés. Retire-toi maudit".
Le monstre a pris la fuite avec les siens. Il emmène, en fuyant, près de la moitié de la foule réunie devant le trône. Mais beaucoup de ces malheureux s'écrient :
"Pourquoi nous emmener ? Nous ne sommes pas tout entiers à toi. Nous avons offensé Dieu, il est vrai, mais nous ne sommes pas à jamais perdus".
Et Saint Michel :
"Voilà, dit-il, le moment où la paix va refleurir. Mais, auparavant, il faut qu'une grande pénitence fléchisse la colère divine. C'est le Seigneur qui va lui-même exercer sa Justice. Il n'appartient qu'à lui de châtier mais, en châtiant, il purifiera la terre et son peuple.
Il n'épargnera rien. Il détruira la terre pour y semer une nouvelle semence. C'est toi, chère France, France si chère à Jésus et à sa Mère Immaculée, C'est toi qui prendras les armes pour te défendre toi-même contre le mal et contre l'enfer. C'est toi que le Sacré-Cœur appelle... N'hésite pas à te donner à Dieu" ».
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1877-10-24 :
« Ma victime, dit Jésus, tu vois que l’heure fatale va gronder sur la France et au-delà. Le bien et le mal vont se combattre. Le mal, pendant un moment, sera vainqueur mais, bientôt, cédera devant le bien. L’Univers sera presque renversé, car mon peuple est coupable. J’ai promis que les châtiments du ciel éteindraient la race corrompue. Le moment va venir. Je fermerai la bouche des impies. Je les surprendrai par ma Justice. Je ne puis plus supporter le mal. Je suis comme dans une piscine où l’eau me gagne ; je suis submergé.
- C’est vrai, Seigneur. Si, depuis Pontmain et l’apparition de Notre-Dame d’Espérance, nos cris n’étaient arrivés à vous, vous nous auriez déjà foudroyés.
- Je me laisserai encore toucher, mais seulement après la destruction que j’ai promise. Ceux qu’au milieu des cendres j’aurai épargnés seront la gloire de la France.
- Oh ! Seigneur, je vois votre Justice sur la France.
- Ce sera un moment terrible pour les ingrats et les méchants. Ce moment sera sans frayeur pour les justes.
Je vais être foulé aux pieds : ma prison d’amour sera violée, mais je n’y serai plus. Mes ministres m’auront soustrait et emporté, caché sur leur cœur. Mon temple sera souillé et plein d’horreur, mais ce moment sera court. Mon sanctuaire vous sera fermé; mais je serai avec vous, et ces jours seront rapides. La France coupable verra le sang couler ; ma douleur sera amère, mais je resterai insensible. La terre sera abreuvée du sang des martyrs et de celui des impies : le premier criera miséricorde, le second vengeance ».
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1877-10-27 :
La bienheureuse Marguerite-Marie est à genoux, au pied de la bannière du Sacré-Cœur, tenue par Saint Michel. Le Seigneur montre la plaie de son Cœur et dit :
« - Mes enfants, mon divin Cœur a le privilège de toutes les pies. Là est le triomphe. Mais, avant de vous donner ce triomphe, je veux vous éprouver. Je vous enverrai bien des maux : vous verrez ma Justice tomber sur la terre ; vous verrez aussi paraître, au firmament, d’éclatants signes précurseurs.
J’avais promis à la bienheureuse victime de mon Sacré-Cœur (Marguerite-Marie) de donner le triomphe à la France, par mon Cœur Sacré, mais à la condition que tous enfants de la France se seraient soumis. S’ils demeuraient lents et ingrats, les châtiments seraient plus terribles.
J’avais promis que, peut-être, j’aurais attendu deux cents ans, peut-être plus. Si mon peuple avait été docile, j’aurais donné plus tôt le triomphe... Il n’a pas été docile : j’ai attendu. Mais le triomphe aura lieu. Ma victime, retiens bien cela ».
Il dit encore :
« - La victime de mon Sacré-Cœur n’a pu transmettre toutes mes révélations. Voilà pourquoi je veux aujourd’hui prévenir mon peuple, afin qu’il soit bien préparé quand l’heure de ma Justice arrivera.
J’avais promis que le triomphe de la France viendrait après de grands châtiments : cette révélation n’a pas été transmise.
J’avais annoncé, à plusieurs âmes saintes, qu’avant le triomphe de la France, il y aurait une grande révolte entre tous mes enfants. On tentera de profaner tout ce qu’il y a de respectable sur la terre : ce sera en vain.
France coupable, ne vois-tu pas le tombeau qui s’ouvre pour entasser les victimes du crime ? Tu ne vois pas l’heure fatale qui grandit ? Ce sera l’heure du démon. Il va me jeter à la face le souffle empoisonné de sa colère.
Mes enfants, je vous préviens : Satan va satisfaire sa rage qui est d’autant plus grande que les siens seront vaincus. Je veux humilier mon peuple, il n’a pas écouté mes paroles. Ensuite je donnerai la victoire complète.
Voici le moment où le lys blanc et la bannière blanche vont être encore foulés aux pieds. Ce ne sera que pour un temps. Cette bannière blanche sera plantée sur la France, et ses ennemis seront forcés de vivre sous sa dépendance ».
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1877-11-29 :
« J’ai prié, dit la Sainte Vierge ; j’ai pleuré ; j’ai souffert... Je suis descendue sur la terre pour les avertir. J’ai promis le salut si l’on faisait pénitence... J’ai annoncé au clergé de fatales perditions ; j’ai fait entendre pour lui mes menaces, s’il faiblissait dans l’orage et la tempête. J’ai pleuré sur la France. J’y ai tracé le chemin de la Croix. J’ai ouvert des fontaines pour laver les malades. J’ai consolé mon peuple, lui promettant de le sauvegarder. Tout cela n’a pas touché le coupable. Il est resté dans le crime ; son châtiment est proche... »
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1877-12-06 :
« Pourquoi, ma bonne Mère, une telle puanteur ?
- Ma fille, ils sont si aveuglés qu'il est désormais impossible de les faire croire. Ils sont arrivés au dernier point de l'incrédulité. Ils ne craignent plus ni Dieu, ni le ciel. Cette puanteur, c'est l'haleine de l'enfer et de cette société maudite.
- Pourquoi, très Sainte Vierge, ces trois flammes et cette fumée infecte ?
- Mes enfants, c'est le commencement des funestes malheurs. Elles font pressentir la suite de ce qui doit arriver.
- Ah ! bonne Mère, je vois des flammes rouges avec une rage féroce.
- Mes enfants, une fois que cette société impure et impie aura toute sa liberté, le désordre s'étendra partout, surtout au cœur de cette ville ingrate (Paris). Depuis longtemps je préviens...
Les murs de cette ville ingrate seront ébranlés : ils enseveliront, sous leurs décombres, les cadavres impurs ; ils en engloutiront un grand nombre »
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1877-12-26 :
« Mes enfants, dit Marie, la France complote avec ces infâmes perturbateurs qui ont ruiné son cœur noble et généreux. Avec eux, elle s'insurge contre mon divin Fils, contre les lois les plus saintes, contre la religion et à en élever une autre que celle que Dieu a faite.
En bien de peu de temps, vous verrez des signatures contre ce qu'il y a de plus saint, de plus inviolable.
Eh bien ! Mes enfants, ce sont ces signatures qui vont forcer mon Fils à parler. Les hommes vont se remuer, en se frappant les uns les autres, par le soulèvement des peuples. Les quatre coins de la France vont se frapper ensemble, comme les vagues qui s'entrechoquent dans la mer ».
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1878-01-09 :
« Je rencontre Notre-Seigneur. Son Cœur est découvert : il en sort des ruisseaux de sang... Sa tunique en est imbibée. Ses plaies semblent fraîches... Il est pâle. Je vous adore, mon Sauveur bien-aimé.
- Approche, ma victime.
- Que vos souffrances sont grandes.
- Mes enfants, ce sont les derniers opprobres que je souffre. Vous qui avez combattu pour moi, et qui avez été fidèles à mes commandements, réjouissez-vous. Le divin Sauveur découvre davantage son Cœur blessé, et j’y vois inscrite la sentence de malheur : C’est toi, France coupable, à qui je veux faire entendre un dernier appel de tendresse, à toi qui es là, dans ce navire. N’entends-tu donc pas l’orage qui gronde et qui s’approche de toi ? Viens sur le bord de la rivière, donne-moi seulement le plus petit battement de ton cœur. Viens, reprend le Seigneur, approche-toi de celui qui veut te sauver. La France reste muette: elle n’a ni voix, ni soupir, ni souffle. Rien.
Le divin Jésus lève les yeux vers son Père. Je ne sais ce qu’il lui dit, mais ses paroles doivent être terribles car je ressens, dans mon âme, une douleur plus que mortelle. Mon Fils bien-aimé, voilà ma volonté : que tout pécheur soit exterminé !
- Courage, mes enfants, dit Jésus, l’ennemi cruel a rassemblé les siens. O France, que ce temps te coûtera cher ! Le nuage rouge arrive sur la terre. Il en sort des hommes munis de leurs crimes d’ardeur de vengeance contre le ciel, du désir de donner la mort aux chrétiens fidèles et de détruire le temple du Seigneur. Ce sont là, dit Jésus, mes plus perfides ennemis et aussi les vôtres, mes enfants. Pour la cinquième fois, le Sauveur appelle la France et lui commande de sortir du vaisseau. Elle obéit. Le Seigneur lui tend une boule dans laquelle elle lit et il lit en même temps. Voici ce qui est écrit :
J’ai porté le coup de mort à mes enfants. J’ai tout donné à mes ennemis. Il ne me reste rien que la douleur, l’aveuglement et les larmes.
La France lit encore et voit, au fond de la boule, sa sentence pour ainsi dire de mort. Elle verse des torrents de larmes.
Faut-il donc, o divin Cœur, s’écrie-t-elle, que la France entière périsse, excepté la Bretagne et la Vendée (en partie) dont la terre a été baignée du sang des martyrs !
- Ce n’est pas tout, dit le Seigneur.
- Faut-il donc que je n’aie plus que ce court délai ! A peine mon nom même existera-t-il ! Il sera prononcé encore à l’étranger mais, dans la patrie même, ce nom sera mort.
- Regarde plus haut, reprend le Seigneur.
- Je serai seule à combattre, dit la France. Tous me refuseront du secours. Eh bien ! je me jette dans le désespoir. Frappez ; ôtez-moi mon nom ; faites-moi périr.
France coupable, dit le divin Jésus courroucé, tu as porté le beau nom de France. Après ta mort, il te restera. Tu as livré toi-même mon temple et mes autels à des mains sacrilèges. Tu t’en es fait gloire ! Tu t’es proposée de tremper tes bras, jusqu’au coude, dans le sang des victimes de mes autels. Tu crois que tes amis te sauveront ? Tu abrèges ainsi le terme de ma Justice. Penses-tu te sauver d’un sort si terrible ?
Mes enfants, reprend le Sauveur, je m’adresse à vous. Nul homme ne peut sauver cette pauvre France noyée dans le crime.
Sans moi, il n’y aurait pour elle aucun espoir. Je ferai un miracle pour les justes, mais il n’y aura qu’une partie du royaume de sauvée. L’autre restera gémissante de longs jours.
J’ai peuplé la terre par ma mort ; je la dépeuplerai par ma Justice. Après ma Justice, je repeuplerai la terre d’un peuple nouveau ».
« O France, tu espères toujours en ces nouveaux gouverneurs ?
Eh bien, tu abrèges ainsi le terme de ma Justice...
France, depuis que je suis venu sur la terre, il ne s'est jamais passé, et il ne se passera jamais un coup si fatal que celui qui t'est réservé !
Malheur à vous qui tenez vos conseils dans cette chambre de l'enfer !
Et toi, ville ingrate, murs souillés de crimes, pourquoi ne dites-vous pas aux bons : fuyez, fuyez, il est temps encore ? Et vous, pavés des rues, grains de sable qui formez les pavés, pourquoi ne vous levez-vous pas et ne prévenez-vous pas qu'il faudra prendre la fuite quand le tonnerre grondera sur un peuple en péril ?
Mes enfants, tout est au comble, c'est le moment où ma vengeance va éclater. Mettez votre main droite sur la plaie de mon Cœur et vous serez sauvés ».
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1878-01-22 :
« Le Seigneur dit à sa sainte Mère :
"La France est obstinée jusqu'à l'enfer.
- Mon Fils, qui pourra la sauver ?
- il n'y a que moi, et par un éclatant prodige. Il ne faut plus compter sur les hommes. Ma Mère Immaculée, les années qui se sont passées de 90 à 93 ont été moins pénibles, malgré la méchanceté des hommes, que ces jours qui se suivront de près".
Le Seigneur dit à la France :
"Je ne t'abandonne pas entièrement. Je te donne la chaîne de mon amour. Elle peut te soutenir encore et t'aider à sortir de ton tombeau.
La France pousse des cris et ses amis arrivent à son secours".
Le Seigneur dit :
"Mes enfants, voilà un gouvernement impie qui vient au secours de la France coupable. Vous tous, ses amis qui êtes couverts de vêtements rouges, craignez que ma justice ne détruise vos vies, au moment de l'accomplissement de vos projets.
Leur projet, mes enfants, est de chercher les moyens de détruire la France entière. Leurs esprits se sont révoltés, avec une rage qui déborde, contre mon temple et mes serviteurs. Il fallait que le règne des impies vînt quelque temps avant ma Justice. Eh bien ! C'est accompli ! Il ne reste plus rien à faire, qu'à frapper" ».
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1878-02-22 :
La Sainte Vierge Marie annonce à Marie-Julie : « Ma chère Bretagne, j'ai pour toi, dans mon cœur, trois beaux secrets qui sont au bord de mes lèvres. Je n'attends qu'une parole de la Sainte Trinité pour te les confier dans leur puissance et leur douceur. Ils seront pour vous, enfants bretons, un véritable baume. Quand vous les aurez reçus, vos cœurs s'épanouiront de joie et vous ne craindrez plus rien. Ni les bruits, ni les assauts, ni les voix impies ne retentiront dans les contrées de la Bretagne bénie.
L’Archange Raphaël dit : « Bretagne, à toi la verdure, à toi la vie ! France, à toi la mort et les malédictions du Ciel ! Si tu ne lui donnes pas ton souffle, tu es maudite de Dieu, tu peux dire : je suis morte avec mes enfants et engloutie dans l'abîme pour ne plus en sortir ».
Marie-Julie pose une question à l'Archange : « Saint Archange, pourquoi reste-t-il une dernière feuille verte sur la branche morte qu'est la France ? »
Le Saint Archange lui répond : « Parce que le Seigneur laisse encore un espoir à la France. C'est qu'elle a encore un reste de vie... Tout le Ciel s'occupe d'elle ; tous les saints et toute la cour céleste prient pour elle. Mais, plus on prie, plus elle semble maudire Dieu ».
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1878-09-18 :
« De tous les compagnons de la France, trois seulement se détachent et viennent près de sa tombe. Ils la contemplent et s'écrient :
Est-ce toi que le Seigneur a conduite ici pour que tu retrouves ta chasteté ?
Elle ne fait que sangloter mais parvient à leur répondre :
Je vous ai séduits et vous m'avez séduite. Si vous voulez que le Seigneur vous reçoive, laissez-vous toucher par mes larmes. Je les offre pour vous et pour moi.
Ils se prosternent tous les trois devant la bannière de l'Archange et, levant leurs mains vers le divin Jésus, ils disent :
"Nous vous promettons de revenir à vous. Nous avons été les ennemis acharnés du bien, mais notre conversion est entière. Quand viendra le moment de prendre les armes, nous combattrons avec ardeur pour la Sainte Eglise et nous lui donnerons notre sang" ».
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1878-09-29 :
« L’heure de Dieu n’est pas loin, dit Saint Michel, cette terreur profonde fera ressortir le triomphe de la nouvelle France. Mais ce triomphe ne peut venir avant que la Justice ne se soit appesantie sur cette terre gâtée.
N’attendez rien de celui qui règne comme roi et qui, aujourd’hui, est assis dans le même fauteuil que les autres - fauteuil qui ne porte aucune marque d’un pouvoir spécial et plus grand - (1).
Sa pensée est accordée à la pensée des autres, sa parole à leur parole, sa volonté à leur volonté. Sa puissance et ses pouvoirs ne sont pas plus que ceux de celui qui est le dernier. N’attendez rien de ce côté : il ne mérite pas plus de respect que tout le reste.
Dans la tempête, sa voix criera aussi fort que les autres, contre tout ce que Dieu a établi... Il n’y a pas de fermeté en lui : ils l’ont mené ; ils l’ont dirigé. Voilà le portrait de cet homme : c’est un poteau de boue. Plaignons-le, mais n’y pensons guère.
- Je n’y pense point, bon Saint Michel.
- Pour ramener le Roi choisi et destiné par Dieu, il faut que tous ceux qui sont à présent soient balayés ».
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1879-01-01 :
Notre Seigneur annonce : « La terre des arabes triomphera des pauvres armées françaises ».
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- Extases de 1873 à 1879 -
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 12-12-2011)
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1874-01-01 :
Le texte qui suit est formellement attribué à Marie-Julie ; mais la copie d’origine ne porte ni date, ni signature. Nous ne pouvons donc en garantir la parfaite authenticité :
« Les hommes n’ont pas écouté les paroles prononcées par ma très Sainte Mère à Fatima. Malheur à ceux qui n’écoutent pas maintenant mes paroles. Les hommes n’ont pas compris le langage de la guerre. Beaucoup d’hommes vivent dans le péché, le plus souvent dans le péché d’impureté. Malheur à ceux qui séduisent les innocents. Vous ne devez pas en vouloir à ceux qui ne veulent pas croire, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Mais malheur à ceux qui se permettent de juger avant de s’être informés.
Les apparitions fréquentes de ma bonne Mère sont l’œuvre de ma miséricorde. Je l’envoie, par la force du Saint-Esprit, pour prévenir les hommes, et pour sauver ce qui est à sauver... Je dois laisser arriver cela, sur le monde entier, afin que soient sauvées beaucoup d’âmes qui, sans les cela, seraient perdues. Pour toutes les croix, pour toutes les souffrances et pour tout ce qui surviendra encore de plus terrible, vous ne devez pas maudire, mais remercier mon Père du ciel.
C’est l’œuvre de mon amour. Vous ne le connaîtrez que plus tard... Je dois venir dans ma Justice, parce que les hommes n’ont pas reconnu le temps de ma grâce. La mesure du péché est comble, mais à mes fidèles, il n’arrivera aucun mal. Je viendrai sur le monde pécheur, dans un terrible roulement de tonnerre, par une froide nuit d’hiver. Un vent du sud très chaud précédera cette tempête, et de lourds grêlons fouilleront la terre. D’une masse de nuages rouge-feu des éclairs dévastateurs zigzagueront, enflammant et réduisant tout en cendre. L’air se remplira de gaz toxiques et de vapeurs mortelles qui, en cyclones, arracheront les œuvres de l’audace, de la folie et de la volonté de puissance de la " Cité de la Nuit. " Le genre humain devra reconnaître qu’au-dessus de lui se trouve une volonté qui fera tomber, comme une maison de cartes, les plans audacieux de son ambition. L’Ange destructeur anéantira pour toujours la vie de ceux qui auront dévasté mon royaume. Vous, âmes qui profanez le nom du Seigneur, gardez-vous de vous moquer de moi ; gardez-vous du péché contre l’Esprit. Lorsque l’Ange de la mort fauchera la mauvaise herbe, avec le glaive tranchant de ma Justice, alors l’enfer se jettera avec colère et tumulte sur les justes et, avant tout, sur les âmes consacrées, pour essayer de les anéantir par une terreur effroyable. Je veux vous protéger, mes fidèles, et vous donner les signes qui vous indiqueront le commencement du Jugement ; Quand, par une froide nuit d’hiver, le tonnerre grondera à faire trembler les montagnes, alors fermez très vite portes et fenêtres... Vos yeux ne doivent pas profaner le terrible événement par des regards curieux... Réunissez-vous en prières devant le Crucifix. Placez-vous sous la protection de ma très Sainte Mère... Ne laissez aucun doute s’installer en vous, au sujet de votre salut : plus vous serez confiants, plus sera inviolable le rempart dont je veux vous entourer. Brûlez des cierges bénits, récitez le chapelet. Persévérez trois jours et deux nuits. La nuit suivante, la terreur se calmera. Après l’horreur de cette longue obscurité, avec le jour naissant, le soleil paraîtra dans toute sa lumière et sa chaleur. Ce sera une grande dévastation. Moi, votre Dieu, j’aurai Fout purifié. Les survivants devront remercier la Sainte Trinité de leur protection. Magnifique sera mon royaume de paix et mon nom sera invoqué et loué, du lever au coucher du soleil. Priez, priez, priez, convertissez-vous et faites pénitence. Ne dormez pas comme mes disciples au Jardin des Oliviers, car je suis très proche. La colère du Père envers le genre humain est très grande. Si la prière du Rosaire et l’offrande du Précieux Sang n’étaient si agréables au Père, il y aurait déjà sur terre, une misère sans nom. Mais ma Mère intercède auprès du Père, de Moi-même et du Saint-Esprit. C’est pour cela que Dieu se laisse attendrir. Remerciez donc ma Mère de ce que le genre humain vive encore. Honorez-la avec un respect d’enfant - je vous en ai donné l’exemple - car elle est Mère de Miséricorde.
N’oubliez jamais de renouveler continuellement l’offrande du Précieux Sang. Ma Mère me supplie inlassablement et, avec elle, beaucoup d’âmes pénitentes et expiatrices. Je ne peux rien lui refuser. C’est donc grâce à ma Mère, et à cause de mes élus, que ces jours seront raccourcis. Soyez consolés, vous tous qui honorez mon Précieux Sang, il ne vous arrivera rien. J’inspirerai à mon Représentant de mettre continuellement en honneur le sacrifice de mon Précieux Sang et la vénération de ma Mère... Quelques-uns de mes prêtres voudraient-ils être plus pape que le Pape ? Ils me crucifieront, car ils retarderont l’œuvre de ma Mère. Priez beaucoup pour les préférés de mon Cœur, les prêtres. Un temps viendra où mes prêtres aussi comprendront tout cela... Quand vous verrez l’Aurore Boréale apparaître, sachez que ce sera le signe d’une guerre prochaine. Quand la lumière sera de nouveau visible, alors ma Mère se tiendra debout, devant le soleil couchant, pour prévenir les bons que le temps est là. Les méchants verront un animal effrayant, et crieront, épouvantés et désespérés ; mais il sera trop tard. Je sauverai beaucoup, beaucoup d’âmes (pour l’autre vie). On est déçu parce que beaucoup de ce que j’avais ordonné d’annoncer pour inviter les hommes à se convertir n’est pas encore arrivé. On croira pouvoir outrager des âmes élues parce que, à cause d’elles, j’aurai retardé un peu le terrible événement. Si, dans ma bonté et à cause des expiations qui me sont offertes, je retarde le désastre, je ne le supprime pas. Cela ne dépend pas du jugement des hommes ignorants. Dois-je encore, moi-même, rendre des comptes à ceux qui ne veulent rien savoir ? Alors que le monde se croira en sûreté, je viendrai comme un voleur dans la nuit. Comme l’éclair, je suis là. C’est encore le temps de mon immense Miséricorde, pour donner le temps de se repentir. Soyez prêts, en état de grâce, alors vous serez en sécurité sous ma protection et celle de ma Mère ».
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1874-03-19 :
« Au début de sa vie mystique, Marie-Julie a eu comme directeur spirituel un saint prêtre, l’Abbé David, qui notait régulièrement les extases de sa dirigée ».
Notre Dame avait précisé :
- Priez, priez, priez encore. Je sauverai la France, mais il faut qu’elle pleure. Les larmes ne sont pas amères car la foi n’est pas morte, elle n’est qu’endormie et Je la réveillerai. Mais priez, mes enfants ! »
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1874-03-25 :
« Marie-Julie disait :
- La Vierge m’a beaucoup parlé de la France. Elle me demandait trois prières pour la France à réciter tous les jours : un Magnificat, un Ave Maris Stella et un Stabat Mater. Il faudra s’agenouiller, la supplier et regarder vers le Ciel. La Sainte Vierge Marie la délivrera par un Roi qui la sauvera et la gouvernera longtemps. Elle dit qu’on ne lui demande pas assez ce Roi et qu’on ne la supplie pas assez de nous l’accorder. Elle le nomme Henri V et nous recommande de prier aussi beaucoup Saint-Michel.
De son côté, le Sacré-Cœur s’est plaint, à plusieurs reprises, que les Français ne lui demandaient pas le Roi. Je crois bon de préciser - ainsi que je vous l’ai déjà dit - que ce Roi ne sera certainement pas un des Orléans puisqu’ils ne descendent pas par les mâles de la race des Rois de France qui seule est voulue par Dieu qui l’a instituée. Il a été précisé que ce grand Monarque descendrait du Roi et de la Reine martyrs ».
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1874-04-20 :
« Marie-Julie disait :
- La Sainte Vierge m’a dit qu’il fallait beaucoup prier pour détourner les malheurs qui doivent fondre sur la France. Je bouleverserai, dit la Sainte Vierge, je renverserai la bande des méchants et des impies. Je ferai triompher l’homme juste et les âmes ferventes. Je confondrai le mauvais que j’amènerai aux pieds du juste, de l’homme qui doit gouverner la terre de France. Le moment sera terrible mais je vous protègerai.
- Il lui faudra hélas ! expier deux siècles d’athéisme politique et social, deux siècles de régime non chrétien. La démocratie est en effet le régime luciférien par excellence ».
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1874-05-23 :
« La Reine du Ciel annonçait :
- Je bouleverserai, Je renverserai la bande des méchants et des impies. Je ferai triompher l’homme juste et les âmes ferventes. Oui, Je confondrai les méchants que J’amènerai aux pieds du juste, de l’homme qui doit gouverner la terre de France. Le moment sera terrible, mais Je vous protègerai ».
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1874-07-17 :
« Le Sacré-Cœur à son tour, déclare :
- C’est ma fille aînée, cette France qui m’a abandonné. Je la tiens néanmoins sur mon Cœur. Je la presserai davantage et ce sera le jour où elle verra la Colombe du Ciel qui viendra apporter cette bannière avec le Sacré-Cœur.
Et Il annonce que le Roi sauvera le Pape et ajoute :
- Heureux ceux qui aiment mon Cœur, ils seront en sûreté ! »
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1874-08-25, en la fête de Saint Louis :
« Je veux que la France abjure ses erreurs... Marie Immaculée lui donnera un baptême nouveau, puis, après, je lui rétablirai son trône. Je lui apporterai cette belle palme de pureté au milieu de ce trône. Mon frère en Jésus-Christ qui la gouvernera conservera l’innocence et la pureté et Jésus et Marie le béniront, béniront sa Charité et sa Foi héroïque ».
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1874-09-29 :
« Notre Dame annonce :
- Au ciel, Saint Michel va célébrer avec le Sacré-Cœur le triomphe du Saint-Père et celui de l’Eglise. Il va terrasser les ennemis de la France ».
« Notre Dame :
- Vous ne serez sauvés que par la prière et par les pénitences. Priez le Sacré-Cœur de mon Fils ».
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1874-11-26 :
« Le Sacré-Cœur annonce à Marie-Julie :
- J’ai voulu prévenir mon peuple, pour qu’il ne soit pas surpris. Attendez dans la confiance et l’espérance... Douter, ce serait M’offenser... Sois sûre, France, les jours et les heures sont marquées dans Mon Cœur ; encore un peu de temps et J’accomplirai Mes promesses ! »
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1875-06-16 :
« Le jour de la pose de la première pierre de la basilique du Sacré-Cœur à Montmartre, Notre Dame vient dire à Marie-Julie :
- La France est sauvé ; le Sacré-Cœur a signé sa délivrance, la France est sauvé ».
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1875-10-01 :
France, écoute ma parole :
« - Tu auras beaucoup à souffrir pendant quatorze jours de combats terribles. Pendant ces quatorze jours de guerre, il y aura des châtiments. Ah ! si mon peuple savait comme il est à la veille d’un si beau triomphe, il ne pourrait contenir sa joie ! Il prierait chaque jour et, par ces prières, recevrait des consolations : ce serait, même avant la victoire, une marque de reconnaissance. France, en ces jours de combat, tu ne t’attristeras pas ; tu ne perdras pas courage. Quand l’étranger viendra fondre sur la France, c’est par une prière révélée qu’il sera refoulé et dispersé. Il viendra fondre sur la France comme un lion furieux, avec toute sa rage, avec toutes les armes de l’impiété, pour faire plier le peuple français et l’immoler. Ma main, invisible, le foudroiera. France, sans ma Mère, tu ne te serais jamais relevée de tes forfaits. Si le triomphe t’est accordé si vite, c’est grâce à Marie, à ses supplications, à ses larmes. France, tu auras un combat terrible pour le Roi Henri qui doit apporter la paix et la concorde dans sa patrie. Tu auras moins de peine pour défendre la sainte Église. Rappelle-toi que la délivrance du Saint-Père sera terrible cependant, mais moins terrible que la lutte pour le Roi. La France aura besoin d’un bras puissant le premier jour, la bataille sera livrée par le ciel, le second jour, par les hommes ».
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1875-10-02 :
« Au Nord, ils iront jusqu’aux limites de la Vendée et en Normandie.
La Bretagne ne sera pas envahie, mais ne sera pas exempte de tout châtiment, surtout au Nord déchristianisé, ils se livreront au pillage et à la vengeance.
Ils viendront de l’Est et de la Méditerranée, car il est annoncé en même temps beaucoup de troubles en Italie et en Espagne causés par des forces venues des régions orientales. Dans le Midi, "Marseille, Valence ! quelle boucherie".
Les régions du Nord, du Levant, du Midi, Paris seront très atteintes.
Le territoire national sera partagé en deux.
Il y aura des prétendants pour la restauration d’un pouvoir dans une des parties.
C’est à la moitié de ces mois terribles qu’apparaîtra le Roi Sauveur.
Mais il y aura un long combat de reconquête de plusieurs mois pour chasser les envahisseurs. Il n’établira pas son trône à Paris qui aura été détruit.
Quand l’étranger viendra fondre sur la France, ce sera par une prière révélée qu’il sera dispersé et refoulé (très certainement la prière "Auguste Reine des Cieux" du père Cestas)... Ma Main invisible le foudroiera et le renversera ».
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1875-11-05 :
« Depuis que la France est fille aînée de l’Église, elle a versé beaucoup de sang et fait beaucoup de victimes. Le jour de sa délivrance sera le plus fatal, le plus terrible, le plus triste, le plus douloureux qui ait passé. Oui, beaucoup d’âmes seront moissonnées par l’effroi et la terreur. France, tu auras de grandes afflictions, au milieu de la foudre du ciel qui grondera et des éléments qui se déchaîneront ».
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1876-02-12 :
« France, tu ne rougirais pas d’avoir été si lâche, toi si opulente ? Aujourd’hui, dans ta misère, tu viens mendier le pain de chaque jour. Sans moi, tu serais pour toujours ensevelie dans un tombeau, et tu ne porterais plus ton nom de France.
Remarque bien que, dans ta dernière épreuve, quand le peuple sera plus acharné que jamais, tu verras commencer tous les châtiments guerre, boucherie, horribles fléaux... Après ce sera l’appel au Roi ».
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1876-02-18 :
« Où es-tu, pauvre France, brebis perdue, égarée ? Pourtant, c’est toi qui dois espérer la première, puisque c’est toi qui dois délivrer l’Église...France, France, tu n’as encore rien vu, rien éprouvé. Si, aujourd’hui, ton cœur manque de courage, que seras-tu dans ce grand jour ? Reste là... jusqu’à l’heure où tu verras les châtiments du ciel écraser les tiens qui se seront rendus coupables. Après cette dévastation, la fleur (de lys) apportera la paix la plus douce. Tu n’auras pas à souffrir longtemps, mais ces jours si courts te seront pénibles, douloureux, épineux, déchirants. Place-toi, pauvre France, droit au milieu de la Croix ».
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1877-02-11 :
« Marie-Julie a reçu de grandes lumières sur Charlemagne, le Grand et pieux Empereur. Elle annonce que l’Eglise va régulariser sa canonisation et le faire monter sur les autels. En effet, le pieux empereur bien que canonisé à Aix, n’a pas eu un procès régulier d’information canonique. La canonisation régulière doit avoir lieu.
Marie-Julie a reçu le texte d’une prière au grand Empereur. Elle annonce qu’il sera spécialement destiné à protéger notre France :
- Saint Charlemagne, qui avez fait de la France l’empire et le Royaume de Jésus-Christ, vous qui avez donné la foi à la France, vous serez notre grand défenseur, notre grand protecteur, vous qui avez consacré la France à Jésus dans les jours de périls et de lutte, ayez pitié d’elle.
Saint Charlemagne, qui étiez un grand guerrier de la foi, faites que le Roi des Rois, le Dieu des armées et de la France, ne nous oublie pas. Bientôt de grands miracles feront voir que vous êtes bien l’ami de Dieu. Aujourd’hui la foi est ébranlée, elle se flétrit, relevez la foi de la patrie française, ayez pitié de la France !
Saint Charlemagne, qui avez rétabli la foi, qui avez aidé les Saints Pontifes, ayez pitié du Souverain Pontife et de la France et des pauvres Français qui vous demandent la paix. O Saint Charlemagne, ne soyez pas sourd à notre voix. Soyez comme Saint-Martin de Tours, venez à notre aide et délivrez le Saint-Père. Il souffre et il gémit. Vous aimez le Saint-Père et tous les Papes, ayez pitié. Venez à son secours, ayez pitié de la France !
Saint Charlemagne, si puissant en France, qui surpassiez tous les grands Chefs qui n’étaient pas chrétiens, qui avez détruit l’idolâtrie, qui avez toujours été conquérant, qui marchiez au devant de ces grands Chefs et les confondiez car le Dieu des Armées était avec vous, ayez pitié de la France !
Saint Charlemagne, qui faisiez partout fleurir la foi, qui portiez votre drapeau au milieu d’un peuple qui ne le connaissait pas, vous marchiez, la croix sur la poitrine au milieu de tous ces Chefs et des grands qui ne connaissaient pas Jésus-Christ. Aujourd’hui la France est menacée de grands malheurs et sans le secours du Sacré-Cœur, nous tomberions comme des victimes pour le bourreau, ayez pitié de nous !
Saint-Martin et vous, vous serez les grands défenseurs de la France avec les autres saints Rois et saintes Reines de France. Du haut du Ciel, priez pour notre délivrance.
Saint Charlemagne, vous qui avez parcouru tant de provinces, faisant bâtir des églises et des chapelles pour faire adorer le Dieu de clémence, vous qui ne craigniez rien pour faire le Signe de Croix sur votre front, faisant ainsi connaître que vous étiez chrétien et aimé de Dieu, ce qui était la cause que les grands se soumettaient à vous. Quelques uns cependant faisaient résistance et vous invoquiez Dieu et vous les gagniez par votre foi.
O Saint Charlemagne, la France à grand besoin de renouveler sa foi, elle a besoin, de ce drapeau blanc, la France est bien noire. C’est une fumée bien épaisse, montrez-lui la croix que vous portiez sur votre cœur et le courage que vous aviez autrefois, vous exposant pour elle, à perdre la vie.
O Saint Charlemagne, vous aviez sur vos lèvres, ce mot "J’ai la foi gravée dans mon cœur". Ayez pitié de la France, de l’Église et des pasteurs de l’Église et des malheureux qui gémissent. Après avoir fait connaître ainsi la religion, vous avez élevé l’étendard de la foi, vous le faisiez porter par vos Officiers sur le champ de bataille. A ceux qui murmuraient, vous disiez : "Mes enfants, ne murmurez pas, j’ai la foi". Faisons-la fleurir, cette foi. Elevons des sanctuaires.
Un jour, la France ne vous oubliera pas ; elle dira que c’est vous qui avez fait fleurir cette foi. Je suis chrétien et il le faisait répéter à ses soldats. Son cœur était bon.
Saint Charlemagne a toujours été vainqueur et il combattra pour nous. Il sera vénéré un jour par tous. La France vous appelle, elle a besoin du bel arbre de la foi et de s’écrier aussi : "Je suis chrétienne" ! Elle a succombé, elle est bien délaissée de la part des hommes. Ayez pitié d’elle !
Saint Charlemagne remerciait Dieu de sa victoire. Il a implanté la foi dans la France avec bien des peines, des veilles et des jeûnes. Ayez pitié du peuple français. Nous vous appelons, nous vous vénérons avec Saint-Martin de Tours, mais bientôt la France vaincra !
Saint Charlemagne, ayez pitié de ceux qui ont perdu la foi. Nous espérons en vous. Faites germer cette belle pureté ! ».
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1877-04-27 :
« Les cris de désespoir et d’alarme monteront jusqu’au Ciel... Les mois du Sacré-Cœur (juin) et de Mon Sang (juillet), ce sera le signal des châtiments, guerre civile... " " Quand le gouvernement verra ces bouleversements, il fera comme l’oiseau.., il s’envolera et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans sa révolution... C’est à ce moment qu’il faudra fuir Paris ».
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1877-05-25 :
Saint Michel annonce :
« La France est à la veille de son malheur et de son bonheur : le malheur pour les pêcheurs, le bonheur pour les justes ».
« Avant que la Paix refleurisse sur la terre, il faut qu’une grande pénitence fléchisse la colère divine. C’est le Seigneur Lui-même qui exerce Sa Justice. Il n’appartient qu’à Lui de châtier, mais en châtiant, Il purifiera la terre et son peuple. Il n’épargnera rien. Il cultivera la terre pour y semer une nouvelle semence ».
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1877-05-27 :
« Les cris de désespoir et d’alarme monteront jusqu’au Ciel. Les mois du Sacré-Cœur (juin) et de Mon Sang (juillet), ce sera le signal des châtiments, guerre civile ».
« Quand le gouvernement verra ces bouleversements, il fera comme l’oiseau, il s’envolera et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans sa révolution. C’est à ce moment qu’il faudra fuir Paris ».
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1877-09-18 :
« Au pied de la montagne, sur un rocher, je vois comme une prison solitaire et, là, est enfermé un vieillard à cheveux blancs dont les traits sont resplendissants. Il porte une croix sur la poitrine. Le Bon Maître s’avance, le vieillard se prosterne et Jésus l'embrasse.
Mon fils bien-aimé, dit-il, martyr de la Sainte Eglise, prisonnier du Sacré-Cœur, repose-toi sur Moi et J’adoucirai ta peine. L’auguste vieillard verse des larmes de bonheur.
Mon fils bien-aimé, reprend le Sauveur, sèche tes larmes. Depuis longtemps tu portes la croix, mais bientôt, je te rendrai tous tes droits ravis et ta liberté ! Rien ne rompra le lien qui nous unit. L’enfer a voulu te faire plier mais, je t’ai soutenu et tu ne te courberas pas.
La Sainte Vierge passe au cou de l’auguste vieillard une belle petite croix.
Toute ma peine, dit-elle, c’est de voir l’Eglise submergée sous l’iniquité dans tous les pays. Elle souffre de plus en plus. Quand viendra la délivrance, entre toutes les nations, je distingue la France. Je l’aime et c’est de la France que sa vie dépend ».
« La Mère Immaculée vient près de la France coupable et lui dit par trois fois : " France, donne-moi ton cœur. " Celle-ci demeure sourde.
" Te rappelles-tu, France ingrate et couverte de plaies hideuses, te rappelles-tu que tu avais promis à mon divin Fils de lui donner ton cœur ? "
La France demeure muette, les yeux levés fièrement vers Marie. Tout en elle respire l’orgueil. O France coupable et perfide, n’es-tu pas contente d’avoir déjà fait tant de victimes ? Le sang versé par ta faute a coulé par ruisseaux. Si ni savais quels châtiments mon Fils te réserve encore, avec quelle ardeur tu reviendrais à lui. La France ne dit rien mais découvre lentement son cœur. Mon Fils, s’écrie Marie, que son cœur est noir ! Ce n’est qu’une source de vices, d’iniquités et d’incrédulité !
France, suis moi.
- Je vous suivrai Marie, à condition que mes compagnons me suivent moi-même.
- Non. France, tu me suivras seule.
La France refuse. La Sainte Vierge lui rappelle ses beaux jours passés, le lys de Saint Louis. En vain... Elle lui retrace le courage de Louis XVI...
Rien ne touche la France. La bonne Mère prend, sous son manteau, une chaîne dont elle entoure, sous les aisselles, la poitrine de la France. Suis-moi, dit-elle, suis-moi maintenant. Malheur à toi si tu résistes ; tu périras tout entière. La France, obligée à contrecœur de marcher, est conduite comme une criminelle devant son juge. De temps en temps, Saint Michel lui présente sa bannière du Sacré-Cœur, mais elle refuse.
- Arrêtons-nous, dit la France, c’est marcher trop longtemps. Je n’en puis plus.
- France, tu marcheras, quand tes pieds seraient en sang ! Ils ont marché dans l’ingratitude. Tu es corrompue de la tête aux pieds. Le ciel est ta seule espérance.
- J’attends et j’espère encore sur la terre.
- Quel est ton espoir sur la terre ?
- Marie, en France, il y a encore de la foi.
- Qui l’a conservée ? Ce n’est pas toi.
- J’ai répandu la foi dans le monde.
- Comment l’as-tu répandue ? Si tu avais pu monter jusqu’à mon Fils, tu y serais montée pour y éteindre ses lumières ».
« La France tombe sans force devant Jésus. Marie la soutient et la présente comme la fille aînée de l’Église. Jésus la reçoit comme une misérable.
- Je ne la reconnaîtrai, dit-il, pour la fille aînée de mon Église que lorsqu’elle aura vidé son cœur de ses iniquités.
La France n’est vêtue que de quelques haillons.
- Pourquoi, ô France, reprend-t-il, t’es-tu laissée entraîner à l’incrédulité ? Pourquoi rougis-tu d’appeler le ciel à ton secours ? Tu savais que tu violais mes lois.
- Les hommes m’ont trompée.
- Pourquoi t’es-tu laissée abuser ?
- Ils m’ont bandé les yeux ; je les ai suivis.
- Pourquoi ô France coupable, as-tu méprisé ma sainte religion ? Pourquoi t’es-tu révoltée contre elle ?
- Seigneur, je ne me suis point préoccupée de religion. Je t’ai laissé à l’écart.
- Comment ne pouvais-tu redouter mes châtiments ?
- Mon intelligence s’est évanouie. Je n’en ai plus. Je n’en ai plus.
- Tu as toute mon intelligence ; mais tu l’as fait servir au service du mal. "
La France baisse les yeux. Le Seigneur ordonne de la placer dans un tombeau, sur un monceau d’épines ».
« "Le triomphe des vivants sera beau, dit Saint Michel, quand la sainte Église, aujourd’hui entourée d’épines, se verra entourée d’une couronne de lys d’or. Les défenseurs de la foi seront couverts par la protection du ciel.
Le divin Jésus ajoute : Je peuplerai la France de fleurs nouvelles quand aura passé le déluge de mes justes châtiments.
Il bénit la France et lui dit : J’enverrai Saint Michel, prince de la victoire, apporter le lys au chevet de ta tête. Tu verras comme, de jour en jour, je me réconcilierai avec toi, selon qu’il fleurira peu à peu... Je viendrai te visiter, puis te relever moi-même. " La France s’émeut et se rassure. Les épines, coupées pour être placées dans son tombeau, sont remises dans le champ. Le lieu du tombeau reste sans épines.
J’entends Saint Michel : " Comme je me réjouis, s’écrie-t-il, voilà le moment de combattre contre l’enfer dont la rage est plus rouge que les charbons ardents. Mais ne craignez rien, car vous êtes les combattants de la bonne cause. Redoublez de prières pour les pécheurs et les aveugles. Les sifflets des monstres de l’enfer, bientôt, vont se faire entendre d’un bout à l’autre de la France. Le trouble civil... " Marie-Julie, de plus en plus effrayée, s’arrête en murmurant : " Je ne comprends pas. " La Mère Immaculée fond en sanglots plus amers, inconsolable à la pensée de tant d’âmes perdues, dont le rachat avait coûté si cher. " Ma Mère chérie, lui dit son Fils, il faut mettre fin au mal. Si je retardais encore, toutes les âmes seraient perdues. Il est nécessaire que ma sainte Église triomphe. Que de fois n’avez-vous pas averti la France, votre fille bien-aimée ! Pourquoi a-t-elle toujours étouffé votre voix ? »
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1877-09-29 :
« Marie-Julie annonce :
- La Croix de Saint Michel s’illumine comme un flambeau ».
« Saint Michel dit au grand diable :
"La puissance de Dieu est au dessus de toi. Il t'a précipité dans l'abîme pour punir ton orgueil. Tu as été enfermé dans l'enfer pour faire souffrir les damnés. Retire-toi maudit".
Le monstre a pris la fuite avec les siens. Il emmène, en fuyant, près de la moitié de la foule réunie devant le trône. Mais beaucoup de ces malheureux s'écrient :
"Pourquoi nous emmener ? Nous ne sommes pas tout entiers à toi. Nous avons offensé Dieu, il est vrai, mais nous ne sommes pas à jamais perdus".
Et Saint Michel :
"Voilà, dit-il, le moment où la paix va refleurir. Mais, auparavant, il faut qu'une grande pénitence fléchisse la colère divine. C'est le Seigneur qui va lui-même exercer sa Justice. Il n'appartient qu'à lui de châtier mais, en châtiant, il purifiera la terre et son peuple.
Il n'épargnera rien. Il détruira la terre pour y semer une nouvelle semence. C'est toi, chère France, France si chère à Jésus et à sa Mère Immaculée, C'est toi qui prendras les armes pour te défendre toi-même contre le mal et contre l'enfer. C'est toi que le Sacré-Cœur appelle... N'hésite pas à te donner à Dieu" ».
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1877-10-24 :
« Ma victime, dit Jésus, tu vois que l’heure fatale va gronder sur la France et au-delà. Le bien et le mal vont se combattre. Le mal, pendant un moment, sera vainqueur mais, bientôt, cédera devant le bien. L’Univers sera presque renversé, car mon peuple est coupable. J’ai promis que les châtiments du ciel éteindraient la race corrompue. Le moment va venir. Je fermerai la bouche des impies. Je les surprendrai par ma Justice. Je ne puis plus supporter le mal. Je suis comme dans une piscine où l’eau me gagne ; je suis submergé.
- C’est vrai, Seigneur. Si, depuis Pontmain et l’apparition de Notre-Dame d’Espérance, nos cris n’étaient arrivés à vous, vous nous auriez déjà foudroyés.
- Je me laisserai encore toucher, mais seulement après la destruction que j’ai promise. Ceux qu’au milieu des cendres j’aurai épargnés seront la gloire de la France.
- Oh ! Seigneur, je vois votre Justice sur la France.
- Ce sera un moment terrible pour les ingrats et les méchants. Ce moment sera sans frayeur pour les justes.
Je vais être foulé aux pieds : ma prison d’amour sera violée, mais je n’y serai plus. Mes ministres m’auront soustrait et emporté, caché sur leur cœur. Mon temple sera souillé et plein d’horreur, mais ce moment sera court. Mon sanctuaire vous sera fermé; mais je serai avec vous, et ces jours seront rapides. La France coupable verra le sang couler ; ma douleur sera amère, mais je resterai insensible. La terre sera abreuvée du sang des martyrs et de celui des impies : le premier criera miséricorde, le second vengeance ».
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1877-10-27 :
La bienheureuse Marguerite-Marie est à genoux, au pied de la bannière du Sacré-Cœur, tenue par Saint Michel. Le Seigneur montre la plaie de son Cœur et dit :
« - Mes enfants, mon divin Cœur a le privilège de toutes les pies. Là est le triomphe. Mais, avant de vous donner ce triomphe, je veux vous éprouver. Je vous enverrai bien des maux : vous verrez ma Justice tomber sur la terre ; vous verrez aussi paraître, au firmament, d’éclatants signes précurseurs.
J’avais promis à la bienheureuse victime de mon Sacré-Cœur (Marguerite-Marie) de donner le triomphe à la France, par mon Cœur Sacré, mais à la condition que tous enfants de la France se seraient soumis. S’ils demeuraient lents et ingrats, les châtiments seraient plus terribles.
J’avais promis que, peut-être, j’aurais attendu deux cents ans, peut-être plus. Si mon peuple avait été docile, j’aurais donné plus tôt le triomphe... Il n’a pas été docile : j’ai attendu. Mais le triomphe aura lieu. Ma victime, retiens bien cela ».
Il dit encore :
« - La victime de mon Sacré-Cœur n’a pu transmettre toutes mes révélations. Voilà pourquoi je veux aujourd’hui prévenir mon peuple, afin qu’il soit bien préparé quand l’heure de ma Justice arrivera.
J’avais promis que le triomphe de la France viendrait après de grands châtiments : cette révélation n’a pas été transmise.
J’avais annoncé, à plusieurs âmes saintes, qu’avant le triomphe de la France, il y aurait une grande révolte entre tous mes enfants. On tentera de profaner tout ce qu’il y a de respectable sur la terre : ce sera en vain.
France coupable, ne vois-tu pas le tombeau qui s’ouvre pour entasser les victimes du crime ? Tu ne vois pas l’heure fatale qui grandit ? Ce sera l’heure du démon. Il va me jeter à la face le souffle empoisonné de sa colère.
Mes enfants, je vous préviens : Satan va satisfaire sa rage qui est d’autant plus grande que les siens seront vaincus. Je veux humilier mon peuple, il n’a pas écouté mes paroles. Ensuite je donnerai la victoire complète.
Voici le moment où le lys blanc et la bannière blanche vont être encore foulés aux pieds. Ce ne sera que pour un temps. Cette bannière blanche sera plantée sur la France, et ses ennemis seront forcés de vivre sous sa dépendance ».
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1877-11-29 :
« J’ai prié, dit la Sainte Vierge ; j’ai pleuré ; j’ai souffert... Je suis descendue sur la terre pour les avertir. J’ai promis le salut si l’on faisait pénitence... J’ai annoncé au clergé de fatales perditions ; j’ai fait entendre pour lui mes menaces, s’il faiblissait dans l’orage et la tempête. J’ai pleuré sur la France. J’y ai tracé le chemin de la Croix. J’ai ouvert des fontaines pour laver les malades. J’ai consolé mon peuple, lui promettant de le sauvegarder. Tout cela n’a pas touché le coupable. Il est resté dans le crime ; son châtiment est proche... »
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1877-12-06 :
« Pourquoi, ma bonne Mère, une telle puanteur ?
- Ma fille, ils sont si aveuglés qu'il est désormais impossible de les faire croire. Ils sont arrivés au dernier point de l'incrédulité. Ils ne craignent plus ni Dieu, ni le ciel. Cette puanteur, c'est l'haleine de l'enfer et de cette société maudite.
- Pourquoi, très Sainte Vierge, ces trois flammes et cette fumée infecte ?
- Mes enfants, c'est le commencement des funestes malheurs. Elles font pressentir la suite de ce qui doit arriver.
- Ah ! bonne Mère, je vois des flammes rouges avec une rage féroce.
- Mes enfants, une fois que cette société impure et impie aura toute sa liberté, le désordre s'étendra partout, surtout au cœur de cette ville ingrate (Paris). Depuis longtemps je préviens...
Les murs de cette ville ingrate seront ébranlés : ils enseveliront, sous leurs décombres, les cadavres impurs ; ils en engloutiront un grand nombre »
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1877-12-26 :
« Mes enfants, dit Marie, la France complote avec ces infâmes perturbateurs qui ont ruiné son cœur noble et généreux. Avec eux, elle s'insurge contre mon divin Fils, contre les lois les plus saintes, contre la religion et à en élever une autre que celle que Dieu a faite.
En bien de peu de temps, vous verrez des signatures contre ce qu'il y a de plus saint, de plus inviolable.
Eh bien ! Mes enfants, ce sont ces signatures qui vont forcer mon Fils à parler. Les hommes vont se remuer, en se frappant les uns les autres, par le soulèvement des peuples. Les quatre coins de la France vont se frapper ensemble, comme les vagues qui s'entrechoquent dans la mer ».
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1878-01-09 :
« Je rencontre Notre-Seigneur. Son Cœur est découvert : il en sort des ruisseaux de sang... Sa tunique en est imbibée. Ses plaies semblent fraîches... Il est pâle. Je vous adore, mon Sauveur bien-aimé.
- Approche, ma victime.
- Que vos souffrances sont grandes.
- Mes enfants, ce sont les derniers opprobres que je souffre. Vous qui avez combattu pour moi, et qui avez été fidèles à mes commandements, réjouissez-vous. Le divin Sauveur découvre davantage son Cœur blessé, et j’y vois inscrite la sentence de malheur : C’est toi, France coupable, à qui je veux faire entendre un dernier appel de tendresse, à toi qui es là, dans ce navire. N’entends-tu donc pas l’orage qui gronde et qui s’approche de toi ? Viens sur le bord de la rivière, donne-moi seulement le plus petit battement de ton cœur. Viens, reprend le Seigneur, approche-toi de celui qui veut te sauver. La France reste muette: elle n’a ni voix, ni soupir, ni souffle. Rien.
Le divin Jésus lève les yeux vers son Père. Je ne sais ce qu’il lui dit, mais ses paroles doivent être terribles car je ressens, dans mon âme, une douleur plus que mortelle. Mon Fils bien-aimé, voilà ma volonté : que tout pécheur soit exterminé !
- Courage, mes enfants, dit Jésus, l’ennemi cruel a rassemblé les siens. O France, que ce temps te coûtera cher ! Le nuage rouge arrive sur la terre. Il en sort des hommes munis de leurs crimes d’ardeur de vengeance contre le ciel, du désir de donner la mort aux chrétiens fidèles et de détruire le temple du Seigneur. Ce sont là, dit Jésus, mes plus perfides ennemis et aussi les vôtres, mes enfants. Pour la cinquième fois, le Sauveur appelle la France et lui commande de sortir du vaisseau. Elle obéit. Le Seigneur lui tend une boule dans laquelle elle lit et il lit en même temps. Voici ce qui est écrit :
J’ai porté le coup de mort à mes enfants. J’ai tout donné à mes ennemis. Il ne me reste rien que la douleur, l’aveuglement et les larmes.
La France lit encore et voit, au fond de la boule, sa sentence pour ainsi dire de mort. Elle verse des torrents de larmes.
Faut-il donc, o divin Cœur, s’écrie-t-elle, que la France entière périsse, excepté la Bretagne et la Vendée (en partie) dont la terre a été baignée du sang des martyrs !
- Ce n’est pas tout, dit le Seigneur.
- Faut-il donc que je n’aie plus que ce court délai ! A peine mon nom même existera-t-il ! Il sera prononcé encore à l’étranger mais, dans la patrie même, ce nom sera mort.
- Regarde plus haut, reprend le Seigneur.
- Je serai seule à combattre, dit la France. Tous me refuseront du secours. Eh bien ! je me jette dans le désespoir. Frappez ; ôtez-moi mon nom ; faites-moi périr.
France coupable, dit le divin Jésus courroucé, tu as porté le beau nom de France. Après ta mort, il te restera. Tu as livré toi-même mon temple et mes autels à des mains sacrilèges. Tu t’en es fait gloire ! Tu t’es proposée de tremper tes bras, jusqu’au coude, dans le sang des victimes de mes autels. Tu crois que tes amis te sauveront ? Tu abrèges ainsi le terme de ma Justice. Penses-tu te sauver d’un sort si terrible ?
Mes enfants, reprend le Sauveur, je m’adresse à vous. Nul homme ne peut sauver cette pauvre France noyée dans le crime.
Sans moi, il n’y aurait pour elle aucun espoir. Je ferai un miracle pour les justes, mais il n’y aura qu’une partie du royaume de sauvée. L’autre restera gémissante de longs jours.
J’ai peuplé la terre par ma mort ; je la dépeuplerai par ma Justice. Après ma Justice, je repeuplerai la terre d’un peuple nouveau ».
« O France, tu espères toujours en ces nouveaux gouverneurs ?
Eh bien, tu abrèges ainsi le terme de ma Justice...
France, depuis que je suis venu sur la terre, il ne s'est jamais passé, et il ne se passera jamais un coup si fatal que celui qui t'est réservé !
Malheur à vous qui tenez vos conseils dans cette chambre de l'enfer !
Et toi, ville ingrate, murs souillés de crimes, pourquoi ne dites-vous pas aux bons : fuyez, fuyez, il est temps encore ? Et vous, pavés des rues, grains de sable qui formez les pavés, pourquoi ne vous levez-vous pas et ne prévenez-vous pas qu'il faudra prendre la fuite quand le tonnerre grondera sur un peuple en péril ?
Mes enfants, tout est au comble, c'est le moment où ma vengeance va éclater. Mettez votre main droite sur la plaie de mon Cœur et vous serez sauvés ».
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1878-01-22 :
« Le Seigneur dit à sa sainte Mère :
"La France est obstinée jusqu'à l'enfer.
- Mon Fils, qui pourra la sauver ?
- il n'y a que moi, et par un éclatant prodige. Il ne faut plus compter sur les hommes. Ma Mère Immaculée, les années qui se sont passées de 90 à 93 ont été moins pénibles, malgré la méchanceté des hommes, que ces jours qui se suivront de près".
Le Seigneur dit à la France :
"Je ne t'abandonne pas entièrement. Je te donne la chaîne de mon amour. Elle peut te soutenir encore et t'aider à sortir de ton tombeau.
La France pousse des cris et ses amis arrivent à son secours".
Le Seigneur dit :
"Mes enfants, voilà un gouvernement impie qui vient au secours de la France coupable. Vous tous, ses amis qui êtes couverts de vêtements rouges, craignez que ma justice ne détruise vos vies, au moment de l'accomplissement de vos projets.
Leur projet, mes enfants, est de chercher les moyens de détruire la France entière. Leurs esprits se sont révoltés, avec une rage qui déborde, contre mon temple et mes serviteurs. Il fallait que le règne des impies vînt quelque temps avant ma Justice. Eh bien ! C'est accompli ! Il ne reste plus rien à faire, qu'à frapper" ».
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1878-02-22 :
La Sainte Vierge Marie annonce à Marie-Julie : « Ma chère Bretagne, j'ai pour toi, dans mon cœur, trois beaux secrets qui sont au bord de mes lèvres. Je n'attends qu'une parole de la Sainte Trinité pour te les confier dans leur puissance et leur douceur. Ils seront pour vous, enfants bretons, un véritable baume. Quand vous les aurez reçus, vos cœurs s'épanouiront de joie et vous ne craindrez plus rien. Ni les bruits, ni les assauts, ni les voix impies ne retentiront dans les contrées de la Bretagne bénie.
L’Archange Raphaël dit : « Bretagne, à toi la verdure, à toi la vie ! France, à toi la mort et les malédictions du Ciel ! Si tu ne lui donnes pas ton souffle, tu es maudite de Dieu, tu peux dire : je suis morte avec mes enfants et engloutie dans l'abîme pour ne plus en sortir ».
Marie-Julie pose une question à l'Archange : « Saint Archange, pourquoi reste-t-il une dernière feuille verte sur la branche morte qu'est la France ? »
Le Saint Archange lui répond : « Parce que le Seigneur laisse encore un espoir à la France. C'est qu'elle a encore un reste de vie... Tout le Ciel s'occupe d'elle ; tous les saints et toute la cour céleste prient pour elle. Mais, plus on prie, plus elle semble maudire Dieu ».
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1878-09-18 :
« De tous les compagnons de la France, trois seulement se détachent et viennent près de sa tombe. Ils la contemplent et s'écrient :
Est-ce toi que le Seigneur a conduite ici pour que tu retrouves ta chasteté ?
Elle ne fait que sangloter mais parvient à leur répondre :
Je vous ai séduits et vous m'avez séduite. Si vous voulez que le Seigneur vous reçoive, laissez-vous toucher par mes larmes. Je les offre pour vous et pour moi.
Ils se prosternent tous les trois devant la bannière de l'Archange et, levant leurs mains vers le divin Jésus, ils disent :
"Nous vous promettons de revenir à vous. Nous avons été les ennemis acharnés du bien, mais notre conversion est entière. Quand viendra le moment de prendre les armes, nous combattrons avec ardeur pour la Sainte Eglise et nous lui donnerons notre sang" ».
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1878-09-29 :
« L’heure de Dieu n’est pas loin, dit Saint Michel, cette terreur profonde fera ressortir le triomphe de la nouvelle France. Mais ce triomphe ne peut venir avant que la Justice ne se soit appesantie sur cette terre gâtée.
N’attendez rien de celui qui règne comme roi et qui, aujourd’hui, est assis dans le même fauteuil que les autres - fauteuil qui ne porte aucune marque d’un pouvoir spécial et plus grand - (1).
Sa pensée est accordée à la pensée des autres, sa parole à leur parole, sa volonté à leur volonté. Sa puissance et ses pouvoirs ne sont pas plus que ceux de celui qui est le dernier. N’attendez rien de ce côté : il ne mérite pas plus de respect que tout le reste.
Dans la tempête, sa voix criera aussi fort que les autres, contre tout ce que Dieu a établi... Il n’y a pas de fermeté en lui : ils l’ont mené ; ils l’ont dirigé. Voilà le portrait de cet homme : c’est un poteau de boue. Plaignons-le, mais n’y pensons guère.
- Je n’y pense point, bon Saint Michel.
- Pour ramener le Roi choisi et destiné par Dieu, il faut que tous ceux qui sont à présent soient balayés ».
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1879-01-01 :
Notre Seigneur annonce : « La terre des arabes triomphera des pauvres armées françaises ».
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Poirot- Deuxième Demeure : Je m'applique à l'oraison.
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Marie-Julie Jahenny - EVENEMENTS ANNONCES POUR LA FRANCE
EVENEMENTS ANNONCES POUR LA FRANCE
- Extases de 1880 à 1941 -
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 12-12-2011)
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1880-01-01 :
« L'étranger entrera en France avec toute son armée. Il y fera une longueur d'espace mesurée par moi. Je les arrêterai et, dans cet arrêt, je susciterai le Sauveur du reste de mes enfants. Il traversera l'Est et semblera sortir du fond du Nord. Je le conduirai jusqu'au Midi et, de là, je le ramènerai... non pas sur le trône d'aujourd'hui, car il n'y aura plus de trône, même pas de base pour en fonder un autre.
Ce sera dans cette troisième crise que viendra le salut. Là sortira, de mon Sacré-Cœur... celui qui est destiné à apporter la paix. Avec son couronnement tous les maux finiront. Il descend de la branche de Saint Louis mais cette Sodome coupable ne le possède pas ».
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1880-01-01 :
« Les châtiments commenceront par Paris. Châtiments pour les villes du midi. Quelle boucherie! Dans la France il sera versé plus de sang qu'à Rome. Ce ne sera pas long ».
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1880-06-08 :
Concernant l’Isle-Bouchard :
« Je vois une église de France, un sanctuaire de la protection de Marie, en tirant sur la Bretagne. Il est petit, mais riche intérieurement. Il porte dans son intérieur la Mère des Douleurs et un Ange qui présente un lys. Sur l’emplacement de la vision d’amour fleurira un lys, dans une saison où son temps de floraison est à peu près passé ».
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1880-08-05 :
« Il y aura de graves maladies que l’art humain ne pourra soulager. Ce mal attaquera d’abord le cœur, puis l’esprit et, en même temps, la langue.
Ce sera horrible. La chaleur qui l’accompagnera sera un feu dévorant, si fort que les parties atteintes du corps en seront d’une rougeur insupportable. Au bout de sept jours, ce mal, semé comme le grain dans un champ, lèvera partout rapidement et fera d’immenses progrès.
Mes enfants, voici le seul remède qui pourra vous sauver :
Vous connaissez les feuilles des épines qui poussent dans presque toutes les haies (l’aubépine) Les feuilles de cette épine pourront arrêter les progrès de cette maladie.
Vous ramasserez les feuilles, non pas le bois. Même sèches, elles garderont leur efficacité. Vous les mettrez dans l’eau bouillante et les y laisserez pendant 14 minutes, couvrant le récipient afin que la vapeur y reste. Dès l’attaque du mal, il faudra se servir de ce remède trois fois par jour.
Mes enfants, cette maladie sera très grave en Bretagne. La pensée de Dieu y sera moins grande... Le mal produira un soulèvement continuel du cœur, des vomissements. Si le remède est pris trop tard, les parties atteintes deviendront noires, et dans le noir, il y aura des sillons tirant sur le jaune pâle ».
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1880-08-30 :
« " Je vois qu’au moment où le Seigneur monté au Ciel, prit possession de son Royaume Éternel, à ce moment, l’enfer devint le Royaume de l’Ennemi. Le Seigneur s’empara de son royaume terrestre et dit : " Je suis établi Roi Éternel. "
Satan, furieux, cherche quelque détour pour étendre malicieusement sa puissance. Il demande un partage.
Le Seigneur lui dit : " Tu Me seras soumis, tu ne feras que ce que te permettra la Loi Éternelle...
Je te laisse le pouvoir de tenter tous les hommes, de les faire souffrir jusqu’à une certaine mesure, mais Je serai présent... Au commencement, tu ne feras pas beaucoup de prodiges ; ils te serviront à faire le mal.
Je te laisse permission de tenter Mon peuple, mais Je ne te permettrai jamais de prendre la forme divine, ni celle de figures véritables. "
Satan dit : " Je transformerai tout en outil de travail contre Vous, je mettrai la révolte, la guerre, la division partout. Je renverserai le temple de Vos prières ; j’y établirai des idoles qu’on adorera. J’y briserai tout. "
Jésus dit : " J’écraserai sous la foudre du Ciel, tous ceux qui te seront donnés pour l’enfer. Je rétablirai Mon peuple ; Je le préserverai des fléaux ; Je relèverai les ruines. Je te précipiterai dans l’abîme, mais seulement après que tu auras usé des pouvoirs que Je te laisse pour le moment... Pendant les ténèbres, il y aura beaucoup de conversions ; beaucoup d’égarés reviendront à Moi par le repentir ».
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1880-09-20 : « Au moment où la rage des impies s’arrêtera pour un court répit, il arrivera une grande maladie, presque subitement. Ce châtiment laissera les victimes comme étant sans vie ; ils respireront encore sans pouvoir parler, la chair à vif comme après une profonde brûlure. Ce mal sera très contagieux et on ne pourra l’arrêter. C’est une punition du Seigneur afin d’en ramener plusieurs ».
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1880-09-29 :
« Pillage et Carnage – Cruelles Péripéties
Saint Michel dit :
"L'heure du combat va sonner. Je serai du côté des justes. Je marcherai avec eux, sous l'étendard du Sacré-Cœur. Nous nous rencontrerons avec l'étendard de l'enfer. Lequel des deux triomphera ?
Le nôtre tombera à terre. Nous le tiendrons tout de même. Celui de l'enfer ne bronchera pas. Il restera levé quand le nôtre sera prosterné.
Après que l'étendard de l'enfer aura triomphé quelques mois, l'étendard du Seigneur se relèvera à son tour pour triompher aussi, mais... Il retombera encore.
Dans cette seconde chute, l'effet sera si grand que la plus grande partie du peuple vivra, comme autrefois, sans prêtre, sans messe, sans réception du Corps adorable.
- Oh ! Saint Archange c'est tout de même terrible !
- J'affirme qu'il n'y aura jamais eu d'époque pareille. Jamais n'aura existé un temps si cruel... Il faut s'y attendre et se préparer pour ne pas être surpris.
Tous les démons vont se rassembler : il y en a beaucoup sous la forme de l'homme... Il leur faut, pour se rassasier, la chair des ministres du Seigneur, la chair des chrétiens et le sang des veines où la foi est florissante.
- Saint Michel, vous ne laisserez pas faire cela ?
- C'est le Seigneur qui m'envoie et me charge de tous ces avertissements. Je suis obligé d'obéir.
- Moi aussi, j'aimerais mieux ne pas ouïr cela mais, comme vous, je veux obéir" ».
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1880-11-30 :
« Les foudres du ciel se succéderont avec une violence rapide. Le feu du ciel parcourra la terre sur une largeur effroyable : cette foudre vengeresse brûlera toute pointe qui produit du fruit. Les terres cultivées seront ravagées par la puissance de ce feu ; les prairies seront brûlées et réduites à une terre complètement dépouillée. Les fruits ne paraîtront point ; toutes les branches d’arbres seront sèches jusqu’au tronc. Enfants de la Bretagne, vous userez, pour conserver vos récoltes, de ce que la bonté de mon Fils vous a révélé : c’est le seul moyen de sauver votre nourriture.
Mes enfants, pendant trois jours le ciel sera en feu, sillonné de frayeur par la colère divine. Ce qui m’attriste, c’est que cette colère n’arrêtera pas la force de l’enfer. On ne craint ni mon Fils ni l’enfer. Il faut que ce temps passe. Le péril de la France est inscrit au ciel par la puissance éternelle. Je ne peux plus intercéder ; je ne suis plus qu’une mère sans puissance.
Pendant plusieurs années, la terre ne produira rien. La France sera malheureuse, même après son triomphe. Pendant deux ou trois ans, elle se ressentira de ces ruines et de ces misères profondes. La misère sera grande, bien que mon peuple soit éclairci. La prière ramènera la bénédiction. Mon Fils et moi, nous aurons pitié de cette longue pénitence.
Mes enfants, priez pour l’Église ; priez pour tous ses ministres priez pour le Pape, car on attentera à ses jours. Ce lieu aussi sera criblé de vengeance, et le mal y fera des sans mesure, malgré la foi d’une grande partie de mon peuple. Le mal, que j’entrevois si proche, laisse à mon cœur une blessure qui durera toujours: une perte d’âmes considérable, la foi ruinée, le baptême souillé. Toutes ces lâchetés, que je vois, changeront en mauvais chrétiens beaucoup de mes enfants. La France périra - pas toute, mais beaucoup périront – Elle sera sauvée avec un nombre bien petit... O France, on apportera, jusque dans tes lieux, la poussière de l’étranger. Tu ne pourras renvoyer ces étrangers... Tu fus si noble, ta *noblesse sera perdue. J’ai vu tout passer sur terre. Jamais - je vous le dis avec un cœur de mère - jamais je n’ai eu sous les yeux l’attente de pareils crimes, de pareils malheurs : violations, sacrilèges, attentats. C’est dès aujourd’hui que je vois toutes ces peines. Oh ! priez, mes enfants ! Je m’arrête sur ces douleurs.
Reposez-vous, mes enfants ».
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1881-03-08 : « La terre tremblera depuis ce lieu jusqu’au lever du soleil, l’espace de six jours. Un jour de repos et le huitième jour, le tremblement recommencera. La France et l’Angleterre se répondront par leurs cris de désespoir. La terre tremblera si fort que le peuple en sera jeté à 300 pas. Le tonnerre retentira avec plus d’éclat que dans les mois qui précéderont la fin du monde, avec un bruit étrange ».
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1881-03-24 :
« La Bretagne sera protégée par la Sainte Vierge, mais selon la mesure de la Foi.
Notre-Seigneur la fit gardienne de notre Bretagne et elle obtint de Son Fils une large protection en tout temps ; mais le Seigneur poursuit ceux qui ont mis de côté la Foi, pour suivre les mouvements du temps présent...
Cinq fois, la Bretagne sera traversée et retraversée par ceux qui portent partout le désordre...
Dans le Nord de la Bretagne, il y aura un peu plus à souffrir. Là le mal sera proportionné : il y restera une lisière où chacun aura permission de marcher sur ses terres...
Sainte Anne protégera la région d’Auray, il y aura des punitions pour les rebelles, mais les justes ont la destination d’être protégés...
La région du Mont Saint Michel sera relativement protégée.
La Vendée sera protégée, sauf sur les frontières, au midi... Mais nombre de Vendéens verseront leur sang, car ils ont conservé leur Foi.
Nantes aura moins à souffrir. Le diocèse sera comparativement protégé, mais nulle grâce pour les impies et les mauvaises familles !...
D’autres malheurs à partir de Nantes vers le Sud. Pontchâteau sera épargné à cause du Père de Montfort... La Fraudais, le jardin de Marie sera protégé...
Le couchant, (l’Ouest), depuis la chapelle de Lourdes jusqu’au Nord sera épargné, sauf Bordeaux (conflit armé).
Toulouse sera épargnée à cause de Sainte Germaine de Pibrac, mais elle n’est pas au bout de ses peines. Mende et Rodez seront épargnées.
Saint Martin de Tours protégera surtout ceux qui le prieront.
À Lourdes, il y aura une protection pour les justes, mais je punirai le peuple ingrat qui donnera à boire aux animaux l’eau de la source que j’ai fait jaillir. Là, le peuple sera bien malheureux. On le fera souffrir, parce que je suis apparue en ce lieu. Les animaux des profanateurs perdront la vie.
Il y a du mauvais monde partout, et Dieu connaît le fond de tous les cœurs. " " Chaque endroit est désigné par le Doigt de Mon Fils, sur la page d’un livre caché sous Sa tunique divine. Sa Miséricorde serait prête à se laisser toucher, mais si peu d’âmes prient, un si grand nombre l’outrage ».
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1881-06-09 :
La Vierge Marie, apparue à Pontmain le 17 janvier 1881, manifestation reconnue par l’Eglise, révéla dix ans plus tard à Marie-Julie Jahenny, qu’elle s’y manifesterait de nouveau pour annoncer les guerres de la France :
« Je reviendrai à Pontmain comme la première fois pour annoncer les guerres de la France. L’invasion de armées Russo-Arabes viendra jusque là pour fondre sur la Bretagne. Je les arrêterai encore par un signe qui se manifestera dans les airs. Ce signe jettera à terre miraculeusement ces armées internationales à la Croix des 3 provinces, face à une petite armée d’une soixantaine d’hommes.
Je reviendrai à La Salette au moment où un roi mauvais placé, mais pour peu de temps, sur le trône de France. Ce roi est un descendant de la branche d’Orléans.
Je retournerai à Lourdes. Je punirai le peuple ingrat qui donne à boire aux animaux l’eau de la source que j’ai fait jaillir. Là, le peuple sera bien malheureux. On le fera souffrir parce que je suis apparue en ce lieu. Les animaux perdront la vie, et tous ceux qui seront au service des impies profanateurs ».
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1881-09-20 :
« Ce sera la " Troisième époque ", celle du grand Coup, celle du retour à l’ordre qui ne sera pas sans souffrances. L’ensemble de ces phases devrait s’étaler sur deux à trois années. Les pertes humaines seront très importantes. Il y aura divers avertissements du Ciel pendant ces épreuves, pour ouvrir les yeux des moins endurcis. (Signes dans le Ciel, ténèbres de quelques heures, miracles...) Mais ce n’est qu’après ces semonces que le Grand Châtiment universel des trois jours de ténèbres mettra un terme aux hostilités.., faute de combattants !
Mon peuple, demande pour le Centre (Paris), grâce et miséricorde. L’enveloppe de la mort est préparée ; il n’y a point de cercueil pour enfermer les restes du peuple malheureux.
En bien peu de temps, il ne restera guère de peuple. Les hommes seront si clairs qu’il faudra des lieues pour rencontrer une seule âme, surtout dans le midi, dans les grandes villes, dans le Centre. Il n’y aura plus guère que quelques âmes cachées sous terre qui auront pu échapper. La terre sera désolée, empoisonnée de cadavres, toute remplie du sang des chrétiens.
Un Miserere, Mon peuple, pour le Centre, pour le Midi, pour Lyon, Toulouse. Un Miserere pour les soldats, les enfants restés sur la terre d’exil entre la vie et la mort. Pour Mes prêtres, Mes serviteurs et Mes servantes ; un De profundis pour les pauvres âmes qui expirent là, sans prêtres, sans Sacrements. Voilà ce que Dieu vous demande pour ses chères âmes qu’Il a rachetées de Son Sang !... ».
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1881-10-05 :
« Il y aura des épidémies sur le Midi, Valence, Lyon, Bordeaux, tout ce qui suit cette terre en venant vers le Centre (Paris). Très peu de monde pourra en réchapper. Les cadavres auront répandu une odeur infecte qui donne la mort.
Je saurai protéger tous les miens. J’ai fait placer l’échelle qui conduit de la terre à Mon Cœur, route préparée pour les temps malheureux. Le temps ne sera pas bien long, mais il sera terrible dans les trois reprises différentes ».
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1882-01-24 :
« La France, dit la Flamme, a crié d'une voix perçante :
"Je ne veux pas de Sauveur, je ne veux pas de remède".
Quel remède reste-t-il pour celle qui s'accorde à livrer son peuple, et à fouler sous ses pieds la couronne et le sceptre réservés depuis la mort du martyr Louis XVI ? Depuis cette trahison, son honneur n'a fait que se dégrader en faiblesse. J'assure que désormais il n'y a plus de remède.
Une seconde Flamme ajoute :
Le Sacré-Cœur de Jésus laissera la victoire aux tyrans du royaume, jusqu'à ce que mon peuple reconnaisse l'erreur où il s'est enfoncé, en se livrant lui-même et en livrant sa patrie.
Son peuple a été d'erreurs en erreurs. Je peux dire hautement que le dernier acte est accompli. Il lui sera difficile d'échapper au péril imminent, puisque tous ses projets éclosent sous la chaleur de l'iniquité. Cette première éclosion n'est qu'un appel à une seconde. Si le peuple ne prie pas, il est perdu à jamais et sans espoir.
Le Seigneur avait promis de sauver son peuple par son divin Cœur. Il lui a fait des appels violents et multipliés. Ceux que j'appelle sauvés par son Cœur, c'est la Bretagne et une partie de la Vendée, mais la part de celle-ci est fort petite en vérité. Elle va devenir le fort de nombreuses iniquités et l'échafaud d'un grand nombre de victimes.
Les coups qui annoncent qu'il n'y aura plus de repos vont retentir sans tarder dans les murs du Centre (Paris). Il suffira d'un désaccord. Cette seule chose suffit désormais. La conquête de ces faux rois a été placée sur des chars de triomphe. Combien l'heure de la décision sera proche, après un débat moins fort que ceux d'autrefois : la décision n'aura pas besoin d'être forte. Ils se seront trompés dans leur espérance ; ils seront surpris à l'heure inattendue.
Tout va tomber envahi et sous l’autorité d’hommes cruels et féroces. Les lieux où l'on prie en silence n'ont pas de repos pour longtemps, et ne seront plus un asile contre le courroux de la puissance des humains.
La Flamme dit de nouveau :
Le Seigneur attend qu'une voix s'élève pour lui consacrer le peuple de ce diocèse et le recommander à son immense protection. D'horribles attentats sont sur le point de se commettre, non loin du cœur de ce diocèse, au moment du grand déluge de la partie française, quand la justice de ce siècle va tout laisser en liberté.
Ceux qui, dans quelque temps d'ici, devraient lever la voix seront dans la ligne tracée d'une autre manière. Heureux ceux qui refuseront ces traces, quand des appels à s'engager seront discutés à l'assemblée. Le parti fort sera celui de la victoire du mal. Le petit nombre tombera sous les foudres de ces voix qui font appel au sang et à la chair des corps, pour dérouiller leurs instruments, comme ils disent ».
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1882-02-07 :
« Mes enfants, dit Monseigneur Fournier, je ne vois que le ciel pour vous défendre de ces ennemis étrangers, ambitieux et avares des trésors de cette terre qui est votre patrie.
Mes enfants, je ne vois pas le cœur d'un père pour repousser ces cœurs cruels qui fonceront, de différents côtés, pour puiser, si c'est possible, jusque dans mon diocèse qui est de Bretagne. Je supplierai le ciel d'épargner bien des maux, bien des victimes ; mais le cœur de ces hommes sera insensible, dur et inflexible en leurs idées ».
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1882-04-20 :
« Les militaires seront éloignés de France, (dans l’Est et les terres arabes) et les forces de l’ordre seront réduites. C’est pendant cette période troublée, que seront promulguées des lois infâmes, visant entre autres à établir une mainmise du pouvoir sur la religion, asservissant le clergé au pouvoir révolutionnaire, persécutant toute opposition, coupant tout lien hiérarchique avec Rome. Des révolutionnaires instaureront la mise en place d’un pouvoir totalitaire avec son régime de justice expéditive des opposants, de surveillance, de dénonciations, etc. ceci sur fond de disette du fait des récoltes insuffisantes et des calamités. (Tremblements de terre, épidémies sur les hommes et les animaux). Des pluies torrentielles entraînant de grands retards dans les cultures seront un des signes précurseurs de cette révolution. " " J’avertirai Mes amis par des signes de la nature. Je les préviendrai. " " La guerre civile et les épidémies feront beaucoup de victimes surtout dans les grandes villes. " " Les ennemis se battront entre eux ! "
" Cette loi infâme sortira avec un grand nombre d’autres. Personne ne pourra s’y soustraire... ou bien la mort au fond des prisons... Cette loi marchera sur tout ce qui est le plus sacré ».
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1882-05-04 :
Sur un fond général de confusion et de désordre, se détachent des "époques", qui sont comme les degrés d’une progression. C’est d’abord comme un orage qui gronde, puis éclate pour se terminer sur un " grand coup " qui ramène la paix.
Le Seigneur annonce :
- La première époque, c’est l’étendue des maux sur la Fille aînée de l’Église, la France.
- La seconde, c'est l'Eglise envahie, et le commencement de la lutte terrible dans la Ville Eternelle. Cette lutte, dans la Ville Eternelle, languira cinq mois sans que les conséquences, tristes jusqu'à la mort, ne s'aggravent...
Seigneur, dit la voix plaintive, ne tardez pas à avertir votre peuple, car la nuit sombre et triste vient rapidement à son époque :
- Je n'ai tardé en rien, répond le Seigneur... ».
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1882-05-09 :
« Dans les années qui suivent la révélation de Notre-Dame à Marie-Julie Jahenny sur l’invasion russo-arabe, la Vierge Marie va lui apporter de nouvelles précisions concernant tout particulièrement la situation de la France à cet égard :
- Le commencement (de la grande révolution universelle) sortira d’abord de la France : c’est elle qui, la première, marchera à l’abîme et à la résurrection. Le peuple français n’aura même plus son regret d’avoir livré son pays à l’emprise barbare”.
- À mesure qu’elle s’étendra en France, la persécution recevra beaucoup d’aide de la part des puissances qui l’environnent, de tous ceux qui ressemblent à ceux qui, en France, livrent tout, sans pitié, au feu et au sang ».
« Le grand réveil de l’époque assoupie ne va pas tarder à lancer son premier éclat, le commencement d’une marche victorieuse qui mettra à mort le peuple de celle qui n’a plus d’espoir de se relever, sinon le jour où celui qui est appelé son Sauveur, mettra le pied sur le Trône assigné par le Ciel. La grande révolution universelle, le commencement en sortira d’abord en France ; c’est elle qui, la première, marchera à l’abîme et aussi à la résurrection ».
« Première crise en France. Il y a quelque temps, le Seigneur a marqué trois mois de fatals et terribles châtiments. Il abrégera beaucoup. Le prochain commencement de la mortelle crise révolutionnaire durera quatre semaines, mais l’étendue en sera immense. Le nombre de ceux appelés "meurtriers du peuple" sera d’une immensité inconcevable.
Lors de cette heure terrible, les étrangers, dont le désir est rempli d’une violence qui ne se possède pas, seront maîtres en France. Dès la nouvelle du fatal événement, leurs oreilles ne seront pas sourdes !
Pendant cette lutte première, en toute l’étendue de la France, il y aura liberté pour tout. Il n’y aura plus de captifs retenus pour crimes ».
« Un repos fort court suivra cette grande entrée dans le mal qui sera complet, surtout au Centre (Paris) et dans les environs... Le 24 mai, il se passera entre les hommes qui se disent vainqueurs et élevés en science, un éclat qui ébranlera cette Grande Ville où le sang a tant de fois rougi le pavé et ce branle ne s’apaisera pas... Tu sais que le nombre 14 a été choisi par Moi... »
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1882-05-16 :
« Le Saint-Siège suivra de près le renversement de la France ».
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1882-06-15 :
« Le Cœur Sacré de Jésus laisse échapper des rayons si multipliés que leur nombre dépasse celui des étoiles du firmament.
Le Seigneur dit : " Mes enfants, il y a autant de rayons que d’âmes inscrites dans mon Cœur divin et appelées à y trouver un refuge, à l’heure où vont retentir sur terre les coups des grands maux. L’heure n’est pas éloignée où mon peuple va pousser un nouveau cri de détresse. Ce sera l’ouverture première de profonds engloutissements du bien, et qui doit ensuite marcher vers une ruine épouvantable que le ciel et la terre n’auront jamais vue passer.
L’orage va éclater sur la France où j’ai voulu manifester les prodiges de mon divin Cœur et dévoiler ses secrets. Mes enfants, c’est la France qui, la première, sera meurtrie, déchirée, persécutée.
Quand je manifestais ce divin soleil à la bienheureuse Marguerite-Marie, je laissais tomber de mes lèvres cette parole. La terre qui t’a vue naître, et qui te verra expirer, sera terriblement menacée, depuis l’époque de 80 à 83 surtout. Je laissais entendre à mon humble servante, que la troisième serait bien douloureuse. Il n’y aurait que des glaives, que des apostasies et des violations dans cidres des personnes qui me sont consacrées, les unes par le sacerdoce, les autres par la vie religieuse…
Les mauvais Chrétiens ne se contenteront pas de se perdre. Ils chercheront à surprendre les âmes ; ils tendront, par tous les moyens, à les faire pécher contre tout ce qui est du devoir du Chrétien... Mes enfants, l’Église n’a pas bien des années à rester sans la douleur d’aujourd’hui augmente, mais bien des fois plus terrible. En cette douleur, il n’y aura ni borne, ni arrêt. Je garde l’Église à l’abri, jusqu’au jour où la terre devenue un désert et le monde une poussière, sur la terre désolée. Le Seigneur : " La France fait entrer parmi le sang et l’eau de sa blessure. Mes enfants, dit-il, elle est sortie avec joie de mon divin Cœur, elle n’y rentrera que parmi le sang et les pleurs ».
« Le divin Cœur dit encore. Sous peu, à l’époque marquée, il ne restera debout, en France, aucune maison religieuse ; pas un cloître n’échappera aux tyrans de l’époque. Il y aura une attitude de massacres, depuis le Centre (Paris) à Lyon, de Lyon sur le midi et jusqu‘aux bords de la Bretagne qui est encore catholique, mais plus comme autrefois. La génération de la foi se fait partout… En ces massacres, aux mois froids, la terre deviendra un déluge de sang, comme au temps de Noé elle devint un déluge d’eau. Tous ceux qui ne seront pas dans l’arche de mon Cœur périront, comme au temps du déluge ».
« Je lui disais encore : Moi-même, je choisirai ; je ferai nommer le véritable consolateur de mon peuple et de l’Église : celui qui reconstruira mes temples incendiés sous la violence d’une grande guerre civile, bien qu’elle ne sera pas longue. Je ne peux, dit-il, nommer autrement que guerre civile cette guerre à laquelle la France sera livrée. Mes enfants, combien l’âme de ma servante fut attristée de mes paroles si désolées ! Elle ne me répondit que par un soupir : " Seigneur, je prierai pour cette France, en la demeure où vous m’aurez introduite avec vous. " Mes enfants, aujourd’hui si peu d’âmes me demandent mon amour, si peu de cœurs me servent fidèlement. Jusque dans les cloîtres, je trouve indifférence, oubli et faiblesse. Je me plains amèrement. Si les bons chrétiens sont si lâches, que seront donc les coupables qui veulent tout détruire et renverser jusqu’à mon Règne Eternel ».
« Le Sacré-Cœur de Jésus dit encore : Il se lèvera soudain sur la France de grands fléaux et des calamités que rien ne pourra ni arrêter ni amoindrir.
Passeront, sur la France, une mortalité innombrable que jamais le monde n’aura jamais vue et des maladies qui seront inconnues. C’est surtout au Centre que cette mortalité lancera son fléau. Elle viendra frapper jusque sur la paroisse qui est la vôtre, mes enfants ; mais ne craignez rien, mon Cœur sera une demeure pour vous protéger.
- Je me rappelle cela, divin Cœur de Jésus.
- Mes enfants, ceux qui me font la guerre depuis plus de 60 ans, guerre qui a redoublé depuis 11 ans, ne seront pas attaqués par le fléau de la mortalité. Je les attends d’une autre manière aussi courroucée...
Je préviens mon peuple qu’à la suite de ces nombreux fléaux en France, dont les premiers ne sont pas loin, et qui seront suivis de beaucoup d’autres, je vous préviens qu’un jour se trouvera - et il est marqué - où il y aura peu de soleil, peu d’étoiles ni de lumière pour faire un pas hors des demeures, refuges de mon peuple.
Le jour commencera à croître ; ce ne sera pas au fort de l’été, ni dans les jours les plus longs, courts encore. Ce ne sera pas à la fin d’une année, mais dans les premiers mois que je donnerai clairement mes avertissements...
Ce jour de ténèbres et d’éclairs, ce sera le premier que j’enverrai pour convertir les impies, et voir si un grand nombre reviendra à moi, avant le grand orage qui suivra de prés.
Ce jour, mes enfants, n’atteindra pas toute la France, mais une partie de la Bretagne en sera éprouvée. Le côté où trouve la terre de la Mère de ma Mère Immaculée ne sera obscurci par les ténèbres à venir, jusqu’à vous et, au-delà, sur le lever du soleil. Tout le reste sera dans l’effroi le plus terrible. Depuis la nuit jusqu’à la nuit, un jour entier, le tonnerre ne cessera de gronder ; le feu des éclairs fera beaucoup de mal, même dans les demeures fermées où l’on sera dans le péché...
Mes enfants, ce premier jour n’ôtera rien des trois autres marqués et décrits.
Ce jour particulier fut révélé à ma servante Catherine dans les apparitions de ma sainte Mère, sous le nom de Marie conçue sans péché. Ce jour se trouve noté dans cinq petits rouleaux bien fermés de la sœur Saint Pierre de Tours. Ce rouleau restera dans le secret, jusqu’au jour où une personne de Dieu portera sa main prédestinée sur ce que le monde aura ignoré, jusqu’aux habitants de ce cloître... »
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1882-06-27 :
« Tout à l'entour du Centre, en particulier, la lutte sera violente...
Cette lutte bouillonnera terriblement, en descendant vers la Bretagne.
La déclaration de cette victoire sanglante sera partout affichée.
Ces instruments, qui mitraillent sans pitié la chair du soldat, seront tendus partout, et déjà la marche des ennemis du royaume aura plusieurs lieues de faites en la terre de France. Tous les soldats (Français) seront dispersés, en moins de neuf jours, et renvoyés de la France dans les contrées étrangères et la liberté sera entière ».
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1882-07-20 :
L’heure d’annoncer :
« Au jour décidé pour que mes écritures soient envoyées à tous mes serviteurs et à mes victimes, pour leur indiquer mon heure et l'heure du miracle, à cet appel, rien ne les retiendra.
Je protégerai et garderai ceux qui seront obligés d'attendre un peu de temps avant de trouver refuge sous l'arbre divin de la Croix (les croix d’amour).
L'heure sera envoyée à toute la famille de la Croix dont le destin est d'être protégée. Cette heure viendra avant que les voies de la terre soient fermées (nous ne pourrons plus circuler), avant que l'ennemi ne soit embarqué sur l'étendue de la France entière pour la conquérir et la faire périr.
Je vais donner à mes chers serviteurs et victimes la réelle description de la croix qu'ils devront porter. Ils vivront comme les missionnaires de ma parole divine, les Pères de la Croix...
Je désire que mes serviteurs, servantes et jusqu'aux petits enfants puissent aussi se revêtir d'une croix. Cette croix sera plus petite et portera en son milieu comme l'apparence d'une petite flamme blanche. Cette flamme indiquera qu'ils sont fils et filles de la lumière.
Le mal inévitable s'avance. Bientôt la terre entière ne sera plus que sous la pluie des châtiments terribles de ma Justice. Le bien sera au tombeau et le mal élevé sur le sommet des montagnes pour attester son triomphe ».
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1882-08-22 :
« Paroles de Marie :
"Avant que le châtiment de mon Fils adorable ne tombe sur la terre de France, qui aura la première son châtiment terrible, très peu de temps avant, il y aura beaucoup d'âmes qui perdront la foi...
Cette terre sera comme couverte de masses d'hommes coupables qui, du fond des loges, vont travailler à glorifier Satan, à lui élever des lieux de culte dans la plus grande partie de la France" ».
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1882-08-25 :
« La Sainte Vierge dit : "Je m'arrête, mais je reviendrai avant peu". Elle s'assied sur son trône, et Saint Louis, vêtu en roi de gloire, un flambeau en main, dit :
"Amis du Seigneur, demain je prierai beaucoup pour celui qui doit rendre cette terre heureuse, et lui redonner cette même fleur que je portais lorsque je la gouvernais.
Ce flambeau, que je porte en ma main, c'est le symbole du Sauveur qui, plein de vie et de jeunesse, fendra les troupes. La pauvre France, très prochainement sera mise au tombeau. Le coup fatal, qu'elle a mérité, va l'écraser, sans qu'elle puisse se défendre. Mais un défenseur lui est choisi par le vrai Roi Eternel.
... Ces pauvres malheureux ! En une nuit la plus obscure, le Centre se trouvera bombardé et les victimes n'en survivront pas. Mes amis ne seront plus là, eux ; tous, ils l'auront quitté.
Je vais prier, dit Saint Louis, pour ce royaume si misérable, où le Roi de Gloire subira tant d'outrages..." ».
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1882-09-12 :
Le Seigneur se dispose à lever la nuée lumineuse au moment où se fera l'arrêt des barbares, épuisés de force.
La Flamme dit :
Mes enfants, jusqu'ici le Seigneur ne vous a pas fait connaître cette parole que je vous apporte au nom de sa puissance.
Mes enfants, les troupes étrangères qui ont été tant de fois mentionnées, ces troupes nombreuses, après avoir pris une partie de la Vendée et y avoir emmené beaucoup de Français sous leur garde, pour les faire mourir, elles passeront vers le milieu de la terre du diocèse de Nantes, depuis le bord de la Vendée jusqu'au milieu de l'autre bord qui touche le cœur de la ville.
Mes enfants, les ennemis ne pénétreront pas au cœur du diocèse, ils seront arrêtés par l'armée des soldats de la Croix et de la foi...
Ils viendront par la croix qui se trouve sur le bord de la terre de Bretagne : ils ne passeront pas. C'est là que le Seigneur les attend...
C'est un peu au-dessous de cette croix qu'ils passeront, mais peu nombreux, pour essayer, s'il leur est possible, des tentatives. Ils n'iront qu'à la moitié de la moitié de la terre qui se rend au cœur du diocèse. Ils seront repoussés par les Bretons qui ne laisseront, en leurs membres, que quelques os non brisés. Jamais la terre étrangère ne reverra ses soldats.
Ils ne feront pas de mal. L'armée bretonne sera rangée en garde, car les ordres de Dieu auront été signalés. La petite voyette par où elle passera sera étroite, pas par les grandes routes, et sans rien qui indique une marche nombreuse. Les Bretons seront au nombre d'une SOIXANTAINE, un groupe dans toute sa force.
Ils passeront au-dessous du cœur du diocèse, les autres passeront par la grande route où marchent les vapeurs (sans doute les futures automobiles, inconnues à cette époque) formées par l'esprit du monde. Ils seront arrêtés par la croix qui se trouve sur le bord des contrées.
Cette parole de Dieu n'avait pas été transmise mais, sous peu, toutes les paroles seront dévoilées, et les voies, par où ils viendront en Bretagne, seront désignées par leur nom propre. Il n'en passera pas, en Bretagne, d'autres que ce petit groupe d'éclaireurs, afin de voir s'il est possible d'y entrer en plus grand nombre.
Les amis de la Croix ne seront plus au cœur du diocèse. Il leur sera donné une place de sûreté et de paix ».
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1882-09-28 :
La Sainte Vierge dit :
« Je laisserai mes pleurs apparents, tous les jours où je viendrai au milieu des Amis de la Croix. Mon front sera voilé jusqu'aux yeux ; mes vêtements seront noirs comme ceux d'une mère qui porte le deuil d'un royaume et, plus encore, comme ceux d'une mère qui porte le deuil de son pauvre peuple...
Je pleure sur la France qui va entrer dans le renversement et l'apostasie le plus affreuse... Je vois l'abomination sacrilège se placer sur l'autel ».
L'Archange saint Michel dit :
« Seigneur, jusqu'à quand me laissez-vous gémir au ciel, avant de me laisser descendre sur la terre ?
- Saint Archange, répond le Seigneur, toi, le prince des Amis de la Croix, attends que les autres aient signé la grande condamnation de la France, la signature qui va les conduire au péril et au règne de l'impiété dernière.
- Seigneur, vous ne devez pas aller loin avant d'agir car, en l'état du temps présent, la terre n'a plus que peu de pas à faire.
- Archange, dit le Seigneur, ils vont diviser le royaume en deux parties. Ceux qui sont nouvellement entrés vont résider au Centre ; l'autre partie sera donnée, comme commencement de la conquête, à celui dont le nom sortira bientôt pour être proclamé roi des Français ».
L'Archange dit :
« Amis de la Croix, ce sera après le retour de ces grands coupables dans le lieu où le ciel ne veut pas les punir : il les attend ailleurs pour mieux laisser voir l'affreux châtiment.
Lors de ce retour, ce sera encore pire en mal et en mauvaises paroles que dans tous les retours du passé. Ce sera lors de cette division que la France entrera dans les coupables desseins de ses ennemis par l'apostasie et de la violence complète. Ce seront jusqu'aux lois les plus faibles (les moins importantes ?) qui seront dénaturées.
Les ennemis de la France ne périront pas par le glaive de la terre, mais par l'épée que le ciel met aux mains des victorieux de la terre. L'armée que le Seigneur a choisie pour l'entrée glorieuse de la paix et de Henri V, cette armée sera invincible, quand toute la terre se rangerait à l'encontre de sa marche : elle l'affrontera et passera sans effort, fendant ces foules comme de la poussière. Cette armée invincible n'est pas voulue par les hommes mortels, elle est écrite de la main du ciel, établie et voulue par l'empire éternel dans l'étendue de sa glorieuse puissance ».
L'Archange dit :
« Frères et sœurs, nous sommes décidés... Nous aurons la tête des superbes ; nous leur réduirons la langue en poussière ; nous les renverserons sur cette terre de malédiction, où ils campent pour commettre des forfaits contre l'exilé de la France et contre les soldats français ».
Il dit encore :
« C'est moi qui ai choisi les quelques victimes qui, au combat de gloire, seront mêlées à nous, au ciel, à nous qui partirons avec vous, avec des anges, des rois, des docteurs, des apôtres et des reines.
Vous serez bien peu au-dessous de nous, avant d'arriver au Centre. C'est là que nous nous rejoindrons pour marcher du côté du levant. Nous serons mélangés. La force divine nous fera jouir ensemble d'une vie de jeunesse leste et vigoureuse, comme à la fleur de l'âge. Ce sera la jeunesse dans la joie ! »
« La seconde et violente crise commencera et ira jusqu’à 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocèse qui commence la Bretagne. La plus forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul élan, ils parviendront jusqu’aux alentours de la Grande Ville. (Paris) Ils n’y pénétreront qu’à la moitié de la crise ».
« "...Les armées étrangères, (?) veut les envoyer et les faire entrer par la porte de la terre volée, l'Alsace et la Lorraine.
La plus forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter. D'un seul élan, ils parviendront jusqu'aux alentours de la Grande ville. Ils n'y pénètreront pas, jusqu'à la moitié de la crise.
Amis de la Croix, lorsque cette armée pénètrera par la porte de la terre volée, elle aura un renfort qui secondera ce roi semblable à un tigre contre les Français.
Les éléments les plus remarquables de son armée feront partie de cette bande qui vient de la porte d'Alsace. Ils fonceront sur le centre, dans un horrible ravage. Ils camperont en ce lieu, achevant la ruine complète de la pauvre France".
L'Archange dit encore :
"Ils entreront en Vendée, avec d'abominables vengeances, et les Vendéens uniront leurs forces à celles des autres. Beaucoup périront, mais pas tous".
"Ils fonceront sur la Normandie et pourtant, dit Saint Michel, j'habite cette terre que j'ai bénie, et où j'ai consolé bien des âmes. Seul mon temple sera interdit et échappera aux flammes. Le feu ne pourra s'y allumer, malgré mille essais de la part des étrangers et de ceux, mélangés, qui habitent le royaume de marie. Avec autorité, ils feront venir tout le pauvre monde des alentours dans le camp de leur vengeance assouvie, et ils brûleront entièrement ce lieu" ».
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1882-10-05 :
Avertissement :
« Mon peuple, mon peuple, mon peuple, tes yeux vont voir le commencement de l'heure épouvantable, quand le froment en herbe ne sera pas au troisième nœud de sa croissance (le froment est semé en février, le nœud 1 est situé en mars et le 3ème nœud en mai).
Au moment où mon peuple n'aura plus qu'à s'armer de foi et d'espérance, encore en la saison dure, pendant quatre heures - de midi à quatre heures en France - en des jours durs encore. Le soleil aura comme un voilement de deuil. Il sera obscurci, sans lumière.
Jamais personne sur la terre ne pourrait croire aux noirceurs de ces ténèbres. La terre n'aura plus rien. L'œil sera voilé, sans qu'il puisse apercevoir le moindre objet.
Mon peuple, ce sera le commencement des châtiments de Ma justice. C'est le soleil qui annoncera ces douleurs ; le ciel qui pleurera, sans pouvoir se consoler, parce que ce sera l'entrée du temps où les âmes se perdront, l'entrée, en un mot, de l'épouvantable malheur.
Mon peuple, cette obscurité, couvrira la Bretagne l'espace de quatre heures, mais il n'y aura pas de mal...
Petite frayeur simplement. Vous n'aurez pas peur !»
« Je lis : Pendant que mon royaume sera en liberté, j'entendrai des cris entre Nantes et la Rochelle. Les pauvres troupes françaises, soldats du temps présent, y seront amenées pour achever l'épuisement de cette garde pour la France... Environ au milieu de ces deux terres, l'autorité si coupable, gouvernante d'aujourd'hui, fera massacrer les troupes, et la France sera sans soutien. Pieds et mains liés pendant vingt-quatre heures, puis une torture leur est réservée qui aura vite terminé leur vie.
Mon peuple, ils jetteront ces chrétiens au fond des torrents ; leur sang inondera les pavés. Le crime horrible descendra jusque sur le milieu de la Bretagne. A deux reprises, le châtiment est réservé à cette terre nantaise.
Je lis encore :
Je laisse Satan couronner son règne. Sa bannière viendra jusque sur le bord de la paroisse, du côté du midi. Elle entrera dans la paroisse qui sera peu de temps exposée, mais dans un deuil d'appréhension douloureuse. Mon peuple ne sera pas atteint de la mortalité.
Un autre fléau tombera sur le cœur de la Bretagne. Mes amis n'en souffriront aucune douleur ».
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1882-10-08 :
« Mes enfants, tous ceux qui ont refusé de croire et qui pensent qu'il serait impossible que cela puisse jamais arriver sur la terre, le châtiment les attend. Sous peu, leurs fils seront ravis et emmenés sur les terres étrangères. Pour la plupart, ils seront si malheureux et si misérables que la souffrance les forcera d'expirer sans revoir leur beau pays, sans pouvoir se réjouir avec le petit nombre à qui la victoire est réservée ».
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1882-10-10 :
« Ma fille, dit la Sainte Vierge, j'ai besoin de faire passer mes paroles à mon peuple, peuple plus nombreux, il est vrai, mais fidèle et juste. Mes enfants écoutez ma parole.
Dans le centre, à descendre sur la terre de Périgueux...
- Dame ! Je ne sais pas ce que c'est que ce mot là !
- Sois tranquille, mes serviteurs le connaissent.
Là, en cette terre de Périgueux, un mortel outrage attend mon Fils. Des groupes d'hommes, du côté de ceux qui mènent la France à l'abîme, vont en quatre immenses rassemblements, pour déclarer vouloir la même chose qu'au temps passé de 93. Il n'y aura q'un cri :
"Nous voulons le sang des victimes et la mort de ceux qui ne pensent pas comme nous, et qui nous combattent".
Mes enfants, sur la terre de Périgueux, un tremblement soudain va tomber sur les enfants, entre dix et seize ans. Leur corps sera tremblant et agité. La malédiction du ciel les fera marcher d'une manière toute opposée à la marche du chrétien sur ses pieds. Aucun homme mortel ne pourra alléger le châtiment. Je déclare l'art humain impossible ».
« La Sainte Vierge dit :
"Mes enfants, en descendant sur le midi où la colère de mon Fils parle déjà... au moment ou des rassemblements d'humains, semblables à des lions, marcheront triomphalement sous l'empire des gouvernants, pour piller la France... au moment où se compléteront les discours d'ouvriers, prisonniers de tous les mauvais, et qui n'attendent qu'un cri pour marcher sur la route de la révolution...
A ce moment, deux petits enfants français seront soudain enveloppés d'une éblouissante lumière. Ils seront encore à l'âge où le langage est à peine compréhensible.
Voici le refrain qu'ils répéteront :
"Arrêtez vos desseins, arrêtez vos complots et, surtout, arrêtez toutes les ambitions qui vous pressent de ramasser les trésors du pauvre peuple que vous allez immoler".
Mes enfants, l'un de ces anges de la terre mourra immédiatement, né d'une famille pauvre, d'un père portant le nom d'Henri et d'une mère portant celui de Marthe.
Le récit de cette histoire ne passera pas inconnu.
L'autre enfant survivra quelques jours de plus, jusqu'à l'heure où la révolution régnera dans son éclat. La fin de son langage sera ceci:
"Un ange du ciel vous offre le drapeau de celui qui doit régner noblement et qui descend de l'illustre famille blanche".
Les paroles dernières du faible enfant provoqueront l'éclat dernier de la fureur. Les éclairs du ciel réduiront en cendre les plus riches de ces villes, dont l'une est bien connue par son nom qui indique la force" ».
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1882-10-12 :
« Mes enfants, de la part de la Puissance Infinie, je vous révèle à haute voix que, sous peu, en Savoie, un vieillard, fils mortel d'Adam, se lèvera comme un flambeau de salut pour ces contrées.
Ce vieillard sera pauvre, vivant au milieu d'une campagne retirée du travail de chaque jour, saint et vénérable par sa foi et sa piété.
Il fera du bien à l'Exilé et à beaucoup d'hommes très haut placés. Du coté opposé, ce sera des cris épouvantables contre l'Exilé. Le dernier mot sera :
Il ne passera pas sur la terre de France, sans que les balles ne sifflent autour de ses armées et surtout à ses oreilles.
Mes enfants, ce sera au commencement de la grande crise. Le bien se fera par ce vieillard, appelé de dieu pour une mission peu longue, mais belle. Le peuple aura encore le temps de parcourir les lignes dictées par le Ciel sous la plume de ce vieillard ».
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1882-10-19 :
« " Le genre humain devra reconnaître qu’au-dessus de lui se trouve une Volonté qui fera tomber comme un château de cartes, les plans audacieux de son ambition. "
" Les apparitions fréquentes de Ma Bonne Mère sont l’œuvre de Ma Miséricorde. "
" Ma fille, maintenant Je vais faire passer à Mon vrai peuple, avant les grands jours sans repos, les principaux faits pour être publiés en France, dans ces lieux où se trouvent bons et mauvais. Je ne veux pas mêler ces annonces aux grands jours : il serait trop tard pour en prévenir Mon peuple " ».
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1882-11-16 :
« En la terre d’Amiens, la Mère de Dieu est sur le point de se fixer un nouveau séjour, pour y venir avec l’Enfant Jésus dans ses bras maternels, et prévenir le peuple, mélangé comme partout. Il y aura un signe dans le Ciel... La voix d’un petit enfant annoncera, par permission divine, les terribles malheurs qui attendent la Patrie ; Il l’annoncera très peu de temps avant que ces projets ne s’éveillent... Cet enfant parlera environ 27 minutes avec, dans la voix, des sanglots qui feront s’émouvoir jusqu’aux brins d’herbe. Cette annonce, terrible pour la France, sera universelle " ».
« II y aura de grands écroulements, surtout au Centre. Tous ces riches palais où sont produits les bénéfices de la nation, tout cela, le Seigneur va le détruire par un châtiment terrible, sous la forme d’un écroulement de terre. Tous ces hauts édifices, (Banques) qui sont une partie du pain de la France, s’écrouleront. Dieu va surprendre ceux qui travaillent sans penser à Lui, ni à Sa Puissance qui donne tout sur la terre ».
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1882-11-21 :
« L’armée des justes, des soldats de la Croix, mêlée à d’autres braves, traversera presque toute la France, sous le feu des signes de Dieu. Elle sortira de Bretagne pour se rendre jusqu’au fleuve où le Sauveur de la terre doit arriver avec sa propre armée (le Rhin). Ils se rejoindront tous ensemble, sous l’étoile de la victoire.
Ma fille, remarque bien cette parole : ce sera sous les signes du ciel semblables au sang des chrétiens. Au milieu de ces signes sanglants et effrayants, il y aura une blanche lumière qui surpassera la beauté de l’aurore. Cette blancheur fendra les sillons de sang et ira au-devant de vous, sur le bord du fleuve. Cette blancheur aura traversé ce sang le jour des souvenirs de la Passion de mon Fils.
- Oui, bonne Mère, un Vendredi.
- Mes enfants, dit la Sainte Vierge, pour que vous ne doutiez pas, je vous décris ce signe que Mon Fils vous manifestera à la chute du jour, une preuve véritable.., un signe blanc à l’Ouest de la France, environné d’un rideau de franges diamantées, énorme, l’espace de trois quarts d’heure. Vos demeures en seront éclairées comme par le soleil. Les rues seront aussi claires que dans le jour ordinaire.
" Au bout d’une demi-heure, une barre rouge se formera, vers l’ouest, en forme de branches ; et des gouttes de sang s’en échapperont.
" Cette barre rouge cernera la blancheur du signe et en envahira l’éclat de sa lumière (assaut du mal).
" Mes enfants, de l’ouest, ce signe remontera un peu ; puis, la barre rouge se dissipera, comme par la victoire de la blancheur (triomphe du Roi). Ce sera un samedi, entre 5 et 6 heures...
Après ces paroles, la Sainte Vierge tombe à genoux aux pieds du Père Éternel et voici les paroles du Père Céleste :
" Très digne Mère de Dieu, Mon Fils Éternel veut manifester le signe du Sauveur mortel (Le Roi) et tourner Sa Puissance du côté de l’étranger. Tous les yeux, en France pourront contempler cette faveur à son égard.
" Il sera, reprend la Sainte Vierge, comme un ornement au firmament, sous la forme d’une étoile carrée, portant en son milieu un sceptre et une couronne, que pourront bien distinguer tous les peuples de la terre.
" Et elle ajoute : Puisque mon Fils ne peut convaincre Son peuple du jour fortuné qui le surprendra au milieu de ses idées mauvaises et coupables, Il commencera par placer sous le firmament l’annonce des prédictions faites aux siècles passé et au siècle présent. Elle cite les secrets confiés à Sainte Marguerite-Marie, à Sœur Marie de Jésus-Crucifié, à Sœur Saint Pierre, à Marie Estelle et qui n’ont jamais été publiés " ».
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1882-11-23 :
« Voici ce que je lis :
Mes enfants, depuis plusieurs années, les mines établies dans le centre (Paris)...
Sous peu la terre va trembler et toute la France va gémir d'épouvante. Dans le centre (Paris), beaucoup de monde va périr - annonce du déluge de sang et de mort - va périr, mes enfants, par les mines qui sans cesse rongent, de leurs flammes dures et ardentes, le sol de cette terre où l'on bâtit pour se servir de refuge.
Sur une barre, en travers de la page :
Hors du centre, mais en France, 689 enfants, sans compter celles et ceux qui instruisent de la religion ces anges d'innocence, vont périr par cette poudre lancée dans les sombres...
- Pas fort, ange.
- Lancée dans les ténèbres et l'obscurité des nuits. Les jours sont proches où ce triste évènement va parcourir avec alarme la France si coupable.
En grandes lettres, je lis :
Tous les ouvriers, dont l'emploi fournissait chaque jour une occupation qui les empêchait de se livrer au mal... Les desseins de ceux qui dirigent la France ont résolu d'enlever à l'ouvrier tout travail, tout emploi.
Mes enfants, il ne va plus y avoir de repos. Nuit et jour, les coureurs se livrent au mal : l'incendie, l'affreux assassinat. Ils vont user de la poudre violente qui réduit en lambeaux les murs les plus solides bâtis sur la terre ».
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1883-09-06 :
« À la mort du Comte de Chambord, en 1883, il est dit :
- Il faudra rester où le Bon Dieu nous aura placé et beaucoup prier. La France n’ayant pas mérité celui qui devait la sauver, Dieu l’a enlevé de la terre ; C’est le premier châtiment ».
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1883-10-23 :
« Oh ! C'est Quéquet qui élève le son de sa voix. Il dit :
"C'est au Centre que je porterai les armes de mort contre tous ceux qui vont refuser de se soumettre à leurs lois nouvelles".
Il dit avec une rage épouvantable :
"Je vais faire sortir du Centre entier tous les militaires, toutes les armées qui campent sur cette terre. Une fois hors de France, on les embarquera immédiatement sur la terre étrangère, et le chef présent de la loi essaiera de s'enfuir hors des murs, hors des menaces... ».
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1883-11-13 :
En extase, Marie-Julie avait eu la vision de la jeune arabe Mariam Baouardy (1846-1878), en religion Sœur Marie de Jésus crucifié, carmélite proclamée bienheureuse par Jean-Paul II le 13 novembre 1983, qui rapporta elle-même ces paroles du Christ : « Oui ! Je ferai Mes délices dans le sein de la France ; elle sera encore la reine de tous les royaumes. Mais avant, il faut que la passoire passe !... »
Ainsi voyait-elle le 16 juillet 1878, fête de Notre-Dame du Mont Carmel, le renouveau de la France affectueusement appelée “Rosier”, le Rosaire ayant été précisément donné en France par Marie... « O cher rosier, tu fais la joie de mon cœur ! Oh, qu’il sera beau le rosier !”
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1895-03-25 :
La Sainte Vierge dit :
« Mes chers enfants, mon cœur maternel est brisé de plus en plus ; mon royaume de France devient le centre de tous les abîmes du mal et, pour le sauver, que de victimes, que de sang répandu !...
Mon royaume, sous peu, sera divisé. Les enfants de la France vont devenir les enfants d’un autre royaume, malgré leur prétention de rester français ».
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1898-05-19 :
« Le grand Coup de la main de Dieu ne sera pas de longue durée, mais il sera si terrible que beaucoup en mourront de peur. C’est après ce grand Coup qu’arrivera le triomphe de l’Église et de la France.
D’abord paraîtra celui que la France prendra pour son sauveur : mais ce ne sera pas le vrai Sauveur : celui qui est choisi et envoyé par Dieu et qui sera des lys »
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1900-01-03 :
« La Sainte Vierge tendait les bras à la France en lui disant : "Souviens-toi des bienfaits de Mon Cœur et des prodiges de Mon Divin Fils. Tu t’es endormie dans l’iniquité sous le frein des lois où l’on veut chasser Mon Divin Fils et les belles vertus de Sa Sainte Mère.., O France, Ma Fille ! Je la réveillerai de son pénible sommeil et doucement Je la ressusciterai avec les prières, les souffrances, la foi et la confiance de Mes chers enfants. Avant le grand événement, elle semblera à jamais morte à tout sentiment Ce sera là, la lutte du ciel et de la terre. Elle sera courte, mais terrible et lugubre, et après, Mon bon peuple se réveillera et le Sauveur caché jus qu’ici sortira du Sacré Cœur, avec Sa fleur de lis et Son noble Cœur de Saint-Louis. En même temps, Je relèverai tous mes chers enfants élus pour le salut et le triomphe de la France. Priez, priez, priez Mes enfants, ne vous découragez pas. Parmi la colère, il y aura de belles merveilles" ».
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1922-11-26 :
« Le Sacré-Cœur annonce à Marie-Julie : " Mes petites âmes aimantes, Je l’avais fait belle cette terre que vous foulez... Je l’avais créée avec une grande ferveur et de nobles sentiments. Le règne du crime s’avance. J’ai tout permis, malheurs, tribulations, méchanceté des hommes... J’ai tout laissé au gré des consciences et à Mon tour... Je me lèverai terrible pour finir le règne qui éteint Mes lois saintes, le règne qui comble d’amertume Mes âmes justes, le règne qui Me fait tant de mal, en perdant tant d’âmes qui se précipitent dans l’éternel malheur... Je vous sauverai à travers le grand déluge de Ma Justice divine... J’ai tout laissé faire avant de Me lever, mais voilà que la mesure est pleine et que Mon heure approche...
II viendra le règne de Mon Sacré-Cœur... On ne Me demande pas assez cette grande merveille, surtout au pied du Saint Autel. Je voudrais que ce fût un cri retentissant, un cri de désir, un appel de Foi, pour finir le mal affreux qui perd tant d’âmes " ».
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1923-03-01 :
Notre Seigneur annonce :
« Ne vous découragez pas, je laisse faire l'ennemi de vos âmes, car il est à la dernière limite de son effort. Il sent qu'approche l'heure de la grande Justice. Je suis las de tant de péchés, de tant d'offenses. Je n'ai plus qu'à laisser sortir de ma bouche un souffle pour que la terre entière soit remuée jusque dans ses fondements.
Je m'effraie cependant de ce grand Coup annoncé depuis tant et tant d'années et qui n'est plus éloigné...
J’aime tant la France. Je me la suis choisie pour l'accomplissement de mes grands desseins ».
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1925-01-01 :
En 1880, Marie-Julie Jahenny entendit Notre-Dame dire au sujet de l’avortement : « O France, Je ne te demande qu’un seul acte de charité : épargne l’innocence au berceau. Laisse la vie aux anges de la terre, afin qu’il puissent attirer sur toi le commencement de la Miséricorde !»
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1982-08-25 :
« Mes enfants, avant même, peut-être que la première crise de la Fille aînée de l’Église ne soit commencée, il y aura des nouvelles douloureuses de ces peuples : Angleterre, Perse, Jérusalem. Tous auront subi de grands maux.
Mes enfants, je prévois qu’à la sortie de ce trouble, il y aura un nouveau règne pour la terre anglaise et un choix se fera, quand, soudain, la mort viendra frapper ceux qui ont en main le gouvernail de ce Royaume. Pour cette terre... il se fera bien du mal et elle sera divisée en quatre parties, car leurs volontés ne s’accorderont nullement... Le choix des Catholiques sera rejeté ».
L’Angleterre reviendra au Catholicisme, après les châtiments :
« Le pays qui aura été visité par son Roi (la France) ne pourra s’empêcher, à cause de sa charité, d’envoyer ses enfants au secours de ce peuple en péril (l’Angleterre). Le Dieu des armées saura les protéger. Ce royaume et la défense du Lien de l’Église seront les seuls endroits où il voudra bien prêter son secours ».
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- Extases de 1880 à 1941 -
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 12-12-2011)
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1880-01-01 :
« L'étranger entrera en France avec toute son armée. Il y fera une longueur d'espace mesurée par moi. Je les arrêterai et, dans cet arrêt, je susciterai le Sauveur du reste de mes enfants. Il traversera l'Est et semblera sortir du fond du Nord. Je le conduirai jusqu'au Midi et, de là, je le ramènerai... non pas sur le trône d'aujourd'hui, car il n'y aura plus de trône, même pas de base pour en fonder un autre.
Ce sera dans cette troisième crise que viendra le salut. Là sortira, de mon Sacré-Cœur... celui qui est destiné à apporter la paix. Avec son couronnement tous les maux finiront. Il descend de la branche de Saint Louis mais cette Sodome coupable ne le possède pas ».
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1880-01-01 :
« Les châtiments commenceront par Paris. Châtiments pour les villes du midi. Quelle boucherie! Dans la France il sera versé plus de sang qu'à Rome. Ce ne sera pas long ».
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1880-06-08 :
Concernant l’Isle-Bouchard :
« Je vois une église de France, un sanctuaire de la protection de Marie, en tirant sur la Bretagne. Il est petit, mais riche intérieurement. Il porte dans son intérieur la Mère des Douleurs et un Ange qui présente un lys. Sur l’emplacement de la vision d’amour fleurira un lys, dans une saison où son temps de floraison est à peu près passé ».
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1880-08-05 :
« Il y aura de graves maladies que l’art humain ne pourra soulager. Ce mal attaquera d’abord le cœur, puis l’esprit et, en même temps, la langue.
Ce sera horrible. La chaleur qui l’accompagnera sera un feu dévorant, si fort que les parties atteintes du corps en seront d’une rougeur insupportable. Au bout de sept jours, ce mal, semé comme le grain dans un champ, lèvera partout rapidement et fera d’immenses progrès.
Mes enfants, voici le seul remède qui pourra vous sauver :
Vous connaissez les feuilles des épines qui poussent dans presque toutes les haies (l’aubépine) Les feuilles de cette épine pourront arrêter les progrès de cette maladie.
Vous ramasserez les feuilles, non pas le bois. Même sèches, elles garderont leur efficacité. Vous les mettrez dans l’eau bouillante et les y laisserez pendant 14 minutes, couvrant le récipient afin que la vapeur y reste. Dès l’attaque du mal, il faudra se servir de ce remède trois fois par jour.
Mes enfants, cette maladie sera très grave en Bretagne. La pensée de Dieu y sera moins grande... Le mal produira un soulèvement continuel du cœur, des vomissements. Si le remède est pris trop tard, les parties atteintes deviendront noires, et dans le noir, il y aura des sillons tirant sur le jaune pâle ».
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1880-08-30 :
« " Je vois qu’au moment où le Seigneur monté au Ciel, prit possession de son Royaume Éternel, à ce moment, l’enfer devint le Royaume de l’Ennemi. Le Seigneur s’empara de son royaume terrestre et dit : " Je suis établi Roi Éternel. "
Satan, furieux, cherche quelque détour pour étendre malicieusement sa puissance. Il demande un partage.
Le Seigneur lui dit : " Tu Me seras soumis, tu ne feras que ce que te permettra la Loi Éternelle...
Je te laisse le pouvoir de tenter tous les hommes, de les faire souffrir jusqu’à une certaine mesure, mais Je serai présent... Au commencement, tu ne feras pas beaucoup de prodiges ; ils te serviront à faire le mal.
Je te laisse permission de tenter Mon peuple, mais Je ne te permettrai jamais de prendre la forme divine, ni celle de figures véritables. "
Satan dit : " Je transformerai tout en outil de travail contre Vous, je mettrai la révolte, la guerre, la division partout. Je renverserai le temple de Vos prières ; j’y établirai des idoles qu’on adorera. J’y briserai tout. "
Jésus dit : " J’écraserai sous la foudre du Ciel, tous ceux qui te seront donnés pour l’enfer. Je rétablirai Mon peuple ; Je le préserverai des fléaux ; Je relèverai les ruines. Je te précipiterai dans l’abîme, mais seulement après que tu auras usé des pouvoirs que Je te laisse pour le moment... Pendant les ténèbres, il y aura beaucoup de conversions ; beaucoup d’égarés reviendront à Moi par le repentir ».
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1880-09-20 : « Au moment où la rage des impies s’arrêtera pour un court répit, il arrivera une grande maladie, presque subitement. Ce châtiment laissera les victimes comme étant sans vie ; ils respireront encore sans pouvoir parler, la chair à vif comme après une profonde brûlure. Ce mal sera très contagieux et on ne pourra l’arrêter. C’est une punition du Seigneur afin d’en ramener plusieurs ».
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1880-09-29 :
« Pillage et Carnage – Cruelles Péripéties
Saint Michel dit :
"L'heure du combat va sonner. Je serai du côté des justes. Je marcherai avec eux, sous l'étendard du Sacré-Cœur. Nous nous rencontrerons avec l'étendard de l'enfer. Lequel des deux triomphera ?
Le nôtre tombera à terre. Nous le tiendrons tout de même. Celui de l'enfer ne bronchera pas. Il restera levé quand le nôtre sera prosterné.
Après que l'étendard de l'enfer aura triomphé quelques mois, l'étendard du Seigneur se relèvera à son tour pour triompher aussi, mais... Il retombera encore.
Dans cette seconde chute, l'effet sera si grand que la plus grande partie du peuple vivra, comme autrefois, sans prêtre, sans messe, sans réception du Corps adorable.
- Oh ! Saint Archange c'est tout de même terrible !
- J'affirme qu'il n'y aura jamais eu d'époque pareille. Jamais n'aura existé un temps si cruel... Il faut s'y attendre et se préparer pour ne pas être surpris.
Tous les démons vont se rassembler : il y en a beaucoup sous la forme de l'homme... Il leur faut, pour se rassasier, la chair des ministres du Seigneur, la chair des chrétiens et le sang des veines où la foi est florissante.
- Saint Michel, vous ne laisserez pas faire cela ?
- C'est le Seigneur qui m'envoie et me charge de tous ces avertissements. Je suis obligé d'obéir.
- Moi aussi, j'aimerais mieux ne pas ouïr cela mais, comme vous, je veux obéir" ».
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1880-11-30 :
« Les foudres du ciel se succéderont avec une violence rapide. Le feu du ciel parcourra la terre sur une largeur effroyable : cette foudre vengeresse brûlera toute pointe qui produit du fruit. Les terres cultivées seront ravagées par la puissance de ce feu ; les prairies seront brûlées et réduites à une terre complètement dépouillée. Les fruits ne paraîtront point ; toutes les branches d’arbres seront sèches jusqu’au tronc. Enfants de la Bretagne, vous userez, pour conserver vos récoltes, de ce que la bonté de mon Fils vous a révélé : c’est le seul moyen de sauver votre nourriture.
Mes enfants, pendant trois jours le ciel sera en feu, sillonné de frayeur par la colère divine. Ce qui m’attriste, c’est que cette colère n’arrêtera pas la force de l’enfer. On ne craint ni mon Fils ni l’enfer. Il faut que ce temps passe. Le péril de la France est inscrit au ciel par la puissance éternelle. Je ne peux plus intercéder ; je ne suis plus qu’une mère sans puissance.
Pendant plusieurs années, la terre ne produira rien. La France sera malheureuse, même après son triomphe. Pendant deux ou trois ans, elle se ressentira de ces ruines et de ces misères profondes. La misère sera grande, bien que mon peuple soit éclairci. La prière ramènera la bénédiction. Mon Fils et moi, nous aurons pitié de cette longue pénitence.
Mes enfants, priez pour l’Église ; priez pour tous ses ministres priez pour le Pape, car on attentera à ses jours. Ce lieu aussi sera criblé de vengeance, et le mal y fera des sans mesure, malgré la foi d’une grande partie de mon peuple. Le mal, que j’entrevois si proche, laisse à mon cœur une blessure qui durera toujours: une perte d’âmes considérable, la foi ruinée, le baptême souillé. Toutes ces lâchetés, que je vois, changeront en mauvais chrétiens beaucoup de mes enfants. La France périra - pas toute, mais beaucoup périront – Elle sera sauvée avec un nombre bien petit... O France, on apportera, jusque dans tes lieux, la poussière de l’étranger. Tu ne pourras renvoyer ces étrangers... Tu fus si noble, ta *noblesse sera perdue. J’ai vu tout passer sur terre. Jamais - je vous le dis avec un cœur de mère - jamais je n’ai eu sous les yeux l’attente de pareils crimes, de pareils malheurs : violations, sacrilèges, attentats. C’est dès aujourd’hui que je vois toutes ces peines. Oh ! priez, mes enfants ! Je m’arrête sur ces douleurs.
Reposez-vous, mes enfants ».
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1881-03-08 : « La terre tremblera depuis ce lieu jusqu’au lever du soleil, l’espace de six jours. Un jour de repos et le huitième jour, le tremblement recommencera. La France et l’Angleterre se répondront par leurs cris de désespoir. La terre tremblera si fort que le peuple en sera jeté à 300 pas. Le tonnerre retentira avec plus d’éclat que dans les mois qui précéderont la fin du monde, avec un bruit étrange ».
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1881-03-24 :
« La Bretagne sera protégée par la Sainte Vierge, mais selon la mesure de la Foi.
Notre-Seigneur la fit gardienne de notre Bretagne et elle obtint de Son Fils une large protection en tout temps ; mais le Seigneur poursuit ceux qui ont mis de côté la Foi, pour suivre les mouvements du temps présent...
Cinq fois, la Bretagne sera traversée et retraversée par ceux qui portent partout le désordre...
Dans le Nord de la Bretagne, il y aura un peu plus à souffrir. Là le mal sera proportionné : il y restera une lisière où chacun aura permission de marcher sur ses terres...
Sainte Anne protégera la région d’Auray, il y aura des punitions pour les rebelles, mais les justes ont la destination d’être protégés...
La région du Mont Saint Michel sera relativement protégée.
La Vendée sera protégée, sauf sur les frontières, au midi... Mais nombre de Vendéens verseront leur sang, car ils ont conservé leur Foi.
Nantes aura moins à souffrir. Le diocèse sera comparativement protégé, mais nulle grâce pour les impies et les mauvaises familles !...
D’autres malheurs à partir de Nantes vers le Sud. Pontchâteau sera épargné à cause du Père de Montfort... La Fraudais, le jardin de Marie sera protégé...
Le couchant, (l’Ouest), depuis la chapelle de Lourdes jusqu’au Nord sera épargné, sauf Bordeaux (conflit armé).
Toulouse sera épargnée à cause de Sainte Germaine de Pibrac, mais elle n’est pas au bout de ses peines. Mende et Rodez seront épargnées.
Saint Martin de Tours protégera surtout ceux qui le prieront.
À Lourdes, il y aura une protection pour les justes, mais je punirai le peuple ingrat qui donnera à boire aux animaux l’eau de la source que j’ai fait jaillir. Là, le peuple sera bien malheureux. On le fera souffrir, parce que je suis apparue en ce lieu. Les animaux des profanateurs perdront la vie.
Il y a du mauvais monde partout, et Dieu connaît le fond de tous les cœurs. " " Chaque endroit est désigné par le Doigt de Mon Fils, sur la page d’un livre caché sous Sa tunique divine. Sa Miséricorde serait prête à se laisser toucher, mais si peu d’âmes prient, un si grand nombre l’outrage ».
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1881-06-09 :
La Vierge Marie, apparue à Pontmain le 17 janvier 1881, manifestation reconnue par l’Eglise, révéla dix ans plus tard à Marie-Julie Jahenny, qu’elle s’y manifesterait de nouveau pour annoncer les guerres de la France :
« Je reviendrai à Pontmain comme la première fois pour annoncer les guerres de la France. L’invasion de armées Russo-Arabes viendra jusque là pour fondre sur la Bretagne. Je les arrêterai encore par un signe qui se manifestera dans les airs. Ce signe jettera à terre miraculeusement ces armées internationales à la Croix des 3 provinces, face à une petite armée d’une soixantaine d’hommes.
Je reviendrai à La Salette au moment où un roi mauvais placé, mais pour peu de temps, sur le trône de France. Ce roi est un descendant de la branche d’Orléans.
Je retournerai à Lourdes. Je punirai le peuple ingrat qui donne à boire aux animaux l’eau de la source que j’ai fait jaillir. Là, le peuple sera bien malheureux. On le fera souffrir parce que je suis apparue en ce lieu. Les animaux perdront la vie, et tous ceux qui seront au service des impies profanateurs ».
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1881-09-20 :
« Ce sera la " Troisième époque ", celle du grand Coup, celle du retour à l’ordre qui ne sera pas sans souffrances. L’ensemble de ces phases devrait s’étaler sur deux à trois années. Les pertes humaines seront très importantes. Il y aura divers avertissements du Ciel pendant ces épreuves, pour ouvrir les yeux des moins endurcis. (Signes dans le Ciel, ténèbres de quelques heures, miracles...) Mais ce n’est qu’après ces semonces que le Grand Châtiment universel des trois jours de ténèbres mettra un terme aux hostilités.., faute de combattants !
Mon peuple, demande pour le Centre (Paris), grâce et miséricorde. L’enveloppe de la mort est préparée ; il n’y a point de cercueil pour enfermer les restes du peuple malheureux.
En bien peu de temps, il ne restera guère de peuple. Les hommes seront si clairs qu’il faudra des lieues pour rencontrer une seule âme, surtout dans le midi, dans les grandes villes, dans le Centre. Il n’y aura plus guère que quelques âmes cachées sous terre qui auront pu échapper. La terre sera désolée, empoisonnée de cadavres, toute remplie du sang des chrétiens.
Un Miserere, Mon peuple, pour le Centre, pour le Midi, pour Lyon, Toulouse. Un Miserere pour les soldats, les enfants restés sur la terre d’exil entre la vie et la mort. Pour Mes prêtres, Mes serviteurs et Mes servantes ; un De profundis pour les pauvres âmes qui expirent là, sans prêtres, sans Sacrements. Voilà ce que Dieu vous demande pour ses chères âmes qu’Il a rachetées de Son Sang !... ».
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1881-10-05 :
« Il y aura des épidémies sur le Midi, Valence, Lyon, Bordeaux, tout ce qui suit cette terre en venant vers le Centre (Paris). Très peu de monde pourra en réchapper. Les cadavres auront répandu une odeur infecte qui donne la mort.
Je saurai protéger tous les miens. J’ai fait placer l’échelle qui conduit de la terre à Mon Cœur, route préparée pour les temps malheureux. Le temps ne sera pas bien long, mais il sera terrible dans les trois reprises différentes ».
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1882-01-24 :
« La France, dit la Flamme, a crié d'une voix perçante :
"Je ne veux pas de Sauveur, je ne veux pas de remède".
Quel remède reste-t-il pour celle qui s'accorde à livrer son peuple, et à fouler sous ses pieds la couronne et le sceptre réservés depuis la mort du martyr Louis XVI ? Depuis cette trahison, son honneur n'a fait que se dégrader en faiblesse. J'assure que désormais il n'y a plus de remède.
Une seconde Flamme ajoute :
Le Sacré-Cœur de Jésus laissera la victoire aux tyrans du royaume, jusqu'à ce que mon peuple reconnaisse l'erreur où il s'est enfoncé, en se livrant lui-même et en livrant sa patrie.
Son peuple a été d'erreurs en erreurs. Je peux dire hautement que le dernier acte est accompli. Il lui sera difficile d'échapper au péril imminent, puisque tous ses projets éclosent sous la chaleur de l'iniquité. Cette première éclosion n'est qu'un appel à une seconde. Si le peuple ne prie pas, il est perdu à jamais et sans espoir.
Le Seigneur avait promis de sauver son peuple par son divin Cœur. Il lui a fait des appels violents et multipliés. Ceux que j'appelle sauvés par son Cœur, c'est la Bretagne et une partie de la Vendée, mais la part de celle-ci est fort petite en vérité. Elle va devenir le fort de nombreuses iniquités et l'échafaud d'un grand nombre de victimes.
Les coups qui annoncent qu'il n'y aura plus de repos vont retentir sans tarder dans les murs du Centre (Paris). Il suffira d'un désaccord. Cette seule chose suffit désormais. La conquête de ces faux rois a été placée sur des chars de triomphe. Combien l'heure de la décision sera proche, après un débat moins fort que ceux d'autrefois : la décision n'aura pas besoin d'être forte. Ils se seront trompés dans leur espérance ; ils seront surpris à l'heure inattendue.
Tout va tomber envahi et sous l’autorité d’hommes cruels et féroces. Les lieux où l'on prie en silence n'ont pas de repos pour longtemps, et ne seront plus un asile contre le courroux de la puissance des humains.
La Flamme dit de nouveau :
Le Seigneur attend qu'une voix s'élève pour lui consacrer le peuple de ce diocèse et le recommander à son immense protection. D'horribles attentats sont sur le point de se commettre, non loin du cœur de ce diocèse, au moment du grand déluge de la partie française, quand la justice de ce siècle va tout laisser en liberté.
Ceux qui, dans quelque temps d'ici, devraient lever la voix seront dans la ligne tracée d'une autre manière. Heureux ceux qui refuseront ces traces, quand des appels à s'engager seront discutés à l'assemblée. Le parti fort sera celui de la victoire du mal. Le petit nombre tombera sous les foudres de ces voix qui font appel au sang et à la chair des corps, pour dérouiller leurs instruments, comme ils disent ».
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1882-02-07 :
« Mes enfants, dit Monseigneur Fournier, je ne vois que le ciel pour vous défendre de ces ennemis étrangers, ambitieux et avares des trésors de cette terre qui est votre patrie.
Mes enfants, je ne vois pas le cœur d'un père pour repousser ces cœurs cruels qui fonceront, de différents côtés, pour puiser, si c'est possible, jusque dans mon diocèse qui est de Bretagne. Je supplierai le ciel d'épargner bien des maux, bien des victimes ; mais le cœur de ces hommes sera insensible, dur et inflexible en leurs idées ».
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1882-04-20 :
« Les militaires seront éloignés de France, (dans l’Est et les terres arabes) et les forces de l’ordre seront réduites. C’est pendant cette période troublée, que seront promulguées des lois infâmes, visant entre autres à établir une mainmise du pouvoir sur la religion, asservissant le clergé au pouvoir révolutionnaire, persécutant toute opposition, coupant tout lien hiérarchique avec Rome. Des révolutionnaires instaureront la mise en place d’un pouvoir totalitaire avec son régime de justice expéditive des opposants, de surveillance, de dénonciations, etc. ceci sur fond de disette du fait des récoltes insuffisantes et des calamités. (Tremblements de terre, épidémies sur les hommes et les animaux). Des pluies torrentielles entraînant de grands retards dans les cultures seront un des signes précurseurs de cette révolution. " " J’avertirai Mes amis par des signes de la nature. Je les préviendrai. " " La guerre civile et les épidémies feront beaucoup de victimes surtout dans les grandes villes. " " Les ennemis se battront entre eux ! "
" Cette loi infâme sortira avec un grand nombre d’autres. Personne ne pourra s’y soustraire... ou bien la mort au fond des prisons... Cette loi marchera sur tout ce qui est le plus sacré ».
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1882-05-04 :
Sur un fond général de confusion et de désordre, se détachent des "époques", qui sont comme les degrés d’une progression. C’est d’abord comme un orage qui gronde, puis éclate pour se terminer sur un " grand coup " qui ramène la paix.
Le Seigneur annonce :
- La première époque, c’est l’étendue des maux sur la Fille aînée de l’Église, la France.
- La seconde, c'est l'Eglise envahie, et le commencement de la lutte terrible dans la Ville Eternelle. Cette lutte, dans la Ville Eternelle, languira cinq mois sans que les conséquences, tristes jusqu'à la mort, ne s'aggravent...
Seigneur, dit la voix plaintive, ne tardez pas à avertir votre peuple, car la nuit sombre et triste vient rapidement à son époque :
- Je n'ai tardé en rien, répond le Seigneur... ».
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1882-05-09 :
« Dans les années qui suivent la révélation de Notre-Dame à Marie-Julie Jahenny sur l’invasion russo-arabe, la Vierge Marie va lui apporter de nouvelles précisions concernant tout particulièrement la situation de la France à cet égard :
- Le commencement (de la grande révolution universelle) sortira d’abord de la France : c’est elle qui, la première, marchera à l’abîme et à la résurrection. Le peuple français n’aura même plus son regret d’avoir livré son pays à l’emprise barbare”.
- À mesure qu’elle s’étendra en France, la persécution recevra beaucoup d’aide de la part des puissances qui l’environnent, de tous ceux qui ressemblent à ceux qui, en France, livrent tout, sans pitié, au feu et au sang ».
« Le grand réveil de l’époque assoupie ne va pas tarder à lancer son premier éclat, le commencement d’une marche victorieuse qui mettra à mort le peuple de celle qui n’a plus d’espoir de se relever, sinon le jour où celui qui est appelé son Sauveur, mettra le pied sur le Trône assigné par le Ciel. La grande révolution universelle, le commencement en sortira d’abord en France ; c’est elle qui, la première, marchera à l’abîme et aussi à la résurrection ».
« Première crise en France. Il y a quelque temps, le Seigneur a marqué trois mois de fatals et terribles châtiments. Il abrégera beaucoup. Le prochain commencement de la mortelle crise révolutionnaire durera quatre semaines, mais l’étendue en sera immense. Le nombre de ceux appelés "meurtriers du peuple" sera d’une immensité inconcevable.
Lors de cette heure terrible, les étrangers, dont le désir est rempli d’une violence qui ne se possède pas, seront maîtres en France. Dès la nouvelle du fatal événement, leurs oreilles ne seront pas sourdes !
Pendant cette lutte première, en toute l’étendue de la France, il y aura liberté pour tout. Il n’y aura plus de captifs retenus pour crimes ».
« Un repos fort court suivra cette grande entrée dans le mal qui sera complet, surtout au Centre (Paris) et dans les environs... Le 24 mai, il se passera entre les hommes qui se disent vainqueurs et élevés en science, un éclat qui ébranlera cette Grande Ville où le sang a tant de fois rougi le pavé et ce branle ne s’apaisera pas... Tu sais que le nombre 14 a été choisi par Moi... »
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1882-05-16 :
« Le Saint-Siège suivra de près le renversement de la France ».
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1882-06-15 :
« Le Cœur Sacré de Jésus laisse échapper des rayons si multipliés que leur nombre dépasse celui des étoiles du firmament.
Le Seigneur dit : " Mes enfants, il y a autant de rayons que d’âmes inscrites dans mon Cœur divin et appelées à y trouver un refuge, à l’heure où vont retentir sur terre les coups des grands maux. L’heure n’est pas éloignée où mon peuple va pousser un nouveau cri de détresse. Ce sera l’ouverture première de profonds engloutissements du bien, et qui doit ensuite marcher vers une ruine épouvantable que le ciel et la terre n’auront jamais vue passer.
L’orage va éclater sur la France où j’ai voulu manifester les prodiges de mon divin Cœur et dévoiler ses secrets. Mes enfants, c’est la France qui, la première, sera meurtrie, déchirée, persécutée.
Quand je manifestais ce divin soleil à la bienheureuse Marguerite-Marie, je laissais tomber de mes lèvres cette parole. La terre qui t’a vue naître, et qui te verra expirer, sera terriblement menacée, depuis l’époque de 80 à 83 surtout. Je laissais entendre à mon humble servante, que la troisième serait bien douloureuse. Il n’y aurait que des glaives, que des apostasies et des violations dans cidres des personnes qui me sont consacrées, les unes par le sacerdoce, les autres par la vie religieuse…
Les mauvais Chrétiens ne se contenteront pas de se perdre. Ils chercheront à surprendre les âmes ; ils tendront, par tous les moyens, à les faire pécher contre tout ce qui est du devoir du Chrétien... Mes enfants, l’Église n’a pas bien des années à rester sans la douleur d’aujourd’hui augmente, mais bien des fois plus terrible. En cette douleur, il n’y aura ni borne, ni arrêt. Je garde l’Église à l’abri, jusqu’au jour où la terre devenue un désert et le monde une poussière, sur la terre désolée. Le Seigneur : " La France fait entrer parmi le sang et l’eau de sa blessure. Mes enfants, dit-il, elle est sortie avec joie de mon divin Cœur, elle n’y rentrera que parmi le sang et les pleurs ».
« Le divin Cœur dit encore. Sous peu, à l’époque marquée, il ne restera debout, en France, aucune maison religieuse ; pas un cloître n’échappera aux tyrans de l’époque. Il y aura une attitude de massacres, depuis le Centre (Paris) à Lyon, de Lyon sur le midi et jusqu‘aux bords de la Bretagne qui est encore catholique, mais plus comme autrefois. La génération de la foi se fait partout… En ces massacres, aux mois froids, la terre deviendra un déluge de sang, comme au temps de Noé elle devint un déluge d’eau. Tous ceux qui ne seront pas dans l’arche de mon Cœur périront, comme au temps du déluge ».
« Je lui disais encore : Moi-même, je choisirai ; je ferai nommer le véritable consolateur de mon peuple et de l’Église : celui qui reconstruira mes temples incendiés sous la violence d’une grande guerre civile, bien qu’elle ne sera pas longue. Je ne peux, dit-il, nommer autrement que guerre civile cette guerre à laquelle la France sera livrée. Mes enfants, combien l’âme de ma servante fut attristée de mes paroles si désolées ! Elle ne me répondit que par un soupir : " Seigneur, je prierai pour cette France, en la demeure où vous m’aurez introduite avec vous. " Mes enfants, aujourd’hui si peu d’âmes me demandent mon amour, si peu de cœurs me servent fidèlement. Jusque dans les cloîtres, je trouve indifférence, oubli et faiblesse. Je me plains amèrement. Si les bons chrétiens sont si lâches, que seront donc les coupables qui veulent tout détruire et renverser jusqu’à mon Règne Eternel ».
« Le Sacré-Cœur de Jésus dit encore : Il se lèvera soudain sur la France de grands fléaux et des calamités que rien ne pourra ni arrêter ni amoindrir.
Passeront, sur la France, une mortalité innombrable que jamais le monde n’aura jamais vue et des maladies qui seront inconnues. C’est surtout au Centre que cette mortalité lancera son fléau. Elle viendra frapper jusque sur la paroisse qui est la vôtre, mes enfants ; mais ne craignez rien, mon Cœur sera une demeure pour vous protéger.
- Je me rappelle cela, divin Cœur de Jésus.
- Mes enfants, ceux qui me font la guerre depuis plus de 60 ans, guerre qui a redoublé depuis 11 ans, ne seront pas attaqués par le fléau de la mortalité. Je les attends d’une autre manière aussi courroucée...
Je préviens mon peuple qu’à la suite de ces nombreux fléaux en France, dont les premiers ne sont pas loin, et qui seront suivis de beaucoup d’autres, je vous préviens qu’un jour se trouvera - et il est marqué - où il y aura peu de soleil, peu d’étoiles ni de lumière pour faire un pas hors des demeures, refuges de mon peuple.
Le jour commencera à croître ; ce ne sera pas au fort de l’été, ni dans les jours les plus longs, courts encore. Ce ne sera pas à la fin d’une année, mais dans les premiers mois que je donnerai clairement mes avertissements...
Ce jour de ténèbres et d’éclairs, ce sera le premier que j’enverrai pour convertir les impies, et voir si un grand nombre reviendra à moi, avant le grand orage qui suivra de prés.
Ce jour, mes enfants, n’atteindra pas toute la France, mais une partie de la Bretagne en sera éprouvée. Le côté où trouve la terre de la Mère de ma Mère Immaculée ne sera obscurci par les ténèbres à venir, jusqu’à vous et, au-delà, sur le lever du soleil. Tout le reste sera dans l’effroi le plus terrible. Depuis la nuit jusqu’à la nuit, un jour entier, le tonnerre ne cessera de gronder ; le feu des éclairs fera beaucoup de mal, même dans les demeures fermées où l’on sera dans le péché...
Mes enfants, ce premier jour n’ôtera rien des trois autres marqués et décrits.
Ce jour particulier fut révélé à ma servante Catherine dans les apparitions de ma sainte Mère, sous le nom de Marie conçue sans péché. Ce jour se trouve noté dans cinq petits rouleaux bien fermés de la sœur Saint Pierre de Tours. Ce rouleau restera dans le secret, jusqu’au jour où une personne de Dieu portera sa main prédestinée sur ce que le monde aura ignoré, jusqu’aux habitants de ce cloître... »
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1882-06-27 :
« Tout à l'entour du Centre, en particulier, la lutte sera violente...
Cette lutte bouillonnera terriblement, en descendant vers la Bretagne.
La déclaration de cette victoire sanglante sera partout affichée.
Ces instruments, qui mitraillent sans pitié la chair du soldat, seront tendus partout, et déjà la marche des ennemis du royaume aura plusieurs lieues de faites en la terre de France. Tous les soldats (Français) seront dispersés, en moins de neuf jours, et renvoyés de la France dans les contrées étrangères et la liberté sera entière ».
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1882-07-20 :
L’heure d’annoncer :
« Au jour décidé pour que mes écritures soient envoyées à tous mes serviteurs et à mes victimes, pour leur indiquer mon heure et l'heure du miracle, à cet appel, rien ne les retiendra.
Je protégerai et garderai ceux qui seront obligés d'attendre un peu de temps avant de trouver refuge sous l'arbre divin de la Croix (les croix d’amour).
L'heure sera envoyée à toute la famille de la Croix dont le destin est d'être protégée. Cette heure viendra avant que les voies de la terre soient fermées (nous ne pourrons plus circuler), avant que l'ennemi ne soit embarqué sur l'étendue de la France entière pour la conquérir et la faire périr.
Je vais donner à mes chers serviteurs et victimes la réelle description de la croix qu'ils devront porter. Ils vivront comme les missionnaires de ma parole divine, les Pères de la Croix...
Je désire que mes serviteurs, servantes et jusqu'aux petits enfants puissent aussi se revêtir d'une croix. Cette croix sera plus petite et portera en son milieu comme l'apparence d'une petite flamme blanche. Cette flamme indiquera qu'ils sont fils et filles de la lumière.
Le mal inévitable s'avance. Bientôt la terre entière ne sera plus que sous la pluie des châtiments terribles de ma Justice. Le bien sera au tombeau et le mal élevé sur le sommet des montagnes pour attester son triomphe ».
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1882-08-22 :
« Paroles de Marie :
"Avant que le châtiment de mon Fils adorable ne tombe sur la terre de France, qui aura la première son châtiment terrible, très peu de temps avant, il y aura beaucoup d'âmes qui perdront la foi...
Cette terre sera comme couverte de masses d'hommes coupables qui, du fond des loges, vont travailler à glorifier Satan, à lui élever des lieux de culte dans la plus grande partie de la France" ».
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1882-08-25 :
« La Sainte Vierge dit : "Je m'arrête, mais je reviendrai avant peu". Elle s'assied sur son trône, et Saint Louis, vêtu en roi de gloire, un flambeau en main, dit :
"Amis du Seigneur, demain je prierai beaucoup pour celui qui doit rendre cette terre heureuse, et lui redonner cette même fleur que je portais lorsque je la gouvernais.
Ce flambeau, que je porte en ma main, c'est le symbole du Sauveur qui, plein de vie et de jeunesse, fendra les troupes. La pauvre France, très prochainement sera mise au tombeau. Le coup fatal, qu'elle a mérité, va l'écraser, sans qu'elle puisse se défendre. Mais un défenseur lui est choisi par le vrai Roi Eternel.
... Ces pauvres malheureux ! En une nuit la plus obscure, le Centre se trouvera bombardé et les victimes n'en survivront pas. Mes amis ne seront plus là, eux ; tous, ils l'auront quitté.
Je vais prier, dit Saint Louis, pour ce royaume si misérable, où le Roi de Gloire subira tant d'outrages..." ».
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1882-09-12 :
Le Seigneur se dispose à lever la nuée lumineuse au moment où se fera l'arrêt des barbares, épuisés de force.
La Flamme dit :
Mes enfants, jusqu'ici le Seigneur ne vous a pas fait connaître cette parole que je vous apporte au nom de sa puissance.
Mes enfants, les troupes étrangères qui ont été tant de fois mentionnées, ces troupes nombreuses, après avoir pris une partie de la Vendée et y avoir emmené beaucoup de Français sous leur garde, pour les faire mourir, elles passeront vers le milieu de la terre du diocèse de Nantes, depuis le bord de la Vendée jusqu'au milieu de l'autre bord qui touche le cœur de la ville.
Mes enfants, les ennemis ne pénétreront pas au cœur du diocèse, ils seront arrêtés par l'armée des soldats de la Croix et de la foi...
Ils viendront par la croix qui se trouve sur le bord de la terre de Bretagne : ils ne passeront pas. C'est là que le Seigneur les attend...
C'est un peu au-dessous de cette croix qu'ils passeront, mais peu nombreux, pour essayer, s'il leur est possible, des tentatives. Ils n'iront qu'à la moitié de la moitié de la terre qui se rend au cœur du diocèse. Ils seront repoussés par les Bretons qui ne laisseront, en leurs membres, que quelques os non brisés. Jamais la terre étrangère ne reverra ses soldats.
Ils ne feront pas de mal. L'armée bretonne sera rangée en garde, car les ordres de Dieu auront été signalés. La petite voyette par où elle passera sera étroite, pas par les grandes routes, et sans rien qui indique une marche nombreuse. Les Bretons seront au nombre d'une SOIXANTAINE, un groupe dans toute sa force.
Ils passeront au-dessous du cœur du diocèse, les autres passeront par la grande route où marchent les vapeurs (sans doute les futures automobiles, inconnues à cette époque) formées par l'esprit du monde. Ils seront arrêtés par la croix qui se trouve sur le bord des contrées.
Cette parole de Dieu n'avait pas été transmise mais, sous peu, toutes les paroles seront dévoilées, et les voies, par où ils viendront en Bretagne, seront désignées par leur nom propre. Il n'en passera pas, en Bretagne, d'autres que ce petit groupe d'éclaireurs, afin de voir s'il est possible d'y entrer en plus grand nombre.
Les amis de la Croix ne seront plus au cœur du diocèse. Il leur sera donné une place de sûreté et de paix ».
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1882-09-28 :
La Sainte Vierge dit :
« Je laisserai mes pleurs apparents, tous les jours où je viendrai au milieu des Amis de la Croix. Mon front sera voilé jusqu'aux yeux ; mes vêtements seront noirs comme ceux d'une mère qui porte le deuil d'un royaume et, plus encore, comme ceux d'une mère qui porte le deuil de son pauvre peuple...
Je pleure sur la France qui va entrer dans le renversement et l'apostasie le plus affreuse... Je vois l'abomination sacrilège se placer sur l'autel ».
L'Archange saint Michel dit :
« Seigneur, jusqu'à quand me laissez-vous gémir au ciel, avant de me laisser descendre sur la terre ?
- Saint Archange, répond le Seigneur, toi, le prince des Amis de la Croix, attends que les autres aient signé la grande condamnation de la France, la signature qui va les conduire au péril et au règne de l'impiété dernière.
- Seigneur, vous ne devez pas aller loin avant d'agir car, en l'état du temps présent, la terre n'a plus que peu de pas à faire.
- Archange, dit le Seigneur, ils vont diviser le royaume en deux parties. Ceux qui sont nouvellement entrés vont résider au Centre ; l'autre partie sera donnée, comme commencement de la conquête, à celui dont le nom sortira bientôt pour être proclamé roi des Français ».
L'Archange dit :
« Amis de la Croix, ce sera après le retour de ces grands coupables dans le lieu où le ciel ne veut pas les punir : il les attend ailleurs pour mieux laisser voir l'affreux châtiment.
Lors de ce retour, ce sera encore pire en mal et en mauvaises paroles que dans tous les retours du passé. Ce sera lors de cette division que la France entrera dans les coupables desseins de ses ennemis par l'apostasie et de la violence complète. Ce seront jusqu'aux lois les plus faibles (les moins importantes ?) qui seront dénaturées.
Les ennemis de la France ne périront pas par le glaive de la terre, mais par l'épée que le ciel met aux mains des victorieux de la terre. L'armée que le Seigneur a choisie pour l'entrée glorieuse de la paix et de Henri V, cette armée sera invincible, quand toute la terre se rangerait à l'encontre de sa marche : elle l'affrontera et passera sans effort, fendant ces foules comme de la poussière. Cette armée invincible n'est pas voulue par les hommes mortels, elle est écrite de la main du ciel, établie et voulue par l'empire éternel dans l'étendue de sa glorieuse puissance ».
L'Archange dit :
« Frères et sœurs, nous sommes décidés... Nous aurons la tête des superbes ; nous leur réduirons la langue en poussière ; nous les renverserons sur cette terre de malédiction, où ils campent pour commettre des forfaits contre l'exilé de la France et contre les soldats français ».
Il dit encore :
« C'est moi qui ai choisi les quelques victimes qui, au combat de gloire, seront mêlées à nous, au ciel, à nous qui partirons avec vous, avec des anges, des rois, des docteurs, des apôtres et des reines.
Vous serez bien peu au-dessous de nous, avant d'arriver au Centre. C'est là que nous nous rejoindrons pour marcher du côté du levant. Nous serons mélangés. La force divine nous fera jouir ensemble d'une vie de jeunesse leste et vigoureuse, comme à la fleur de l'âge. Ce sera la jeunesse dans la joie ! »
« La seconde et violente crise commencera et ira jusqu’à 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocèse qui commence la Bretagne. La plus forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul élan, ils parviendront jusqu’aux alentours de la Grande Ville. (Paris) Ils n’y pénétreront qu’à la moitié de la crise ».
« "...Les armées étrangères, (?) veut les envoyer et les faire entrer par la porte de la terre volée, l'Alsace et la Lorraine.
La plus forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter. D'un seul élan, ils parviendront jusqu'aux alentours de la Grande ville. Ils n'y pénètreront pas, jusqu'à la moitié de la crise.
Amis de la Croix, lorsque cette armée pénètrera par la porte de la terre volée, elle aura un renfort qui secondera ce roi semblable à un tigre contre les Français.
Les éléments les plus remarquables de son armée feront partie de cette bande qui vient de la porte d'Alsace. Ils fonceront sur le centre, dans un horrible ravage. Ils camperont en ce lieu, achevant la ruine complète de la pauvre France".
L'Archange dit encore :
"Ils entreront en Vendée, avec d'abominables vengeances, et les Vendéens uniront leurs forces à celles des autres. Beaucoup périront, mais pas tous".
"Ils fonceront sur la Normandie et pourtant, dit Saint Michel, j'habite cette terre que j'ai bénie, et où j'ai consolé bien des âmes. Seul mon temple sera interdit et échappera aux flammes. Le feu ne pourra s'y allumer, malgré mille essais de la part des étrangers et de ceux, mélangés, qui habitent le royaume de marie. Avec autorité, ils feront venir tout le pauvre monde des alentours dans le camp de leur vengeance assouvie, et ils brûleront entièrement ce lieu" ».
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1882-10-05 :
Avertissement :
« Mon peuple, mon peuple, mon peuple, tes yeux vont voir le commencement de l'heure épouvantable, quand le froment en herbe ne sera pas au troisième nœud de sa croissance (le froment est semé en février, le nœud 1 est situé en mars et le 3ème nœud en mai).
Au moment où mon peuple n'aura plus qu'à s'armer de foi et d'espérance, encore en la saison dure, pendant quatre heures - de midi à quatre heures en France - en des jours durs encore. Le soleil aura comme un voilement de deuil. Il sera obscurci, sans lumière.
Jamais personne sur la terre ne pourrait croire aux noirceurs de ces ténèbres. La terre n'aura plus rien. L'œil sera voilé, sans qu'il puisse apercevoir le moindre objet.
Mon peuple, ce sera le commencement des châtiments de Ma justice. C'est le soleil qui annoncera ces douleurs ; le ciel qui pleurera, sans pouvoir se consoler, parce que ce sera l'entrée du temps où les âmes se perdront, l'entrée, en un mot, de l'épouvantable malheur.
Mon peuple, cette obscurité, couvrira la Bretagne l'espace de quatre heures, mais il n'y aura pas de mal...
Petite frayeur simplement. Vous n'aurez pas peur !»
« Je lis : Pendant que mon royaume sera en liberté, j'entendrai des cris entre Nantes et la Rochelle. Les pauvres troupes françaises, soldats du temps présent, y seront amenées pour achever l'épuisement de cette garde pour la France... Environ au milieu de ces deux terres, l'autorité si coupable, gouvernante d'aujourd'hui, fera massacrer les troupes, et la France sera sans soutien. Pieds et mains liés pendant vingt-quatre heures, puis une torture leur est réservée qui aura vite terminé leur vie.
Mon peuple, ils jetteront ces chrétiens au fond des torrents ; leur sang inondera les pavés. Le crime horrible descendra jusque sur le milieu de la Bretagne. A deux reprises, le châtiment est réservé à cette terre nantaise.
Je lis encore :
Je laisse Satan couronner son règne. Sa bannière viendra jusque sur le bord de la paroisse, du côté du midi. Elle entrera dans la paroisse qui sera peu de temps exposée, mais dans un deuil d'appréhension douloureuse. Mon peuple ne sera pas atteint de la mortalité.
Un autre fléau tombera sur le cœur de la Bretagne. Mes amis n'en souffriront aucune douleur ».
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1882-10-08 :
« Mes enfants, tous ceux qui ont refusé de croire et qui pensent qu'il serait impossible que cela puisse jamais arriver sur la terre, le châtiment les attend. Sous peu, leurs fils seront ravis et emmenés sur les terres étrangères. Pour la plupart, ils seront si malheureux et si misérables que la souffrance les forcera d'expirer sans revoir leur beau pays, sans pouvoir se réjouir avec le petit nombre à qui la victoire est réservée ».
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1882-10-10 :
« Ma fille, dit la Sainte Vierge, j'ai besoin de faire passer mes paroles à mon peuple, peuple plus nombreux, il est vrai, mais fidèle et juste. Mes enfants écoutez ma parole.
Dans le centre, à descendre sur la terre de Périgueux...
- Dame ! Je ne sais pas ce que c'est que ce mot là !
- Sois tranquille, mes serviteurs le connaissent.
Là, en cette terre de Périgueux, un mortel outrage attend mon Fils. Des groupes d'hommes, du côté de ceux qui mènent la France à l'abîme, vont en quatre immenses rassemblements, pour déclarer vouloir la même chose qu'au temps passé de 93. Il n'y aura q'un cri :
"Nous voulons le sang des victimes et la mort de ceux qui ne pensent pas comme nous, et qui nous combattent".
Mes enfants, sur la terre de Périgueux, un tremblement soudain va tomber sur les enfants, entre dix et seize ans. Leur corps sera tremblant et agité. La malédiction du ciel les fera marcher d'une manière toute opposée à la marche du chrétien sur ses pieds. Aucun homme mortel ne pourra alléger le châtiment. Je déclare l'art humain impossible ».
« La Sainte Vierge dit :
"Mes enfants, en descendant sur le midi où la colère de mon Fils parle déjà... au moment ou des rassemblements d'humains, semblables à des lions, marcheront triomphalement sous l'empire des gouvernants, pour piller la France... au moment où se compléteront les discours d'ouvriers, prisonniers de tous les mauvais, et qui n'attendent qu'un cri pour marcher sur la route de la révolution...
A ce moment, deux petits enfants français seront soudain enveloppés d'une éblouissante lumière. Ils seront encore à l'âge où le langage est à peine compréhensible.
Voici le refrain qu'ils répéteront :
"Arrêtez vos desseins, arrêtez vos complots et, surtout, arrêtez toutes les ambitions qui vous pressent de ramasser les trésors du pauvre peuple que vous allez immoler".
Mes enfants, l'un de ces anges de la terre mourra immédiatement, né d'une famille pauvre, d'un père portant le nom d'Henri et d'une mère portant celui de Marthe.
Le récit de cette histoire ne passera pas inconnu.
L'autre enfant survivra quelques jours de plus, jusqu'à l'heure où la révolution régnera dans son éclat. La fin de son langage sera ceci:
"Un ange du ciel vous offre le drapeau de celui qui doit régner noblement et qui descend de l'illustre famille blanche".
Les paroles dernières du faible enfant provoqueront l'éclat dernier de la fureur. Les éclairs du ciel réduiront en cendre les plus riches de ces villes, dont l'une est bien connue par son nom qui indique la force" ».
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1882-10-12 :
« Mes enfants, de la part de la Puissance Infinie, je vous révèle à haute voix que, sous peu, en Savoie, un vieillard, fils mortel d'Adam, se lèvera comme un flambeau de salut pour ces contrées.
Ce vieillard sera pauvre, vivant au milieu d'une campagne retirée du travail de chaque jour, saint et vénérable par sa foi et sa piété.
Il fera du bien à l'Exilé et à beaucoup d'hommes très haut placés. Du coté opposé, ce sera des cris épouvantables contre l'Exilé. Le dernier mot sera :
Il ne passera pas sur la terre de France, sans que les balles ne sifflent autour de ses armées et surtout à ses oreilles.
Mes enfants, ce sera au commencement de la grande crise. Le bien se fera par ce vieillard, appelé de dieu pour une mission peu longue, mais belle. Le peuple aura encore le temps de parcourir les lignes dictées par le Ciel sous la plume de ce vieillard ».
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1882-10-19 :
« " Le genre humain devra reconnaître qu’au-dessus de lui se trouve une Volonté qui fera tomber comme un château de cartes, les plans audacieux de son ambition. "
" Les apparitions fréquentes de Ma Bonne Mère sont l’œuvre de Ma Miséricorde. "
" Ma fille, maintenant Je vais faire passer à Mon vrai peuple, avant les grands jours sans repos, les principaux faits pour être publiés en France, dans ces lieux où se trouvent bons et mauvais. Je ne veux pas mêler ces annonces aux grands jours : il serait trop tard pour en prévenir Mon peuple " ».
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1882-11-16 :
« En la terre d’Amiens, la Mère de Dieu est sur le point de se fixer un nouveau séjour, pour y venir avec l’Enfant Jésus dans ses bras maternels, et prévenir le peuple, mélangé comme partout. Il y aura un signe dans le Ciel... La voix d’un petit enfant annoncera, par permission divine, les terribles malheurs qui attendent la Patrie ; Il l’annoncera très peu de temps avant que ces projets ne s’éveillent... Cet enfant parlera environ 27 minutes avec, dans la voix, des sanglots qui feront s’émouvoir jusqu’aux brins d’herbe. Cette annonce, terrible pour la France, sera universelle " ».
« II y aura de grands écroulements, surtout au Centre. Tous ces riches palais où sont produits les bénéfices de la nation, tout cela, le Seigneur va le détruire par un châtiment terrible, sous la forme d’un écroulement de terre. Tous ces hauts édifices, (Banques) qui sont une partie du pain de la France, s’écrouleront. Dieu va surprendre ceux qui travaillent sans penser à Lui, ni à Sa Puissance qui donne tout sur la terre ».
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1882-11-21 :
« L’armée des justes, des soldats de la Croix, mêlée à d’autres braves, traversera presque toute la France, sous le feu des signes de Dieu. Elle sortira de Bretagne pour se rendre jusqu’au fleuve où le Sauveur de la terre doit arriver avec sa propre armée (le Rhin). Ils se rejoindront tous ensemble, sous l’étoile de la victoire.
Ma fille, remarque bien cette parole : ce sera sous les signes du ciel semblables au sang des chrétiens. Au milieu de ces signes sanglants et effrayants, il y aura une blanche lumière qui surpassera la beauté de l’aurore. Cette blancheur fendra les sillons de sang et ira au-devant de vous, sur le bord du fleuve. Cette blancheur aura traversé ce sang le jour des souvenirs de la Passion de mon Fils.
- Oui, bonne Mère, un Vendredi.
- Mes enfants, dit la Sainte Vierge, pour que vous ne doutiez pas, je vous décris ce signe que Mon Fils vous manifestera à la chute du jour, une preuve véritable.., un signe blanc à l’Ouest de la France, environné d’un rideau de franges diamantées, énorme, l’espace de trois quarts d’heure. Vos demeures en seront éclairées comme par le soleil. Les rues seront aussi claires que dans le jour ordinaire.
" Au bout d’une demi-heure, une barre rouge se formera, vers l’ouest, en forme de branches ; et des gouttes de sang s’en échapperont.
" Cette barre rouge cernera la blancheur du signe et en envahira l’éclat de sa lumière (assaut du mal).
" Mes enfants, de l’ouest, ce signe remontera un peu ; puis, la barre rouge se dissipera, comme par la victoire de la blancheur (triomphe du Roi). Ce sera un samedi, entre 5 et 6 heures...
Après ces paroles, la Sainte Vierge tombe à genoux aux pieds du Père Éternel et voici les paroles du Père Céleste :
" Très digne Mère de Dieu, Mon Fils Éternel veut manifester le signe du Sauveur mortel (Le Roi) et tourner Sa Puissance du côté de l’étranger. Tous les yeux, en France pourront contempler cette faveur à son égard.
" Il sera, reprend la Sainte Vierge, comme un ornement au firmament, sous la forme d’une étoile carrée, portant en son milieu un sceptre et une couronne, que pourront bien distinguer tous les peuples de la terre.
" Et elle ajoute : Puisque mon Fils ne peut convaincre Son peuple du jour fortuné qui le surprendra au milieu de ses idées mauvaises et coupables, Il commencera par placer sous le firmament l’annonce des prédictions faites aux siècles passé et au siècle présent. Elle cite les secrets confiés à Sainte Marguerite-Marie, à Sœur Marie de Jésus-Crucifié, à Sœur Saint Pierre, à Marie Estelle et qui n’ont jamais été publiés " ».
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1882-11-23 :
« Voici ce que je lis :
Mes enfants, depuis plusieurs années, les mines établies dans le centre (Paris)...
Sous peu la terre va trembler et toute la France va gémir d'épouvante. Dans le centre (Paris), beaucoup de monde va périr - annonce du déluge de sang et de mort - va périr, mes enfants, par les mines qui sans cesse rongent, de leurs flammes dures et ardentes, le sol de cette terre où l'on bâtit pour se servir de refuge.
Sur une barre, en travers de la page :
Hors du centre, mais en France, 689 enfants, sans compter celles et ceux qui instruisent de la religion ces anges d'innocence, vont périr par cette poudre lancée dans les sombres...
- Pas fort, ange.
- Lancée dans les ténèbres et l'obscurité des nuits. Les jours sont proches où ce triste évènement va parcourir avec alarme la France si coupable.
En grandes lettres, je lis :
Tous les ouvriers, dont l'emploi fournissait chaque jour une occupation qui les empêchait de se livrer au mal... Les desseins de ceux qui dirigent la France ont résolu d'enlever à l'ouvrier tout travail, tout emploi.
Mes enfants, il ne va plus y avoir de repos. Nuit et jour, les coureurs se livrent au mal : l'incendie, l'affreux assassinat. Ils vont user de la poudre violente qui réduit en lambeaux les murs les plus solides bâtis sur la terre ».
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1883-09-06 :
« À la mort du Comte de Chambord, en 1883, il est dit :
- Il faudra rester où le Bon Dieu nous aura placé et beaucoup prier. La France n’ayant pas mérité celui qui devait la sauver, Dieu l’a enlevé de la terre ; C’est le premier châtiment ».
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1883-10-23 :
« Oh ! C'est Quéquet qui élève le son de sa voix. Il dit :
"C'est au Centre que je porterai les armes de mort contre tous ceux qui vont refuser de se soumettre à leurs lois nouvelles".
Il dit avec une rage épouvantable :
"Je vais faire sortir du Centre entier tous les militaires, toutes les armées qui campent sur cette terre. Une fois hors de France, on les embarquera immédiatement sur la terre étrangère, et le chef présent de la loi essaiera de s'enfuir hors des murs, hors des menaces... ».
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1883-11-13 :
En extase, Marie-Julie avait eu la vision de la jeune arabe Mariam Baouardy (1846-1878), en religion Sœur Marie de Jésus crucifié, carmélite proclamée bienheureuse par Jean-Paul II le 13 novembre 1983, qui rapporta elle-même ces paroles du Christ : « Oui ! Je ferai Mes délices dans le sein de la France ; elle sera encore la reine de tous les royaumes. Mais avant, il faut que la passoire passe !... »
Ainsi voyait-elle le 16 juillet 1878, fête de Notre-Dame du Mont Carmel, le renouveau de la France affectueusement appelée “Rosier”, le Rosaire ayant été précisément donné en France par Marie... « O cher rosier, tu fais la joie de mon cœur ! Oh, qu’il sera beau le rosier !”
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1895-03-25 :
La Sainte Vierge dit :
« Mes chers enfants, mon cœur maternel est brisé de plus en plus ; mon royaume de France devient le centre de tous les abîmes du mal et, pour le sauver, que de victimes, que de sang répandu !...
Mon royaume, sous peu, sera divisé. Les enfants de la France vont devenir les enfants d’un autre royaume, malgré leur prétention de rester français ».
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1898-05-19 :
« Le grand Coup de la main de Dieu ne sera pas de longue durée, mais il sera si terrible que beaucoup en mourront de peur. C’est après ce grand Coup qu’arrivera le triomphe de l’Église et de la France.
D’abord paraîtra celui que la France prendra pour son sauveur : mais ce ne sera pas le vrai Sauveur : celui qui est choisi et envoyé par Dieu et qui sera des lys »
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1900-01-03 :
« La Sainte Vierge tendait les bras à la France en lui disant : "Souviens-toi des bienfaits de Mon Cœur et des prodiges de Mon Divin Fils. Tu t’es endormie dans l’iniquité sous le frein des lois où l’on veut chasser Mon Divin Fils et les belles vertus de Sa Sainte Mère.., O France, Ma Fille ! Je la réveillerai de son pénible sommeil et doucement Je la ressusciterai avec les prières, les souffrances, la foi et la confiance de Mes chers enfants. Avant le grand événement, elle semblera à jamais morte à tout sentiment Ce sera là, la lutte du ciel et de la terre. Elle sera courte, mais terrible et lugubre, et après, Mon bon peuple se réveillera et le Sauveur caché jus qu’ici sortira du Sacré Cœur, avec Sa fleur de lis et Son noble Cœur de Saint-Louis. En même temps, Je relèverai tous mes chers enfants élus pour le salut et le triomphe de la France. Priez, priez, priez Mes enfants, ne vous découragez pas. Parmi la colère, il y aura de belles merveilles" ».
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1922-11-26 :
« Le Sacré-Cœur annonce à Marie-Julie : " Mes petites âmes aimantes, Je l’avais fait belle cette terre que vous foulez... Je l’avais créée avec une grande ferveur et de nobles sentiments. Le règne du crime s’avance. J’ai tout permis, malheurs, tribulations, méchanceté des hommes... J’ai tout laissé au gré des consciences et à Mon tour... Je me lèverai terrible pour finir le règne qui éteint Mes lois saintes, le règne qui comble d’amertume Mes âmes justes, le règne qui Me fait tant de mal, en perdant tant d’âmes qui se précipitent dans l’éternel malheur... Je vous sauverai à travers le grand déluge de Ma Justice divine... J’ai tout laissé faire avant de Me lever, mais voilà que la mesure est pleine et que Mon heure approche...
II viendra le règne de Mon Sacré-Cœur... On ne Me demande pas assez cette grande merveille, surtout au pied du Saint Autel. Je voudrais que ce fût un cri retentissant, un cri de désir, un appel de Foi, pour finir le mal affreux qui perd tant d’âmes " ».
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1923-03-01 :
Notre Seigneur annonce :
« Ne vous découragez pas, je laisse faire l'ennemi de vos âmes, car il est à la dernière limite de son effort. Il sent qu'approche l'heure de la grande Justice. Je suis las de tant de péchés, de tant d'offenses. Je n'ai plus qu'à laisser sortir de ma bouche un souffle pour que la terre entière soit remuée jusque dans ses fondements.
Je m'effraie cependant de ce grand Coup annoncé depuis tant et tant d'années et qui n'est plus éloigné...
J’aime tant la France. Je me la suis choisie pour l'accomplissement de mes grands desseins ».
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1925-01-01 :
En 1880, Marie-Julie Jahenny entendit Notre-Dame dire au sujet de l’avortement : « O France, Je ne te demande qu’un seul acte de charité : épargne l’innocence au berceau. Laisse la vie aux anges de la terre, afin qu’il puissent attirer sur toi le commencement de la Miséricorde !»
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1982-08-25 :
« Mes enfants, avant même, peut-être que la première crise de la Fille aînée de l’Église ne soit commencée, il y aura des nouvelles douloureuses de ces peuples : Angleterre, Perse, Jérusalem. Tous auront subi de grands maux.
Mes enfants, je prévois qu’à la sortie de ce trouble, il y aura un nouveau règne pour la terre anglaise et un choix se fera, quand, soudain, la mort viendra frapper ceux qui ont en main le gouvernail de ce Royaume. Pour cette terre... il se fera bien du mal et elle sera divisée en quatre parties, car leurs volontés ne s’accorderont nullement... Le choix des Catholiques sera rejeté ».
L’Angleterre reviendra au Catholicisme, après les châtiments :
« Le pays qui aura été visité par son Roi (la France) ne pourra s’empêcher, à cause de sa charité, d’envoyer ses enfants au secours de ce peuple en péril (l’Angleterre). Le Dieu des armées saura les protéger. Ce royaume et la défense du Lien de l’Église seront les seuls endroits où il voudra bien prêter son secours ».
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Poirot- Deuxième Demeure : Je m'applique à l'oraison.
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Date d'inscription : 29/04/2010
Marie-Julie Jahenny - EVENEMENTS ANNONCES POUR L’EUROPE ET LE MONDE
EVENEMENTS ANNONCES POUR L’EUROPE ET LE MONDE
(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 27-11-2011)
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1874-01-01 :
« La France devra toujours se méfier de l'Angleterre ! »
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1875-01-19 :
« Jésus annonce :
- Les puissances étrangères auront elles aussi de terribles châtiments ».
///////////////////////////////////////////////////////
1881-03-08 :
« La terre tremblera depuis ce lieu jusqu’au lever du soleil, l’espace de six jours. Un jour de repos et le huitième jour, le tremblement recommencera. La France et l’Angleterre se répondront par leurs cris de désespoir. La terre tremblera si fort que le peuple en sera jeté à 300 pas. Le tonnerre retentira avec plus d’éclat que dans les mois qui précéderont la fin du monde, avec un bruit étrange ».
///////////////////////////////////////////////////////
1882-04-13 :
Tout l’univers menacé :
« J'ai vaincu l'enfer par la croix. Je vaincrai tous ceux qui s'opposent à la résurrection de la terre. Je les vaincrai après leur avoir laissé la victoire, après les avoir laissé fouler triomphalement tous les biens que j'ai créés pour le salut de mon peuple.
Il n'y aura plus, désormais, un seul jour de repos. Le déluge des maux s'étendra sur l'étendue du sol de mon peuple. L'Univers se soulèvera entier, avant que ne soit rendue la paix sur une terre qui tremble. Il n'y a plus qu'un léger assaut avant que tout ne soit livré à une liberté qui ne s'arrêtera plus qu'à sa fin : là où j'arrêterai les impies.
Un vent léger s'est dirigé jusqu'au bout du monde et a soufflé sur tous les royaumes. Tout à coup, par ordre divin, la voix des hommes s'est élevée, des bons et des mauvais. Ils se sont divisés en deux parties : la partie digne et respectable n'est composée que d'une poignée de vrais et solides combattants, tandis que l'autre est composée d'une multitude si profonde qu'il serait impossible de la compter...
Toi, mon peuple, attends la résurrection prochaine, selon toutes les paroles que j'ai laissé tomber sous la main de mes ouvriers.
Mon peuple, les lois vont prendre leur détermination et la France, avant deux ans je te donnerai le jour fixé avant deux ans, la France presqu'entière sera devenue "mahomète" et sans religion. Mon peuple, je t'ai dit tant de fois que le temps était proche ; mais c'est maintenant que je puis te le dire.
Au nom des puissances de mon Père, qui sont aussi les miennes, sache que le temps est proche où la terre ne va plus avoir de paix, où mon peuple se verra sans abri : le temps où la malédiction va montrer l'entrée dans ce terrible événement universel.
Mon peuple, sois en sûr et confirmé par ma parole divine : déjà la profondeur des maux, une légion de maux, s'est étendue sur bien des personnes, sur celle, en particulier, de l'homme ambitieux qui attend impatiemment d'avoir voix au gouvernement et qui crie après l'étendue de la liberté.
Mon peuple, tu sais d'avance qu'avant d'entrer dans la gloire, il fallait que la France souffrît ces maux et que tu les souffres avec elle, puisque tu auras part à sa glorieuse résurrection dans la grâce. Personne ne peut entrer dans cette gloire visible, que j'annonce sans cesse, sans avoir souffert les maux et les tribulations.
Mon peuple, dit Jésus ressuscité, maintenant je prépare ta résurrection et d'abord la résurrection de ce lieu qui ne sera plus tien, puisque tu (Marie-Julie) ne seras plus. Mais, lors de la résurrection, je t'enverrai, par mon ordre, apporter, jour par jour, à mes victimes et serviteurs les armes de la vraie foi, pour le vrai combat et le couronnement de celle qui redeviendra la France. Jamais son nom n'aura été aussi beau ».
///////////////////////////////////////////////////////
1881-05-18 :
L’Angleterre :
« À cette époque, l’Angleterre aura trahi son peuple sous l’empire d’une reine ; à sa descente du trône, les choses ne se feront pas comme le Seigneur l’exige ».
///////////////////////////////////////////////////////
1882-05-16 :
En Espagne :
« Sur l’Espagne aussi le Ciel a ses desseins. C’est le roi de ce Royaume, qui, avant deux années écoulées, ne craindra pas d’appeler hautement le frère de la vraie couronne royale, dont les deux drapeaux et les espoirs sont semblables (Henri V). Vers le début de cette époque, ce roi catholique se verra forcé d’abandonner son royaume pour quelques mois, et de se retirer à l’abri des poursuites ; mais le temps ne sera pas long avant qu’il puisse rentrer...
Cette rentrée sera un vrai triomphe qui ranimera sa Foi et son Espérance ».
///////////////////////////////////////////////////////
1882-08-25 :
L’Allemagne :
« Elle aura aussi des mois sanglants.
Mes enfants, priez pour l’Allemagne qui se rend, de jour en jour, plus coupable et pour le peuple qui borde ces contrées : ce peuple se creuse et se prépare dans l’abîme un avenir épouvantable à la suite de ces deux terres dont j’ai parlé déjà. Bientôt ce sera terrible et le sang y coulera pendant six mois et dix jours ».
///////////////////////////////////////////////////////
1970-01-01 :
En Italie :
L’anarchie intérieure aura raison des gouvernements. Les invasions extérieures, qui en sont l’accompagnement presque obligé, amèneront au pouvoir pendant trois années des forces antichrétiennes qui feront beaucoup de mal à l’Église et au Pape d’alors qui sera martyrisé.
À la tyrannie d’un " gouverneur " italien, succédera la tyrannie d’un personnage appelé Archel de la Torre.
« Il ne viendra d’aucune région d’Italie. Il traversera la Perse et la contrée qui se trouve en deçà (Iran-Irak). Il entrera en Italie vers la moitié de la seconde année, de celle qui touche à l’année terrible, mais qui ramènera la paix.
Il régnera pendant un an et demi, au milieu des plus atroces renversements de tout. Ensuite, une lutte, sans roi ni chef, se soulèvera en un petit nombre qui s’en voudront les uns aux autres jusqu’à la mort. Ce n’est que l’année suivante, qu’un roi chrétien sera placé sur la terre d’Italie ».
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(Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny)
(Mise-à-jour du 27-11-2011)
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1874-01-01 :
« La France devra toujours se méfier de l'Angleterre ! »
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1875-01-19 :
« Jésus annonce :
- Les puissances étrangères auront elles aussi de terribles châtiments ».
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1881-03-08 :
« La terre tremblera depuis ce lieu jusqu’au lever du soleil, l’espace de six jours. Un jour de repos et le huitième jour, le tremblement recommencera. La France et l’Angleterre se répondront par leurs cris de désespoir. La terre tremblera si fort que le peuple en sera jeté à 300 pas. Le tonnerre retentira avec plus d’éclat que dans les mois qui précéderont la fin du monde, avec un bruit étrange ».
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1882-04-13 :
Tout l’univers menacé :
« J'ai vaincu l'enfer par la croix. Je vaincrai tous ceux qui s'opposent à la résurrection de la terre. Je les vaincrai après leur avoir laissé la victoire, après les avoir laissé fouler triomphalement tous les biens que j'ai créés pour le salut de mon peuple.
Il n'y aura plus, désormais, un seul jour de repos. Le déluge des maux s'étendra sur l'étendue du sol de mon peuple. L'Univers se soulèvera entier, avant que ne soit rendue la paix sur une terre qui tremble. Il n'y a plus qu'un léger assaut avant que tout ne soit livré à une liberté qui ne s'arrêtera plus qu'à sa fin : là où j'arrêterai les impies.
Un vent léger s'est dirigé jusqu'au bout du monde et a soufflé sur tous les royaumes. Tout à coup, par ordre divin, la voix des hommes s'est élevée, des bons et des mauvais. Ils se sont divisés en deux parties : la partie digne et respectable n'est composée que d'une poignée de vrais et solides combattants, tandis que l'autre est composée d'une multitude si profonde qu'il serait impossible de la compter...
Toi, mon peuple, attends la résurrection prochaine, selon toutes les paroles que j'ai laissé tomber sous la main de mes ouvriers.
Mon peuple, les lois vont prendre leur détermination et la France, avant deux ans je te donnerai le jour fixé avant deux ans, la France presqu'entière sera devenue "mahomète" et sans religion. Mon peuple, je t'ai dit tant de fois que le temps était proche ; mais c'est maintenant que je puis te le dire.
Au nom des puissances de mon Père, qui sont aussi les miennes, sache que le temps est proche où la terre ne va plus avoir de paix, où mon peuple se verra sans abri : le temps où la malédiction va montrer l'entrée dans ce terrible événement universel.
Mon peuple, sois en sûr et confirmé par ma parole divine : déjà la profondeur des maux, une légion de maux, s'est étendue sur bien des personnes, sur celle, en particulier, de l'homme ambitieux qui attend impatiemment d'avoir voix au gouvernement et qui crie après l'étendue de la liberté.
Mon peuple, tu sais d'avance qu'avant d'entrer dans la gloire, il fallait que la France souffrît ces maux et que tu les souffres avec elle, puisque tu auras part à sa glorieuse résurrection dans la grâce. Personne ne peut entrer dans cette gloire visible, que j'annonce sans cesse, sans avoir souffert les maux et les tribulations.
Mon peuple, dit Jésus ressuscité, maintenant je prépare ta résurrection et d'abord la résurrection de ce lieu qui ne sera plus tien, puisque tu (Marie-Julie) ne seras plus. Mais, lors de la résurrection, je t'enverrai, par mon ordre, apporter, jour par jour, à mes victimes et serviteurs les armes de la vraie foi, pour le vrai combat et le couronnement de celle qui redeviendra la France. Jamais son nom n'aura été aussi beau ».
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1881-05-18 :
L’Angleterre :
« À cette époque, l’Angleterre aura trahi son peuple sous l’empire d’une reine ; à sa descente du trône, les choses ne se feront pas comme le Seigneur l’exige ».
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1882-05-16 :
En Espagne :
« Sur l’Espagne aussi le Ciel a ses desseins. C’est le roi de ce Royaume, qui, avant deux années écoulées, ne craindra pas d’appeler hautement le frère de la vraie couronne royale, dont les deux drapeaux et les espoirs sont semblables (Henri V). Vers le début de cette époque, ce roi catholique se verra forcé d’abandonner son royaume pour quelques mois, et de se retirer à l’abri des poursuites ; mais le temps ne sera pas long avant qu’il puisse rentrer...
Cette rentrée sera un vrai triomphe qui ranimera sa Foi et son Espérance ».
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1882-08-25 :
L’Allemagne :
« Elle aura aussi des mois sanglants.
Mes enfants, priez pour l’Allemagne qui se rend, de jour en jour, plus coupable et pour le peuple qui borde ces contrées : ce peuple se creuse et se prépare dans l’abîme un avenir épouvantable à la suite de ces deux terres dont j’ai parlé déjà. Bientôt ce sera terrible et le sang y coulera pendant six mois et dix jours ».
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1970-01-01 :
En Italie :
L’anarchie intérieure aura raison des gouvernements. Les invasions extérieures, qui en sont l’accompagnement presque obligé, amèneront au pouvoir pendant trois années des forces antichrétiennes qui feront beaucoup de mal à l’Église et au Pape d’alors qui sera martyrisé.
À la tyrannie d’un " gouverneur " italien, succédera la tyrannie d’un personnage appelé Archel de la Torre.
« Il ne viendra d’aucune région d’Italie. Il traversera la Perse et la contrée qui se trouve en deçà (Iran-Irak). Il entrera en Italie vers la moitié de la seconde année, de celle qui touche à l’année terrible, mais qui ramènera la paix.
Il régnera pendant un an et demi, au milieu des plus atroces renversements de tout. Ensuite, une lutte, sans roi ni chef, se soulèvera en un petit nombre qui s’en voudront les uns aux autres jusqu’à la mort. Ce n’est que l’année suivante, qu’un roi chrétien sera placé sur la terre d’Italie ».
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Poirot- Deuxième Demeure : Je m'applique à l'oraison.
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