Un Prêtre tué par la Franc-Maçonnerie ressuscite - Témoignage du Père B. J. Kiyindou !

Père Christian, je vous remercie pour tout ce que vous avez fait pour moi, votre
serviteur. Dieu est grand et amour.
Je viens de vivre une belle expérience qui me réconfortera dans ma foi et qui me
rassure dans mes convictions les plus nobles.
Lorsque Dieu choisit une personne, Il lui donne Son Esprit et la mort ne peut pas le
vaincre.
J’ai été toujours menacé par les hommes qui n’aiment pas Dieu et prétendent être
croyants.
J’ai été convoqué par la police satanique et manipulée par les prêtres incroyants.
Ayant eu bonne conscience, j’ai répondu présent à cette convocation.
Or, c’était un piège de la Franc-maçonnerie.
Après avoir reçu des coups et des injures, ils m’ont jeté en prison le jour suivant.
Je criais tellement qu’ils m’ont amené à l’hôpital pour les soins que je devais
supporter moi-même.
Quelle escroquerie !
Les examens ont montré que j’avais du sang coagulé au dessus du cœur.
Dès que j’en eus été informé, j’étais devenu l’ami du personnel de l’hôpital.
Alors j’entendis une voix me dire en sourdine de ne pas avoir peur, que Dieu est avec
moi et qu’il me fera passer de la mort à la vie.
Je ne comprenais pas la quintessence profonde de cette parole, même pas le sens
plénier.
Je respirais à l’aide des tuyaux.
Tout d’un coup, je me suis endormi.
J’ai quitté mon corps que je pouvais voir prostré sur le lit. Autour de ce corps, il y
avait une infirmière qui pleurait. Par la suite 3 médecins étaient venus.
Ils étaient tristes.
Je leur disais de ne pas pleurer et de ne pas être tristes car j’étais en vie.
Je pouvais les entendre parler mais ils ne m’entendaient pas !
Puis, j’ai vu mon corps devenir blanc comme la neige.
J’étais devenu léger et toute souffrance était finie.
C’est comme si j’étais dans une prison et cette fois-ci, j’étais devenu libre comme un
oiseau.
Je pouvais savoir tout de ma vie depuis ma naissance.
Je n’avais plus envie de repartir en mon corps, car c’était une prison.
Je voyais toute une foule qui partait vers les ténèbres et peu de gens qui partaient
vers la lumière.
Il y avait un grand soleil qui dégageait une grande lumière blanchâtre qui n’a pas de
comparaison avec la lumière que nous connaissons.
Les mots humains sont tellement faibles pour définir le soleil et la lumière.
Ceux qui partaient vers les ténèbres, ne pouvaient venir du côté de ceux qui
partaient vers la lumière.
Tout était beau. Tous étaient jeunes, même moi-même, alors j’ai pris la résolution
d’aller vers la lumière, car je ne pouvais pas aller du côté de ceux qui partaient vers
les ténèbres.
Beaucoup avaient du mal à marcher. Au moment où je suis entré dans cette grande
avenue qui mène vers ce grand soleil, j’ai vu la sœur Arlette.
Elle était accompagnée de 3 personnes que je n’ai jamais vues sur la terre.
Je savais qu’elles étaient des messagers de Dieu. Toutes habillées en blanc. Avec le
scapulaire et des chaussures blanches. Ils étaient tous jeunes avec des auréoles sur la
tête. La sœur Arlette tenait une boule sur la main droite, sur laquelle il y avait les
cinq continents.
Elle me dit : « soyez béni, père et paix à vous. Vous êtes au ciel.
Vous découvrirez les merveilles de Dieu, que vous irez annoncer sur la terre que je
tiens dans ma main droite. Allez-y mon père, nous partons en mission à Rome.
Cette Eglise a perdu les enfants de Dieu. Elle s’est prostituée et nous partons mettre
fin à son règne »
Puis elle me dit : « regardez mon père, comment cette Eglise s’écroule » alors je vis
une grande maison qui s’écroulait tout doucement. Plusieurs personnes habillées en
noir se tenaient la tête.
Ensuite, elle me dit « la France et Rome se croient être au paradis, mais elles sont en
enfer. C’est Sodome et Gomorrhe sur la terre ».
Enfin, elle me remit une croix en or et me dit de continuer mon chemin et cette croix
me donnera la force de marcher.
C’est le signe que j’appartiens à Dieu.
Tous les saints au ciel portent cette croix. Mais cette croix avait une forme
particulière. C’est une croix que j’avais reçu quelque part sur la terre, mais je ne me
souviens plus où !
Après avoir reçu la croix, elle partit avec les trois hommes en direction de Rome.
Je continuais mon chemin vers ce grand soleil lumineux. Les rayons ne me faisaient
pas mal. On arrivait à un endroit où il y avait une rivière, une voix me demanda de
plonger dedans 3 fois.
C’est le baptême que je recevais au ciel. A la fin de ce rituel, je vis plusieurs anges et
Archanges ainsi que des Saints et Saintes de Dieu.
Chacun d’eux tenait quelque chose à la main droite. C’est à ce moment que le père
Christian est venu à ma rencontre, tenant à la main droite une canne, avec une foule
immense.
Il me dit : «bienvenue au paradis mon fils. Vous avez surmonté les épreuves et lavé
votre robe dans le sang de Jésus Christ.
Le père était tout jeune, moi de même, cependant, j’étais blanc comme lui.
Le père leva la main droite au ciel et tout d’un coup, il reçut un ostensoir contenant
le Corps du Christ.
Il me dit : « Le Père éternel vous donne cet ostensoir avec le Corps de Son Fils.
Conservez-le et adorez mon Fils éternellement.
C’est vous qu’Il a choisi pour porter le Corps de Son Fils aux malades et ils seront
guéris. Tous ceux qui adoreront le Corps du Christ avec vous seront sauvés et le Père
éternel mettra un signe sur leurs fronts afin que l’ange exterminateur les épargne de
la mort »
Il y avait une tâche rouge sur les mains et les pieds du père Christian. Son visage
était tellement lumineux que j’avais du mal à le fixer.
C’était la même chose avec la Sœur Arlette.
Le père Christian me montra le chemin à suivre, pendant que lui, avec sa troupe,
devait aller ailleurs pour accomplir une mission d’Adonaï qui consistait à détruire le
règne de la Franc-maçonnerie sur la terre et à purifier la Corse car c’est le jardin
d’Eden.
Tous regarderont vers la Corse.
En suivant le chemin que m’avait montré le père Christian, je voyais des merveilles
que je n’arrive pas à décrire avec les mots humains, ni à expliquer.
C’était tellement beau.
Tout d’un coup, je remarque que j’étais entouré par une multitude d’anges et de
Saints.
C’est là que j’ai vu ma mère jeune et blanche.
Je vis, père, un ange qui volait du sud au nord avec une bonne nouvelle à annoncer
et que je devais annoncer à ceux qui sont sur la terre et à toutes les Nations.
Il criait d’une voix forte et puissante : « Craignez Dieu et glorifiez-le car voici l’heure
de Son Jugement. Adorez celui qui a fait la mer et la terre et ses sources.»
Un autre ange, un deuxième, le suivit en criant : « Elle est tombée la Franc-
maçonnerie, elle qui a abreuvé toutes les Nations du vin de la colère. »
Un autre ange, un troisième, le suivait criant d’une voix puissante :
« Quiconque se fait Franc-maçon et se fait marquer sur le front ou sur la main, lui-
aussi boira le vin de la colère de Dieu qui se trouve préparé pur dans la Coupe de sa
colère. Il subira le supplice du feu ».
J’arrive à un autre endroit où il y avait une porte et j’ai vu Saint Pierre avec une
grosse clé et un grand registre qu’il tenait à la main.
Il me demanda ma carte de baptême que je lui remis. Ensuite, il me demanda
l’attestation de mon Église, la Nouvelle Église de l’AVE MARIA que je lui remis.
Il vérifia dans son registre. Il authentifia ma carte de baptême et mon attestation.
« Oui, l’Ave Maria est reconnue au ciel. »
Puis il me dit de repartir sur la terre car ma mission n’est pas encore terminée !
Une grande partie de ma mission reste à faire.
Je dois annoncer la bonne nouvelle du retour de Jésus et guérir les malades, ensuite,
conduire les hommes à l’adoration du Corps du Christ.
Puis il me bénit et me remis une canne, trois bougies et une fleur rose blanche.
Après cela, je suis retourné dans mon corps mortel. Et je me suis réveillé.
Et j’étais habité par la joie d’avoir fait un voyage au ciel et par la colère d’être revenu
sur la terre.
Qu’à cela ne tienne ! J’ai eu une grande mission.
Après que je me sois réveillé, j’ai entendu un grand bruit de foule immense au Ciel
qui clamait :
« ALLÉLUIA, salut, gloire et puissance à notre Dieu !
Oui, sa fumée s’élève pour les siècles des siècles.

Père Blaise Justin KIYINDOU.