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Voici le temps pour l'ouverture du second Sceau, car les guerres vont augmenter.

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Message  antoine Dim 29 Sep 2019 - 12:12

Burkina: 17 morts lors d'un samedi meurtrier dans le Nord
AFP
Publié le 29/09/2019 à 17:56 | AFP
Burkina: 17 morts lors d'un samedi meurtrier dans le NordBurkina: 17 morts lors d'un samedi meurtrier dans le Nord © AFP / ISSOUF SANOGO
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Dix-sept personnes, dont un militaire, ont été tuées lors d'un samedi meurtrier dans le nord du Burkina Faso, en proie à des attaques jihadistes récurrentes.

Samedi matin, une vingtaine d'hommes venus à bord de motos avaient attaqué le village de Komsilga, dans la commune de Zimtanga (province du Bam), tuant neuf personnes parmi les habitants, selon des sources sécuritaires. Ils avaient également incendié des boutiques et des deux roues.

Puis, "dans la soirée, aux environs de 18h00, des individus armés ont attaqué le village de Déneon, dans la (même) commune de Zimtanga. Sept personnes ont été tuées", a déclaré à l'AFP une source sécuritaire.

Samedi également, "un groupe de militaires a subi une attaque à Déou (province du Soum). Un élément (militaire) a été tué au cours des échanges de tirs", a indiqué une autre source sécuritaire. "Les dispositifs sécuritaires ont été renforcés et des renforts déployés pour des ratissages dans ces zones", a assuré la même source.

300.000 déplacés
Le Burkina Faso, pays pauvre d'Afrique de l'Ouest, est pris depuis quatre ans et demi dans une spirale de violences, attribuées à des groupes armés jihadistes, certains affiliés à Al-Qaïda et d'autres au groupe Etat islamique.

Lundi, neuf civils avaient été tués dans deux attaques à Pisselé et Boulkiba, deux localités située de la province du Bam.

Depuis début 2015, les attaques jihadistes, de plus en plus fréquentes et meurtrières, en particulier dans le Nord et l'Est, ont fait plus de 585 morts, selon un comptage de l'AFP. Ouagadougou, la capitale, a été touchée à trois reprises par des attentats.

Ces attaques ont aussi créé une crise humanitaire avec près de 300.000 déplacés qui ont fui le Nord et l'Est pour se réfugier plus au sud à où la pression jihadiste est moins forte.

Ces attaques ont aussi attisé les violences intercommunautaires.

Environ 2.000 écoles sont fermées.

L'armée burkinabè, qui subit de lourdes pertes, semble incapable d'enrayer les attaques. La menace, d'abord concentrée dans le Nord, touche plusieurs autres régions du pays, dont les régions de l'Est et de l'Ouest.

Les soldats français de l'opération Barkhane, qui luttent contre les jihadistes (4.500 hommes), interviennent de plus en plus fréquemment dans le nord du Burkina.

Mi-septembre, les pays de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), qui s'étaient réunis à Ouagadougou lors d'un sommet extraordinaire sur le sujet, avaient décidé d'un plan d'un milliard de dollars sur quatre ans pour éviter notamment que les jihadistes étendent leurs attaques aux pays situées plus au sud.

Le président nigérien Mahamadou Issoufou, président en exercice de la Cédéao, demande la création d'une force internationale pour lutter contre les groupes jihadistes au Mali, au Niger et au Burkina Faso.

29/09/2019 17:55:46 - Ouagadougou (AFP) - © 2019 AFP
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Message  antoine Sam 5 Oct 2019 - 7:26

Contestation en Irak : près de 100 morts et plus de 4 000 blessés
La commission gouvernementale des droits de l'homme irakienne a dressé, samedi, un dernier bilan du mouvement de contestation lancé mardi en Irak. Source AFP
Modifié le 05/10/2019 à 13:00 - Publié le 05/10/2019 à 10:36 | Le Point.fr
Environ 500 personnes ont ete arretees en Irak depuis mardi.
Environ 500 personnes ont été arrêtées en Irak depuis mardi.

© AHMAD AL-RUBAYE / AFP
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Quatre jours après le début d'un mouvement de contestation en Irak, le bilan humain est déjà très lourd. Près de 93 personnes, en grande majorité des manifestants, ont été tuées et environ 4 000 blessées depuis mardi, selon un dernier bilan samedi de la commission gouvernementale des droits de l'homme irakienne.

La plupart des manifestants tués l'ont été par balle, selon des sources médicales, qui avaient indiqué la veille que six policiers avaient été tués lors des manifestations antigouvernementales organisées à Bagdad et dans plusieurs régions du sud du pays à majorité chiite.

« Le gouvernement doit démissionner »
Dans la matinée, les magasins ont ouvert à Bagdad après la levée à l'aube du couvre-feu instauré jeudi. Mais Internet est toujours bloqué. Depuis le début du mouvement de contestation pour protester contre la corruption, le chômage et la déliquescence des services publics, les manifestants descendent dans la rue dans l'après-midi. La veille, de violents affrontements ont opposé à Bagdad les forces de sécurité aux manifestants et des tirs nourris ont résonné toute la journée et une partie de la nuit dans la capitale.

Vendredi, le très influent leader chiite irakien Moqtada Sadr a réclamé la démission du gouvernement d'Adel Abdel Mahdi qui avait appelé les manifestants à la patience. « Pour éviter davantage d'effusion de sang irakien, le gouvernement doit démissionner et des élections anticipées doivent se tenir sous supervision de l'ONU », a dit ce poids lourd de la politique irakienne, dont la coalition a quatre ministres au gouvernement. Ce coup de théâtre de Moqtada Sadr pourrait changer la donne : soit il galvanisera les manifestants qui réclament la chute du pouvoir, mais s'opposent à la récupération politique de leur mouvement, soit il poussera des débats au Parlement sur une chute du gouvernement. La session du Parlement prévue initialement à 12 heures a été retardée faute de quorum pour le moment, après la décision des 54 députés de la coalition de Moqtada Sadr, premier bloc à l'assemblée, de la boycotter.

« De nouvelles manifestations attendues »
Né d'appels sur les réseaux sociaux, le mouvement de contestation proteste contre la corruption, le chômage et la déliquescence des services publics dans un pays sorti il y a moins de deux ans de près de quatre décennies de conflits et en pénurie chronique d'électricité et d'eau potable. Après la levée du couvre-feu à Bagdad avant l'aube, des magasins ont rouvert dans différents quartiers de la capitale où généralement les manifestations et les violences éclatent dans l'après-midi pour durer jusqu'à tard la nuit.

Des gens étaient installés dans des cafés, devant lesquels des employés de la municipalité nettoyaient les restes des pneus brûlés lors des violences nocturnes, a constaté un journaliste de l'AFPTV. Dans le centre de Bagdad, cité tentaculaire de neuf millions d'habitants, les rues menant à la place Tahrir d'où est partie la contestation étaient toutefois toujours bouclées par un important déploiement des forces de l'ordre et de véhicules blindés. Après des affrontements violents entre manifestants et forces de sécurité vendredi à Bagdad et des tirs très nourris toute la journée, des habitants s'attendent à de nouvelles manifestations alors que l'Internet est toujours coupé.

« Personne ne nous représente »
Les autorités ont réclamé du temps aux manifestants pour mettre en place des réformes afin d'améliorer les conditions de vie des 40 millions d'habitants du pays ravagé par les guerres, le chômage et la corruption. Mais Moqtada Sadr, dont la coalition participe au gouvernement, a repris vendredi à son compte la principale revendication des manifestants et appelé le gouvernement d'Adel Abdel Mahdi à démissionner. Les manifestations constituent le premier test pour le gouvernement d'Adel Abdel Mahdi, en place depuis à peine un an.

Dans la rue, les manifestants sont eux clairs depuis mardi. « Personne ne nous représente, ils ramènent des types, leur mettent un costume et les installent au Parlement », a lancé vendredi soir l'un d'eux à l'Agence France-Presse, un drapeau irakien noué en bandeau autour du front. « On ne veut plus des partis, on ne veut plus de personne qui parle en notre nom ». Pour cela, Moqtada Sadr a pris soin d'appeler ses partisans à mener des sit-in, tout en laissant au mouvement son caractère « populaire » et « non partisan ».

« Des manifestations antisystème »
Les responsables irakiens, pour beaucoup aux affaires depuis 16 ans, ont vu se dresser devant eux un phénomène inédit, explique Fanar Haddad, spécialiste de l'Irak. « Ce sont des manifestations antisystème », affirme-t-il, qui diffèrent des traditionnels défilés pour réclamer de l'électricité ou de l'eau potable, dans un pays pourtant deuxième producteur de l'Opep. « C'est la première fois », ajoute le chercheur, « qu'on entend des gens réclamer la chute du régime », qui repose sur une répartition confessionnelle et ethnique des postes et a créé népotisme et clientélisme.

Ce qui peut désormais contenter ce sont « des changements majeurs et des décisions radicales, comme le limogeage de grands noms de la politique accusés de corruption », assure à l'Agence France-Presse Sarmad al-Bayati, expert en questions sécuritaires.
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Message  antoine Lun 14 Oct 2019 - 12:50

Mexique: quatorze policiers tués dans une embuscade
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 19 min
Quatorze policiers ont été tués lundi dans une embuscade dans l'Etat de Michoacan, dans l'ouest du Mexique, a annoncé le ministère fédéral en charge de la Sécurité.

À lire aussi : «Le procès d'El Chapo n'a apporté aucune solution au problème du narcotrafic»
«Quatorze policiers sont morts dans l'attaque qui s'est produite dans la ville d'Aguililla», dans le Michoacan, a déclaré la ministre chargée de la Sécurité publique sur son compte Twitter.
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Message  antoine Ven 25 Oct 2019 - 12:22

En Irak, 14 morts dans de nouvelles manifestations pour "la chute du régime"
AFP
Modifié le 25/10/2019 à 18:16 - Publié le 25/10/2019 à 09:16 | AFP
En Irak, 14 morts dans de nouvelles manifestations pour En Irak, 14 morts dans de nouvelles manifestations pour "la chute du régime" © AFP / -
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La contestation antigouvernementale a repris en Irak, avec des violences faisant vendredi 14 morts à Bagdad et dans le sud du pays, où les protestataires s'en sont pris aux institutions, partis et groupes armés.

Après la mort de plus de 150 personnes en une semaine début octobre, principalement des manifestants qui réclamaient "la chute du régime" dans la capitale, les protestataires ont tourné vendredi leur colère contre les institutions publiques et les QG de partis politiques et de factions armées.

Dans le sud du pays, ils ont incendié ou saccagé deux sièges de gouvernorat, à Nassiriya et Diwaniya, une quinzaine de sièges de partis politiques ou de groupes armés membres de la puissante coalition des paramilitaires du Hachd al-Chaabi, premier allié du gouvernement d'Adel Abdel Mahdi.

A la mi-journée, le grand ayatollah Ali Sistani, plus haute autorité religieuse chiite d'Irak, avait appelé les forces de sécurité et les manifestants à la "retenue" pour éviter le "chaos".

Mais au cours de la journée, dix manifestants ont été tués par balles alors qu'ils s'en prenaient à des QG d'Assaïb Ahl al-Haq ("La ligue des vertueux" en arabe) --l'une des factions les plus puissantes du Hachd-- à Amara et Nassiriya, dans le sud, selon des sources médicales et policières. Deux autres manifestants ont péri dans l'incendie du siège d'un parti à Samawa, également dans le sud.

Le matin, deux manifestants ont été tués à Bagdad, touchés mortellement par des grenades lacrymogènes et assourdissantes, alors que les rassemblements se poursuivent dans la plupart des villes du sud et sur l'emblématique place Tahrir à Bagdad.

A Bagdad, les forces de sécurité ont tiré des barrages de grenades lacrymogènes et assourdissantes pour repousser vers la place Tahrir les manifestants qui ont tenté d'entrer dans la Zone verte non loin, où siègent le pouvoir irakien et l'ambassade des Etats-Unis. Des centaines de personnes ont été blessées.

En fin de journée, des milliers de manifestants sont toujours rassemblés sur Tahrir, tandis que des heurts limités se poursuivent sur le pont al-Joumhouriya adjacent, qui mène à la Zone verte.

"Tous des voleurs"
Le grand ayatollah Sistani a de nouveau appelé à des réformes et à la fin de la corruption, l'une des revendications premières des manifestants. Il n'a néanmoins pas indiqué, comme il l'a déjà fait par le passé avec d'autres Premiers ministres, qu'il se désolidarisait du Premier ministre Adel Abdel Mahdi.

C'est pourtant M. Abdel Mahdi, entré en fonctions il y a un an jour pour jour, que la rue tient vendredi pour responsable de ses maux, comme l'ensemble de la classe politique d'Irak, 12e pays le plus corrompu au monde.

"Adel Abdel Mahdi nous ment", ont crié des manifestants, après un nouveau discours dans la nuit durant lequel il a annoncé des mesures sociales et réformes législatives sans proposer des changements radicaux réclamés par la contestation: une nouvelle Constitution et une classe politique renouvelée.

"Ce sont tous des voleurs, ils mentent en promettant des emplois et quand on manifeste, ils nous tirent dessus avec des grenades lacrymogènes", s'est emporté un jeune manifestant, drapeau national sur les épaules.

C'est sur la place Tahrir que le mouvement de contestation a repris jeudi soir après de nouveaux appels à manifester relayés sur les réseaux sociaux.

La prochaine étape de l'escalade redoutée est l'arrivée dans la rue des nombreux partisans du turbulent leader chiite Moqtada Sadr. En 2016, ces derniers avaient occupé les institutions du pays dans la Zone verte.

"Ma part du pétrole"
Déclenchées spontanément le 1er octobre par des appels sur les réseaux sociaux, les manifestations avaient été marquées jusqu'au 6 octobre par la mort de 157 personnes, selon le bilan officiel.

Ce mouvement spontané est le premier du genre en Irak, riche pays pétrolier en pénurie chronique d'électricité et d'eau potable.

"Je veux ma part du pétrole", a lancé une manifestante place Tahrir, alors que 20 % de la population vit sous le seuil de pauvreté dans ce pays à majorité chiite.

Comme début octobre, le Kurdistan autonome (nord) s'est tenu loin des turbulences.

Dans le nord et l'ouest, majoritairement sunnites et repris il y a deux ans au groupe jihadiste Etat islamique (EI), personne n'a défilé, les militants disant redouter d'être réprimés et accusés de "terrorisme" ou de "soutien à l'ex-régime de Saddam Hussein".

25/10/2019 18:15:42 - Bagdad (AFP) - © 2019 AFP
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Message  antoine Ven 25 Oct 2019 - 13:29

Le bilan officiel des violences vendredi en Irak atteint 21 morts
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 21 min
Au moins 21 manifestants ont été tués vendredi en Irak, dont huit à Bagdad, a annoncé en soirée la Commission gouvernementale des droits de l'Homme, alors qu'un premier épisode de contestation antigouvernementale s'était soldé par plus de 150 morts.

À lire aussi : Irak: des manifestations inédites contre la classe politique, durement réprimées
La moitié de ces morts sont des manifestants tués par balles alors qu'ils s'en prenaient à des QG, situés dans le sud du pays, d'Assaïb Ahl al-Haq («La ligue des vertueux» en arabe) -l'une des factions les plus importantes du Hachd al-Chaabi, puissante coalition de paramilitaires, ont précisé des sources médicales et policières.
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Message  antoine Mer 13 Nov 2019 - 14:13

Treize morts dans de nouvelles frappes sur Gaza, salves de roquettes sur Israël
AFP
Modifié le 13/11/2019 à 19:50 - Publié le 13/11/2019 à 10:16 | AFP
Treize morts dans de nouvelles frappes sur Gaza, salves de roquettes sur IsraëlTreize morts dans de nouvelles frappes sur Gaza, salves de roquettes sur Israël © AFP / MENAHEM KAHANA
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Au moins 13 Palestiniens ont été tués mercredi dans des frappes israéliennes dans la bande de Gaza, d'où des salves de roquettes ont sans cesse visé des villes d'Israël, une escalade qui ne montre aucun signe d'apaisement.

Ces morts portent à 23 le nombre de Palestiniens tués, dont trois enfants, depuis une opération israélienne qui a tué mardi à l'aube un commandant du groupe armé Jihad islamique à Gaza, élément déclencheur de cet accès de violences.

Pour le deuxième jour consécutif, les sirènes d'alerte ont retenti mercredi dans plusieurs villes israéliennes aux alentours de Gaza, dont Ashkelon, après de nouveaux tirs de roquettes qui ont précipité dans la foulée des bombardements israéliens sur l'enclave palestinienne, contrôlée par le groupe islmaiste Hamas.

L'armée israélienne a dit viser des positions du Jihad islamique, notamment un site où des combattants de cet autre groupe islamiste à Gaza s'apprêtaient, selon elle, a tiré un missile antichar sur Israël.

Ces frappes israéliennes ont fait 13 morts mercredi, dont des membres des forces al-Qods, la branche armée du Jihad islamique, selon ce groupe.

Mardi, l'armée et les services de sécurité intérieure (Shin Beth) avaient mené une opération ciblée contre le haut commandant du Jihad islamique, Baha Abou al-Ata, et sa femme, dans leur appartement du nord-est de la bande de Gaza.

Le Jihad islamique a lancé dans la foulée un barrage de roquettes sur Israël, sans faire de mort.

"Déterminés à combattre"
Depuis mardi, au moins 360 roquettes ont été tirées de Gaza vers Israël, selon le dernier bilan de l'armée israélienne, qui a dit avoir intercepté environ 90 % de ces projectiles grâce à son système antimissile "Iron Dome".

Une roquette a endommagé une maison, une autre une usine, et une autre encore a frappé une autoroute, passant à quelques mètres de foudroyer des voitures en circulation.

"Cessez vos attaques, ou vous prendrez encore plus de coups", a prévenu mercredi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

"Nous sommes déterminés à combattre et à défendre notre pays, et s'ils pensent que ces salves de roquettes vont nous affaiblir ou nous faire perdre notre détermination, ils se trompent", a-t-il ajouté à l'endroit du Jihad islamique.

"Nous allons donner aux ennemis une leçon dont ils se souviendront", a rétorqué le rassemblement des unités de la "résistance" à Gaza, dont le Jihad islamique est partie prenante.

Mardi, des écoles, collèges, universités et autres institutions publiques avaient été fermés jusqu'à Tel-Aviv, la métropole économique d'Israël, située à environ 70 kilomètres de Gaza. Mercredi, tous les établissements publics le sont restés dans un rayon de 40 km autour de l'enclave palestinienne.

Les écoles étaient aussi fermées depuis mardi à Gaza, petite enclave où la population, soumise à un blocus depuis plus d'une décennie, vit au rythme de ces nouveaux bombardements.

Agé de 41 ans, père de cinq enfants, Baha Abou Al-Ata avait rejoint les rangs du Jihad islamique dans les années 1990 et était son commandant pour le nord de Gaza.

"Par tous les moyens"
Selon le chef de l'armée israélienne, Aviv Kochavi, Abou al-Ata avait tenté "par tous les moyens" de saboter une trêve entre Israël et le Hamas, en orchestrant notamment des tirs de roquettes vers Israël.

Le Hamas et Israël se sont livré trois guerres dans l'enclave depuis 2008. Mais ce groupe, contrairement au Jihad islamique, avait approuvé une trêve négociée par l'entremise de l'ONU, de l'Egypte, pays frontalier de Gaza, et du Qatar, émirat du Golfe qui entretient à la fois des relations avec les groupes gazaouis et Israël.

Si l'armée israélienne tient le Hamas pour responsable de toutes les attaques depuis cette enclave, elle n'a officiellement visé pour l'instant que les positions du Jihad islamique, un élément clé qui n'a pas échappé à la presse locale.

"Pour la première fois dans l'ère récente, Israël a fait une distinction entre le Hamas et le Jihad islamique", a résumé mercredi l'influent commentateur politique Ben Caspit dans les pages du journal Maariv. "Israël dévie ainsi de son principe béton selon lequel le Hamas, en tant que pouvoir souverain à Gaza, doit payer le prix pour tout ce qui se passe à Gaza".

Pour tenter de freiner cette spirale de violence, l'émissaire de l'ONU pour le Moyen-Orient, Nickolay Mladenov, est arrivé mercredi après-midi au Caire pour mener avec les Egyptiens --qui bénéficient d'une forte influence sur Gaza et de relations officielles avec Israël-- une médiation en vue d'une "désescalade urgente".

13/11/2019 19:49:02 - Gaza (Territoires palestiniens) (AFP) - © 2019 AFP

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Message  antoine Dim 1 Déc 2019 - 10:11

Syrie: environ 70 combattants tués dans de violents affrontements à Idleb
AFP
Modifié le 01/12/2019 à 15:31 - Publié le 01/12/2019 à 12:55 | AFP
Syrie: environ 70 combattants tués dans de violents affrontements à IdlebSyrie: environ 70 combattants tués dans de violents affrontements à Idleb © AFP/Archives / Omar HAJ KADOUR
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L'accord de cessez-le-feu dans la région d'Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie, a été fragilisé par deux jours d'affrontements violents entre les forces prorégime et des factions jihadistes et rebelles ayant fait près de 70 morts, a indiqué dimanche une ONG.

Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), ces affrontements ont entraîné la mort de 36 membres des forces du régime syrien et de 33 combattants dans le camp adverse.

"Il s'agit des combats les plus violents dans la province d'Idleb depuis l'entrée en vigueur de l'accord du cessez-le-feu" annoncé fin août par le régime syrien et son allié russe, a indiqué à l'AFP le directeur de l'OSDH Rami Abdel Rahmane.

Dimanche matin, des colonnes de fumée s'élevaient dans le ciel de la région de Maarat al-Noomane, survolée par des avions bombardant des positions des groupes jihadistes et rebelles, a constaté un correspondant de l'AFP.

"Les forces du régime mènent (...) une contre-attaque dans un secteur du sud-est d'Idleb, où les groupes rebelles et jihadistes avaient pris le contrôle samedi de quatre villages", a précisé M. Abdel Rahmane.

"Elles ont réussi à les reconquérir intégralement", a-t-il ajouté, tout en faisant état d'une "poursuite des combats".

En début d'après-midi, le champ de bombardement aérien s'est élargi pour inclure d'autres secteurs de l'est et du sud d'Idleb, dont la ville de Saraqeb, selon le correspondant de l'AFP.

La province d'Idleb est dominée par les jihadistes du groupe Hayat Tahrir al-Cham (HTS), l'ex-branche syrienne d'Al-Qaïda. Cette région, et des secteurs adjacents des provinces d'Alep, de Hama et de Lattaquié, échappe toujours dans sa vaste majorité au régime syrien.

Ces zones abritent aussi plusieurs autres groupuscules jihadistes et des rebelles affaiblis.

Trêve violée
Entre fin avril et fin août, la région avait été pilonnée sans interruption par l'armée syrienne, appuyée par l'aviation russe. Près d'un millier de civils ont péri durant cette période, selon l'OSDH, tandis que plus de 400.000 personnes ont été déplacées, d'après l'ONU.

En dépit de la trêve annoncée le 31 août, les combats au sol, d'abord sporadiques, se sont intensifiés ces dernières semaines. Près de 470 combattants ont péri dans ces affrontements, dont environ 250 combattants des forces du régime et de leurs alliés.

Quant aux bombardements aériens et à l'artillerie lourde, ils ont tué plus de 160 civils, dont 45 enfants, depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu, selon l'OSDH.

Ces derniers jours, des habitants de la région de Maaret al-Noomane ont fui les violences, se dirigeant vers des zones plus au nord, tandis que certains villages étaient totalement déserts.

Hafez a quitté il y a deux jours son village avec sa femme et ses trois enfants.

"J'ai eu peur pour mes enfants des bombardements aériens aléatoires dont le rythme s'est accéléré", affirme à l'AFP ce père de famille âgé de 30 ans, qui a trouvé refuge à la frontière syro-turque.

"Je ne supporterais pas de voir mes enfants ensevelis sous les décombres", ajoute-t-il.

La semaine dernière, la cheffe de la diplomatie européenne Federica Mogherini a condamné des bombardements "inacceptables" visant des civils et des infrastructures vitales.

Bataillé clé
En octobre, le président syrien Bachar al-Assad a effectué sa première visite dans la province depuis le début de la guerre en 2011, affirmant que la bataille d'Idleb était la clé pour y mettre fin.

Fort du soutien de Moscou et de l'Iran, le régime syrien a enchaîné ces deux dernières années les victoires contre les rebelles et les jihadistes et contrôle désormais plus de 70 % du territoire, selon l'OSDH.

En octobre, il a amorcé son déploiement dans des localités du nord et l'est du pays contrôlées jusque-là par les Forces démocratiques syriennes (FDS), une alliance de combattants arabes et kurdes, acculées à appeler Damas à la rescousse face à l'offensive turque et leur lâchage par les Américains.

En dépit de leur retrait d'une bande frontalière de 120 kilomètres de long, les FDS contrôlent toujours un vaste territoire qui s'étalait sur plus du quart de la Syrie avant le début de l'opération d'Ankara.

Ces régions ont longtemps été dans le collimateur du régime syrien qui cherche à reconquérir l'ensemble du pays.

Déclenchée il y a plus de huit ans par des manifestations pro-démocratie, le conflit syrien s'est complexifié au fil des ans, impliquant une panoplie de puissances étrangères et de groupes radicaux. Le conflit a fait plus de 370.000 morts et des millions de déplacés.

01/12/2019 15:29:53 - Sorman (Syrie) (AFP) - © 2019 AFP

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Message  antoine Jeu 12 Déc 2019 - 13:56

L'Etat islamique revendique l'attaque meurtrière à Inates au Niger
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 1 heure, mis à jour il y a 1 heure
Le groupe Etat islamique a revendiqué jeudi l'attaque meurtrière d'Inates, dans l'Ouest du Niger, à la frontière malienne, qui a fait 71 morts et des disparus mardi, rapporte l'organisme américain de surveillance des mouvements extrémistes SITE, citant le groupe ISWAP (Etat islamique en Afrique de l'Ouest).

À lire aussi : Pourquoi l’État islamique survivra à la disparition de son chef
«Les soldats du califat ont attaqué la base militaire d'Inates (...) les moudjahidine l'ont contrôlée pendant plusieurs heures», affirme le communiqué de l'EI qui donne un bilan de «100 tués» côté armée nigérienne.

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Message  antoine Mer 25 Déc 2019 - 1:15

Attaque au Burkina: 35 civils tués, dont de nombreuses femmes
AFP
Modifié le 25/12/2019 à 05:49 - Publié le 25/12/2019 à 01:20 | AFP
Attaque au Burkina: 35 civils tués, dont de nombreuses femmesAttaque au Burkina: 35 civils tués, dont de nombreuses femmes © AFP/Archives / ISSOUF SANOGO
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Trente-cinq civils, dont 31 femmes, ont été tués mardi dans une attaque jihadiste à Arbinda, dans le nord du Burkina Faso, une des plus meurtrières de l'histoire de ce pays sahélien, qui a décrété 48 heures de deuil national.

C'est le président burkinabè Roch Kaboré en personne, à qui a souvent été reproché son manque de poigne face aux groupes jihadistes, qui a annoncé sur Twitter le macabre bilan de cette "attaque barbare".

Quatre soldats et trois gendarmes ont également péri, et "80 terroristes ont été neutralisés" (tués), selon le président et l'état-major des armées burkinabè, qui avait annoncé l'attaque plus tôt dans un communiqué.

Mardi matin, "un nombre important de terroristes ont attaqué simultanément le détachement militaire et les populations civiles d'Arbinda", dans la province du Soum, selon l'état-major des armées. L'attaque, d'une "rare intensité", a duré "plusieurs heures".

"Dans leur fuite, les terroristes ont lâchement assassiné 35 civils, dont 31 femmes, et blessé six personnes", a précisé dans un communiqué mardi soir le ministre de la communication et porte-parole du gouvernement Remis Dandjinou.

Une "vingtaine" de soldats ont aussi été blessés, selon le ministre.

Il s'agit d'une des attaques les plus meurtrières qu'ait connus ce pays pauvre d'Afrique de l'ouest, en proie depuis 2015 à des attaques jihadistes récurrentes, comme ses voisins le Mali et le Niger.

Début novembre, 38 employés d'une société minière avait été massacrés lors de l'attaque de leur convoi dans l'Est du pays.

Armée sous-équipée
Le président Kaboré a salué "l'engagement et la bravoure" des Forces de défense et de sécurité, qui ont "repoussé l'attaque contre le détachement d'Arbinda". "Une centaine de motos, de l'armement et des munitions en grande quantité ont également été récupérés", selon l'état-major.

"En ce jour de Noël, ayons une pensée pieuse pour les familles éplorées par les attaques terroristes contre notre pays et soyons en communion avec nos vaillants soldats qui se battent avec héroïsme pour assurer la sécurité du territoire national", a écrit le chef de l'Etat dans la nuit.

Depuis 2015, les attaques jihadistes au Burkina ont fait plus de 700 morts, selon un décompte de l'AFP, et environ 560.000 déplacés et réfugiés, d'après les Nations unies.

Le Nord et l'Est du pays sont particulièrement touchés. Ouagadougou, la capitale, a été frappée à trois reprises.

Ces attaques sont rarement revendiquées mais attribuées à des groupes armés jihadistes, certains affiliés à Al-Qaïda et d'autres au groupe État islamique.

Les jihadistes mènent des assauts de plus en plus massifs et organisés, avait expliqué récemment à l'AFP Serge Michailof, expert à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS).

Les forces de l'ordre burkinabè, qui paient un lourd tribut, semblent incapables d'enrayer les violences jihadistes. Elles restent sous-équipées et sous-entraînées, en dépit des discours volontaristes du gouvernement.

Depuis deux mois, les forces de défense et de sécurité burkinabè ont revendiqué une série de succès, affirmant avoir tué une centaine de jihadistes au cours de plusieurs opérations. Des bilans toutefois impossibles à confirmer de source indépendante.

Face au péril jihadiste, cinq Etats sahéliens (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Tchad) qui tentent depuis 2015 de mettre sur pied une force militaire conjointe de 5.000 soldats, ont appelé mi-décembre la communauté internationale à les soutenir davantage.

Malgré la présence de forces françaises (4.500 soldats de l'opération Barkhane), de l'ONU (Minusma au Mali), ainsi que de forces américaines, le Sahel subit des attaques jihadistes de plus en plus fréquentes et meurtrières, depuis les premières violences dans le nord du Mali en 2012.

La France a convié en janvier les cinq Etats sahéliens à un sommet pour "redéfinir plus clairement les objectifs militaires, politiques et de développement" de la lutte commune contre les groupes jihadistes, selon le président Emmanuel Macron, qui estime ambiguë l'attitude des présidents burkinabé et malien sur le soutien français.

25/12/2019 05:48:11 - Ouagadougou (AFP) - © 2019 AFP
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Message  antoine Sam 4 Jan 2020 - 9:33

14 civils, dont des élèves, tués dans une attaque au Burkina
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 2 min
Au moins quatorze civils, dont des élèves, ont été tués samedi par l'explosion d'un engin artisanal au passage d'un car dans le nord-ouest du Burkina Faso, a appris l'AFP de sources sécuritaires.

«Un véhicule de transport en commun a sauté sur un engin artisanal ce matin sur l'axe Toeni-Tougan [province du Sourou, frontalière du Mali]. Le bilan provisoire est de quatorze morts et quatre blessés graves qui ont été pris en charge», a indiqué à l'AFP une source sécuritaire. «L'incident a eu lieu aux environs de 9h (locales et GMT) et les missions de sécurisation et de secours ont été aussitôt déployées sur les lieux», a précisé la même source.

À lire aussi : Miné par le djihadisme, le Burkina Faso menace de s’effondrer
«Les victimes sont essentiellement des élèves (d'un collège) qui regagnaient leur localité d'études après avoir passés les fêtes de fin d'année en famille», a expliqué une autre source sécuritaire, confirmant le bilan provisoire.

Dans un communiqué samedi, l'état-major général des armées burkinabè a par ailleurs fait cas d'une attaque contre une unité de gendarmerie à Inata (nord) survenu «vendredi 3 janvier, vers 5h du matin». «Faisant preuve d'un sang-froid et d'une réactivité exemplaires, les éléments ont réussi à mettre en échec les assaillants. Le bilan fait état d'une dizaine de terroristes neutralisés» , indique le communiqué. «De l'armement, des munitions et divers matériels dont des stupéfiants ont également été récupérés.»

À lire aussi : Au Burkina Faso, une attaque djihadiste tuait 35 civils fin décembre
Le Burkina Faso, frontalier du Mali et du Niger, est confronté à des attaques djihadistes qui ont fait environ 750 morts et 560.000 déplacés depuis 2015. Le Nord et l'Est sont particulièrement touchés. Ouagadougou, la capitale, a été frappée à trois reprises. Les attaques avec des engins artisanaux, débutées en août 2018, se sont multipliées depuis.

Mardi, dans une adresse télévisée à la nation à l'occasion du Nouvel An, le président burkinabé Roch Marc Christian Kaboré a assuré que la «victoire» sur le «terrorisme» était «certaine».
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