Vidéo-info : "Mars 2012 : Sarkozy revient une nouvelle fois sur la nécessité du N.O.M."!

Bon visionnement !

Octo !

On ne peut rien comprendre à la politique de Nicolas Sarkozy si l'on ne connaît pas ses origines.

Descendant d'une vieille famille juive de Salonique par sa mère née Mallah, il appartient à une famille qui, par son grand-père maternel, avait joué un rôle important dans la révolution Jeunes Turcs de Kémal Ataturk, révolution essentiellement «marrane», puis fut l'un des artisans de la création de l'Etat d'Israël.

On comprend ainsi pourquoi devant un auditoire de banquiers juifs américains à New-York, il avait avoué “se sentir un peu étranger en France”

Alors que le 31 mai 2006 lors d'un voyage en Israël il avait déclaré :

“Quand je suis en Israël je me sens un peu chez moi”.

Il est comme le disait son ami Christian Estrosi, avant les Présidentielles 2007, "le candidat naturel des Juifs".

On comprend dès lors pourquoi il pousse de toutes ses forces vers le Gouvernement mondial qu'il annonçait brutalement dans son discours du 16 janvier 2009 :
“On ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial”.
“Et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer”.

Il est donc bien l'agent du mondialisme cosmopolite placé à la tête de la France pour la détruire et l'amener à accepter le Gouvernement mondial, la République universelle annoncée depuis la Révolution dite française par les Ramsay, Weishaupt et autres Kloots.

Sarkozy apparaît ainsi à notre échelle, comme le vecteur de ce qu'annonçait le financier juif américain Paul Warburg devant le Sénat des États-Unis, le 17 février 1950 :
"Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non".
"La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consentement".

D'où la déclaration, vingt ans plus tard, du baron Edmond de Rothschild, déclarant :
"Le verrou qui doit sauter, c'est la nation".

On en voit le prolongement dans le discours de Nicolas Sarkozy devant l'Assemblée générale de l'ONU en octobre 2007 :
“Au nom de la France, j'appelle tous les États à se réunir pour fonder un nouvel ordre mondial du XXIème siècle”, volonté qu'il confirmait dans la lettre de mission envoyée le 27 août 2007 à son ministre des Affaires Étrangères, Bernard Kouchner :
"C'est en définitive vers un "ministère de la Mondialisation" que nous vous demandons de faire évoluer notre outil diplomatique".

Cette volonté de Nicolas Sarkozy d'amener la France à accepter la "gouvernance mondiale", s'appuie sur l'immigration et ses pompes aspirantes qu'il impose pour en modifier la composition ethnique.

Sa déclaration du 17 décembre 2008, à l’École Polytechnique, ne laisse aucun doute :
“L’universalisme de la France est basé sur le métissage” et pour l'imposer il entendait que “soient réservées à la rentrée 2010, 30% des places aux “issus de l’immigration”.
Cela sans concours d'entrée contrairement aux Français !

«Le métissage n’est pas un choix, c’est une obligation», poursuivait-il.
«Nous devons changer et on va se mettre des obligations de résultat» !
«Si ce volontarisme républicain ne fonctionne pas, il faudrait que la République passe alors à des méthodes plus contraignantes encore»...!!!

Telle est la liberté des Français sous le mondialiste juif Sarkozy.

Quant à son ministre de l'Immigration, Éric Besson il confirmait dans Le Parisien, 5.1.2010, cette volonté de changer la substance de la France :
«La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble.
"Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France du métissage».

Telle est la volonté de destruction physique et ethnique de la France de Nicolas Sarkozy qui avait déclaré à Philippe de Villiers :
«Être totalement insensible à la France, à son histoire, son terroir, ses paysages, ses traditions».

Aujourd'hui pour les besoins de sa campagne électorale, il flatte son électorat en invoquant une "France forte", en refusant le droit de vote des étranger, le mariage homosexuel et l'euthanasie, qui faisaient partie de son programme des Présidentielles de 2007.

Son revirement pour capter à nouveau, les voix des "bien-pensants", ne durera que l'espace de l'élection.
Les promesses n'engageant "que ceux qui y croient" comme disait cet autre maître menteur de Pasqua !

Car que pense Sarkozy réellement ?

- Sur le vote des immigrés, dans son livre Libre, publié en 2001, puis aux Présidentielles 2007, il prônait l’octroi de la nationalité française aux immigrés, même pas nés en France et leur droit de vote.

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