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Message  Invité Jeu 8 Juil 2010 - 3:05



De tous les auteurs consultés, Maria d’Agréda (1602-1665) se révèle être la mystique la plus précise quant aux affirmations temporelles qu’elle transmet de ses révélations célestes, au sujet de Sainte Anne et Saint Joachim. Certains aspects, comme la datation de l’homme sur la terre, est commune à l’ensemble de la mystique chrétienne, qui s’accorde à situer la création d’Adam, 4000 ans avant la naissance de Notre Seigneur Jésus Christ.



De l’oeuvre sur la « Vie Divine de La Très Sainte Vierge Marie » :



- intégralité du chapitre 5 « bienheureuse mort de ses saints parents. Persécutions qu’elle souffre », pages 26 à 29 :



« Six mois après qu’elle fut entrée dans le Temple [La Très Sainte Vierge Marie], son bienheureux père Joachim tomba malade. Dieu l’ayant révélé à la très sainte enfant, elle pria le Seigneur pour lui et lui envoya douze Anges pour l’assister et le consoler. Ayant appris le jour et l’heure à laquelle il devait mourir, elle lui envoya tous les anges de sa garde. Le saint non-seulement les vit, mais les reconnut pour les anges qui gardaient sa très chère fille Marie. Les Anges s’entretinrent avec lui de plusieurs mystères, et par le commandement de Dieu, lui révélèrent avant sa mort, que Marie avait été choisie par le Tout-Puissant pour être la mère du Messie, ce qu’il ignorait encore. Il fut chargé de porter cette heureuse nouvelle aux saints pères des Limbes. Lorsque les saints anges tenaient ce discours à Joachim, son épouse Sainte Anne était présente l’assistant au chevet de son lit, et elle entendit tout par la permission divine. Quand ils eurent fini, saint Joachim perdit la parole, et commença à agoniser, partagé entre la joie d’une nouvelle si agréable et la douleur de la mort. Il mourut paisiblement à l’âge de soixante-neuf ans et demi; à quarante-six ans il avait épousé Sainte Anne et vingt ans après leur mariage, ils eurent la très pure Marie, qui avait trois ans et demi lors de la mort de son père. Le saint patriarche étant mort, les saints anges s’en retournèrent vers leur reine et lui apprirent tout ce qui était arrivé. La très sage fille cacha ce qu’elle en savait lorsque sa mère lui en envoya la nouvelle par une lettre écrite à sa maîtresse Anne la prophétesse. Ce fut la première affliction que ressentit la jeune Marie dans cet âge si tendre. Peu auparavant le Seigneur lui avait dit dans une de ses visions: Vous êtes ma bien aimée, et je vous aime d’un amour infini, c’est pourquoi je ne veux pas vous priver des plus grands trésors que je réserve à ceux que j’aime, savoir la croix et les afflictions. Elle répondit avec plus de fermeté de coeur que tous les saints et les martyrs, que s’il lui permettait de faire choix de quelque chose elle ne voulait que souffrir pour son amour jusqu’à la mort. Dieu agréa cette demande et après la peine extérieure de la mort de son père, il commença à l’exercer par des afflictions intérieures. Il la priva de la communication sensible des saints anges et des visions continuelles dont le Seigneur lui faisait part. Ses tourments furent plus grands que ceux de tous les saints ensembles; parce que son coeur aimait Dieu d’un amour incomparable et plus que tous les Séraphins. Craignant d’avoir perdu ses faveurs et les témoignages de son amour par sa négligence ou son ingratitude, elle s’affligeait au-delà de ce qu’il est possible d’exprimer. Elle aurait perdu mille fois la vie si Dieu ne la lui eût conservée par un miracle de sa puissance.

Ses afflictions s’accrurent de celles que lui suscita l’enfer Lucifer voyant une si grande Vertu dans cette jeune enfant commença à craindre que ce ne fut celle qui devait un jour lui écraser la tête. Il fit part à ses démons de ses soupçons et leur commanda de l’attaquer par les plus fortes tentations. Il mit tous ses moyens en oeuvre et redoubla toutes ses infernales suggestions. Marie le repoussa avec le bouclier invincible de l’oraison, et les armes si puissantes de la Sainte Écriture s’apercevant que tous ses artifices et ses assauts intérieurs ne pouvaient rien contre son coeur embrasé d’un pur amour, Lucifer usa d’un autre moyen; ce fut d’irriter contre elle ses compagnes. Il leur suggéra la pensée qu’elles seraient comptées pour rien auprès de Marie et qu’elle seule serait estimée et aimée de la maîtresse et des prêtres. Ces mauvaises suggestions firent une telle impression dans le coeur de ces jeunes filles qu’elles commencèrent à la haïr, à la détester, à la mépriser et à la traiter d’hypocrite. Elles tinrent entr’elles une conférence où elles résolurent de lui enlever les bonnes grâces des supérieurs, et de la faire chasser du temple. Elles lui dirent mille imprécations et lui firent mille outrages. La très prudente Vierge répondit avec une profonde humilité qu’elle ferait tous ses efforts pour s’amender, mais ses douces réponses n’amollirent point le coeur de ses compagnes, parce le Démon les irritait toujours davantage. Elles cherchaient toutes les occasions de la maltraiter et elles mirent en oeuvre mille moyens. Un jour, elles l’emmenèrent dans une chambre retirée, l’accablèrent d’outrages et même de coups. Elles haussèrent tellement la voix qu’elles furent entendues des prêtres du temple qui accoururent au bruit. Ils en demandèrent la cause, et elles répondirent toutes avec beaucoup d’indignation, qu’il n’était pas possible de vivre en paix avec Marie, que son caractère était terrible, qu’elle était hautaine et pleine d’hypocrisie. Les prêtres et la maîtresse la menèrent à une autre chambre et la reprirent avec sévérité, la menaçant de la congédier du temple. La très humble enfant avec une grande modestie, les remercia de leur réprimande et les pria de lui pardonner, promettant de se mieux conduire en toutes choses dans la suite. Elle s’en alla incontinent joindre ses compagnes, se prosterna à leurs pieds, et leur demanda pardon. Elles la reçurent dans leur compagnie, parce qu’elles crurent que cet acte était une punition imposée parles prêtres. Mais le dragon infernal augmenta la fureur de ces filles, et elles continuèrent à la discréditer avec une effronterie plus grande, inventant de nouveaux mensonges pour la perdre! Le Très-Haut ne permit jamais qu’on inventât des choses considérables ni indécentes, mais seulement des choses puériles; tout cela donna occasion à Marie d’exercer les vertus, et surtout sa très grande humilité en ne se défendant jamais de ces fausses imputations. Dieu mit enfin un terme aux épreuves de son épouse immaculée. Il apparut en songe à Siméon et à Anne, leur faisant connaître que Marie était très agréable à ses yeux, et qu’elle était très innocente de tout ce dont on l’accusait. Après cet avis du Seigneur, ils appelèrent la très sainte enfant, et lui demandèrent pardon d’avoir trop facilement ajouté foi aux fausses accusations de ses compagnes. Elle leur répondit avec une humilité toujours plus profonde. Les prêtres ainsi désabusés, la persécution cessa, et le Seigneur adoucit le mauvais vouloir des filles qui la faisaient souffrir. Mais ses afflictions intérieures causées par l’absence de son bien-aimé Seigneur ne cessèrent pas. Elles durèrent dix ans pendant lesquels elle souffrit au-delà de tout ce qu’il est possible d’exprimer. Le Très-Haut, il est vrai, découvrit sa face dans cet intervalle, afin qu’elle reçut quelque soulagement, mais ce ne fut pas fréquemment. Cette absence si pénible était convenable, afin que Marie se disposât par l’exercice de toutes les vertus à la sublime dignité de mère de Dieu, à , laquelle le Très-Haut la destinait de toute éternité. A la douzième année de son âge, les anges lui manifestèrent que la fin de la vie de sa Sainte mère Anne s’approchait. Dieu commanda à ses anges de porter réellement la sainte enfant auprès de sa mère malade, tandis qu’un d’entre eux prendrait sa place en prenant un corps aérien semblable au sien. Les anges obéirent au divin commandement et la très sainte enfant consola sa chère mère. Elle lui demanda sa bénédiction et la fortifia de ses saintes et ferventes paroles, et l’embrassa pour la dernière fois. Sa prudente mère ne lui découvrit pas le mystère du choix qui avait été fait d’elle pour être la mère du Messie attendu. Elle l’exhorta à ne pas sortir du temple avant d’avoir embrassé un état, à ne le faire qu’avec le consentement des prêtres du Seigneur, et si c’était la volonté de Dieu qu’elle se mariât, à prendre son époux dans la tribu de Juda et dans la famille de David. Elle lui recommanda de faire part aux pauvres de ses biens, et de demander incessamment au Tout-Puissant la venue du Messie. Sainte Anne avait un coeur magnanime, une intelligence élevée, une taille médiocre, quelque peu au-dessous de celle de sa très sainte fille Marie, le visage rond, la couleur blanche et vermeille, et les manières toujours égales. Elle vécut cinquante-six ans, à vingt-quatre ans elle se maria à Saint Joachim, elle passa vingt sans enfants, à quarante-quatre ans elle mit au monde la sainte Vierge. Elle vécut encore douze ans, trois en sa compagnie, et neuf pendant qu’elle était dans le temple. Elle avait quarante-huit ans lorsque Saint Joachim mourut. Quelques auteurs ont écrit qu’elle se maria trois fois, et qu’en chaque fois, elle fut mère d’une des trois Maries. Mais le Seigneur ne m’a révélé que son mariage avec Saint Joachim; et ne m’a pas fait connaître qu’elle ait eu d’autre fille que la très sainte Vierge mère de Dieu.



Synthèse et analyse des affirmations textuelles



Du chapitre 5, cité dans son intégralité précédemment, nous pouvons retenir que :



- Saint Joachim meurt à l’âge de 69 ans et demi ; à 46 ans il avait épousé Sainte Anne et 20 après leur mariage, ils eurent la très pure Marie, qui avait 3 ans et demi (soit 3 ans et 6 mois) lors de la mort de son père.



- A l’âge de 12 ans les anges manifestèrent à la Très Sainte Vierge Marie que la fin de la vie de sa Sainte mère Anne s’approchait.



- Sainte Anne vécut 56 ans, à 24 ans elle se maria à Saint Joachim, elle passa 20 sans enfants, à 44 ans elle mit au monde la Très Sainte Vierge Marie. Elle avait 48 ans lorsque Saint Joachim mourut.



Nous pouvons tout de suite observer que d’un point de vue purement logique et rationnel ces affirmations sont tout à fait plausibles, et qu’aucune contradiction n’apparaît.



Pour affiner notre analyse il convient de compléter par les extraits suivants :



- extrait du chapitre 6 « Ses epousailles avec le chaste Saint Joseph », page 34 :



« Le saint mariage fut célébré le huit septembre, Marie ayant quatorze ans accomplis et Saint Joseph trente-trois ».



- extrait du chapitre 7 « Comment le très haut prépara la Sainte Vierge et la combla de grâces pour la rendre digne d’être la mère de Dieu », page 34 :



« La Sainte Vierge s’occupa à des oeuvres de profonde humilité et d’héroïques vertus pendant les six mois et dix-sept jours qui s’écoulèrent depuis le mariage jusqu’à l’Incarnation du Verbe éternel ».



- extraits du chapitre 8 « Annonciation de la Sainte Vierge et incarnation du Verbe », pages 41 et 42 :



« La plénitude des temps étant accomplie dans lequel le fils unique devait s’incarner, Dieu le fit connaître à l’archange Gabriel, non par la voie ordinaire en éclairant l’ange inférieur par le supérieur, mais immédiatement, et lui révéla l’ordre et les paroles mêmes de son ambassade. […]. Il se dirigea vers la pauvre maison de Marie qui avait alors quatorze ans, six mois et dix-sept jours […]. A l’arrivée de l’archange, elle était dans une sublime contemplation des mystères qu’elle avait vus les jours précédents. Elle souhaitait vivement d’être la servante de cette bienheureuse femme qui devait être la mère du Messie […]. Toute absorbée dans la pensée que le Seigneur la voulait pour mère, elle se livra à des actes ardents d’amour et de conformité à la divine volonté, son chaste coeur naturellement comprimé par l’ardeur de ses mouvements et de ses affections distilla trois gouttes de sang qui tombèrent dans son sein virginal et le saint esprit en forma le petit corps du sauveur. Ainsi le coeur très pur de Marie par la force de l’amour divin fournit seul la matière dont ce côrps fut composé. Le corps divin de Jésus-Christ fut donc réellement formé au moment où inclinant la tête, Marie les mains jointes prononçait ces paroles; ecce ancilla domini, fecit mihi secundum verbum tuum. En ce moment la très sainte âme du sauveur fut créée et infuse dans ce corps, et la divinité s’unit à l’humanité par l’union hypostatique. Tout ceci s’accomplit un vendredi, le vingt-cinq du mois de mars, à l’aurore, à la même heure où Adam avait été créé, trois mille neuf cent soixante ans auparavant ».



Des chapitres 6, 7 et 8 cités précédemment, nous pouvons retenir que :



- L’Incarnation du Verbe eut lieu un vendredi, le 25 mars à l’aurore, à la même heure où Adam avait été créé 3960 ans auparavant, Marie ayant alors 14 ans, 6 mois et 17 jours.



NB 1: Nous savons que Denys le Petit a commis une erreur de 4 à 6 ans quant à la datation de la naissance du Christ. En prenant en compte cette erreur nous pouvons, à l’aide des indications données par Maria d’Agreda, déduire avec une incertitude de tout au plus 2 années la date de naissance et de mort de Saint Joachim et par prolongement celle de Sainte Anne, en considérant bien entendu exactes les indications temporelles données par Maria d’Agreda.



NB 2 : L’ensemble de la tradition catholique, jusqu’à nos jours, retient la conception ou incarnation de notre Sauveur le 25 mars et sa naissance le 25 décembre. Saint Louis-Marie Grignon de Monfort, dans son traité sur « L’amour de la sagesse éternelle », précise aux § 109 et 110, page 75 de mon édition : « Sa conception fut annoncée à la Sainte Vierge par l’ange Gabriel […] on eut cette conception un jour de vendredi, 25 ième de mars ; et le 25 de décembre, le Sauveur naquit dans la ville de Bethléem, dans une pauvre étable, où une crèche lui servit de berceau ».



La table chronologique établie par l’éminent Père Augustin Calmet, nous précise qu’à l’an 6 avant notre ère vulgaire « Hérode fait prêter serment à l’empereur Auguste par les Juifs. Cette année est la 747 ième de la fondation de Rome, selon Varon ; la 40 ième de l’ère julienne ; la 39 ième d’Auguste, depuis la mort de Jules César ; la 35 ième depuis qu’Hérode a été déclaré roi de Judée ; la 2 ième de la 193 ième olympiade […]. En cette année, le 25 mars, c'est-à-dire 5 ans, 9 mois et 7 jours avant l’ère vulgaire, l’Ange Gabriel est envoyé du ciel à Nazareth en Galilée, vers Marie, vierge de la maison de David, mariée depuis peu de temps à Joseph de la même maison, pour lui anoncer qu’elle concevra dans son sein, par l’opération du Saint-Esprit, le Verbe, le Fils de Dieu. 9 mois après, c'est-à-dire au mois de décembre, Marie se rend avec Joseph à Bethléem, pour se faire inscrire l’un et l’autre dans le dénombrement général des sujets de l’empire, ordonné 3 ans auparavant […]. Comme l’heure de son enfantement était arrivée, elle y met au monde vers le milieu de la nuit, le Fils de Dieu, d’une manière aussi miraculeuse, qu’elle l’avait conçu. Ce jour, mémorable à jamais, fut le 25 décembre, suivant une tradition constante ».



De toutes ces précisons historiques, nous pouvons légitimement retenir, sans grand risque d’erreur (2 ans tout au plus), l’an - 6 avant notre ère vulgaire pour la naissance de Notre Seigneur (c'est-à-dire l’an - 6 avant Jésus-Christ).



D’après Maria d’Agreda, lors de l’Incarnation du Verbe, la Très Sainte Vierge Marie est agée de 14 ans, 6 mois et 17 jours.



Il convient donc d’ajouter 9 mois, pour connaître l’âge qu’avait la Très Sainte Vierge Marie lors de la naissance de notre Seigneur Jésus, soit 15 ans, 3 mois et 17 jours.



En faisant la différence entre 15 ans, 3 mois et 17 jours et 3 ans et 6 mois, on déduit que 11 ans, 9 mois et 17 jours séparent la naissance du Sauveur et la mort de Saint Joachim.



Ainsi, en retenant le 25 décembre de l’an - 6 avant notre ère vulgaire pour la naissance de Notre Seigneur (c'est-à-dire le 25 décembre de l’an - 6 avant Jésus-Christ), et en considérant des mois de 30 jours, nous obtenons la date du 11 octobre de l’an - 18 avant Jésus-Christ pour la mort de Saint Joachim.



Sachant que Saint Joachim est mort à 69 ans et 6 mois, nous déduisons la date du 11 avril de l’an - 88 avant Jésus-Christ pour la naissance de Saint Joachim.



Etant donné que Sainte Anne a vécut 56 ans et avait 48 ans lorsque Saint Joachim mourut, nous pouvons conclure que notre sainte aïeule est née aux alentours de l’an - 66 avant notre ère vulgaire (c'est-à-dire l’an - 66 avant Jésus-Christ) et est morte aux alentours de l’an - 10 de notre ère vulgaire (c'est-à-dire l’an - 10 avant Jésus-Christ).



NB 1: en faisant ce calcul nous avons bien conscience, qu’une date tout à fait exacte ne peut être avancée, car l’on considère des mois de 30 jours, et une incertitude de 2 ans liée à l’erreur de Denys le Petit. Pour autant, dans l’hypothèse à laquelle nous adhérons sans hésitation, concernant la justesse des indications temporelles données par Maria d’Agreda, l’approximation reste tout à fait valable. Nous pouvons raisonnablement soutenir que Sainte Anne et Saint Joachim sont respectivement nés autour de l’an - 66 et - 88 avant Jésus-Christ, et qu’ils auraient eu à peu près 22 ans d’écart.



NB 2: nous pouvons vérifier la justesse arithmétique de notre calcul, en considérant notamment que Sainte Anne avait 44 ans lorsque elle mit au monde la Très Sainte Vierge Marie autour de l’an - 22 de notre ère vulgaire (- 22 avant Jésus-Christ), en rappelant que nous avons fixé la naissance de Notre Seigneur Jésus l’an - 6 de notre ère vulgaire, ce qui fait une différence de 16 ans (n’ayant pas pris en compte dans la dernière phase de notre calcul, les mois et les jours, ce qui aurait exactement donné 15 ans, 3 mois et 17 jours).



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