Ma présentation - Étienne Lorant
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Ma présentation - Étienne Lorant
J'avais résolu d'écrire ici mon expérience de conversion, en août 1985, mais suis-je capable d'aller au bout ? Essayons !
C'était un dimanche d'août. A 29 ans, j'avais ouvert ma boutique depuis deux ans, après avoir tenté de trouver ma voie au sein de services commerciaux (exportation) de diverses entreprises. Les affaires démarraient bien, mais je n'étais pas heureux. Il y a toujours plus à chercher. Les relations sentimentales de courtes durées, j'en avais assez. Le lundi de cette semaine-là, j'avais déclaré à la femme dont j'étais amoureux et qui s'éloignait: "Maintenant, tout çà m'est bien égal: je ferme la boutique, je rentre chez moi et, quitte à ne rien faire de toute ma vie, je n'arrêterai pas de chercher avant de savoir quelle est la cause de la condition malheureuse de l'homme."
Et aussitôt dit, aussitôt fait. Je suis rentré chez moi sans me rendre compte que j'avais emporté avec moi un petit opuscule, rédigé par un Jésuite, qui s'intitulait "Satan l'Adversaire". J'avais songé reprendre mes notes de philosophie, mais puisque ce petit livret m'était tombé sous la main, c'est par lui que j'ai commencé. A cette époque, il ne restait de mon baptême que la conviction de l'existence de Dieu, mais un Dieu que je réduisais ainsi: "Il y a plus de six milliards d'hommes sur la terre, comment croire que Dieu puisse s'intéresser à chacun ?" A mes propres yeux, j'étais assez lucide pour constater ma parfaite insignifiance et l'impact pratiquement nul de toute mon existence, dans le passé, le présent et l'avenir. Oui, j'avais beaucoup été attiré par "Le journal d'un curé de campagne", de Bernanos, mais n'était-ce pas chez moi un reste de sentimentalisme ?
J'ai feuilleté ce petit ouvrage et j'y avais relevé tout de même la prodigieuse astuce du serpent dans son dialogue avec Eve. Au lieu d'accuser Dieu directement, le démon contourne la conscience d'Eve, et lui pose une simple question « Alors, Dieu vous a dit : ‘Vous ne mangerez le fruit d’aucun arbre du jardin ?" Et Eve, pour avoir voulu corriger la question posée (car en fait, le fruit d'un seul arbre est interdit), se laissera entraîner par la virulence de l'accusation qui suit: " « Pas du tout ! Vous ne mourrez pas ! Mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. »
Lorsque j'ai achevé ma lecture, plusieurs heures avaient passé. Quelque chose m'avait saisi, mais je ne parvenais pas à établir le lien avec d'autres lectures. Les jours ont passé. Le samedi précédant ma conversion, je me souviens qu'il y avait une fête foraine, que je m'étais laissé emporter dans la foule et plus la foule me pressait, plus je me sentais isolé: j'étais un être unique mais totalement impuissant à se rendre heureux lui-même ni rendre heureux qui que ce soit. Ce constat était si pénible ! Un instant, j'ai levé les yeux au ciel, mais quoi: dans la Bible, le ciel n'est que le symbole d'un ailleurs, pourquoi regarder le ciel, quand nous avons les pieds sur le sol ? J'ai traîné mon malaise jusque dans la nuit.
Pour dormir, plutôt que de regagner mon deux-pièces, j'avais demandé refuge pour une nuit dans mon ancienne chambre d'étudiant, dans la maison familiale. Il n'y avait plus que le lit, une table et une chaise... et le crucifix que l'on m'avait offert pour ma communion solennelle, un très lointain souvenir. A mon réveil, pourtant, lorsque j'ai ouvert les yeux, quelque chose m'a paru bizarre: la position du corps de plâtre n'était plus la même. La tête ne devait-elle pas reposer sur une des épaules, dans l'abandon de la mort ?
A ce moment-là, la "connaissance" de ce que j'étais en train de vivre me fut donnée. Ce n'était plus du plâtre, c'était un homme, un homme juste et parfaitement innocent qui me regardait avec une telle intensité d'amour... qu'il m'eût été difficile de ne pas m'écrier: "Non, je ne peux supporter cela ! Je ne veux pas ! Il n'est pas possible que l'amour aille jusque-là !"... Car le Christ était en train de mourir NON PAS parce que j'avais péché, mais parce qu'Il ne supportait pas de me voir entraîné dans le malheur PAR le péché...
Il m'apparût instantanément qu'un mensonge énorme avait frappé et marqué la raison humaine depuis le commencement de l'humanité. Le diable, dénoncé dans l'ouvrage cité, était tout autre chose qu'un sophiste ! Ici, mon récit devient flou. Il s'est passé longtemps, mais en réalité quelques minutes à peine. Je dois sauter quelques lignes d'écriture, car je ne sais pas quels mots employer... La vision du Christ en croix s'est estompée, j'avais pleuré beaucoup, une partie de moi avait adhéré tout à fait au Christ souffrant, le refusant d'abord, l'acceptant ensuite, mais sa mort était une perte épouvantable.
Un instant plus tard, on eût dit que chaque centimètre carré des murs de ma chambre avaient été recouverts d'un tapis sonore d'où j'entendis comme un chœur céleste proclamer : "Il y a plus de joie dans les Cieux pour un seul qui se repent, que pour cent justes qui n'ont pas besoin de repentir !". Et comme j'achevais d'entendre cette déclaration, aussitôt une joie extraordinaire m'a envahi. J'ai compris par la suite que j'avais vécu aussi la Résurrection. Cette joie m'a apporté, tout en même temps, la révélation des choses cachées (jusque-là) dans les Evangiles (que je n'avais pu percer avec ma raison), et une force qui m'a fait nommer cette joie: "onde d'énergie pure", mais par la suite, j'ai simplement dit: la Joie, avec la majuscule, pour la différencier de toute autre joie.
Evidemment, j'ai demandé de mourir tout de suite. Jamais ma lucidité ne m'a manqué dans l'événement que je rapporte: je savais très bien qu'après ce qui m'était advenu, je continuerais d'être libre de dire oui ou de dire non - que cet événement avait tout changé en moi, mais qu'il serait difficile de témoigner. Mais à la demande de mourir, j'ai perçu comme un fin sourire: avant de mourir, il faudrait tout de même tenter de témoigner un peu... Et c'est ainsi que, dans l'après-midi, j'ai commencé à rechercher un prêtre qui saurait m'entendre, car j'avais cru tout de même que si des hommes se font prêtre, c'était forcément qu'ils avaient vécu la même chose que moi - ou quelque chose de similaire. C'était le début d'un long chemin, qui n'est pas encore fini. J'avoue que je ne suis plus aussi disposé à mourir qu'autrefois, mais j'ajoute qu'un témoignage comme celui-ci est difficile à rédiger ... surtout parce que l'on revit ce que l'on a traversé.
Et ce qui est dit est dit.
C'était un dimanche d'août. A 29 ans, j'avais ouvert ma boutique depuis deux ans, après avoir tenté de trouver ma voie au sein de services commerciaux (exportation) de diverses entreprises. Les affaires démarraient bien, mais je n'étais pas heureux. Il y a toujours plus à chercher. Les relations sentimentales de courtes durées, j'en avais assez. Le lundi de cette semaine-là, j'avais déclaré à la femme dont j'étais amoureux et qui s'éloignait: "Maintenant, tout çà m'est bien égal: je ferme la boutique, je rentre chez moi et, quitte à ne rien faire de toute ma vie, je n'arrêterai pas de chercher avant de savoir quelle est la cause de la condition malheureuse de l'homme."
Et aussitôt dit, aussitôt fait. Je suis rentré chez moi sans me rendre compte que j'avais emporté avec moi un petit opuscule, rédigé par un Jésuite, qui s'intitulait "Satan l'Adversaire". J'avais songé reprendre mes notes de philosophie, mais puisque ce petit livret m'était tombé sous la main, c'est par lui que j'ai commencé. A cette époque, il ne restait de mon baptême que la conviction de l'existence de Dieu, mais un Dieu que je réduisais ainsi: "Il y a plus de six milliards d'hommes sur la terre, comment croire que Dieu puisse s'intéresser à chacun ?" A mes propres yeux, j'étais assez lucide pour constater ma parfaite insignifiance et l'impact pratiquement nul de toute mon existence, dans le passé, le présent et l'avenir. Oui, j'avais beaucoup été attiré par "Le journal d'un curé de campagne", de Bernanos, mais n'était-ce pas chez moi un reste de sentimentalisme ?
J'ai feuilleté ce petit ouvrage et j'y avais relevé tout de même la prodigieuse astuce du serpent dans son dialogue avec Eve. Au lieu d'accuser Dieu directement, le démon contourne la conscience d'Eve, et lui pose une simple question « Alors, Dieu vous a dit : ‘Vous ne mangerez le fruit d’aucun arbre du jardin ?" Et Eve, pour avoir voulu corriger la question posée (car en fait, le fruit d'un seul arbre est interdit), se laissera entraîner par la virulence de l'accusation qui suit: " « Pas du tout ! Vous ne mourrez pas ! Mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. »
Lorsque j'ai achevé ma lecture, plusieurs heures avaient passé. Quelque chose m'avait saisi, mais je ne parvenais pas à établir le lien avec d'autres lectures. Les jours ont passé. Le samedi précédant ma conversion, je me souviens qu'il y avait une fête foraine, que je m'étais laissé emporter dans la foule et plus la foule me pressait, plus je me sentais isolé: j'étais un être unique mais totalement impuissant à se rendre heureux lui-même ni rendre heureux qui que ce soit. Ce constat était si pénible ! Un instant, j'ai levé les yeux au ciel, mais quoi: dans la Bible, le ciel n'est que le symbole d'un ailleurs, pourquoi regarder le ciel, quand nous avons les pieds sur le sol ? J'ai traîné mon malaise jusque dans la nuit.
Pour dormir, plutôt que de regagner mon deux-pièces, j'avais demandé refuge pour une nuit dans mon ancienne chambre d'étudiant, dans la maison familiale. Il n'y avait plus que le lit, une table et une chaise... et le crucifix que l'on m'avait offert pour ma communion solennelle, un très lointain souvenir. A mon réveil, pourtant, lorsque j'ai ouvert les yeux, quelque chose m'a paru bizarre: la position du corps de plâtre n'était plus la même. La tête ne devait-elle pas reposer sur une des épaules, dans l'abandon de la mort ?
A ce moment-là, la "connaissance" de ce que j'étais en train de vivre me fut donnée. Ce n'était plus du plâtre, c'était un homme, un homme juste et parfaitement innocent qui me regardait avec une telle intensité d'amour... qu'il m'eût été difficile de ne pas m'écrier: "Non, je ne peux supporter cela ! Je ne veux pas ! Il n'est pas possible que l'amour aille jusque-là !"... Car le Christ était en train de mourir NON PAS parce que j'avais péché, mais parce qu'Il ne supportait pas de me voir entraîné dans le malheur PAR le péché...
Il m'apparût instantanément qu'un mensonge énorme avait frappé et marqué la raison humaine depuis le commencement de l'humanité. Le diable, dénoncé dans l'ouvrage cité, était tout autre chose qu'un sophiste ! Ici, mon récit devient flou. Il s'est passé longtemps, mais en réalité quelques minutes à peine. Je dois sauter quelques lignes d'écriture, car je ne sais pas quels mots employer... La vision du Christ en croix s'est estompée, j'avais pleuré beaucoup, une partie de moi avait adhéré tout à fait au Christ souffrant, le refusant d'abord, l'acceptant ensuite, mais sa mort était une perte épouvantable.
Un instant plus tard, on eût dit que chaque centimètre carré des murs de ma chambre avaient été recouverts d'un tapis sonore d'où j'entendis comme un chœur céleste proclamer : "Il y a plus de joie dans les Cieux pour un seul qui se repent, que pour cent justes qui n'ont pas besoin de repentir !". Et comme j'achevais d'entendre cette déclaration, aussitôt une joie extraordinaire m'a envahi. J'ai compris par la suite que j'avais vécu aussi la Résurrection. Cette joie m'a apporté, tout en même temps, la révélation des choses cachées (jusque-là) dans les Evangiles (que je n'avais pu percer avec ma raison), et une force qui m'a fait nommer cette joie: "onde d'énergie pure", mais par la suite, j'ai simplement dit: la Joie, avec la majuscule, pour la différencier de toute autre joie.
Evidemment, j'ai demandé de mourir tout de suite. Jamais ma lucidité ne m'a manqué dans l'événement que je rapporte: je savais très bien qu'après ce qui m'était advenu, je continuerais d'être libre de dire oui ou de dire non - que cet événement avait tout changé en moi, mais qu'il serait difficile de témoigner. Mais à la demande de mourir, j'ai perçu comme un fin sourire: avant de mourir, il faudrait tout de même tenter de témoigner un peu... Et c'est ainsi que, dans l'après-midi, j'ai commencé à rechercher un prêtre qui saurait m'entendre, car j'avais cru tout de même que si des hommes se font prêtre, c'était forcément qu'ils avaient vécu la même chose que moi - ou quelque chose de similaire. C'était le début d'un long chemin, qui n'est pas encore fini. J'avoue que je ne suis plus aussi disposé à mourir qu'autrefois, mais j'ajoute qu'un témoignage comme celui-ci est difficile à rédiger ... surtout parce que l'on revit ce que l'on a traversé.
Et ce qui est dit est dit.
Parole- Troisième Demeure : J'évite tous les péchés.
- Messages : 238
Date d'inscription : 06/11/2012
Re: Ma présentation - Étienne Lorant
@ etienne lorant :
Etienne,
Soyez le bienvenu parmi nous. Je suis certain que vous trouverez sur ce Forum ce qui vous sera nécessaire pour alimenter votre foi dans une Eglise dont de nombreux membres, consacrés ou non, sont malheureusement de plus en plus désireux de moderniser, non seulement le rituel mais aussi la Parole de Dieu. L'Evangile dérange dans ce monde qui nous propose tant de distractions saines.... ou malsaines.
Merci pour votre beau témoignage. Pour vous parler franchement, j'envie toujours quelque peu ceux qui vivent des expériences telles que la vôtre. Mais je me console en me remémorant la Parole de Jésus : "Heureux ceux qui croient sans avoir vu."
Comme vous, c'est en août 1985 que j'ai remis les pieds dans une église, hormis mon mariage et quelques enterrements, après trente années consacrées au travail, au sport, aux vacances, etc... C'est après avoir lu le Nouveau Testament en entier et très lentement qu'est entrée en moi la conviction que tout ce que je lisais était Vérité. Et cette conviction n'a jamais cesser de grandir. Mais en même temps, j'ai eu également la conviction que Dieu, qui est Père, devait certainement nous parler aujourd'hui comme Il le faisait autrefois à ses prophètes. Et c'est assez rapidement que, entré expressément dans une librairie religieuse, je me suis rendu compte qu'il y avait un grand nombre de messagers qui recevaient de Jésus ou de Marie des enseignements à nous communiquer à nous qui vivons en ces temps. Et comme Dieu fait toujours bien les choses, Il a d'abord mis sur ma route les messages de Marie à Medjugorje qui m'ont appris l'essentiel pour un débutant : la prière du coeur, la confession, l'Eucharistie, le jeûne et la lecture de la Parole.
Bien à vous et n'hésitez pas à vous exprimer !
Que Jésus et Marie vous bénissent !
Etienne,
Soyez le bienvenu parmi nous. Je suis certain que vous trouverez sur ce Forum ce qui vous sera nécessaire pour alimenter votre foi dans une Eglise dont de nombreux membres, consacrés ou non, sont malheureusement de plus en plus désireux de moderniser, non seulement le rituel mais aussi la Parole de Dieu. L'Evangile dérange dans ce monde qui nous propose tant de distractions saines.... ou malsaines.
Merci pour votre beau témoignage. Pour vous parler franchement, j'envie toujours quelque peu ceux qui vivent des expériences telles que la vôtre. Mais je me console en me remémorant la Parole de Jésus : "Heureux ceux qui croient sans avoir vu."
Comme vous, c'est en août 1985 que j'ai remis les pieds dans une église, hormis mon mariage et quelques enterrements, après trente années consacrées au travail, au sport, aux vacances, etc... C'est après avoir lu le Nouveau Testament en entier et très lentement qu'est entrée en moi la conviction que tout ce que je lisais était Vérité. Et cette conviction n'a jamais cesser de grandir. Mais en même temps, j'ai eu également la conviction que Dieu, qui est Père, devait certainement nous parler aujourd'hui comme Il le faisait autrefois à ses prophètes. Et c'est assez rapidement que, entré expressément dans une librairie religieuse, je me suis rendu compte qu'il y avait un grand nombre de messagers qui recevaient de Jésus ou de Marie des enseignements à nous communiquer à nous qui vivons en ces temps. Et comme Dieu fait toujours bien les choses, Il a d'abord mis sur ma route les messages de Marie à Medjugorje qui m'ont appris l'essentiel pour un débutant : la prière du coeur, la confession, l'Eucharistie, le jeûne et la lecture de la Parole.
Bien à vous et n'hésitez pas à vous exprimer !
Que Jésus et Marie vous bénissent !
Invité- Invité
Re: Ma présentation - Étienne Lorant
@ Étienne Lorant :
pour ce beau témoignage !
C'est un moment que le converti n'oubliera jamais, n'est-ce pas ?
Perso, c'est à 33 ans que je me suis converti en rencontrant la "Gospa", c'est-à-dire la Vierge Marie de Medjugorje !
Comme je dis toujours, la "Gospa" est venue à moi, ici-même à Montréal, pour m'éviter un voyage en Yougoslavie !
Bienvenue sur VSJ, monsieur Étienne !
L'Administrateur


C'est un moment que le converti n'oubliera jamais, n'est-ce pas ?
Perso, c'est à 33 ans que je me suis converti en rencontrant la "Gospa", c'est-à-dire la Vierge Marie de Medjugorje !
Comme je dis toujours, la "Gospa" est venue à moi, ici-même à Montréal, pour m'éviter un voyage en Yougoslavie !
Bienvenue sur VSJ, monsieur Étienne !



L'Administrateur
Merci
Merci pour votre accueil. J'essaierai d'être présent régulièrement, en dépit d'un horaire "ultra-chargé"... en plus de mon travail, je passe deux fois par jour dans la maison de repos où demeure ma mère, car avec la crise en Europe, le personnel soignant diminue. Mais ma mère, Léa, 87 ans, souffre de "gonarthrose" et a besoin de bras, ne serait-ce que pour passer de son fauteuil à sa chaise roulante... tout est difficile, mais il faut continuer de pratiquer la charité. Jusqu'au bout. Et j'irai jusqu'au bout soutenu par l'Eucharistie matinale, ma prière et la prière de mes frères et soeurs dans le Christ. Dieu vous bénisse !
Etienne
Etienne
Parole- Troisième Demeure : J'évite tous les péchés.
- Messages : 238
Date d'inscription : 06/11/2012
Re: Ma présentation - Étienne Lorant
@ Etienne
Bonsoir et Bienvenu à vous parmi nous " Etienne" !
Que le Seigneur vous manifeste ainsi qu'à votre maman sa bienveillance et vous accorde la paix et la sérénité !
Au plaisir de vous lire
Bonsoir et Bienvenu à vous parmi nous " Etienne" !
Que le Seigneur vous manifeste ainsi qu'à votre maman sa bienveillance et vous accorde la paix et la sérénité !
Au plaisir de vous lire

ToutPourJésus- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 12665
Date d'inscription : 13/12/2011
Re: Ma présentation - Étienne Lorant
@ Etienne Lorant
Voilà ce que tout converti pourrait répéter ! Il semble qu'il y ait toujours un point de départ précis, une date mémorable (même si l'expérience de chacun est tout à fait unique, singulière) : une sorte de viatique reçu au début pour avoir la force d'aborder ensuite ce long chemin.
Bien que différente, votre conversion me rappelle celles de mon mari et la mienne, qui s'étirent quant à nous en un long, long, long... chemin de conversion (nous revenons de si loin !).
Merci pour votre témoignage.
C'était le début d'un long chemin, qui n'est pas encore fini.
Voilà ce que tout converti pourrait répéter ! Il semble qu'il y ait toujours un point de départ précis, une date mémorable (même si l'expérience de chacun est tout à fait unique, singulière) : une sorte de viatique reçu au début pour avoir la force d'aborder ensuite ce long chemin.
Bien que différente, votre conversion me rappelle celles de mon mari et la mienne, qui s'étirent quant à nous en un long, long, long... chemin de conversion (nous revenons de si loin !).
Merci pour votre témoignage.
Pélerine- Deuxième Demeure : Je m'applique à l'oraison.
- Messages : 82
Date d'inscription : 12/08/2012
Localisation : Languedoc, France
Re: Ma présentation - Étienne Lorant
Chaleureuse Bienvenue à vous Étienne.
Chaque Converti a sa petite aventure avec la Grâce. Et Seule cette Présence de Dieu en nous, nous finalise.
Comme l'a dit Saint Augustin:
"Tu nous as faits pour Toi Seigneur, et notre cœur est sans repos tant qu'il ne repose en Toi."
Que l'Esprit du Père et du Fils nous conduise tous à la Vérité toute entière.
Cordialement en Christ
Chaque Converti a sa petite aventure avec la Grâce. Et Seule cette Présence de Dieu en nous, nous finalise.
Comme l'a dit Saint Augustin:
"Tu nous as faits pour Toi Seigneur, et notre cœur est sans repos tant qu'il ne repose en Toi."
Que l'Esprit du Père et du Fils nous conduise tous à la Vérité toute entière.
Cordialement en Christ
Marlène- Septième Demeure : C'est l'Union transformante. Je vis la chasteté et la charité parfaites.
- Messages : 2587
Date d'inscription : 01/05/2010

» 26 décembre Saint Etienne
» 26 décembre : Saint Etienne
» 26 décembre Saint Etienne
» 26 décembre Saint Etienne
» Bonjour ! Je m'appelle Étienne Goblet !
» 26 décembre : Saint Etienne
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