LA TENTATIVE D'ASSASSINAT DE JEAN-PAUL II
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Message  Invité Jeu 29 Juil 2010 - 15:46



Qui se cache derrière la tentative d’assassinat du Saint-Père Jean-Paul II ?




L’humanité entière a été saisie d’effroi par l’attentat qui a été perpétré contre le Pape Jean Paul II, place Saint-Pierre de Rome, le 13 mai 1981.

Mais qui se cache véritablement ce jour là derrière le visage de Mehmet Ali Ağca ? En premier lieu, l’assassin avait d'abord affirmé qu'il avait été chargé d'assassiner le pape par un certain Bechir Celenk, membre de la mafia lié aux services secrets bulgares, ensuite il dira que c’était le ressortissant bulgare Serguei Ali Antonov, chef d'escale de Balkan Air à Rome, arrêté fin 1982, qui aurait agi pour le compte des mêmes services secrets bulgares en lui fournissant le pistolet avec lequel il avait grièvement blessé le Pape Jean-Paul II.



Seulement, ces accusations n'ont jamais été prouvées et Serguei Antonov a été acquitté en 1986 pour « insuffisance de preuves », et ce, même après l'ouverture des archives des services secrets communistes bulgares en 1989.



Dans le même sens, il est bon de savoir que Jean-Paul II lui-même avait déclaré, lors de son voyage en Bulgarie en mai 2002, n’avoir jamais cru à la piste de la « connexion bulgare ». De plus, la Bulgarie et l'URSS nièrent formellement toute implication dans cette tentative d'assassinat, de même que Markus Wolf, ancien maître-espion de la Stasi.

Rappelons enfin la dernière de ses déclarations sur le sujet : « Ali agça comme tout le monde le dit, est un assassin professionnel. Cela veut dire que l’attentat n’était pas dû à son initiative, que c’est quelqu’un d’autre qui l’a fomenté, que quelqu’un d’autre le lui avait commandité » (extrait de l’ouvrage « Mémoire et identité », page 196).



Alors où la vérité se trouve t-elle ?



Pour répondre à cette question, et après ces nécessaires précisions historiques, il convient en premier lieu de s’interroger sur l’identité de ces « ennemis pleins d’astuce [qui] ont comblé d’opprobres et abreuvé d’amertume l’Eglise, épouse de l’Agneau immaculé, et sur ses biens les plus sacrés ils ont porté leurs mains criminelles » selon les propos du Pape Léon XIII en 1890.



Serait-ce les mêmes qui ont voulu porter atteinte à la vie du Pape Jean-Paul II, puisque toutes les autres pistes sérieuses ont été écartées ?



Je réponds d’emblée affirmativement à la question. Il reste en effet une piste d’investigation qui, étrangement, ou plutôt fort logiquement n’est généralement jamais explorée, concernant un groupuscule de personnes que personne n’inquiète vraiment, surtout de façon directe et manifeste. La raison est simple : elle s’inscrit contre trop d’intérêts dans lesquels sont compromis une multitudes de personnes qui oeuvrent en un réseau bien organisé, étendant ses ramifications et organisations dans le monde entier. Ces ennemis sont bien ceux pour lesquels la Sainte Eglise n’a de cesse de dénoncer les agissements pervers, sournois, occultes et diaboliques.



Vous l’avez bien compris, à l’instar de tous les souverains pontifes, je parle de la secte des francs-maçons. Pour s’en convaincre, il s’agit de formuler une unique observation à caractère péremptoire, sachant que « le Seigneur a tout fait avec intention, même le méchant pour le jour du malheur (Pr 16,4) ». C'est-à-dire, entendons-nous bien, que Dieu est le Maître absolu du temps et de l’histoire, et qu’en ce sens, absolument rien n’échappe à sa souveraineté, y compris et surtout les actions mauvaises que l’homme projette de faire.



Bien entendu cela ne signifie aucunement que la Source et l’Auteur de tout bien, puisse être complice d’un quelconque mal ou encore responsable du mal que l’homme commet par sa seule volonté, en utilisant contre lui-même la liberté que Dieu lui a donné en vu du bien commun.



Même si cela peut échapper à beaucoup de nos contemporains, il est un détail qui n’en est pas un, sur lequel le fidèle catholique se doit particulièrement de s’arrêter, à la lumière de l’Esprit Saint : l’heure de l’attentat.



A la page 198 du dernier ouvrage du Pape Jean-Paul II « Mémoire et identité », le Saint Père prend lui-même le soin de souligner à quelle heure l’attentat a été perpétré. Ce n’est absolument pas sans intentionnalité, car si tel n’était pas le cas, s’il n’y avait pas de raison particulière à cela, le Saint Père se serait simplement contenté de rappeler l’évènement. A quoi peut bien servir que le Saint Père nous rappelle l’heure de l’attentat ?



Le Saint Père nous affirme que l’attentat a précisément été perpétré à 17h17.



4 chiffres 1717…Cela évoque t’il quelque chose pour nous ?



Et bien ! Rappelons-nous que la franc-maçonnerie voit officiellement ses débuts en 1717 en Grande-Bretagne.



L’attentat est donc signé, et dans tous les cas le signe qui nous est donné ne peut être le fruit du pur hasard. Il est en effet impossible, qu’au milieu des mouvements de foules, l’assassin ait pu préméditer exactement l’heure de l’attentat et le au moment précis du passage de la Papamobile.



Dieu dans son omnipotence a permis (et non voulu, attention !) qu’il en soit ainsi, afin que nous puissions clairement identifier le commanditaire de l’attentat, qui n’est autre que la franc-maçonnerie [comme ce fut le cas pour son prédécesseur le Pape Jean-Paul I er assassiné par la loge P2].

Pour autant, le Ciel n’a pas permis que le Son Vicaire de la terre soit tué, ce qui est absolument miraculeux, comme le Saint Père l’a lui-même affirmé sans réserve : « ce fut comme si quelqu’un avait guidé et dévié le projectile » (extrait de l’ouvrage « Mémoire et identité », page 191). En ce sens, un an après jour pour jour après l’attentat, le 13 mai 1982, Jean-Paul II se rendait au sanctuaire de Fatima au Portugal, pour remercier la « main maternelle » de la Vierge Marie qui avait dévié le projectile.



Jean-Paul II aurait dû mourir, d’ailleurs le Saint Père confiait à ce sujet, lors de sa visite à l’auteur de l’attentat en prison Noël 1983 : « Durant tout l’entretien il parut clair qu’Ali Agça continuait à se demander pourquoi l’attentat n’avait pas réussi » (extrait de l’ouvrage « Mémoire et identité », page 196).



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Message  Invité Jeu 29 Juil 2010 - 16:36

Jean-Paul II se rendait au sanctuaire de Fatima au Portugal, pour remercier la « main maternelle » de la Vierge Marie qui avait dévié le projectile.
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LA TENTATIVE D'ASSASSINAT DE JEAN-PAUL II Empty Re: LA TENTATIVE D'ASSASSINAT DE JEAN-PAUL II

Message  Invité Jeu 29 Juil 2010 - 17:01

Et bien ! Rappelons-nous que la franc-maçonnerie voit officiellement ses débuts en 1717 en Grande-Bretagne.


Puis vient la révolution en France


Merci Joannes Maria


Cordialement dans le Christ
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LA TENTATIVE D'ASSASSINAT DE JEAN-PAUL II Empty 1717 - 1870 : De 1717 à 1870 !

Message  Octo Jeu 29 Juil 2010 - 18:28

1717 - 1870 : De 1717 à 1870 !

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Albert Lantoine disait, à propos de son Histoire de la franc-maçonnerie : "Il ne s'agit pas ici d'un travail favorable ou défavorable à la Franc-maçonnerie, mais de son existence à travers les régimes" …

L'histoire de la franc-maçonnerie, telle qu'on la raconte, est encombrée d'un fatras romantique, imaginé par des francs-maçons, certes épris de l'Ordre, mais il faut bien le reconnaître, parfois un peu délirants. Car pour étudier cette histoire, il n'est, en effet, pas besoin de remonter à la construction du Temple de Salomon ou à la Genèse.

La franc-maçonnerie spéculative, autrement dit la Société de Pensée que nous connaissons aujourd'hui est née vers 1717 en Angleterre. Elle n'a qu'un rapport sentimental, traditionnel, avec la Franc-maçonnerie opérative du Moyen Age, ce que les Sociétés Compagnonniques actuelles confirment bien, en se démarquant formellement de la Franc-maçonnerie. Les maçons constructeurs d'églises et de châteaux, détenaient des secrets techniques, hérités du passé. Leurs corporations étaient respectées. Elles tenaient des réunions confidentielles, avaient des traditions et des rites qui les entouraient d'un certain mystère.

Puis les mœurs changèrent. On éleva moins de cathédrales. Les maçons se laissèrent aller à ouvrir leurs assises à des profanes : philosophes, curieux, grands seigneurs, esprits inquiets, voire conspirateurs - que les franchises des corporations mettaient à l'abri de la police. Peu à peu, les très anciens règlements des loges opératives, les recettes et les secrets strictement professionnels, se transformèrent en "rituels" : la Franc-maçonnerie moderne était en gestation.

En Angleterre

Il y a bientôt trois cents ans, quatre loges londoniennes, habituées à se réunir dans des tavernes - "A l'Oie et au Gril", "Au Pommier", à "La Couronne" et à "La Grappe de Raisin" - se réunissent en assemblée générale et se fédèrent. Le meeting de ces quatre loges permet d'accrocher une date précise, de poser un jalon, dans l'histoire de la Franc-maçonnerie : la création de la Grande Loge d'Angleterre, le 24 juin 1717.

Trente ans plus tôt, à la suite de la Révocation de l'Edit de Nantes par Louis XIV, le 18 octobre 1685 - ce qui a pour conséquence de faire disparaître en France les églises réformées et de contraindre les protestants à la clandestinité ou à l'exil - un enfant de huguenots français avait dû s'enfuir à bord d'un vaisseau anglais. Cet enfant, devenu le pasteur Jean Théophile Desaguliers, allait être le théoricien et le metteur au point d'une conception nouvelle de la société qui allait faire lentement son chemin, aidée par des esprits généreux, des philosophes, des mécontents : Echec au Roi.

Avec la collaboration du vieux maçon Anderson, Desaguliers rédige les Constitutions des Francs-maçons, contenant l'histoire, les devoirs, les règles, de cette authentique et vénérable fraternité. La Franc-maçonnerie, Société de Pensée, possède alors sa charte spirituelle et Desaguliers, esprit universel et ami de Newton, est élu Grand maître de la Grande Loge d'Angleterre.

Faite à l'usage des loges, la nouvelle "bible", dédiée au Grand Architecte De L'Univers, est publiée en Angleterre en 1723, puis en Irlande, en Amérique - par les soins de Franklin. Elle est ensuite traduite en allemand, puis en français en 1745. Ainsi, soudée au passé légendaire et religieux, afin de ne pas effaroucher les candidats, la franc-maçonnerie devient, en fait, une école nouvelle, scientifique, universelle et surtout indépendante des religions et de l'état. Mais les savants cuisinent, en secret, le dogme libéral, rationaliste, philanthropique et pour tout dire, républicain, ce dogme ouveau qui va faire la conquête du monde.

En France

Il est probable, qu'avec ou sans la maçonnerie, l'explosion libératrice du XVIIIème siècle aurait eu lieu, car l'idée "était dans l'air". Mais la Franc-maçonnerie anglaise a sans doute été le laboratoire antipapiste et antilatin qui allait fournir aux français et à l'Europe les explosifs nécessaires à leur émancipation. De nouvelles loges se créent, non seulement en Angleterre, mais partout dans le monde où résident des anglais.

La grande bourgeoisie, annonciatrice du grand capital du XIXème siècle, s'enrôle d'enthousiasme dans les loges. Les professions libérales y discutent librement d'idées quasi subversives. Bourgeois et marchands coudoient avec quelque vanité les frères de la noblesse. La Franc-maçonnerie les met de pair à compagnon avec des gens qui, dans la rue, les feraient bâtonner.

Les aristocrates, qui éprouvent alors le besoin de "se garer un peu", créent le grade de maître, qu'ils se réservent - discrètement - en sus des autres grades opératifs d'apprenti et de compagnon. Cela ne change rien à la fraternité de principe, mais remet toutefois chacun à sa place.

L'absence de textes précis ne permet pas de connaître les origines exactes de la Franc-maçonnerie qui est, à quelques années près, aussi ancienne en France que la maçonnerie anglaise. Il est pratiquement impossible, à travers les légendes et les traditions, de savoir où, quand et comment fut créée la première loge maçonnique française.

On sait qu'en 1736 le Conseil du Roi supprime les réunions de "Frimaçons" sur les conseils de la police et qu'en 1738, le Duc d'Antin est élu Grand Maître, ce qui rassure la police et le Roi.

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