La Franc-Maçonnerie ouvertement au coeur de l'Eglise perpignanaise

Objet : La Franc-maçonnerie ouvertement au coeur de l'Eglise perpignanaise

Christiane PARRA

La Franc-maçonnerie ouvertement au coeur de l'Eglise perpignanaise

> Henri Carbonell a été enterré cette semaine avec son tablier de Franc-maçon sur le cercueil et avec prise de parole du grand maître local de sa loge pendant 20 minutes, et ce à intérieur de la cathédrale St Jean.

> Des rumeurs courraient déjà sur le fait que certains diacres, voire certains prêtres du diocèse d'Elne-Perpignan étaient F.M., mais là, c'est plus qu'une rumeur, puisque cela a évidemment été fait avec l'accord du sommet de la hiérarchie diocésaine.

> Mgr Rey rappelait, en 2011: "il n’est pas possible de faire partie d’une loge franc-maçonne et en même temps de professer la foi catholique. L’appartenance à la franc-maçonnerie, c’est l’adhésion à un système de pensée qui s’inscrit dans le relativisme, dans une négation de la place de la grâce de Dieu par rapport à l’effort de l’homme, dans un système qui relativise la place de l’Église aussi, et qui peut se définir comme l’exaltation d’une intelligence coupée de l’amour. C’est une nouvelle forme de gnosticisme."


> Peut être que Mgr Marceau ignore les condamnations explicite du FM par l'Eglise. Il faudrait peut être la lui rappeler.


> En 1917, le code de droit canonique déclare explicitement que l'appartenance à une loge maçonnique entraîne l'excommunication automatique. ...

> Le code révisé de 1983 ne cite plus explicitement la franc-maçonnerie parmi les sociétés secrètes condamnées par la loi canonique. Toutefois, le 26 novembre 1983, une déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi alors dirigée par Joseph Ratzinger (devenu depuis le pape Benoît XVI) réaffirme l'interdiction faite aux catholiques de rejoindre la maçonnerie sous toutes ses formes ou tendances. Le 2 mars 2007 le Vatican redit son opposition aux francs-maçons. « L'appartenance à la Franc-maçonnerie et à l'Église catholique sont incompatibles » aux yeux de l'Église, rappelle Mgr Gianfranco Girotti, régent du tribunal de la pénitencerie apostolique. >

SOURCE : Reçu par courriel. Merci Marie-Gabrielle !