LE PERE LUIS ANDREU
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Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: Garabandal (Espagne)
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LE PERE LUIS ANDREU
LE PERE LUIS ANDREU
Le seul prêtre, avec Padre Pio,
à avoir eu la vision du Grand Miracle par anticipation
On ne parle pas suffisamment du Père Luis Maria Andreu. Il est pourtant l’un des plus importants témoins de ces apparitions, d’abord par ce que c’est un prêtre, et ensuite, parce qu’il a été le seul à voir le Grand Miracle.
Pour bien comprendre l’importance de ce témoignage, il faut vraiment savoir qui était ce Prêtre.
Il naquit le 3 juillet 1925, à Bilbao, le quatrième des six enfants, tous des garçons. Quatre d'entre eux devinrent Prêtres Jésuites ! La maman, veuve depuis 1951, après la mort de son fils Luis, devint religieuse cloîtrée au couvent de la Visitation à San Sebastian, sous le nom de Sœur Luisa Maria.
Le Père Luis était d’une intelligence exceptionnelle. Pour parfaire ses études, il fut envoyé à Innsbruck, à Rome, à Genève et à Paris. Aussi était-il polyglotte; en plus de sa langue maternelle, l'espagnol, il parlait l'allemand, le français, l'italien, le latin, le grec et l'anglais.
Le 30 juillet 1955, à Ona, en Espagne, le Père Luis fut ordonné prêtre pour l'éternité par l'Archevêque Federico Melen-dro de Anking, Chine. Il célébra sa première Messe le jour de la Fête de Saint Ignace de Loyola, en la chapelle de Loyola. L'on peut imaginer la joie qui dut remplir son cœur.
Un peu plus tard, après avoir reçu son Doctorat en Théologie, le Père Luis rejoignit la Faculté des Jésuites à Ona comme Professeur de Théologie. Lorsqu'il entendit parler des apparitions en cours à Garabandal, et à cause de son grand amour pour la Très Sainte Vierge, il décida de se rendre au village pour enquêter sur cette affaire. Il monta au village pour la première fois le 29 juillet 1961. Il observa les extases des quatre fillettes, prenant des notes sur tout ce qu'il voyait et entendait. Il fut profondément impressionné.
Le 8 août 1961, le Père Luis, âgé alors de 36 ans, revint à Garabandal avec un groupe d'amis. Ce soir-là, les voyantes eurent une longue marche extatique, qui se termina aux Pins. Le Père Luis et beaucoup d'autres gens suivirent les voyantes. Écoutons Conchita et ce qu’elle écrivit dans son journal : «Il faisait déjà nuit quand la Sainte Vierge nous est apparue. A la fin du Rosaire, toutes les quatre nous fûmes prises d'une très grande joie extatique; nous commençâmes à marcher en direction des Pins. Lorsque nous fûmes arrivées aux Pins, le Père Luis qui nous suivait dit : «Miracle ! Miracle !» et les yeux écarquillés, il regardait en haut. Nous pouvions le voir; or dans nos extases nous ne voyons personne, sauf la Sainte Vierge. Mais, le Père Luis, nous l'avons vu ; la Sainte Vierge nous a dit qu'il La voyait, ainsi que le Miracle.»
Dans l'extase, les enfants virent le Père Luis à genoux. Conchita dira plus tard que la Vierge regardait dans la direction du Père Luis et semblait lui dire : «Vous serez bientôt avec moi».
Le Père Luis quitta Garabandal en jeep le soir-même avec des amis. S'arrêtant à Cosio, il rencontra le Curé Don Valentin Marichalar et lui dit : «Valentin, ce que les petites ont dit est vrai ; mais je vous demande de ne pas répéter ce que je viens de vous dire, car l'Église ne peut jamais être trop prudente dans ce genre d'affaire». Don Valentin Marichalar, le soir même, écrivit ces paroles du Père Luis dans son carnet de notes (son journal).
Poursuivant sa route avec Rafaël Fontaneda et sa famille, le Père Luis manifesta une très grande joie tout au cours du trajet, répétant constamment : «Je suis heureux ! Quelle grâce la Sainte Vierge m'a accordée ! Quelle chance pour nous d'avoir une Mère comme Elle au Paradis ! Il n'y a aucune raison de craindre la vie surnaturelle. Les enfants nous ont donné un exemple de la façon dont nous devons nous comporter avec la Sainte Vierge. Il n'y a aucun doute dans mon esprit sur la vérité des choses concernant ces fillettes». Pendant que la voiture traversait Reinosa, le Père Luis répéta ces paroles, puis il releva la tête et resta silencieux. Son ami Fontaneda lui demanda : «Padre, ça ne va pas ?» - «Non, juste un peu sommeil». Sa tête retomba ; il toussa légèrement; il était mort. Aucune douleur, aucune agonie, mais le sourire sur les lèvres, le Père Luis était mort de joie. C'était à 04h30 du matin, le 9 août, le jour de la fête de Saint Jean-Marie Vianney, Curé d'Ars, le Patron exemplaire de tous les curés.
Par la suite, les fillettes ont souvent parlé avec le Père Luis après sa mort. Dans son journal du 16 août 1961, Conchita relate : « A 8 ou 9 heures du soir, la Vierge nous a dit à toutes les quatre : « Le Père Luis va venir maintenant parler avec vous quatre ». Un instant après, il vint et nous parla l'une après l'autre. Nous ne l'avons pas vu, mais nous entendions sa voix ; c'était exactement la même voix qu'il avait sur la terre. Il nous a parlé quelques instants pour nous donner un conseil et nous dire certaines choses pour son frère le P. Ramon Maria Andreu. Il nous a appris quelques mots en français, en allemand, en anglais. Il nous a appris aussi à prier en grec ».
Le 14 septembre 1965, Conchita dit à plusieurs personnes, que la Vierge lui avait dit, lors d'une locution, que le corps du Père Andreu sera trouvé incorrompu, tel qu'il était lorsqu'on l'enterra...
En novembre 1976, Conchita réaffirma à Needles, que la prophétie au sujet du Père Luis se réaliserait le lendemain du Miracle; pas avant...
Ce prêtre, qui le 8 août 1961, aux Pins, a très certainement vu la Vierge ainsi que, par anticipation, le grand Miracle, est enterré le 10 août 1961, au cimetière d'Ona, province de Burgos, où les pères jésuites possèdent un séminaire.
Trois de ses frères étaient également prêtres jésuites ; deux d’entre eux, le Père Marcelino Andreu et le Père Alejendro Andreu, devaient selon certaines rumeurs se trouver à Garabandal le jour du Grand Miracle. Suite à une conversation avec Conchita le 22 septembre 2009, elle m’a révélé qu’ils sont tous décédés.
Début 1976, le séminaire devint un hospice. A la demande de la nouvelle direction de cet établissement, les pères jésuites exhumèrent les corps des pères enterrés dans ce cimetière pour les transférer ailleurs. Le corps du Père Luis Andreu fut trouvé corrompu à l'état de squelette. Ses restes furent alors placés à Loyola dans une case de l'ossuaire des PP. Jésuites. Dans la même case divisée en deux parties, se trouvent aussi les restes d'un autre père jésuite, le Père F. Tiburcio Larranaga.
Par cet événement la Providence a donc voulu que le constat le plus formel soit fait de la corruption du corps du Père Luis Andreu. Mais il est important de garder à l’esprit que Conchita a dit et répété que dans une locution de la Vierge il lui avait été précisé que le lendemain du Miracle on trouvera le corps du Père Luis intact et incorrompu. L'annonce ne concerne donc l'état du corps avant le grand Miracle, mais le lendemain.
A la question posée à Conchita, «pourquoi le Père Andreu est-il mort ?», elle répondit qu’il n’avait pas été préparé à la vision du Miracle. Elle ajouta que nous-mêmes n’en mourrons pas car l’Avertissement nous purifiera et nous permettra d’en supporter la vision.
Le seul prêtre, avec Padre Pio,
à avoir eu la vision du Grand Miracle par anticipation
On ne parle pas suffisamment du Père Luis Maria Andreu. Il est pourtant l’un des plus importants témoins de ces apparitions, d’abord par ce que c’est un prêtre, et ensuite, parce qu’il a été le seul à voir le Grand Miracle.
Pour bien comprendre l’importance de ce témoignage, il faut vraiment savoir qui était ce Prêtre.
Il naquit le 3 juillet 1925, à Bilbao, le quatrième des six enfants, tous des garçons. Quatre d'entre eux devinrent Prêtres Jésuites ! La maman, veuve depuis 1951, après la mort de son fils Luis, devint religieuse cloîtrée au couvent de la Visitation à San Sebastian, sous le nom de Sœur Luisa Maria.
Le Père Luis était d’une intelligence exceptionnelle. Pour parfaire ses études, il fut envoyé à Innsbruck, à Rome, à Genève et à Paris. Aussi était-il polyglotte; en plus de sa langue maternelle, l'espagnol, il parlait l'allemand, le français, l'italien, le latin, le grec et l'anglais.
Le 30 juillet 1955, à Ona, en Espagne, le Père Luis fut ordonné prêtre pour l'éternité par l'Archevêque Federico Melen-dro de Anking, Chine. Il célébra sa première Messe le jour de la Fête de Saint Ignace de Loyola, en la chapelle de Loyola. L'on peut imaginer la joie qui dut remplir son cœur.
Un peu plus tard, après avoir reçu son Doctorat en Théologie, le Père Luis rejoignit la Faculté des Jésuites à Ona comme Professeur de Théologie. Lorsqu'il entendit parler des apparitions en cours à Garabandal, et à cause de son grand amour pour la Très Sainte Vierge, il décida de se rendre au village pour enquêter sur cette affaire. Il monta au village pour la première fois le 29 juillet 1961. Il observa les extases des quatre fillettes, prenant des notes sur tout ce qu'il voyait et entendait. Il fut profondément impressionné.
Le 8 août 1961, le Père Luis, âgé alors de 36 ans, revint à Garabandal avec un groupe d'amis. Ce soir-là, les voyantes eurent une longue marche extatique, qui se termina aux Pins. Le Père Luis et beaucoup d'autres gens suivirent les voyantes. Écoutons Conchita et ce qu’elle écrivit dans son journal : «Il faisait déjà nuit quand la Sainte Vierge nous est apparue. A la fin du Rosaire, toutes les quatre nous fûmes prises d'une très grande joie extatique; nous commençâmes à marcher en direction des Pins. Lorsque nous fûmes arrivées aux Pins, le Père Luis qui nous suivait dit : «Miracle ! Miracle !» et les yeux écarquillés, il regardait en haut. Nous pouvions le voir; or dans nos extases nous ne voyons personne, sauf la Sainte Vierge. Mais, le Père Luis, nous l'avons vu ; la Sainte Vierge nous a dit qu'il La voyait, ainsi que le Miracle.»
Dans l'extase, les enfants virent le Père Luis à genoux. Conchita dira plus tard que la Vierge regardait dans la direction du Père Luis et semblait lui dire : «Vous serez bientôt avec moi».
Le Père Luis quitta Garabandal en jeep le soir-même avec des amis. S'arrêtant à Cosio, il rencontra le Curé Don Valentin Marichalar et lui dit : «Valentin, ce que les petites ont dit est vrai ; mais je vous demande de ne pas répéter ce que je viens de vous dire, car l'Église ne peut jamais être trop prudente dans ce genre d'affaire». Don Valentin Marichalar, le soir même, écrivit ces paroles du Père Luis dans son carnet de notes (son journal).
Poursuivant sa route avec Rafaël Fontaneda et sa famille, le Père Luis manifesta une très grande joie tout au cours du trajet, répétant constamment : «Je suis heureux ! Quelle grâce la Sainte Vierge m'a accordée ! Quelle chance pour nous d'avoir une Mère comme Elle au Paradis ! Il n'y a aucune raison de craindre la vie surnaturelle. Les enfants nous ont donné un exemple de la façon dont nous devons nous comporter avec la Sainte Vierge. Il n'y a aucun doute dans mon esprit sur la vérité des choses concernant ces fillettes». Pendant que la voiture traversait Reinosa, le Père Luis répéta ces paroles, puis il releva la tête et resta silencieux. Son ami Fontaneda lui demanda : «Padre, ça ne va pas ?» - «Non, juste un peu sommeil». Sa tête retomba ; il toussa légèrement; il était mort. Aucune douleur, aucune agonie, mais le sourire sur les lèvres, le Père Luis était mort de joie. C'était à 04h30 du matin, le 9 août, le jour de la fête de Saint Jean-Marie Vianney, Curé d'Ars, le Patron exemplaire de tous les curés.
Par la suite, les fillettes ont souvent parlé avec le Père Luis après sa mort. Dans son journal du 16 août 1961, Conchita relate : « A 8 ou 9 heures du soir, la Vierge nous a dit à toutes les quatre : « Le Père Luis va venir maintenant parler avec vous quatre ». Un instant après, il vint et nous parla l'une après l'autre. Nous ne l'avons pas vu, mais nous entendions sa voix ; c'était exactement la même voix qu'il avait sur la terre. Il nous a parlé quelques instants pour nous donner un conseil et nous dire certaines choses pour son frère le P. Ramon Maria Andreu. Il nous a appris quelques mots en français, en allemand, en anglais. Il nous a appris aussi à prier en grec ».
Le 14 septembre 1965, Conchita dit à plusieurs personnes, que la Vierge lui avait dit, lors d'une locution, que le corps du Père Andreu sera trouvé incorrompu, tel qu'il était lorsqu'on l'enterra...
En novembre 1976, Conchita réaffirma à Needles, que la prophétie au sujet du Père Luis se réaliserait le lendemain du Miracle; pas avant...
Ce prêtre, qui le 8 août 1961, aux Pins, a très certainement vu la Vierge ainsi que, par anticipation, le grand Miracle, est enterré le 10 août 1961, au cimetière d'Ona, province de Burgos, où les pères jésuites possèdent un séminaire.
Trois de ses frères étaient également prêtres jésuites ; deux d’entre eux, le Père Marcelino Andreu et le Père Alejendro Andreu, devaient selon certaines rumeurs se trouver à Garabandal le jour du Grand Miracle. Suite à une conversation avec Conchita le 22 septembre 2009, elle m’a révélé qu’ils sont tous décédés.
Début 1976, le séminaire devint un hospice. A la demande de la nouvelle direction de cet établissement, les pères jésuites exhumèrent les corps des pères enterrés dans ce cimetière pour les transférer ailleurs. Le corps du Père Luis Andreu fut trouvé corrompu à l'état de squelette. Ses restes furent alors placés à Loyola dans une case de l'ossuaire des PP. Jésuites. Dans la même case divisée en deux parties, se trouvent aussi les restes d'un autre père jésuite, le Père F. Tiburcio Larranaga.
Par cet événement la Providence a donc voulu que le constat le plus formel soit fait de la corruption du corps du Père Luis Andreu. Mais il est important de garder à l’esprit que Conchita a dit et répété que dans une locution de la Vierge il lui avait été précisé que le lendemain du Miracle on trouvera le corps du Père Luis intact et incorrompu. L'annonce ne concerne donc l'état du corps avant le grand Miracle, mais le lendemain.
A la question posée à Conchita, «pourquoi le Père Andreu est-il mort ?», elle répondit qu’il n’avait pas été préparé à la vision du Miracle. Elle ajouta que nous-mêmes n’en mourrons pas car l’Avertissement nous purifiera et nous permettra d’en supporter la vision.
Invité- Invité
Re: LE PERE LUIS ANDREU
Merci
Je l'ignorais.
Touchante histoire.
Je l'ignorais.
Touchante histoire.
_________________
" La France deviendra mahomète... niant la divinité du Christ... " Marie-Julie JAHENNY parlant des signes précurseurs, préparatoires des épreuves qui attendent le monde.
Apkalu- Première Demeure : J'évite le péché mortel.
- Messages : 44
Date d'inscription : 24/08/2010
Age : 51
Localisation : Région parisienne
Re: LE PERE LUIS ANDREU
Merci ma petite Violaine.
Moi aussi j'ignorais cette belle histoire.
C'est de cette manière que je souhaite mourir.
Bianca xox
Moi aussi j'ignorais cette belle histoire.
C'est de cette manière que je souhaite mourir.
Bianca xox
_________________
"Ah! Je ris de me voir si belle en ce miroir...", chante Bianca Castafiore dans les Bijoux de la Castafiore.
LaCastafiore- Quatrième Demeure : C'est la Nuit des sens. Je pratique une ascèse énergique.
- Messages : 450
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 46
Localisation : Ça dépend de l'album dans lequel j'apparais!
Re: LE PERE LUIS ANDREU
Oui c'est un fait qui m'était bien connu.
Merci Jésus et Marie pour cette si grande grâce reçue par le Père Luis.
Merci Jésus et Marie pour cette si grande grâce reçue par le Père Luis.
Invité- Invité
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