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Message  AnneLéa Ven 26 Mai 2017 - 18:19

Toujours la vérité qui dérange
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Pro Liturgia — 25 mai 2017
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NOUVEAU Jeudi, 25 mai 2017 . Dès 1976, Karol Wojtyla, futur Jean-Paul II, déclarait que « nous sommes aujourd’hui face au plus grand combat que l’humanité ait jamais vu. Je ne pense pas que la communauté chrétienne l’ait compris totalement. Nous sommes aujourd’hui devant la lutte […] entre l’Église et l’anti-Église, entre l’Évangile et l’anti-Évangile. ».

Et lors de sa visite au Portugal, en 2010, Benoît XVI, qui avait longtemps été aux côtés de Jean-Paul II avant d’être pape lui-même, avait précisé : « Nous voyons aujourd’hui de façon beaucoup plus terrifiante que la plus grande persécution de l’Église ne vient pas d’ennemis extérieurs mais naît du péché de l’Église ». Au moment de son élection, le même Benoît XVI avait d’ailleurs averti : « Priez pour moi, afin que je ne me dérobe pas, par peur, devant les loups. » Il était très réaliste : il savait que les “loups” en question n’allaient pas tous venir de l’extérieur de l’Église mais que certains étaient déjà dans l’Église. Des loups déguisés en gentilles brebis bêlant toutes en chœur : « Pastorââââle, pastorââââle ! » Quel brouhaha dans la bergerie !

Il est donc très possible - si l’on en croit S. Jean-Paul II et Benoît XVI - que la grande perturbation surviendra sans même que les catholiques et, peut-être même les pasteurs, puissent s’en rendre compte. Pourquoi ? Simplement parce qu’elle se fera de manière très subtile, juste par un imperceptible déplacement du curseur.

La perturbation (pour ne pas encore parler de schisme) survient dès lors qu’on opère un subtil mélange entre le pastoral et le doctrinal ; lorsqu’au nom d’une “pastorale de l’ouverture et de l’accueil”, on aboutit à mettre en débat la Vérité reçue du Christ.

Ainsi, lorsqu’on n’entend plus que le mot “miséricorde” mais jamais plus le mot “vérité”, alors il faut très sérieusement s’inquiéter ; lorsqu’on n’entend plus que l’expression “joie de l’Évangile” mais jamais plus l’expression “exigence de l’Évangile”, alors il faut sérieusement s’inquiéter : ces insistances sur certains aspects de la foi et ces silences sur d’autres aspects sont autant de failles par lesquelles s’engouffrent toutes les idéologies visant à égarer les fidèles et à dérégler la mission que le Christ à confiée à son Église. Pas “notre” Église : “son” Église !

Le jour de l’Ascension, lorsque Jésus retourne chez son Père, il donne un ultime commandement à ses disciples : « Allez donc, de toutes les nations faites des disciples : baptisez-les au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé » (Mt 28, 19-20).

Jésus n’invite, au nom d’une “bienveillante pastorale”, à relativiser ce qu’il nous a commandé. Non : il nous demande d’ “apprendre à observer” TOUT ce qu’il nous a commandé. L’apprentissage ne se fait pas par la dilution de la vérité ou par la mise de côté de ce qui dérange. Il faut TOUT apprendre ! Or, pour TOUT apprendre, il faut que ce sur quoi porte l’apprentissage soit clairement énoncé et clairement présenté à l’aide d’un langage qui ne soit pas une sorte de “novlangue” pastorale.

Ainsi, quand, dans l’Église, les fidèles qui demandent que la doctrine soit clairement énoncée sont renvoyés au motif qu’ils sont des “pharisiens”, des “cœurs secs fermés à l’action de l’Esprit”... alors il est permis de penser qu’une entreprise de dilution de la vérité est déjà en cours dans l’Église elle-même. Alors il est permis de penser, avec S. Jean-Paul II et Benoît XVI, que ceux qui entendent ruiner l’Église sont déjà à l’œuvre.


SOURCE : PRO LITURGIA sous l'onglet ACTUALITÉS en date du 25 mai 2017

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NOUVEAU vendredi, 26 mai 2017. Au cours d’une conférence prononcée le 18 mai à Rome, le Père Linus Clovis, prêtre de l’archidiocèse de Castries, sur l’île de Sainte Lucie, a déclaré que « l’Eglise catholique authentique et la contre-Eglise cohabitent désormais dans le même espace sacramentel, liturgique et canonique ». Mais la contre-Eglise tente désormais de se faire passer pour la véritable Eglise voulue par Jésus, ce qui lui permet d’amener les fidèles à devenir des promoteurs de l’idéologie séculière, celle qui « fait primer les droits de l’homme sur les droits de Dieu par la profanation des sacrements, le sacrilège des sanctuaires » et par « l’abus du pouvoir apostolique ».
Pour autant, le Père Clovis a qualifié l’action du pape François « de grande et véritable bénédiction » puisque, selon lui, les enseignements ambigus du pontife obligent la contre-Eglise à sortir de l’ombre et à apparaître en pleine lumière. C'est aux fidèles qui veulent demeurer catholique d'ouvrir les yeux...

NOUVEAU Vendredi, 26 mai 2017. La nouvelle mode des évêques de France : les “rassemblements festifs” pour les confirmations.
Le but est de rassembler plusieurs secteurs paroissiaux dans un hall de gare ou un stade ou encore une salle des fêtes. Peu importe que la célébration soit stupide, désacralisée et vide de sens, l’essentiel étant qu’il y ait le plus de monde possible et que les dames catéchistes, grandes “amateuses” de messes déglinguées, puissent apparaître comme les vedettes du jour aux côtés d’un clergé qui a perdu toute contenance en même temps que toute intelligence de la foi.
Soyons lucides : ces rassemblements ne sont que de la poudre aux yeux. Outre qu’ils témoignent de ce que leurs organisateurs ont totalement perdu le sens de la liturgie, ils signent l’échec de la pastorale mise en place par les évêques, lesquels sont désormais contraints d’organiser ces sortes de “foire à la messe” pour faire oublier que leurs paroisses sont moribondes.

* * * * NOUVEAU Vendredi, 26 mai 2017. Le pape François serait-il (comme il l’a dit de lui-même avec franchise) un “diviseur” ? Voici en tout cas ce à quoi aboutissent son exhortation “Amoris laetitia” et ses propos peu clairs, selon le témoignage que nous envoie un internaute belge :
« Depuis quelques semaines, les évêques belges, conduits par l’inénarrable Mgr De Kesel, se sont réveillés de leur longue hibernation et ont été affectés d’une soudaine frénésie de faire connaître le produit de leurs réflexions.
Ainsi, concernant l’ “affaire Mercier” [professeur de l’université “catholique” de Louvain qui a été suspendu pour avoir critiqué l’avortement - n.d.l.r.] qui a ému tout le pays, leurs excellences ont rassuré l’opinion publique, en disant que qualifier l’avortement de “meurtre” relève de la “caricature”, bien qu’il s’agisse “quand même aussi malgré tout” [sic] d’une atteinte à la vie.
Ensuite, il y a quelques jours à peine, les évêques ont signé une déclaration scellant un accord avec l’État fédéral, où on lit que la “primauté de l’État de droit sur la loi religieuse, le droit à choisir son mode de vie, sont des valeurs inaltérables sur lesquelles nous ne pouvons transiger”.
Par ailleurs, amenés à se prononcer sur la question de l’euthanasie, ils ont affirmé ne pas pouvoir “être d’accord que celle-ci soit pratiquée sur des patients psychiatriques qui ne sont pas en phase terminale” (mais alors : quid des patients psychiatriques en phase terminale ?) Ayant posé trois “questions fondamentales”, à savoir : “Qu’est-ce qui nous rend humain [sic] ? Qu’est-ce qui constitue une société humaine ? Qu’est-ce qui sert vraiment le progrès ?”, ils en appellent “à la poursuite du dialogue” et réussissent ainsi le tour de force de ne jamais se référer, dans leur déclaration officielle, ni à Dieu ni au magistère constant de l’Eglise.
Enfin, cerise sur le gâteau, ce 24 mai, Nosseigneurs ont diffusé une lettre pastorale portant sur l’exhortation apostolique “Amoris Laetitia”, dont voici quelques citations, d’une rare élégance intellectuelle : “Amoris Laetitia est un écrit particulièrement inspirant et interpelant [sic] pour relever des défis. C’est avec une grande capacité de s’impliquer [sic] que le pape François parle du mariage et de la famille, de la paternité et de l’éducation, du bonheur et de la fragilité, et surtout de l’amour.” “L’attention au mariage et à la famille fait (…) partie de notre souci pastoral en général, d’autant plus que l’attitude pastorale que le pape François adopte en ce domaine trouve aussi à s’appliquer dans tous les autres secteurs de la pastorale.”
En ce qui concerne la question brûlante de l’accès des divorcés remariés à la communion, l’épiscopat belge - avec le courage qui est le sien - a trouvé la formule miracle à laquelle jamais personne n’avait pensé auparavant : “On ne peut donc pas décréter que tous les divorcés remariés peuvent être admis à la communion. On ne peut pas non plus décréter qu’ils en sont tous exclus. Le cheminement de chaque personne demande le discernement nécessaire en vue d’une décision pastorale prise en conscience”, dans un processus de “dialogue avec un prêtre, un diacre ou un autre agent pastoral [sic]”. Mais, bien entendu : “Nous aussi, comme évêques, nous voulons être prêts à aider”.
La conclusion est grandiose : “Une démarche de discernement ne conduit pas à un oui ou un non automatique à pouvoir [sic] communier. Il peut arriver que quelqu’un décide de ne pas recevoir l’Eucharistie. Nous avons le plus grand respect pour une telle décision. Il se peut aussi que quelqu’un décide en conscience de bien recevoir [sic] l’Eucharistie. Cette décision mérite aussi le respect.”
Voilà où en sont les pasteurs de l’Eglise belge. Mgr Léonard, revenez vite, ils sont devenus fous ! »

Que notre internaute se rassure : il n’y a pas qu’en Belgique que l’Eglise déraille ; plus au sud du royaume, en France, en Allemagne, en Suisse, en Italie... c’est du pareil au même.

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Message  Admin Sam 27 Mai 2017 - 11:15

@ Tous :

Ainsi, lorsqu’on n’entend plus que le mot “miséricorde” mais jamais plus le mot “vérité”, alors il faut très sérieusement s’inquiéter ; lorsqu’on n’entend plus que l’expression “joie de l’Évangile” mais jamais plus l’expression “exigence de l’Évangile”, alors il faut sérieusement s’inquiéter (...)

Moi, j'appelle cela l'Hérésie de la Miséricorde où l'on tait la Justice Divine pour, finalement, accepter n'importe quoi au nom de la fausse-Miséricorde !

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