Renaud Camus : Réflexions sur l'immigration et le Grand Remplacement !

Arrêtez de parler d’“immigration” ! L’immigration c’était entre 1870 et 1970. Ce qui se passe en France et en Europe depuis cinquante ans n’a rien à voir avec l’“immigration”. C’est de l’invasion, de la colonisation, de la submersion ethnique, du génocide par substitution.

— Renaud Camus (@RenaudCamus) 8 septembre 2018

Rien n’est absurde comme de dire qu’il n’y a pas conquête, pas colonisation, pas occupation, parce qu’il n’y a pas d’armée d’invasion, pas de troupes d’occupation. L’armée d’invasion ce sont les nocents permanents. Les troupes d’occupation, partout en Europe, c’est la racaille. https://t.co/SEMXwUgkvU

— Renaud Camus (@RenaudCamus) 15 septembre 2018

Les vraies questions ce sont : pourquoi les peuples européens devraient-ils être remplacés ? pourquoi faut-il accueillir les remplaçants ? jusqu’à quand va se poursuivre en silence, sous les yeux du monde ébahi, la Destruction des Européens d’Europe & de leur civilisation ?

— Renaud Camus (@RenaudCamus) 13 août 2018

On insistera jamais sur la différence entre les deux Occupations. Vichy collaborait avec l’Allemagne, c’est une affaire entendue. Mais enfin il n’écrivait pas tous les jours à Berlin pour demander plus d’occupants, ni n’envoyait des trains pour les chercher…

— Renaud Camus (@RenaudCamus) 13 août 2018

Sous la Première Occupation, les déportations consistaient à transporter de force à l’étranger des citoyens ; sous la Seconde, elles consistent à imposer de force aux citoyens des étrangers.

— Renaud Camus (@RenaudCamus) 13 août 2018

Ils sont horrifiés qu’on puisse dire à un migrant réfugié de rien que non ça ne va pas être possible mais ils voient d'un cœur léger la destruction d’une grande civilisation, l’effacement de trente peuples, la transformation des plus belles villes du monde en bidonvilles hagards.

— Renaud Camus (@RenaudCamus) 13 août 2018

Prétendre lutter contre la pauvreté en France en y faisant venir tous les ans des centaines de milliers d’ultra-pauvres est une dérision totale.

— Renaud Camus (@RenaudCamus) 13 septembre 2018

La prétendue “crise des migrants” est un nom de substitution pour la tragédie des Européens, le génocide par substitution.

— Renaud Camus (@RenaudCamus) 13 août 2018

À partir du moment où l’État n’assume plus ni la protection contre l’invasion étrangère (qu’au contraire il organise) ni la sécurité personnelle (qu’il prétend désormais faire payer), quelle raison avons-nous encore d’obéir ? Le contrat social est rompu.

— Renaud Camus (@RenaudCamus) 11 août 2018