CRISE IDENTITAIRE : Les Occidentaux ne veulent pas devenir minoritaires dans leurs pays !
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Message  Admin Mer 22 Mai 2019 - 7:17

CRISE IDENTITAIRE : LES OCCIDENTAUX NE VEULENT PAS DEVENIR MINORITAIRES DANS LEURS PAYS !


CRISE IDENTITAIRE : Les Occidentaux ne veulent pas devenir minoritaires dans leurs pays ! Carnav10


13 mai 2019  

Interview avec Marc-André Sabourin

Eric Kaufmann, un Canadien qui enseigne la politique à l’Université de Londres, n’est pas du genre à éviter les sujets délicats. « Nous devons parler d’identité blanche », écrit-il dès la première ligne de Whiteshift,une brique de 500 pages qui aborde sans détour les thèmes de l’immigration, du populisme et, bien entendu, de l’identité blanche.

Ces trois questions sont liées par un changement démographique qui transforme l’Occident. D’ici la fin du siècle, les Blancs deviendront minoritaires dans plusieurs pays. Au Canada et aux États-Unis, ce sera le cas dès les années 2050. Dans l’ère de mixité raciale qui suivra, la couleur de la peau ne sera plus un critère d’appartenance à la majorité, croit l’auteur. Mais le chemin pour parvenir à cette « société plus harmonieuse » s’annonce tumultueux.

Déjà, la précarité de la majorité blanche inquiète ses membres les plus conservateurs. Ce sont leurs craintes, et non les inégalités économiques, qui alimentent la vague de populisme qui déferle actuellement sur l’Europe et l’Amérique, avance le chercheur. Une théorie à contre-courant qu’il base sur une foule d’études, de sondages et d’exemples historiques.

Ignorer, ridiculiser ou mépriser les appréhensions et les revendications des conservateurs blancs, comme le font les élites politiques, intellectuelles et médiatiques, ne fera qu’attiser davantage les braises du populisme, prévient le politologue. Mieux vaut écouter les doléances de cette frange non négligeable de la population et proposer des compromis. Les solutions suggérées par l’auteur : réduire l’immigration et légitimer la fierté d’être blanc.

Certains pourraient être tentés de taxer Eric Kaufmann de racisme. Ce serait toutefois mal comprendre les nuances de cet auteur né à Hongkong, qui a grandi à Vancouver et à Tokyo avant de s’installer au Royaume-Uni.

L’actualité l’a joint à sa maison de Londres, d’où l’auteur suit activement la politique canadienne. Il croit d’ailleurs que le Québec est sur la bonne voie pour éviter la montée de l’extrême droite. À l’inverse, il affirme que toutes les conditions sont présentes pour que le Canada bascule vers le populisme.

***

QUESTION : Bon nombre expliquent le Brexit et l’élection de Trump par les inégalités économiques croissantes, particulièrement entre les grands centres urbains et les régions. Vous n’embrassez pas cette théorie des « laissés-pour-compte ». Pourquoi ?

L’explication économique est attirante, car elle conforte les élites politiques dans leurs positions. La gauche dit que la solution à ce problème est une meilleure redistribution de la richesse. La droite affirme qu’il faut plutôt réduire le fardeau fiscal. Même les populistes aiment cette théorie, car ils y jouent le rôle de défenseurs du « monde ordinaire ». Mais lorsqu’on analyse les données, cela ne tient pas la route. Si on compare le revenu des électeurs lors du Brexit, on constate que les pauvres étaient certes plus enclins à voter pour quitter l’Union européenne que les riches, mais que cet effet était minime. Dans le cas de l’élection de Trump, la question du revenu n’a eu à peu près aucun effet sur le vote.

QUESTION : Dans ce cas, comment expliquez-vous la montée du populisme que nous observons en Occident ?

Nous vivons une période rapide et intense de changement ethnique. Les projections démographiques montrent que, sous l’effet de l’immigration, des mariages mixtes et de la natalité, la majorité blanche sera progressivement remplacée par une « majorité de minorités ». Or, à mesure que la majorité blanche décline, elle prend conscience de la précarité de sa position et devient plus défensive. Aux États-Unis, 75 % des électeurs blancs de Trump réclament moins d’immigration. Chez les partisans du Brexit, c’est 90 %. Et dans un sondage, tous les sympathisants — 100 % ! — du parti populiste AFD [principale opposition en Allemagne] étaient en accord avec l’affirmation « l’Allemagne perd sa culture ». Ce n’est pas l’économie qui motive le vote, mais les valeurs culturelles et identitaires.

QUESTION : Les craintes que génère cette transformation ethnique représentent selon vous l’enjeu politique le plus pressant du moment. Pourquoi ?

Tant que les questions identitaires et culturelles constitueront l’un des principaux clivages électoraux, elles relégueront dans l’ombre les autres enjeux importants, tels la croissance économique et les changements climatiques. Ces problèmes complexes seront difficiles à régler si nous restons empêtrés dans la polarisation actuelle.

QUESTION : Que peut-on faire pour s’extirper de cette situation ?

Il est important de dire que la véritable division n’est pas entre les Blancs et les minorités, mais entre ceux qui veulent débattre d’immigration et ceux qui refusent de le faire, sous prétexte que c’est raciste — ce qu’on observe particulièrement chez la gauche libérale. Étouffer le thème de l’immigration laisse toutefois le champ libre aux populistes, qui offrent aux électeurs ce que les principaux partis politiques refusent de leur donner. C’est ce qui s’est passé avec Trump aux États-Unis, où réduire l’immigration était tabou même chez les républicains. C’est aussi ce qu’on a vu lors du Brexit, où le camp du « Remain » a ignoré le thème de l’immigration, jugeant le débat perdu d’avance. Si nous voulons réellement contrer la montée de la droite populiste — qui peut venir avec bien pire que des politiques anti-immigration —, les grands partis doivent commencer par accepter de parler d’immigration.

QUESTION : Justement, comment parle-t-on d’immigration à des gens qui en veulent moins ?

Pour qu’ils appuient davantage l’immigration, il faut leur expliquer que, paradoxalement, les choses ne changent pas. Oui, des immigrants s’installent dans votre pays, mais ils s’assimilent et s’intègrent à la culture. Aux États-Unis, les protestants anglo-saxons ont longtemps constitué la majorité blanche, un groupe duquel étaient exclus les autres Blancs, dont les catholiques et les juifs. Avec le temps, ces groupes ont fusionné pour former une nouvelle majorité, qui partage une histoire et des repères communs. Un tel discours ne vient pas naturellement aux élites, mais c’est le message qu’une partie de l’électorat a besoin d’entendre. Pour que cela fonctionne, il faut toutefois adopter un rythme d’immigration avec lequel la population est à l’aise — plus le taux est élevé, plus l’opposition est grande.

QUESTION : Au Québec, le gouvernement de François Legault a été élu sous la promesse de réduire temporairement le nombre d’immigrants pour faciliter leur intégration. Que pensez-vous d’une telle politique ?

Cela me semble raisonnable. Il n’y a rien de mal à écouter le désir de la population et à ralentir — et non pas arrêter — l’immigration, dans la mesure où on ne cherche pas à exclure ou à stigmatiser un groupe en particulier, comme les musulmans. Dans un tel cas, ce serait du racisme.

QUESTION : Mais n’est-ce pas mal avisé, d’un point de vue économique, de diminuer le nombre d’immigrants dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre ?

Certes, ce ne sera pas optimal sur le plan économique, mais c’est un compromis qui, selon moi, permettra d’arriver à une société plus harmonieuse.

QUESTION : Est-ce dire que l’approche de François Legault pourrait prévenir la montée d’un mouvement populiste au Québec ?

Je crois que oui, surtout si les autres partis embarquent dans le débat. L’un pourrait offrir une option légèrement différente, un autre pourrait suggérer d’augmenter l’immigration. L’important est que les électeurs aient du choix, au-delà d’une position pro ou anti-immigration.
Pour le moment, les demandes de Québec ont reçu un accueil glacial à Ottawa, en plus de susciter une levée de boucliers dans les médias anglophones. Vous affirmez justement que le Canada anglais est l’un des endroits au monde où critiquer l’immigration est le plus tabou.
Le Canada anglais est un cas unique. Toutes les conditions y sont réunies pour qu’un parti populiste de droite y émerge : le rythme du changement ethnique est très élevé, c’est l’un des pays qui a le plus haut taux d’immigration et, dans les sondages, près de 40 % des Canadiens anglais souhaitent réduire le nombre d’immigrants. Mais la rectitude politique est tellement ancrée au sein de l’élite politique et médiatique, tant à gauche qu’à droite, que toute forme d’opposition à l’immigration est étouffée. Il y a une demande, mais elle ne parvient pas à trouver d’offre. Cette stratégie peut fonctionner, mais c’est un pari risqué. Si la pression monte et que le couvercle saute, cette répression deviendra un atout dans le discours des populistes — les élites ne nous écoutent pas ! — qui résonnera chez une partie importante de la population. Il faudra voir ce qui se passera avec le nouveau parti de Maxime Bernier [qui propose de réduire l’immigration au Canada] lors des élections.

QUESTION : Vous affirmez qu’il est légitime d’avoir un sentiment d’appartenance à la majorité blanche. Que voulez-vous dire exactement ?

Je ne parle pas de la race, qui est une catégorie basée sur l’apparence physique, mais du groupe ethnique. Par exemple, les Blancs américains sont issus de différents groupes européens qui se sont mélangés pour former la majorité actuelle. Avoir un sentiment d’attachement modéré à son identité blanche est légitime, comme il est légitime d’être attaché à son identité noire ou chinoise. Évidemment, les Blancs ont un passé : l’esclavagisme, le colonialisme… Des gestes atroces ont été commis et il faut en reconnaître la responsabilité. Mais affirmer, comme certains activistes le font, que l’identité blanche est contaminée et qu’il est honteux de s’y reconnaître, c’est complètement névrosé ! De tels commentaires suscitent, une fois de plus, du ressentiment chez une partie de la population, et cela joue un rôle dans l’élection des populistes.

QUESTION : Est-il possible d’être fier d’être blanc sans être raciste ?

La recherche en psychologie montre que l’attachement à son groupe et la haine des autres groupes ne sont pas nécessairement liés. Aux États-Unis, les Américains qui se reconnaissent dans l’identité blanche ne sont pas plus hostiles envers les Afro-Américains que les Américains qui ne s’y reconnaissent pas. Ce qui est raciste, c’est lorsque son identité se base sur la haine des autres.

QUESTION : On peut être fier d’être blanc, on peut réduire l’immigration… De telles idées ne risquent-elles pas de légitimer le discours de la droite populiste ?

Bien au contraire. Si nous ne parlons pas de ces sujets, quelqu’un d’autre le fera et ce sera la droite populiste. Mieux vaut avoir une discussion calme et raisonnable que de leur laisser toute la place. Mon livre n’est d’ailleurs pas apprécié par l’extrême droite, qui voit la « majorité de minorités » dont j’annonce la venue comme un « génocide blanc ».

QUESTION : Êtes-vous optimiste ou pessimiste quant à notre capacité de discuter calmement d’immigration et d’identité blanche ?

Dans l’état actuel des choses, où la gauche continue de stigmatiser la majorité blanche et les conservateurs culturels avec sa large définition du racisme, je m’attends à ce que le problème empire. Il faut que la gauche devienne plus modérée, mais il y a une résistance énorme parmi les activistes.

QUESTION : Vous êtes un quart chinois, un quart latino, avec un héritage catholique et juif. Auriez-vous osé écrire un livre sur l’identité blanche sans ce bagage ?

Cela aurait certainement été plus complexe ! Si j’avais été anglo-saxon, il aurait été beaucoup plus facile de me coller l’étiquette de « raciste blanc » sans prendre le temps de considérer mes idées. J’espère que les gens comprendront ce que ce livre est réellement. Je suis le fruit de l’immigration et du mélange racial ; m’y opposer serait l’équivalent de signer mon arrêt de mort.

SOURCE :  

https://lactualite.com/societe/le-probleme-des-blancs/

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Message  Admin Mer 22 Mai 2019 - 7:18

L'ÉGLISE DE L'IMMIGRATION FAVORISE ÉGALEMENT L'EXCOMMUNICATION DE MASSE !


CRISE IDENTITAIRE : Les Occidentaux ne veulent pas devenir minoritaires dans leurs pays ! Captu133


(21 mai 2019) - L’exemple le plus récent est l’évêque de Mazara del Vallo, Domenico Mogavero, en Italie. Il a largement condamné les nombreux partisans du populaire Premier ministre italien Matteo Salvini,

"Qui se tient avec Salvini ne peut pas être appelé chrétien parce qu'il a nié le commandement de l'amour", s'est exclamé Mogavero en colère, selon Ansa.it ( 20 mai).

Salvini a réussi à arrêter l'immigration de masse en Italie. Mais Mogavero a insulté Salvini comme "de plus en plus arrogant".

Les commentateurs sur les médias sociaux ont eu un jeu facile avec Mogavero. Ils ont souligné qu'il était "courageux" seulement lorsqu'il défendait l'idéologie des médias oligarques alors qu'il se taisait devant l'avortement, l'euthanasie, l'idéologie de genre et la fornication homosexuelle.

En mars 2011, Mogavero a approuvé les crimes de guerre de l'OTAN contre la Libye qui avaient déclenché une immigration massive en Europe.

Il a vivement soutenu l'introduction du pseudo-mariage gay en Italie.

SOURCE :

https://gloria.tv/article/ttDMBX1PnESu3kMXTTgKpYt4y 

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Message  Admin Mer 22 Mai 2019 - 8:11

LE CRI DU COEUR DE MATTEO SALVINI POUR LA VIERGE MARIE !


CRISE IDENTITAIRE : Les Occidentaux ne veulent pas devenir minoritaires dans leurs pays ! Matteo10


20 mai 2019 ( LifeSiteNews ) - Le politicien italien catholique avec lequel le pape François aurait refusé de se rencontrer en raison de sa position en matière d'immigration et a embrassé un chapelet lors d'un rassemblement politique ce week-end a invoqué la Sainte Mère, suscitant des critiques de certains des autres.

Le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, a également félicité son pays, ses citoyens et lui-même au Cœur immaculé de Marie, ce qui n’a jamais été vu par un chef politique catholique.

Au cours d'un rassemblement politique rassemblant des dizaines de milliers de personnes sur la Piazza del Duomo à Milan, Salvini a fait appel aux six saints patrons de l'Europe, a rapporté The Tablet , Ss. Benoît de Norcia, Brigid de Suède, Catherine de Sienne, Cyril et Méthode, et Teresa Benedicta de la Croix (Edith Stein).

Salvini embrassa ensuite son chapelet, leva les yeux vers la statue de la Mère Bénie au-dessus de la cathédrale de Milan du XIVe siècle et dit: «Je confie ma vie à l'Italie et au vôtre au Cœur immaculé de Marie, qui, j'en suis sûr, apportera nous à la victoire. "

Salvini, chef du parti de la Lega (Ligue) italienne, a dirigé le rassemblement avec 10 autres dirigeants européens populistes avant les élections au Parlement européen de cette semaine, dans une résistance croissante au contrôle centralisé de l'Union européenne (UE), et en particulier un soutien au renforcement des lois sur l'immigration .

Salvini est un homme politique catholique conservateur connu pour donner la priorité à son pays sur l'Union européenne, se méritant le label «nationaliste» des médias et de la gauche.

Critique de Salvini

Le père jésuite Antonio Spadaro, rédacteur en chef de La Civiltà Cattolica et proche confident du pape François, était parmi les personnalités
catholiques désapprouvant l'utilisation du chapelet par Salvini.

Spadaro a publié plusieurs tweets critiques , diffusant également les critiques sur Facebook , affirmant que les chrétiens devraient être scandalisés .

L'année dernière, Spadaro s'est opposé à une proposition de loi italienne exigeant que des crucifix soient placés dans tous les bâtiments publics, accusant Twitter, le parti de la Ligue Salvini, de chercher à utiliser le crucifix comme une figurine d'action, qui est «blasphématoire».
Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d'État du Vatican, a également accusé dimanche le ministre Salvini de réprimander Salvini.

"Je crois que la politique partisane divise, mais que Dieu appartient à tout le monde", a déclaré Parolin aux journalistes à la cathédrale Saint-Jean de Latran. "Invoquer Dieu pour soi est toujours très dangereux."

Le Cardinal Angelo Bagnasco, président de la Conférence des évêques européens, a également dénoncé Salvini au journal italien La Stampa , affirmant que des groupes particuliers ne peuvent pas s'approprier les valeurs chrétiennes et que "l'acceptation et l'intégration sont des valeurs essentielles de l'Evangile" et n'ont Couleur."

Mgr Domenico Mogavero, évêque de Mazara del Vallo, port de l'ouest de la Sicile, responsable du comité des affaires judiciaires de la Conférence des évêques italiens (CEI), a déclaré que M. Salvini ne pouvait plus s'appeler chrétien, selon le nouveau service d' ANSA .
«Nous ne pouvons plus rester silencieux devant la vantardise d'un ministre de plus en plus arrogant», a déclaré Mogavero.

"Nous ne pouvons plus permettre aux gens de s'approprier les signes sacrés de notre foi pour colporter leurs points de vue inhumains et anti-historiques, diamétralement opposés au message de l'Evangile", a-t-il déclaré. "Ceux qui sont avec lui ne peuvent pas s'appeler chrétiens parce qu'ils ont renié le commandement de l'amour."

L'hebdomadaire catholique italien Famiglia Cristiana a qualifié le "baiser du chapelet et la réponse au pape" de Salvini d'un exemple de "souveraineté fétichiste".

Enzo Bianchi, fondateur laïc de la communauté œcuménique Bose et membre influent de l'Église italienne, a déclaré qu'il était «profondément perturbé» par les actions de Salvini.

"Comment est-il possible qu'un politicien aujourd'hui, lors d'un rassemblement électoral, puisse embrasser le chapelet, invoquer les saints patrons de l'Europe et confier l'Italie au cœur immaculé de Marie pour la victoire de son parti?", A tweeté Bianchi. «Catholiques, si vous aimez le christianisme, ne vous taisez pas. Protestation!"

Réponse cohérente

Parallèlement, le chroniqueur de Catholic Herald et professeur associé de théologie à l'Université catholique d'Amérique CC Pecknold a présenté une analyse raisonnée, soulignant notamment que Salvini fait écho à ce que le cardinal guinéen Robert Sarah a déclaré sur l'immigration.

Sarah, préfète de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, a affirmé le droit d'une nation de faire la différence entre réfugiés et migrants économiques et a reconnu un effort mondialiste visant à déchristianiser l'Occident par le biais de migrations massives. Il a également critiqué l'idée selon laquelle des questions de justice sociale telles que l'immigration déplacent ou sont sur un pied d'égalité avec le but premier de l'Église de sauver les âmes.

Pecknold a également noté que Salvini avait cité Sarah dans son discours, ainsi que GK Chesterton, le pape Saint-Jean-Paul II et le pape Benoît XVI.

«Nous avons besoin de nations entières consacrées à la Madone»

Reconnaissant que la politique de Spadaro est différente de celle de Salvini, Pecknold se dit néanmoins déconcerté par le commentaire de Spadaro selon lequel les chapelets en politique devraient mettre les chrétiens en colère.

«L’Église n’a pas de modèles politiques à recommander, ni à défendre», a écrit Pecknold . «L'Église enseigne des préceptes qui élèvent les normes pour n'importe quel ordre. Salvini semble être au courant de ces principes, et cela devrait être loué par l'Église, indépendamment des désaccords politiques. ”

"Il n'y a rien de mal avec les chapelets en politique", a-t-il déclaré. "Nous avons besoin de nations entières consacrées à Notre-Dame."
Alors que Salvini figurait parmi les onze dirigeants européens devant participer au rassemblement samedi, l'Associated Press a rapporté que la plupart des dizaines de milliers de sympathisants qui occupaient la place à l'extérieur de la cathédrale du Duomo de Milan étaient là pour le ministre italien de l'Intérieur, avec des drapeaux de la Ligue remplissant la place. parmi une "multitude" de drapeaux nationaux d'autres pays.

Pecknold avait également écrit qu'à la fin du rassemblement pour la campagne, lorsque Salvini s'était recommandé lui-même et son pays au Cœur immaculé de Marie, «la foule milanaise a applaudi avec une vigueur semblable à celle des Beatles».

Salvini a mentionné le pape François lors du rassemblement de Milan samedi, répondant aux commentaires de Francis à un groupe de journalistes le même jour au Vatican, sans oublier que la Méditerranée avait été transformée en un cimetière en raison de la noyade de migrants.

"A sa Sainteté, le pape François", a déclaré Salvini, "je dis que la politique de ce gouvernement consiste à éliminer les morts en Méditerranée avec fierté et charité chrétienne."

La foule a rapidement sifflé lors du rassemblement quand elle a entendu le nom du pape, a rapporté The Tablet .

Plusieurs publications italiennes ont rapporté ces derniers mois sur la base d'informations de sources anonymes que le pape François refusait de rencontrer Salvini en raison de sa forte position contre l'immigration clandestine - ceci alors que Francis a rencontré à plusieurs reprises des partisans de l'avortement et d'autres problèmes en conflit avec l'enseignement de l'Église .

Plus récemment, le cardinal Konrad Krajewski, un aumônier papal, a déclaré que le Vatican refuserait à Salvini une bénédiction papale pour la même raison, comparant Salvini à un fournisseur d'avortement et à des dictateurs vénézuéliens .

La politique d'immigration est une question de prudence sur laquelle les catholiques peuvent ne pas être d'accord quant aux détails de sa gestion. L'avortement, cependant, est un péché mortel et non négociable selon l'enseignement de l'Église.

Francis: Les droits des migrants doivent primer les préoccupations de sécurité nationale

Francis signale continuellement son soutien à l'immigration ouverte, condamnant les tentatives d'enrayer la vague d'immigration musulmane en Europe, même au détriment de la sécurité nationale.

Depuis 2015, l'Europe est confrontée à une immigration de grande ampleur allant de niveau crise à la plupart des pays du Moyen-Orient et d'Afrique à majorité musulmane.

De nombreux migrants risquent et perdent la vie en essayant de se déplacer, et les désaccords sont généralisés sur le statut de réfugié, la souveraineté nationale et les préoccupations de sécurité, le terrorisme et le crime, ainsi que sur le fardeau du financement du soutien social aux migrants et aux réfugiés.

Les médias complices ont toujours minimisé les inconvénients liés à l’ouverture des frontières dans la plupart des arènes tout au long de la crise.

Le pape a condamné plus d'une fois les murs liés aux frontières nationales - une allusion voilée au président américain Donald Trump pour les politiques de sécurité nationale du président Trump respectueuses des États-Unis. «Construire des ponts» «Ce n'est pas chrétien .» Puis il a répété le mois dernier : «Celui qui construit un mur finit prisonnier du mur qu'il a construit».

Un «devoir dans les limites du possible»

Salvini a déclaré lundi qu'il aimerait rencontrer le pape, et il a cité le Catéchisme pour dire que les limites possibles d'accueil des immigrants avaient été dépassées.

«J'aimerais être reçu par le pape, mais je ne l'ai jamais demandé», a déclaré Salvini. "Il est l'une des personnes les plus stimulantes et fascinantes - je ne pouvais apprendre que de lui."

"Si l'occasion se présentait, je serais plus que disposé à le rencontrer", a ajouté Salvini, selon ANSA . Salvini a déclaré que l'accueil des migrants "est un" devoir dans les limites du possible ", selon le Catéchisme de l'Église catholique (et), le possible a été dépassé."
Lundi avant un forum ANSA , Salvini a mis en doute l’idée que le fait d’invoquer la Vierge soit offensant.

«J'entends que je suis qualifié d'inhumain parce que je sors avec un crucifix dans ma poche», a-t-il déclaré . "Puis-je demander l'aide de Mary ou quelqu'un sera-t-il offensé?"

Salvini a admis être un pécheur et a déclaré que cela ne l’empêchait pas de garder un chapelet avec lui, a rapporté le diffuseur international allemand Deutsche Welle , Qantara.de.

"Je suis le dernier parmi les bons chrétiens", a déclaré Salvini, "mais je suis fier de toujours avoir un chapelet dans ma poche."

SOURCE :  

https://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=auto&tl=fr&u=https%3A%2F%2Fwww.lifesitenews.com%2Fnews%2Fvatican-leaders-outraged-as-anti-immigration-politician-commends-italy-to-mary%3Futm_source%3DLifeSiteNews.com%26utm_campaign%3D86257f39b4-Catholic_5_21_19%26utm_medium%3Demail%26utm_term%3D0_12387f0e3e-86257f39b4-402295917  

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