REFONTE DE LA GOURVERNANCE MONDIALE
Viens, Seigneur Jésus ! :: La Fin des Temps :: Le Nouvel Ordre Mondial (N.O.M.) et les Maîtres du Monde
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REFONTE DE LA GOURVERNANCE MONDIALE
Nicolas Sarkozy en Chine : "refonte de la gouvernance mondiale"
A Pékin, le chef de l’État s’est entretenu avec son homologue chinois de ses projets de refonte du système multilatéral.
Le même décor et les mêmes gestes qu’il y a trois ans, lors de la première visite d’État Comme pour rattraper le temps perdu, Nicolas Sarkozy a développé ses chantiers prioritaires pour la présidence française du G8 et du G20, l’an prochain : stabilisation du prix des matières premières, réforme du système monétaire international, refonte de la gouvernance mondiale. « Nous avons besoin d’une Chine qui tienne toute sa place dans la gouvernance du XXIe siècle », a réaffirmé le chef de l’État.
Pékin doit « monter à bord »
Au cours des prochains mois, les deux chefs d’État se retrouveront aux sommets de Toronto, en juin, et de Séoul, en novembre. Dans cette perspective, « nous allons réfléchir et travailler ensemble », a dit Nicolas Sarkozy. « La conviction française est qu’il est parfaitement improductif de s’accuser les uns les autres. Il est beaucoup plus intelligent de préparer l’évolution nécessaire de l’ordre monétaire du XXIe siècle », a-t-il déclaré, en référence au souhait occidental de voir la Chine réévaluer le yuan. L’idée est bien d’ouvrir un chantier, en sachant qu’une réforme prendra du temps et que, de toute façon, le problème ne saurait être réglé « en binôme entre la France et la Chine », pondère une source diplomatique.
L’ombre de Copenhague plane sur un autre sujet évoqué ce mercredi, la réforme de la gouvernance mondiale. Nicolas Sarkozy répète à l’envi qu’il ne saurait être question de revivre un tel fiasco. Même si la Chine y a largement contribué, il n’était pas question, ce mercredi, de la pointer du doigt mais plutôt de l’inciter à « monter à bord » du train des réformes. Ce chantier-là est déjà ouvert avec la réforme du FMI et de la Banque mondiale. Selon Nicolas Sarkozy, l’adaptation doit se poursuivre, à l’ONU et au-delà, avec une place plus large donnée aux pays émergents.
Face aux appels du président français, les Chinois auraient fait preuve d’« ouverture », relève un témoin. Hu Jintao a évoqué « des mesures actives pour renforcer la coordination macroéconomique, combattre toute forme de protectionnisme et gérer adéquatement les frictions économiques et commerciales ». Mais il s’est bien gardé de rentrer dans les détails. Réceptivité ne signifie pas forcément adhésion.
Preuve en a aussi été fournie sur l’Iran. Une nouvelle fois, Nicolas Sarkozy a plaidé avec force pour un renforcement des sanctions en faisant valoir « combien la course atomique par Téhéran peut nuire à la stabilité du monde ». Hu Jintao l’a écouté « très attentivement », rapporte une source diplomatique.
Le test iranien
Le dirigeant chinois lui a dit que Pékin ne souhaitait pas voir l’Iran se doter d’une arme atomique. Il a dit aussi comprendre la frustration du président français de voir le dialogue au point mort avec Téhéran. La Chine est donc bien consciente des risques du statu quo actuel. Mais elle s’inquiète des conséquences que des sanctions renforcées contre l’Iran feraient peser sur la fragile reprise mondiale. « La Chine souhaite donner toute sa chance au dialogue. La France comprend », a concédé le président de la République. Toutefois, a-t-il enchaîné « chacun est convaincu que le moment approche ». Le Brésilien Lula da Silva sera le 16 mai à Téhéran avec l’ambition d’arracher un accord aux Iraniens. L’échec de cette mission sonnerait le glas des espoirs de dialogue. On saura mieux alors si Nicolas Sarkozy n’aura pas seulement été entendu, mais aussi écouté.
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A Pékin, le chef de l’État s’est entretenu avec son homologue chinois de ses projets de refonte du système multilatéral.
Le même décor et les mêmes gestes qu’il y a trois ans, lors de la première visite d’État Comme pour rattraper le temps perdu, Nicolas Sarkozy a développé ses chantiers prioritaires pour la présidence française du G8 et du G20, l’an prochain : stabilisation du prix des matières premières, réforme du système monétaire international, refonte de la gouvernance mondiale. « Nous avons besoin d’une Chine qui tienne toute sa place dans la gouvernance du XXIe siècle », a réaffirmé le chef de l’État.
Pékin doit « monter à bord »
Au cours des prochains mois, les deux chefs d’État se retrouveront aux sommets de Toronto, en juin, et de Séoul, en novembre. Dans cette perspective, « nous allons réfléchir et travailler ensemble », a dit Nicolas Sarkozy. « La conviction française est qu’il est parfaitement improductif de s’accuser les uns les autres. Il est beaucoup plus intelligent de préparer l’évolution nécessaire de l’ordre monétaire du XXIe siècle », a-t-il déclaré, en référence au souhait occidental de voir la Chine réévaluer le yuan. L’idée est bien d’ouvrir un chantier, en sachant qu’une réforme prendra du temps et que, de toute façon, le problème ne saurait être réglé « en binôme entre la France et la Chine », pondère une source diplomatique.
L’ombre de Copenhague plane sur un autre sujet évoqué ce mercredi, la réforme de la gouvernance mondiale. Nicolas Sarkozy répète à l’envi qu’il ne saurait être question de revivre un tel fiasco. Même si la Chine y a largement contribué, il n’était pas question, ce mercredi, de la pointer du doigt mais plutôt de l’inciter à « monter à bord » du train des réformes. Ce chantier-là est déjà ouvert avec la réforme du FMI et de la Banque mondiale. Selon Nicolas Sarkozy, l’adaptation doit se poursuivre, à l’ONU et au-delà, avec une place plus large donnée aux pays émergents.
Face aux appels du président français, les Chinois auraient fait preuve d’« ouverture », relève un témoin. Hu Jintao a évoqué « des mesures actives pour renforcer la coordination macroéconomique, combattre toute forme de protectionnisme et gérer adéquatement les frictions économiques et commerciales ». Mais il s’est bien gardé de rentrer dans les détails. Réceptivité ne signifie pas forcément adhésion.
Preuve en a aussi été fournie sur l’Iran. Une nouvelle fois, Nicolas Sarkozy a plaidé avec force pour un renforcement des sanctions en faisant valoir « combien la course atomique par Téhéran peut nuire à la stabilité du monde ». Hu Jintao l’a écouté « très attentivement », rapporte une source diplomatique.
Le test iranien
Le dirigeant chinois lui a dit que Pékin ne souhaitait pas voir l’Iran se doter d’une arme atomique. Il a dit aussi comprendre la frustration du président français de voir le dialogue au point mort avec Téhéran. La Chine est donc bien consciente des risques du statu quo actuel. Mais elle s’inquiète des conséquences que des sanctions renforcées contre l’Iran feraient peser sur la fragile reprise mondiale. « La Chine souhaite donner toute sa chance au dialogue. La France comprend », a concédé le président de la République. Toutefois, a-t-il enchaîné « chacun est convaincu que le moment approche ». Le Brésilien Lula da Silva sera le 16 mai à Téhéran avec l’ambition d’arracher un accord aux Iraniens. L’échec de cette mission sonnerait le glas des espoirs de dialogue. On saura mieux alors si Nicolas Sarkozy n’aura pas seulement été entendu, mais aussi écouté.
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Invité- Invité
LA NOUVELLE GOUVERNANCE MONDIALE
Au Sommet de la Francophonie, un appel est lancé pour obtenir:
- Une Réforme du Système Monétaire International
- Une Réforme de la Gouvernance Mondiale.
Mais le citoyen moyen comprend-il toujours ce que signifient ces termes savants?
Le Lien ci-dessus nous donne une large vue de ce qu'on nous en présente:
W [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Un nouveau système monétaire international à notre avis donnera lieu à la Marque de la Bête le 666, et une Gouvernance Mondiale aboutira à Un Gouvernement Mondial Unique.
- Une Réforme du Système Monétaire International
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Un nouveau système monétaire international à notre avis donnera lieu à la Marque de la Bête le 666, et une Gouvernance Mondiale aboutira à Un Gouvernement Mondial Unique.
Marlène- Septième Demeure : C'est l'Union transformante. Je vis la chasteté et la charité parfaites.
- Messages : 2587
Date d'inscription : 01/05/2010
L'AVANCEE VERS LA MONNAIE UNIQUE, LE 666
La Guerre des Monnaies au centre des débats du G20 de Séoul, est révélatrice de la Direction que veut prendre le Monde.
Les orientations et les ambitions des Maîtres du Monde sont claires pour un Gouvernement Mondial qui est en train de se construire aux yeux de tous, c'est pour cela que tout se fait dans un sens favorable à leur programmation.
Toute autre solution précédant la Crise Economique et Financière Majeure qui permettra aux Maîtres du Monde d'imposer une Monnaie Internationale Unique qui ne sera autre que la Marque de la Bête, la Puce Electronique dans les corps, le 666, ne sera que transitoire.
Séoul ne pouvait apporter d'avancée significative, pour la simple raison qu'il n'y a aucune volonté commune de mettre fin aux injustices sociales, à la précarité, et aux effondrements attendus des Etats-Nations, nécessaires pour mettre en place une Dictature qui fera que:
"Par ses manoeuvres, tous, petits et grands, riches ou pauvres, libres ou esclaves, se feront marquer sur la main droite ou sur le front, et nul ne pourra rien acheter ni vendre s'il n'est marqué au nom de la bête ou au chiffre de son nom, 666" Ap13,16-17
La crise financière de 2008, mettait déjà en lumière cette avancée vers la création d'un Gouvernement Mondial. Ce que veulent les Maîtres du Monde, c'est un réel dépouillement total ou partiel des Etats, en vue de déposer leur pouvoir entre les mains d'une Gouvernance Mondiale, financière et économique d'abord, puis plus tard politique.
Faut-il être sorcier pour comprendre que cette Gouvernance Mondiale en réalité engendrera le Gouvernement Mondial à la tête duquel, il y aura un Leader, en qui toutes les Prophéties reconnaissent l'homme qui sera l'Antichrist?
En effet, il suffit d'être un peu plus attentif pour se rendre compte que différents discours sont de l'ordre du "déjà entendu".
Depuis 2008, le disque semble rayé, et on entend la même regaine.
Les orientations et les ambitions des Maîtres du Monde sont claires pour un Gouvernement Mondial qui est en train de se construire aux yeux de tous, c'est pour cela que tout se fait dans un sens favorable à leur programmation.
Toute autre solution précédant la Crise Economique et Financière Majeure qui permettra aux Maîtres du Monde d'imposer une Monnaie Internationale Unique qui ne sera autre que la Marque de la Bête, la Puce Electronique dans les corps, le 666, ne sera que transitoire.
Séoul ne pouvait apporter d'avancée significative, pour la simple raison qu'il n'y a aucune volonté commune de mettre fin aux injustices sociales, à la précarité, et aux effondrements attendus des Etats-Nations, nécessaires pour mettre en place une Dictature qui fera que:
"Par ses manoeuvres, tous, petits et grands, riches ou pauvres, libres ou esclaves, se feront marquer sur la main droite ou sur le front, et nul ne pourra rien acheter ni vendre s'il n'est marqué au nom de la bête ou au chiffre de son nom, 666" Ap13,16-17
La crise financière de 2008, mettait déjà en lumière cette avancée vers la création d'un Gouvernement Mondial. Ce que veulent les Maîtres du Monde, c'est un réel dépouillement total ou partiel des Etats, en vue de déposer leur pouvoir entre les mains d'une Gouvernance Mondiale, financière et économique d'abord, puis plus tard politique.
Faut-il être sorcier pour comprendre que cette Gouvernance Mondiale en réalité engendrera le Gouvernement Mondial à la tête duquel, il y aura un Leader, en qui toutes les Prophéties reconnaissent l'homme qui sera l'Antichrist?
En effet, il suffit d'être un peu plus attentif pour se rendre compte que différents discours sont de l'ordre du "déjà entendu".
Depuis 2008, le disque semble rayé, et on entend la même regaine.
Marlène- Septième Demeure : C'est l'Union transformante. Je vis la chasteté et la charité parfaites.
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Date d'inscription : 01/05/2010
Re: REFONTE DE LA GOURVERNANCE MONDIALE
Voici quelques extraits des restitutions médiatiques(Discours des Chefs d'Etats et de Gouvernements, Patrons de la Finance Mondiale et Responsables des Institutions Internationales) d'octobre et novembre 2008. Sources: Chaînes de Télé et Agence Presse.
" Le monde traverse la pire des crises depuis celle de 1929. Une crise systémique, incroyable, invraisemblable. Il y a un besoin urgent de convoquer un somet international...Les décisions prises au niveau des Etats doivent être conformes au cadre commun. La crise est mondiale, la réponse doit être mondiale. Nous sommes en situation d'urgence pour reformer un système qui a besoin de l'être. Le point d'arrivée est un point ambitieux. Le rapport des forces qui existent doit être revu. On ne peut gérer l'économie du 21e siècle par des lois du 20e siècle. Nous devons porter les bases d'un nouveau Bretton-Wood, un nouveau système financier mondial...
Le temps du statu quo est mort. Il faut un travail de réforme de la Gouvernance Mondiale. C'est une forme de Gouvernance Economique. On ne peut avoir une structure financière sans superviseur. Doù la nécessité de réfléchir sur le rôle et l'avenir du F M I et de la Banque Mondiale. Il faut à ces grandes Institutions Internationales, plus d'organisation, plus de responsabilité.
Les Grandes Monnaies en circulation, combien doit-il y en avoir, et quelles doivent être les relations entre celles-ci? Il est nécessaire d'avoir des taux de change fixes, et non entre les monnaies. Il faut porter un regard sur la Gouvernance Mondiale du 21e siècle; ça ne marche pas parce qu'il n'y a pas cette Nouvelle Gouvernance. Il faut construire une feuille de route pour voir commen s'en sortir. On ne peut plus continuer sans un Gouvernement Economique digne de ce nom. Ceci implique une entorse à la souveraineté des Etats-Nations tels que définis en 1948.
Les Etats sont-ils ou non en faveur d'une régulation de la Finance Mondiale. C'est un enjeu fondamental.
Nous avons besoin que la Chine apporte sa force d'entraînement, que le Brésil dise sa part de vérité, que l'Afrique soit associée à ce que nous allons construire, et que nous rebâtissions ensemble un système international.
Les Dirigeants des grands pays développés et émergeants doivent poursuivre leurs discussions pour relancer l'économie mondiale, renforcer la Gouvernance Economique Planétaire, et mieux réguler les marchés financiers. Il faut à cet effet établir une charte pour une économie à long terme raisonnable, à l'image de la charte des Nations Unies sur les Droits de l'Homme. Ce système de Gouvernance Mondiale est nécessaire, et la refondation du système de supervision international comme la Banque Mondiale et le F M I est inévitable. Il est également nécessaire que les Etats-Unis, qui se sont montrés réticents à l'idée d'une régulation plus forte du marché, s'associent pleinement à ces efforts. Car désormais, aucun pays ne peut agir seul aujourd'hui, même les Etats-Unis, si puissants soient-ils. Nous espérons donc que les Etats-Unis accompagneront ce changement. Nous avons toutes les raisons de faire confiance au Président Barack Obama, élu sur le changement, et donc sur la volonté de reconstruire un Ordre Nouveau, et alors nous changerons le monde avec les Etats-Unis. Certains pays en Europe éprouvent des difficultés à renoncer à un peu de souveraineté nationale; mais tout le monde souffre et c'est pour cela que nous redisons que dans le monde aujourd'hui aucun pays ne peut agir seul. A un Nouveau Monde, un Nouveau Capitalisme.
Aujourd'hui nous avons une situation où la Chine a le plus grand excédent de dévises du monde, tandis que les Etats-Unis ont un déficit très important. Ce qui à la longue représente un facteur d'instabilité.
En 1945 à Bretton-Wood, il y avait une monnaie: le dollar.
Cette monnaie a construit la prospérité du monde. En 2009, il n' ya plus une monnaie, il y en a plusieurs. Que chacun garde son sang froid, pour qu'on se colle à la réalité de la situation économique. Il faut absolument la mise en place d'un nouveau système monétaire international autour de plusieurs dévises: le dollar, l'euro, le yuan, le yen, et peut-être demain la roupie indienne."
" Le monde traverse la pire des crises depuis celle de 1929. Une crise systémique, incroyable, invraisemblable. Il y a un besoin urgent de convoquer un somet international...Les décisions prises au niveau des Etats doivent être conformes au cadre commun. La crise est mondiale, la réponse doit être mondiale. Nous sommes en situation d'urgence pour reformer un système qui a besoin de l'être. Le point d'arrivée est un point ambitieux. Le rapport des forces qui existent doit être revu. On ne peut gérer l'économie du 21e siècle par des lois du 20e siècle. Nous devons porter les bases d'un nouveau Bretton-Wood, un nouveau système financier mondial...
Le temps du statu quo est mort. Il faut un travail de réforme de la Gouvernance Mondiale. C'est une forme de Gouvernance Economique. On ne peut avoir une structure financière sans superviseur. Doù la nécessité de réfléchir sur le rôle et l'avenir du F M I et de la Banque Mondiale. Il faut à ces grandes Institutions Internationales, plus d'organisation, plus de responsabilité.
Les Grandes Monnaies en circulation, combien doit-il y en avoir, et quelles doivent être les relations entre celles-ci? Il est nécessaire d'avoir des taux de change fixes, et non entre les monnaies. Il faut porter un regard sur la Gouvernance Mondiale du 21e siècle; ça ne marche pas parce qu'il n'y a pas cette Nouvelle Gouvernance. Il faut construire une feuille de route pour voir commen s'en sortir. On ne peut plus continuer sans un Gouvernement Economique digne de ce nom. Ceci implique une entorse à la souveraineté des Etats-Nations tels que définis en 1948.
Les Etats sont-ils ou non en faveur d'une régulation de la Finance Mondiale. C'est un enjeu fondamental.
Nous avons besoin que la Chine apporte sa force d'entraînement, que le Brésil dise sa part de vérité, que l'Afrique soit associée à ce que nous allons construire, et que nous rebâtissions ensemble un système international.
Les Dirigeants des grands pays développés et émergeants doivent poursuivre leurs discussions pour relancer l'économie mondiale, renforcer la Gouvernance Economique Planétaire, et mieux réguler les marchés financiers. Il faut à cet effet établir une charte pour une économie à long terme raisonnable, à l'image de la charte des Nations Unies sur les Droits de l'Homme. Ce système de Gouvernance Mondiale est nécessaire, et la refondation du système de supervision international comme la Banque Mondiale et le F M I est inévitable. Il est également nécessaire que les Etats-Unis, qui se sont montrés réticents à l'idée d'une régulation plus forte du marché, s'associent pleinement à ces efforts. Car désormais, aucun pays ne peut agir seul aujourd'hui, même les Etats-Unis, si puissants soient-ils. Nous espérons donc que les Etats-Unis accompagneront ce changement. Nous avons toutes les raisons de faire confiance au Président Barack Obama, élu sur le changement, et donc sur la volonté de reconstruire un Ordre Nouveau, et alors nous changerons le monde avec les Etats-Unis. Certains pays en Europe éprouvent des difficultés à renoncer à un peu de souveraineté nationale; mais tout le monde souffre et c'est pour cela que nous redisons que dans le monde aujourd'hui aucun pays ne peut agir seul. A un Nouveau Monde, un Nouveau Capitalisme.
Aujourd'hui nous avons une situation où la Chine a le plus grand excédent de dévises du monde, tandis que les Etats-Unis ont un déficit très important. Ce qui à la longue représente un facteur d'instabilité.
En 1945 à Bretton-Wood, il y avait une monnaie: le dollar.
Cette monnaie a construit la prospérité du monde. En 2009, il n' ya plus une monnaie, il y en a plusieurs. Que chacun garde son sang froid, pour qu'on se colle à la réalité de la situation économique. Il faut absolument la mise en place d'un nouveau système monétaire international autour de plusieurs dévises: le dollar, l'euro, le yuan, le yen, et peut-être demain la roupie indienne."
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