PHOTO MIRACULEUSE DE JEAN-PAUL II LE JOUR DE SON ATTENTAT
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HUBERT Jeannine- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
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Re: PHOTO MIRACULEUSE DE JEAN-PAUL II LE JOUR DE SON ATTENTAT
@ Jeannine :
Connaissez-vous l'histoire de cette photo miraculeuse ?
L'Administrateur
Connaissez-vous l'histoire de cette photo miraculeuse ?
L'Administrateur
Re :PHOTO MIRACULEUSE DE JEAN-PAUL II LE JOUR DE SON ATTENTAT
Re @ M. L'Admin. et @ TOUS : PHOTO MIRACULEUSE DE JEAN-PAUL II
LE JOUR DE SON ATTENTAT
Une "PROTECTION MATERNELLE" pour Jean-PAUL II
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Une « protection maternelle » pour Jean-Paul II
Toujours fidèle à Marie, le pape polonais a considéré que la Vierge de Fatima avait non seulement sauvé sa propre vie, mais aussi annoncé la fin du communisme
La Croix le 13/05/2010 à 14:02 Modifié le 13/05/2010 à 14:0
Le mercredi 13 mai 1981, alors que 25 000 personnes sont massées place Saint-Pierre pour l'audience hebdomadaire, deux coups de feu claquent. Il est 17h17 et Mehmet Ali Agça vient de tirer sur Jean-Paul II, à trois mètres de distance. Le pape s'effondre dans les bras de Stanislaw Dziwisz, son secrétaire. La papamobile accélère. Touché à l'abdomen, au coude droit et à l'index de la main gauche, le pape polonais perd conscience. Il murmure « Marie, ma mère ! »
À l'hôpital Gemelli, les médecins sont très inquiets. Leur patient a perdu trois litres de sang, l'intestin est très gravement touché. Mais, finalement, il apparaît qu'aucun organe vital n'est atteint.
Tandis que le pape est opéré, sur la place Saint-Pierre des pèlerins polonais posent sur le grand fauteuil laissé vide par le pape une image de la Vierge Noire de Czestochowa, chère à son coeur. À son dos, une main anonyme a écrit : « Notre Père, protège le Saint-Père du mal. »
«C'était le jour, l'heure et les minutes !»
Le lendemain, Mgr Dziwisz lui relate les heures précédant l'attentat, son opération et mentionne au passage une coïncidence : l'attentat d'Ali Agça s'est produit le jour anniversaire de la première apparition de Fatima, le 13 mai 1917.
Curieusement, ce pape polonais, voué à Marie depuis son enfance, habitué de Czestochowa, de Lourdes, de Guadalupe, de Lorette et de tant d'autres sanctuaires mariaux, ne s'était jamais vraiment intéressé à Fatima et à ses secrets. Mais ce 14 mai, une conviction le submerge. Qu'il soit encore en vie relève du miracle. Et qui d'autre que Marie pourrait en être l'auteur ? Il demande à Mgr Dziwisz de lui constituer un dossier, qu'il lira avec passion les jours suivants.
Son ancien professeur Stefan Swiezawski racontera plus tard au journaliste Bernard Lecomte (1) ce petit déjeuner à Castel Gandolfo, durant sa convalescence, où Jean-Paul II lui saisit le bras, répétant avec conviction : « C'était le jour, l'heure et les minutes ! »
Un an plus tard, Jean-Paul II est à Fatima
Pour lui, c'est clair : la Vierge lui a sauvé la vie. Dès l'Angélus du dimanche 7 octobre, il le confie aux pèlerins, place Saint-Pierre : « Comment pourrais-je oublier que l'événement a eu lieu le jour et à l'heure où, depuis plus de soixante ans, on commémore à Fatima, au Portugal, la première apparition de la Mère du Christ aux pauvres petits paysans ? Car vraiment, ce jour-là, j'ai ressenti dans tout ce qui est arrivé cette extraordinaire protection maternelle qui s'est montrée plus forte que le projectile de mort. »
Un an plus tard, le 12 mai 1982, il est à Fatima. Là encore, la mort le frôle : un intégriste en soutane noire se précipite sur lui, armé d'un poignard, hurlant : « Je t'accuse de détruire l'Église ! À mort Vatican II ! » Mais le forcené est vite maîtrisé.
Le 13, jour du double anniversaire, Jean-Paul II, devant un million de personnes, remercie publiquement Notre-Dame de lui avoir sauvé la vie. Et annonce son intention de consacrer le monde et la Russie à la Vierge.
«Un point de référence et de rayonnement pour notre siècle»
Deux ans plus tard, le 24 mars 1984, il accueille à Rome la statue de la Vierge de Fatima, et reste en prière toute une nuit devant elle, dans sa chapelle. Le lendemain, il confie à l'évêque de Leiria, le diocèse portugais où se trouve Fatima, la balle qui l'a traversé le jour de l'assassinat. Ce sera le recteur du sanctuaire, Mgr Luciano Guerra, qui aura l'idée de la placer au coeur de la couronne surplombant la Vierge, entre la tige et la croix.
À l'occasion du Jubilé de l'an 2000, le pape polonais retournera à Fatima, forcément le 13 mai, puis il accueillera de nouveau la statue le 7 octobre à Rome. Et tous les 13 mai après-midi, durant son pontificat, à 17 heures, il célébrera une messe de remerciement dans sa chapelle privée.
Mais, pour Jean-Paul II, ce « miracle » dépasse largement sa simple personne. Il le dira, lors de l'Angélus du 26 juillet 1987 : « Les apparitions de la Très Sainte Vierge Marie à Fatima, prouvée par les signes extraordinaires qui sont survenus en 1917, forment un point de référence et de rayonnement pour notre siècle. »
«Ce fut une main maternelle qui guida la trajectoire du projectile»
Et encore le 13 juin 1994, aux cardinaux réunis en consistoire à Rome : « Personnellement, il m'a été donné de comprendre d'une manière très particulière le message de la Vierge de Fatima, la première fois, le 13 mai 1981, au moment de l'attentat contre la vie du pape, puis encore vers la fin des années quatre-vingt, à l'occasion de l'écroulement du communisme dans les pays du bloc soviétique. Je pense qu'il s'agit là d'une expérience assez transparente pour tous. »
Des « secrets » de Fatima - au-delà de l'annonce que « le Saint-Père aura beaucoup à souffrir » -, le pape slave a bien retenu que « la Russie répandra ses erreurs à travers le monde » mais aussi que « la Russie se convertira, et il sera concédé au monde un certain temps de paix. »
Expliquant, le 26 juin 2000 à Rome, le troisième secret de Fatima, le cardinal Ratzinger affirmait, reprenant les propos de Jean-Paul II le 13 mai 1994 (« Ce fut une main maternelle qui guida la trajectoire du projectile, et le pape agonisant s'arrêta au seuil de la mort ») : « Qu'ici une "main maternelle" ait dévié la balle mortelle montre seulement encore une fois qu'il n'existe pas de destin immuable, que la foi et la prière sont des puissances qui peuvent influer sur l'histoire et que, en définitive, la prière est plus forte que les projectiles, la foi plus puissante que les divisions. »
Frédéric MOUNIER, à Rome
(1) Jean-Paul II , Folio, 2003, p. 517.
Jeanne La Guerrière servante de DIEU et envoyée de DIEU par la Grace de DIEU.
LE JOUR DE SON ATTENTAT
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Une « protection maternelle » pour Jean-Paul II
Toujours fidèle à Marie, le pape polonais a considéré que la Vierge de Fatima avait non seulement sauvé sa propre vie, mais aussi annoncé la fin du communisme
La Croix le 13/05/2010 à 14:02 Modifié le 13/05/2010 à 14:0
Le mercredi 13 mai 1981, alors que 25 000 personnes sont massées place Saint-Pierre pour l'audience hebdomadaire, deux coups de feu claquent. Il est 17h17 et Mehmet Ali Agça vient de tirer sur Jean-Paul II, à trois mètres de distance. Le pape s'effondre dans les bras de Stanislaw Dziwisz, son secrétaire. La papamobile accélère. Touché à l'abdomen, au coude droit et à l'index de la main gauche, le pape polonais perd conscience. Il murmure « Marie, ma mère ! »
À l'hôpital Gemelli, les médecins sont très inquiets. Leur patient a perdu trois litres de sang, l'intestin est très gravement touché. Mais, finalement, il apparaît qu'aucun organe vital n'est atteint.
Tandis que le pape est opéré, sur la place Saint-Pierre des pèlerins polonais posent sur le grand fauteuil laissé vide par le pape une image de la Vierge Noire de Czestochowa, chère à son coeur. À son dos, une main anonyme a écrit : « Notre Père, protège le Saint-Père du mal. »
«C'était le jour, l'heure et les minutes !»
Le lendemain, Mgr Dziwisz lui relate les heures précédant l'attentat, son opération et mentionne au passage une coïncidence : l'attentat d'Ali Agça s'est produit le jour anniversaire de la première apparition de Fatima, le 13 mai 1917.
Curieusement, ce pape polonais, voué à Marie depuis son enfance, habitué de Czestochowa, de Lourdes, de Guadalupe, de Lorette et de tant d'autres sanctuaires mariaux, ne s'était jamais vraiment intéressé à Fatima et à ses secrets. Mais ce 14 mai, une conviction le submerge. Qu'il soit encore en vie relève du miracle. Et qui d'autre que Marie pourrait en être l'auteur ? Il demande à Mgr Dziwisz de lui constituer un dossier, qu'il lira avec passion les jours suivants.
Son ancien professeur Stefan Swiezawski racontera plus tard au journaliste Bernard Lecomte (1) ce petit déjeuner à Castel Gandolfo, durant sa convalescence, où Jean-Paul II lui saisit le bras, répétant avec conviction : « C'était le jour, l'heure et les minutes ! »
Un an plus tard, Jean-Paul II est à Fatima
Pour lui, c'est clair : la Vierge lui a sauvé la vie. Dès l'Angélus du dimanche 7 octobre, il le confie aux pèlerins, place Saint-Pierre : « Comment pourrais-je oublier que l'événement a eu lieu le jour et à l'heure où, depuis plus de soixante ans, on commémore à Fatima, au Portugal, la première apparition de la Mère du Christ aux pauvres petits paysans ? Car vraiment, ce jour-là, j'ai ressenti dans tout ce qui est arrivé cette extraordinaire protection maternelle qui s'est montrée plus forte que le projectile de mort. »
Un an plus tard, le 12 mai 1982, il est à Fatima. Là encore, la mort le frôle : un intégriste en soutane noire se précipite sur lui, armé d'un poignard, hurlant : « Je t'accuse de détruire l'Église ! À mort Vatican II ! » Mais le forcené est vite maîtrisé.
Le 13, jour du double anniversaire, Jean-Paul II, devant un million de personnes, remercie publiquement Notre-Dame de lui avoir sauvé la vie. Et annonce son intention de consacrer le monde et la Russie à la Vierge.
«Un point de référence et de rayonnement pour notre siècle»
Deux ans plus tard, le 24 mars 1984, il accueille à Rome la statue de la Vierge de Fatima, et reste en prière toute une nuit devant elle, dans sa chapelle. Le lendemain, il confie à l'évêque de Leiria, le diocèse portugais où se trouve Fatima, la balle qui l'a traversé le jour de l'assassinat. Ce sera le recteur du sanctuaire, Mgr Luciano Guerra, qui aura l'idée de la placer au coeur de la couronne surplombant la Vierge, entre la tige et la croix.
À l'occasion du Jubilé de l'an 2000, le pape polonais retournera à Fatima, forcément le 13 mai, puis il accueillera de nouveau la statue le 7 octobre à Rome. Et tous les 13 mai après-midi, durant son pontificat, à 17 heures, il célébrera une messe de remerciement dans sa chapelle privée.
Mais, pour Jean-Paul II, ce « miracle » dépasse largement sa simple personne. Il le dira, lors de l'Angélus du 26 juillet 1987 : « Les apparitions de la Très Sainte Vierge Marie à Fatima, prouvée par les signes extraordinaires qui sont survenus en 1917, forment un point de référence et de rayonnement pour notre siècle. »
«Ce fut une main maternelle qui guida la trajectoire du projectile»
Et encore le 13 juin 1994, aux cardinaux réunis en consistoire à Rome : « Personnellement, il m'a été donné de comprendre d'une manière très particulière le message de la Vierge de Fatima, la première fois, le 13 mai 1981, au moment de l'attentat contre la vie du pape, puis encore vers la fin des années quatre-vingt, à l'occasion de l'écroulement du communisme dans les pays du bloc soviétique. Je pense qu'il s'agit là d'une expérience assez transparente pour tous. »
Des « secrets » de Fatima - au-delà de l'annonce que « le Saint-Père aura beaucoup à souffrir » -, le pape slave a bien retenu que « la Russie répandra ses erreurs à travers le monde » mais aussi que « la Russie se convertira, et il sera concédé au monde un certain temps de paix. »
Expliquant, le 26 juin 2000 à Rome, le troisième secret de Fatima, le cardinal Ratzinger affirmait, reprenant les propos de Jean-Paul II le 13 mai 1994 (« Ce fut une main maternelle qui guida la trajectoire du projectile, et le pape agonisant s'arrêta au seuil de la mort ») : « Qu'ici une "main maternelle" ait dévié la balle mortelle montre seulement encore une fois qu'il n'existe pas de destin immuable, que la foi et la prière sont des puissances qui peuvent influer sur l'histoire et que, en définitive, la prière est plus forte que les projectiles, la foi plus puissante que les divisions. »
Frédéric MOUNIER, à Rome
(1) Jean-Paul II , Folio, 2003, p. 517.
Jeanne La Guerrière servante de DIEU et envoyée de DIEU par la Grace de DIEU.
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JEANNE LA GUERRIERE
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lise aime ce message
Re: PHOTO MIRACULEUSE DE JEAN-PAUL II LE JOUR DE SON ATTENTAT
@ Jeannine, Merci pour cette émouvante photo et la belle histoire de la « Protection Maternelle » pour Jean-Paul II.
Cela m'a fait penser au Message que Jnsr avait reçu au lendemain du « départ au Ciel » de notre Saint Pape et en donne le lien avec cet extrait :
… Vous vouliez le retenir et lui voulait partir, impatient de pénétrer, accompagné de Celle qui est Fille, Épouse et Mère de votre Dieu Trois fois Saint, dans la Maison du Père qui l’attendait sur le seuil de Sa Demeure.
“ Ne me pleurez pas, je suis dans la Joie
de ma Sainte Résurrection avec le Ressuscité
et Notre Mère de la Très Sainte Miséricorde de Dieu ”.
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Cela m'a fait penser au Message que Jnsr avait reçu au lendemain du « départ au Ciel » de notre Saint Pape et en donne le lien avec cet extrait :
… Vous vouliez le retenir et lui voulait partir, impatient de pénétrer, accompagné de Celle qui est Fille, Épouse et Mère de votre Dieu Trois fois Saint, dans la Maison du Père qui l’attendait sur le seuil de Sa Demeure.
“ Ne me pleurez pas, je suis dans la Joie
de ma Sainte Résurrection avec le Ressuscité
et Notre Mère de la Très Sainte Miséricorde de Dieu ”.
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" Le moment de l’affrontement final avec les forces négatives, personne ne peut l’éviter, mais le supporter, OUI, avec l’aide de DIEU "
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Notre Seigneur à Ste Marguerite-Marie
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stjeanlagneau et HUBERT Jeannine aiment ce message
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