En route vers des Mesures de plus en plus liberticides !

En Nouvelle-Galles du Sud, des projets sont déjà en cours pour séparer la population en fonction de son statut vaccinal à l’aide d’applications numériques.

Le gouvernement envisage d’utiliser les passeports vaccinaux, qui ont suscité l’indignation dans le monde entier, pour limiter les commodités des personnes non vaccinées.

Alors que le calendrier vaccinal australien n’en est qu’à ses débuts, avec seulement 17 % des personnes âgées de 16 ans et plus ayant reçu les deux vaccins, il est déjà question de restrictions plus sévères pour ceux qui refusent ou ne peuvent pas être vaccinés, et d’utiliser l’infrastructure numérique pour y parvenir.

D’ici la fin de l’année, l’accès au lieu de travail, aux pubs, aux bars, aux cafés, aux restaurants, aux stades de sport et à d’autres lieux pourrait être restreint. Le gouvernement a envisagé une législation qui permettrait aux entreprises privées de discriminer les clients en fonction de leur état de santé. Le Premier ministre Scott Morrison a confirmé que cette question ferait l’objet d’un débat au sein du Cabinet national.

Lors d’une conférence téléphonique avec des électeurs du comté de Sutherland, le Premier ministre a fait allusion à l’introduction de restrictions pour les Australiens qui refusent de se faire vacciner, les empêchant d’accéder aux lieux publics, selon un enregistrement obtenu par le Daily Mail la semaine dernière.

Bien que M. Morrison soit favorable à l’introduction de restrictions supplémentaires pour les personnes qui ne se font pas vacciner, il a toutefois déclaré que le vaccin ne sera pas rendu obligatoire car il s’agit d’une « mauvaise décision pour l’Australie ».

S’il est actuellement interdit de s’enquérir du statut médical privé d’une personne en matière de vaccination, un ordre de santé publique pourrait changer cela, a déclaré M. Morrison ;

« La loi ne le permet pas, je dois le souligner. Je veux dire à moins qu’il y ait un ordre de santé publique. Tout comme elle ne permet pas d’empêcher quelqu’un de se rendre dans un lieu de spectacle. C’est mon conseil. Mais les gouvernements des États peuvent les mettre en place. La phase B du plan consiste à s’assurer que ceux qui ont été vaccinés sont exemptés des restrictions. »

Alors que les électeurs de l’électorat de Cook de M. Morrison l’interrogeaient jeudi soir, un habitant frustré a suggéré que davantage d’Australiens se feraient vacciner contre le COVID-19 si les entreprises comme les restaurants étaient autorisés à ne servir que les personnes ayant reçu le vaccin, selon le Daily Mail.

Le Premier ministre s’est montré d’accord avec l’habitant, déclarant qu’il s’agissait d’une option raisonnable une fois que les niveaux de vaccination auraient augmenté.

« Lorsque les taux de vaccination seront beaucoup plus élevés, je suis d’accord avec vous, et je pense qu’il devrait y avoir des avantages pour ceux qui l’ont fait et qui ont saisi l’occasion », a déclaré M. Morrison.

« Car si vous êtes vacciné, vous représentez un moindre risque pour la santé publique que quelqu’un qui ne l’est pas.

« Je pense que le moment viendra où exactement ce que vous suggérez devrait pouvoir être réalisé ».

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/les-passeports-vaccinaux-devraient-arriver-en-australie-avant-la-fin-de-lannee/

par Paul D. Thacker

30 juillet 2024

Les médias sociaux sont devenus un peu fous la semaine dernière lorsqu’une interview du Dr Peter Hotez de l’hôpital pour enfants du Texas a commencé à circuler avec l’initié de Big Pharma appelant les Nations Unies et l’OTAN à déployer des forces de sécurité contre les « anti-vaccins » aux États-Unis. Les déclarations du Dr Hotez sont apparues pour la première fois sur la chaîne YouTube d’une conférence pédiatrique internationale qui a eu lieu en Colombie, mais l’interview a ensuite sauté sur X.

Le Simposio Internacional de Actualización en Pediatría (Symposium international des mises à jour pédiatriques) a par la suite retiré l’interview de YouTube, bien que des photos puissent encore être trouvées sur Facebook.


Dans des extraits de l’interview de Hotez qui continuent de circuler sur X, il affirme que les « anti-vaxxers » ont causé des centaines de milliers de morts aux États-Unis. J’ai téléchargé un clip sur ma chaîne YouTube que vous pouvez regarder ici :

Ce que j’ai dit à l’administration Biden, c’est que le secteur de la santé ne peut pas résoudre ce problème à lui seul. Nous allons devoir faire appel à la Sécurité intérieure, au département du Commerce, au ministère de la Justice pour nous aider à comprendre comment procéder.

J’ai dit la même chose avec... J’ai rencontré le Dr Tedros [directeur général de l’OMS] le mois dernier... de dire, je ne sais pas si l’Organisation mondiale de la santé peut résoudre cela par elle-même. Nous avons besoin des autres agences des Nations Unies, c’est-à-dire de l’OTAN. Il s’agit d’un problème de sécurité, car il ne s’agit plus d’une construction théorique ou d’un exercice académique obscur. Deux cent mille Américains sont morts à cause d’une agression anti-vaccinale, d’une agression anti-science.

Et donc, c’est maintenant une force mortelle... et maintenant je me sens comme un scientifique spécialiste des vaccins pédiatriques ... C’est important, tout aussi important pour moi de fabriquer de nouveaux vaccins, de sauver des vies. L’autre aspect de sauver des vies est de contrer cette agression anti-vaccinale.

Hotez est depuis longtemps connu pour promouvoir des déclarations controversées et parfois fausses sur la pandémie de COVID, puis pour accuser ses détracteurs d'« anti-science ».


Mais ce n’est pas la première fois que Hotez appelle la police à se déployer contre ceux qui ne sont pas d’accord avec ses opinions sur la science. En octobre dernier, Scientific American a présenté Hotez comme un expert en matière d'« anti-science » et n’a pas sourcillé lorsqu’il a déclaré que le soutien aux scientifiques nécessiterait l’intervention du ministère de la Sécurité intérieure et la création d’un groupe de travail fédéral inter-agences.


Le Dr Hotez a de nouveau appelé au déploiement de la police fédérale pour soutenir la science lors d’une conférence qu’il a donnée en août 2021. Un lanceur d’alerte de l’hôpital pour enfants du Texas m’a envoyé la conférence où Hotez a dit que « l’empire de la désinformation » menaçait l’Amérique et devrait être traité par le ministère de la Sécurité intérieure :

Le problème, c’est que l’empire de la désinformation est si vaste et omniprésent que tant que nous ne ferons pas quelque chose de plus définitif pour trouver la source de la désinformation et l’arrêter, il n’aura pas beaucoup d’impact. Et c’est là que tout le monde s’éloigne de moi.

Et j’ai tendance à être sur un ... tout seul ici.

Plus tôt cette année, le magazine Time a nommé Hotez « guerrier de la science » et l’une des 100 personnes les plus influentes de la santé mondiale.

SOURCE :

https://disinformationchronicle.substack.com/p/vaccine-cheerleader-dr-peter-hotez

28/08/2024

Bill Gates et l'OMS demandent à l'armée de rassembler les réfractaires au vaccin ARNm pendant la pandémie de grippe aviaire.

Bill Gates s'est associé à l'Organisation mondiale de la santé pour demander que les personnes refusant de se faire vacciner soient rassemblées par l'armée et soumises à une injection forcée d'ARNm lors de la prochaine pandémie.

SOURCE :

https://thepeoplesvoice.tv/bill-gates-and-who-call-for-military-to-round-up-mrna-vaccine-refusers-during-bird-flu-pandemic

par Pierre-Alain Depauw

30 août 2024

Le projet EUVABECO démarre dans cinq pays pilotes dès septembre 2024, les essais sont prévus en Belgique, Allemagne, Grèce, Lettonie, Portugal.


La mise en place d’un système de contrôle numérique européen (puis mondial) se poursuit donc sous le prétexte sanitaire.

Le projet complet a commencé et est prévu pour se dérouler jusqu’à juin 2026.

“Le projet fait partie d’un programme plus vaste nommé EUVABECO qui vise à contrôler et augmenter la vaccination au sein de l’Union. Intégrée au système de certification numérique mondiale de l’OMS, la CVE avance de pair avec l’introduction de l’identité numérique européenne (https://commission.europa.eu/strategy-and-policy/priorities-2019-2024/europe-fit-digital-age/european-digital-identity_fr) et de la monnaie numérique (https://www.consilium.europa.eu/fr/policies/digital-euro/) en Europe”.

Mise en circulation réelle prévue pour 2026 dans toute l’UE

La Carte (CVE) devrait être en circulation dans tous les Etats membres de l’Union à partir de 2026.


Lancé en janvier 2024 par la Commission européenne, le projet EUVABECO (European Vaccination Beyond Covid-19) réunit des institutions et universités de 14 pays qui devront élaborer et tester 12 projets pilotes pour la mise en place d’outils “innovants”, destinés “à préparer et prévenir les pandémies et à stimuler la vaccination au sein de l’UE”.

Il est placé sous la coordination de l’université de Crète, en Grèce, avec un budget de 8,44 millions d’euros, dont 6,75 millions provenant du programme EU4Health et 1,69 million de “partenaires” non spécifiés.

T-Systems, une filiale de Deutsche Telekom, qui est le principal architecte de cette plateforme, avait d’ailleurs déclaré que le passe fonctionne comme un véritable “couteau suisse” auquel on peut sans cesse ajouter de nouvelles applications.

Durant le Covid, la Grèce avait été l’un des premier pays à développer un pass sanitaire et à demander la mise en place d’un équivalent européen. Le pays avait tout fait pour pousser sa population à se vacciner, allant jusqu’à prendre des mesures extrêmes comme l’obligation vaccinale pour les plus de 60 ans, assortie d’une amende de 100 euros par mois pour les récalcitrants. Forte de cette “expérience”, la Grèce est aujourd’hui l’un des pays les plus impliqués dans les projets de l’EUVABECO.

Pierre-Alain Depauw

SOURCE :

https://www.medias-presse.info/le-projet-euvabeco-la-carte-europeenne-de-vaccination-debarque-en-belgique-allemagne-grece-lettonie-portugal/194885/