Extrait de la Vie d'Anne Catherine Emmerich !
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Extrait de la Vie d'Anne Catherine Emmerich !
Extrait d'un texte sur la vie d'Anne Catherine Emmerich
Anne Catherine reçut cette lumière surnaturelle à un âge encore moins avancé. Le 8 septembre 1821, qui était le cinquante septième anniversaire de sa naissance, elle raconta a ce sujet ce qui suit : Comme je suis née le 8 septembre, j'ai eu aujourd'hui une intuition merveilleuse sur ma naissance et sur mon baptême. J'ai ressenti à cette occasion des impressions singulières. Je me sentais comme un enfant nouveau né dans les bras des femmes qui me portaient à Coesfeld pour y être baptisée, et j'étais confuse de l'impression que j'avais d'être à la fois si petite et si faible et pourtant si vieille : car tout ce que j'avais déjà senti et éprouvé alors, en qualité d'enfant nouveau né, je le vis et je le connus de nouveau, toutefois mêlé avec mon entendement actuel. Dès cette époque, mon ange gardien se montrait à moi visiblement présent, comme il le fit toujours plus tard. Je regardais tout autour de moi, la vieille grange dans laquelle nous habitions, et toutes sortes de choses que je ne vis plus par la suite, parce qu'on fit beaucoup de changements. Je me sentis porter, et cela avec une pleine conscience, tout le long du chemin qui va de notre chaumière de Flamske à l'église paroissiale de Saint Jacques à Coesfeld ; je sentais tout et je regardais tout autour de moi. Je vis accomplir sur moi toute la sainte cérémonie du baptême, et mes yeux et mon cœur s'ouvrirent pour cela d'une façon merveilleuse. Je vis, lorsqu'on me baptisa, mon ange gardien et mes saintes patronnes, sainte Anne et sainte Catherine, assister à la cérémonie. Je vis la mère de Dieu, avec le petit enfant Jésus, auquel je fus mariée et qui me donna un anneau. Tout ce qui est saint, tout ce qui est bénit, tout ce qui tient à l’Église, se faisait déjà sentir à moi aussi vivement que cela m'arrive à présent. Je vis ce que l’Église est en soi manifesté par des images merveilleusement significatives. Je sentis la présence de Dieu dans le très Saint-Sacrement. Je vis briller dans l'église les ossements des saints, et je reconnus les saints qui apparaissaient au dessus d'eux. Je vis tous mes ancêtres, en remontant jusqu'au premier d'entre eux qui avait été baptisé. Je reconnus, dans une longue série de tableaux symboliques, toutes les épreuves de ma vie future. Lorsqu'on me rapporta de l'église à la maison en passant par le cimetière, j'eus un sentiment très vif de l'état des âmes dont les corps reposaient là pour y attendre la résurrection, et je remarquai avec respect quelques saints corps brillant d'une clarté éblouissante.
Anne Catherine reçut cette lumière surnaturelle à un âge encore moins avancé. Le 8 septembre 1821, qui était le cinquante septième anniversaire de sa naissance, elle raconta a ce sujet ce qui suit : Comme je suis née le 8 septembre, j'ai eu aujourd'hui une intuition merveilleuse sur ma naissance et sur mon baptême. J'ai ressenti à cette occasion des impressions singulières. Je me sentais comme un enfant nouveau né dans les bras des femmes qui me portaient à Coesfeld pour y être baptisée, et j'étais confuse de l'impression que j'avais d'être à la fois si petite et si faible et pourtant si vieille : car tout ce que j'avais déjà senti et éprouvé alors, en qualité d'enfant nouveau né, je le vis et je le connus de nouveau, toutefois mêlé avec mon entendement actuel. Dès cette époque, mon ange gardien se montrait à moi visiblement présent, comme il le fit toujours plus tard. Je regardais tout autour de moi, la vieille grange dans laquelle nous habitions, et toutes sortes de choses que je ne vis plus par la suite, parce qu'on fit beaucoup de changements. Je me sentis porter, et cela avec une pleine conscience, tout le long du chemin qui va de notre chaumière de Flamske à l'église paroissiale de Saint Jacques à Coesfeld ; je sentais tout et je regardais tout autour de moi. Je vis accomplir sur moi toute la sainte cérémonie du baptême, et mes yeux et mon cœur s'ouvrirent pour cela d'une façon merveilleuse. Je vis, lorsqu'on me baptisa, mon ange gardien et mes saintes patronnes, sainte Anne et sainte Catherine, assister à la cérémonie. Je vis la mère de Dieu, avec le petit enfant Jésus, auquel je fus mariée et qui me donna un anneau. Tout ce qui est saint, tout ce qui est bénit, tout ce qui tient à l’Église, se faisait déjà sentir à moi aussi vivement que cela m'arrive à présent. Je vis ce que l’Église est en soi manifesté par des images merveilleusement significatives. Je sentis la présence de Dieu dans le très Saint-Sacrement. Je vis briller dans l'église les ossements des saints, et je reconnus les saints qui apparaissaient au dessus d'eux. Je vis tous mes ancêtres, en remontant jusqu'au premier d'entre eux qui avait été baptisé. Je reconnus, dans une longue série de tableaux symboliques, toutes les épreuves de ma vie future. Lorsqu'on me rapporta de l'église à la maison en passant par le cimetière, j'eus un sentiment très vif de l'état des âmes dont les corps reposaient là pour y attendre la résurrection, et je remarquai avec respect quelques saints corps brillant d'une clarté éblouissante.

» 9 février Bienheureuse Catherine Emmerich
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