Ombres de mon Corps mystique (message de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles).
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Message  Invité Ven 21 Oct 2011 - 8:15

17 septembre 1975
Fils, tous les membres d'un corps tendent harmonieusement à une unique fin : la conservation et la croissance du corps lui-même.
Ainsi en est-il dans mon Corps mystique : tous les membres devraient raisonnablement tendre au bien suprême de ce Corps mystique, qui est le salut de tous les membres dont il est formé.
Le fait que ces membres soient libres et intelligents, capables de discerner et de vouloir le bien ou le mal, constitue une raison de plus pour que tous tendent au bien commun. Cependant, il n'en est pas ainsi. Beaucoup de membres, séduits et trompés, rompant l'harmonie du corps dont ils font partie, poursuivent le mal avec ténacité, nuisant non seulement à eux-mêmes mais à tous les autres membres du corps. Si en plus ces membres sont des prêtres, ils détruisent la cohésion harmonieuse avec un dommage incalculable pour eux-mêmes et pour l'ensemble de la communauté chrétienne.
Dans mon Eglise, tous les prêtres doivent tendre vaillamment au bien commun de toutes les âmes. C'est pour cette grande fin qu'ils ont été appelés, sans exception aucune. Il n'y a pas dans mon Eglise de distinction de fins; la fin est unique pour tous les membres, et d'une façon tout à fait particulière pour mes prêtres : sauver les âmes, sauver les âmes, sauver les âmes.

Le dernier des prêtres (dernier est une façon de parler, parce qu'il pourrait être le premier, comme le saint Curé d'Ars, dernier et premier), Je dis le dernier des prêtres qui consume sa vie dans l'offrande de lui-même au Saint Sacrifice de la Messe, en communion avec Moi, en présence de mon Père, est plus grand même que beaucoup de dignitaires qui n'en font pas toujours autant.
Dans mon Corps mystique, il y a beaucoup de membres qui sont terriblement malades de présomption, d'orgueil, de luxure. Dans mon Corps mystique, il y a de nombreux prêtres qui exercent un métier et qui sont beaucoup plus préoccupés du gain que du salut des âmes.
Il y a beaucoup de prêtres orgueilleux de leur "savoir-faire", c'est-à-dire de leur ruse. I1s oublient que souvent, même si ce n'est pas toujours le cas, l'art du savoir-faire est l'art de mentir : c'est la ruse et l'astuce de Satan.
Que votre langage soit simple et sincère; si c'est oui, c'est oui; si c'est non, c'est non. La vérité est charité.

Non leurs paroles

Dans mon Eglise, il y a des prêtres qui se prêchent eux-mêmes. Dans la recherche du langage, dans l’élégance du style autres expédients, ils cherchent à frapper l'attention des auditeurs pour la faire converger vers eux.
Il est vrai que ma Parole est par elle-même efficace, mais ma Parole, non la leur ! Ma Parole, avant d'être annoncée, doit être lue, méditée et assimilée, puis donnée avec humilité et avec simplicité.
Dans mon Corps mystique, il y a des foyers d'infection, il y a des plaies purulentes.
Dans les séminaires, il y a une gent infecte qui contamine ceux qui doivent être mes ministres de demain; qui peut en évaluer le mal ?
Si dans une clinique ou une communauté se manifeste une maladie contagieuse, on y porte remède avec un grand empressement, avec enquêtes et isolements, avec des mesures énergiques et immédiates. Dans mon Corps mystique, se manifestent des maux bien plus graves, et il y a acquiescement, comme si de rien n'était. Peurs, craintes injustifiées ...
Ce n'est pas de l'amour, ce n'est pas de la charité de permettre que se répandent des maux qui portent des âmes à la perdition.
Il y a un abus exagéré de la Miséricorde de Dieu, comme si avec la Miséricorde ne coexistait pas la Justice...
Celui qui est investi de responsabilités, agissant avec rectitude, ne doit pas se préoccuper des conséquences, quand il s'agit de prendre des mesures pour stopper le mal en cours.
Fils, que dire ensuite de tant de mes prêtres, de la façon tout à fait irresponsable avec laquelle ils remplissent des tâches très délicates, comme celle de l'enseignement religieux dans les écoles?
Je suis d'accord qu'il ne manque pas de prêtres bien formés et conscients, qui accomplissent leur devoir de la meilleure façon. Mais à côté des bons, combien sont superficiels, inconscients et même corrompus ! I1s ont fait et font encore un mal immense, au lieu de bien, aux jeunes qui ont tant besoin d'être aidés moralement et spirituellement ...

Un habit particulier

D' En-Haut ont été données des dispositions au sujet de l'habit sacerdotal. Mes prêtres, tout en vivant dans le monde, ont été séparés du monde. Mes prêtres, Je les veux distincts des laïcs. Non seulement par un genre de vie plus parfait, mais aussi extérieurement, par un habit particulier.
Que de scandales, que d'abus et que d'occasions supplémentaires de péché, et que de péchés supplémentaires !
Quelle inadmissible condescendance de la part de ceux qui ont le pouvoir de légiférer, et en même Temps le devoir de faire respecter leurs lois. Pourquoi ne le fait-on pas ? Je le sais : les ennuis ne seraient pas petits. Mais Je n'ai jamais promis à personne une vie facile, confortable, exempte de désagréments.
Peut-être craint-on des réactions en sens contraire ? Non, le relâchement fait glisser dans un plus grand relâchement.
Les employés de l'Etat, d'organismes militaires, revêtent leur uniforme. Beaucoup de mes prêtres en ont honte, contrevenant aux règlements, rivalisant de coquetterie avec les mondains.
Comment pourrais-Je, fils, ne pas en souffrir ? Celui qui n'est pas fidèle dans les petites choses ne l'est pas non plus dans les grandes. Que dire ensuite de la façon dont sont administrés par tant de prêtres mes Sacrements ? On rentre dans le confessionnal en bras de chemise et pas toujours avec la chemise, sans étole... Que dire de tant de mes prêtres qui n'ont pas le temps de prier, affairés qu'ils sont dans tant d'activités inutiles, même si elles sont apparemment saintes.
Activités inutiles, parce que privées de leur âme, parce que privées de ma présence. Où Je ne suis pas, il n'y a pas de fécondité spirituelle. Mais combien de prêtres ont le temps d'aller voir des films immoraux et pornographiques, sous le prétexte qu'il faut connaître pour se faire une opinion. Cette justification est satanique.
Les saints prêtres qui ne se permettraient jamais de telles immoralités, ne seraient-ils pas aptes à orienter et conseiller les âmes ?

Le devoir de l'obéissance

Voilà à quel point nous en sommes.
Mais il y a pire encore. Moi, mon fils, J'ai constitué l'Eglise hiérarchiquement, et qu'on ne dise pas que les temps sont changés et que pour cela il faut tout changer.
Dans mon Eglise, il y a des points fermes qui ne peuvent pas changer avec l'évolution des temps. Le principe d'autorité, le devoir de l'obéissance ne pourront jamais être changés.
La façon d'exercer l'autorité pourra être changée, mais l'autorité ne pourra être supprimée.
La condescendance requise dans les hautes sphères ne doit jamais être confondue avec la faiblesse ! La condescendance n'exclut pas, mais au contraire exige la fermeté.
Mon fils, pourquoi ai-Je voulu mettre en lumière une partie des nombreux maux qui affligent mon Eglise ?
Je l'ai fait pour mettre mes prêtres en face de leurs responsabilités. Je veux qu'ils rentrent en eux-mêmes, pour une vie vraiment sainte.
Je veux leur conversion, car Je les aime. Qu'ils sachent que leur conduite est parfois cause de scandale et de ruine pour beaucoup d'âmes.
Il n'est pas juste que l'on abuse de l'Amour de Dieu, se fiant à sa Miséricorde, ignorant presque entièrement sa Justice.
Fils, Je t'ai dit à plusieurs reprises que l'éboulement est déjà en cours. Seul, un retour sincère à la prière et à la pénitence de la part de tous mes prêtres et des chrétiens pourrait apaiser la colère du Père et arrêter les justes et logiques conséquences de sa Justice, cependant toujours mue par l'Amour ...

Je te bénis, ô fils; aime-Moi, prie, répare et dédommage-Moi avec ton amour de tout le mal qui sévit dans mon Eglise.
Tant de bien aussi

Il est bien vrai que, dans mon Eglise, il y a aussi beaucoup de bien. Malheur à elle, s'il n'en était pas ainsi ! Mais Je ne suis pas venu pour les justes; ils n'en ont pas besoin. Je suis venu pour les pécheurs; ceux-là, Je les veux; ceux-là, Je veux les sauver ! C'est pourquoi J'ai mis le doigt sur quelques-unes des nombreuses plaies et blessures, cause de la perte des âmes.
On dit qu'on ne va pas en enfer; ou bien on nie l'enfer, ou l'on fait appel à la Miséricorde de Dieu, qui ne peut envoyer personne en enfer.
Ce n'est pas parce que sont répandues ces hérésies et ces erreurs que l'enfer cesse d'exister. Ce n'est pas pour cela que beaucoup d'impénitents, même des prêtres, n' évitent pas l'enfer.
(Source : Editions du Parvis – Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles – 1990 – chapitre 101 pages 207/210).
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