PARABOLE DU ROI QUI FAIT LES NOCES A SON FILS
Viens, Seigneur Jésus !
Bienvenue sur le Forum "Viens, Seigneur Jésus!"

Forum catholique consacré à la Fin des Temps, à la diffusion des Messages du Ciel, à la dénonciation du Nouvel Ordre Mondial et à la préparation de la Nouvelle Civilisation de l'Amour et au Second Retour de Jésus !
Viens, Seigneur Jésus !
Bienvenue sur le Forum "Viens, Seigneur Jésus!"

Forum catholique consacré à la Fin des Temps, à la diffusion des Messages du Ciel, à la dénonciation du Nouvel Ordre Mondial et à la préparation de la Nouvelle Civilisation de l'Amour et au Second Retour de Jésus !

PARABOLE DU ROI QUI FAIT LES NOCES A SON FILS

Aller en bas

PARABOLE DU ROI QUI FAIT LES NOCES A SON FILS Empty PARABOLE DU ROI QUI FAIT LES NOCES A SON FILS

Message  Invité Dim 1 Jan 2012 - 12:30

PARABOLE DU ROI QUI FAIT LES NOCES A SON FILS
(Maria Valtorta, tome 3, chapitre 68, pages 399/404)

Quand tout le monde est en place, dans la maison de Lazare à Béthanie, Jésus commence à parler :

« Ils sont partis, nos pauvres amis qui avaient besoin d’être bien réconfortés
dans l’espérance, la certitude
qu’il faut peu de connaissances pour être admis dans le royaume,
qu’il suffit d’un minimum de vérité sur lequel travaille la bonne volonté.

Maintenant je vous parle à vous, beaucoup moins malheureux car vous êtes dans de bien meilleures conditions matérielles et avec des secours plus importants du Verbe. Mon amour va vers eux avec ma seule pensée. Ici, pour vous, mon amour vient de plus avec la parole. Vous recevez sur la terre comme au Ciel le secours d'une plus grande force car à celui qui a davantage reçu, il sera demandé davantage. Eux, les pauvres amis qui sont en train de retourner à leur galère, ne peuvent avoir qu'un minimum de bien et, par contre, ils ont un maximum de souffrance. Aussi pour eux, il n'y a que les promesses de la bienveillance car toute autre chose serait superflue. En vérité je vous dis que leur vie est pénitence et sainteté et il ne faut pas leur imposer autre chose.

Et en vérité je vous dis aussi que pareils aux vierges sages, ils ne laisseront pas éteindre leur lampe jusqu'à l'heure de l'appel.


La laisser éteindre ? Non. Cette lumière est tout leur bien. Ils ne peuvent la laisser éteindre. En vérité, je vous dis que, comme Moi je suis dans le Père, ainsi les pauvres sont en Dieu. C'est pour cela que Moi, Verbe du Père, j'ai voulu naître pauvre et demeurer pauvre. Parce que parmi les pauvres, je me sens plus proche du Père qui aime les petits et qu'eux aiment de toutes leurs forces.


Les riches ont tant de choses. Les pauvres n'ont que Dieu. Les riches ont des amis. Les pauvres sont seuls. Les riches ont beaucoup de consolations. Les pauvres n'en ont pas. Les riches ont des distractions. Les pauvres n'ont que leur travail. Pour les riches, l'argent leur rend tout facile. Les pauvres ont encore la croix de devoir craindre les maladies, les disettes car ce serait pour eux la faim et la mort. Mais les pauvres ont Dieu. C'est leur Ami. C'est leur Consolateur. Celui qui les distrait de leur pénible présent par les espérances célestes. Celui à qui l'on peut dire -et eux savent le dire et le disent parce que précisément ils sont pauvres, humbles et seuls- : "Père, accorde-nous ta miséricorde".
Ce que je dis sur cette propriété de Lazare, mon ami et l'ami de Dieu bien que si riche, peut paraître étrange. Mais Lazare est une exception parmi les riches.

Lazare est arrivé à cette vertu qu'il est très difficile de trouver sur la terre et encore plus difficile à pratiquer pour l'enseigner à autrui. La vertu de la liberté à l'égard des richesses. Lazare est juste. Il ne s'en offense pas. Il ne peut s'en offenser car il sait que lui est le riche-pauvre et que, par conséquent, il n'est pas atteint par mon reproche caché.

Lazare est juste. Il reconnaît que dans le monde des grands, il en est comme je dis. Je parle donc et je dis : en vérité, en vérité je vous dis qu'il est beaucoup plus facile à un pauvre qu'à un riche d'être en Dieu; et au Ciel de mon Père et du vôtre, beaucoup de sièges seront occupés par ceux qui sur la terre ont été méprisés, étant les plus petits, comme la poussière que l'on piétine.


Les pauvres gardent en leurs coeurs les perles de la parole de Dieu. Elles sont leur unique trésor.
Celui qui n'a qu'une seule richesse veille sur elle.
Celui qui en possède plusieurs est préoccupé et distrait
et il est orgueilleux, et il est sensuel.

A cause de tout cela, il n'admire pas avec des yeux humbles et énamourés le trésor qui lui vient de Dieu, et il le confond avec les autres trésors, qui ne sont précieux qu'en apparence, les trésors que sont les richesses de la terre. Il pense : " Je daigne accueillir les paroles de quelqu'un qui est comme moi en sa chair !" et il émousse sa capacité de goûter ce qui est surnaturel par les fortes saveurs de la sensualité. Saveurs fortes !... Oui, très épicées pour dissimuler leur puanteur et leur goût de pourriture...

Mais, écoutez, et vous comprendrez mieux comment les inquiétudes, les richesses et les ripailles empêchent d'entrer dans le Royaume des Cieux.
Anonymous
Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

PARABOLE DU ROI QUI FAIT LES NOCES A SON FILS Empty Un jour, un roi fit les noces de son fils. Vous pouvez imaginer quelle fête il y eut !

Message  Invité Dim 1 Jan 2012 - 12:40

Un jour, un roi fit les noces de son fils. Vous pouvez imaginer quelle fête il y eut dans le palais du roi. C'était son unique fils et, arrivé à l'âge voulu, il épousait son aimée. Celui qui était père et roi voulut que tout fût joie autour de la joie de son aimé devenu finalement l'époux de la bien-aimée. Parmi les nombreuses fêtes nuptiales, il fit aussi un grand repas. Et il le prépara à loisir, veillant sur chaque détail pour que ce fût une réussite magnifique, digne des noces du fils du roi.

Au moment voulu, il envoya ses serviteurs dire à ses amis et à ses alliés et aussi aux principaux grands de son royaume que les noces étaient fixées pour tel soir et qu'ils étaient invités, qu'ils vinssent pour faire un digne entourage au fils du roi. Mais amis, alliés et grands du royaume n'acceptèrent pas l'invitation.

Alors le roi, pensant que les premiers serviteurs ne s'étaient pas expliqués comme il faut, en envoya encore d'autres chargés d'insister et de dire : "Mais venez ! Nous vous en prions. Maintenant tout est prêt. La salle est préparée. Des vins précieux ont été apportés de partout et déjà dans les cuisines on a amené les boeufs et les animaux gras pour qu'on les cuise. Les esclaves pétrissent la farine pour faire des desserts et d'autres pilent les amandes dans les mortiers pour faire des friandises très fines auxquelles ils mélangent les aromes les plus rares. Les danseuses et les musiciens les plus distingués ont été engagés pour la fête. Venez donc pour ne pas rendre inutile tant de préparatifs".

Mais les amis, les alliés et les grands du royaume ou bien refusèrent, ou bien dirent : "Nous avons autre chose à faire " ou bien ils firent semblant d'accepter l'invitation mais ensuite se rendirent à leurs affaires, les uns à leurs champs, les autres à leurs commerces ou à d'autres choses encore moins nobles. Enfin il y en eut qui, ennuyés par tant d'insistance, prirent les serviteurs du roi et les tuèrent pour les faire taire, parce qu'ils insistaient : "Ne refuse pas cela au roi parce qu'il pourrait t'en arriver malheur".

Les serviteurs revinrent vers le roi et lui rapportèrent tout ce qui s'était passé. Le roi, enflammé d'indignation, envoya ses troupes punir les assassins de ses serviteurs et châtier ceux qui avaient méprisé son invitation, se réservant de récompenser ceux qui avaient promis de venir.

Mais, le soir de la fête, à l'heure fixée, il ne vint personne. Le roi indigné appela ses serviteurs et leur dit : "Qu'il ne soit pas dit que mon fils reste sans personne pour le fêter en cette soirée de ses noces. Le banquet est prêt, mais les invités n'en sont pas dignes. Et pourtant le banquet nuptial de mon fils doit avoir lieu. Allez donc sur les places et les chemins, mettez- vous aux carrefours, arrêtez les passants, rassemblez ceux qui s'arrêtent et amenez-les ici. Que la salle soit pleine de gens qui fassent fête à mon fils".

Les serviteurs s'en allèrent. Sortis dans les rues, répandus sur les places, envoyés aux carrefours, ils rassemblèrent tous ceux qu'ils trouvèrent, bons ou mauvais, riches ou pauvres, et les amenèrent à la demeure du roi, leur donnant les moyens pour être dignes d'entrer dans la salle du banquet. Puis ils les y conduisirent et, comme le roi le voulait, elle fut pleine d'un public joyeux.

Mais le roi entra dans la salle pour voir si on pouvait commencer les festivités et il vit un homme qui, malgré les moyens que fournissaient les serviteurs, n'était pas en habits de noces. Il lui demanda : "Comment se fait-il que tu sois entré ici sans les vêtements de noces ?" Et il ne sut que répondre car en effet il n'avait pas d'excuses.

Alors le roi appela ses serviteurs et leur dit : "Saisissez-le, attachez-lui les pieds et les mains et jetez-le hors de ma demeure dans la nuit et la boue gelée. Là il sera dans les larmes et les grincements de dents comme il l'a mérité pour son ingratitude et l'offense qu'il m'a faite, et à mon fils plus qu'à moi, en entrant avec un habit pauvre et malpropre dans la salle du banquet où ne doit entrer que celui qui est digne d'elle et de mon fils".
Anonymous
Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

PARABOLE DU ROI QUI FAIT LES NOCES A SON FILS Empty Et Moi je les aide à se faire propres et beaux pour la fête des noces.

Message  Invité Dim 1 Jan 2012 - 13:21

Comme vous le voyez, les soucis du monde, la cupidité, la sensualité, la cruauté attirent la colère du roi, font en sorte que ceux qui sont pris par tous ces embarras n'entrent jamais plus dans la maison du Roi. Et vous voyez aussi comment même parmi ceux qui sont invités, par bienveillance à l'égard de son fils, il y en a qui sont punis.

Combien il y en a au jour d'aujourd'hui sur cette terre à laquelle Dieu a envoyé son Verbe ! Les alliés, les amis, les grands de son peuple, Dieu les a vraiment invités par l'intermédiaire de ses serviteurs et les fera inviter d'une manière pressante à mesure que l'heure de mes Noces approchera.

Mais ils n'accepteront pas l'invitation parce que ce sont de faux alliés, de faux amis et qu'ils ne sont grands que de nom car ils sont pleins de bassesse. (Jésus élève de plus en plus la voix et ses yeux, à la lueur du feu qui a été allumé entre Lui et les auditeurs pour éclairer la soirée où manque encore la lune qui est en décroissance et se lève plus tard, ses yeux jettent des éclairs de lumière comme s'ils étaient deux pierres précieuses.) Oui, ils sont pleins de bassesse et, à cause de cela, ils ne comprennent pas que c'est pour eux un devoir et un honneur d'accepter l'invitation du Roi.

Orgueil, dureté, luxure dressent un mur dans leurs coeurs. Et, dans leur méchanceté, ils me haïssent et ne veulent pas venir à mes noces. Ils ne veulent pas venir. Ils préfèrent aux noces les tractations avec une dégoûtante politique, avec l'argent encore plus dégoûtant, avec la sensualité qui est tout ce qu'il y a de plus dégoûtant. Ils préfèrent le calcul astucieux, la conjuration, la conjuration sournoise, le piège, le crime.

Moi, je condamne tout cela au nom de Dieu. On hait pour cette raison la voix qui parle et les fêtes auxquelles elle invite. Dans ce peuple on peut chercher ceux qui tuent les serviteurs de Dieu : les Prophètes qui sont les serviteurs jusqu'à ce jour; mes disciples qui sont les serviteurs à partir de ce jour. En ce peuple on peut trouver ceux qui essayent de tromper Dieu et qui disent : "Oui, nous venons" mais qui pensent en leur for intérieur : "Jamais de la vie !" Il y a tout cela en Israël.

Et le Roi du Ciel, pour donner aux noces de son Fils un digne apparat, enverra chercher aux carrefours des gens qui ne sont ni des amis, ni des grands, ni des alliés, mais qui sont simplement le peuple qui y circule.
Déjà -et par ma main, par ma main de Fils et de serviteur de Dieu- le rassemblement est commencé.

Ils viendront qui qu'ils soient... Et déjà ils sont venus.
Et Moi je les aide à se faire propres et beaux pour la fête des noces.
Mais il s'en trouvera, oh ! pour leur malheur il y en aura
qui profiteront même de la magnificence de Dieu, qui leur donne parfums et vêtements royaux pour les faire paraître ce qu'ils ne sont pas : riches et dignes, il y en aura qui profiteront indignement de toute cette bonté pour séduire, pour gagner... Individus aux âmes farouches, enlacés par le poulpe répugnant de tous les vices... et qui soustrairont parfums et vêtements pour en tirer un gain illicite, s'en servant non pour les noces du Fils, mais pour leurs noces avec Satan.

Eh bien cela arrivera car nombreux sont ceux qui sont appelés mais peu nombreux ceux qui, pour savoir rester fidèles à l'appel, arrivent à être choisis. Mais il arrivera aussi qu'à ces hyènes, qui préfèrent la putréfaction à une nourriture vivante, sera infligé le châtiment d'être jetés hors de la salle du Banquet dans les ténèbres et la boue d'un marais éternel où retentit l'horrible rire de Satan chaque fois qu'il triomphe d'une âme et où résonnent éternellement les pleurs désespérés des idiots qui suivirent le Crime au lieu de suivre la Bonté qui les avait appelés.

Levez-vous et allons nous reposer. Je vous bénis, ô habitants de Béthanie, tous. Je vous bénis et vous donne ma paix. Et je te bénis en particulier Lazare, mon ami, et toi, Marthe. Je bénis mes disciples anciens et nouveaux que j'envoie par le monde appeler, appeler aux noces du Roi.

Agenouillez-vous
que je vous bénisse tous.

Pierre, dis la prière que je vous ai enseignée et dis-la debout, à côté de Moi, parce que c'est ainsi que doivent la dire ceux qui sont destinés à cela par Dieu.»
L'assemblée s'agenouille toute entière sur le foin.
Il ne reste debout que Jésus en son habit de lin, grand et très beau, et Pierre en son vêtement marron foncé, enflammé par l'émotion, tremblant presque, qui prie avec sa voix qui n'est pas belle, mais virile, allant doucement par crainte de se tromper :

«Notre Père qui es aux Cieux,
que soit sanctifié ton Nom, que vienne ton Royaume sur la terre
comme il l'est dans le Ciel,
et que sur la terre comme au Ciel soit faite ta volonté.
Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien,
remets-nous nos dettes comme nous les remettons à nos débiteurs.
Ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du Malin".»
Anonymous
Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum