Le Traité des Pandémies de l'OMS conduira à un Gouvernement Mondial et à l'Implantation du 666 !

22 mars 2024 :

La Dr. Meryl Nass, spécialiste des armes biologiques et lanceuse d'alerte à la pointe du combat contre le "Traité sur les Pandémies" de l'OMS, nous donne toutes les clés, enjeux et deadlines :

- pour comprendre pourquoi ce Traité est une menace politique mondiale imminente;

- pour partager autour de soi et alerter le plus grand nombre.

Interview en anglais sous-titrée français par KAro pour BAM :

==> https://doortofreedom.org/

La demande pressante de l'OMS pour que les pays signent son "accord sur les pandémies" intervient après que la députée conservatrice Leslyn Lewis a averti que les dispositions contenues dans le document donneraient au groupe mondialiste un pouvoir déraisonnable sur les citoyens canadiens.


par Clare Marie Merkowsky

27 mars 2024

(LifeSiteNews) - L'Organisation mondiale de la santé (OMS), organisation mondialiste, a lancé un appel "urgent" aux pays du monde entier pour qu'ils signent leur "accord sur les pandémies", qui sape la souveraineté, d'ici au mois de mai.

Dans un communiqué du 20 mars L'OMS a demandé aux pays de "progresser rapidement" dans l'adhésion à son projet de traité, l'Accord sur les pandémies, qui, selon des critiques telles que la députée conservatrice Leslyn Lewis, donnerait à l'OMS un pouvoir accru sur le Canada en cas de nouvelle "pandémie" ou d'autres situations d'urgence.

"Nous appelons les dirigeants de tous les pays à intensifier leurs efforts et à conclure un accord efficace sur la pandémie d'ici au mois de mai", peut-on lire dans une lettre commune émanant de personnalités politiques de premier plan.

"Une nouvelle menace de pandémie émergera - et il n'y a aucune excuse pour ne pas être prêt à y faire face", prévient le rapport, appelant les négociateurs à "redoubler d'efforts" pour respecter la "date butoir imminente" de mai 2024.

La lettre conseille également aux pays de ne pas croire à la "campagne de désinformation malveillante menée contre l'OMS".

"Cet effort mondial est menacé par la désinformation et la mésinformation", affirme le rapport. "Parmi les faussetés qui circulent, on trouve des allégations selon lesquelles l'OMS a l'intention de surveiller les mouvements des personnes au moyen de passeports numériques, qu'elle supprimera la souveraineté nationale des pays et qu'elle aura la capacité de déployer des troupes armées pour imposer des vaccinations obligatoires et des fermetures de sites.

"Toutes ces affirmations sont totalement fausses et les gouvernements doivent s'efforcer de les désavouer en s'appuyant sur des faits clairs", poursuit la lettre.

Alors que l'OMS affirme que l'accord ne portera pas atteinte à la souveraineté nationale, en janvier, Lewis révélé que le nouveau règlement sanitaire international (RSI) contenu dans la proposition compromettra la souveraineté du Canada en donnant à l'organisation internationale un pouvoir accru sur les Canadiens.

"Le Canada a consenti aux modifications du Règlement sanitaire international (RSI) de l'OMS, ce qui limite le temps dont dispose le Canada pour répondre à d'autres modifications, malgré les milliers de Canadiens qui ont signé une pétition exprimant leurs inquiétudes", a-t-elle averti.

La déclaration de janvier de Mme Lewis fait suite à celle qu'elle a faite en octobre d'une pétition demandant au gouvernement libéral dirigé par le Premier ministre Justin Trudeau de se retirer "de toute urgence" des Nations Unies et de son sous-groupe, l'OMS, en raison de l'atteinte portée par ces organisations à la "souveraineté" nationale et à l'"autonomie personnelle" des citoyens.

Elle a averti que les amendements "négociés secrètement" pourraient "imposer une surveillance universelle inacceptable et intrusive, violant les droits et libertés garantis par la Déclaration canadienne des droits et la Charte des droits et libertés".

Bien que près de 19 000 Canadiens aient signé la pétition, le gouvernement Trudeau a adopté les amendements proposés par l'OMS.

En outre, au début de ce mois, des manifestants entouré le siège de CTV News à Edmonton pour exiger la couverture du projet du Canada de signer le traité en mai.

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/fr/news/qui-exhorte-les-pays-a-signer-le-traite-mondialiste-sur-la-pandemie-dici-au-mois-de-mai-une-nouvelle-menace-emergera/?utm_source=editions_menu&utm_campaign=usa

APPEL À MOBILISATION par le Pr CHRISTIAN PERRONNE

STOPPER LE TRAITÉ PANDÉMIES DE L’OMS

"Que les citoyens alertent leurs entourages, interpellent leurs élus et les journalistes, diffusent leurs actions, informent sans relâche ceux qui ne savent pas encore que nos libertés fondamentales sont menacées par des intérêts mondiaux privés"

A ÉCOUTER ET PARTAGER UN MAXIMUM S.V.P MERCI.

YOUTUBE

https://youtu.be/zv7twfJIdYE?si=NxBWNiciU89eh4oE



L'Administrateur

La Maison Blanche de Biden a annoncé que l'Amérique s'était jointe à 50 autres pays pour signer l'accord sur la « sécurité sanitaire mondiale ». Le « partenariat » est dirigé par plusieurs groupes du co-fondateur de Microsoft, Gates. L’administration Biden affirme que l’accord contribuera à « lutter contre les futures pandémies » en identifiant et en répondant aux épidémies de maladies infectieuses. Cette réponse impliquera le déploiement rapide de mesures de confinement et d’obligations de vaccination dans plusieurs pays souverains simultanément en cas de pandémie ou d’« urgences liées au changement climatique », selon l’accord. Bien que la Maison Blanche affirme que le « partenariat » concerne la « sécurité sanitaire mondiale », l’accord mentionne le mot « climat » 28 fois.

Biden’s White House announced that America has joined 50 other countries in signing the “Global Health Security” agreement. The “partnership” is being led by several of Microsoft co-founder Gates’s groups.
The Biden administration claims that the pact will help to “combat future… pic.twitter.com/3RqbeKbw2w

— Camus (@newstart_2024) April 21, 2024

SOURCE : Pris sur un blogue catholique.

par MPI-TV

2 mai 2024


Le projet d’accord sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international (R.S.I.) en cours de négociation à l’OMS – Failles et critiques

Débat entre Astrid Stuckelberger et Virginie de Araújo-Recchia (dont nous précisons que, contrairement à une rumeur qui a circulé la semaine dernière sur les réseaux sociaux, elle n’a pas fait l’objet d’une nouvelle mise en garde à vue).

En synthèse :

Le projet d’accord de l’OMS sur les pandémies (version du 13 mars 2024 A/INB/9/3), qui pourrait être ratifié par le Président de la République, indique en ses articles 24 et 26,

- d’une part, qu’il n’y a pas de transfert de compétence au bénéfice du secrétariat/du directeur de l’OMS.
- d’autre part, les amendements au RSI, non soumis à ratification, doivent être compatibles avec l’accord de l’OMS sur les pandémies.
- qu’ainsi, le RSI ne peut porter atteinte à la souveraineté de l’État, en violation de la Charte des Nations unies et de la constitution de l’OMS, laquelle n’a pas été révisée en vue d’un transfert de compétences.

Par conséquent, le RSI ne pourra pas être adopté en l’état et des réserves doivent être proposées par les représentants des États étant donné que les deux textes sont contradictoires (les recommandations ne peuvent être rendues contraignantes).

C’est d’autant plus vrai, que ces recommandations sont poussées par le secteur privé, pour des intérêts privés.

Par ailleurs, l’accord de l’OMS sur les pandémies rappelle qu’il n’est pas porté atteinte aux autres instruments internationaux juridiquement contraignants.

Au niveau interne, étant donné que le RSI, s’il venait à être adopté en l’état, n’aura pas été ratifié par le Parlement français conformément à l’article 53 de la Constitution, qu’il viole la Constitution de l’OMS, la Charte des Nations-Unies et qu’il contredit le projet d’accord sur les pandémies, portant ainsi atteinte à la souveraineté de l’État, il devra être écarté.

Bien entendu, nous avons pu voir qu’en l’absence de révision du RSI et d’accord sur les pandémies, les États ont tout de même suivi à la lettre les recommandations de l’OMS lors de la dernière crise et que les juridictions administratives et judiciaires ne remettent pas en cause la parole politique et la parole scientifique unique médiatisées.

Or, les mesures qui restreignent les droits au nom de la protection de la santé publique doivent être nécessaires, adaptées et proportionnés et en fonction des circonstances nationales. Nous avons pu voir que les mesures proposées ne sont ni nécessaires, ni adaptées, ni proportionnées.

Nos observations seront transmises aux représentants de l’État français, Jérôme Bonnafont, Ambassadeur, Représentant permanent de la France auprès de l’Office des Nations unies à Genève et des organisations internationales en Suisse en charge des négociations (Genève, Suisse), ainsi qu’au directeur régional de l’OMS pour l’Europe le Dr Hans Kluge (Copenhague, Danemark).

D’autres démarches seront engagées avec le concours du Dr Stuckelberger.


SOURCE :

https://www.medias-presse.info/traite-pandemie-commente-par-astrid-stuckelberger-et-virginie-de-araujo-recchia/189565/