Sur la Récitation et la Formulation du "Je vous salue Marie" - N'y changez aucun mot" !

SUR LA RÉCITATION ET LA FORMULATION DU "JE VOUS SALUE MARIE" - N'Y CHANGEZ AUCUN MOT" !

À Monique Marie

Jésus : Parle pour la prière du : JE VOUS SALUE MARIE.

Mes enfants, ne la déformez pas. Gardez-la telle qu’elle a été transmise par Ma Sainte Église depuis des siècles. Gardez-la, telle que Je l’ai donnée. Gardez-la, sans en changer un mot, car de chaque mot naît une grâce. Surtout, ne tutoyez pas Ma Très Sainte Mère car la tutoyant ensemble, vous lui manquez de l’élémentaire déférence qui est due à Votre Reine et de plus, vous divisez, ce qui est le propre du malin.

Réfléchissez, pensez à la Majesté de Ma Très Sainte Mère, pensez à sa Royauté. Tutoieriez-vous un simple président de la République en public ? Alors, pourquoi tutoyer votre REINE ?

Réfléchissez encore. Quand dans la première partie vous dites : « tu » et quand dans la deuxième partie , vous lui dites : « vous », où est l’unité ? Ne comprenez-vous pas que vous blessez le corps tout entier de l’Église ? Pensez à ceux qui découvrent cette prière et qui ne comprennent pas ces contradictions, et qui ne peuvent pas ressentir la Paix, car dans ces chapelets disparates, la Paix disparaît, la paix est harcelée et cela se sent et cela se souffre.

Il y a d’autres points qui peinent votre Dieu. Pourquoi changer les termes ? Je vous salue Marie ne dois pas devenir : Réjouis-toi Marie pour deux raisons : Premièrement celle du tutoiement déjà expliqué, deuxièmement parce que lors des MYSTÈRES DOULOUREUX, ce : « Réjouis-toi » n’est pas adapté.

Oh Ma Très Sainte Mère, lors de la passion, ne se réjouissait pas ! Elle pleurait, elle pleurait des larmes de sang, elle souffrait ce qu’aucune mère ne peut souffrir ce qu’aucun homme ne peut imaginer. Son corps était crucifié, son âme était crucifiée, son chef portait la couronne d’épines ! Se réjouissait-elle ?

Elle souffrait d’abord, uniquement, simplement, entièrement, totalement. Elle n’était qu’une plaie comme son Fils. Mes enfants, obéissez, soyez humbles.

Si Mon Église a pensé , et donné cette prière, tous les mots y sont pesés. N’ayez pas l’outrecuidance de croire que ce que vous direz sera mieux que ce que l’Église a donné, car l’Église c’est moi-même.

Quand vous dites : Jésus, ton enfant est béni, oh quelle blessure encore vous nous infligez par votre ignorance ou votre incompréhension ou votre manque d’obéissance !

Jésus n’est pas l’enfant de Marie

Il est l’Enfant du Saint Esprit. Il ne lui appartient pas. Il lui a été donné par le Père, par l’Esprit Saint : « L’Esprit Saint te couvrira de son ombre ».

Quand vous dites : ton enfant, sans le vouloir, peut-être même au nom d’une certaine sentimentalité, vous ramenez cette Naissance à une naissance ordinaire. Or, il n’y a rien d’ordinaire dans cette Naissance.

TOUT Y EST SURNATUREL

Jésus naît par l’opération du Saint Esprit

D’autre part, à aucun moment Ma Très Sainte Mère n’a connu un sentiment de possessivité à mon égard. Regardez, relisez l’enseignement donné par les sculptures du Moyen-Âge. Ma mère Me donne sans cesse au monde. À aucun moment on ne la voit me garder pour Elle. Non, Elle Me donne, Elle Me tourne vers vous les hommes Car elle est Don. Donc la Sainte Église en vous faisant dire depuis des siècles :

Et Jésus LE FRUIT DE VOS ENTRAILLES est béni, savait ce que ces termes contenaient, ce qu’ils induisaient, ce grand mystère de la Naissance surnaturelle de l’Enfant et du don de Marie.

Enfin, Quand vous dites, oh pourquoi nous faire souffrir ? Jésus ton enfant, vous induisez la présence dans cette naissance ordinaire d’un homme. Vous induisez, sans vous en rendre compte, la participation de Joseph le très chaste époux, l’époux virginal de la vierge, celui qui n’a fait que contempler Marie et l’aider.

Vous rendez-vous compte, chers enfants de Mon Cœur que croyant bien faire vous faites mal, croyant donner plus par de nouvelles traductions

vous donnez moins, et pire encore, vous déformez tout cela par votre bonne volonté mais qui a été induite en erreur car on ne vous a pas assez dit que l’Église, la Sainte Église, c’est Moi-Même, que cette prière, c’est Moi-Même qui l’ai insufflé à Mon Église, jusqu’à ce qu’on ne la reconnaisse plus qu’à peine.

Si bien QU’ON NE PEUT PLUS DIRE ENSEMBLE CETTE PREMIÈRE PARTIE. Il n’y a plus d’unité en elle.

Or, celle-ci est la Parole même de l’Archange Gabriel à Marie, lors de l’Annonciation. C’est donc l’essence même de cette prière.

C’est pourquoi beaucoup souffrent en silence, sans vraiment comprendre pourquoi, et ne trouvent plus la paix dans les chapelets ainsi diversifiés.

Le Malin se réjouit.

Il reste la seconde partie, qui n’est pas encore attaquée, mais justement

c’est la moins importante. Le Malin sait ce qu’il fait.

Cependant, il a réussi à susciter à la fin, l’omission du Amen. Quelle victoire !

Réfléchissez encore. Ce Amen signifie : oui j’adhère à tout ce qui vient d’être dit. Ils clôt la prière. Il la scelle pour qu’elle ne change pas. Plus de amen et voici les changements qui s’opèrent.

Et vous pouvez justement redouter que le malin ne souffle encore à des âmes qui croiront bien faire quelques nouveaux petits changements.

La raison en est que ceux qui ont commencé les variantes n’ont pas saisi, que vous êtes d’Église CATHOLIQUE UNIVERSELLE, ce qui veut dire que dans toutes les parties du monde où JE vous ai envoyés, on dit la MÊME PRIÈRE pour signifier cette universalité et Ma Pérennité.

Je ne change pas, je ne varie pas, JE SUIS la fidélité totale et dans le temps, ce qui vous rassure, et vous apaise, ce dont vous avez énormément besoin en ces temps d’infidélités et d’incertitudes.

Oh quelle joie de retrouver la MÊME PRIÈRE INCHANGÉE, LE MÊME PSAUME, CE QUI SIGNIFIE LE MÊME DIEU TOUJOURS PRÉSENT . Méditez Mes enfants Mes paroles. Elles sont importantes. Aimez Mon Église avec votre Âme. Aimez-la, jusqu’à renoncer à vos propres idées pour vous soumettre à Mon action en elle, pour vous baigner dans Mes tendresses, dans Mes consolations, dans Ma Grâce et non pas la vôtre car elle ne serait pas suffisante.

Oh mes chers enfants, prenez à cœur ce message IMPORTANT car l’Église souffre et Satan n’a de cesse de la diviser.

Humiliez-vous, renoncez à vos idées. Soyez Mes Petits Enfants Dociles et Obéissants pour Ma Gloire pour sauver les âmes, pour témoigner que Nous sommes Uns, unis, sans division aucune, Nous, la Très Sainte Trinité pour laquelle vous œuvrez en disant le Saint Chapelet, pour laquelle vous témoignerez en étant unis.

Que ceux qui ont introduit ces variantes se repentent humblement. Cela demande du courage, un bouleversement intérieur, mais il faut choisir chers enfants entre vos choix et Mon Église.

Et qu’elle ne doit pas changer d’un seul iota que vous devez faire preuve d’obéissance, d’humilité envers elle, et envers Moi.

Ne tutoyez plus Ma Très Sainte Mère, reprenez le véritable je vous salue Marie :

JE VOUS SALUE MARIE, PLEINE DE GRÂCES, LE SEIGNEUR EST AVEC VOUS, VOUS ÊTES BÉNIE ENTRE TOUTES LES FEMMES, ET JÉSUS, LE FRUIT DE VOS ENTRAILLES EST BÉNI.

SAINTE MARIE, MÈRE DE DIEU, PRIEZ POUR NOUS PAUVRES PÉCHEURS, MAINTENANT ET A L’HEURE DE NOTRE MORT. AINSI-SOIT-IL ou AMEN ;

Quand vous refusez : le fruit de vos entrailles, vous touchez aussi à l’incarnation, qui est véritable, physique, et qui touche les entrailles de Marie. Tant pensent aujourd’hui qu’il ne s’agit pas d’une véritable incarnation ! Et vous qui y croyez, vous les âmes de bonne volonté, sans le savoir , vous les confortez par ces nouvelles formules.

Vous savez que cette prière est la principale arme contre Satan ! C’est pourquoi il essaie par tous les moyens d’y toucher et inspire même à des âmes ferventes d’en changer les termes car il sait que si il n’y a plus d’unité dans cette très puissante prière on n’y trouvera plus la paix.

Actuellement, c’est la première partie qui est la plus attaquée. Il n’est pas rare d’entendre des gens la faire varier au gré de leur inspiration.

Si les fruits n’étaient pas ceux de la division, si les fruits étaient bons, vous auriez eu raison, mais les fruits sont mauvais, la paix se perd, la paix est attaquée au cœur même du chapelet.

La Vierge Sainte en souffre. Humiliez-vous. « On reconnaît un arbre à ses fruits » Souvenez-vous de ma Parole, vous qui L’aimez et faites ce que Je vous demande. Soyez bénis, vous qui consolerez ainsi votre Dieu. Amen.

JÉSUS QUI VOUS REMERCIE CAR VOUS M’AIMEZ MES ENFANTS JE LE SAIS, JE LE SAIS VOUS VOYANT OBÉIR ET ESSUYER LES LARMES DE MA SAINTE MAMAN .

       

« Comment j’aime que vous récitiez le Saint Rosaire » :

Message donné à l’Escorial – près de Madrid – par Notre-Dame des Douleurs le 19 août 1982 à Luz Amparo Cuevas : Le « Sourire de Marie » N° 331 décembre 2005.

Luz Amparo commence à subir de fortes douleurs et à souffrir la passion du Christ.

La Sainte Vierge : Répète Ma fille : Je Vous salue Marie, pleine de grâces, le Seigneur est avec Vous ; Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de Vos entrailles, est béni.

Voilà

comment il Me plaît, Ma fille, que vous priiez en pensant à l’Humanité.

En ce moment, le monde a besoin de prière et de pénitence. Ce sont des moments très difficiles pour l’humanité. L’humanité est en grand danger ; la prière, la prière et la pénitence, Ma fille, mais que cette prière jaillisse du cœur. Je vais te redire comment j’aime que vous récitiez le Saint Rosaire. Avec le Rosaire, la plus grande partie de l’humanité se sauvera.

Demandez à Mon Cœur Immaculé que le monde change, car Mon Cœur vous sauvera. Priez et faites pénitence.

Bois du calice, Ma fille, voilà le calice qui déborde pour le salut de l’Humanité…

Je vais te redire, Ma fille, comment J’aime que vous priiez :

Je Vous salue Marie, pleine de grâces, le Seigneur est avec Vous ; Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de Vos entrailles, est béni.

Comme Je suis contente chaque fois que J’entends l’Ave Maria !

Priez pour les pécheurs ; tu vas beaucoup souffrir, Ma fille ; tu seras calomniée. Pense que Jésus aussi l’a été et offre-toi comme victime au Père pour le salut de l’Humanité.

Baise Ma main, Ma fille. Je te bénis, au nom du Père et du fils et du Saint-Esprit. Adieu Ma fille.

Après la destruction du NOTRE PÈRE et du SOUVENEZ-VOUS, ça suffit comme ça ! Ne touchons pas à l’AVE MARIA !