La Naissance de Jésus - Un enseignement de Luisa Piccarreta !

La NAISSANCE de JÉSUS

Jésus, à Luisa Piccarreta, Cahier 35, pages 68-69

« Ma fille, la fête de Ma Naissance a été le commencement de la fête de Ma Divine Volonté, alors que les Anges chantaient « Gloire à Dieu, au plus haut des Cieux et paix sur la terre aux homme de bonne volonté ».
Tous les anges de la Création prirent une attitude de fête et en célébrant Ma Naissance, ils ont célébré la fête de Ma Divine Volonté. De fait, avec Ma Naissance, notre Divinité reçut une véritable gloire jusqu’au plus haut dans les Cieux et les hommes vivront la vraie paix quand ils connaîtront Ma Volonté. Et là seulement, le Ciel et la terre chanteront ensemble : « Gloire à Dieu au plus haut des Cieux et paix sur la terre aux hommes qui posséderont la Divine Volonté ».
Un peu plus tard, Luisa dit à Jésus : « Mon beau petit bébé, dis-moi, qu’as-tu fait quand tu as vu la profonde ingratitude humaine devant ton immense Amour?
Et Jésus, de répondre : « Ma fille, si j’avais tenu compte de l’ingratitude humaine, devant mon grand Amour, je serais reparti vers le Ciel; mais j’aurais attristé et rendu amer Mon Amour et changé la fête en deuil.
Alors, voudrais-tu savoir ce que je fais dans mes plus grandes Œuvres pour les rendre plus belles? Je mets tout de côté : l’ingratitude humaine, les misères, les péchés, les faiblesses. Et je donne libre-cours à mes plus grandes Œuvres comme si cela n’existait pas.
Si j’avais voulu considérer la malice des hommes, je n’aurais pu accomplir de grandes œuvres ou mettre mon Amour en chemin. Je serais resté contraint, suffoqué dans mon propre Amour. J’ai tout couvert de mon Amour, si bien que je ne vois rien d’autre que mon Amour et Ma Volonté. J’avance avec mes plus grandes Œuvres et les réalise comme si personne ne m ’avait offensé. C’est pourquoi je ne voudrais pas que tu te préoccupes de ta misère, de tes faiblesses, de tes maux et de tes peines.
Ma fille, je peux ressentir celle qui fait Ma Volonté dans mes larmes et mes plaintes. Je la sens couler dans mes sanglots et dans le grelottement de mes petits membres.
En vertu de ma Volonté, elle change les larmes en sourires, les sanglots en joies célestes. Avec son Amour elle me réchauffe et change les peines en baisers. En plus, elle reçoit des greffes continuelles de tout ce que réalise mon Humanité. Si je pense, je greffe ses pensées; si je travaille, je greffe ses mains. Il n’y a rien de ce que j’accomplis qui ne forme pas une greffe pour la créature, pour faire d’elle une répétition de ma Vie. Et encore plus, puisque ma Vie est en elle; je puis trouver mon Pouvoir, ma Sainteté et ma Vie elle-même, pour me servir d’elle selon mon bon plaisir ».