Essai sur l'existence de Dieu de Paul-Emmanuel Stradda

Par la présente, je vous fais part de l'avis de publication des tomes 5 et 6 de METAPHYSICA THEORIA dont voici la présentation par l'auteur.

Une célèbre formule de Pascal oppose le « Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob » au Dieu « des philosophes et des savants ». C’est de ce dernier dont il est ici question. Le thème de l'ouvrage est en effet la question philosophique de l’existence de Dieu, c’est-à-dire la manière dont la philosophie pense résoudre le problème « Dieu existe-t-il ? ». Les tomes 5 et 6 de Metaphysica theoria tentent de montrer les « signes » qui nous parlent de l’existence de Dieu, par une sorte de démonstration. Cette démonstration des traces de l’existence est double : 1/ connaissance de Dieu d’une manière réflexive et logique par tout homme ; 2/ lignes argumentatives en faveur de l’existence de Dieu. Ainsi, le Dieu des philosophes n’est pas du tout incompatible avec le Dieu de la Bible. En effet, si le relatif s’impose à notre expérience, l’Absolu s’impose à notre esprit. Le problème fondamental de la vie est de comprendre et de voir l’Absolu suffisamment pour comprendre et voir la valeur exacte du relatif, puisque le relatif est avant tout relatif à l’Absolu. Il se fait que l’Absolu apparaît comme le Maître, l’Etre premier, le Puissant, le Transcendant, l’Ineffable, l’Immuable, la Cause totale : tous ces termes que les philosophes utilisent correspondent à quelque chose de la réalité divine. En fait, le choix du sujet de l’existence de Dieu a été inspiré par le grand problème du phénomène de l’athéisme dans notre monde contemporain. En effet, le positivisme moderne a cherché à détruire ce sens de l’absolu en niant tout absolu. Pourtant, l’homme ne vit que d’absolu…

Metaphysica theoria :

■ Tome 5 : Dieu, matrice de la métaphysique

■ Tome 6 : Essai sur l’existence de Dieu

Editions L’Harmattan (Novembre 2012).

"La question de Dieu ne paraît jamais urgente. Notre temps est déjà complètement rempli." "Il n'y a plus de place pour Dieu". Même dans nos sentiments et nos désirs, il n'y a plus de place pour Lui. Nous nous désirons nous-mêmes. Nous désirons ce que nous pouvons atteindre, nous désirons un bonheur à notre portée, nous désirons que nos projets et nos desseins réussissent. Nous sommes si pleins de nous-mêmes qu'il n'y a plus de place pour Dieu". (Benoît XVI)

rafael22 a écrit:"La question de Dieu ne paraît jamais urgente. Notre temps est déjà complètement rempli." "Il n'y a plus de place pour Dieu". Même dans nos sentiments et nos désirs, il n'y a plus de place pour Lui. Nous nous désirons nous-mêmes. Nous désirons ce que nous pouvons atteindre, nous désirons un bonheur à notre portée, nous désirons que nos projets et nos desseins réussissent. Nous sommes si pleins de nous-mêmes qu'il n'y a plus de place pour Dieu". (Benoît XVI)

@ rafael22

Hélas, ce paragraphe est tellement vrai . Souvent c'est dans la souffrance que l'on cherche le Seigneur, et, Il se manifeste à nous .


Il est dit dans l'Ecriture :" si tu Me cherches de tout ton cœur, tu ME trouveras "
(Deutéronome 4-29)

Il est dit : Purifie ton cœur et écoute en silence ! Prie ! Prie avec constance et attends avec patience : Tu LE trouveras car IL te dis :
"Eh bien, Moi, JE vais la séduire, JE parlerai à son Cœur" Osée 2-16)
car le but de la vie sur terre est cette rencontre avec DIEU…rencontre aujourd'hui pour déterminer notre vie…

Confions à notre Père du Ciel et à son Fils Jésus, nos épreuves, nos peines, nos espoirs. Remettons tout entre Ses mains !
SURTOUT, n'oublions pas de Le remercier de tous Ses bienfaits, ...


Je témoigne que le Seigneur accorde beaucoup de grâces, Il nous demande en échange ( dans ses messages ) de Lui rendre Gloire, Il est présent au milieu de nous!

"Quelle place laissons-nous à Dieu dans le monde moderne? Au cours de son homélie, lundi, en la basilique Saint-Pierre de Rome, Benoit XVI a insisté sur la difficulté pour les fidèles comme pour les non-croyants d'accorder du temps à la spiritualité. "Avons-nous du temps et de la place pour Lui ?", a demandé Benoît XVI. "Est-ce que nous ne détournons pas de Dieu lui-même ?" "Plus vite nous pouvons aller, plus les appareils qui nous permettent de gagner du temps deviennent efficaces, le moins de temps nous avons", a-t-il ajouté, avec lucidité. "Et Dieu ? La question de Dieu ne paraît jamais urgente. Notre temps est déjà complètement rempli."
"Il n'y a plus de place pour Lui", a constaté Benoît XVI. "Même dans nos sentiments et nos désirs, il n'y a plus de place pour Lui. Nous nous désirons nous-mêmes. Nous désirons ce que nous pouvons atteindre, nous désirons un bonheur à notre portée, nous désirons que nos projets et nos desseins réussissent. Nous sommes si pleins de nous-mêmes qu'il n'y a plus de place pour Dieu. "Nous voulons les choses tangibles, le bonheur expérimentable", a rappelé Benoît XVI.

"Quelle place laissons-nous à Dieu dans le monde moderne?" - Telle est la question que Benoît XVI pose à chacun d'entre nous.

Je remets ce dernier post en évidence sans quoi il se serait perdu dans la masse d'informations qui circulent sur VSJ.

@ Lucjos

Cher Lucjos , malgré le peu de temps dont je dispose ce soir, je prendrai quelques minutes pour vous répondre car je vous le dois bien !
Votre réflexion : « si vous pensez que LucJos commence à devenir drôle, je n'ose pas dire fou ! M’a plutôt fait rire.

Non Lucjos n’est ni drôle ni fou !

Cela fait une année il me semble que je connais ce forum, les yeux de mon cœur voient un « Lucjos » au fil des jours, de plus en plus dévoué pour l’œuvre du Seigneur.

Aussi j’ajouterai que ma conscience me dicte que nous avons le devoir de faire vivre ce forum, ne serais-ce qu’en postant un petit message de temps en temps !

Ce dont je suis certaine, c’est que le Seigneur nous demandera « Qu’as tu fais, As-tu travaillé pour me sauver des âmes ???

Nous "Tous", pensons y, il pourrait n'y avoir que peu de choses dans la balance !

Lucjos, Vous dites : je suis tout autant persuadé que s'il en est ainsi, c'est à cause de l'écoute, régulière et avec le cœur, de ce que Jésus et Marie nous disent par l'intermédiaire de Leurs prophètes d'aujourd'hui.

Cette écoute nous apporte une nourriture d'une richesse incroyable, nourriture que, sans porter aucun jugement et en n'oubliant pas les exceptions malheureusement peu nombreuses, nous ne trouvons pas ou plus dans l'enseignement de Notre Eglise !

Oui ! je vous répondrai qu’il faut être à son écoute pour le trouver, cependant , il me semble qu’il faut dans un premier temps le chercher !

C’est en décortiquant tous les messages du Ciel que j’ai appris à connaître et à aimer le Seigneur. Je remets tous mes soucis, mes préoccupations entre Ses mains ! Tout chemine parfaitement ainsi!

Surtout, sachons Le remercier pour les grâces accordées !
Faisons de Lui « un Ami » sur qui ont peu compter !

Les chrétiens devraient considérer que la puissance de Dieu est à leur disposition.
Ils devraient imprégner leur âme de cette idée jusqu'à ce que tout doute et toute crainte soient réduits au silence.

Un grand « Merci » à Octo/Admin, Sylvia, Marlène, Francine, Mananou, Antoine, et vous tous, d’entretenir la vitalité de ce Forum !

à vous tous !

@ Gaëlle :

Merci, Gaëlle ! Je me disais que personne ne me répondrait et je l'acceptais, me disant que cela ne m'empêcherait pas de continuer à poster les messages de J.N.S.R. dans lesquels j'ai véritablement découvert l'Amour presque "incompréhensible" de Dieu pour nous, qui que nous soyons. Et c'est cet Amour-là qui lentement a fait naître en mon coeur ce désir de Le connaître et de Lui obéir, mais Dieu nous laisse mener notre combat librement et ce sont les difficultés et les revers qui, au fil du temps, des années pour moi, nous fortifient à notre grand étonnement.

Je retiens ce que vous dites :

"Ce dont je suis certaine, c’est que le Seigneur nous demandera « Qu’as tu fais, As-tu travaillé pour me sauver des âmes ??? Nous "Tous", pensons y, il pourrait n'y avoir que peu de choses dans la balance !"

Je vous réponds :
je n'existe pas seulement sur VSJ, j'ai aussi une famille, grande par ma femme, mes voisins, les gens de ma paroisse, mon curé entre autres, et à l'égard d'un bon nombre ... je suis considéré comme un fou et je me sens souvent marginalisé. Certains me le disent; d'autres ne disent rien, mais je devine leurs pensées. Et je suis triste ... pour eux.

Notre seule force, pour attirer à Dieu, outre les Sacrements, la prière, l'humilité, la foi et l'espérance, c'est la charité, notre détachement des choses de ce monde, de l'argent notamment, mais aussi des vacances, de tous les biens qui nous sont proposés, des plaisirs sains mais exagérés ... et je ne parle pas des autres.

Merci encore, Gaëlle, vous m'avez aimé, au sens noble du terme, ... et c'est un merveilleux cadeau !