PADRE PIO Comment le Padre Pio vivait-il la Sainte Messe ?
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Message  métys Lun 2 Déc 2013 - 15:08

Comment le Padre Pio vivait-il la Sainte Messe ?

Père, qu’est votre messe pour vous ?

Une union complète entre JÉSUS et moi.

Sommes-nous seuls à être rangés autour de l’autel pendant la messe? Autour de l’autel, il y a les anges de DIEU.

Père, qui se trouve autour de l’autel ? Toute la cour céleste

Père, la MADONE est-elle aussi présente pendant la messe ? Une MÈRE peut-elle rester indifférente à son FILS ?

Père, comment devons-nous assister à la messe ?

Comme la SAINTE VIERGE et les saintes femmes, avec amour et compassion.

Comme SAINT JEAN assistait à l’Offrande Eucharistique et au saint sacrifice sanglant de la Croix.

«Chaque sainte Messe entendue avec dévotion produit des merveilleux effets dans nos âmes, des grâces spirituelles et matérielles abondantes que nous ne connaissons même pas» disait-il.

Toute la vie du Père PIO était centrée sur le saint Sacrifice de la messe qui, disait-il, jour par jour, sauve le monde de sa perdition.

Brunatto, qui assistait généralement le Père et eut le bonheur de le servir, témoigne que, pendant les années de son isolement, la célébration durait jusqu’à sept heures. Plus tard, elle fut limitée par l’obéissance et durait environ une heure.

Oui, vraiment, cette messe du Père Pio.. était un événement inoubliable et on avait raison de vouloir y assister au moins une seule fois.

Lorsqu’il quittait la sacristie, le Père était généralement soutenu par deux confrères, car ses pieds transpercés le faisaient atrocement souffrir.

D’un pas lourd, traînant, incertain, chancelant, il s’avançait vers l’autel. Outre les stigmates, il passait encore toute la nuit en prière ; ce qui fut vrai tout un demi-siècle.

On l’aurait cru écrasé sous le poids des péchés du monde. Il offrait toutes les intentions, les demandes, les supplications, qui lui avaient été confiées par écrit ou oralement, de l’univers entier.

II portait, en outre, toutes les afflictions, les souffrances, les angoisses pour lesquelles on venait à lui et dont il s’était chargé.

C’est pourquoi l’Offrande de cette messe était si longue et si impressionnante.

Il faisait tout pour détourner l’attention de lui. Il évitait tout ce qui pouvait être spectaculaire dans son maintien, son expression, ses gestes, dans sa manière de prier et de se taire; et pourtant, son maintien, sa façon de prier, son silence, et surtout les longues pauses, dans toute leur simplicité, étaient vraiment dramatiques.

Lorsque, dans le silence recueilli d’une foule intimement unie à lui, le Père Pio prenait la patène dans ses mains sanglantes et l’offrait au PÈRE Tout-Puissant, elle pesait lourd de cet énorme amas de bonnes œuvres, de souffrances et de bonnes intentions.

Ce pain qui allait tantôt prendre vie, changé en Celui qui, seul, réellement, était capable de payer complètement la rançon des péchés des hommes.

Ce n’était pas seulement les principales parties de la messe qui étaient remarquables, dans cette célébration.

Le Père Pio célébrait toute la messe avec la même attention soutenue, visiblement conscient de la profonde signification de chaque mot, de chaque geste liturgique.

Ce qui se passait entre DIEU et lui demeurait un mystère, mais on pouvait en deviner quelque chose dans certains silences, dans certaines pauses plus longues ; les traits de son visage en trahissaient parfois son intense participation au Drame qu’il vivait.

Les yeux fermés, il était souvent en conversation avec DIEU, ou transporté en extase dans la contemplation.

Seul, un ange serait capable de décrire dignement cette messe. Les plaies permanentes de son corps n’étaient que les signes visibles du martyre intérieur qu’il subissait avec le divin Crucifié.

C’est pourquoi, l’attention de l’assemblée était fixée sur le point culminant du Saint Sacrifice : la Consécration.

En effet, ici, il s’arrêtait un instant comme pour se concentrer.

Une lutte semblait s’engager entre lui, qui tenait dans ses mains l’hostie immaculée et, DIEU sait, quelle force obscure et invisible qui, sur ses lèvres, retenait les paroles consécratoires chargées de force créatrice.

Certains jours, la messe était pour lui, à partir du Sanctus, un vrai martyre. La sueur couvrait son visage et les larmes coulaient le long de ses joues.

C’était vraiment l’homme des douleurs aux prises avec l’agonie. Involontairement, je pensais au CHRIST au Jardin des Oliviers.

On voyait clairement, qu’en proférant les paroles de la Consécration, il subissait un réel martyre.

À chaque mot, un choc semblait parcourir ses membres. Serait-il possible, comme certains le pensent, qu’il souffrait alors plus intensément la Passion du CHRIST et que les spasmes pénibles, qu’il réprimait autant que possible, l’empêchaient un moment de poursuivre?

Ou devons-nous interpréter à la lettre les paroles du Père Pio, disant que le démon s’aventure parfois jusqu’à l’autel ? Dans son attitude si impressionnante, on assistait donc à une lutte réelle contre Satan, qui, à ce moment, redoublait ses efforts pour le tourmenter.

Les deux suppositions sont acceptables.

Souvent, lorsqu’il quittait l’autel, après la messe, certaines expressions involontaires et révélatrices lui échappaient.

Comme se parlant à lui-même, il disait par exemple : «Je me sens brûler…» et aussi : «JÉSUS m’a dit…».

Quant à moi, j’ai été, comme tous ceux qui ont eu le bonheur de participer à cette messe, vivement impressionné par cette émouvante célébration.

Un jour que la foule des pèlerins était particulièrement dense dans l’église de San Giovanni, le Père me dit après la messe :

«Je me suis souvenu de vous à l’autel!».

Je lui demandai :« Père, avez-vous à l’esprit toutes les âmes qui assistent à votre messe ?».

Il répondit :

« À l’autel, je vois tous mes enfants comme dans un miroir !».

Toute la vie du Père Pio a été une Passion de JÉSUS. Sa journée entière était la continuation du Sacrifice de la messe



source:http://prophetesetmystiques.blogspot.ca/2010/01/propheties-padre-pio.html

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Message  stjeanlagneau Lun 2 Déc 2013 - 16:22



@ Métys, merci! Applaudir 
Bye Bye ! 
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