Vers le Divorce Catholique pour tous : Propos sur la Réforme de la procédure de Nullité !

Merci pour vos arguments, ils nous rapprochent du Seigneur. Je suis d'accord que nous ne pouvons pas diviser ce que Dieu a uni. Jésus a institué le Pape comme son représentant dans l'Eglise, Le Seigneur nous demande donc de rester uni dans la foi au pape même si certaines décisions nous "hérissent le poil", et moi le premier. Une Eglise divisée est le fruit du Diable et non de Dieu. En étant unis au Pape, nous restons unis au Christ. Si le Pape se trompe, Jésus enverra des saints et l'Esprit-Saint pour établir la Vérité.
Pour revenir au mariage, ne tombons pas dans la carricature, simplification ne veut pas dire automaticité, l'évêque en charge du dossier devra prendre sa décision devant Dieu : quelle charge !
De même Dieu ne peut unir deux personnes si l'une d'entre-elles n'est pas consentente et fait semblant d'être consentante.
Je suis entièrement d'accord avec vous pour que la procédure de nullité soit un cas exceptionnel, les préparations au mariage sont normalement faites pour aider au discernement. Cependant, mettez-vous à la place d'un prêtre qui a en face de lui un couple qu'il ne sent pas mature mais qui demande absolument le mariage, peut-il leur refuser le don de Dieu ? Sommes-nous une secte où seuls les purs peuvent entrer ?

Complètement d'accord avec les propos du Père Flieg. Jean Paull II a voulu , cerrtainement en prévision des confusions à venir, élaborer le cathéchisme de L'Eglise Catholique pour aider au discernement. Et aujourd'hui, le pape François n'a contredit aucun des articles du Cathéchisme de l'Eglise Catholique.
Si vous arrivez à me prouver qu'il a contredit ce cathéchisme, expliquez-moi en quoi.
Merci de cet échange constructif.
Luc Cuisinier

En 1534, le roi d'Angleterre Henri VIII rompt avec le Pape qui refuse son divorce et devient le chef de l'Eglise d'Angleterre.
Rappelez vous que le schisme avec l’Angleterre a été provoqué parce que le Pape de l'époque n'avait pas voulu annuler le mariage du roi. D’où l’extrême importance de ce sacrement.